Le frimeur de la plage naturiste

- Par l'auteur HDS Charly Chast -
Auteur homme.
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Récit libertin : Le frimeur de la plage naturiste Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-03-2022 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le frimeur de la plage naturiste
Le frimeur de la plage naturiste

Il y a des mecs comme ça, des gigolos, des dragueur de supermarché … Lui c'était un frimeur de plage naturiste. Et dans son genre il se la pétait bien comme il faut … et tout ça parce qu'il avait une grosse queue, je ne vous raconte pas.

Oh et puis si, finalement je vous raconte.

Voilà il faisait un très beau temps, nous étions hors saison mais il faisait un temps d'été. J'arrivais sur la plage, une côte sauvage sans aucune installation, pas de concession, pas de buvette, pas grand monde encore. Les seules installations qu'on peut trouver sont des petits murets montés par les bronzeurs. Il y a plein de grosse pierres plate sue cette plage, des pierres de trente à quarante centimètres de larges et c'est une habitude, nombre de de personnes qui viennent de prélasser sur place les empiles pour se faire des petits espace plus intimes.

Il était là debout, bien posé sur ses deux jambes bien stables et bien fortes, des fesses à croquer, une belle silhouette, les bras croisé et la casquette bien vissée sur sa tête il regardait depuis ses lunettes de soleil l'horizon, la mer, la plage ou il y avait … rien !

Bein oui rien ! C'est pas que je ne sais pas quoi dire mais comme je l'expliquais plus haut, il faisait beau mais on était hors saison … Il n'y avait personne sur la plage. Je descendais par la dune, je le voyais de dos et je me disais dans ma tête … '' Pas mal le mec, il n'y a pas grand monde aujourd'hui mais le peu qu'il y a vaut le déplacement !''.

Je vous jure je n'exagère pas il était bien, solide sur ses jambes, carré, déjà légèrement bronzé, ça devait être un local … Les rares touriste en cette saison, sont tout blanc. Il y avait déjà eu du passage sur cette plage, il y avait déjà tout un tas de ces murets en forme de U qui décoraient la plage. Je m'installais dans un de ces petits espaces réservé. J'espérais pouvoir préserver un minimum d'intimité et pouvoir bronzer tout nu.

Non ce n'est pas un élan de pruditude, mais je porte un dispositif de chasteté autour de ma queue et je préfère autant éviter de m'exhiber devant tout le monde comme ça … C'est pas de la pruditude, peut être un peu de timiditude mais rien de plus. Et c'est là que j'ai remarqué que le mec, il bandait !

De dos je n'avais pas remarqué, mais de profil on ne voyait que ça. Surtout qu'il en avait une belle. Il avait l'air décontracté façon '' M'as tu vu quand je bande ? ''. Il n'en était que plus beau et là j'ai senti une pression dans ma cage, il me faisait bander le mec, mais bon avec moi il n'y avait aucune chance que quoi que ce soit ne se voit sous mon maillot de bain.

Il ne m'avait pas remarqué, il se tenait droit, la queue droite elle aussi. Dressé bien vertical, la queue dressée elle aussi mais à l'horizontale. Bien large, bien longue, mieux qu'une saucisse de Morteau, elle devait faire plus de vingt centimètres et je ne pouvais pas en détacher les yeux.

Son regard profond, enfin je le supposais, parcourait la plage de droite à gauche, sa tête suivait le mouvement mais il semblait ne pas m'avoir remarqué. Je ne sais pas pourquoi mais à cet instant je me suis senti vexé. La serviette installée sur le sable et soudainement agacé par ce frimeur super beau gosse avec une grosse queue qui commençait à bien me chauffer la cervelle, j'ai retiré mon maillot de bain.

Avec mon maillot de bain je ne présentais aucun signe particulier mais sans … C'était autre chose. Mon dispositif, bien que petit était très visible de loin, surtout qu'il était blanc. Sinon sous la moindre étoffe il était vraiment très discret mais là, il n'y avait plus d'étoffe. Je prenais alors la même position que le mec qui là, me faisait chauffer la cervelle, c'était pas le soleil, je connais la différence depuis ma dernière insolation …
Je me vissait alors ma casquette sur la tête, la visière penchée en avant et de loin cachait mes yeux, les lunettes de soleil sur le nez, je faisais comme lui je regardait le bleu de l'azur et tournait la tête de droite à gauche pour regarder comme je vous le disais plus haut … rien !

Sur la plage ça ne changeait pas. De petits oiseaux de mer taille mini couraient sur le sable, un d'entre eux s'approchait et montait sur le sable sec je le suivais du regard et mes yeux arrivaient de nouveau sur mon compagnon, il regardait dans ma direction, le regard sombre sous ses lunettes de soleil, il avait toujours les bras croisés, il bandait toujours mais là sa queue s'était relevée, elle était presque à la verticale. Je le regardais fixement et lui faisait un sourire, un de ces sourire nigaud qu'on fait juste en contractant la peau des joues.

J'ai vu alors apparaître un large sourire et une rangée de dents éclatantes, il riait presque. Son regard n'était plus sombre du tout, c'était ses lunettes. Il me saluait de la tête. Là je sentais son regard glisser sur mon corps, s'arrêter sur ma cage à bite et sa queue se relevait complètement et se collait contre son ventre. Elle était encore plus grosse, elle pouvait faire peur, moi elle me faisait envie.

Je m'imaginais déjà la sentir glisser dans mes entrailles, après m'avoir dilaté le cul je la sentais presque me défoncer le cul jusqu'aux amygdales. Ma queue se révoltait et poussait de toutes ses forces contre ma cage, je manquais d'air et un instant, je m'imaginais ce garçon superbe me faisant le bouche à bouche. Je vous jure que s'il essaye il faudra qu'il insiste pour me réveiller tant je me laisserais faire.

Il rigolait le con, je croisais les mains dans mon dos, je ne savais plus quoi faire moi. Il enjambait le petit muret de pierres et me faisait signe de la tête de le suivre, j'en faisais de même et le rejoignais en quelques seconde.

Il avait une voix douce, il s'appelait Karim, il était d'origine bretonne, mais pas son papa … On a fait connaissance. Il bandait toujours, j'en faisais de même mais d'une manière plus discrète.

Il me demandait pourquoi je portais ce truc … Je lui expliquais alors que j'étais principalement passif, que je voulais découvrir de nouvelles sensations, qu'on s'y fait et que … Oui je lui faisais une version courte. Ça l'amusait mais sa queue restait coller contre son ventre, bien ferme, bien grosse, bien raide.

– C'est moi qui te fait cet effet ? Lui demandais-je en regardant sa queue.
– Devine ! Il n'y a personne d'autre. Me répondait-il avec un sourire coquin.

On entrait dans l'eau et au moment ou en avions jusqu'à la ceinture il s'est approché de moi, à tendu la main dans ma direction, l'a glissé sur mes reins, m'a tiré vers lui. Je sentais alors la douceur de sa peau, sa chaleur, la force de ses muscles et ses lèvres sur les miennes, sa langue contre mes lèvres puis sur ma langue.

Il me tenait contre lui et je sentais sa bite, son énorme bite bien dure, bien ferme, bien chaude contre mon ventre, contre ma peau. Je refermais enfin mes bras sur ce corps superbe. Nous ne sommes pas resté longtemps dans l'eau. Je le rejoignais derrière son muret, je m'y installais et à partir de là, le reste de l'après midi n'était plus que douceur.

On se serrait l'un contre l'autre, on s'embrassait, on se faisait un énorme câlin. On n'a vu passer personne mais ça ne veut rien dire, on était très occupé et si quelqu'un était passé il aurai fallu qu'il s'approche pour pouvoir nous voir. On le savait et je me suis régalé à lui faire des papouilles sur tout le corps. Il savait me rendre ma politesse.

Je l'embrassais sur tout le corps et je le sentais réagir à mes caresses, autant celles que je lui faisais avec mes mains que celles que je lui faisais avec mes lèvres et ma langue.

Je le sentais se contracter, se saisir, trembler quand je mordillais ses tétons. Je sentais ses muscles se détendre quand il me caressait les cheveux et c'est ainsi que millimètres après millimètres je m'étais rapproché, et c'est ainsi que ma langue arrivait sur son gland, il était circoncis, j'adore les bites circoncises je ne le suis pas mais j'aime. Après ma langue c'était mes mains, puis c'est sa queue que je prenais dans la bouche.

Là il s'offrait à moi, il me donnait carte blanche et allongé sur le dos il se contentait de ma caresser les cheveux et d'appuyer doucement sur ma tête. Sa queue entrait et ressortait de ma bouche. Il me laissait le contrôle de la situation et je prenais mon temps.

Par moment je le sentais trembler, il ne faisait pas froid pourtant ce jour là sur la plage. À d'autres moment je l'entendais gémis, il n'y avait personne pour nous déranger. Puis je sentais sa respiration qui devenait plus forte, plus rapide. J'ai alors pris sa queue en entier dans ma bouche, ce qui ne tenait pas dans ma bouche s'enfonçait par moment dans ma gorge, mais là il fallait bien que je respire. Il ne tentait pas de me retenir.

Puis le moment est arrivé, sans qu'il ne me prévienne, le coquin, il a juté dans ma gorge, puis il a continué à juté dans ma bouche puis pour finir il balançait les dernière giclées sur ma figure. Il gémissait alors de plaisir.

– Woua tu sais que tu es un sacré coup toi !

J'avalais avant de lui répondre. J'essayais de dire quelques chose mais finalement je n'avais rien à dire et je me contentais de relever la tête et de lui sourire. Il éclatait de rire en me voyant puis me prenais dans ses bras, il me couvrait alors de baiser et faisait disparaître tout ce qu'il m'avais balancé dans la figure.

Ensuite je suis resté un long moment allongé contre lui, il était comblé, j'étais frustrés mais je me sentais bien. Je me serais bien fait défoncé le cul mais déjà ou enfin, il débandait .

Sa queue prenait alors des dimensions plus raisonnable. Mais cette grosse bite molle, bien lourde continuait à m'exciter et je la caressais. Il me rendait mes caresses, il me rendait ma douceur et ma tendresse et mon manque montait toujours plus fort, toujours plus haut dans mon corps, dans mon cœur.

Si sa queue s'était calmée ce n'était pas le cas de la mienne. Plus que jamais elle poussait dans sa cage, la pression était infernale. Maintenant c'était un manque, plus juste une envie ou un désir mais un vrai manque, presque un besoin.

Cette queue énorme je la voulais en moi, je voulais le sentir me défoncer le cul. Je voulais que son corps m'écrase sous son poids, il était costaud et je le sentais musclé et fort. Mais on se connaissait à peine.

J'étais presque surpris de cette dernière pensée, on se connaissait à peine. Il y a des gens que je connais depuis longtemps et avec qui je n'avais pas partagé autant d'intimité. Je ne le connaissais pas c'est vrai, ah si, c'est vrai il s'appelait Karim et il était breton …
On a passé le reste de l'après midi au soleil, on se caressait de temps en temps, on s'embrassait aussi. Je restais à poil, à plusieurs reprises je me suis levé pour aller tremper mes pieds, je ne faisais plus aucun cas de ma cage, on m'a vu, on m'a regardé de loin, il était avec moi et ça me suffisait. Ma queue ne se calmais pas de tout l'après midi, pendant des heures elle protestait, elle poussait contre ma cage, ça finissait par devenir désagréable mais pas seulement au niveau physique.

Quand je le voyais bouger, quand je voyais sa queue se balancer, j'avais une terrible envie de me la prendre dans le cul. Lui il avait l'air satisfait ainsi, moi j'étais en manque, vraiment en manque.

Le manque devenait délicieux, je me laissais aller, je savais que je n'aurais aucune réaction déplacée et j'espérais en fait que lui en aurait une. Je pourrais alors en profiter, je pourrais alors peut être abuser. Il ne dirait rien, il se laisserait faire je savais comment le convaincre. Et puis une réaction déplacée ne serait pas totalement déplacée ici, nous étions presque seuls.

Plus loin, un groupe de quatre garçons à poil nous regardait régulièrement, je ne savais pas si c'était moi ou mon copain Karim qu'ils regardaient mais si c'était lui je le comprenais.

La soirée approchait.

– Tu habites dans le coin ? Me demandait Karim.

Nous vivions à quelques kilomètre l'un de l'autre. Il m'invitait à souper. Pour me remercier de ce plaisir que je lui avait donné. J'imaginais déjà un autre remerciement, plus intime, plus profond, plus … sexe. On échangeait un dernier baiser sur la plage, debout dans les bras de l'autre puis on s'habillait.

Mon cœur allait exploser, il battait à tout rompre, j'en voulais encore, en fait j'en voulais plus. Je voulais le sentir en moi. Il y avait ce sourire, ce regard allumeur, ce corps doux et fort et il avait cette queue énorme qui se sentirait tellement bien dans mon cul, ça j'en étais sûr. Et pendant qu'il se rhabillait il y avait cette queue qui se balançait mollement, lourdement, je ne parvenais à regarder ailleurs au moment ou il refermait son pantalon.

Je le suivais, on allait jusqu'au parking. Je prenais ma voiture, il prenait la sienne et je le suivais. À chaque moment, à chaque instant je sentais le manque, je revoyais sa queue. C'est pas que je suis obsédé c'est juste que je ne pense qu'à ça, je vous rassure. Et puis vous auriez vu la queue qu'il avait le mec.

J'avais des vêtements dans la voiture, je me suis changé il en a fait de même, puis on a pris sa voiture pour aller au restaurant, il en connaissait un sympa ou il allait de temps en temps, on a bien mangé, pendant tout le repas je sentais mon corps frémir sous les effets du désir, au moment ou son bras à frôlé le mien j'ai brusquement eu envie de lui sauter dessus, mais nous étions en public.

Il m'a ramené à ma voiture et là nous avons profité d'un recoin tranquille pour nous embrasser, nous avons échangé nos adresses et nos téléphones. Il s'est excusé de devoir mettre fin à cette journée, mais le lendemain il avait beaucoup de travail, je ne sais d'ailleurs pas quel boulot il faisait.

J'étais vert.

Je ne vous dit pas comment j'ai mal dormi cette nuit là, je voyais son corps en rêve et quand je ne dormais pas je le voyais quand même. Il avait un autre moyen de me remercier de l'avoir si bien sucé. Un autre jour peut être …
Je repensais à une amie qui se plaint toujours des mecs et cette nuit là, je ne vous dit pas comment je la comprenais.

Fin

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