La maison dans le sud 01 Sur la route - histoire érotique

La maison dans le sud 01Sur la route

Nous étions partis depuis plusieurs heures. On en avait prévu huit pour faire la route. J'avais conduit pendant deux heures au départ et maintenant je me reposais à l'arrière. David était à côté de moi, régulièrement il jetais un œil dans ma direction. Il semblait avoir envie de rigoler le petit David. Je dis le petit, c'est affectueux. En plus il n'était pas si petit que ça, il me dépassait d'une tête.

A l'avant il y avait Kevin qui conduisait depuis que je lui avait donné le volant et Liam qui s'amusait avec le GPS, un rien l'amuse celui-là. Je somnolais, David me regardait et me faisait un clin d’œil. Il se caressait la bosse qu'il a en haut de ses cuisses, entre les jambes et me caressait la cuisse avec un petit sourire vicieux. C'est un petit coquin le David.

Je n'ai pas eu le temps de réagir mais il m’agrippait les couille au travers de mon pantalon. Je le laissais faire. Il me tripotait les couille à travers l'étoffe, je lui caressais la main. Vous pensiez peut être que j'allais le repousser, c'est mal me connaître.

Je le laissais faire, je sentait ma queue qui voulait se relever, je la sentais devenir plus dure et je sentais … Je vous ai pas dit que je porte un dispositif de chasteté breveté PK Sécure ? … Je sentais donc ma queue qui poussait contre les barreaux en titane, c'est léger ça, le titane. Mais je vous garantis que c'est très solide. C'est froid, c'est dur, c'est terriblement frustrant car ça ne vous laisse aucune chance, aucun espoir. C'est cool !

Il ne me lâchait que pour ouvrir sa braguette et en sortir sa queue. Il en avait une belle et déjà il était en forme. Il se la caressait tout en me regardant dans les yeux. Il me faisait un sourire un peu vicieux et quand il me montrait sa queue du regard, c'était une invitation à laquelle je répondais sans attendre.

Je ne pouvais pas jouer avec la mienne, je me vengerais sur la sienne ! C'est sans aucune hésitation que je penchais mon visage sur lui et que je prenais sa queue dans la bouche.

C'était pas la première fois.

Je passais doucement ma langue sur son gland. Je ne pouvais pas jouer avec ma bite, aussi je ne prenais même pas la peine d'ouvrir mon pantalon. Ça ne changerais rien pour moi, il n'y aurait aucun soulagement. Comme je vous le disais, le titane est implacable et ne vous laisse aucune chance, on ne peut même pas le découper, c'est un métal démoniaque.

Ma langue passait et repassait sur son gland. Ma queue protestait et implorait pitié. Ce n'était pas le premier mois qu'elle passait dans cette cage. On avait décidé que je ne devrais pas demander quand … Ni même … Si …
Son gland entrais dans ma bouche, ma langue en révélait la douceur et quand elle glissait dessus, David gémissait et me caressait les cheveux. Il me laissait faire, il se contentait de poser une main à l'arrière de ma tête pour m'encourager. Je sentais cette pression douce qui ne m'imposait aucune contrainte.

Il se mettait à l'aise, il avait ouvert complètement son pantalon, il écartait les jambes, sa queue entrait de plus en plus loin dans ma bouche. Je sentais cette légère pression sur l'arrière de ma tête, sa main suivait mes mouvements sans pour autant les contraindre.

Je penchais ma tête de plus en plus et sa queue s'enfonçait dans ma bouche puis dans ma gorge. Elle était de belle taille mais je ne suis plus vraiment un débutant. Quand je relevais la tête complètement j'en profitais pour la lui caresser sur toute sa longueur avec la main et lui me caressait la nuque.

Puis je plongeais de nouveau. Ma queue protestait de plus belle. La pression dans ma cage était au plus haut. Je ne m'en inquiétais pas, j'ai l'habitude maintenant. C'est pas vraiment agréable mais ce n'est pas douloureux, c'est seulement terriblement frustrant. Le plaisir, on me le donne ou on ne me donne pas.

L'orgasme par la prostate, c'est tout un art. Je n'ai jamais réussi à me le procurer par moi même. Je ne dis pas que quand je suis seul, je ne tente pas. Enfin je ne tente plus, c'est agréable mais ça ne marche pas. J'ai bien des copains qui arrivent à se faire jouir tout seuls avec un gode dans le cul ou un doigt mais moi je n'y arrive pas. Donc si personne ne décide de m'enculer, je fais ceinture.

C'est aussi à ça que je pensais quand sa queue s'enfonçait dans ma gorge. Je savais que lui il allait jouir, qu'il allait éjaculer dans ma bouche ou sur mon visage. Je savais que je ressentirais son corps frémir et se contracter et que moi … Pour moi ce serait le seul plaisir, un plaisir frustrant, un plaisir qui laisse un grand vide, un grand manque. Comme si on avait loupé quelque chose d'important au dernier moment.

Je le caressait plus fort, je glissait sa queue dans ma bouche, dans ma gorge sur toute sa longueur. Il respirait plus fort et je le sentais bouger, il prenait ses aises, le plaisir commençait déjà à se manifester. Je me calmais pour le faire durer. Pour le moment ce devait être terriblement agréable pour lui, juste agréable.

Il poussait quelques plaintes de plaisir, et ne parvenait plus à retenir quelques coups de bassin. Son gland entrait alors avec force dans ma gorge, je me synchronisais, je sais qu'il adore ça, et au moment ou il relevait le bassin je plongeais et écrasait mon visage contre lui.

Je l'ai entendu gémir. Là moi je disais plus rien, c'est pas facile à faire mais j'aime bien faire plaisir. Surtout que quand c'est bien fait, ça fait un bien fou … Enfin c'est ce qu'on me dit …
Je sentais quelques tremblements sur tout son corps, c'était le seul avertissement, puis il jutais abondamment dans ma bouche, à plusieurs reprises. J'avalais tous sans faire de manières et relevais la tête avec un grand sourire forcé.

Il me répondait par un sourire qui n'était pas forcé par contre, il était ravi.

– Mais qu'est ce qui se passe derrière ? Nous demandait Liam.
– Tout va bien il vient de me sucer comme jamais, il fait ça super bien !
– A moi, c'est mon tour ! A moi ! A moi ! A moi ! S'exclamait Kevin. J'arrête la voiture dès que possible et je passe le volant, qui veut conduire ?

Liam se portait volontaire, on s'arrêtait et il ne nous fallait que quelques instants pour opérer, l'un prenait la place qui prenait la place du second … David prenait la place passager avant, Liam prenait la place de Kevin qui venait s'installer à côté de moi.

On n'était pas encore repartis que déjà Kevin avait ouvert et baissé son pantalon. Il bandait ferme le gars. Qu'est ce que vous voulez que je fasse dans un cas pareil. Je me ré-emboîtais la mâchoire et j'y retournais.

Il me regardait faire avec un large sourire béat et satisfait. Il croisait ses mains derrière sa tête et se mettait à l'aise. Je remettais ça, ma queue continuait toujours à protester. Son allure désinvolte m’excitait encore plus et j'avais une furieuse envie de le faire hurler de plaisir. En quelques minutes il gémissait, il aimait. Les caresses de ma langue sur son gland le faisait frémir, je le sentais trembler, il ne me touchait pas, ne m'incitait même pas à faire quoi que ce soit. Il me faisait confiance et me laissait faire tranquillement, il me regardait et quand je relevais la tête il faisait un large sourire.

Les caresses sont arrivées plus tard, un peu plus tard. Sa main me caressait les cheveux et lui se tortillait de plaisir. Ma langue est alors devenue plus intrusive et je tentais de glisser le bout de ma langue dans le petit trou qu'il a au bout de sa queue. Il avait presque envie de me repousser, je l'ai senti, il se retenait. Et je sentais tous ses muscles se contracter, j'ai eu l'impression qu'il allait juter. Je me suis calmé pour faire durer.

Ma queue gémissait en silence, suppliait presque dans la douleur. C'était très inconfortable. C'est dans ce genre de situation qu'on a l'impression que la cage est devenu plus petite. Surtout que là ça commençait à faire un moment que je m'excitais avec mes camarades de voyage, un moment qu'on roulait, un moment que je leur donnais tour à tour un plaisir qui m'était interdit.

Sa queue glissait dans ma gorge, contre ma langue, entre mes lèvres et plus la frustration montait, plus l'envie du plaisir montait dans mon corps, plus le besoin de jouir me frustrait c'est ça justement qui m'était interdit … Puis sa queue glissait avec légèreté sur ma langue, et c'est à peu près à ce moment qu'il jutait à son tour dans ma gorge.

Il m'a brusquement attrapé le tête, jusque là il ne me touchait même pas mai, sans prévenir il appuyait sur ma tête et c'est directement au fond de ma gorge qu'il larguait deux ou trois ou quatre giclées de sa semence. Je ne sais même pas. Je n'avais plus d'autre choix que d'avaler.

Il me lâchait.

– Je trouve qu'on a bien fait de lui verrouiller la queue à celui-là, il n'a jamais sucé aussi bien ! Déclarait-il en refermant son pantalon.

Les deux autres rigolaient à l'avant.

– Il aime ça en plus ! Déclarait David.
– Quoi donc, sucer ? Demandait Kevin.
– Non, c'est la cage qu'il aime ! Ce qu'il aime c'est avoir la queue en cage ! Déclarait Liam en garant la voiture, et concluait … '' A mon tour ! ''.

David prenait le volant, Lian s'installait à côté de moi, Kevin passait à l'avant.

Je commençais à fatiguer. Là je vous jure, j'aime bien sucer de belles queue mais là ça commençait à faire beaucoup. Surtout que la frustration était au plus fort et plus encore serait trop. Je savais que je n'avais rien à attendre, aucun plaisir ne me serait donné. Aucun de mes trois camarades ne me défonceraient le cul pendant ce trajet mais tous se seraient vidé les couilles à notre arrivée.

Il faisait comme son copain qui était passé juste avant, il baissait son pantalon dès le début. Je n'attendais pas, j'étais chaud et je prenais sa queue dans la bouche sans attendre. Ma queue me torturait, mon cœur battait fort, l'émotion et le désir me submergeaient. L'émotion, j'y avait droit, le désir aussi mais je n'avait droit qu'à cela. Le plaisir seul m'était interdit.

Si on pouvait mourir de frustration ce jour là je serais mort au moins trois fois.

La queue de Liam était un peu moins large que celles des deux autre, c'était le plus petit des trois, il n'était pas ridicule pour autant. Sa queue glissait rapidement jusqu'à ma gorge avec facilité. J'étais bien chaud. Je prenais une longue inspiration et j'y retournais. '' Haut les cœurs, ils sont trois et c'est le troisième, après je me repose !'' . Voilà ce que je me disais dans ma tête.

Mais dans ma cage c'était toujours l'horreur, ma queue continuait à crier famine, elle se plaignait et implorait une petite branlette, juste une toute petite branlette. La dernière fois que j'avais éjaculé c'était pendant un rêve humide, un de ces rêve ou tout est possible, j'avais éprouvé un grand plaisir mais je ne parvenais pas à me rappeler si c'était pendant le rêve ou au moment ou j'ai éjaculé. Mais ce rêve, je l'avais eu quelques semaines plus tôt, un mois au moins, deux peut être.

Je relevais la tête et sa queue sortait de ma bouche, un coup de langue, et je rabaissais la tête, sa queue venait alors s'écraser dans ma gorge. Elle était moins large et glissait facilement mais était aussi longue et allait aussi loin dans ma gorge, elle glissait plus facilement. En fait pour moi c'était pas plus facile, c'est tout.

Il finissait par juter dans ma gorge, j'étais épuisé et je ne cacherais pas qu'à ce moment je manquais un peu de conviction. J'avalais, je faisais quelques derniers efforts pour le satisfaire, pour qu'il soit content, c'est lui qui détenait ma clé, enfin c'était eux trois qui détenaient ma clé …
A suivre

N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast