Le fantasme de bareback de Gustave
Récit érotique écrit par lelivredejeremie [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-10-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le fantasme de bareback de Gustave
- C’était la dernière fois, gamin… a-t-il grogné, en se retirant un peu trop brusquement. Comme il fait tout…
- Oui, je sais, j’ai vu le mot que tu as laissé, je pense que ma mère a trouvé quelqu’un pour te remplacer… Mahmoud, je pense.
- Je parle pas du jardin, mais de… ça.
- Hein ? Pourquoi ? ai-je haleté, temporairement satisfait, mais encore gourmand de sa queue épaisse, avant d’ajouter ‘’J’aime bien, moi !’’ pour directement le regretter.
- Je sais, je le vois, je le sens… Mais non, la dernière fois ainsi, je veux dire, la prochaine, je te baise sans ça, a grogné Gustave, en secouant la capote nouée sous mon nez. ‘’Ta faute, un peu, sur le vieil ordi que tu m’as filé, avec tes liens précieux, j’ai vu plein de vidéos de mecs qui remplissent à cru le joli cul de petites putes comme toi, ça m’excite à crever, je veux voir mon jus couler de ton trou béant qui palpite, comme là, tiens… a-t-il dit, en m’écartant les fesses.
- Ça n’arrivera pas, Gustave, précaution et sécurité.
- Putain, p’tit con, chuis propre, y a que ton cul que je baise, mais t’en es assez content, je crois.
Propre, faut le dire vite, si je lui tourne le dos, il y a une raison… Je ne veux même pas savoir ce qu’il a sous le prépuce, le latex m’en préserve, je peux me prendre sa queue de seize sur quatre sans m’en inquiéter. Parce que les 4cm de large, ben… j’ai jamais connu ça ailleurs, et on dira ce qu’on voudra, l’épaisseur, ben, ça fait la différence…
Après, pourquoi je me le prends… Il y a un contexte. Flou. Le seul truc clair, c’est que…
Il y a deux mois…
Fait #1 Maman était à Berlin pour trois jours.
Fait #2 Elle n’était pas là pour les résultats de mon bac, reçu avec mention.
Fait #3 Tristan l’avait flingué, on avait fêté le mien et noyé le sien dans trop de bouteilles d’alcool
Fait #4 En posant le pied sur le sol, j’ai écrasé deux capotes nouées et une vide…
Fait #5 On était toujours bourrés de la veille, mais Tristan a braillé ‘pisciiiiine’.
Il avait plongé à poil, je l’avais suivi, pas plus habillé, pour juste me poser sur le bord, mes jambes battant mollement l’onde.
- Je suis tout propre, avait-il dit, avant de me projeter de l’eau sur l’entrejambe ‘’Pour te rafraichir le cul, il en a besoin…’’
C’est le moment que Gustave avant choisi pour sortir de l’abri de jardin, pour s’arrêter et nous observer.
- C’est qui, lui ? avait demandé Tristan, soudain paniqué. ‘’Il ne devait y avoir personne.’’
- Le jardinier… avais-je ânonné.
Avant de voir mon mec s’enfuir.
- Jérémie, avait dit Gustave, ‘’il y a peut-être un problème d’allumage et d’alimentation, si tu veux venir…’’
- Putain, mais qu’est-ce que j’y connais en mécanique ?’’ avais-je grommelé, emballé dans une serviette de bain qui trainait, pour le rejoindre dans la cabine, dont il avait refermé la porte sur nous.
- Je ne parlais pas de la tondeuse, mais de ton injection, à toi…
- Pardon ?
- Ben, le garçon a parlé de te rafraichir le cul, et t’as pas l’air d’avoir trop dormi, c’était bon, t’as bien pris ?
- Ecoutez, Gustave, ça ne vous regarde pas, et…
- Ça pourrait regarder ta mère, tu crois que ça lui plairait d’apprendre que son gentil garçon bien sous tous rapports se prend des petites bites dans le cul ?
- Je ne vois pas comment elle l’apprendrait, puis qui parle de petites ? ai-je demandé, provocateur.
- Parce que, de un, je pourrais lui en parler, et de deux, une vraie bite, c’est ça, a-t-il dit, en détachant les bretelles de sa salopette, pour exposer une queue lourde et veinée, déjà semi-dressée, et dont le gland commençait à jaillir du prépuce.
- Hmmm ;.. Il serait bien qu’elle l’ignore, combien pour votre silence ?
- Pas de fric, ton cul, gamin !
Woputain ! Nooon…
En même temps, avant de descendre dans le jardin, Tristan avait misérablement tenté de me baiser une dernière fois, avant de ramollir, et de jeter la dernière capote… J’étais probablement encore dilaté, et si c’était le prix du silence de Gustave…
J’avais planqué des préservatifs dans plusieurs endroits, selon l’envie et le mec du moment… Le rack à outils du garage, où Loïc m’a baisé sur le capot de la voiture, l’armoire à épices de la cuisine où Léo m’a possédé sur l’ilot central… Le stock principal était dans l’abri de jardin, pour la proximité de la piscine, et du corps de Lionel, Jérôme, Louis, Gaëtan, les jumeaux Damien et Romain (double pénétration, eux, bof…), puis mon répétiteur de math, 40 ans, infiniment mieux membré que mes potes, et qui m’avait mis mon premier orgasme anal, jamais répété… Alors, Gustave, et sa queue épaisse, de dos… J’étais réceptif…
- Capote ! ai-je dit en la lui tendant. Pour sentir quelques secondes plus tard son gland sur ma rosette, et lui qui s’enfonce. ‘’Aaaaah ! Non, ça fait maaaaal…’’
- Ça va être bon, t’inquiète, dans les vidéos, ça le fait, a-t-il grogné en se retirant lentement, pour s’enfoncer à nouveau, assez brusquement…
Le pire, c’est que ce con avait raison, une fois la douleur lentement effacée, un plaisir connu une seule fois a fait son apparition, celui que l’étudiant en maths appliquées m’avait… ben oui, appliqué ! Une sensation étrange qui avait envahi mon bassin, avant de jeter des décharges électriques dans mon système nerveux, d’abord mon bassin, puis mes jambes et mon torse, pour finir par m’exploser une décharge d’endorphine dans le cerveau, et me procurer un plaisir infini !
Deux mois - et huit baises plus tard, Gustave vient de se retirer de mon cul, et de me faire sa proposition à la con d’y jouir sans latex, ‘’comme les mecs de Czech Hunter, tu vois ?’’ Qu’il visite avidement, on dirait…
- C’est juste du porno sur le net, Gustave, ce n’est pas réaliste.
- Je l’ai vu sur l’ordi que tu m’as donné, le mec leur éjacule dans le trou, puis ça coule, je veux voir ça !
Misère, je suis pas rendu, moi, ai-je pensé, avant d’oser ‘’C’est ton anniversaire dimanche, non, Gustave ? Maman me l’a dit.’’
- Oh ! Elle s’en est souvenue, c’est gentil. Bon, faudrait pas non plus lui gâcher la journée si elle apprenait que…
Encore son chantage à la con… Je dois trouver une solution !
- Et si je venais plutôt chez toi, samedi soir, et on verrait ce qu’il se passe… ?
- Quoi ? Tu viendrais, Jérémie ? Je changerais les draps…
Après dieu sait combien de mois, ce ne serait pas dommage ai-je pensé.
Dans son salon ringard, je me dandine, entièrement nu, à l’exception des indispensables gants en latex…
Gustave tête stupidement le pétard que j’ai roulé…
- Tu m’excites, Jérémie ! Tu l’imagines dans ton cul ? m’a-t-il dit, tenant son sexe dressé dans son poing, couvert de son sperme, après s’être branlé, à ma demande, sur son canapé pourri.
- Tellement, Gustave, mais on est toujours samedi, ai-je suggéré, c’est pour demain.
- A minuit, je te baise ton petit cul serré ! Sinon, ta mère saura que je l’ai déjà fait !
- C’est ça, oui… En attendant, il serait poli que tu m’accompagnes sur ce whisky que je t’ai offert.
- C’est bon, je connaissais pas, mais comment il en reste encore autant dans la bouteille ?
- Ça se déguste, ai-je dit en poussant la première, vide, sous un meuble. ‘’Au plus on en boit, au meilleur le sexe, Gustave.’’
- Tu vas pendre, gamin, a-t-il ânonné, avant de s’assoupir…
J’ai sorti le cutter Stanley © (autant prendre du bon) que j’ai demandé à Tristan d’acheter, j’ai repéré son artère fémorale dans le creux de sa cuisse, et avec un dernier regard vers la queue qui m’avait donné tellement de plaisir, je l’ai tranchée.
J’ai essuyé de mon corps les gouttes d’hémoglobine qui avaient giclé, et lui ai calé l’outil, couvert de son sang dans la main, pour ouvrir le pc que je lui avais donné sur une vidéo dégueulasse où un mec baise un gamin sans respect…
‘Merci au tri sélectif’ ai-je pensé en sortant le billet que Gustave avait laissé sur la table de jardin la semaine dernière, après avoir tondu quatre lignes de gazon, pour abandonner la machine au milieu du jardin.
Je l’avais tapé dans la caisse de carton pour la prochaine levée, pour transmettre oralement le message à maman. Comme un bon fils, sous son regard ridiculement fier, j’avais ensuite terminé la tonte du jardin, elle m’en avait remercié, ajoutant que ce n’est vraiment pas à moi de m’en occuper, je devais me concentrer sur mes études, mes amis, Pauline, et ma vie en général.
Je venais de le récupérer
[Mon corps en a envie, mais je n’en peux plus]
C’est juste parfait, la bonne dose de flou, et avec un peu d’imagination, de double sens
- Gustave s’est suicidé ! La police a des questions, a dit maman, en me présentant un jeune officier très appétissant.
- Le vieux monsieur bien gentil ? ai-je dit, innocemment.
- Peut-être pas si gentil que ça, il a eu des activités suspectes sur un ordinateur qui vous appartenait. On peut en parler en privé ?
Maman a approuvé et nous a ouvert son bureau.
Eh meeerde ! Oui, l’étiquette avec mon nom en-dessous, je ne l’avais pas retirée…
- Oh, oui, c’est vrai, je ne m’en servais plus, je l’avais nettoyé et vidé avant de le lui donner, il doit rester des traces de DM du lycée, mais sinon...
- Ne vous inquiétez pas, je ne parle que de l’activité récente de Gustave M*** sur l’ordinateur, qui signale des visites nombreuses sur des sites douteux…
- Que voulez-vous dire, officier… euh… Le Floc’h ? ai-je lu sur son badge, pour remarquer le relief gourmand sous on pantalon. ‘’J’ai juste aidé Gustave à créer une boite mail et je lui ai montré deux-trois trucs sur le net, c’est tout.
- Il semblait avoir un goût particulier pour les jeunes comme n… euh… comme vous ! Aucune tentative d’approche douteuse ? Non, tant mieux… En même temps, avec son physique, son hygiène, et l’état de délabrement de son logement, c’était peu probable, il a dû réaliser… que c’était irréalisable.
- Quel drame, ai-je dit. ‘’En même temps, si l’abstinence était une raison de suicide…’’ ai-je ajouté, avec le regard larmoyant du Chat Potté dans Schreck.
Mahmoud est plutôt nul pour la tonte du gazon, mais je lui ai fait découvrir l’abri de jardin, et à sa première visite, j’ai eu son drôle de gland charcuté en bouche, mais bon, dressé, pas trop de différence, et c’était bon, mais surtout, coincé à crever, muselé par sa culture, forcément discret, il fait l’affaire pour un samedi matin…
Mais là, on est jeudi, maman a une réunion tardive en tête-à-tête avec son boss, et dans la piscine, j’ai la queue de l’officier Le Floc’h dans le cul. Comme un rituel, il se présente après sa journée de travail, il joue le jeu des questions de son enquête ‘’pas encore tout à fait résolue’’, auxquelles je ne répondrai jamais, puis il a un moment d’absence lorsque, comme un rituel, je lui abaisse son pantalon de fonction, il joue l’étonné, déshabille son corps parfait et me baise vigoureusement, jusqu’u moment de l’orgasme anal qu’il sait me procurer, pour s’interrompre et me demander ‘’As-tu tué Gustave M***’’’ Systématiquement, je réponds ‘’non’’, pour recevoir son coup de bite suivant, puis un autre, et un autre, qui l’amènent à se vider en moi.
Il aura toujours un doute, mais c’est l’épice de notre relation. Et je me suis renseigné, qu’il soit encore ou non dans ma vie, je pourrai le lui avouer lorsque j’aurai 49 ans, il y aura prescription.
- Oui, je sais, j’ai vu le mot que tu as laissé, je pense que ma mère a trouvé quelqu’un pour te remplacer… Mahmoud, je pense.
- Je parle pas du jardin, mais de… ça.
- Hein ? Pourquoi ? ai-je haleté, temporairement satisfait, mais encore gourmand de sa queue épaisse, avant d’ajouter ‘’J’aime bien, moi !’’ pour directement le regretter.
- Je sais, je le vois, je le sens… Mais non, la dernière fois ainsi, je veux dire, la prochaine, je te baise sans ça, a grogné Gustave, en secouant la capote nouée sous mon nez. ‘’Ta faute, un peu, sur le vieil ordi que tu m’as filé, avec tes liens précieux, j’ai vu plein de vidéos de mecs qui remplissent à cru le joli cul de petites putes comme toi, ça m’excite à crever, je veux voir mon jus couler de ton trou béant qui palpite, comme là, tiens… a-t-il dit, en m’écartant les fesses.
- Ça n’arrivera pas, Gustave, précaution et sécurité.
- Putain, p’tit con, chuis propre, y a que ton cul que je baise, mais t’en es assez content, je crois.
Propre, faut le dire vite, si je lui tourne le dos, il y a une raison… Je ne veux même pas savoir ce qu’il a sous le prépuce, le latex m’en préserve, je peux me prendre sa queue de seize sur quatre sans m’en inquiéter. Parce que les 4cm de large, ben… j’ai jamais connu ça ailleurs, et on dira ce qu’on voudra, l’épaisseur, ben, ça fait la différence…
Après, pourquoi je me le prends… Il y a un contexte. Flou. Le seul truc clair, c’est que…
Il y a deux mois…
Fait #1 Maman était à Berlin pour trois jours.
Fait #2 Elle n’était pas là pour les résultats de mon bac, reçu avec mention.
Fait #3 Tristan l’avait flingué, on avait fêté le mien et noyé le sien dans trop de bouteilles d’alcool
Fait #4 En posant le pied sur le sol, j’ai écrasé deux capotes nouées et une vide…
Fait #5 On était toujours bourrés de la veille, mais Tristan a braillé ‘pisciiiiine’.
Il avait plongé à poil, je l’avais suivi, pas plus habillé, pour juste me poser sur le bord, mes jambes battant mollement l’onde.
- Je suis tout propre, avait-il dit, avant de me projeter de l’eau sur l’entrejambe ‘’Pour te rafraichir le cul, il en a besoin…’’
C’est le moment que Gustave avant choisi pour sortir de l’abri de jardin, pour s’arrêter et nous observer.
- C’est qui, lui ? avait demandé Tristan, soudain paniqué. ‘’Il ne devait y avoir personne.’’
- Le jardinier… avais-je ânonné.
Avant de voir mon mec s’enfuir.
- Jérémie, avait dit Gustave, ‘’il y a peut-être un problème d’allumage et d’alimentation, si tu veux venir…’’
- Putain, mais qu’est-ce que j’y connais en mécanique ?’’ avais-je grommelé, emballé dans une serviette de bain qui trainait, pour le rejoindre dans la cabine, dont il avait refermé la porte sur nous.
- Je ne parlais pas de la tondeuse, mais de ton injection, à toi…
- Pardon ?
- Ben, le garçon a parlé de te rafraichir le cul, et t’as pas l’air d’avoir trop dormi, c’était bon, t’as bien pris ?
- Ecoutez, Gustave, ça ne vous regarde pas, et…
- Ça pourrait regarder ta mère, tu crois que ça lui plairait d’apprendre que son gentil garçon bien sous tous rapports se prend des petites bites dans le cul ?
- Je ne vois pas comment elle l’apprendrait, puis qui parle de petites ? ai-je demandé, provocateur.
- Parce que, de un, je pourrais lui en parler, et de deux, une vraie bite, c’est ça, a-t-il dit, en détachant les bretelles de sa salopette, pour exposer une queue lourde et veinée, déjà semi-dressée, et dont le gland commençait à jaillir du prépuce.
- Hmmm ;.. Il serait bien qu’elle l’ignore, combien pour votre silence ?
- Pas de fric, ton cul, gamin !
Woputain ! Nooon…
En même temps, avant de descendre dans le jardin, Tristan avait misérablement tenté de me baiser une dernière fois, avant de ramollir, et de jeter la dernière capote… J’étais probablement encore dilaté, et si c’était le prix du silence de Gustave…
J’avais planqué des préservatifs dans plusieurs endroits, selon l’envie et le mec du moment… Le rack à outils du garage, où Loïc m’a baisé sur le capot de la voiture, l’armoire à épices de la cuisine où Léo m’a possédé sur l’ilot central… Le stock principal était dans l’abri de jardin, pour la proximité de la piscine, et du corps de Lionel, Jérôme, Louis, Gaëtan, les jumeaux Damien et Romain (double pénétration, eux, bof…), puis mon répétiteur de math, 40 ans, infiniment mieux membré que mes potes, et qui m’avait mis mon premier orgasme anal, jamais répété… Alors, Gustave, et sa queue épaisse, de dos… J’étais réceptif…
- Capote ! ai-je dit en la lui tendant. Pour sentir quelques secondes plus tard son gland sur ma rosette, et lui qui s’enfonce. ‘’Aaaaah ! Non, ça fait maaaaal…’’
- Ça va être bon, t’inquiète, dans les vidéos, ça le fait, a-t-il grogné en se retirant lentement, pour s’enfoncer à nouveau, assez brusquement…
Le pire, c’est que ce con avait raison, une fois la douleur lentement effacée, un plaisir connu une seule fois a fait son apparition, celui que l’étudiant en maths appliquées m’avait… ben oui, appliqué ! Une sensation étrange qui avait envahi mon bassin, avant de jeter des décharges électriques dans mon système nerveux, d’abord mon bassin, puis mes jambes et mon torse, pour finir par m’exploser une décharge d’endorphine dans le cerveau, et me procurer un plaisir infini !
Deux mois - et huit baises plus tard, Gustave vient de se retirer de mon cul, et de me faire sa proposition à la con d’y jouir sans latex, ‘’comme les mecs de Czech Hunter, tu vois ?’’ Qu’il visite avidement, on dirait…
- C’est juste du porno sur le net, Gustave, ce n’est pas réaliste.
- Je l’ai vu sur l’ordi que tu m’as donné, le mec leur éjacule dans le trou, puis ça coule, je veux voir ça !
Misère, je suis pas rendu, moi, ai-je pensé, avant d’oser ‘’C’est ton anniversaire dimanche, non, Gustave ? Maman me l’a dit.’’
- Oh ! Elle s’en est souvenue, c’est gentil. Bon, faudrait pas non plus lui gâcher la journée si elle apprenait que…
Encore son chantage à la con… Je dois trouver une solution !
- Et si je venais plutôt chez toi, samedi soir, et on verrait ce qu’il se passe… ?
- Quoi ? Tu viendrais, Jérémie ? Je changerais les draps…
Après dieu sait combien de mois, ce ne serait pas dommage ai-je pensé.
Dans son salon ringard, je me dandine, entièrement nu, à l’exception des indispensables gants en latex…
Gustave tête stupidement le pétard que j’ai roulé…
- Tu m’excites, Jérémie ! Tu l’imagines dans ton cul ? m’a-t-il dit, tenant son sexe dressé dans son poing, couvert de son sperme, après s’être branlé, à ma demande, sur son canapé pourri.
- Tellement, Gustave, mais on est toujours samedi, ai-je suggéré, c’est pour demain.
- A minuit, je te baise ton petit cul serré ! Sinon, ta mère saura que je l’ai déjà fait !
- C’est ça, oui… En attendant, il serait poli que tu m’accompagnes sur ce whisky que je t’ai offert.
- C’est bon, je connaissais pas, mais comment il en reste encore autant dans la bouteille ?
- Ça se déguste, ai-je dit en poussant la première, vide, sous un meuble. ‘’Au plus on en boit, au meilleur le sexe, Gustave.’’
- Tu vas pendre, gamin, a-t-il ânonné, avant de s’assoupir…
J’ai sorti le cutter Stanley © (autant prendre du bon) que j’ai demandé à Tristan d’acheter, j’ai repéré son artère fémorale dans le creux de sa cuisse, et avec un dernier regard vers la queue qui m’avait donné tellement de plaisir, je l’ai tranchée.
J’ai essuyé de mon corps les gouttes d’hémoglobine qui avaient giclé, et lui ai calé l’outil, couvert de son sang dans la main, pour ouvrir le pc que je lui avais donné sur une vidéo dégueulasse où un mec baise un gamin sans respect…
‘Merci au tri sélectif’ ai-je pensé en sortant le billet que Gustave avait laissé sur la table de jardin la semaine dernière, après avoir tondu quatre lignes de gazon, pour abandonner la machine au milieu du jardin.
Je l’avais tapé dans la caisse de carton pour la prochaine levée, pour transmettre oralement le message à maman. Comme un bon fils, sous son regard ridiculement fier, j’avais ensuite terminé la tonte du jardin, elle m’en avait remercié, ajoutant que ce n’est vraiment pas à moi de m’en occuper, je devais me concentrer sur mes études, mes amis, Pauline, et ma vie en général.
Je venais de le récupérer
[Mon corps en a envie, mais je n’en peux plus]
C’est juste parfait, la bonne dose de flou, et avec un peu d’imagination, de double sens
- Gustave s’est suicidé ! La police a des questions, a dit maman, en me présentant un jeune officier très appétissant.
- Le vieux monsieur bien gentil ? ai-je dit, innocemment.
- Peut-être pas si gentil que ça, il a eu des activités suspectes sur un ordinateur qui vous appartenait. On peut en parler en privé ?
Maman a approuvé et nous a ouvert son bureau.
Eh meeerde ! Oui, l’étiquette avec mon nom en-dessous, je ne l’avais pas retirée…
- Oh, oui, c’est vrai, je ne m’en servais plus, je l’avais nettoyé et vidé avant de le lui donner, il doit rester des traces de DM du lycée, mais sinon...
- Ne vous inquiétez pas, je ne parle que de l’activité récente de Gustave M*** sur l’ordinateur, qui signale des visites nombreuses sur des sites douteux…
- Que voulez-vous dire, officier… euh… Le Floc’h ? ai-je lu sur son badge, pour remarquer le relief gourmand sous on pantalon. ‘’J’ai juste aidé Gustave à créer une boite mail et je lui ai montré deux-trois trucs sur le net, c’est tout.
- Il semblait avoir un goût particulier pour les jeunes comme n… euh… comme vous ! Aucune tentative d’approche douteuse ? Non, tant mieux… En même temps, avec son physique, son hygiène, et l’état de délabrement de son logement, c’était peu probable, il a dû réaliser… que c’était irréalisable.
- Quel drame, ai-je dit. ‘’En même temps, si l’abstinence était une raison de suicide…’’ ai-je ajouté, avec le regard larmoyant du Chat Potté dans Schreck.
Mahmoud est plutôt nul pour la tonte du gazon, mais je lui ai fait découvrir l’abri de jardin, et à sa première visite, j’ai eu son drôle de gland charcuté en bouche, mais bon, dressé, pas trop de différence, et c’était bon, mais surtout, coincé à crever, muselé par sa culture, forcément discret, il fait l’affaire pour un samedi matin…
Mais là, on est jeudi, maman a une réunion tardive en tête-à-tête avec son boss, et dans la piscine, j’ai la queue de l’officier Le Floc’h dans le cul. Comme un rituel, il se présente après sa journée de travail, il joue le jeu des questions de son enquête ‘’pas encore tout à fait résolue’’, auxquelles je ne répondrai jamais, puis il a un moment d’absence lorsque, comme un rituel, je lui abaisse son pantalon de fonction, il joue l’étonné, déshabille son corps parfait et me baise vigoureusement, jusqu’u moment de l’orgasme anal qu’il sait me procurer, pour s’interrompre et me demander ‘’As-tu tué Gustave M***’’’ Systématiquement, je réponds ‘’non’’, pour recevoir son coup de bite suivant, puis un autre, et un autre, qui l’amènent à se vider en moi.
Il aura toujours un doute, mais c’est l’épice de notre relation. Et je me suis renseigné, qu’il soit encore ou non dans ma vie, je pourrai le lui avouer lorsque j’aurai 49 ans, il y aura prescription.
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