La maison d'hôtes 11 Le retour de Hugo
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-11-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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La maison d'hôtes 11 Le retour de Hugo
La maison d'hôtes 11
Le retour de Hugo
Nombre d'entre vous ont du se demander ce que je devenais, ça faisait longtemps je sais. Mais voilà je ne suis pas toujours à la maison, la plus grande partie du temps je suis à la fac, et là ça ne rigole pas, ça étudie, enfin ça essaye !
Sinon je vais bien et dès que j'ai des vacances je reviens. Mes parents ont installé un peut plus de chambres d'hôte. Et il faut dire que ça ne marche pas si mal cette affaire. Même en hiver il y a des gens de passage. Quelquefois des groupes, cet hiver ils ont reçu plusieurs séminaires et il y avait jusqu'à quinze personnes en même temps …
Heureusement j'étais pas là.
Il y a aussi des périodes calmes, on en profite pour continuer les travaux. Il y a maintenant les cinq chambres prévues.
J'étais de retour, je venais de passer mes examens de fin d'année et en plus j'étais reçu en classe supérieure. Ce jour là …
Oui vous avez compris, c'est là que commence l'histoire !
Donc, je disais quoi là ?
Ah oui, ce jours là …
Mes parents s'était absenté pour une partie de la journée, il faisaient des courses et avaient tout un tas de formalité à remplir, je n'ai toujours pas compris comment ça marche cette affaire.
Je ne devais en aucun cas quitter la maison, on attendait un client. Il avait demandé la chambre royale.
Oui on a une chambre royale ! Oui je sais c'est n'importe quoi ! C'est une chambre qui se trouve au premier étage tout au bout de la maison, elle a une terrasse privée et sans vis à vis, très bien orienté en plus. Je voulais en faire ma chambre mais mes parents n'ont pas voulu. J'étais colère, surtout que c'est la plus grande et qu'elle a une super salle de bain avec une baignoire …
Enfin bref, un client l'avait louée. Il devait arriver dans la journée.
Je paressais, pour ça je suis très fort, sous l'abri nord, je somnolais à moitié quand j'entendais une voiture. Je me réveillais en sursaut et je venais rapidement l'accueillir. Je ne sais pas pourquoi je m'imaginais un bourgeois d'un certain âge, bedonnant et à moitié chauve. J'ai toujours eu un certains préjugé sur les gens qui viennent dans ma maison.
Là quand je l'ai vu, je me suis pétrifié.
Il était pas du tout comme ça, il était grand avec un visage bien masculin, il avait une belle carrure, une chemise d’aventurier qui s’entrouvrait sur un torse musclé et généreusement poilu, en plus il avait tous ses cheveux.
– Salut ! C'est toi Hugo ?
Je restais muet devant ce beau mâle. Un mâle alpha, je me disais que justement ce genre de personnage ça manquait dans mon quotidien.
– Tu me montres ma chambres Hugo ?
Là encore je restais sans réaction, je parcourais son corps du regard, il l'a bien remarqué vous imaginez, son visage, son torse que sa chemise ouverte ne cachait pas, sa ceinture et surtout ce qu'il y avait juste en dessous.
Il avait des cuisses bien musclées mais juste en haut et entre ses cuisses, il y avait une grosse bosse qui ressortait bien avec son pantalon juste au corps.
Comme je ne réagissais toujours pas il plaçait son visage juste devant le mien et me lançait une gros '' BOUH !'' comme pour me faire peur. Et bien ça a marché, j'ai sursauté. Je réagissais enfin. Je prenais sa valise mais il la tenait déjà et je caressais sa main.
Un frisson me parcourais toute l'épine dorsale. Lui il rigolait.
C'est donc les mains vides que je repartais, il me rappelait pour me faire remarquer qu'il y avait une autre valise. L'air un peu con, je bafouillais et repartais avec la seconde balise. Il me suivait, je l'entendais rigoler. Il avait un rire joyeux, je sentais comme une affinité. Je devinais qu'il me trouvait sympathique.
On montait donc au premier et je lui ouvrais la porte. J'entrais, il me suivait. Je posais la valise et me retournais …
– Voilà … heu … Arrivais-je à dire.
Il entrait, faisait rapidement un tour de la chambre, jetais un coup deuil à la terrasse. Il se retournait vers moi et ouvrait les dernier boutons de sa chemise. Là je pouvais voir, admirer son torse, il était super bien foutu, je me demande encore si j'ai pas un peu bavé à ce moment précis.
Sa chemise tombait, je le regardais et j'avais l'air con je ne savais pas quoi dire ni quoi faire.
– Bien, je vais prendre une douche ! Déclarait-il.
– Heu oui ! Répondais-je.
– Il y a des serviettes ?
– Jé vé vou zen cherchait !
Il ouvrait son pantalon, me regardait et me disait …
– Serviettes !
– OUI ! Je m'en occupe ! Répondais-je et je sortais aussitôt de la chambre.
Je revenais un peu plus tard, avec une pile de serviette dans les bras. Il n'y avait personne dans la chambre, la douche coulait. Je rentrais dans la douche et je me retrouvais face à … Oh lala … Il était canon. Il était entièrement nu. Remarquez pour prendre une douche c'est la tenue habituelle.
Il était encore plus beau tout nu, j'avais déjà vu son torse, la j'avais ses jambes, douillettement poilues aussi et sa bite. Elle était énorme et magnifique. Elle se redressait fièrement, sans éprouver la moindre gêne, comme si personne ne la regardait. Oui je sais avant que j'arrive personne ne la regardait justement.
L'au coulait sur son visage, il avait relever la tête pour se laver les cheveux et ne pouvait ni me voir, ni m'entendre. Je restais là, tétanisé la bouche ouverte, pour une fois j'avais pas l'air très futé.
Il ouvrait les yeux et me voyait.
– Tu veux pas me laver le dos ? Me demandait-il.
– Heu oui, bien sûr ! Je sais pas !
Il se retournait et je pouvais le contempler de dos. Il était encore plus beau de dos. Il avait un magnifique fourrure, des fesses bien fermes et en plus sa fourrure semblait terriblement douce.
J'approchais et je commençais à lui caresser le dos.
– Tu vas te mouiller ! Me disait-il.
Là je dois l'avouer j'ai un peu paniqué. J'ai retirer ma chemise, mon pantalon. Je n'avais pas de sous vêtement et j'en n'avais pas vraiment besoin, vu que je portais un dispositif de chasteté comme vous le saviez déjà. Au quotidien je portais seulement un pantalon légèrement ample, avec ce pantalon, on ne voit rien .
Je me retrouvais à poil, ma queue protestait comme une folle. J'en avais bien un peu l'habitude mais il faut reconnaître qu'elle protestait rarement autant. J'avais tout ce qu'il fallait sous les yeux pour me stimuler aussi.
Je rentrais sous la douche en lui caressant le dos. Je l'ai alors senti se sursauter et se contracter. Il se retournait brusquement et s'exclamait …
– C'est pas vrai il l'a fait l'animal !
Il me regardait alors de haut en bas et remarquait ma cage à bite.
– Et tu portes un truc comme ça en plus.
– Oui c'est mon père, il veut que je porte ça parce que sinon, je ne suis pas sage.
– J 'avais pas remarqué que là, tu étais sage !
Ensuite il ma passait du savon sur le torse, il y allait avec une grande douceur. Il me donnait un autre savon et je lui rendais la politesse. On s'est bien savonné, en fait on s'est surtout caressé et avec le savon la peau devenait encore plus douce, sa fourrure était agréable, pas trop dense mais tellement douce.
Il finissait par refermer ses bras sur moi et m'embrassait avec tendresse. Je sentais sa queue qui se relevait entre nous. Je sentais aussi ma queue qui protestait dans sa cage. La cage restait la dernière chose que je touchais et qui était vraiment dure chez moi.
Ma queue s'y retrouvait à l'étroit. Quand je baissais les yeux je voyais sa queue bien droite, bien dure. Je me penchais alors, je passais le bout de la langue sur le bout de son gland, il m'encourageait avec une caresse sur les cheveux.
Rapidement je prenais sa queue en entier dans la bouche. Je l'entendais gémir de plaisir alors, il appuyait sur ma tête et sa queue glissait jusqu'au fond de ma gorge, je résistais par réflexe et quand il cessait d'appuyer je relevais la tête et sa queue ressortait.
Je la caressait avec ma langue, j'insistais particulièrement sur son gland, je forçait, mais la langue n'est pas un muscle violent et une caresse de la langue, même une caresse forte ne peut faire mal, bien au contraire, je le sentais, il frémissait et il gémissait.
Je reprenais, de nouveau sa queue glissait dans ma bouche et je le suçais longuement, doucement au bout d'un moment je me relevais, il refermait ses bras autour de moi, il me caressait. Il m'embrassait, nos langues se livraient à un combat qu'elles ne pouvaient que gagner. Le genre de combat qui se termine toujours par un match nul.
Il m'embrassait le visage, ses lèvres glissaient sur ma peau, et descendaient sur mon corps, là c'est moi qui frémissait, ma queue seule ne frémissait pas, elle protestait, elle protestait avec force et s'étranglait contre les barreaux de la cage.
C'était presque douloureux, et par moment me faisait oublier les caresses qu'il me prodiguait avec avec passion. Puis de nouveau les caresses me donnaient du plaisir et j'oubliais ma bite. Finalement elle était bien ou elle était. Ça faisait un moment que c'était comme ça et ça marchait très bien. J'étais bien, mais par moment j'étais mal.
C'est lui qui était à genoux devant moi, là je ne comprenais plus vraiment mais je laissais faire. Il me tripotait les couilles, il faisait chaud, l'eau était chaude et elles pendaient lourdement bien en dessous de ma cage.
Elles avaient grossi avec le temps, elles devaient être plus lourdes, plus pleine et elles pendaient sous leur poids. Elles se balançaient, il les prenait dans son poing, par moment il les écrasait, par moment il tirait dessus. Il me faisait un peu mal mais je ne pouvais pas, je ne voulais pas réagir.
Ensuite il me les gobait dans la bouche, il ne pouvait pas me sucer la queue alors il me gobait les couilles, il tirait dessus et je ne vous cacherais que par moment il me faisait un peu peur, il me donnait des sueurs froides.
Pour finir il se relevait et m'embrassait. Il appuyait sur mon épaule en me disant juste …
– Suce !
C'était clair. Je m'exécutais, il avait une queue magnifique et un corps de rêve. Je vous jure qu'il n'avait pas besoin d'insister. De nouveau je le suçais longuement. Là encore je le sentais frémir,de nouveau il appuyait sur ma tête et je prenais sa bite jusque dans ma gorge. Je me régalais, il était tellement agréable à toucher, à caresser, à sucer.
J'avais dit pour finir, je m'étais un peu avancé, il n'avait pas encore l'intention de finir. Il me relevais, je me laissais faire. D'ailleurs là je me laissais faire, il pouvait me déplacer me retourner me …
Il me retournait contre le mur et me lubrifiait le cul. Je laissais faire. Il en avait une grosse, j'avais un peu peur mais je laissais faire.
Il me glissait tout de suite deux doigts puis rapidement un troisième et les agitait. Là j'ai hurlé, c'était la surprise, il ne me faisait pas mal mais il ne m'avais pas prévenu. Il me dilatait l'anus et un certain plaisir montait depuis ma prostate. c'était génial, passé la surprise je ne criais plus mais je gémissais de plaisir.
Il retirait enfin ses doigts et se collait contre moi. Je sentais sa peau chaude et douce contre la mienne.
C'était sa queue que je sentais contre mon cul, il ne m'avait pas demander mais j'aurais dit oui, un grand oui. Il ne m'avait pas prévenu mais je devinais ou il voulait en venir. Il poussait sa queue contre mon cul.
D'abord ça résistait, je soufflais, il forçais, je respirais fort et je sentais une légère douleur au niveau de mon anus. Je le laissais faire. Il continuait à forcer, je gémissais en sentant que mon cul allait lâcher. Je respirait encore bien à fond me détendais.
Sa queue est alors entrée en force dans mon cul, il poussait fermement et sa bite s'enfonçait lentement bien à fond jusqu'au moment ou son ventre s'écrasait contre mes fesses. Là je manquais d'air, j’étais en apnée. Il me tirait alors vers lui, et je soupirais très fort.
Il s'amusait à me tâter les couilles, il voulait sans doute voir si elles pendaient toujours, c'était le cas. C'est surtout une question de température.
Il poussait alors une dernière fois contre mon cul puis se retirait avant de revenir avec encore plus de force. Puis il continuait il se retirait rapidement et revenait avec force, de plus en plus vite.
A chaque fois que sa queue s'enfonçait il donnait un dernier coup de bassin plus violent. Là j'ai dégusté, j'ai adoré mais j'ai dégusté. Il faut en vouloir et moi j'en voulais !
Ensuite je me penchais en avant et il continuait à me limer le cul avec régularité, il accélérait, il ralentissait, il faisait une pause puis reprenais. Par moment il me limait le cul avec des mouvements très lents qu'il accélérait sans prévenir. Je ne pouvais que subir.
J'oubliais ma queue derrière ses barreaux. Elle ne servirait à rien pour le moment.
Il se retirait complètement, faisait une pause puis positionnait sa queue qu'il m'enfonçait d'un coup violent sur toute sa longueur, son ventre claquait contre mes fesses.
Je n'ai pas compris ce qui se passait, enfin pas tout de suite, quand ses mouvements devenaient irréguliers,ils devenaient plus violent et c'est lui qui a crié au moment ou il a joui dans mon cul.
Moi aussi j'ai joui, je n'ai pas éjaculé mais j'ai joui et sa queue je la sentais encore le lendemain matin.
La tension s'est écroulée d'un coup, il ressortait de mon cul, il me prenait dans ses bras, on échangeait un câlin et on reprenait notre douche à zéro.
On sortait de la douche, on se séchait l'un l'autre. On s'habillait, lui aussi ne mettait qu'un pantalon, pas de sous vêtement, et je devinais sa queue qui se balançait lourdement sous l'étoffe. Au moment ou je passais mon pantalon il me regardait …
– Ce truc c'est pour que tu restes sage, tu dis ? Et bien ça ne marche pas.
Fin ( de l'épisode )
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Le retour de Hugo
Nombre d'entre vous ont du se demander ce que je devenais, ça faisait longtemps je sais. Mais voilà je ne suis pas toujours à la maison, la plus grande partie du temps je suis à la fac, et là ça ne rigole pas, ça étudie, enfin ça essaye !
Sinon je vais bien et dès que j'ai des vacances je reviens. Mes parents ont installé un peut plus de chambres d'hôte. Et il faut dire que ça ne marche pas si mal cette affaire. Même en hiver il y a des gens de passage. Quelquefois des groupes, cet hiver ils ont reçu plusieurs séminaires et il y avait jusqu'à quinze personnes en même temps …
Heureusement j'étais pas là.
Il y a aussi des périodes calmes, on en profite pour continuer les travaux. Il y a maintenant les cinq chambres prévues.
J'étais de retour, je venais de passer mes examens de fin d'année et en plus j'étais reçu en classe supérieure. Ce jour là …
Oui vous avez compris, c'est là que commence l'histoire !
Donc, je disais quoi là ?
Ah oui, ce jours là …
Mes parents s'était absenté pour une partie de la journée, il faisaient des courses et avaient tout un tas de formalité à remplir, je n'ai toujours pas compris comment ça marche cette affaire.
Je ne devais en aucun cas quitter la maison, on attendait un client. Il avait demandé la chambre royale.
Oui on a une chambre royale ! Oui je sais c'est n'importe quoi ! C'est une chambre qui se trouve au premier étage tout au bout de la maison, elle a une terrasse privée et sans vis à vis, très bien orienté en plus. Je voulais en faire ma chambre mais mes parents n'ont pas voulu. J'étais colère, surtout que c'est la plus grande et qu'elle a une super salle de bain avec une baignoire …
Enfin bref, un client l'avait louée. Il devait arriver dans la journée.
Je paressais, pour ça je suis très fort, sous l'abri nord, je somnolais à moitié quand j'entendais une voiture. Je me réveillais en sursaut et je venais rapidement l'accueillir. Je ne sais pas pourquoi je m'imaginais un bourgeois d'un certain âge, bedonnant et à moitié chauve. J'ai toujours eu un certains préjugé sur les gens qui viennent dans ma maison.
Là quand je l'ai vu, je me suis pétrifié.
Il était pas du tout comme ça, il était grand avec un visage bien masculin, il avait une belle carrure, une chemise d’aventurier qui s’entrouvrait sur un torse musclé et généreusement poilu, en plus il avait tous ses cheveux.
– Salut ! C'est toi Hugo ?
Je restais muet devant ce beau mâle. Un mâle alpha, je me disais que justement ce genre de personnage ça manquait dans mon quotidien.
– Tu me montres ma chambres Hugo ?
Là encore je restais sans réaction, je parcourais son corps du regard, il l'a bien remarqué vous imaginez, son visage, son torse que sa chemise ouverte ne cachait pas, sa ceinture et surtout ce qu'il y avait juste en dessous.
Il avait des cuisses bien musclées mais juste en haut et entre ses cuisses, il y avait une grosse bosse qui ressortait bien avec son pantalon juste au corps.
Comme je ne réagissais toujours pas il plaçait son visage juste devant le mien et me lançait une gros '' BOUH !'' comme pour me faire peur. Et bien ça a marché, j'ai sursauté. Je réagissais enfin. Je prenais sa valise mais il la tenait déjà et je caressais sa main.
Un frisson me parcourais toute l'épine dorsale. Lui il rigolait.
C'est donc les mains vides que je repartais, il me rappelait pour me faire remarquer qu'il y avait une autre valise. L'air un peu con, je bafouillais et repartais avec la seconde balise. Il me suivait, je l'entendais rigoler. Il avait un rire joyeux, je sentais comme une affinité. Je devinais qu'il me trouvait sympathique.
On montait donc au premier et je lui ouvrais la porte. J'entrais, il me suivait. Je posais la valise et me retournais …
– Voilà … heu … Arrivais-je à dire.
Il entrait, faisait rapidement un tour de la chambre, jetais un coup deuil à la terrasse. Il se retournait vers moi et ouvrait les dernier boutons de sa chemise. Là je pouvais voir, admirer son torse, il était super bien foutu, je me demande encore si j'ai pas un peu bavé à ce moment précis.
Sa chemise tombait, je le regardais et j'avais l'air con je ne savais pas quoi dire ni quoi faire.
– Bien, je vais prendre une douche ! Déclarait-il.
– Heu oui ! Répondais-je.
– Il y a des serviettes ?
– Jé vé vou zen cherchait !
Il ouvrait son pantalon, me regardait et me disait …
– Serviettes !
– OUI ! Je m'en occupe ! Répondais-je et je sortais aussitôt de la chambre.
Je revenais un peu plus tard, avec une pile de serviette dans les bras. Il n'y avait personne dans la chambre, la douche coulait. Je rentrais dans la douche et je me retrouvais face à … Oh lala … Il était canon. Il était entièrement nu. Remarquez pour prendre une douche c'est la tenue habituelle.
Il était encore plus beau tout nu, j'avais déjà vu son torse, la j'avais ses jambes, douillettement poilues aussi et sa bite. Elle était énorme et magnifique. Elle se redressait fièrement, sans éprouver la moindre gêne, comme si personne ne la regardait. Oui je sais avant que j'arrive personne ne la regardait justement.
L'au coulait sur son visage, il avait relever la tête pour se laver les cheveux et ne pouvait ni me voir, ni m'entendre. Je restais là, tétanisé la bouche ouverte, pour une fois j'avais pas l'air très futé.
Il ouvrait les yeux et me voyait.
– Tu veux pas me laver le dos ? Me demandait-il.
– Heu oui, bien sûr ! Je sais pas !
Il se retournait et je pouvais le contempler de dos. Il était encore plus beau de dos. Il avait un magnifique fourrure, des fesses bien fermes et en plus sa fourrure semblait terriblement douce.
J'approchais et je commençais à lui caresser le dos.
– Tu vas te mouiller ! Me disait-il.
Là je dois l'avouer j'ai un peu paniqué. J'ai retirer ma chemise, mon pantalon. Je n'avais pas de sous vêtement et j'en n'avais pas vraiment besoin, vu que je portais un dispositif de chasteté comme vous le saviez déjà. Au quotidien je portais seulement un pantalon légèrement ample, avec ce pantalon, on ne voit rien .
Je me retrouvais à poil, ma queue protestait comme une folle. J'en avais bien un peu l'habitude mais il faut reconnaître qu'elle protestait rarement autant. J'avais tout ce qu'il fallait sous les yeux pour me stimuler aussi.
Je rentrais sous la douche en lui caressant le dos. Je l'ai alors senti se sursauter et se contracter. Il se retournait brusquement et s'exclamait …
– C'est pas vrai il l'a fait l'animal !
Il me regardait alors de haut en bas et remarquait ma cage à bite.
– Et tu portes un truc comme ça en plus.
– Oui c'est mon père, il veut que je porte ça parce que sinon, je ne suis pas sage.
– J 'avais pas remarqué que là, tu étais sage !
Ensuite il ma passait du savon sur le torse, il y allait avec une grande douceur. Il me donnait un autre savon et je lui rendais la politesse. On s'est bien savonné, en fait on s'est surtout caressé et avec le savon la peau devenait encore plus douce, sa fourrure était agréable, pas trop dense mais tellement douce.
Il finissait par refermer ses bras sur moi et m'embrassait avec tendresse. Je sentais sa queue qui se relevait entre nous. Je sentais aussi ma queue qui protestait dans sa cage. La cage restait la dernière chose que je touchais et qui était vraiment dure chez moi.
Ma queue s'y retrouvait à l'étroit. Quand je baissais les yeux je voyais sa queue bien droite, bien dure. Je me penchais alors, je passais le bout de la langue sur le bout de son gland, il m'encourageait avec une caresse sur les cheveux.
Rapidement je prenais sa queue en entier dans la bouche. Je l'entendais gémir de plaisir alors, il appuyait sur ma tête et sa queue glissait jusqu'au fond de ma gorge, je résistais par réflexe et quand il cessait d'appuyer je relevais la tête et sa queue ressortait.
Je la caressait avec ma langue, j'insistais particulièrement sur son gland, je forçait, mais la langue n'est pas un muscle violent et une caresse de la langue, même une caresse forte ne peut faire mal, bien au contraire, je le sentais, il frémissait et il gémissait.
Je reprenais, de nouveau sa queue glissait dans ma bouche et je le suçais longuement, doucement au bout d'un moment je me relevais, il refermait ses bras autour de moi, il me caressait. Il m'embrassait, nos langues se livraient à un combat qu'elles ne pouvaient que gagner. Le genre de combat qui se termine toujours par un match nul.
Il m'embrassait le visage, ses lèvres glissaient sur ma peau, et descendaient sur mon corps, là c'est moi qui frémissait, ma queue seule ne frémissait pas, elle protestait, elle protestait avec force et s'étranglait contre les barreaux de la cage.
C'était presque douloureux, et par moment me faisait oublier les caresses qu'il me prodiguait avec avec passion. Puis de nouveau les caresses me donnaient du plaisir et j'oubliais ma bite. Finalement elle était bien ou elle était. Ça faisait un moment que c'était comme ça et ça marchait très bien. J'étais bien, mais par moment j'étais mal.
C'est lui qui était à genoux devant moi, là je ne comprenais plus vraiment mais je laissais faire. Il me tripotait les couilles, il faisait chaud, l'eau était chaude et elles pendaient lourdement bien en dessous de ma cage.
Elles avaient grossi avec le temps, elles devaient être plus lourdes, plus pleine et elles pendaient sous leur poids. Elles se balançaient, il les prenait dans son poing, par moment il les écrasait, par moment il tirait dessus. Il me faisait un peu mal mais je ne pouvais pas, je ne voulais pas réagir.
Ensuite il me les gobait dans la bouche, il ne pouvait pas me sucer la queue alors il me gobait les couilles, il tirait dessus et je ne vous cacherais que par moment il me faisait un peu peur, il me donnait des sueurs froides.
Pour finir il se relevait et m'embrassait. Il appuyait sur mon épaule en me disant juste …
– Suce !
C'était clair. Je m'exécutais, il avait une queue magnifique et un corps de rêve. Je vous jure qu'il n'avait pas besoin d'insister. De nouveau je le suçais longuement. Là encore je le sentais frémir,de nouveau il appuyait sur ma tête et je prenais sa bite jusque dans ma gorge. Je me régalais, il était tellement agréable à toucher, à caresser, à sucer.
J'avais dit pour finir, je m'étais un peu avancé, il n'avait pas encore l'intention de finir. Il me relevais, je me laissais faire. D'ailleurs là je me laissais faire, il pouvait me déplacer me retourner me …
Il me retournait contre le mur et me lubrifiait le cul. Je laissais faire. Il en avait une grosse, j'avais un peu peur mais je laissais faire.
Il me glissait tout de suite deux doigts puis rapidement un troisième et les agitait. Là j'ai hurlé, c'était la surprise, il ne me faisait pas mal mais il ne m'avais pas prévenu. Il me dilatait l'anus et un certain plaisir montait depuis ma prostate. c'était génial, passé la surprise je ne criais plus mais je gémissais de plaisir.
Il retirait enfin ses doigts et se collait contre moi. Je sentais sa peau chaude et douce contre la mienne.
C'était sa queue que je sentais contre mon cul, il ne m'avait pas demander mais j'aurais dit oui, un grand oui. Il ne m'avait pas prévenu mais je devinais ou il voulait en venir. Il poussait sa queue contre mon cul.
D'abord ça résistait, je soufflais, il forçais, je respirais fort et je sentais une légère douleur au niveau de mon anus. Je le laissais faire. Il continuait à forcer, je gémissais en sentant que mon cul allait lâcher. Je respirait encore bien à fond me détendais.
Sa queue est alors entrée en force dans mon cul, il poussait fermement et sa bite s'enfonçait lentement bien à fond jusqu'au moment ou son ventre s'écrasait contre mes fesses. Là je manquais d'air, j’étais en apnée. Il me tirait alors vers lui, et je soupirais très fort.
Il s'amusait à me tâter les couilles, il voulait sans doute voir si elles pendaient toujours, c'était le cas. C'est surtout une question de température.
Il poussait alors une dernière fois contre mon cul puis se retirait avant de revenir avec encore plus de force. Puis il continuait il se retirait rapidement et revenait avec force, de plus en plus vite.
A chaque fois que sa queue s'enfonçait il donnait un dernier coup de bassin plus violent. Là j'ai dégusté, j'ai adoré mais j'ai dégusté. Il faut en vouloir et moi j'en voulais !
Ensuite je me penchais en avant et il continuait à me limer le cul avec régularité, il accélérait, il ralentissait, il faisait une pause puis reprenais. Par moment il me limait le cul avec des mouvements très lents qu'il accélérait sans prévenir. Je ne pouvais que subir.
J'oubliais ma queue derrière ses barreaux. Elle ne servirait à rien pour le moment.
Il se retirait complètement, faisait une pause puis positionnait sa queue qu'il m'enfonçait d'un coup violent sur toute sa longueur, son ventre claquait contre mes fesses.
Je n'ai pas compris ce qui se passait, enfin pas tout de suite, quand ses mouvements devenaient irréguliers,ils devenaient plus violent et c'est lui qui a crié au moment ou il a joui dans mon cul.
Moi aussi j'ai joui, je n'ai pas éjaculé mais j'ai joui et sa queue je la sentais encore le lendemain matin.
La tension s'est écroulée d'un coup, il ressortait de mon cul, il me prenait dans ses bras, on échangeait un câlin et on reprenait notre douche à zéro.
On sortait de la douche, on se séchait l'un l'autre. On s'habillait, lui aussi ne mettait qu'un pantalon, pas de sous vêtement, et je devinais sa queue qui se balançait lourdement sous l'étoffe. Au moment ou je passais mon pantalon il me regardait …
– Ce truc c'est pour que tu restes sage, tu dis ? Et bien ça ne marche pas.
Fin ( de l'épisode )
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