LE CHANTIER (60) - histoire érotique

Après avoir fait l’amour chez elle a Angélina avec Christian, notre nouvelle amie se sent anxieuse pour son fils, pour éviter de la laisser seule, je la reconduis jusqu’au club afin qu’elle puisse voir si son fils s’est bien sorti de sa soirée.

Personne à la piscine, personne dans l’appartement où je constate qu’il fait plus chaud depuis que les fenêtres et les volets roulants sont posés.
Il reste l’étage et c’est dans la chambre où Chris a dormi que j’entends du bruit.
Grâce au système d’éclairage de sécurité à batterie déjà installée nous voyons assez clair.
Je fais un signe du doigt à Angélina sur ma bouche pour éviter de faire du bruit car par la porte ouverte je découvre un charmant tableau.
Nadia est seule avec Antonin, mon amie insatiable se fait prendre en levrette et sans savoir que nous sommes là, parle librement.

• Tu es de nouveau en super forme, tu vas me tuer, j’aime quand tu me la mets profondément, tu vas me faire jouir une nouvelle fois, demain matin je passe mon permis et je vais avoir une tête de déterré mais continu, je t’aime.

Je regarde Angélina qui regarde la scène avec un drôle d’air, il lui est impossible d’ignorer la verge bien tendue que je vois entrer et sortir du sexe de mon amie.
Cette queue qu’elle a engendrée et qui donne du plaisir à Nadia me fascine.
Je la prends par la main et je la fais descendre dans l’appartement, j’enlève le plastique qui protège le lit.

• Tu crois qu’ils vont se marier, c’est elle qui sera ma bru ?
• Pourquoi dis-tu cela, ils baisent tout simplement ?

Pendant qu’elle me dit cela je la déshabille pendant qu’elle en fait de même de ses mains bien assurées.

• Elle lui a dit qu’elle l’aimait.

J’ouvre les draps et je la fais tomber sur le lit.

• Angélina, tu vois je te caresse surtout que ta fourche est douce après que nous l’avons rasée.
Je t’aime mais est-ce pour cela que je vais t’épouser, je t’aime je le dis fréquemment quand on me fait l’amour et c’est Christian avec qui je vais convoler au mois de juillet prochain, lui oui quand il me fait l’amour et que je lui dis je t’aime cela est profond et réel.
• Je t’aime.

Comment dois-je prendre ce message !
Au matin le jour commence à poindre et pour éviter d’aller trop vite avec mon amie je me lève sans la réveiller bien que j’aurais envie de lui sucer la mangue.
Je récupère mes clefs et je rejoins ma chambre où je prends un bain réparateur avant d’endosser le costume de maire et d’aller jusqu’à mon bureau.

• Bonjour madame, vous avez rendez-vous à 14 heures avec le curé, il a demandé une entrevue, vous étiez libre à cette heure là, j’allais vous appeler pour vous le signaler.
• Très bien Germaine, je pense que je serais là à l’heure, si j’ai un peu de retard, vous le faites entrer dans mon bureau et vous lui offrez le café.

Toute la mâtiner je travaille et pour être à l’heure à mon rendez-vous à 11 h 45 je pars pour une fois manger à la maison.
Je suis dans ma voiture et non loin de l’étude des apôtres je les vois entrer.
Quand je passe ils sortent de leur voiture et une fraction de seconde j’ai une impression bizarre, ils sont trois et j’ai le sentiment de connaître cette personne.
Je freine, je recule et ma vision a été la bonne, je connais et même très bien la femme qui monte le perron n’est autre qu’Angélina que j’ai quittée dans mon lit sans faire de bruit ce matin.
Pour éviter qu’il ne me voie, je redémarre, je vais au club, les ouvriers sont là et c’est dans la cave à vin que je trouve le contremaître qui travaille à préparer ce que j’ai demandé à Criss pour exposer la bouteille exceptionnelle.

• Bonjour madame, nous calculons comment mettre en place le système qui permettra à votre bouteille d’être exposée sans risque et pour son contenu et éviter qu’elle ne soit volée, nous pensons avoir trouvé une solution, monsieur Criss connaît une société qui va pouvoir mettre en place le système grâce au plan que je vais lui envoyer.
• Vous avez vu des jumeaux ce matin.
• Oui, nous sommes arrivés ensemble devant la maison, ils connaissaient le système d’ouverture et avaient deux cartons de vins, ils m’ont dit de rester en haut le temps qu’ils descendent dans la chaufferie.
Là encore ils semblaient savoir où aller, j’étais étonné car monsieur Criss m’a bien dit que vous souhaitiez que cette pièce reste secrète à vos amis.
• Aucun problème, Mathieu et Luc gèrent le vin qui se trouve ici.
• Regardez, je démarre l’ordinateur, je contrôle les stocks et je vois qu’ils ont rentré les 12 bouteilles de champagne que je leur avais commandées, j’ai une amie friande de ce produit et je fais attention que mes stocks soient élevés.
• Je peux vous poser une question madame.
• Bien sûr.
• Vous avez combien de bouteilles entreposées ici.
• Je vous fais confiance, je connais votre discrétion à vous et votre équipe quand vous avez construit cette maison commandée par mon mari défunt, je regarde, total stock, 5 006 bouteilles.
Vous êtes bien 6 avec vos ouvriers.
• Oui.
• Je calcule 5 006, attendez trente secondes.
Pommard, moins 6 années 2 000, allées 32 au rayon 20.
Il me reste juste 5 000 bouteilles j’aime les compte rond.

Je me déplace et je donne un carton de 6 bouteilles au contremaître.

• Tenez, vous boirez ces bouteilles avec vos familles le jour de Noël, vous les avez bien mérités.
Joyeux Noël.
• Merci madame, du vin de Pommard, vous nous gattez.
• Les jumeaux après, qu’ont-ils fait ?
• Quand ils sont remontés ils ont demandé s’ils pouvaient voir les travaux que nous avions déjà faits, je les ai vus entrer dans l’appartement et quand nous calculions l’endroit où la bouteille serait placée une heure après nous les avons vus sortir avec une dame pendue à leurs bras.
Ils riaient fortement, ont salué et sont partis, nous ignorions que cette dame était là, nous sommes venus ici et vous êtes arrivé.

Une heure avec les jumeaux, certainement nue sur le lit comme je l’avais laissée, Angélina semble avoir une boulimie de sexe.
En prendre deux d’un coup fusent les copies conformes alors que depuis sa jeunesse elle était chaste, c’est monsieur le curé qui va être étonné si je lui dis la transformation que j’ai réussi à opérer avec l’une de ses manifestantes ainsi que son fils qui brille par son absence.

Après avoir mangé un morceau avec Petrov et Maryse revenant du complexe sportif où ils ont géré l’installation des footballeurs, je retourne à la mairie en retard, faire poiroter le curé est une douce vengeance pour les misères qu’il me fait.
Quand je passe devant chez les apôtres, une feuille A4 est placée sur la porte comme la fois où je les ai épuisés attachés sur l’un de mes lits.

« L’étude sera fermée jusqu’à 16 heures exceptionnellement avec nos excuses »

L’exception confirme la règle et Angélina doit aider à la confirmer, j’aimerais savoir s’ils vont la prendre en double pénétration lui prenant le petit par la même occasion,
Il est quatorze heures, Angélina est restée une heure avec eux au club, plus quatre heures dans l’étude, j’ai engendré une belle salope qui semble vouloir se rattraper de ses années d’abstinence.

• Madame vos rendez-vous sont arrivée, je les ai fait entrer comme vous me l’avez demandé, ils ont refusé le café, ils sont dans votre bureau.
• Ils ?
Ils sont plusieurs.

Ils, aux pluriels, je m’étais préparé à recevoir monsieur le curé, pas deux personnes.
Quand j’entre dans mon bureau la tenue de deux hommes qui sont là me montrent qu’outre notre curé un deuxième homme d’Église est là.
Je serre la main aux deux hommes et je les fais asseoir sur le canapé me plaçant dans un des deux fauteuils en croisant chastement mes jambes.

• Madame, je viens comme le veut le protocole vous saluer avant mon départ, je pensais rester dans notre commune encore quelques années mais mon évêque me demande d’accueillir le père Jean ce qui va me permettre de rejoindre L’abbaye de Notre-Dame de la Tamé, monastère Cistercien Trappiste en Savoie dans le massif des Bauges ou je vais finir ma vie dans la méditation et le travail de la terre.
Le père Jean saura peut-être comprendre les changements de notre temps comparé à un vieux curé comme moi, à 30 ans c’est une chance pour lui de continuer son sacerdoce dans votre ville.
Il est informé concernant le comité de décision sur des sujets graves et saura certainement prendre les bonnes décisions qu’impose cette fonction-là où je suis peut-être devenue un peu vieille France voire ringard.
Madame, je vous laisse avec lui si vous voulez lui parler, je quitte la ville le 26 décembre, je conduirais ma dernière messe de minuit avec lui, j’espère que nous vous y viendrez, un peu de recueillement sert à vos âmes de pécheurs.

Il se lève, il oublie de me serrer la main et quitte mon bureau dignement.

• Madame, je profite du départ de monsieur le curé pour vous donner ce pli urgent qui vient d’arriver par porteur, j’espère avoir bien fait.
• Oui, Germaine, entrez, je vous présente le remplaçant de monsieur le curé.
• Je suis heureuse de vous connaître nous nous verrons à la messe le dimanche avec ma famille et mes enfants.

Elle quitte la pièce, je regarde l’enveloppe venant de Belgique.

• Je verrais cela plus tard, monsieur le curé je vois que votre prédécesseur vous a bien expliqué ce que nous faisons avant de soumettre au conseil les grandes décisions que la commune doit prendre.
Je pense qu’il vous a parlé des dernières décisions prises pour les personnes à mettre à la tête du nouveau complexe sportif ou de l’implantation d’une usine de fabrication de granulés issus des déchets de bois, je vous préviendrais chaque fois que nous solliciterons vos conseils.
• Je compte sur vous pour m’aider, si vous le désirez je vous propose de nous rencontrer si j’hésite et je vous suivrais car vous avez l’expérience, j’ai bien senti qu’il y avait du ressentiment avec mon prédécesseur mais j’ai reçu des directives pour calmer le jeu, il faut savoir évoluer avec notre temps, au revoir madame.

Nous nous levons il me serre la main et sort.
Les quelques mots prononcés me font penser qu’il est au courant pour la maison des plaisirs féminins mais a reçu l’ordre d’éviter le sujet.
Je vais à mon bureau où se trouve l’enveloppe que je viens de recevoir.
Je l’ouvre proprement avec mon coupe-papier.

« Valérie, comme je te l’avais promis j’ai fait le nécessaire pour t’enlever l’épine du pied que constituait ton vieux curé, voilà ce que je savais pouvoir faire quand je t’ai fait cette promesse.
Quand j’ai commencé à me prostituer, j’ai fait la connaissance d’un jeune homme qui aurait pu changer l’orientation de ma vie…