La piscine de Carole
Récit érotique écrit par Castajl1 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-03-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La piscine de Carole
La scène se déroule fin août 2021, ma femme Kathy est partie passer un week-end entre nanas comme elle aime le faire régulièrement, elles sont parties à quatre à St Brévin les Pins et moi resté seul à Poitiers avec ma chatte de 5 mois et mes poissons rouges ! Il fait très chaud et malgré cette chaleur accablante je décide de tondre ma pelouse de 300m2, histoire de m’occuper et elle en avait aussi besoin.
Notre maison est contigüe à celle de Carole une voisine divorcée depuis un an, le petit jardin bien arboré de son pavillon est parfaitement clos sur 2 côtés et séparé de chez nous par une haie de thuyas. Carole est une adepte confirmée du nudisme, elle ne s’en est jamais cachée vis à vis de nous, son ex était lui aussi un mec qui vivait le plus souvent en tenue d’Adam dès que les premiers de rayons de soleil apparaissaient. Kathy et moi nous étions habitués à leur rite naturiste et apprécions même la situation.
La clôture végétale qui nous séparait nous permettait très souvent de profiter de leur nudité, ma femme à bien regretté d’apprendre leur séparation car elle n’était pas la dernière à mater les attributs d’Arnaud son ex.
Par ailleurs, Carole qui travaille à la préfecture a conservé ses addictions aux soirées libertines, c’est d’ailleurs ce qui avait fini par casser leur couple, Arnaud étant parti avec une jolie portugaise de 38 ans qui l’avait séduite au Club local… une chaude de la fesse.
Carole profitait durant cet après-midi ensoleillé de sa piscine, depuis 15h elle s’étendait sur son transat pour parfaire son bronzage intégral, un quart d’heure face « A » et un quart d’heure face « B », puis un plongeon prolongé pour se rafraîchir le corps… le tout à poil évidemment, ce qui ne m’avait pas manqué de mater en détails… elle le savait, et cela devait certainement l’exciter intérieurement.
Ayant entendu le bruit de ma tondeuse électrique, elle s’approche des thuyas, elle avait enroulé négligemment une serviette de bain bleue qui laissait à découvert sa belle paire de seins bronzés :
« Salut Vincent, ta femme est bien partie en week-end avec ses copines ? » Me demande-t-elle.
« Oui, c’est bien ça, elles sont à St Brevin jusqu’à dimanche soir, je suis seul et je m’occupe comme tu vois » lui répondis-je.
« Ça te dit de venir piquer une tête après ta tonte ? » me questionna-t-elle avec un léger sourire.
Je lui réponds :
« Pourquoi pas, je n’en ai pas pour longtemps, et après une bonne douche j’arrive ! »
« Ça marche, je te prépare un rafraichissement ! »
Elle est vraiment attentionnée ma voisine…
A peine trois-quarts d’heure plus tard, j’étais sous la douche à me savonner délicatement pensant que j’allais retrouver Carole à la piscine, Kathy ne pouvait imaginer combien cette occasion me réjouissait, il faut dire que nos relations de couple n’étaient pas au top depuis quelques mois et j’avais tendance à moins l’honorer.
Carole qui devait avoir cinq ans de plus que Kathy était enjouée, sociable, avenante et ce qui ne gâchait rien, était plutôt bien foutue, un corps plus sexy que Kathy avec une paire de fesses bien rebondies.
Depuis sa séparation avec Arnaud, je la sentais un peu aguicheuse envers moi.
Fraichement sorti de ma douche, j’enfile mon short de bain, mes tongs mon sac de plage et me voici au pied de sa piscine. Elle nageait à nouveau, nue bien sûr en nageant la brasse, j’avais l’impression qu’elle exagérait l’écartement de ses cuisses, je discernais parmi les ondulations de l’eau limpide son pubis très légèrement poilu ou lorsqu’elle était sur le ventre, ses fesses s’écarter avec une amplitude démesurée.
Elle me voit avec mon short de bain et me dit tout en surnageant :
« Tu ne vas pas te baigner avec ça ? » me lança-elle.
« Pourquoi ? je ne vais pas me baigner à poil moi, il ne te plait pas mon short ? » lui répondis-je un peu surpris et déçu.
Elle me répond ironiquement :
« Un short de bain pour un mec ça dissimule tout, c’est fade, vos formes de mâle disparaissent dans le tissu trop large ! »
J’étais un peu abasourdit, elle voulait deviner mes attributs… En fait elle est amatrice de moule-bite !
« Tu n’as rien d’autre ? Un vrai maillot bien moulant, un slip de bain de mec quoi ! »
Je m’empresse de lui répondre :
« Si bien sûr » tout en fouillant dans mon sac de plage, je sors mon boxer de bain noir, elle me fait signe que non, je sors un slip de bain bleu à la Patrick Chirac dans « Camping » elle me refait signe que ça ne lui convient toujours pas, puis je sors mon mini slip de bain rouge vif qui s’apparente plus à un string et là elle exulte en me disant :
« Oui, celui-là mets-le il est top ! »
Je m’exécute en me tournant vers la maison, elle profite subrepticement de mon petit cul blanc à l’air libre quelques secondes le temps du changement maillot et me voici le cul à peine couvert par le lycra rouge moule-bite par excellence, la naissance de ma raie visible et mon service trois pièces engoncé dans ce qui reste comme tissu devant, évidemment l’effet n’est pas le même ! Mes attributs sont bien mis en valeur.
« Ah, ben voilà ! Ça c’est un mec, un vrai ! Je suis une adepte de la poutre apparente moi ! » me dit-elle désinvolte en sortant de l’eau par l’échelle d’alu, sa chatte dégoulinant l’eau…
« Mon ex n’en portait jamais car il considérait que sa bite n’était pas assez conséquente, ce qui était vrai, mais les mecs en short c’est du gâchis ! »
Elle s’approche de moi, se permet de bien m’ajuster le string de bain, me tape sur les fesses et frôlant volontairement mon paquet du dos de sa main me dit :
« Quelle chance elle a Kathy !... Allez, on se baque maintenant… » et elle plonge, je la suis et nous nageons côte à côte jusqu'à l’autre extrémité du bassin. Nos ébats dans l’eau ont duré plus d’une heure, on s’amusait comme des gamins, puis à un moment elle entreprit de me passer entre les jambes, j’en fit autant, puis passant derrière moi, elle me tira le slip vers le bas, le prit et le balança en l’air près du transat.
« Ben qu’est-ce que tu fais Carole ? Ça ne va pas ? » m’exclamai-je.
Elle rigolait aux éclats :
« Ben quoi, t’as la quéquette à l’air, et après ??? Ce n’est pas méchant, on est que tous les deux, Kathy ne va pas débouler ici en te faisant les gros yeux… Profites-en ! »
Moi résolu :
« Après tout t’as raison ! »
Je dois reconnaître que nager à poil, sans contrainte d’un maillot qui t’enveloppe et te serre l’entrejambe et les roubignolles, donne un effet relaxant, de totale liberté !
Carole et moi nous sommes bien éclatés, l’eau était chaude, le soleil baissait, Carole n’arrêtait pas de me frôler, de me caresser les fesses en me glissant le doigt dans la raie… puis elle finit par me rouler une pelle en me coinçant dans un angle du bassin.
M’empoignant les couilles avec sa main gauche,
« J’ai envie de toi Vincent, je te veux, prends-moi !!! » me supplia-t-elle.
Moi :
« Quoi, mais tu es folle Carole, ton plan c’était donc ça ! Mais je ne peux pas, je suis marié, et si Kathy… »
Elle me lance :
« Arrête ton cinéma, je sais que Kathy et toi ce n’est pas top en ce moment, profite… je suis à toi Vincent…j’ai envie d’une bonne bite, tu comprends ça ? Ça fait plus de deux mois que je ne me suis pas fait sauter ! »
Après cet aveu spontané, elle me roule à nouveau une pelle en me palpant la bite et les couilles à nouveau dans cette eau chaude, je n’en pouvais plus, on va faire une connerie, je le sens… elle est en manque de bite et moi en manque de chatte !
Moi catégorique tout en regrettant ma décision :
« Non Carole ! c’est clair ? Si on baise aujourd’hui c’est naze, en tant que voisins ce sera intenable après ! »
Elle sort du bassin soudainement vexée et frustrée, je la suis et elle me dit sèchement :
« Au fait, j’ai invité Didier et Caroline pour un apéro-piscine ce soir à 19h, je vais mettre un bas et toi remets ton slip, il faut être présentable, on reprendra notre discussion avec eux, si tu vois ce que je veux dire ! »
Houlàààà, sachant que je connaissais parfaitement Didier et Caro des amis de Carole et son ex qu’ils côtoyaient régulièrement en Club libertin, un couple un peu plus âgé que Carole mais tous deux très chauds du cul et surtout totalement libéré de ce côté-là.
Nous préparons le barbecue, les amuse-gueules, les bouteilles d’apéro au bord de la piscine sans nous adresser la parole, je l’avais déçue c’était évident.
19h05 la sonnette du portail retentit, Carole va accueillir ses invités, elle, les seins à l’air en string panthère et tongs et moi avec mon moule-bite taille très basse…trop basse, qu’elle m’avait exigé de garder !
Tous deux sont très élégants en tenues estivales tout de blanc vêtu, elle, pantacourt blanc, lui pantalon blanc et chacun avec une tunique mi-longue de chez « Blanc du Nil », leur bronzage ressortait brillamment avec leur teint hâlé miel foncé, des adeptes du soleil c’était évident.
« Ah mais vous êtes déjà en tenue ! » me dit Caroline en m’embrassant et reluquant mon paquet bien enveloppé et mes poils de pubis châtain débordant le maillot… elle ajoute avec un air un peu coquin :
« Et vous êtes très beaux et très désirables tous les deux »
Carole rajoutant :
« Oui, nous nous sommes baignés une partie de l’après-midi, Vincent est célibataire pour quelques jours, alors je lui ai offert l’hospitalité ! »
Didier poursuit en remettant un bouquet de fleurs coupées à Carole :
« Si vous le voulez bien j’ai hâte moi aussi de me mettre comme vous… en tenue-piscine… »
Ils rentrent dans la maison et connaissant les lieux, ils reviennent cinq minutes plus tard en tenue de baigneurs aguicheurs, Caroline en top-less seins bien pointus et string jaune vif, le lycra ne laissant la place qu’à une belle fleur orangée pour couvrir son entrejambe épilé, les fesses quant à elles étaient séparées dune mince cordelette perdue dans sa raie bien bronzée.
Didier se présentant fièrement en string bleu roi avec lui aussi la cordelette bien ancrée dans la raie du cul.
Carole s’extasie :
« Hummm, vous êtes craquants et croquants tous les deux, c’est comme ça que j’apprécie les bonnes choses, pour vivre heureux… Vivons à poil, n’est-ce pas Vincent ? »
Moi imperturbable :
« Oui, bien sûr ! »
Chacun prend place autour de la table dressée, on trinque, on rit, on mange, on boit et évidemment la conversation arrive sur les activités coquines du couple invité.
« Alors vous avez fait quelques bonnes rencontres ces-temps-ci au Club ? » demande Carole.
Didier s’empresse de répondre :
« Oui, un couple de l’Isère très débridé, une femme superbe et très avenante, nous avons très vite sympathisés… si vous voyez ce que je veux dire… »
Moi :
« Oui j’imagine ! »
Caroline me reprenant :
« Non ce n’est pas sûr que vous imaginiez si bien que cela, figurez-vous que Didier s’est fait enculer deux fois par ce quinquagénaire inconnu et il a apprécié ce cochon ! »
Didier la reprenant :
« Moi je ne te reproche pas de t’être fait sodomiser par lui non plus, tu l’as bien cherché ! »
Puis il continue :
« Et sa femme est une sacrée chaudasse, elle aimait la bite !... Oh pardon elle aime le sexe je veux dire ! »
Moi en rigolant :
« Oui j’avais bien compris ! »
Cette conversation scabreuse dura une bonne demi-heure où l’on connaissait tout en détail de leur nouvelle rencontre libertine du clito de madame au pénis hors norme de son mari, puis on discute de leurs projets à venir.
Pour conclure Carole leur lance :
« Ben moi s’est décidé, je retournerai au Club tous les samedis soir à partir de la semaine prochaine, me faire draguer et sauter me manque terriblement, on s’y croisera certainement quelquefois ! »
« Et maintenant, sur ces bonnes paroles… Tout le monde à l’eau », crie Carole,
La nuit était tombée, il faisait encore 26°C à 23h, nous plongeons tous dans l’eau encore chaude des rayons de la journée, nous batifolons, jouons au ballon, puis à aller chercher un gros gode rose au fond du bassin en le ramenant par les dents… l’ambiance se chauffait petit à petit, les corps se frôlaient, les mains se baladaient sous l’eau de fesses en fesses…
Puis quelque temps après, Carole nous informe en riant comme une gosse :
« Il est minuit Messieurs Dames, vous êtes priés de raccrocher vos strings au vestiaire… Exécution ! »
Et là, sans se faire prier tout le monde s’exécute, on voit les strings atterrir sur le rebord du bassin ou simplement flotter à la surface de l’eau, nous étions tous à poil et heureux de l’être, le vrai bain de minuit sous les étoiles poitevines du mois d’Août !
Là commença un ballet de nage sous l’eau ou les femmes s’amusaient de voir nos bites servir de gouvernail avec les jeux de projecteurs immergés, chacun jouant avec les fesses de l’autre…
La règle du jeu avait évolué, toujours avec le gros gode rose, mais cette fois-ci, celui qui le récupérait devait le planter dans le cul de l’un d’entre nous, à ce jeu c’est indéniablement Carole qui était la meilleure cible, elle l’a souvent eu entre les cuisses, mais Didier n’était pas le dernier à se le prendre aussi dans le trou.
Tous bien excités par ce jeu érotico-aquatique, Caroline vient me palper les couilles puis pris en main celles de Didier en même temps, peut-être en guise de comparaison ?
« J’adore palper les bourses des mecs… J’ai l’impression d’être riche ! » dit-elle en éclatant de rire.
Les caresses se multipliaient entre nous sans distinction de sexes et de partenaire… Le Club libertin s’était installé dans la piscine, la température de l’eau aidant, Didier et moi bandions bien dur et les femmes n’hésitaient pas à prendre nos queues bien en main en simulant un début de branlette, elles étaient comme des ados qui découvraient que les mecs avaient une quéquette qui pouvait grandir !
Après une demi-heure, je découvre Caroline et Carole dans un angle du bassin en train de se rouler une pelle et par transparence et grâce à l’éclairage du bassin je vois qu’elles masturbaient chacune la chatte de l’autre.
Didier me dit amusé :
« Regarde ces cochonnes, elles s’amusent bien les petites… »
Puis on continue nos longueurs, on voit les deux femmes sortir de l’eau puis sur une serviette, s’allongent et continuent leurs ébats avec plus de dynamisme, Carole avait calé sa tête entre les cuisses de Caroline qui écartaient les jambes à fond et Carole lui bouffait la chatte et lui titillait le clito avec sa langue chercheuse.
Le tableau était beau et érotique !
Didier me dit :
« On sort et on va les rejoindre ? »
Ce que l’on fit immédiatement en empruntant l’échelle d’alu, nos bites bien à l’horizontale, je précédais Didier, il en profite pour me foutre la main aux fesses en me disant :
« T’as vraiment un beau petit cul Vincent, j’ai envie de t’enculer ! »
Moi surpris et un brin offusqué :
« Quoi ? les caresses Ok je ne dis pas non, mais me faire enculer, il n’en n’est pas question, tu as le cul des nanas pour ça, elles ne demandent qu’à se faire baiser ce soir, il suffit de les voir elles sont chaudes comme des baraques à frites… Vas-y lâche toi ! »
Il me prend alors par la taille, me serre en me plaquant sa bite raide dans ma raie et me redit :
« Non c’est ton petit cul blanc que je veux baiser, j’adore de plus en plus enculer les mecs et toi ce soir je te promets je vais te foutre mon membre dans ta chatte d’hétéro complexé ! »
Le voyant dans cet état d’excitation, et Caroline qui avait tout entendu me dit :
« Laisse-toi faire Vincent, il baise comme un Dieu et maintenant les mecs c’est vraiment son truc, il est devenu pédé comme un phoque, tu vas voir une fois que tu y auras goûté, tu en redemanderas, ton hétérosexualité va en prendre un coup ! » Et elle se marre.
Devant cette constatation sans équivoque, je vais récupérer deux serviettes de bain à disposition sur un transat, en les prenant je découvre un paquet de capotes, un grand tube de gel, deux godes de belles tailles, de l’huile de massage aux huiles essentielles… décidément Carole est une femme prévoyante et organisée !
Je reviens avec tout cet attirail du parfait baiseur résolu, j’étale les serviettes près des nanas en pleins ébats lesbiens et mets entre nous le gel, les capotes les godes… je stressais quand même, j’avais déjà pris une fois une pine dans mon cul mais c’est très vieux et je n’étais pas à jeun.
« Allonge-toi sur le ventre Vincent, je vais te masser » me dit Didier.
Soumis et inquiet, je m’exécute, il commence à me couvrir le corps d’huile, m’écarte les fesses, va se perdre dans ma raie qu’il masse bien et profondément, puis je sens son majeur se frayer un passage dans l’anus, il l’enfonce, remet de l’huile, j’en ai plein la raie, l’excès d’huile me coule sur les couilles puis finit sur la serviette, je sens un second doigt dans mon cul, il m’écarte encore un peu plus les cuisses et là je sens qu’il me tartine l‘anus huileux de gel frais, puis je sens un gros engin tenter une entrée, je me tourne, et Didier me dit :
« N’ai pas peur, c’est le gode, c’est pour te préparer à ma queue » et il l’enfonce, lentement, en le tournant, puis plus profond, je couine de douleur et malgré moi je me repositionne pour accueillir ce membre artificiel, puis je finis à quatre pattes en position de vraie salope, là Didier joue avec le gode totalement rentré dans mon trou, il me lime le cul par des vas et vient bien synchronisés, cette pénétration dure bien cinq à six minutes, j’avais mal mais j’étais prêt et résolu à recevoir sa queue…
Excité, je lui lance :
« Mets-la moi Didier, encule-moi, vas-y je suis à toi…tu m’as trop chauffé… »
Didier me retire le gode gluant, enfile rapidement une capote qu’il avait préparé, il la déroule méthodiquement et la fait rouler jusqu’à la naissance de ces couilles, puis l’ajuste bien, le réservoir trône fièrement sur son gland, il étale une bonne dose de gel et se paluche en le répartissant sur toute la longueur de sa tige dressée,
se met en position, sa queue encore plus raide attendait mon trou avec impatience, il n’eu pas à forcer beaucoup, mon anus était fortement dilaté par le gode, son membre est rentré sans problème, je senti rapidement son gland venir me taper les entrailles et ses couilles me taper les fesses, il se mit à me limer assez violemment puis se mit à rugir tel un animal en rut, les nanas avaient cessé leurs ébats et se masturbaient la chatte en nous regardant, Caroline caressait même les fesses de Didier histoire de l’encourager.
J’en prenais plein le cul, mon anus me brûlait, sous les coups de boutoir répétés de Didier je râlais de plaisir, j’écartais mes cuisses comme une pute pour lui faciliter l’enculade, je jouissais du cul… Carole avait raison, c’était vraiment bon !
Didier tout en me pénétrant me lance :
« Tu es une vraie petite salope Vincent, tiens prends-çà dans ton cul, pour un mec qui ne tenait pas à se faire baiser, chapeau… tu assures ! »
Je n’en pouvais plus, je le suppliais d’arrêter ses vas et vient incessants, mon cul était en feu, j’avais le trou tellement mouillé qu’il pissait de mouille, Didier se retira précipitamment, il vira immédiatement sa capote qui atterrit dans le bassin et se mit à éjaculer par grands jets de foutre dans ma raie, sur mes reins, sur la serviette de bain et c’est Carole qui s’approcha de sa bite tendue pour l’engouffrer dans sa bouche, elle finissait d’avaler les derniers jets de sperme chaud dans sa bouche gourmande….Hummmm
Je le remerciais :
« Oh putain ! Que c’était bon Didier, lorsque j’avais 18 ans je m’étais fait enculer une fois par un inconnu de vingt-deux ans au cours d’une soirée trop arrosée entre potes, mais ça n ‘était pas si intense, tu baises comme un vrai pédé actif… T’es trop bon… Merci, merci… j’ai adoré de me faire prendre comme une chienne… un fantasme qui hante parfois mes nuits solitaires !!! »
Didier satisfait de sa prise :
« De rien, tu m’as épaté, je ne pensais pas réussir à te baiser tellement tu étais déterminé et puis maintenant je me dis que tu étais vraiment en manque de bite mon petit salaud ! Merci à toi aussi ! »
Carole et Caroline s’étaient totalement éclatées à voir ses deux mecs s’enculer à la lueur des étoiles, elles manifestèrent rapidement leur envie d’en prendre elles aussi plein leur cul de chiennes.
Je n’avais pas encore craché mon nectar, et je dis à Carole :
« Tu voulais que je te baise cet après-midi petite salope… alors amène ta chatte que je te la mette bien profond, je suis chaud et ma purée va t’aller droit dedans et sans capote ! »
Carole ne se fit pas prier, elle n’attendait que cela depuis plusieurs heures, elle se coucha sur le dos sur la serviette maculée du sperme de mon enculeur, elle se mit en position jambes bien écartées, je lui bouffe le minou avec délectation, elle jouis à l’avance, la chatte grande ouverte je lui enfourne mon membre en feu et mon gland rouge écarlate, après à peine dix allers-retours virils je n’ai pu retenir mon éjaculation qui vint lui tapisser les entrailles, s’en étais trop, mon cul, sa chatte wouaaaah quel programme, je me retire un peu trop tard en continuant de larguer par jets de moins en moins forts mon sperme qui s’étalait sur son clito, ses cuisses, et finalement le dernier jet lui est arrivé entre les doigts de pieds, j’étais épuisé !
Elle me dit :
« Eh ben voilà… tu as quand même finit par me la mettre ! C’était un peu rapide mais super bon mon Vincent, Kathy peut être rassurée, tu t’occupes bien de ta voisine mon grand ! »
Moi épuisé et agacé de ces propos :
« Arrêtes Carole, je t’en prie, laisse Kathy hors de ces choses-là… je ne devrais pas être fier de cette incartade ! »
Elle ne me parla plus de Kathy, elle avait un peu déconné en me disant ça.
Caroline qui était restée silencieuse en nous matant se manifesta auprès de son mec :
« Dis-donc mon grand, tu t’es bien payé le cul de Vincent, et moi dans tout ça… dois-je aller faire la vaisselle maintenant ? »
Didier interrogatif :
« Tu veux ta dose ma chérie ? J’ai rechargé les batteries, mets-toi en position ! »
Elle se met en levrette sur la serviette de bain et lui dit :
« Je veux que tu me sodomise mon chéri, tu as enculé Vincent je veux que tu m’en fasses autant ! »
Et Didier ne se fit pas prier, toujours la queue en l’air, il se branle quelques instants avant d’introduire son membre sans gel ni capote dans le trou très dilaté de sa compagne, elle gémissait comme une chienne qui se fait prendre sur le trottoir, lui, enfonçait son braquemard sans retenue dans l’anus de Caroline, c’était vraiment un enculeur de première, à peine dix minutes après l’avoir introduite et bien limée, Didier se retira et largua sa purée sur la serviette de bain par petites saccades, Carole finit de le branler en se léchant les mains…
Pour une soirée apéro-piscine la soirée avait été réussie, chaude et bandante !
On range un peu notre bordel, strings de bain, gel, capotes, draps de bain, godes…. Tout le monde passe sous la douche extérieure près du pool-housse puis se sèche avec les serviettes propres.
Didier et Caro enfilent leur tuniques blanches « Blanc du Nil » mais décident unanimement de ne pas remettre leur sous-vêt et pantalons, c’est ainsi que nous les raccompagnons Carole et moi tous deux à poil et main dans la main jusqu’au portail puis Didier et Caro nous faisant aurevoir en faisant tournoyer au-dessus d’eux leurs strings de bain de la main droite, leurs pantalons blancs pliés dans la main gauche, ils sortirent dans la rue noire sous les lampadaires à peine éclairés, les culs à l’air sous leur tunique, montèrent dans leur voiture et partirent en nous saluant en mettant les warnings…. Ils avaient une vingtaine de kilomètres à faire, nous espérions juste pour eux qu’ils n’aient pas à subir un contrôle routier par la gendarmerie avant d’arriver !
Carole me dit souriante et satisfaite :
« Eh bien voilà une belle soirée, j’espère que tu ne l’as pas regrettée ? Moi non, au contraire, j’ai enfin fait connaissance approfondie avec mon voisin ! »
Puis elle m’embrassa longuement au milieu de la cour, ses mains fébriles caressaient mon corps nu, j’en fit autant en lui caressant les fesses, puis elle me prit les couilles en main et commença à me masturber la tige qui commençait tout juste à reprendre ses esprits, en me disant :
« Allez, maintenant au lit, nous avons encore des choses à faire tous les deux ! »
Elle était d’un appétit sexuel impressionnant…
Nous rentrâmes dans la maison sans fermer la porte-fenêtre tellement il faisait encore bon, direction la chambre de Carole, elle s’étala de ton son long sur le dos en écartant ses cuisses bronzées, la chatte béante et me dit :
« Vas-y profite encore de ta voisine, baises-moi encore une fois ! »
Après m’être vidé en elle, nous nous endormions enlacés, usés, fatigués, épuisés…. Le lendemain je devais reprendre le chemin du boulot… la journée fut très longue et difficile…
J’ai eu la chatte de Carole en tête du matin au soir… et ma bite avait laissé des traces de mouille intenses dans mon boxer !
Kathy sera de retour dans la nuit de dimanche à lundi après son week-end entre nanas, peut-être de leur côté ce seront-elles égarées dans le clito d’une copine ?
Notre maison est contigüe à celle de Carole une voisine divorcée depuis un an, le petit jardin bien arboré de son pavillon est parfaitement clos sur 2 côtés et séparé de chez nous par une haie de thuyas. Carole est une adepte confirmée du nudisme, elle ne s’en est jamais cachée vis à vis de nous, son ex était lui aussi un mec qui vivait le plus souvent en tenue d’Adam dès que les premiers de rayons de soleil apparaissaient. Kathy et moi nous étions habitués à leur rite naturiste et apprécions même la situation.
La clôture végétale qui nous séparait nous permettait très souvent de profiter de leur nudité, ma femme à bien regretté d’apprendre leur séparation car elle n’était pas la dernière à mater les attributs d’Arnaud son ex.
Par ailleurs, Carole qui travaille à la préfecture a conservé ses addictions aux soirées libertines, c’est d’ailleurs ce qui avait fini par casser leur couple, Arnaud étant parti avec une jolie portugaise de 38 ans qui l’avait séduite au Club local… une chaude de la fesse.
Carole profitait durant cet après-midi ensoleillé de sa piscine, depuis 15h elle s’étendait sur son transat pour parfaire son bronzage intégral, un quart d’heure face « A » et un quart d’heure face « B », puis un plongeon prolongé pour se rafraîchir le corps… le tout à poil évidemment, ce qui ne m’avait pas manqué de mater en détails… elle le savait, et cela devait certainement l’exciter intérieurement.
Ayant entendu le bruit de ma tondeuse électrique, elle s’approche des thuyas, elle avait enroulé négligemment une serviette de bain bleue qui laissait à découvert sa belle paire de seins bronzés :
« Salut Vincent, ta femme est bien partie en week-end avec ses copines ? » Me demande-t-elle.
« Oui, c’est bien ça, elles sont à St Brevin jusqu’à dimanche soir, je suis seul et je m’occupe comme tu vois » lui répondis-je.
« Ça te dit de venir piquer une tête après ta tonte ? » me questionna-t-elle avec un léger sourire.
Je lui réponds :
« Pourquoi pas, je n’en ai pas pour longtemps, et après une bonne douche j’arrive ! »
« Ça marche, je te prépare un rafraichissement ! »
Elle est vraiment attentionnée ma voisine…
A peine trois-quarts d’heure plus tard, j’étais sous la douche à me savonner délicatement pensant que j’allais retrouver Carole à la piscine, Kathy ne pouvait imaginer combien cette occasion me réjouissait, il faut dire que nos relations de couple n’étaient pas au top depuis quelques mois et j’avais tendance à moins l’honorer.
Carole qui devait avoir cinq ans de plus que Kathy était enjouée, sociable, avenante et ce qui ne gâchait rien, était plutôt bien foutue, un corps plus sexy que Kathy avec une paire de fesses bien rebondies.
Depuis sa séparation avec Arnaud, je la sentais un peu aguicheuse envers moi.
Fraichement sorti de ma douche, j’enfile mon short de bain, mes tongs mon sac de plage et me voici au pied de sa piscine. Elle nageait à nouveau, nue bien sûr en nageant la brasse, j’avais l’impression qu’elle exagérait l’écartement de ses cuisses, je discernais parmi les ondulations de l’eau limpide son pubis très légèrement poilu ou lorsqu’elle était sur le ventre, ses fesses s’écarter avec une amplitude démesurée.
Elle me voit avec mon short de bain et me dit tout en surnageant :
« Tu ne vas pas te baigner avec ça ? » me lança-elle.
« Pourquoi ? je ne vais pas me baigner à poil moi, il ne te plait pas mon short ? » lui répondis-je un peu surpris et déçu.
Elle me répond ironiquement :
« Un short de bain pour un mec ça dissimule tout, c’est fade, vos formes de mâle disparaissent dans le tissu trop large ! »
J’étais un peu abasourdit, elle voulait deviner mes attributs… En fait elle est amatrice de moule-bite !
« Tu n’as rien d’autre ? Un vrai maillot bien moulant, un slip de bain de mec quoi ! »
Je m’empresse de lui répondre :
« Si bien sûr » tout en fouillant dans mon sac de plage, je sors mon boxer de bain noir, elle me fait signe que non, je sors un slip de bain bleu à la Patrick Chirac dans « Camping » elle me refait signe que ça ne lui convient toujours pas, puis je sors mon mini slip de bain rouge vif qui s’apparente plus à un string et là elle exulte en me disant :
« Oui, celui-là mets-le il est top ! »
Je m’exécute en me tournant vers la maison, elle profite subrepticement de mon petit cul blanc à l’air libre quelques secondes le temps du changement maillot et me voici le cul à peine couvert par le lycra rouge moule-bite par excellence, la naissance de ma raie visible et mon service trois pièces engoncé dans ce qui reste comme tissu devant, évidemment l’effet n’est pas le même ! Mes attributs sont bien mis en valeur.
« Ah, ben voilà ! Ça c’est un mec, un vrai ! Je suis une adepte de la poutre apparente moi ! » me dit-elle désinvolte en sortant de l’eau par l’échelle d’alu, sa chatte dégoulinant l’eau…
« Mon ex n’en portait jamais car il considérait que sa bite n’était pas assez conséquente, ce qui était vrai, mais les mecs en short c’est du gâchis ! »
Elle s’approche de moi, se permet de bien m’ajuster le string de bain, me tape sur les fesses et frôlant volontairement mon paquet du dos de sa main me dit :
« Quelle chance elle a Kathy !... Allez, on se baque maintenant… » et elle plonge, je la suis et nous nageons côte à côte jusqu'à l’autre extrémité du bassin. Nos ébats dans l’eau ont duré plus d’une heure, on s’amusait comme des gamins, puis à un moment elle entreprit de me passer entre les jambes, j’en fit autant, puis passant derrière moi, elle me tira le slip vers le bas, le prit et le balança en l’air près du transat.
« Ben qu’est-ce que tu fais Carole ? Ça ne va pas ? » m’exclamai-je.
Elle rigolait aux éclats :
« Ben quoi, t’as la quéquette à l’air, et après ??? Ce n’est pas méchant, on est que tous les deux, Kathy ne va pas débouler ici en te faisant les gros yeux… Profites-en ! »
Moi résolu :
« Après tout t’as raison ! »
Je dois reconnaître que nager à poil, sans contrainte d’un maillot qui t’enveloppe et te serre l’entrejambe et les roubignolles, donne un effet relaxant, de totale liberté !
Carole et moi nous sommes bien éclatés, l’eau était chaude, le soleil baissait, Carole n’arrêtait pas de me frôler, de me caresser les fesses en me glissant le doigt dans la raie… puis elle finit par me rouler une pelle en me coinçant dans un angle du bassin.
M’empoignant les couilles avec sa main gauche,
« J’ai envie de toi Vincent, je te veux, prends-moi !!! » me supplia-t-elle.
Moi :
« Quoi, mais tu es folle Carole, ton plan c’était donc ça ! Mais je ne peux pas, je suis marié, et si Kathy… »
Elle me lance :
« Arrête ton cinéma, je sais que Kathy et toi ce n’est pas top en ce moment, profite… je suis à toi Vincent…j’ai envie d’une bonne bite, tu comprends ça ? Ça fait plus de deux mois que je ne me suis pas fait sauter ! »
Après cet aveu spontané, elle me roule à nouveau une pelle en me palpant la bite et les couilles à nouveau dans cette eau chaude, je n’en pouvais plus, on va faire une connerie, je le sens… elle est en manque de bite et moi en manque de chatte !
Moi catégorique tout en regrettant ma décision :
« Non Carole ! c’est clair ? Si on baise aujourd’hui c’est naze, en tant que voisins ce sera intenable après ! »
Elle sort du bassin soudainement vexée et frustrée, je la suis et elle me dit sèchement :
« Au fait, j’ai invité Didier et Caroline pour un apéro-piscine ce soir à 19h, je vais mettre un bas et toi remets ton slip, il faut être présentable, on reprendra notre discussion avec eux, si tu vois ce que je veux dire ! »
Houlàààà, sachant que je connaissais parfaitement Didier et Caro des amis de Carole et son ex qu’ils côtoyaient régulièrement en Club libertin, un couple un peu plus âgé que Carole mais tous deux très chauds du cul et surtout totalement libéré de ce côté-là.
Nous préparons le barbecue, les amuse-gueules, les bouteilles d’apéro au bord de la piscine sans nous adresser la parole, je l’avais déçue c’était évident.
19h05 la sonnette du portail retentit, Carole va accueillir ses invités, elle, les seins à l’air en string panthère et tongs et moi avec mon moule-bite taille très basse…trop basse, qu’elle m’avait exigé de garder !
Tous deux sont très élégants en tenues estivales tout de blanc vêtu, elle, pantacourt blanc, lui pantalon blanc et chacun avec une tunique mi-longue de chez « Blanc du Nil », leur bronzage ressortait brillamment avec leur teint hâlé miel foncé, des adeptes du soleil c’était évident.
« Ah mais vous êtes déjà en tenue ! » me dit Caroline en m’embrassant et reluquant mon paquet bien enveloppé et mes poils de pubis châtain débordant le maillot… elle ajoute avec un air un peu coquin :
« Et vous êtes très beaux et très désirables tous les deux »
Carole rajoutant :
« Oui, nous nous sommes baignés une partie de l’après-midi, Vincent est célibataire pour quelques jours, alors je lui ai offert l’hospitalité ! »
Didier poursuit en remettant un bouquet de fleurs coupées à Carole :
« Si vous le voulez bien j’ai hâte moi aussi de me mettre comme vous… en tenue-piscine… »
Ils rentrent dans la maison et connaissant les lieux, ils reviennent cinq minutes plus tard en tenue de baigneurs aguicheurs, Caroline en top-less seins bien pointus et string jaune vif, le lycra ne laissant la place qu’à une belle fleur orangée pour couvrir son entrejambe épilé, les fesses quant à elles étaient séparées dune mince cordelette perdue dans sa raie bien bronzée.
Didier se présentant fièrement en string bleu roi avec lui aussi la cordelette bien ancrée dans la raie du cul.
Carole s’extasie :
« Hummm, vous êtes craquants et croquants tous les deux, c’est comme ça que j’apprécie les bonnes choses, pour vivre heureux… Vivons à poil, n’est-ce pas Vincent ? »
Moi imperturbable :
« Oui, bien sûr ! »
Chacun prend place autour de la table dressée, on trinque, on rit, on mange, on boit et évidemment la conversation arrive sur les activités coquines du couple invité.
« Alors vous avez fait quelques bonnes rencontres ces-temps-ci au Club ? » demande Carole.
Didier s’empresse de répondre :
« Oui, un couple de l’Isère très débridé, une femme superbe et très avenante, nous avons très vite sympathisés… si vous voyez ce que je veux dire… »
Moi :
« Oui j’imagine ! »
Caroline me reprenant :
« Non ce n’est pas sûr que vous imaginiez si bien que cela, figurez-vous que Didier s’est fait enculer deux fois par ce quinquagénaire inconnu et il a apprécié ce cochon ! »
Didier la reprenant :
« Moi je ne te reproche pas de t’être fait sodomiser par lui non plus, tu l’as bien cherché ! »
Puis il continue :
« Et sa femme est une sacrée chaudasse, elle aimait la bite !... Oh pardon elle aime le sexe je veux dire ! »
Moi en rigolant :
« Oui j’avais bien compris ! »
Cette conversation scabreuse dura une bonne demi-heure où l’on connaissait tout en détail de leur nouvelle rencontre libertine du clito de madame au pénis hors norme de son mari, puis on discute de leurs projets à venir.
Pour conclure Carole leur lance :
« Ben moi s’est décidé, je retournerai au Club tous les samedis soir à partir de la semaine prochaine, me faire draguer et sauter me manque terriblement, on s’y croisera certainement quelquefois ! »
« Et maintenant, sur ces bonnes paroles… Tout le monde à l’eau », crie Carole,
La nuit était tombée, il faisait encore 26°C à 23h, nous plongeons tous dans l’eau encore chaude des rayons de la journée, nous batifolons, jouons au ballon, puis à aller chercher un gros gode rose au fond du bassin en le ramenant par les dents… l’ambiance se chauffait petit à petit, les corps se frôlaient, les mains se baladaient sous l’eau de fesses en fesses…
Puis quelque temps après, Carole nous informe en riant comme une gosse :
« Il est minuit Messieurs Dames, vous êtes priés de raccrocher vos strings au vestiaire… Exécution ! »
Et là, sans se faire prier tout le monde s’exécute, on voit les strings atterrir sur le rebord du bassin ou simplement flotter à la surface de l’eau, nous étions tous à poil et heureux de l’être, le vrai bain de minuit sous les étoiles poitevines du mois d’Août !
Là commença un ballet de nage sous l’eau ou les femmes s’amusaient de voir nos bites servir de gouvernail avec les jeux de projecteurs immergés, chacun jouant avec les fesses de l’autre…
La règle du jeu avait évolué, toujours avec le gros gode rose, mais cette fois-ci, celui qui le récupérait devait le planter dans le cul de l’un d’entre nous, à ce jeu c’est indéniablement Carole qui était la meilleure cible, elle l’a souvent eu entre les cuisses, mais Didier n’était pas le dernier à se le prendre aussi dans le trou.
Tous bien excités par ce jeu érotico-aquatique, Caroline vient me palper les couilles puis pris en main celles de Didier en même temps, peut-être en guise de comparaison ?
« J’adore palper les bourses des mecs… J’ai l’impression d’être riche ! » dit-elle en éclatant de rire.
Les caresses se multipliaient entre nous sans distinction de sexes et de partenaire… Le Club libertin s’était installé dans la piscine, la température de l’eau aidant, Didier et moi bandions bien dur et les femmes n’hésitaient pas à prendre nos queues bien en main en simulant un début de branlette, elles étaient comme des ados qui découvraient que les mecs avaient une quéquette qui pouvait grandir !
Après une demi-heure, je découvre Caroline et Carole dans un angle du bassin en train de se rouler une pelle et par transparence et grâce à l’éclairage du bassin je vois qu’elles masturbaient chacune la chatte de l’autre.
Didier me dit amusé :
« Regarde ces cochonnes, elles s’amusent bien les petites… »
Puis on continue nos longueurs, on voit les deux femmes sortir de l’eau puis sur une serviette, s’allongent et continuent leurs ébats avec plus de dynamisme, Carole avait calé sa tête entre les cuisses de Caroline qui écartaient les jambes à fond et Carole lui bouffait la chatte et lui titillait le clito avec sa langue chercheuse.
Le tableau était beau et érotique !
Didier me dit :
« On sort et on va les rejoindre ? »
Ce que l’on fit immédiatement en empruntant l’échelle d’alu, nos bites bien à l’horizontale, je précédais Didier, il en profite pour me foutre la main aux fesses en me disant :
« T’as vraiment un beau petit cul Vincent, j’ai envie de t’enculer ! »
Moi surpris et un brin offusqué :
« Quoi ? les caresses Ok je ne dis pas non, mais me faire enculer, il n’en n’est pas question, tu as le cul des nanas pour ça, elles ne demandent qu’à se faire baiser ce soir, il suffit de les voir elles sont chaudes comme des baraques à frites… Vas-y lâche toi ! »
Il me prend alors par la taille, me serre en me plaquant sa bite raide dans ma raie et me redit :
« Non c’est ton petit cul blanc que je veux baiser, j’adore de plus en plus enculer les mecs et toi ce soir je te promets je vais te foutre mon membre dans ta chatte d’hétéro complexé ! »
Le voyant dans cet état d’excitation, et Caroline qui avait tout entendu me dit :
« Laisse-toi faire Vincent, il baise comme un Dieu et maintenant les mecs c’est vraiment son truc, il est devenu pédé comme un phoque, tu vas voir une fois que tu y auras goûté, tu en redemanderas, ton hétérosexualité va en prendre un coup ! » Et elle se marre.
Devant cette constatation sans équivoque, je vais récupérer deux serviettes de bain à disposition sur un transat, en les prenant je découvre un paquet de capotes, un grand tube de gel, deux godes de belles tailles, de l’huile de massage aux huiles essentielles… décidément Carole est une femme prévoyante et organisée !
Je reviens avec tout cet attirail du parfait baiseur résolu, j’étale les serviettes près des nanas en pleins ébats lesbiens et mets entre nous le gel, les capotes les godes… je stressais quand même, j’avais déjà pris une fois une pine dans mon cul mais c’est très vieux et je n’étais pas à jeun.
« Allonge-toi sur le ventre Vincent, je vais te masser » me dit Didier.
Soumis et inquiet, je m’exécute, il commence à me couvrir le corps d’huile, m’écarte les fesses, va se perdre dans ma raie qu’il masse bien et profondément, puis je sens son majeur se frayer un passage dans l’anus, il l’enfonce, remet de l’huile, j’en ai plein la raie, l’excès d’huile me coule sur les couilles puis finit sur la serviette, je sens un second doigt dans mon cul, il m’écarte encore un peu plus les cuisses et là je sens qu’il me tartine l‘anus huileux de gel frais, puis je sens un gros engin tenter une entrée, je me tourne, et Didier me dit :
« N’ai pas peur, c’est le gode, c’est pour te préparer à ma queue » et il l’enfonce, lentement, en le tournant, puis plus profond, je couine de douleur et malgré moi je me repositionne pour accueillir ce membre artificiel, puis je finis à quatre pattes en position de vraie salope, là Didier joue avec le gode totalement rentré dans mon trou, il me lime le cul par des vas et vient bien synchronisés, cette pénétration dure bien cinq à six minutes, j’avais mal mais j’étais prêt et résolu à recevoir sa queue…
Excité, je lui lance :
« Mets-la moi Didier, encule-moi, vas-y je suis à toi…tu m’as trop chauffé… »
Didier me retire le gode gluant, enfile rapidement une capote qu’il avait préparé, il la déroule méthodiquement et la fait rouler jusqu’à la naissance de ces couilles, puis l’ajuste bien, le réservoir trône fièrement sur son gland, il étale une bonne dose de gel et se paluche en le répartissant sur toute la longueur de sa tige dressée,
se met en position, sa queue encore plus raide attendait mon trou avec impatience, il n’eu pas à forcer beaucoup, mon anus était fortement dilaté par le gode, son membre est rentré sans problème, je senti rapidement son gland venir me taper les entrailles et ses couilles me taper les fesses, il se mit à me limer assez violemment puis se mit à rugir tel un animal en rut, les nanas avaient cessé leurs ébats et se masturbaient la chatte en nous regardant, Caroline caressait même les fesses de Didier histoire de l’encourager.
J’en prenais plein le cul, mon anus me brûlait, sous les coups de boutoir répétés de Didier je râlais de plaisir, j’écartais mes cuisses comme une pute pour lui faciliter l’enculade, je jouissais du cul… Carole avait raison, c’était vraiment bon !
Didier tout en me pénétrant me lance :
« Tu es une vraie petite salope Vincent, tiens prends-çà dans ton cul, pour un mec qui ne tenait pas à se faire baiser, chapeau… tu assures ! »
Je n’en pouvais plus, je le suppliais d’arrêter ses vas et vient incessants, mon cul était en feu, j’avais le trou tellement mouillé qu’il pissait de mouille, Didier se retira précipitamment, il vira immédiatement sa capote qui atterrit dans le bassin et se mit à éjaculer par grands jets de foutre dans ma raie, sur mes reins, sur la serviette de bain et c’est Carole qui s’approcha de sa bite tendue pour l’engouffrer dans sa bouche, elle finissait d’avaler les derniers jets de sperme chaud dans sa bouche gourmande….Hummmm
Je le remerciais :
« Oh putain ! Que c’était bon Didier, lorsque j’avais 18 ans je m’étais fait enculer une fois par un inconnu de vingt-deux ans au cours d’une soirée trop arrosée entre potes, mais ça n ‘était pas si intense, tu baises comme un vrai pédé actif… T’es trop bon… Merci, merci… j’ai adoré de me faire prendre comme une chienne… un fantasme qui hante parfois mes nuits solitaires !!! »
Didier satisfait de sa prise :
« De rien, tu m’as épaté, je ne pensais pas réussir à te baiser tellement tu étais déterminé et puis maintenant je me dis que tu étais vraiment en manque de bite mon petit salaud ! Merci à toi aussi ! »
Carole et Caroline s’étaient totalement éclatées à voir ses deux mecs s’enculer à la lueur des étoiles, elles manifestèrent rapidement leur envie d’en prendre elles aussi plein leur cul de chiennes.
Je n’avais pas encore craché mon nectar, et je dis à Carole :
« Tu voulais que je te baise cet après-midi petite salope… alors amène ta chatte que je te la mette bien profond, je suis chaud et ma purée va t’aller droit dedans et sans capote ! »
Carole ne se fit pas prier, elle n’attendait que cela depuis plusieurs heures, elle se coucha sur le dos sur la serviette maculée du sperme de mon enculeur, elle se mit en position jambes bien écartées, je lui bouffe le minou avec délectation, elle jouis à l’avance, la chatte grande ouverte je lui enfourne mon membre en feu et mon gland rouge écarlate, après à peine dix allers-retours virils je n’ai pu retenir mon éjaculation qui vint lui tapisser les entrailles, s’en étais trop, mon cul, sa chatte wouaaaah quel programme, je me retire un peu trop tard en continuant de larguer par jets de moins en moins forts mon sperme qui s’étalait sur son clito, ses cuisses, et finalement le dernier jet lui est arrivé entre les doigts de pieds, j’étais épuisé !
Elle me dit :
« Eh ben voilà… tu as quand même finit par me la mettre ! C’était un peu rapide mais super bon mon Vincent, Kathy peut être rassurée, tu t’occupes bien de ta voisine mon grand ! »
Moi épuisé et agacé de ces propos :
« Arrêtes Carole, je t’en prie, laisse Kathy hors de ces choses-là… je ne devrais pas être fier de cette incartade ! »
Elle ne me parla plus de Kathy, elle avait un peu déconné en me disant ça.
Caroline qui était restée silencieuse en nous matant se manifesta auprès de son mec :
« Dis-donc mon grand, tu t’es bien payé le cul de Vincent, et moi dans tout ça… dois-je aller faire la vaisselle maintenant ? »
Didier interrogatif :
« Tu veux ta dose ma chérie ? J’ai rechargé les batteries, mets-toi en position ! »
Elle se met en levrette sur la serviette de bain et lui dit :
« Je veux que tu me sodomise mon chéri, tu as enculé Vincent je veux que tu m’en fasses autant ! »
Et Didier ne se fit pas prier, toujours la queue en l’air, il se branle quelques instants avant d’introduire son membre sans gel ni capote dans le trou très dilaté de sa compagne, elle gémissait comme une chienne qui se fait prendre sur le trottoir, lui, enfonçait son braquemard sans retenue dans l’anus de Caroline, c’était vraiment un enculeur de première, à peine dix minutes après l’avoir introduite et bien limée, Didier se retira et largua sa purée sur la serviette de bain par petites saccades, Carole finit de le branler en se léchant les mains…
Pour une soirée apéro-piscine la soirée avait été réussie, chaude et bandante !
On range un peu notre bordel, strings de bain, gel, capotes, draps de bain, godes…. Tout le monde passe sous la douche extérieure près du pool-housse puis se sèche avec les serviettes propres.
Didier et Caro enfilent leur tuniques blanches « Blanc du Nil » mais décident unanimement de ne pas remettre leur sous-vêt et pantalons, c’est ainsi que nous les raccompagnons Carole et moi tous deux à poil et main dans la main jusqu’au portail puis Didier et Caro nous faisant aurevoir en faisant tournoyer au-dessus d’eux leurs strings de bain de la main droite, leurs pantalons blancs pliés dans la main gauche, ils sortirent dans la rue noire sous les lampadaires à peine éclairés, les culs à l’air sous leur tunique, montèrent dans leur voiture et partirent en nous saluant en mettant les warnings…. Ils avaient une vingtaine de kilomètres à faire, nous espérions juste pour eux qu’ils n’aient pas à subir un contrôle routier par la gendarmerie avant d’arriver !
Carole me dit souriante et satisfaite :
« Eh bien voilà une belle soirée, j’espère que tu ne l’as pas regrettée ? Moi non, au contraire, j’ai enfin fait connaissance approfondie avec mon voisin ! »
Puis elle m’embrassa longuement au milieu de la cour, ses mains fébriles caressaient mon corps nu, j’en fit autant en lui caressant les fesses, puis elle me prit les couilles en main et commença à me masturber la tige qui commençait tout juste à reprendre ses esprits, en me disant :
« Allez, maintenant au lit, nous avons encore des choses à faire tous les deux ! »
Elle était d’un appétit sexuel impressionnant…
Nous rentrâmes dans la maison sans fermer la porte-fenêtre tellement il faisait encore bon, direction la chambre de Carole, elle s’étala de ton son long sur le dos en écartant ses cuisses bronzées, la chatte béante et me dit :
« Vas-y profite encore de ta voisine, baises-moi encore une fois ! »
Après m’être vidé en elle, nous nous endormions enlacés, usés, fatigués, épuisés…. Le lendemain je devais reprendre le chemin du boulot… la journée fut très longue et difficile…
J’ai eu la chatte de Carole en tête du matin au soir… et ma bite avait laissé des traces de mouille intenses dans mon boxer !
Kathy sera de retour dans la nuit de dimanche à lundi après son week-end entre nanas, peut-être de leur côté ce seront-elles égarées dans le clito d’une copine ?
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Vincent a fini par profiter de toutes les occasions!