Laly, femme de chambre... et amour (1ère partie)
Récit érotique écrit par Mysterious91 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-12-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Laly, femme de chambre... et amour (1ère partie)
Laly se saisit de la couette blanche immaculée et comme dans un réflexe pour protéger sa nudité et son intimité, elle me cache la vue de son corps.
Elle redevient la jeune femme qu'elle est dans la vie de tous les jours.
Ni une, ni deux, je relève la couette. Je veux la voir, Laly. La glace est désormais clairement, nettement brisée entre la jeune femme et moi. Mieux! Il y a désormais du feu qui brûle entre nous. Il s'agit du feu de la passion et du désir. Il s'agit du feu de la sensualité et du sexe. Une fois que je viens de goûter aux charmes délicieux de Laly, c'est fini. Je veux dire... J'en raffole et je n'ai pas envie de m'en lasser. C'est aussi simple que ça. Elle a un joli petit corps, oui. Certes. Mais c'est d'abord et avant tout sa personnalité qui m'a attiré vers elle, chez elle.
Oui. Sa timidité naturelle m'a séduit. Sa réserve a titillé ma curiosité. Dès que j'ai vu Laly pour la première fois, dès que mes yeux se sont posés sur elle, j'ai tout de suite compris qu'elle me plaisait. Dès lors, j'ai voulu apprendre à la connaître. Et là, voici où nous en sommes aujourd'hui, tous les deux, dans ce lit...
Laly n'en revient pas que nous soyons dans mon lit, que nous venons d'y faire l'amour? Je n'en reviens pas, moi non plus. Le rythme retombe. Le temps est désormais aux petits baisers, aux caresses douces, aux tendres câlins. Je dépose un baiser sur le front de ma partenaire. J'y tiens. Je veux qu'elle comprenne que ça n'aura pas été que du sexe entre nous. Non. C'est plus. Bien plus. Mais dans le même temps, je maintiens ma main sur la couette. Je veux pouvoir continuer de l'admirer, Laly.
La jeunesse et la candeur de Lady me touchent. Elles me charment et me séduisent. Au plus haut point. Je me rappelle des premières fois où nous nous sommes vus, où nous nous sommes adressés la parole, où nous ne nous sommes dits juste que "bonjour". Laly était discrète. Et pourtant... Elle était mignonne. Bellotte, comme on dit dans le nord de la France. Elle l'est toujours, Laly: mignonne et bellotte. À l'hôtel où je travaillais comme réceptionniste, la jeune femme était saisonnière et elle était femme de chambre. Qu'est-ce qu'elle était émoustillante dans sa tenue de travail...
Laly a beau ne pas être un canon de beauté... Un charme certain se dégage lorsqu'elle me regarde, lorsqu'elle remue les lèvres pour me parler. Au travail, à l'hôtel, Laly ne parlait presque jamais. Si je ne m'abuse, aujourd'hui même encore, mes souvenirs me renvoient l'image d'une toute jeune femme qui ne parlait pas pour ne rien dire.
Mais dès le départ, j'ai compris qu'il se passait quelque chose. Un je-ne-sais-quoi. Aujourd'hui encore, je n'ai aucune idée de ce qu'il se passait dans le corps, dans le cœur et dans la tête de Laly.
Ce que je sais en revanche, au jour d'aujourd'hui, c'est que je suis bien à ses côtés. Mon cœur bat la chamade. Je serre contre moi la seule femme à qui je pense et dont j'ai envie. Je souris à la seule femme qui occupe et qui obsède mes pensées. Je touche, je caresse, j'embrasse la seule femme pour qui mon cœur bat. Oui. Laly. Seulement... Laly.
Mon cœur bat et mon sang coule pour Laly. En secret, je suis amoureux d'elle. Elle, elle ne ne le sait pas. À l'heure actuelle, c'est peut-être mieux comme ça.
Laly me plaît et je l'aime. Ce sont des certitudes.
Laly ne doit pas savoir. Je marche donc sur des œufs.
Nos relations ont nettement progressé depuis la toute première fois où nous nous sommes vus. J'étreins Laly et ainsi, je la protège. Son corps est tout chaud et il est en sueur. Je n'en reviens pas de ce qu'il se passe.
Perdre Laly? Mais même pas une seule seconde je n'y pense. Compte tenu de tout ce chemin que j'ai parcouru pour parvenir jusqu'à ce moment plus que magique que nous vivons et que nous partageons, je ne le veux pas.
Je crois que je connais pas mal Laly, aujourd'hui.
Quand elle est heureuse, elle est fofolle et je vois bien ses yeux qui pétillent. Je vois bien un joli sourire qui se dessine sur ses lèvres.
Quand elle est heureuse car elle me retrouve, Laly n'est plus la même. Plus du tout. Sa voix est toute douce. J'entends bien qu'elle minaude et qu'elle est bien à mes côtés.
Oui. Je crois que je la connais pas mal aujourd'hui, Laly. Et quand elle n'est pas dans son assiette, c'est quelque chose que je remarque tout aussi instantanément. Et ça me fait mal quand ça arrive. Et ce, peu importe la raison. Une contrariété qui lui est arrivée dans la journée? Une journée qui s'est mal passée à son nouveau travail? Est-ce dû à son syndrome pré-menstruel ou bien même carrément à ses règles qui l'indisposent et qui la font souffrir? Dans ces cas-là, je fais de mon mieux pour lui remonter le moral, pour qu'elle ait de nouveau le sourire. Oui. Vous l'avez compris. J'aime Laly.
Laly me regarde. Je la regarde. Je n'ai pas besoin de regarder ce que je fais, à savoir voir la couette blanche immaculée découvrir le corps de la jeune femme.
Je ne sais que trop bien que Laly est pudique. Pourtant, elle ne s'offusque pas de mon geste et elle me laisse faire.
Laly me regarde droit dans les yeux. Intensément. Son regard, ses yeux... C'est comme si un défi qu'elle me lançait. Que je continue...
Laly semble fascinée par les gestes que je fais. Elle me regarde et elle n'en perd pas la moindre miette. À... mon avis... Elle aime savoir, voir comment je procède, comment je m'y prends. On dirait que ça lui tient à cœur. La couette la découvre. Elle révèle son corps. Et j'ai beau l'avoir vu sous toutes les coutures, son petit corps, pendant notre étreinte.... Il n'en finit pas de me fasciner. J'ai et je garde le même plaisir de pouvoir l'observer, l'admirer à ma guise. Laly me charme et me séduit. C'est aussi simple que ça. Elle m'a détourné du droit chemin. Et au jour d'aujourd'hui, il n'y a plus qu'elle. Laly. LA-LY. Je suis tout à elle, rien qu'à elle. Je lui appartiens. Mon corps, mon cœur et ma tête. Tout ça, c'est à elle.
Laly a les cheveux châtains, mi-longs, qui lui arrivent aux épaules. Elle les laisse souvent lâchés, dans la vie de tous les jours. À l'hôtel lorsqu'elle était femme de chambre, Laly se les attachait, soit en une queue de cheval, soit en un chignon d'où aucune mèche ni aucun cheveu ne s'échappait. Ce qui ne variait ja-mais d'un iota, c'étaient ses lunettes aux verres carrés. Ça a été ce qui a fait la différence, ce qui a fait pencher la balance. Quand elle venait à la réception pour savoir de quelle(s) chambre(s) elle allait devoir s'occuper, elle était toute timide, Laly. C'était à peine si je parvenais à l'entendre. Une chose et non des moindres dont je me rappelle et qui me fait sourire encore aujourd'hui encore: j'avais beau lui dire et lui répéter qu'elle pouvait me tutoyer... Elle en restait au "vous" entre nous.
Il a fallu beaucoup beaucoup de temps à Laly pour qu'elle s'habitue à ma présence, pour se faire une idée de l'homme que j'étais à ce moment-là.
Pour qu'elle me fasse confiance, ni plus, ni moins. Tout simplement! Ça a mis le temps que ça a mis. Mais voilà.
Voilà où nous en sommes tous les deux au jour d'aujourd'hui. Et nous sommes bien ensemble, allongés dans ce lit, blottis l'un contre l'autre. Oh... oui, j'ai comme l'impression qu'il n'y a que nous sur Terre. Laly se laisse aller dans mes bras et elle ne pense à rien. Elle se détend et je sens les muscles de son corps se relâcher. C'est ce que je veux: qu'elle se sente bien. Je veux qu'elle vive le moment présent. Je veux qu'elle ne pense à rien. Je veux qu'elle n'ait ni remords ni regrets. Et pour ça, je dégage les quelques cheveux emmêlés qui me cachent l'accès visuel à ses yeux. Là. Je dépose un doux et nouveau baiser sur son front.
Laly pousse un soupir. Je l'entends, ce soupir. Ça veut dire ce que ça veut dire et ça m'émeut. La glace est définitivement brisée entre nous. Il n'y a plus aucune frontière qui nous sépare et nous laissons notre désire réciproque éclater, s'exprimer au grand jour.
Laly est à compter d'aujourd'hui à moi, tout à moi, rien qu'à moi.
Mais... Attention! En retour, je lui appartiens, à Laly. Oui. Je suis à elle. Tout à elle. Rien qu'à elle.
Quand nous sommes entrés dans mon appartement, la première chose que j'ai fait, ça a été de demander à Laly de se mettre à l'aise. Ses yeux dans les miens, sans dire un mot, elle a retiré son blouson en jean et elle l'a posé sur le porte-manteau qui se trouve à l'entrée de mon appart'.
Laly portait un pull, en dessous. C'est vrai que c'est désormais l'automne, que les températures ont baissé. Ses mains ont tremblé, j'ai remarqué. Ça se voyait qu'elle manquait de confiance. Pourtant, je la voyais me sourire. Je voyais ses yeux qui étaient embués de bonheur... et de désir. Et je la voyais se mordre la lèvre, Laly...
Non. Je n'ai pas résisté à Laly. Ça a été juste... impossible, ça. Quand nous nous sommes regardés dans le blanc des yeux, j'ai compris que c'était tout simplement... inutile d'opposer de résistance. La jeune femme m'a séduit. Ça en a été fait de moi. C'était aussi simple que ça: elle était la seule personne avec laquelle je voulais être à l'instant-t, dans mon appartement. Il s'est clairement passé quelque chose lorsque je l'ai vu se débarrasser de son blouson, lorsque je l'ai vu me sourire, lorsque j'ai vu la brillance de ses yeux. J'étais tombé pour Laly. Je n'avais d'yeux que pour Laly. Et aujourd'hui, je le sais. Je suis amoureux de Laly.
La toute jeune femme qu'elle est poursuit sa métamorphose, petite touche par petite touche. Quand nous nous sommes rencontrés pour la première fois à l'hôtel, Laly n'était qu'un cocon, une chenille. Aujourd'hui, elle a fini par devenir un papillon qui prend confiance en elle et qui déploie ses ailes. Elle m'a révélé, en toute intimité, la beauté et le charme de la femme qu'elle apprend à être, jour après jour. Sa sensualité naissante et prometteuse s'aiguise, là encore, lentement mais sûrement et la rend davantage mignonne. Séduisante. Sexy, j'ose et j'ai envie de dire. Ce petite bout de femme m'est monté à la tête et il n'y en a plus que pour elle désormais.
J'ai en tête les mots que Laly a prononcés lorsque nous avons commencé notre soirée. Ses yeux braqués dans les miens, ses bras pendus à mon cou, sa poitrine menue collée et plaquée contre mon torse, elle m'a demandé de prendre notre temps, de l'initier et de l'éveiller au plaisir. J'ai bien vu, et je me répète, ses yeux qui brillaient particulièrement ainsi que le sourire qu'elle avait aux lèvres. Notre différence d'âge n'a pas eu la moindre importance. Laly s'est détendue progressivement. Je l'y ai aidé du mieux que j'ai pu. Je lui ai dit des mots doux. Je lui ai souri. OUi. C'était pour Laly. Rien que pour Laly. MA... Laly.
Elle redevient la jeune femme qu'elle est dans la vie de tous les jours.
Ni une, ni deux, je relève la couette. Je veux la voir, Laly. La glace est désormais clairement, nettement brisée entre la jeune femme et moi. Mieux! Il y a désormais du feu qui brûle entre nous. Il s'agit du feu de la passion et du désir. Il s'agit du feu de la sensualité et du sexe. Une fois que je viens de goûter aux charmes délicieux de Laly, c'est fini. Je veux dire... J'en raffole et je n'ai pas envie de m'en lasser. C'est aussi simple que ça. Elle a un joli petit corps, oui. Certes. Mais c'est d'abord et avant tout sa personnalité qui m'a attiré vers elle, chez elle.
Oui. Sa timidité naturelle m'a séduit. Sa réserve a titillé ma curiosité. Dès que j'ai vu Laly pour la première fois, dès que mes yeux se sont posés sur elle, j'ai tout de suite compris qu'elle me plaisait. Dès lors, j'ai voulu apprendre à la connaître. Et là, voici où nous en sommes aujourd'hui, tous les deux, dans ce lit...
Laly n'en revient pas que nous soyons dans mon lit, que nous venons d'y faire l'amour? Je n'en reviens pas, moi non plus. Le rythme retombe. Le temps est désormais aux petits baisers, aux caresses douces, aux tendres câlins. Je dépose un baiser sur le front de ma partenaire. J'y tiens. Je veux qu'elle comprenne que ça n'aura pas été que du sexe entre nous. Non. C'est plus. Bien plus. Mais dans le même temps, je maintiens ma main sur la couette. Je veux pouvoir continuer de l'admirer, Laly.
La jeunesse et la candeur de Lady me touchent. Elles me charment et me séduisent. Au plus haut point. Je me rappelle des premières fois où nous nous sommes vus, où nous nous sommes adressés la parole, où nous ne nous sommes dits juste que "bonjour". Laly était discrète. Et pourtant... Elle était mignonne. Bellotte, comme on dit dans le nord de la France. Elle l'est toujours, Laly: mignonne et bellotte. À l'hôtel où je travaillais comme réceptionniste, la jeune femme était saisonnière et elle était femme de chambre. Qu'est-ce qu'elle était émoustillante dans sa tenue de travail...
Laly a beau ne pas être un canon de beauté... Un charme certain se dégage lorsqu'elle me regarde, lorsqu'elle remue les lèvres pour me parler. Au travail, à l'hôtel, Laly ne parlait presque jamais. Si je ne m'abuse, aujourd'hui même encore, mes souvenirs me renvoient l'image d'une toute jeune femme qui ne parlait pas pour ne rien dire.
Mais dès le départ, j'ai compris qu'il se passait quelque chose. Un je-ne-sais-quoi. Aujourd'hui encore, je n'ai aucune idée de ce qu'il se passait dans le corps, dans le cœur et dans la tête de Laly.
Ce que je sais en revanche, au jour d'aujourd'hui, c'est que je suis bien à ses côtés. Mon cœur bat la chamade. Je serre contre moi la seule femme à qui je pense et dont j'ai envie. Je souris à la seule femme qui occupe et qui obsède mes pensées. Je touche, je caresse, j'embrasse la seule femme pour qui mon cœur bat. Oui. Laly. Seulement... Laly.
Mon cœur bat et mon sang coule pour Laly. En secret, je suis amoureux d'elle. Elle, elle ne ne le sait pas. À l'heure actuelle, c'est peut-être mieux comme ça.
Laly me plaît et je l'aime. Ce sont des certitudes.
Laly ne doit pas savoir. Je marche donc sur des œufs.
Nos relations ont nettement progressé depuis la toute première fois où nous nous sommes vus. J'étreins Laly et ainsi, je la protège. Son corps est tout chaud et il est en sueur. Je n'en reviens pas de ce qu'il se passe.
Perdre Laly? Mais même pas une seule seconde je n'y pense. Compte tenu de tout ce chemin que j'ai parcouru pour parvenir jusqu'à ce moment plus que magique que nous vivons et que nous partageons, je ne le veux pas.
Je crois que je connais pas mal Laly, aujourd'hui.
Quand elle est heureuse, elle est fofolle et je vois bien ses yeux qui pétillent. Je vois bien un joli sourire qui se dessine sur ses lèvres.
Quand elle est heureuse car elle me retrouve, Laly n'est plus la même. Plus du tout. Sa voix est toute douce. J'entends bien qu'elle minaude et qu'elle est bien à mes côtés.
Oui. Je crois que je la connais pas mal aujourd'hui, Laly. Et quand elle n'est pas dans son assiette, c'est quelque chose que je remarque tout aussi instantanément. Et ça me fait mal quand ça arrive. Et ce, peu importe la raison. Une contrariété qui lui est arrivée dans la journée? Une journée qui s'est mal passée à son nouveau travail? Est-ce dû à son syndrome pré-menstruel ou bien même carrément à ses règles qui l'indisposent et qui la font souffrir? Dans ces cas-là, je fais de mon mieux pour lui remonter le moral, pour qu'elle ait de nouveau le sourire. Oui. Vous l'avez compris. J'aime Laly.
Laly me regarde. Je la regarde. Je n'ai pas besoin de regarder ce que je fais, à savoir voir la couette blanche immaculée découvrir le corps de la jeune femme.
Je ne sais que trop bien que Laly est pudique. Pourtant, elle ne s'offusque pas de mon geste et elle me laisse faire.
Laly me regarde droit dans les yeux. Intensément. Son regard, ses yeux... C'est comme si un défi qu'elle me lançait. Que je continue...
Laly semble fascinée par les gestes que je fais. Elle me regarde et elle n'en perd pas la moindre miette. À... mon avis... Elle aime savoir, voir comment je procède, comment je m'y prends. On dirait que ça lui tient à cœur. La couette la découvre. Elle révèle son corps. Et j'ai beau l'avoir vu sous toutes les coutures, son petit corps, pendant notre étreinte.... Il n'en finit pas de me fasciner. J'ai et je garde le même plaisir de pouvoir l'observer, l'admirer à ma guise. Laly me charme et me séduit. C'est aussi simple que ça. Elle m'a détourné du droit chemin. Et au jour d'aujourd'hui, il n'y a plus qu'elle. Laly. LA-LY. Je suis tout à elle, rien qu'à elle. Je lui appartiens. Mon corps, mon cœur et ma tête. Tout ça, c'est à elle.
Laly a les cheveux châtains, mi-longs, qui lui arrivent aux épaules. Elle les laisse souvent lâchés, dans la vie de tous les jours. À l'hôtel lorsqu'elle était femme de chambre, Laly se les attachait, soit en une queue de cheval, soit en un chignon d'où aucune mèche ni aucun cheveu ne s'échappait. Ce qui ne variait ja-mais d'un iota, c'étaient ses lunettes aux verres carrés. Ça a été ce qui a fait la différence, ce qui a fait pencher la balance. Quand elle venait à la réception pour savoir de quelle(s) chambre(s) elle allait devoir s'occuper, elle était toute timide, Laly. C'était à peine si je parvenais à l'entendre. Une chose et non des moindres dont je me rappelle et qui me fait sourire encore aujourd'hui encore: j'avais beau lui dire et lui répéter qu'elle pouvait me tutoyer... Elle en restait au "vous" entre nous.
Il a fallu beaucoup beaucoup de temps à Laly pour qu'elle s'habitue à ma présence, pour se faire une idée de l'homme que j'étais à ce moment-là.
Pour qu'elle me fasse confiance, ni plus, ni moins. Tout simplement! Ça a mis le temps que ça a mis. Mais voilà.
Voilà où nous en sommes tous les deux au jour d'aujourd'hui. Et nous sommes bien ensemble, allongés dans ce lit, blottis l'un contre l'autre. Oh... oui, j'ai comme l'impression qu'il n'y a que nous sur Terre. Laly se laisse aller dans mes bras et elle ne pense à rien. Elle se détend et je sens les muscles de son corps se relâcher. C'est ce que je veux: qu'elle se sente bien. Je veux qu'elle vive le moment présent. Je veux qu'elle ne pense à rien. Je veux qu'elle n'ait ni remords ni regrets. Et pour ça, je dégage les quelques cheveux emmêlés qui me cachent l'accès visuel à ses yeux. Là. Je dépose un doux et nouveau baiser sur son front.
Laly pousse un soupir. Je l'entends, ce soupir. Ça veut dire ce que ça veut dire et ça m'émeut. La glace est définitivement brisée entre nous. Il n'y a plus aucune frontière qui nous sépare et nous laissons notre désire réciproque éclater, s'exprimer au grand jour.
Laly est à compter d'aujourd'hui à moi, tout à moi, rien qu'à moi.
Mais... Attention! En retour, je lui appartiens, à Laly. Oui. Je suis à elle. Tout à elle. Rien qu'à elle.
Quand nous sommes entrés dans mon appartement, la première chose que j'ai fait, ça a été de demander à Laly de se mettre à l'aise. Ses yeux dans les miens, sans dire un mot, elle a retiré son blouson en jean et elle l'a posé sur le porte-manteau qui se trouve à l'entrée de mon appart'.
Laly portait un pull, en dessous. C'est vrai que c'est désormais l'automne, que les températures ont baissé. Ses mains ont tremblé, j'ai remarqué. Ça se voyait qu'elle manquait de confiance. Pourtant, je la voyais me sourire. Je voyais ses yeux qui étaient embués de bonheur... et de désir. Et je la voyais se mordre la lèvre, Laly...
Non. Je n'ai pas résisté à Laly. Ça a été juste... impossible, ça. Quand nous nous sommes regardés dans le blanc des yeux, j'ai compris que c'était tout simplement... inutile d'opposer de résistance. La jeune femme m'a séduit. Ça en a été fait de moi. C'était aussi simple que ça: elle était la seule personne avec laquelle je voulais être à l'instant-t, dans mon appartement. Il s'est clairement passé quelque chose lorsque je l'ai vu se débarrasser de son blouson, lorsque je l'ai vu me sourire, lorsque j'ai vu la brillance de ses yeux. J'étais tombé pour Laly. Je n'avais d'yeux que pour Laly. Et aujourd'hui, je le sais. Je suis amoureux de Laly.
La toute jeune femme qu'elle est poursuit sa métamorphose, petite touche par petite touche. Quand nous nous sommes rencontrés pour la première fois à l'hôtel, Laly n'était qu'un cocon, une chenille. Aujourd'hui, elle a fini par devenir un papillon qui prend confiance en elle et qui déploie ses ailes. Elle m'a révélé, en toute intimité, la beauté et le charme de la femme qu'elle apprend à être, jour après jour. Sa sensualité naissante et prometteuse s'aiguise, là encore, lentement mais sûrement et la rend davantage mignonne. Séduisante. Sexy, j'ose et j'ai envie de dire. Ce petite bout de femme m'est monté à la tête et il n'y en a plus que pour elle désormais.
J'ai en tête les mots que Laly a prononcés lorsque nous avons commencé notre soirée. Ses yeux braqués dans les miens, ses bras pendus à mon cou, sa poitrine menue collée et plaquée contre mon torse, elle m'a demandé de prendre notre temps, de l'initier et de l'éveiller au plaisir. J'ai bien vu, et je me répète, ses yeux qui brillaient particulièrement ainsi que le sourire qu'elle avait aux lèvres. Notre différence d'âge n'a pas eu la moindre importance. Laly s'est détendue progressivement. Je l'y ai aidé du mieux que j'ai pu. Je lui ai dit des mots doux. Je lui ai souri. OUi. C'était pour Laly. Rien que pour Laly. MA... Laly.
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