La virilité est une chaine dont je me libère
Récit érotique écrit par Minpass [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-08-2013 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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La virilité est une chaine dont je me libère
J’étais nu, je venais de me raser – le matin même. Une goute de sueur coula le long de mon dos, suivant la courbe de mes reins, se faufilant jusqu’à ma cuisse. Mon sexe était raide, mais de nouveau, ce même phénomène étrange se produisait – je ne bandais pas comme d’habitude, ma verge manquait quelques centimètres et paraissait bien plus petit qu’à la normale. Je suppose que c’est une forme d’intimidation, une manifestation d’une nervosité qui ne tarde jamais à se traduire en excitation.
Il m’observait, assit sur le canapé. Philipe avait dans la cinquantaine. Il était bien conservé, son corps portant les fruits d’une vie saine et sportive. Son sexe pendait entre ses cuisses, à demi mou. Il arborait un petit sourire.
Philipe était chauve, musclé et grand. Ses épaules couronnaient un torse ferme et costaud. Il me dépassait de quelques centimètres. Il était également imberbe du pubis, ce qui ne fit qu’accentuer l’envergure et la longueur de son membre impressionnant. Il n’y avait rien à dire, j’avais développé une attraction indéniable pour les gros engins.
Il faisait chaud dans la chambre. La fenêtre était ouverte mais la chaleur nocturnale du mois d’août filtrait sur un petit vent taquin. Philipe se tourna et prit son portable de sa poche de jean, posé sur le canapé. Il alluma la caméra et se mit à filmer.
« J’aime garder un souvenir de mes rencontres. » Il ne me demanda pas si cela me gênait, et je ne me sentais pas de me plaindre. Malgré son air relâché et son sourire facile, l’homme dégageait une autorité naturelle. J’étais déjà dominé. Je l’avais été depuis notre rencontre d’ailleurs. Elle avait été fortuite. Lors d’une soirée cet invité improbable s’était présenté à moi. Cela faisait plusieurs mois que je n’avais pas eu de rapport avec un autre homme et pour être franc j’avais commencé à éprouver une honte vis à vis de mes penchants pour le même sexe. J’en étais venu à me promettre de m’abstenir, d’arrêter totalement ses rencontres. Jusqu’à ce soir la. Un ami à moi avait organisé une fête chez lui – un appartement dans le marais, spacieux et pouvant accueillir un bon nombre de ses amis. Philipe était le seul qui avait plus de trente ans mais la différence d’âge ne semblait le gêner en rien. Il passait de conversation en conversation, faisant rire et sourire. Il s’est donc présenté à moi alors que je me trouvais sur le balcon, à discuter avec une amie. A vrai dire j’avais l’intention de la ramener chez moi ce soir la. Les choses se passaient parfaitement jusqu’au moment fatal ou l’homme mur s’est présenté à nous. Il avait fait rire mon amie, avait flirté, s’était gentiment moqué de moi d’un air taquinant et avait donc ruiné toute chance de me retrouver au lit avec elle. Elle s’était excusé est était partie rejoindre des amies. Je commençais à m’éloigner à mon tour, furieux et ruminant mais Philipe me barra le chemin. Il sourit.
« Tu dois m’en vouloir, je vois bien qu’elle te plaisait. »
« Pardon ? » Je lui ai lancé un regard noir.
« Oh tu n’es pas très bon menteur, tes yeux racontent tout. Mais comprend bien, je ne pouvais vous laisser ensemble. Tu serais parti avec elle et nous ne nous serions jamais recroisé. »
Je senti l’énervement monter en moi. Non seulement ce type m’avait gâché la soirée mais il avait en plus une case en moins.
« Ecoute, on se connaît pas, tu m’as déjà pourri la soirée alors – »
Philipe interrompit, « Non, je ne t’ai pas pourri la soirée. J’aurais pu – par exemple en partant avec ta petite copine la. Mais je ne l’ai pas fait. Non, plutôt je vais te faire passer un bien meilleur moment que t’aurais jamais pu apprécier en ça compagnie. »
Philipe m’avait peu à peu séduit. Il me racontait des histoires drôles – des anecdotes sur lui. Il me couvrait de compliments et, alors que la soirée se terminait, plaça une main contre le bas de mon dos. Malgré ma promesse à moi même, je ne pu m’empêcher de ressentir une pointe d’excitation. Nous avons quitté l’appartement ensemble. Il était encore trop tôt pour les premiers métros et je ne me sentais absolument pas de rentrer chez moi en vélib ou à pied.
« J’habite à deux rues, viens on va pas se quitter comme ça non ? »
Je l’avais suivis jusqu’à son appartement rue du temple. S’était un vaste trois pièces dans un vieil immeuble, au cinquième étage. Une fois posé dans le salon, nous avons continué la discussion. Il s’était assit à côté de moi, sur son canapé. Sa main ne tarda pas à se faufiler de nouveau contre mon dos, puis sous mon t-shirt. Je voyais une bosse se peaufiner à travers le tissu de son pantalon en toile. Il vit mon regard, et d’une main défit sa braguette pour sortir l’engin en phase de durcissement. Grosse et nervurée, la verge capta mon attention.
« Tu vois, quand je t’ai promis une meilleur soirée qu’avec ton amie, j’étais sincère. Je l’ai vu partir avec un autre homme, mais ne t’inquiète pas, toi et moi on va s’amuser. » Il sourit, « Tu as déjà couché avec un homme ? »
« Oui. » Ma voix était haletante.
« Oui, je l’ai un peu deviné… Et… tu étais passif, non ? »
Je fis oui de la tête. Il sourit de nouveau.
« Allez enlève moi ces habits, qu’on s’amuse un peu. »
J’étais donc nu. Il caressait à présent mon cul. Sa main était douce mais ferme au toucher. Il me retourna, lorgna un instant mon sexe et le prit entre ses doigts. Il esquissa deux mouvements de la main, le long de ma verge puis s’arrêta.
« Branle moi. »
J’obéis, m’agenouillant entre ses cuisses. Sa queue était dure à présent, une odeur de sueur et de sperme s’en dégageait. Je prit son membre au creux de ma main droite et me mit à le mastiquer.
Chaque mouvement je le fis lentement, appréciant la sensation de sa chair dure entre mes doigts. Je pris également ses couilles au creux de ma main gauche et me mis à les malaxer. L’envi de le sucer me prit, je baissais donc la tête et le pris délicatement en bouche. Son gland été beau, sculpté et enflé. Il avait un gout prononcé entre mes lèvres. Il plaça une main sur ma tête et me guida, m’encourageant de sa voix.
Nous continuâmes ainsi de longues minutes savoureuses. Sa verge se faufilla au fond de ma gorge et y resta de nombreuses fois avant de se retirer pour que je m’attarde sur le gland.
« Toi tu sais sucer. » Sa voix était haletante, son regard voilé de plaisir.
Ce n’était pas la première fois qu’on me le disait. Je commençais à me poser sérieusement la question de si j’étais pas plus doué avec les mecs que les femmes.
Il se retira de ma bouche et me souleva tendrement. Il me poussa sur le canapé et m’écarta les cuisses.
« Attends moi deux secondes. »
Je restais donc ainsi, en missionnaire, les cuisses écartées, mon trou se dilatant. Il revint quelques instants après, un tube de lubri à la main, un préservatif enveloppant son sexe. Il s’étale du lubrifiant sur le gland, puis avec deux doigts, sur le rebord de mon trou. Sans attendre, il se plaça entre mes cuisses. Je sentais son envi, son désire. Il me pénétra, poussant fermement avec son bassin, son sexe entrant en moi progressivement. Il commença les vas et viens, les mains m’écartant les cuisses. Les miennes étaient posées contre son pubis. Déjà le plaisir montait, chaque coup m’approchant de la jouissance. Je me laisse aller et je gicle, une fine trainée de semence s’étalant sur mon ventre. J’aime ce moment de liberté. Je n’ai pas à me retenir, m’abstenir, je peux jouir autant que je veux. C’est à l’homme de se tenir, pas moi. La virilité est une chaine, des menottes me forçant à la performance. Quand je rencontre un homme je l’abandonne. Elle me fuit et je la laisse partir.
Philipe me lime à fond à présent. Malgré ma réticence récente à coucher avec un mâle, j’ai gardé l’habitude de me raser quotidiennement. Je suis donc imberbe, sa peau claquant contre la mienne. Il me retourne brusquement. Je place mes mains sur le dossier du canapé, me cambrant pour lui offrir mon cul. Il s’en empare, me pénètre à nouveau. Il accélère le mouvement, me prenant à grands coups de reins. Je jouis à nouveau, puis c’est à son tour mais il ne veux pas finir dans une capote minable. Il se retire et me retourne à nouveau. Je m’assieds sur le bord pendant qu’il s’enlève le plastic. Une fois fait, il se masturbe, puis place une main derrière ma nuque. Je l’accueil volontiers à nouveau entre mes lèvres. Je me fous du fait que je prends un risque. Il suffit de quelques instants d’étreinte buccale pour le faire juter. Son sperme se déverse au fond de ma gorge, épaisse et amère, mais tellement bonne. Il me sourit.
Il m’observait, assit sur le canapé. Philipe avait dans la cinquantaine. Il était bien conservé, son corps portant les fruits d’une vie saine et sportive. Son sexe pendait entre ses cuisses, à demi mou. Il arborait un petit sourire.
Philipe était chauve, musclé et grand. Ses épaules couronnaient un torse ferme et costaud. Il me dépassait de quelques centimètres. Il était également imberbe du pubis, ce qui ne fit qu’accentuer l’envergure et la longueur de son membre impressionnant. Il n’y avait rien à dire, j’avais développé une attraction indéniable pour les gros engins.
Il faisait chaud dans la chambre. La fenêtre était ouverte mais la chaleur nocturnale du mois d’août filtrait sur un petit vent taquin. Philipe se tourna et prit son portable de sa poche de jean, posé sur le canapé. Il alluma la caméra et se mit à filmer.
« J’aime garder un souvenir de mes rencontres. » Il ne me demanda pas si cela me gênait, et je ne me sentais pas de me plaindre. Malgré son air relâché et son sourire facile, l’homme dégageait une autorité naturelle. J’étais déjà dominé. Je l’avais été depuis notre rencontre d’ailleurs. Elle avait été fortuite. Lors d’une soirée cet invité improbable s’était présenté à moi. Cela faisait plusieurs mois que je n’avais pas eu de rapport avec un autre homme et pour être franc j’avais commencé à éprouver une honte vis à vis de mes penchants pour le même sexe. J’en étais venu à me promettre de m’abstenir, d’arrêter totalement ses rencontres. Jusqu’à ce soir la. Un ami à moi avait organisé une fête chez lui – un appartement dans le marais, spacieux et pouvant accueillir un bon nombre de ses amis. Philipe était le seul qui avait plus de trente ans mais la différence d’âge ne semblait le gêner en rien. Il passait de conversation en conversation, faisant rire et sourire. Il s’est donc présenté à moi alors que je me trouvais sur le balcon, à discuter avec une amie. A vrai dire j’avais l’intention de la ramener chez moi ce soir la. Les choses se passaient parfaitement jusqu’au moment fatal ou l’homme mur s’est présenté à nous. Il avait fait rire mon amie, avait flirté, s’était gentiment moqué de moi d’un air taquinant et avait donc ruiné toute chance de me retrouver au lit avec elle. Elle s’était excusé est était partie rejoindre des amies. Je commençais à m’éloigner à mon tour, furieux et ruminant mais Philipe me barra le chemin. Il sourit.
« Tu dois m’en vouloir, je vois bien qu’elle te plaisait. »
« Pardon ? » Je lui ai lancé un regard noir.
« Oh tu n’es pas très bon menteur, tes yeux racontent tout. Mais comprend bien, je ne pouvais vous laisser ensemble. Tu serais parti avec elle et nous ne nous serions jamais recroisé. »
Je senti l’énervement monter en moi. Non seulement ce type m’avait gâché la soirée mais il avait en plus une case en moins.
« Ecoute, on se connaît pas, tu m’as déjà pourri la soirée alors – »
Philipe interrompit, « Non, je ne t’ai pas pourri la soirée. J’aurais pu – par exemple en partant avec ta petite copine la. Mais je ne l’ai pas fait. Non, plutôt je vais te faire passer un bien meilleur moment que t’aurais jamais pu apprécier en ça compagnie. »
Philipe m’avait peu à peu séduit. Il me racontait des histoires drôles – des anecdotes sur lui. Il me couvrait de compliments et, alors que la soirée se terminait, plaça une main contre le bas de mon dos. Malgré ma promesse à moi même, je ne pu m’empêcher de ressentir une pointe d’excitation. Nous avons quitté l’appartement ensemble. Il était encore trop tôt pour les premiers métros et je ne me sentais absolument pas de rentrer chez moi en vélib ou à pied.
« J’habite à deux rues, viens on va pas se quitter comme ça non ? »
Je l’avais suivis jusqu’à son appartement rue du temple. S’était un vaste trois pièces dans un vieil immeuble, au cinquième étage. Une fois posé dans le salon, nous avons continué la discussion. Il s’était assit à côté de moi, sur son canapé. Sa main ne tarda pas à se faufiler de nouveau contre mon dos, puis sous mon t-shirt. Je voyais une bosse se peaufiner à travers le tissu de son pantalon en toile. Il vit mon regard, et d’une main défit sa braguette pour sortir l’engin en phase de durcissement. Grosse et nervurée, la verge capta mon attention.
« Tu vois, quand je t’ai promis une meilleur soirée qu’avec ton amie, j’étais sincère. Je l’ai vu partir avec un autre homme, mais ne t’inquiète pas, toi et moi on va s’amuser. » Il sourit, « Tu as déjà couché avec un homme ? »
« Oui. » Ma voix était haletante.
« Oui, je l’ai un peu deviné… Et… tu étais passif, non ? »
Je fis oui de la tête. Il sourit de nouveau.
« Allez enlève moi ces habits, qu’on s’amuse un peu. »
J’étais donc nu. Il caressait à présent mon cul. Sa main était douce mais ferme au toucher. Il me retourna, lorgna un instant mon sexe et le prit entre ses doigts. Il esquissa deux mouvements de la main, le long de ma verge puis s’arrêta.
« Branle moi. »
J’obéis, m’agenouillant entre ses cuisses. Sa queue était dure à présent, une odeur de sueur et de sperme s’en dégageait. Je prit son membre au creux de ma main droite et me mit à le mastiquer.
Chaque mouvement je le fis lentement, appréciant la sensation de sa chair dure entre mes doigts. Je pris également ses couilles au creux de ma main gauche et me mis à les malaxer. L’envi de le sucer me prit, je baissais donc la tête et le pris délicatement en bouche. Son gland été beau, sculpté et enflé. Il avait un gout prononcé entre mes lèvres. Il plaça une main sur ma tête et me guida, m’encourageant de sa voix.
Nous continuâmes ainsi de longues minutes savoureuses. Sa verge se faufilla au fond de ma gorge et y resta de nombreuses fois avant de se retirer pour que je m’attarde sur le gland.
« Toi tu sais sucer. » Sa voix était haletante, son regard voilé de plaisir.
Ce n’était pas la première fois qu’on me le disait. Je commençais à me poser sérieusement la question de si j’étais pas plus doué avec les mecs que les femmes.
Il se retira de ma bouche et me souleva tendrement. Il me poussa sur le canapé et m’écarta les cuisses.
« Attends moi deux secondes. »
Je restais donc ainsi, en missionnaire, les cuisses écartées, mon trou se dilatant. Il revint quelques instants après, un tube de lubri à la main, un préservatif enveloppant son sexe. Il s’étale du lubrifiant sur le gland, puis avec deux doigts, sur le rebord de mon trou. Sans attendre, il se plaça entre mes cuisses. Je sentais son envi, son désire. Il me pénétra, poussant fermement avec son bassin, son sexe entrant en moi progressivement. Il commença les vas et viens, les mains m’écartant les cuisses. Les miennes étaient posées contre son pubis. Déjà le plaisir montait, chaque coup m’approchant de la jouissance. Je me laisse aller et je gicle, une fine trainée de semence s’étalant sur mon ventre. J’aime ce moment de liberté. Je n’ai pas à me retenir, m’abstenir, je peux jouir autant que je veux. C’est à l’homme de se tenir, pas moi. La virilité est une chaine, des menottes me forçant à la performance. Quand je rencontre un homme je l’abandonne. Elle me fuit et je la laisse partir.
Philipe me lime à fond à présent. Malgré ma réticence récente à coucher avec un mâle, j’ai gardé l’habitude de me raser quotidiennement. Je suis donc imberbe, sa peau claquant contre la mienne. Il me retourne brusquement. Je place mes mains sur le dossier du canapé, me cambrant pour lui offrir mon cul. Il s’en empare, me pénètre à nouveau. Il accélère le mouvement, me prenant à grands coups de reins. Je jouis à nouveau, puis c’est à son tour mais il ne veux pas finir dans une capote minable. Il se retire et me retourne à nouveau. Je m’assieds sur le bord pendant qu’il s’enlève le plastic. Une fois fait, il se masturbe, puis place une main derrière ma nuque. Je l’accueil volontiers à nouveau entre mes lèvres. Je me fous du fait que je prends un risque. Il suffit de quelques instants d’étreinte buccale pour le faire juter. Son sperme se déverse au fond de ma gorge, épaisse et amère, mais tellement bonne. Il me sourit.
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5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J'aime bien tes histoires, elles sont excitantes. En tant que femme, je peux affirmer que si on aime bien les
hommes virils, on aime aussi qu'ils nous montrent leur part de fragilité. Deux hommes ensemble c'est super
beau! J'aimerais bien un jour rencontrer un homme assez ouvert pour se laisser aller et me laisser lui faire
découvrir sa prostate...
hommes virils, on aime aussi qu'ils nous montrent leur part de fragilité. Deux hommes ensemble c'est super
beau! J'aimerais bien un jour rencontrer un homme assez ouvert pour se laisser aller et me laisser lui faire
découvrir sa prostate...
Ca donne envie tt ca
mmm, ça donne envie d'essayer avec un homme ! Z
super agréable moment de bonheur.
tres cool