La revanche - histoire érotique

Ce soir, c’est ma revanche. Toute la semaine j’ai pensé à mon humiliation avec la brune de la fac. Jamais je n’avais eu de soucis à me dresser à la tâche. Mais cette soirée là je n’avais été capable de rien. Pourtant l’érection était venue à sa première caresse, mais lorsqu’elle se cambre, lorsque j’aperçois sa vulve moite et accueillante sous ces fesses parfaitement formées, la rigidité et la vigueur disparaissent en une vague de nervosité précoce que je n’avais pas ressenti depuis mes 15 ans, devant ma première amante. Mais ce soir c’est le nouvel an. Alors que la nouvelle année pointe du nez je me dirige vers elle. La soirée bat son plein. Nous nous sommes retrouvés entre dernières années. Quelques unes des premières années cependant ont réussi à rentrer dans le bar que nous avons privatisé. Elle en fait partie. Elle a les cheveux mi- longs, la coupe au carré. Ils tranchent contre la couleur crème de sa peau. Elle est petite en taille mais dispose de toute la confiance d’un chef d’état. Ses hanches basculent d’un mouvement léger au rythme de la musique. Je déteste la vulgarité en soirée. La semaine dernière, ayant échappé aux lourdeurs habituelles d’un diné de famille typique du réveillon, je suis allé en boîte dans le 7ème arrondissement, à bord d’une certaine péniche. La soirée est peuplée de mecs plus lourds les uns que les autres et de filles soit trop déchirées pour se maintenir droite, soit au sommet de cette même vulgarité qui me repousse.

Ce soir cependant, je n’ai d’yeux que pour cette brune subtile. Elle porte une robe noire moulante mais sobre, un legging à la limite de la transparence et des talons courts. Juste en la regardant je me sens durcir. Je m’approche. Elle moi voit mais détourne le regard. J’ai décidé d’aborder la même approche directe avec laquelle elle m’a désarmée lors de notre dernière rencontre. Voyant que je compte l’aborder elle ouvre la bouche pour parler, un regard froid aux yeux. Je ne lui laisse pas le temps de me repousser – je l’embrasse, glissant ma langue entre ses lèvres entrouvertes. Elle tente de me repousser mais je la plaque à moi, mes mains fermement placées sur ses fesses. Je sens la résistance s’effondrer alors que je me frotte à elle. Je lui fais sentir mon érection à travers le tissu de nos vêtements. Nous nous embrassons longuement. Enfin après de longs instants je la prends par la main et la guide vers la sortie. Elle me suit sans dire un mot. Une fois dehors nous trouvons un taxi et prenons le chemin du 11ème. Tout le long du trajet ma main est entre ses cuisses, taquinant le bord de ses lèvres chaudes, se promenant contre son clitoris que je sens à travers la dentelle de ses sous vêtements. Pendant ce temps sa main me grippe fermement le sexe à travers mon jean. Ce soir il est hors de question qu’il me fasse faillite.

La porte de chez moi s’ouvre, et à peine entrés nous nous déshabillons. A présent elle est nue contre moi, mon sexe laissant une fine trainée de liquide argenté contre son ventre tendis que je la serre à moi. Elle me guide vers le lit, me donne un dernier baiser, long et délicieux et se place sur le ventre. Comme la semaine dernière elle se cambre, plaquant ses beaux seins ronds contre le lit, me donnant une vue imprenable sur ce fessier magnifique, cette vulve trempée entre des cuisses chaudes. Elle est entièrement épilée. Ma verge est raide. Je réalise que je n’ai pas de préservatif mais il est trop tard. Je me place à genoux au-dessus de ses fesses. Je la contemple un instant, laissant courir mes doigts contre sa peau douce.

Enfin, je prend en main mon phallus et l’oriente entre ses cuisses, me glissant entre ses lèvres luisantes. Je sens mon gland chaud et enflé se frotter à son clitoris également gonflé. Je la fais frémir, me frottant à elle.

Je me plonge en elle, mon sexe la dilatant sans résistance. Je me colle à sa peau, enfonçant mon sexe jusqu’à la garde. Mes coups de reins sont d’abords lents, accompagnés par le bassin de mon amante qui le pousse contre moi. Mes boules claques contre sa peau, nos respirations se confondent. J’ai une main qui me soutient contre le lit tandis que l’autre lui caresse le dos, la plaquant du même coup contre les draps. Elle gémis. La peau de ses fesses est brulante contre mon bassin. Elle se contracte, mon sexe comprimé dans sa paroi.

Je suis au ciel, nos mouvements se faisant de plus en plus rapides. Je me retiens de jouir. De temps en temps je donne une petite claque contre ses fesses, en réponse auxquelles elle gémis ou rit. Puis je la retourne, me retirant, sentant la cyprine sur mon membre raide. Elle se met à califourchon sur moi, et je la serre contre mon torse. Doucement elle s’assied sur mon sexe, ses cuisses venant se calquer contre les miennes. Nous nous embrassons tandis qu’elle est au trot sur moi. Je suis au plus profond de son ventre. Parfois elle se laisse aller en arrière, accentuant le frottement de mon membre en elle. Elle jouit dans un long soupir. Elle a les yeux fermés, un sourire aux lèvres. Je sens que je ne vais pas tenir très longtemps. Elle le sent et se lève, ma verge quittant sa paroi chaude. Elle me fait allonger, puis se tourne et se place au-dessus de moi, me présentant son entrejambe trempé. Tandis que je commence à la lécher – taquinant et embrassant son clitoris, elle me prend en bouche. Rapidement je me sens venir. Je me laisse aller aux caresses exquis de sa langue. Je me déverse au fond de sa gorge. Elle en avale la totalité.

Elle se colle à moi, sa peau toujours moite de sueur. Nous nous sommes à peine reposés que je sens à nouveau sa main contre mes boules, remontant sur ma verge. Je raidis à nouveau.