La Librairie (3)
Récit érotique écrit par Marcs75 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-08-2023 dans la catégorie Dans la zone rouge
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La Librairie (3)
Comme promis, voici la suite de mon récit. Merci de vos retours et commentaires qui me font toujours chaud au coeur (et ailleurs...). N'hésitez pas à me partager vos idées si vous avez des sujets que vous souhaiteriez que j'explore ou si vous avez des fantasmes particuliers à explorer.
Je vous laisse donc à votre lecture.
Nous avions laissé nos protagonistes à la sortie de la librairie après une fellation mémorable.
Je te demande de me suivre. Nous sortons de la librairie et remontons la rue du Chemin Vert jusqu’au Père Lachaise. Nous croisons une bande de jeunes qui plongent leurs regards dans ton décolleté, alors je passe ma main dans ton dos et caresse tes fesses sous la jupe en jean. L’un d’entre eux laisse échapper un « salope » et je te sens te crisper soudainement. Je ne saurais interpréter cette réaction comme ravie ou outrée mais je te laisse le bénéfice du doute. Nous descendons dans le métro. La rame arrive. Les portes s’ouvrent.
— Monte.
Tu t’exécutes.
Alors que tu es debout collée contre la porte, je passe ma main dans ton dos, sous ta jupe. Tu sens un métal froid se presser contre ta rondelle, tu te crispes. Je susurre à ton oreille…
— Laisse-toi faire.
Tu te cambres alors et laisses le plug entrer en toi. Il glisse aisément dans ta rondelle humide.
— Assieds-toi maintenant.
Tu t’assois sur un siège libre. Le gode entre un peu plus profondément en toi. Un Homme est assis en face de toi. Grand, d’origine magrébine avec des pupilles noires et des cheveux en bataille. Il porte un pantalon noir et une chemise blanche ouverte sur son teint hâlé. Il fait une chaleur torride et l’humidité ambiante est insupportable. Il te regarde avec insistance. Ton T-shirt est trempé de sueur et se colle sur tes seins lui laissant entrevoir les aréoles brunâtres sous le coton humide. Il ne peut s’empêcher de passer sa langue sur ses lèvres en te dévisageant.
Tu parais troublée.
Profitant d’un arrêt et du départ de ton voisin, il se lève pour venir s’asseoir à tes côtés. Alors qu’il est debout face à toi, tu remarques la bosse que fait son sexe dans son pantalon déjà trop étroit. Tu me regardes en soupirant. Je souris
Il s’assoit à ta droite, sur le siège laissé libre. Il se colle à toi, et tes narines sont emprises de son odeur, une odeur forte, épicée, musquée, mêlée de sueur.
Il penche la tête sur le côté pour regarder tes seins à travers le décolleté. Inconsciemment, tu rapproches les bras pour les serrer l’un contre l’autre alors qu’une goutte de sueur perle de ton menton et vient se perdre entre les deux lobes.
Tu me jettes un regard implorant, je souris. Il se rend compte que tu es accompagnée. Il me regarde alors. Je lui fais un signe de tête, en guise d’assentiment.
il glisse sa main contre ta cuisse. Ta peau est chaude et douce, au contraire de sa main rugueuse et calleuse. Tu frissonnes, ce qui fait rentrer un peu plus ton plug dans ton petit trou déjà détrempé…
Alors, il se lève et nous dis :
— Suivez-moi, nous descendons là.
Obéir semble être une nature chez toi. Tu te lèves sagement et le suis. Il quitte les grands boulevards bondés et s’engage dans un quartier mal famé du XIXème arrondissement. Déjà, le ciel semble plus sombre, l’air vicié par les détritus qui débordent des poubelles alentour. Tu étais simplement sortie faire la tournée des libraires du quartier et ne pensais pas te retrouver dans cette situation…
Des bandes de jeunes te dévisagent au passage, se demandant ce que ce curieux trio fait ici. Parvenu à l’entrée de sa cité, il s’engage dans une ruelle. Même à midi, elle est très sombre et deux clochards sont avachis dans un coin. A ton passage, ils te regardent avec insistance et l’un d’entre eux lance même une épluchure de légume dans un état de pourriture avancée dans ta direction. Tu ne dis rien et avances sagement. La main du jeune magrébin passe sur tes fesses à travers le tissu de la jupe et il sent le diamant du plug dépasser de ce dernier. Je savais bien, en te demandant de l’insérer tout à l’heure dans le métro, que ce jouet aurait une certaine utilité.
— Je savais que tu étais une véritable salope, dit-il à votre oreille, ce qui te choque mais t’excite encore davantage.
Tu entres à sa suite dans le vestibule d’un immeuble d’une banalité déconcertante. Devant l’interphone, vous vous arrêtez, il passe sa main entre tes cuisses, sous la jupe, et remonte doucement jusqu’à ton entrejambe. Il enfile immédiatement deux doigts dans ta chatte trempée. Tu gémis et ondules pour le faire entrer un peu plus profondément en toi.
Il ressort ses doigts et les porte à ta bouche pour te faire gouter le mélange salé de sueur et de mouille qui emplit ta chatte luisante. Tu avales goulument.
— Assez, dit-il sévèrement. Montons.
Tu montes l’escalier, tremblante de peur mais aussi tellement excitée que ta chatte trempée déglutis son jus le long de tes cuisses. A chaque pas, à chaque marche le plug bouge dans ton petit trou et te procure des sensations exquises, de plénitude.
Le manque d’exercice t’essouffle et tu t’arrêtes en route. Il te claque violemment les fesses et te dit :
— Monte, salope, on n’a pas toute la journée.
Arrivée au sommet, il te fait entrer dans son repaire. C’est un sordide bouge dans un piteux état. Il y a 3 jours de vaisselle dans l’évier, des vêtements sale partout et le ménage semble ne pas avoir été fait depuis des mois.
Sitôt entrée, il te plaque contre le mur du vestibule et force l’entrée de tes lèvres avec sa langue. Son baiser est rude, brutal, bestial, à l’image de sa personne.
Ses mains déchirent le tissu de ton haut, accentuant l’ouverture de ton décolleté, et dévoilant ta poitrine. Tu devines à son regard qu’il est à la fois surpris par leur taille et troublé par leur blancheur.
Il continue de te fourrager énergiquement. Sa langue malhabile tourne dans ta bouche tandis que ses mains pétrissent tes seins, tes hanches, tes fesses. Tu gémis de plaisir, ravie de t’abandonner ainsi à cet homme si indélicat. Délaissant tes lèvres, sa bouche se concentre alors sur ton sein droit. Il le mord, le tiraille, le suce, le lèche de manière précipitée et désordonnée tandis que sa main s’aventure sous ta jupe et vient triturer ton clitoris. Sa brutalité primaire et son inexpérience t’excitent davantage, tu sens en lui la fougue de la jeunesse, exaltée dans un désir bestial. Ses doigts entrent en toi et font monter le plaisir. Il s’agite avec empressement mais tu es tellement excitée par son odeur que tu sens l’orgasme monter.
Alors que tu allais jouir, il retire ses doigts d’un coup et tu laisses échapper un soupir de frustration. Il tire tes cheveux en arrière et te force à genou. Tu as les yeux devant son pantalon gonflé par son sexe turgescent. Il t’ordonne de le libérer de sa prison de tissu. Docile, tu t’exécutes. Debout dans un coin de la pièce, n’osant m’asseoir de peur de souiller mes vêtements, je suis le témoin privilégié de cette scène hors du commun. Mon sexe s’agite lui aussi de nouveau dans mon jean. Sous tes doigts, son chibre sort hors de son boxer d’un coup. Il est long et gros, une vingtaine de centimètres au moins, et d’énormes veines palpitent à sa surface, de la base jusqu’au prépuce circoncis.
L’odeur, elle, est insupportable. Il est sale, et la journée passée à mariner dans la chaleur de son boxer n’a pas aidé. Mais il ne te laisse pas le choix. Il met ses mains derrière ton cou et te force à l’avaler. Le gout est semblable à l’odeur et tu réprimes un haut-le-cœur. Mais rapidement, ta salive prend le relais de sa sueur et son gourdin devient tout de suite plus acceptable. Tu commences à apprécier cette fellation forcée et t’y adonnes de ton mieux. Ta langue tourne autour du gland, le lèche, le caresse tandis que tes joues aspirent dans un mouvement de succion qui lui font exulter des râles de plaisir.
Ce jeune éphèbe n’en demandait pas temps, alors, progressivement, il prend ta tête entre les mains et imprime des mouvements lents, réguliers, de plus en plus profonds. Ta gorge s’ouvre progressivement et tu arrives à avaler tout son chibre. Tu es tellement excitée que tu coules sur le sol de l’appartement, tes doigts viennent se coller sur ton clitoris que tu titilles nerveusement.
Mais dans l’égoïsme de la jeunesse, le magrébin ne te laisse pas le plaisir de jouir, il se cale au fond de ta bouche et se vide en de longs jets accompagnés d’un râle bestial. Il éjacule de telles quantités que le sperme déborde de tes lèves et vient couler entre tes seins. Il se retire et te dit.
— C’est bien, salope. Nettoie-moi la bite maintenant et dégage d’ici, je ne veux pas d’une trainée chez moi.
Je vous laisse donc à votre lecture.
Nous avions laissé nos protagonistes à la sortie de la librairie après une fellation mémorable.
Je te demande de me suivre. Nous sortons de la librairie et remontons la rue du Chemin Vert jusqu’au Père Lachaise. Nous croisons une bande de jeunes qui plongent leurs regards dans ton décolleté, alors je passe ma main dans ton dos et caresse tes fesses sous la jupe en jean. L’un d’entre eux laisse échapper un « salope » et je te sens te crisper soudainement. Je ne saurais interpréter cette réaction comme ravie ou outrée mais je te laisse le bénéfice du doute. Nous descendons dans le métro. La rame arrive. Les portes s’ouvrent.
— Monte.
Tu t’exécutes.
Alors que tu es debout collée contre la porte, je passe ma main dans ton dos, sous ta jupe. Tu sens un métal froid se presser contre ta rondelle, tu te crispes. Je susurre à ton oreille…
— Laisse-toi faire.
Tu te cambres alors et laisses le plug entrer en toi. Il glisse aisément dans ta rondelle humide.
— Assieds-toi maintenant.
Tu t’assois sur un siège libre. Le gode entre un peu plus profondément en toi. Un Homme est assis en face de toi. Grand, d’origine magrébine avec des pupilles noires et des cheveux en bataille. Il porte un pantalon noir et une chemise blanche ouverte sur son teint hâlé. Il fait une chaleur torride et l’humidité ambiante est insupportable. Il te regarde avec insistance. Ton T-shirt est trempé de sueur et se colle sur tes seins lui laissant entrevoir les aréoles brunâtres sous le coton humide. Il ne peut s’empêcher de passer sa langue sur ses lèvres en te dévisageant.
Tu parais troublée.
Profitant d’un arrêt et du départ de ton voisin, il se lève pour venir s’asseoir à tes côtés. Alors qu’il est debout face à toi, tu remarques la bosse que fait son sexe dans son pantalon déjà trop étroit. Tu me regardes en soupirant. Je souris
Il s’assoit à ta droite, sur le siège laissé libre. Il se colle à toi, et tes narines sont emprises de son odeur, une odeur forte, épicée, musquée, mêlée de sueur.
Il penche la tête sur le côté pour regarder tes seins à travers le décolleté. Inconsciemment, tu rapproches les bras pour les serrer l’un contre l’autre alors qu’une goutte de sueur perle de ton menton et vient se perdre entre les deux lobes.
Tu me jettes un regard implorant, je souris. Il se rend compte que tu es accompagnée. Il me regarde alors. Je lui fais un signe de tête, en guise d’assentiment.
il glisse sa main contre ta cuisse. Ta peau est chaude et douce, au contraire de sa main rugueuse et calleuse. Tu frissonnes, ce qui fait rentrer un peu plus ton plug dans ton petit trou déjà détrempé…
Alors, il se lève et nous dis :
— Suivez-moi, nous descendons là.
Obéir semble être une nature chez toi. Tu te lèves sagement et le suis. Il quitte les grands boulevards bondés et s’engage dans un quartier mal famé du XIXème arrondissement. Déjà, le ciel semble plus sombre, l’air vicié par les détritus qui débordent des poubelles alentour. Tu étais simplement sortie faire la tournée des libraires du quartier et ne pensais pas te retrouver dans cette situation…
Des bandes de jeunes te dévisagent au passage, se demandant ce que ce curieux trio fait ici. Parvenu à l’entrée de sa cité, il s’engage dans une ruelle. Même à midi, elle est très sombre et deux clochards sont avachis dans un coin. A ton passage, ils te regardent avec insistance et l’un d’entre eux lance même une épluchure de légume dans un état de pourriture avancée dans ta direction. Tu ne dis rien et avances sagement. La main du jeune magrébin passe sur tes fesses à travers le tissu de la jupe et il sent le diamant du plug dépasser de ce dernier. Je savais bien, en te demandant de l’insérer tout à l’heure dans le métro, que ce jouet aurait une certaine utilité.
— Je savais que tu étais une véritable salope, dit-il à votre oreille, ce qui te choque mais t’excite encore davantage.
Tu entres à sa suite dans le vestibule d’un immeuble d’une banalité déconcertante. Devant l’interphone, vous vous arrêtez, il passe sa main entre tes cuisses, sous la jupe, et remonte doucement jusqu’à ton entrejambe. Il enfile immédiatement deux doigts dans ta chatte trempée. Tu gémis et ondules pour le faire entrer un peu plus profondément en toi.
Il ressort ses doigts et les porte à ta bouche pour te faire gouter le mélange salé de sueur et de mouille qui emplit ta chatte luisante. Tu avales goulument.
— Assez, dit-il sévèrement. Montons.
Tu montes l’escalier, tremblante de peur mais aussi tellement excitée que ta chatte trempée déglutis son jus le long de tes cuisses. A chaque pas, à chaque marche le plug bouge dans ton petit trou et te procure des sensations exquises, de plénitude.
Le manque d’exercice t’essouffle et tu t’arrêtes en route. Il te claque violemment les fesses et te dit :
— Monte, salope, on n’a pas toute la journée.
Arrivée au sommet, il te fait entrer dans son repaire. C’est un sordide bouge dans un piteux état. Il y a 3 jours de vaisselle dans l’évier, des vêtements sale partout et le ménage semble ne pas avoir été fait depuis des mois.
Sitôt entrée, il te plaque contre le mur du vestibule et force l’entrée de tes lèvres avec sa langue. Son baiser est rude, brutal, bestial, à l’image de sa personne.
Ses mains déchirent le tissu de ton haut, accentuant l’ouverture de ton décolleté, et dévoilant ta poitrine. Tu devines à son regard qu’il est à la fois surpris par leur taille et troublé par leur blancheur.
Il continue de te fourrager énergiquement. Sa langue malhabile tourne dans ta bouche tandis que ses mains pétrissent tes seins, tes hanches, tes fesses. Tu gémis de plaisir, ravie de t’abandonner ainsi à cet homme si indélicat. Délaissant tes lèvres, sa bouche se concentre alors sur ton sein droit. Il le mord, le tiraille, le suce, le lèche de manière précipitée et désordonnée tandis que sa main s’aventure sous ta jupe et vient triturer ton clitoris. Sa brutalité primaire et son inexpérience t’excitent davantage, tu sens en lui la fougue de la jeunesse, exaltée dans un désir bestial. Ses doigts entrent en toi et font monter le plaisir. Il s’agite avec empressement mais tu es tellement excitée par son odeur que tu sens l’orgasme monter.
Alors que tu allais jouir, il retire ses doigts d’un coup et tu laisses échapper un soupir de frustration. Il tire tes cheveux en arrière et te force à genou. Tu as les yeux devant son pantalon gonflé par son sexe turgescent. Il t’ordonne de le libérer de sa prison de tissu. Docile, tu t’exécutes. Debout dans un coin de la pièce, n’osant m’asseoir de peur de souiller mes vêtements, je suis le témoin privilégié de cette scène hors du commun. Mon sexe s’agite lui aussi de nouveau dans mon jean. Sous tes doigts, son chibre sort hors de son boxer d’un coup. Il est long et gros, une vingtaine de centimètres au moins, et d’énormes veines palpitent à sa surface, de la base jusqu’au prépuce circoncis.
L’odeur, elle, est insupportable. Il est sale, et la journée passée à mariner dans la chaleur de son boxer n’a pas aidé. Mais il ne te laisse pas le choix. Il met ses mains derrière ton cou et te force à l’avaler. Le gout est semblable à l’odeur et tu réprimes un haut-le-cœur. Mais rapidement, ta salive prend le relais de sa sueur et son gourdin devient tout de suite plus acceptable. Tu commences à apprécier cette fellation forcée et t’y adonnes de ton mieux. Ta langue tourne autour du gland, le lèche, le caresse tandis que tes joues aspirent dans un mouvement de succion qui lui font exulter des râles de plaisir.
Ce jeune éphèbe n’en demandait pas temps, alors, progressivement, il prend ta tête entre les mains et imprime des mouvements lents, réguliers, de plus en plus profonds. Ta gorge s’ouvre progressivement et tu arrives à avaler tout son chibre. Tu es tellement excitée que tu coules sur le sol de l’appartement, tes doigts viennent se coller sur ton clitoris que tu titilles nerveusement.
Mais dans l’égoïsme de la jeunesse, le magrébin ne te laisse pas le plaisir de jouir, il se cale au fond de ta bouche et se vide en de longs jets accompagnés d’un râle bestial. Il éjacule de telles quantités que le sperme déborde de tes lèves et vient couler entre tes seins. Il se retire et te dit.
— C’est bien, salope. Nettoie-moi la bite maintenant et dégage d’ici, je ne veux pas d’une trainée chez moi.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
A quand une pénétration dans sa chatte ?
avec plaisir, n'hésites pas à m'envoyer un mail (dispo sur mon profil) ou à me laisser le tien. Bises. Marc
salut bien envie d'echanger avec toi .