LE CHANTIER (58) - histoire érotique

J’ai chargé Nadia aidée des louves de m’amener Antonin le jeune homme 22 ans couvé par sa mère.
Je suis étonnée de le voir arrivé avec elle car je reconnais la femme qui manifestait à ses côtés.
Il en faut plus pour me déstabiliser alors pendant que dans la piscine je vois Antonin le fils se faire dépuceler par Ange et Nadia, Benoit prend le rôle que je lui ai assigné afin qu’il satisfasse les femmes entrant dans le club en faisant l’amour à sa maman Angélina sur mon lit des plaisirs.

J’ai simplement échangé un baiser avec elle pendant cette soirée mais souhaitant la préserver pour une première fois et la journée de demain risquant d’être assez fatigante à quelques jours de Noël je raccompagne la mère et le fils chez eux.

• Je te rejoins mon grand, j’ai à parler à Valérie.

Antonin descend se demandant certainement comment le retour chez eux va se passer.

• Je t’en veux un peu Valérie d’avoir fait de moi une femme de mauvaise vie mais pour te remercier de m’avoir ouvert les yeux sur mes erreurs surtout pour mon grand, je t’invite demain soir ici, en nous raccompagnant tu connais le chemin.

Cette invitation me va droit au cœur me montrant qu’elle a compris mon but surtout quand elle m’embrasse faisant rouler sa langue sous la mienne.

• J’accepte, à une condition, tu laisses ton fils revenir chez moi au club demain soir pour retrouver tous les autres jeunes avec lesquels il semble être devenu leur ami.
• Je lui prêterais ma voiture, je faisais attention à ses relations avec les filles car je voulais qu’il se marie vierge mais je lui ai payé son permis de conduire pour ses dix-huit ans.

C’est par un grand fou rire qu’après un ultime baisé elle sort de la voiture et franchit le portillon de la villa situé à quelques centaines de mètres de la maison des apôtres.
La voiture dans mon garage, douche et une nouvelle fois je retrouve les bras de Christian ou je me love.
Avant de m’endormir une idée me vient pour demain soir.

Il est une nouvelle fois huit heures quand Nadia fait office de réveil en sautant entre nous deux.
• Debout fainéante, va voir dans ta salle je viens de finir une surprise et ton café est servi dans la cuisine, j’ai du travail à côté.

Je me lève et un peu vasouillarde je trouve la surprise, Nadia a mis un sapin dans la salle qu’elle a décorée, dommage que je vais partir demain pour Brest et que seuls ceux qui vont rester ici vont en profiter.
À la mairie je règle des affaires quand Nadia me rejoint.

• J’ai mis un sapin dans le club, quand j’étais petite sa préparation avec maman était le meilleur moment des fêtes de Noël, tu veux que j’en mette un dans ton bureau à la mairie.
• Nadia, je crois que si une personne te connaît bien c’est moi, tu as quelque chose de désagréable à me dire.
Un sapin, les employés municipaux en ont mis un géant dans l’entrée de la mairie cela suffit bien, je te rappelle que la France est un état laïque.
• C’est vrai, j’ai une mauvaise nouvelle à te donner.
• Accouche.
• Attends un peu il faut que je trouve un mec avant pour qu’il me fasse ce gosse.
• Accouche.

J’ai bêtement levé le ton.

• Bon, j’ai eu mon copain à Brest il y a une demi-heure.
• Accouche.
• Bien, voilà, il est allé chez ton fils et a trouvé porte close, par chance au moment où il allait partir de l’autre porte sur le palier une jeune femme est sortie et lui a demandé ce qu’il cherchait.
Elle s’occupe du chat pendant leur absence.
Barbara, ta belle-fille est partie passer Noël chez ton ex en Angleterre car ton fils Alexandre l’a revu et ils ont décidé de reprendre leurs relations, ton fils refuse de choisir entre toi et lui et dès qu’il rentrera de son tour du monde il viendra te voir.

Il faut être forte dans la vie aussi je fais bonne figure.

• Chouette, je vais profiter de tes sapins, nous allons fêter Noël avec ceux qui seront là.

Nadia me quitte et à midi je retourne chez moi pour préparer mes affaires pour le soir avant de retourner dans mon bureau pour finir un dossier.

• Au revoir madame, vous fermerez la petite porte, le reste de la mairie est fermé.
• Merci Germaine aucun problème.

Il y a cinq minutes que je suis seul quand on frappe à ma porte.

• Je peux rentrer.

J’ai la surprise de voir Antonin.

• Entre mon grand, que puis-je pour toi ?
• J’ai discuté avec les jeunes cet après-midi au club.
• Tu y es allé seul.
• Oui la porte était ouverte et des ouvriers travaillait dans l’appartement où ils posaient les fenêtres, Benoit était là et nous avons discuté devant un verre d’eau.
• Vous auriez pu prendre du champagne dans le frigo.
• On l’a vu mais nous avons pensé que l’eau était plus saine pour nous.
Il m’a parlé du travail qu’il va faire dans ton club avec Ange et Malvina qui va venir de Paris et j’aimerais être le deuxième garçon à tenir ce rôle auprès des clientes de ton établissement, il m’a montré son costume et je pense que je suis assez virile pour porter le même.

Au moment où il me dit cela il est appuyé au bout de mon bureau à quelques centimètres de moi qui suis assise dans mon fauteuil.

• Un poste chez moi, il faut d’abord passer un examen de passage.
• Lequel ?

Je lui saisis la verge au travers de son jean me confirmant ce que j’ai vu hier, ce garçon est bien monté car il semble que je le fais bander.
Je fais descendre sa fermeture et je me penche pour le prendre en bouche.
Il tend son ventre en avant pour que ma fellation soit bien profonde.
Sucer ce bâton est très agréable et alors que je vais pour passer à l’étape suivante, je vois qu’il a appris très vite car il me fait lever, m’embrasse dans un baiser aussi fougueux que celui qu’Angélina m’a donné quand nous nous sommes quittés hier.
C’est lui qui prend l’initiative, il s’écarte du bureau soulève ma jupe et me met les seins sur mon bureau avant de me prendre sauvagement écartant simplement ma petite culotte.
À ce moment j’ai un flash, je me revois il y a quelques mois dans la même position avec la bite de Pierre qui me taraudait, je manque de pouffer de rire mais je me retiens voulant éviter à Antonin de débander surtout que je suis sûr que lui va rester bien vivant au moment où un orgasme puissant par dans mon corps et vient éclater dans mon cerveau.
Il me remplit de son sperme et semble attendre une réponse.

• Bien mais manque d’expérience ça va venir, je te mets huit jours à l’essai, tu m’as bien fait jouir et il faudra être aussi performant avec nos clientes en l’occurrence mes amies à ce jour avant que le club n’ouvre.
• Je ferais pour le mieux, ce soir je sais que maman t’a invité, tu vas goûter à sa carbonnade flamande tu vas te régaler, elle a cuisiné toute l’après-midi pour ce repas en amoureuse.
• Tu es bien impertinent avec ta maman.
• A bientôt Valérie, même si elle m’a protégé j’en sais plus que ce qu’elle croit.

C’est comme cela qu’il me quitte quand je me rends compte qu’il est l’heure d’allée me changer pour aller déguster ce plat succulant confectionner avec amour.
De retour à la maison je trouve Christian dans la salle qui a des velléités pour me caresser, je vais prendre une douche lui demandant de se préparer.
Dès que je suis prête je l’emmène manger ce plat du Nord.
Je sais que l’invitation est pour moi seule mais me faire aider par Christian pour continuer d’amener Angélina à laisser tomber le curé dans ses attaques contre le club va surtout me permettre de passer une soirée avec mon homme.

• Valérie, je vois que tu es avec quelqu’un, je suis triste j’espérais un tête-à-tête avec toi.
• Ce sera un tête-à-tête à trois, je te présente Christian mon fiancé.
• Mais il est noir.

Cette réaction je savais qu’un jour ou l’autre je l’entendrais.

• Tu sais je dis cela pour parler, entrer Christian je vais mettre un couvert de plus, de toute façon je fais toujours assez à manger car mon plat plus il est réchauffé mieux c’est.

Je prends conscience que notre hôtesse a fait des efforts pour s’habiller car elle porte sur elle une robe longue blanche me montrant qu’elle a su garder une ligne de jeune fille.
Le fourreau est si ajusté quand elle marche devant nous que je peux voir à travers le vêtement qu’elle a la chatte à l’air.
Pour compléter le tout quand nous entrons dans la salle à manger elle a préparé un repas aux chandelles qu’elle a dû allumer quand elle a entendu la voiture.
La table rectifiée nous goûtons à cette carbonnade flamande tant vantée par Antonin.
Un peu lourde pour le soir mais la bouteille de rosé juste frappé nous aide à l’apprécier.
Je sens que le moment que j’attends et qu’elle attend est arrivé mais que notre timidité naturelle nous empêche d’entamer un rapprochement entre nous deux qui se serait produit facilement si Christian était resté à la maison.
Je décide de débloquer la situation.

• Peux-tu mettre de la musique ?
• Mes cartons sont à peine défaits, Antonin à un appareil à cassette dans sa chambre avec des CDs, je vais les chercher.

Tout en place, elle met un morceau de slow dans la droite ligne de l’éducation qu’elle donnait à son fils le rock devant lui être interdit.

• Angélina, puis-je vous invité à danser…