Moi le larbin 1 Suite de l'inspectrice. - histoire érotique

Moi le larbin. 1
Cette histoire fait suite à ‘’l'inspectrice ‘’.

Je m'appelle Claude , j’ai vingt cinq ans , je suis comptable dans une grande société et j'accompagne ma chef de service dans tous ses déplacements.

Je lui sers de chauffeur, de secrétaire et d'assistant de tous les instants.


Je suis le fils unique d'une mère très autoritaire mais aimante voire possessive . Veuve. Je n'ai jamais connu mon père et ma mère aurait voulu une fille qu'elle aurait appelée Claudine ou Claudette. Bref pour l'état civil , ce fut Claude.
Nous ne recevons pas et je n'ai connu que des femmes durant toute mon enfance. Une grand-mère qui m'adorait et une tante, la sœur de ma mère divorcée avec une fille d'un an mon aînée.

Jusqu'à l'école primaire, j'ai gardé mes longues boucles blondes. Je jouais seul, imitant les adultes. J'étais un enfant délicat, menu et timide.
Ensuite, j'ai vite été l'objet de moqueries puis de brimades à l'école et au collège .

Ma scolarité a été chaotique. Après le collège, j'ai été orienté en BEP comptabilité.
J'étais le seul garçon de la classe et j'ai enfin pu m'épanouir. J'étais très amoureux de certaines filles et je faisais tout pour leur plaire.

Elle me considérait comme une des leurs et j'étais leur confident. On parlait des acteurs et des chanteurs mais aussi hygiène intime, maquillage, chiffons, shopping…

Bon élève , je les aidais aussi pour leurs devoirs et portait parfois leur cartable. Sage et appliqué, je passais pour la coqueluche des professeurs et suscitais parfois de la jalousie.

Un jour , par jeux, on s'est amusé à me déguiser en fille pour faire les boutiques et les accompagner dans les cabines d' essayage des grands magasins. On a beaucoup rit.
J'étais aux anges.
Un protège slip plaquait mes attributs contre mon périnée dans une culotte petit bateau une jupe écossaise, des chaussures basses, un chemisier, un pull large et une casquette cachait ma coiffure.
Mon corps androgyne créait parfaitement l'illusion.

Quant à ma cousine, elle me demandait souvent de caresser sa poitrine qu'elle aimait exhiber en particulier à la plage.
Elle voulait voir et toucher ma verge qui s'allongeait évidemment. Elle donnait une tape puis voyait mon membre rebondir. Elle l'empoignait et elle me laissait ensuite voir et toucher ses grandes lèvres et j'avais le droit d' examiner ce sexe plein de secrets. Elle me montrait son pistil et saisissait mes doigts pour que je la caresse.

Sa première jouissance sous mes doigts a été un choc. J'ai cru qu'elle défaillait définitivement.
Moi, j’étais honteux de montrer mes organes génitaux. A aucun moment, je n'aurais imaginé la pénétrer avec ma verge. J'enviais la beauté de son sexe. J'ai été surpris d'éjaculer la première fois sous ses doigts. Ensuite, je me masturbais régulièrement.

J'aurais aimé être fille et le corps masculin ne m'a jamais attiré. A cette époque, je n'envisageais pas un changement de sexe. Je préfèrerai jouer sur l'ambiguïté, être les deux ou aucun.

On me traitait de tarlouze et autres noms d'oiseaux. Rien n'était plus faux. J'aimais les filles et je les imitais.
Ma mère et ma grand-mère l'avaient compris bien avant moi sans doute.
Ma mère s'en amusait. Elle me faisait toucher les matières des tissus de ses robes, ses corsages, me demandant de l'aider à enfiler ses combinaisons.
C'est elle qui m'a travesti la première fois pour un bal costumé. Je lui en était très reconnaissant.

Je me rappelle que à sept ans, mes camarades se déguisaient en crow boy, moi je voulais une panoplie de princesse.
A vingt ans, j'aimais danser enlacer avec mes amies. J'étais très amoureux d'une fille très masculine. Nous avons flirté quelque temps mais ensuite elle s'est mise en couple avec une poupée fine et menue.

C'est à ce moment là que j'ai rencontré celle qui allait devenir ma maitresse.


J'étais en stage terminal pour l'obtention de mon BTS dans une entreprise de la grande distribution.

Après plusieurs semaines où j'ai exercé avec facilité dans tous les services , on m'a affecté à la Direction générale . Dès mon arrivée, on m'a prévenu que mon avenir dépendait du bon vouloir de l’inspectrice surnommée la Louve et qu'elle allait me manger tout cru.

Je pénétrais dans son bureau en fin d'après-midi, très nerveux. De cet entretien dépendait la validation de ma formation.

A peine franchi la porte, je restais de longues minutes, planté à trois mètres de son bureau avant qu'elle ne lève les yeux sur moi.

Elle me questionne sur mon stage. Je me montre très respectueux et modeste quant à mes résultats.
Elle critique tous les points évoqués et m'annonce qu'il va me falloir être très persuasif pour qu'elle rende un avis positif.

Elle me demande si j'ai prévu quelque chose pour le week-end, elle m'annonce que je vais être à sa disposition jusqu'à la fin du stage.

Je ne sais pas quoi répondre. Ébranlé par ses jugements, inquiet de la suite. Je dois justement me rendre auprès de ma tante qui est hospitalisée.

L'entretien aborde des sujets plus personnels puis intimes. Elle me fait remarquer que je suis efféminé, je lui parle de ma scolarité et de mon enfance, elle me demande si j'ai été fessé, giflé et si cela m'a troublé.

Elle me demande quelles sont mes fantasmes, quels films pornos j'aime regarder. Je lui avoue mon goût pour le travestissement et la domination féminine.

Elle me demande alors de me déshabiller.

J'enlève mon pull parce que j'ai chaud , mon tee-shirt et mon pantalon suivent trop lentement sans doute à son goût car elle se lève furieuse et me dit que je mérite une fessée.

Les bureaux sont maintenant déserts et si je n'obéis pas, je risque de ne plus revenir le lundi.

Je questionne sur la position que je dois prendre.

« Restez debout, face au mur comme ça les mains sur la tête »
Rouge pivoine, je m'exécute. Je la vois sortir un martinet de son bureau.

« Vous avez vingt ans, ce sera vingt coups mais si vous vous dérobez, les coups ne comptent pas. Vous allez compter. Vous savez compter jusqu'à vingt » ajoute t elle perfide.

Je subis résigné, l'humiliante et injuste punition.

Elle prit son temps et elle frappa avec force du dos aux cuisses.

A la fin, je dû me tourner vers elle, elle s'aperçut que mon sexe était en érection. Elle me fit remarquer qu'il avait une bonne taille.
« Vous avez aimé semble t il… »

Elle le prit en main, je dû me masturber et ensuite la remercier pour le plaisir qu'elle m'avait donné.

Elle me caressa les fesses et les claqua à plusieurs reprises.

« Vous avez un beau cul, je vais me régaler. Je vais vous garder à mon service. A l'issue de ce stage, je vais faire de vous mon assistant avec un bon salaire.
Vous allez habiter chez moi. Dites à votre mère que vous avez l'obligation d'être près du siège et que cela vous évite plusieurs heures de transport.

A j'ajoute, en public, c'est Madame ou madame l'Inspectrice. En privé c'est Maîtresse ! »
Je me rhabillais et prit congé.

Le soir, je reçus un SMS me donnant rendez-vous à Paris dans le quartier du Marais. Je quittais Maman et me rendis à l'adresse indiquée.


A suivre.