Punition - histoire érotique

Punition.

Récit fictif en zone rouge.

Mariée à un homme d'affaires qui me donne tout ce que je veux mais qui exige aussi beaucoup de ma part.

Sans m'étendre davantage sur tous les avantages d'une telle situation, je lui apporte aussi beaucoup sur le plan sentimental. Dévouée corps et âme, il peut tout me demander et il peut se montrer très pervers et aussi très sévère.

Un jour, en voyage, alors que nous déjeunions au lit dans une suite, j'ai malencontreusement renversé notre déjeuner.
Il m'a obligé à rester nue. Quand, le garçon d'étage est venu réparer les dégâts, il a arraché les draps et m'a fessé devant lui.

Je suis resté couverte de café, beurre, confiture, bacon and eggs au piquet dans un coin de la pièce tout le temps que le personnel change la literie, les fesses rougies.


Il a aussi tendance à m'exhiber lorsque nous sommes en vacances. Cela me gêne d'autant plus dans des pays d'Asie ou d'Afrique du Nord où la population est très pudique.
Je porte des tenues diaphanes, des robes fendues, des parfums capiteux sous lesquelles je suis pratiquement nues.

Dans l'intimité il aime me voir sexy : bas, corset, culotte fendue et jarretelles, déshabillé vaporeux pour que je sois accessible comme il dit.

Aux beaux jours, je bronze intégralement au bord de la piscine même en présence du jardinier. Il me demande d'écarter les jambes pour offrir la vue sur mon sexe glabre et mon piercing doré.

Il n'hésite pas non plus à me caresser les seins en présence de la femme de ménage ou à me doigter.


Récemment, un nouveau pas a été franchi.

En manœuvrant ma mini Cooper, j'ai éraflé l'aile de son Aston Martin chérie. Furieux, il me promet une punition exemplaire.

Le samedi suivant il me fait monter nue, un bandeau sur les yeux dans sa range rover.

Nous sommes en fin d'après-midi. Rapidement, nous sortons de la ville et et nous arrivons sur un parking en terre.

Il me fait descendre et me conduit à l'arrière, ouvre le hayon et me couche, le buste sur une couverture. Il m'entrave les poignets dans le dos.
Je m'attendais à une fessée, voire des coups de ceinture, de cravache, le fouet…

Je reste comme ça de longues minutes, je sens au contraire un liquide froid sur mon sexe , sa main me pénètre et m'enduit copieusement de gel.

J'ai déjà vécu des scènes analogues en club où il aime m'offrir à d'autres. Comme je l'ai dit plus haut, je suis prête à tout pour lui faire plaisir et le garder.
Ensuite de retour à la maison, il se montre tendre et passionné.
Mais là dans la nature, j'ai froid, je ne me sens pas rassurée.
Je suis serrée, la situation ne m'excite pas du tout. Plusieurs doigts pénètrent mon anus en le graissant encore puis mon vagin subit aussi les pénétrations.
j'entends des portes claquées, des pas et des voix se rapprocher.

Il veut m'exhiber en train de copuler, c'est ça son nouveau fantasme.

j'entends un zip de fermeture éclair, une ceinture qu'on déboucle, je sens un tissu rêche contre mes cuisses et une verge qui me pénètre. Un va et viens de quelques minutes et plus rien.
Le doute s'installe dans mon esprit. Je sens une présence devant moi.

Ces derniers temps, quand il me fait l'amour, il aime prendre son temps, je le suce longtemps, il me doigte, excite mon clitoris, pénètre mon anus puis me pénètre et me laboure violemment à me faire mal. Il m'insulte grossièrement, me traite de sale pute avant d'éjaculer au fond de mon vagin.

Là, rien de tout cela. Il m'offre, il me prête à qui ? Il me parle toujours des scénarios coquins qu'il veut mettre en pratique. Candauliste, Il a souvent évoqué les scènes en plein air avec le risque de se faire surprendre, où il me filmerait en train de faire l'amour à d'autres.

Le bâillon boule m'empêche de lui dire mon ressenti. Il m'insulte grossièrement à l'oreille.

Il m'enlève le bandeau, il est face à moi et me filme en gros plan.

Une autre verge se présente, j'espère qu'elle est revêtue d'un préservatif et que ces rapports sont protégés, le coït dure, ce n'est pas douloureux, c'est rien, ni plaisir, ni douleur c'est rien.
Je suis prête à tout pour lui faire plaisir. Il m'a trainé dans la fange, traité comme la dernière des prostituée et au fond de moi, j'aime ça. Il le sait, il en jouit.

Je ne peux rien faire, les bras entravés, je ne peux bouger les jambes au sol, le buste couché, je ne peux crier.

L'homme est bedonnant et m'écrase, il se retire enfin, je ne l'ai pas senti éjaculer. Il me claque la fesse et part en disant « bonne pute. »

Je sens un pantalon de jogging descendre le long de mes jambes. Le mec n'en revient pas . « Ouah, la meuf, canon !, t'es ouf toi, on peut la baiser gratos. »

Là, je sens une grosse, ça fait une demi-heure que je suis couché dans une position inconfortable, j'ai mal aux cuisses appuyées contre le pare choc, les bras tendus, les épaules tirées en arrière.

Celui là me laboure bien, il cherche à varier l'angle à me faire plaisir. Il va prendre cher mon mec, je vais me payer des petits jeunes. Il veut être cocu. Il va être servi.

Malheureusement, le plaisir ne dure pas. Il se retire avec un petit mot gentil pour moi et ajoute à l'adresse de mon compagnon :
« Si tu restes encore, j'appelle mes potes de la cité et il vont te la démonter ma parole ! »

Ah ces mots, mon compagnon me détache, me donne mes vêtements et se dépêche de rentrer.


Je pense qu'il eu peur pour son Range Rover dernier cri, toutes options.

J'ai filé dans la baignoire puis dans une chambre d'hôtel. Il peut toujours se branler à regarder mon visage quand je subis les assauts de pauvres mecs qu'il a trouvé sur internet.

Moi je me tape tous les mecs mignons à ma portée. Il peut toujours me faire suivre par un détective privé, j'utilise un compte en ligne.