La pâtisserie. Fiction

- Par l'auteur HDS Poiluhds -
Récit érotique écrit par Poiluhds [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : La pâtisserie. Fiction Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-09-2014 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(10.0 / 10)

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La pâtisserie. Fiction
J’attends mon tour dans la file d’attente de la pâtisserie du quartier. C’est un samedi matin, il y a beaucoup de monde. Quand je suis entré dans le magasin j’ai tout de suite remarqué la silhouette de ton corps. Tu es devant moi, je te vois de dos. En un éclair j’ai senti le rythme de mon cœur accélérer. Tu portes un jean qui révèle la forme parfaite de tes fesses, visiblement fermes et rebondies. Courbure parfaite. Ce que l’on appelle un beau petit cul. En haut un polo bleu marine, carrure normale, ni trop ni pas assez. C’est ta nuque qui me fascine. Tu as les cheveux coupés très courts, bruns, et la peau de ton cou semble d’une douceur infinie. Etrange comme la douceur d’une peau se voit avant de se sentir. J’ai envie de toi. C’est magnétique. Je ne te connais pas, je ne t’ai pas encore vu et j’ai déjà envie de toi.

Ton tour arrive. Tu demandes une baguette et un éclair au chocolat. Puis tu te ravises et demandes à la vendeuse d’ajouter un deuxième éclair. Serais tu gourmand ? Ton polo moule ton torse et visiblement tu peux te permettre quelques écarts. Ta voix est douce et virile. J’aime. La voix d’un homme peut me faire bander. Je sens ma queue durcir.

Tu payes ta commande et te retournes vers moi pour sortir. La plupart des clients se tournent de l’autre côté pour ne pas se trouver face à face avec celui qui les suit. Toi tu me fais face et je découvre ton visage. Je suis pétrifié. Tu es d’une beauté virile irrésistible. Barbe de la veille, des yeux verts magnifiques. Je crois voir sur tes lèvres un léger sourire. Une impression fugace. Je commande à mon tour ce dont j’ai besoin, je paye rapidement et sors de la boutique aussi vite que possible. Je te cherche. J’ai envie de te suivre. Je suis attiré comme par un aimant et je ne réfléchis par vraiment.

J’ai regardé la direction que tu as prise en sortant et je prends comme toi à droite vers les rues commerçantes du quartier. Tu es arrêté devant la vitrine du boucher quelques mètres plus loin. Je te vois de profil, tes traits sont fins et il émane de toi la tranquille assurance des hommes qui attirent le regard des autres. Je ne sais pas ce qu’il y a d’intéressant dans cette vitrine et au moment où je m’approche, tu reprends ton chemin. Je te suis. Tu tournes gauche dans la rue du caviste. Serais-tu amateur de bonnes bouteilles ? Mon intuition est juste, tu entres dans la boutique et entames la conversation avec le caviste que tu sembles bien connaître. J’hésite. Dois-je entrer dans le magasin pour tenter de croiser ton regard ? Suis-je en train de m’imaginer une rencontre impossible dont le désir pour autant guide mes pas et me plonge dans un état presque second.

Je n’arrive pas à me décider. Tu ressors du magasin avec quelques bouteilles dans un sac et une de blanc que tu tiens à la main. Tu viens vers moi.

- Ca te dit ?

Il me regarde en souriant en montrant la bouteille qu’il vient d’acheter.

- Elle est fraiche…

Je ne sais plus où me mettre. Je n’ai pas imaginé une seconde qu’il avait remarqué que je le suivais.

- Oui… bien sûr.

Ma voix s’étrangle, saisie par l’émotion.

- C’est tout près… Je m’appelle Nicolas.
- Moi c’est Olivier.

Je te suis dans une petite rue à quelques minutes du centre commerçant. Je ne marche pas tout à fait à ta hauteur, je ne sais pas quoi te dire et je me laisse guider par les circonstances.

Tu ouvres la porte de ton immeuble, me laisse passer, puis nous passons la porte du hall. Tu te diriges vers l’ascenseur.

- C’est au troisième. Son sourire n’a pas changé. Tu sembles t’amuser de la situation.

La grille de l’ascenseur se referme doucement. Tu appuies sur le bouton du troisième et avant que l’ascenseur se soit mis en marche, tu attires ma bouche vers la tienne et je sens ta langue caresser la mienne. Baiser divin, éternité le temps de monter trois étages. A l’arrêt de l’ascenseur, tu retrouves ton sourire.

Nous entrons chez toi, tu refermes la porte et nous sommes face à face. Dois-je prendre une quelconque initiative ? Dois-je te laisser faire ?

Tu poses la bouteille et tes paquets sur le sol et viens vers moi. Tu déboutonnes les boutons de ma chemise, un à un, lentement, et glisses ta main droite sous le tissu pour me caresser le torse. Ce contact me transperce de plaisir. Tes mains sont magiques. Je me débarrasse de mes baskets en attendant la suite.

Tu retires complètement ma chemise et la laisses tomber sur le sol. Mes mains s’emparent du bord de ton polo que je tire vers le haut. Tu lèves les bras pour me faciliter la tâche. Je découvre ton torse divinement velu. Tes poils sont taillés court, tes pectoraux et ton ventre sont couverts de cette pilosité brune qui me rend totalement fou.

Nous ne nous parlons pas. Nous laissons nos corps communier. Tu te penches pour sucer un de mes tétons. Il durcit sous la caresse qui est presque une morsure.

Tes mains sont en train de défaire la boucle de ma ceinture et les boutons de mon jean. Tu t’agenouilles devant moi pour m’aider à le retirer. Je bande à fond et mon caleçon ne cache rien de mon érection. Tu le fais glisser sur le sol et je me retrouve nu, le sexe à l’horizontale devant toi, objet de désir dont je n’aurais même pas osé rêver.

Je défais à mon tour ta ceinture et les deux premiers boutons de ton jean. Je glisse ma main dans ton caleçon, entre le tissu et ton pubis. Poils drus, taillés eux aussi, moins court que la toison de ton torse. Ma main est collée à ta queue. Je sens ton sexe palpiter. Je sens le tracé d’une veine, la douceur de la peau de cette queue que je ne vois pas encore mais apprends à connaître à travers la peau de mes doigts, je sens ton gland gonflé, dur, très dur. Je masse légèrement cette queue délicieuse encore prisonnière mais qui m’a déjà révélé tout le désir qui la parcourt.

Nos yeux se fixent, je lis dans ton regard un bonheur simple et une douceur infinie. Nos lèvres se rapprochent et se soudent. Sans interrompre notre baiser tu enlèves ton jean et ton caleçon. Nous voici tous les deux nus, nos queues dressées, impatientes et nos lèvres mélangées. Je m’empare de ta queue que je serre dans ma main pour en sentir toutes les vibrations, puis je découvre ton gland pour caresser le frein de ton prépuce. Une goutte émerge de ton sexe et je continue à caresser la face inférieure de ton gland avec ce lubrifiant naturel. Tu gémis. Ta respiration entre dans ma bouche tout au long de ce baiser que nous voulons interminable. Je te respire. Tu me respires.

Je sens ta main saisir ma queue et tu t’amuses à me rendre la même caresse. Au bout de plusieurs minutes de cet accord parfait, où nous alternons masturbation mutuelle de nos queues en feu, morsures douces dans le cou et sur les tétons, coups de langues partout où nos langues peuvent se poser, tu me proposes d’aller dans ta chambre. Je te suis. Je me revois dans la pâtisserie en train d’imaginer ton corps sous tes vêtements et maintenant je peux admirer tes fesses légèrement poilues, ta chute de rein digne de la statuaire antique, tes cuisses musclées juste comme il faut et cette nuque que j’ai furieusement envie d’embrasser. C’est ce que je décide de faire, je te rattrape, je me colle à toi, je t’enserre dans mes bras et t’embrasse dans le cou. Ma queue est contre tes fesses, mes mains sur ton torse, tu t’abandonnes sous mes baisers.

Longue étreinte.

- Viens…

Nous entrons dans ta chambre. Tu te retournes vers moi et t’agenouilles. Ta bouche est déjà sur ma queue, tu la fais pénétrer de toute sa longueur en toi et mon gland s’écrase au fond de ta gorge. C’est d’une puissance incroyable, ma queue est avalée dans un univers chaud, doux, humide, agité de mouvements dont elle ressent chaque variation et chaque subtilité. Je t’appartiens. C’est moi qui te pénètre avec mon sexe mais c’est toi qui t’empares de moi. Je suis sans défense tant mon corps est traversé de spasmes de plaisir. A ce rythme-là je pourrais jouir rapidement même si je mets toujours beaucoup de temps à parvenir au plaisir ultime. Ta bouche aurait aujourd’hui la faculté de considérablement accélérer la course des événements.

Je retire mon sexe de ta bouche et nous nous allongeons sur le lit en position de 69. Je vais enfin gouter à ta queue sublime. Je l’ai caressée, je la connais déjà en détail, mais ma langue et ma gorge sont impatientes de ce contact animal. Je retrousse ton prépuce pour découvrir ton gland, brillant, rose foncé. Le méat est assez ouvert sous l’effet de mes caresses. Je suis fasciné par ton sexe. De ce trou jaillira tout à l’heure du plus profond de toi ta semence. Elle jaillira pour moi. Pour nous, pour que nous mêlions nos spermes à la même seconde.

Je commence par te lécher en faisant tourner ma langue autour de la couronne de ton gland. Pulsation de sang dans ta queue. Tu aimes. Longtemps, pour t’amener presque à une forme de crispation, déchiré entre l’envie que cette torture douce de ton sexe s’arrête et le désir qu’elle continue sans cesse. Puis ma bouche s’enfonce tout au long de ton sexe. Tu es en moi jusqu’à la garde. Mes lèvres se régalent du contact rugueux des poils de ton pubis. Je sens ma queue accueillie dans ta bouche de la même façon. Une part de moi est en toi et une part de toi est en moi.
Je sens que le sperme monte par à-coups des profondeurs de ton corps vers ton sexe. Mon cerveau imagine le circuit suivi par ce liquide de vie. Ma langue est le déclencheur, ton esprit réagit et ordonne à ton corps de se préparer à cracher sa jouissance.


Ensemble nous nous amenons aux portes du plaisir mais nous voulons plus. Nous nous comprenons sans nous parler.

Nous nous redressons et face à face, agenouillés sur le lit, nous nous regardons dans les yeux. Je plonge au fond de ta conscience et t’invite dans mon esprit. Ton gland est contre le mien, méat contre méat, nous sommes connectés par la partie le plus infime et la plus sensible de nos deux êtres.


Tu souris. Tes yeux rient.

- Prends-moi… prends-moi doucement.

Tout est dit. Il se donne. Je ne vais pas le prendre. Ce n’est pas le mot qui convient. Il va se donner à moi et moi je vais diffuser mon plaisir à tout son corps et le partager avec lui à partir de ma queue insérée dans ses entrailles.

Il se penche vers la table de chevet et en retire des capotes et du gel. Puis il se met à quatre pattes, la tête sur son oreiller, tournée vers le coté et les fesses offertes à mon regard, à mon désir, à ma concupiscence, à ma queue.

Je suis fasciné par un cul d’homme poilu. Son corps dit la force, une virilité douce, affichée, assumée. Mais ainsi offert il est vulnérable, il me donne ce qu’il a de plus intime. Le spectacle est d’une beauté saisissante mais l’intention, le lien qu’il suppose entre nous dans les minutes qui vont suivre, sont peut-être encore plus émouvants.

Anus divin, rose pale, habillé de poils noirs frisés. Un sexe d’homme. Un second sexe. Le deuxième lieu de ton plaisir. Je fais couler un peu de gel entre tes fesses et l’étale sur ton orifice. Mon index le caresse doucement puis entre en toi. C’est d’une douceur totale. Serré mais sans résistance excessive. Tu gémis de plaisir.

Mon doigt va et vient dans ton anus bientôt rejoint par un second. D’une rotation du poignet je fais tourner mes doigts en toi pour préparer ce seuil si intime à l’entrée de mon sexe.

J’ouvre l’étui du préservatif et le contact de la matière ajoute encore au feu qui anime ma queue. Mon sexe est enserré dans ce fourreau que j’enduis généreusement de gel. Tu as demandé de la douceur. Je veux que tu sentes ma présence en toi comme moi je vais te sentir autour de ma queue, sans que tu aies mal, sans bestialité.

Tu sens que je suis prêt ; tu écartes encore un peu plus tes fesses poilues qui me rendent fou et je pose mon gland sur ton anus.

- Viens…

… Me dis-tu d’une voix douce et sur un ton naturel, complice, sans aucune de ces intonations vulgaires qui émaillent parfois les rencontres furtives.

J’appuie légèrement et tu t’ouvres. Le passage est serré mais ma queue te pénètre sans effort, s’enfonce centimètre par centimètre en toi, suivant un chemin qui semble avoir été tracé pour nous. Ton corps tout entier semble s’accoupler avec mon sexe.

Les poils de mon pubis caressent maintenant tes fesses à mesure que j’entame un lent va et vient. D’abord imperceptible, puis un mouvement plus net, puis ma queue presque entièrement retirée qui replonge en toi.

- C’est bon…

Ta voix m’électrise. Tu as dit cela avec tellement de simplicité et de naturel que je suis ému.

Au bout de quelques minutes tu décides de jouer avec ma queue. Je suis toujours en toi mais c’est toi qui imprimes le mouvement. Tu avances et recules sur mon sexe désormais immobile. Je regarde, fasciné et troublé, ma queue qui disparaît en toi. Tu sens que ma jouissance se rapproche. Je n’ai pas besoin de te le dire, je sais que ton corps tout entier ressent mes émotions comme je ressens les tiennes. J’ai envie que nous jouissions ensemble, je veux une osmose parfaite entre nous. Je saisis ta queue, furieusement dure. Tu t’es masturbé pendant que je te prenais et je vais maintenant t’amener au plaisir. Ma main enserre ton sexe, je sens ton sperme sur le point de jaillir, un spasme, une onde de choc. Il ne faudra pas beaucoup insister.

Je reprends le contrôle, de ma main gauche posée sur ta hanche je t’enfile et t’éloigne de ma queue pendant que ta queue va et vient dans ma main droite au rythme de mes pénétrations. Ainsi c’est la même force qui nous unit, le même rythme qui nous emporte. Nous avons créé une ligne de force, ta queue dans ma main est dans le prolongement de la mienne au fond de toi. Il n’y aura qu’un trait de plaisir. Les dernières secondes s’annoncent, tremblement de tout le corps, communicatif, tu frémis, je sens ton anus se contracter pour emprisonner encore un peu plus ma queue. Une vague me déchire le cerveau, un flot d’énergie bondit à travers mon sexe vers le plus profond de toi, le préservatif gonfle sous la pression du plaisir et de mon sperme pendant qu’à la même seconde jaillissent de ton pénis dressé cinq longs jets de sa semence.

Je me retire. Tu te tournes vers moi et retires la capote de mon sexe. Puis tu t’allonges et vides mon sperme sur ton torse trempé de ta propre semence. Je m’effondre à coté de toi. Sur les poils bruns de ton ventre je vois distinctement les traces laissées par la projection de ton sperme désormais mêlé au mien.

- Viens sur moi…

Je comprends. Je m’allonge sur toi. Nos spermes vont se fondre dans nos toisons et nous allons être plus proches l’un de l’autre que nous ne l’avons encore jamais été.

Cette étreinte délicieuse dure de longues minutes. Puis je me retourne sur le dos près de toi. Mon ventre porte la trace de nos semences échangées. Je caresse mon ventre et mes pectoraux d’un doigt pour sentir l’humidité de nos semences.

Tu penches la tête vers moi et je fais de même. C’est un contact intime et émouvant. Nos corps se détendent après cette expérience inoubliable mais nous avons besoin d’un contact. Nos têtes se touchent, comme si nos pensées allaient ainsi mieux se rencontrer.


- Merci Olivier.
- Merci à toi.

Silence. Silences. Nos cerveaux travaillent à graver ce moment rare.

Au bout d’un long moment tu te lèves et me fais signe de rester dans ton lit. Tu reviens avec une bouteille de vin et deux verres. Tu remplis les deux verres et m’en tends un.

- Du rouge… le blanc n’est plus assez frais !

Tu retrouves ton sourire étrange et malicieux. Je te regarde nu devant moi. Ta queue est maintenant au repos, superbe, longue, parcourue par cette veine que j’avais découverte avec ma main, tes couilles pendantes, lourdes encore de désirs à assouvir.

Nous trinquons. Le vin est divin, mais même si ça n’avait pas été le cas je l’aurais aimé.

Tu retournes dans la cuisine et reviens avec le paquet qui contient les éclairs au chocolat que tu as achetés à la pâtisserie. Tu mords dans l’extrémité du premier puis tu t’approches de moi, te mets à genou sur le bord du lit près de moi, saisit ma queue et l’enfonce dans la crème au chocolat. Tu te sers du gâteau comme d’un sexe à pénétrer.

Je suis fou de plaisir, c’est un peu froid mais visqueux et doux et cette sensation me rappelle celle de ton anus. La crème fait un bruit qui me déchire le cerveau. Bruit de succion, de frottements humides. Tu me masturbes doucement, je bande à nouveau à en avoir mal, puis au bout d’un moment tu t’interromps et manges l’éclair en me regardant d’un regard nouveau, plein d’étincelles et de plaisir. Ensuite tu te penches sur mon sexe et lèches jusqu’à la dernière trace de crème au chocolat. Je suis comblé. Je crois que je t’aime déjà.

Tu te relèves et me tends le deuxième éclair.

- C’est pour ça que j’en ai pris deux…

Dis tu en souriant avec une fausse innocence. Je le coupe en deux et t’en tends la moitié. Tu la manges avec gourmandise, je fais de même. J’aurais pu faire glisser ta queue dans ma part et jouer à ton petit jeu qui rend fou. Mais tu m’as donné faim et je me dis que la pâtisserie est pleine d’autres gâteaux qui nous permettront de nous amuser.

Nous parlons de tout et de rien puis ce que nous venons de vivre a raison de toi et tu t’endors contre moi. Tu es sur le ventre, une jambe repliée qui laisse entrevoir tes couilles et ta queue entre tes cuisses couvertes de poils bruns sublimes.

Je te caresse en partant de la cheville, je remonte la jambe, l’intérieur de ta cuisse, et mes doigts effleurent ton sexe enfin mou écrasé contre le matelas, puis ton anus. Tu es encore humide du gel qui a permis la douceur de ma pénétration. Tu dors, tu respires doucement.

Je me lève, me rhabille rapidement, trouve un crayon dans l’entrée et j’écris mon numéro sur l’emballage des gâteaux que je trouve dans la cuisine. Je le laisse bien en évidence. J’espère que nous nous reverrons. Je le sais au fond de moi. Un dernier regard sur ton corps endormi, désirable, au-delà du beau, bandant. Je bande. Je m’esquive…

A suivre…

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Texte coquin : La pâtisserie. Fiction
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