La vengeance - histoire érotique

Nathalie trouve Amélia, sa copine, en train de pleurer à la cantine du boulot.

Nathalie est une très jolie blonde, avec des petits seins et des jambes interminables. Elle est très blanche de peau, un peu nordique.
Amélia est, elle, brune, mate, plus petite et avec des seins plus gros. Elles ont comme point commun d’être célibataires et d’avoir toutes les deux un fessier mortel !
Elles travaillent dans la même entreprise de construction mais pas ensemble. Amélia évolue avec les responsables de services, la direction, pour toutes sortes de tâches. Elle sert aussi de secrétaire remplaçante pour l’étage de la direction chaque fois que c’est nécessaire.
Nathalie travaille avec les ingénieurs pour tous les dossiers de réponses à appel d’offre.

Aussitôt, bien sûr, Nathalie vient demander à Amélia ce qui lui arrive.
- C’est le directeur, je crois qu’il a une liaison.
- Oui, mais bon, c’est le directeur, tout le monde sait un peu que c’est un chaud lapin
- Oui mais depuis un mois, je me le tape tous les jours, et même quelques fois plusieurs fois par jour !
- Quoi ??
- Lundi de la semaine dernière par exemple, lorsque je suis entrée dans son bureau, il m’a demandé de passer sous le bureau. Il a ouvert le tiroir de droite, celui des capotes et m’en a donné une.
Je me suis mise à genoux, j’ai défait sa braguette, le bouton du pantalon que j’ai fait glisser à ses chevilles,
- Ha …
- Oui puis j’ai commencé par une série de bisous sur son sexe à travers son caleçon puis j’ai mordillé gentiment, doucement son sexe.
- Ha …
- Oui, puis quand il son sexe a été assez grand pour que le gland sorte du caleçon, je me suis mis à la cajoler, le léchouiller, le prendre dans ma bouche.
Là, j’ai retiré le caleçon qui est allé rejoindre le pantalon à ses chevilles pour commencer à sucer tout le sexe, pas seulement le gland.
- Ha ben quand même
- Il adore que je le suce comme ça depuis le dessous du bureau. Une fois il a même passé un coup de fil, très bref, pendant la fellation.
Là, je mets la capote et je sorts de dessous la table. La semaine dernière, il m’a allongé sur le ventre sur son bureau, s’est positionné derrière mois, m’a relevé la jupe, écarté le string, sans même me l’enlever. Du tiroir à capotes, il a sorti du gel, s’en est mis sur le doigt et me l’a enfilé directement dans le cul
- Non ???
- Si le doigt de gel dans le cul.
- Ha ben ça alors !
- Et vlan, quelques secondes plus tard, j’avais son chibre entre les fesses et il a commencé à me ramoner.
- Comme ça, dans l’entreprise, alors que n’importe qui pouvait entrer ?
- Ben … normalement Bérengère s’assure que personne ne rentre quand je suis dans son bureau.
- Et donc il te plantait son engin dans le petit trou …
- Oui, et il prenait son temps, il le savourait.
Quand il a été près de jouir, il m’a vite fait revenir à genoux, a retiré la capote et m’a foutu son sexe dans la bouche,
- Pour jouir dedans ?
- Ben oui, des fois, il aime que j’avale mais la plupart du temps, il se vide dans mon ventre.
Dans les fesses ou dans la bouche, c’est plus rare. Surtout dans la bouche, c’est rare parce que quand il prend son pied, c’est fou ce qu’il éjacule. Jamais vu un mec éjaculer autant, surtout quand il le fait plusieurs fois. C’est pour ça les capotes. Il serait doué pour foutre n’importe quelle fille enceinte avec ce qu’il lâche.

Nathalie est sidérée d’apprendre que le patron se tape sa copine Amélia !

- Et donc c’est fréquent vos tête à tête ?
- Mardi de la semaine dernière, il m’a fait entrer puis aussitôt, sur le dos sur la petite table basse, et hop, les jambes relevées, le slip aux chevilles. Il s’est mis à genoux et m’a bouffé la foufoune aussitôt.
- Non ?
- Si, lentement, doucement il a commencé à jouer avec mon petit clito, le faisant tourner sous la langue puis toujours avec la langue il l’a fait aller à droite puis à gauche. J’étais trempée !
Il est descendu pour me bouffer le sexe, a enfoui sa langue en moi, me pénétrant comme avec un vrai sexe mais avec sa grande langue. J’étais aux anges.
Là, il s’est levé, est allé au tiroir à capotes, en a pris une, à tombé le pantalon et le slip et il est venu se coucher sur moi. Heureusement que la table est en bois massif et supporte notre poids à tous les deux sans grincer.
Il était super excité et n’a pas tenu longtemps, pan, c’est parti dans la capote. Il l’a rempli !

Nathalie demande encore ...
- Et tu dis que ça fait longtemps ?
- Oui, un mois qu’il me prend par tous les trous.
- Et ben alors, tu m’avais bien cachée ça. Et tu dis qu’il a une liaison, enfin une autre liaison ?
- Ben oui, depuis quelques jours, il n’arrête pas de m’envoyer chercher du papier, amener des plans au chef de chantier, récupérer un permis à la préfecture. Ce matin, il m’a envoyé au salon de l’habitat pour amener des affiches qui manquaient. Et surtout, il ne m’appelle plus du tout dans son bureau quand je suis là ! Il s’en tape une autre, c’est sûr ! Mais je me suis vengée !
- Ha bon, qu’est ce que t’as fait ?
- Ce matin, je suis arrivée tôt, je suis allé dans le tiroir à capotes et j’ai fais plein de trous dans chacune avec une aiguille !

Et là Nathalie s’est évanouie.