LE CHANTIER (63) - histoire érotique

Le réveillon de Noël est en cours quand deux évènements viennent le troubler.
Après avoir été à la messe de minuit où notre vieux curé pendant sa dernière homélie nous a comparés à Satan et au retour chez moi pour le réveillon, je constate que Barbara ma belle-fille enceinte de mon fils Alexandre qui est en mer avec son bâtiment sait à cause de mes jumelles que je possède la maison des plaisirs.
Ce premier évènement aurait pu se suffire en lui-même si en ouvrant les cadeaux que je suis susceptible d’avoir choisi pour chacun de mes amis mais en réalité acheté par Nadia qu’elle a acheté à Angélina un collier sur lequel le nom gravé est « capucine ».
Notre nouvelle amie se met à pleurer me mettant dans l’embarras quand elle me demande comment et depuis quand je connais son secret.

• Angélina ou Capucine, j’ignore comment on doit t’appeler, Valérie ignore pourquoi je t’ai acheté ce collier et j’espère que tu vas éclaircir la situation.
Connais-tu Hilda et reconnais-tu cette femme sur cette photo ?

Tout en reniflant, sa réponse est sans ambiguïté.

• Hilda, oui, j’en ai connu une dans ma jeunesse en Belgique et je reconnais cette photo ou je suis en train de sucer une bite.
• Bien, je suis contente que tu reconnaisses que tu la connais et que ce soit bien toi sur cette photo.
Ici toutes les personnes qui vont s’asseoir autour de la table ont tous été franc sur leur vie antérieure avant de rencontrer Valérie.
Pourquoi as-tu joué la vierge effarouchée quand tu lui as fait croire que c’était la deuxième fois de ta vie après celle qui t’a amené ton fils que tu recevais la verge d’un homme dans ton intimité ?

Je suis effondrée, Nadia semble avoir été trop directe avec cette femme qui semble avoir eu une partie de sa vie remplie de problème et de mystère.

• Tu as raison Nadia, j’ai menti ou plutôt j’ai travesti la vérité, je vais vous dire pourquoi et j’espère retrouver votre confiance, je peux tout vous dire car le secret que je vais vous révéler mon fils en est au courant depuis ses 18 ans où je lui ai expliqué ce qui a été ma jeunesse, je peux parler en sa présence.
Je t’aime mon fils• C’est bien tout le monde t’écoute avec attention, sache avant de commencer que si tu as la franchise de tout nous dire connaissant le grand cœur de Valérie tout sera oublié surtout la nuit de Noël, nuit d’amour de votre dieu.
• Merci, je suis née hermaphrodite, pour les personnes qui connaissent ce nom après vos études il est lié dans votre mémoire aux escargots qui sont tous mâle et femelle.
Ce phénomène en réalité touche toutes les espèces qui recouvrent notre terre.
Pour ma part je suis née avec une vulve et un pénis.
Chez les hermaphrodites l’un de ces deux organes génitaux est capable de remplir la fonction qui chez les autres détermine leur sexe.
Pour moi, seule ma vulve avait tout ce qu’il fallait pour que je puisse procréer, mon pénis étant dépourvu de possibilité de faire des enfants car les testicules étaient manquants.
Jusque près de ma majorité j’ai vécu avec ce secret mes parents le sachant mais ma maman refusant d’admettre que j’étais différente.
C’est à ce moment qu’un malheur ma frappée quand tous les deux à quelques semaines d’intervalle sont morts.
Maman emportée par un mal foudroyant et mon père pendu car il refusait de vivre sans elle.
On m’a placé dans un foyer mais entre-temps le mal était fait car je suis tombée amoureuse d’un garçon qui était là après lui aussi avoir perdu ses parents.
Quand il m’a défloré, il a senti la verge que je possédais en plus de ma vulve et l’a dit à tous les autres, tous ont raillé mon état, de honte j’ai fui et pour échapper aux recherches je suis passé en Belgique.
Ayant atteint mes 18 ans pour survivre j’ai vécu d’expédients et c’est là que j’ai rencontré Hilda qui depuis quelques semaines se prostituait dans une maison de passe.
Elle était amoureuse d’un garçon qui avait pris une voie différente de celle qui aurait pu la faire quitter la voie dangereuse où elle s’était engagée.

Je me suis rapproché d’Angélina et c’est mon bras autour de son dos qu’en me fixant elle continue le récit de sa vie comme si elle parlait à moi seule alors que tous écoutaient son récit avec beaucoup d’attention.
Je remarquais dans le même temps que Nadia en avait fait de même avec Antonin à qui elle a pris la main.

• C’est moi qui lui ai demandé de me prostituer dans cette maison car j’étais sans un sous mes parents étant pauvres j’étais fauché.
Dès le premier soir par le bouche-à-oreille, j’étais devenue « Capucine » et il s’est dit qu’une femme mis homme mis femme montait avec les clients, je suis devenue la coqueluche du bordel.
Il y avait deux grandes putes qui travaillaient d’arrache-pied, Hilda qui pour oublier son amour déçu avait une boulimie de sexe pour amasser le maximum de fric et moi que l’on venait baiser pour voir le phénomène de la nature que j’étais.
Un jour je me suis retrouvée enceinte ce qui m’empêchait de monter avec les clients, de nouveau sans travailler, le petit bas de laine que j’avais amassé devenait insuffisant, Hilda a bien essayé de m’aider financièrement mais elle a parlé de mon cas à son ami qu’elle continuait à voir malgré ce qu’elle faisait et ce qu’il était devenu.

Je suis la seule à avoir lu la confession d’Hilda reçue dans sa lettre me parlant de notre curé et je me garde bien de révéler qui est cet ami ce qui contredit quelque peu les propos de Nadia qui a dit qu’entre nous rien n’était caché.

• J’ai quitté la Belgique pour rejoindre Paris où un gynécologue m’a pris en main pour le suivi de ma grossesse et a constaté mon anomalie.
Il m’a suivi jusqu’à ce que j’accouche mais m’a dirigé chez un confrère spécialiste de ma malformation.
Après la naissance de la prunelle de mes yeux, il m’a opéré et je suis redevenue Angélina qui a repris ses études pour devenir professeur et on m’a nommé ironie du destin proviseur adjoint dans un collège de Béthune près de la frontière belge et près du lieu où j’ai vécu ma jeunesse.
À Paris l’ami d’Hilda a continué à s’occuper de moi et m’a mis en contact avec le curé de Béthune, c’est là que pour élever mon fils je me suis enfermée dans ce personnage que vous avez connu quand je suis arrivée dans votre ville.
De Béthune à ici, j’étais persuadée que mon passé était définitivement oublié mais je me rends compte que je me trompais.
Benoit, tu m’excuseras quand je t’ai fait croire que tu étais le deuxième garçon qui me faisait l’amour, mais pendant tout le temps où j’ai tapiné, ce sont des kilomètres de bites que j’ai reçues en moi, puisque j’ai décidé de tous vous dire, des bites j’en ai sucé des centaines et j’ai souvent avalé leur sperme.
Valérie, quand avec Christian chez moi hier nous avons fait l’amour j’ai essayé de te dire tout cela allant même jusqu’à accepter à ce que tu me rases la chatte.
J’espérais que tu remarques la cicatrice qu’il me reste de l’emplacement où était mon pénis et que tu me demandes pourquoi elle était là, tu as semblé surprise mais tu t’es-tu et j’ai reculé à tout te dire.
Voilà, j’espère vous avoir tout dit sur ma vie et que vous me pardonnerez ce mensonge, mais comment Nadia as-tu connu tout cela ?
• C’est moi qui vais t’expliquer, la commune quand j’ai succédé à l’ancien maire qui est mort était en pourparlers avec une société hollandaise qui cherchait à s’implanter dans notre région pour exploiter nos forêts dans le retraitement du bois, le monde est petit et la propriétaire n’est autre qu’Hilda et nous avons sympathisé.
Elle est venue, a vu mon héritage et a investi dans notre Palais des plaisirs ou ton fils va travailler avec Benoit, Ange et Malvina qui va venir de Paris après les fêtes ou nous l’avons recrutée, je crois qu’après ta franchise avec Antonin vous êtes les bienvenues dans ma maison autour de notre repas de Noël, patron j’ai soif.

Chacun des présents vient vers nous et embrasse Angélina car pour nous je crois me faire la porte-parole de tous pour dire que la capucine de la photo avaleuse de bite alors qu’elle nous avait fait croire qu’elle était inexpérimentée avait définitivement disparu.
Adieu Capucine bonjour Angélina, pourtant elle accepte ce nom car Nadia lui place le collier autour de son cou.
Le repas se passe dans la joie, je suis assise à côté de mon amie qui vient de nous révéler ce que la nature peut faire de bien ou de mal entraînant des comportements déviants et pour la rassurer sur ce que je pense d’elle et de son histoire incroyable je pose ma main sur sa cuisse.
Le repas terminé, il est quatre heures du matin quand Barbara s’approche de moi accompagné de Christian qui semble l’avoir chaperonné toute la soirée.

• Mon cœur je conduis ma future belle-fille à la piscine avant qu’elle aille se coucher car elle est fatiguée et son dos la fait souffrir.
• Va mon cœur je te rejoins dans quelques minutes.

Je vois mes filles accompagnées par Ange, Sylvain, Benoit et Antonin, qui a écouté sa mère sans sembler s’émouvoir, les suive alors que Mathieu et Luc assis sur le canapé accompagné de Maryse et Petrov boivent une tasse de café.
Nadia qui parlait avec le cuisinier brille par son absence, elle a peut-être rejoint les autres jeunes sans que je ne la voie sortir.
Je prends conscience que Damien le cuisinier a certainement tout entendu de la confession d’Angélina et qu’il faut l’empêcher de divulguer à qui ce soit le lourd secret de notre amie.
J’ai bien pris conscience qu’elle a réussie à se sortir de la situation où la vie l’avais mise et qu’il serait inadmissible de l’y replonger car Nadia avec justesse a refusé qu’elle nous-mêmes en bateau.

• Votre repas était en tout point succulent mais je tiens à ce que vous me promettiez de vous taire sur ce que vous avez entendu.
Dans cette maison il y a un groupe de louves qui vous massacreraient si vous aviez le malheur de divulguer la moindre parcelle de cette histoire.
Venez que je vous suce pour sceller notre pacte.

C’est ce que j’entends quand je m’approche de la porte de la cuisine et c’est Nadia qui comme moi a pris conscience du mal fait depuis le début de la vie à Angélina.
Antonin semble être à ce jour le seul moment de joie qu’elle ait eu dans cette période au point de l’étouffer.
Nous sommes arrivées à point pour rectifier la situation bizarrement grâce au vieux curé qui sans le savoir aura fait une dernière bonne action avant de quitter notre paroisse en les faisant manifester devant la maison que je vais ouvrir pour le plaisir des femmes et non à la gloire de Satan.
Toujours spontanée et libre de son corps ma petite Nadia la louve la plus perverse de la meute semble se sacrifier pour que notre amie vive en pleine sérénité au milieu de nous.
Après avoir relevé le tablier qui protège son pantalon la fermeture cède rapidement me montrant un sexe gros et noueux, comme elle vient de lui dire malgré sa grande dimension elle arrive à l’avaler avant de le pomper pendant de longues minutes.
Quad elle se relève pour s’asseoir les fesses sur la table, il l’a saisie et plonge en elle lui arrachant un cri qui se transforme rapidement en cri de plaisir…