Le Garage (16)
Récit érotique écrit par Poiluhds [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-10-2020 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le Garage (16)
Le lendemain matin Julien et Enzo se réveillent sans trop se souvenir de la nuit qu’ils viennent de partager. Les deux garçons ont la bouche pâteuse, effet du whisky ou du sperme de Julien partagé avec gourmandise… Julien s’est réveillé sur le canapé de son coéquipier le jean sur les chevilles et la queue à l’air. Enzo, qui s’était effondré sur son lit sans même se déshabiller se met à poil, traverse le salon pour aller prendre une douche et trouve son ami encore à moitié endormi. Il s’arrête pour admirer son gros pénis épais étalé sur sa cuisse poilue et commence à se souvenir de l’avoir sucé avec énergie. Il ressent alors mentalement à nouveau la giclée énergique de la semence de Julien dans sa bouche et se met à bander. Mais il est temps d’aller bosser et le petit inspecteur poursuit son chemin vers la salle de bain malgré une forte envie de se pencher à nouveau sur le sexe offert de son coéquipier.
La journée passe sans que les deux flics évoquent leurs petits jeux de la nuit. Enzo, dont les idées s’éclaircissent peu à peu se dit que Julien a besoin de temps pour digérer les événements.
Quelques jours plus tard les deux équipiers organisent une planque dans une cité chaude à bord d’une camionnette banalisée. L’objectif est de localiser un chef de gang qui serait revenu organiser un nouveau trafic de drogues de synthèse dans la Cité des peupliers.
Les deux garçons sont coincés depuis deux bonnes heures déjà, rien ne se passe et ils ont épuisé les sujets de conversation du quotidien qui les occupent habituellement dans ce genre de circonstances.
Enzo a la chatte en feu comme souvent. Depuis qu’il a sucé Julien, leur relation n’a pas véritablement changé. Il est content que rien ne soit gâché mais il se demande par ailleurs si Julien ne fait pas tout pour oublier leur étreinte d’un soir et finalement gommer de sa mémoire ce qu’il pourrait vivre comme un dérapage qu’il préférerait refouler.
Il a besoin d’en savoir un peu plus sur les états d’âme de son collègue…
- Julien….
- Oui ?
- Tu….tu vas bien ?
- Comment ça ?
- Je veux dire, en ce moment, dans ta vie privée….. tu vas bien. On en a parlé l’autre soir…et…- Et ?
- Et….j’ai bien aimé ce qu’il s’est passé…
Silence
Julien regarde Enzo avec un regard sérieux et profond. Enzo doute un instant et regrette presque déjà d’avoir évoqué ces souvenirs….
- Moi aussi j’ai bien aimé….
Enzo, rassuré, pose la main sur la bosse formée par le sexe de Julien emprisonné dans le 501 et le caresse. Il sent la dureté du beau pénis qu’il a déjà pu apprécier. Il défait le premier bouton, le deuxième, le troisième et ses doigts sont sensibles à la douceur du pubis taillé court. Julien n’a pas mis de caleçon et ce constat fait durcir un peu plus le sexe du petit inspecteur en rut. La queue de Julien est serrée contre sa cuisse gauche et Enzo a un peu de mal à la sortir du jean tendu à fond. Il ne veut pas lui faire mal. Le sexe se dégage enfin et se dresse à la verticale. Le gros gland de Julien brille déjà d’un peu de son lubrifiant naturel.
Enzo se penche dessus et l’avale en formant un anneau avec ses lèvres pour retrousser le prépuce épais et veiné. Julien frissonne de plaisir et sent sa queue se tendre davantage encore dans la bouche du petit italien gourmand.
- Oh oui…..c’est bon…
Julien appuie sur la tête d’Enzo et le guide sur son pénis dressé. Il apprend vite sous l’effet de la langue experte de son collègue.
Enzo sait qu’il pourrait faire jouir Julien à la seconde où il le déciderait mais il a une autre idée en tête. Il dégage la grosse queue épaisse prête à cracher de sa bouche et regarde son amant dans les yeux :
- Julien…- Oui…- J’ai envie que tu me prennes- Euhhh….t’es sur ?
- Oui….j’ai vraiment envie- Ok…. Mais je l’ai jamais fait avec un mec…- Pas de souci….tu verras…
La camionnette est un peu exigüe et remplie de matériel d’enregistrement sonore et de prise de vues. En particulier, un appareil photo de haute précision est installé sur un trépied devant une vitre latérale de l’utilitaire, et pointé sur l’entrée de l’immeuble où la cible est supposée avoir été logée par les services de renseignements.
Une chaise ergonomique permet à l’inspecteur en planque d’être confortablement installé pour assurer la qualité des photos souvent prises dans l’urgence.
Enzo fait signe à Julien de s’y asseoir pendant qu’il se débarrasse de ses Nike, de son jean et de son caleçon. Il se fout à poil le plus naturellement du monde et sans aucune gêne devant Julien qui passe lui par différentes émotions. D’abord ce plaisir incroyable de la bouche d’Enzo qui le suce et qu’il ne peut comparer à rien de semblable. Même la plus douée de ses copines ne lui a jamais procuré la moitié de ces sensations. Ensuite la relation de complicité qui est en train de s’installer avec Enzo depuis que leurs corps jouent ensemble et qui lui apporte une forme de joie inconnue. Et puis la peur de ne plus pouvoir revenir en arrière, de virer homo alors qu’il ne s’était jamais posé la question de ses attirances sexuelles.
Julien se rend compte qu’il regarde le corps d’Enzo avec désir que son physique de petit italien brun et velu lui donne une érection violente alors qu’il ne se masturbait jusqu’à maintenant que sur des photos et des films hétéros.
Il évacue son angoisse en se disant qu’il peut bien essayer une fois sans que la situation devienne incontrôlable.
- Tiens
Enzo tend à Julien un préservatif et un tube de lubrifiant, après avoir soigneusement enduit son anus de gel.
Julien fait glisser son jean le long de ses cuisses et habille sa grosse queue verticale avec la capote.
Enzo qui ne perd rien du spectacle, enjambe les cuisses de Julien, vient se mettre face à lui. Debout sa queue est à la hauteur de la bouche de Julien qui, pris d’une pulsion subite, écarte les lèvres et accueille le sexe de son ami sur sa langue. Enzo est surpris. Il attend. Julien n’a pas l’habitude. C’est la première queue qu’il prend dans sa bouche mais il apprécie cette sensation nouvelle et, comme mu par l’instinct, trouve le bon geste pour faire durcir encore un peu plus le pénis avalé.
- Hummmmmm
Enzo aime la caresse buccale mais il veut autre chose et se retire doucement. Il plie les genoux pour venir s’empaler sur la verge brillante de gel. Il a l’habitude, et après avoir été ralentie par le volume significatif du gland de Julien, sa course reprend pour absorber l’intégralité du gros pénis bandé dans son cul.
- P……c’est bon !
Enzo aime. Mais il n’est pas le seul.
- Oh oui….P…… c’est bon- Pas déçu ?
- Oh non !!! c’est dingue…..c’est mieux qu’un fleshlight…- Tu joues à ça toi ?
- Euh….oui….
- Cool
Enzo, désormais en totale confiance, monte et descend sur la queue de Julien qui s’empare des deux fesses fermes et poilues qui viennent taper sur ses cuisses pour mieux les écarter et les pénétrer.
Le jeu dure plusieurs minutes. Un bruit à l’extérieur attire leur attention. Une BMW est venue se garer devant l’immeuble qu’ils sont supposés surveiller.
- Ça bouge on dirait- Oui….
Enzo se lève doucement pour se dégager de la queue qui le laboure. Les deux inspecteurs essayent de comprendre ce qui est en train de se tramer dehors.
- Je vais faire les photos- OK
Pas besoin de se parler. Les deux mecs se comprennent. Enzo vient s’asseoir à nouveau sur le sexe de Julien mais maintenant tourné vers la vitre et l’appareil photo. Il se positionne face au viseur, le doigt sur le déclencheur, bien calé sur le sexe dur qui le traverse. Julien colle son torse à son dos et vient l’embrasser dans le cou.
- Tu vois tout ?
- Oui- Ca bouge là…- Oui, c’est parti !
Enzo déclenche les prises de vue en rafale. C’est bien le caïd annoncé qui sort du hall de l’immeuble accompagné par deux gardes du corps baraqués. Le trio s’engouffre dans la BMW qui démarre aussi vite.
- Bingo ! dans la boite- Et dans ton petit cul…
Julien se détend et prend son pied. La scène n’a pas duré plus de quelques minutes mais il a adoré voir Enzo aussi à l’aise et professionnel alors qu’il avait sa queue à lui au fond de l’anus.
Les mouvements du ventre d’Enzo sur son sexe s’associent à l’excitation de son cerveau bouleversé par ces circonstances invraisemblables et pourtant bien réelles qu’il n’aurait jamais osé imaginer, pour faire monter son sperme de ses grosses couilles vers son gland emprisonné au fond du petit flic poilu.
Toujours la tête dans le creux de l’épaule d’Enzo, Julien lui murmure….
- Je vais jouir- Oui…. Remplis moi….donne moi ton jus Julien
Il n’en faut pas plus pour que Julien perde tout contrôle et sente la tempête éclater dans les canaux de sa verge gonflée. Il a l’impression que son éjaculation ne se terminera jamais…incapable de compter les jets de sperme qu’il envoie au fond du cul de son ami tant il flotte au-dessus de la réalité…
- Waouhhhh
Enzo a aimé se faire labourer par cette tornade. Julien ne débande pas. Quand son érection faiblit enfin, Enzo se relève pour dégager le sexe de son trou en feu. Julien retient le préservatif, curieux de voir la quantité de jus qu’il a craché. La capote est lourde de sa semence.
- Ca va ?
Enzo veut que Julien se sente à l’aise.
- Oui….
- Ca t’a plu ?
- Oui……
Une hésitation….
- Enormément en fait…- Cool…moi aussi j’ai adoré….
Enzo regarde Julien dans les yeux. Son pénis est tendu à l’horizontale. Il n’a pas joui. Il n’a pas éjaculé pour être précis, mais il a joui mentalement de recevoir la queue juteuse de Julien au fond de lui.
Enzo récupère son caleçon et l’enfile, puis se glisse dans son jean. Julien fait de même, ne parvenant pas à cacher la demi-érection qui agite encore sa queue malgré la jouissance extrême que son corps vient de connaître. C’est son cerveau qui est à l’œuvre, ravagé par la découverte du plaisir entre hommes.
Il a besoin de faire comprendre à Enzo le nouveau bonheur qu’il est en train de ressentir.
- Merci…- Merci toi.
Les deux inspecteurs ont du travail avec les photos qu’ils viennent de prendre. Inutile de trainer plus longtemps dans ce quartier peu sûr où il ne serait pas bon de se faire remarquer. Si seulement les passants savaient ce qu’il se passe parfois dans ces camionnettes banalisées…
La journée passe sans que les deux flics évoquent leurs petits jeux de la nuit. Enzo, dont les idées s’éclaircissent peu à peu se dit que Julien a besoin de temps pour digérer les événements.
Quelques jours plus tard les deux équipiers organisent une planque dans une cité chaude à bord d’une camionnette banalisée. L’objectif est de localiser un chef de gang qui serait revenu organiser un nouveau trafic de drogues de synthèse dans la Cité des peupliers.
Les deux garçons sont coincés depuis deux bonnes heures déjà, rien ne se passe et ils ont épuisé les sujets de conversation du quotidien qui les occupent habituellement dans ce genre de circonstances.
Enzo a la chatte en feu comme souvent. Depuis qu’il a sucé Julien, leur relation n’a pas véritablement changé. Il est content que rien ne soit gâché mais il se demande par ailleurs si Julien ne fait pas tout pour oublier leur étreinte d’un soir et finalement gommer de sa mémoire ce qu’il pourrait vivre comme un dérapage qu’il préférerait refouler.
Il a besoin d’en savoir un peu plus sur les états d’âme de son collègue…
- Julien….
- Oui ?
- Tu….tu vas bien ?
- Comment ça ?
- Je veux dire, en ce moment, dans ta vie privée….. tu vas bien. On en a parlé l’autre soir…et…- Et ?
- Et….j’ai bien aimé ce qu’il s’est passé…
Silence
Julien regarde Enzo avec un regard sérieux et profond. Enzo doute un instant et regrette presque déjà d’avoir évoqué ces souvenirs….
- Moi aussi j’ai bien aimé….
Enzo, rassuré, pose la main sur la bosse formée par le sexe de Julien emprisonné dans le 501 et le caresse. Il sent la dureté du beau pénis qu’il a déjà pu apprécier. Il défait le premier bouton, le deuxième, le troisième et ses doigts sont sensibles à la douceur du pubis taillé court. Julien n’a pas mis de caleçon et ce constat fait durcir un peu plus le sexe du petit inspecteur en rut. La queue de Julien est serrée contre sa cuisse gauche et Enzo a un peu de mal à la sortir du jean tendu à fond. Il ne veut pas lui faire mal. Le sexe se dégage enfin et se dresse à la verticale. Le gros gland de Julien brille déjà d’un peu de son lubrifiant naturel.
Enzo se penche dessus et l’avale en formant un anneau avec ses lèvres pour retrousser le prépuce épais et veiné. Julien frissonne de plaisir et sent sa queue se tendre davantage encore dans la bouche du petit italien gourmand.
- Oh oui…..c’est bon…
Julien appuie sur la tête d’Enzo et le guide sur son pénis dressé. Il apprend vite sous l’effet de la langue experte de son collègue.
Enzo sait qu’il pourrait faire jouir Julien à la seconde où il le déciderait mais il a une autre idée en tête. Il dégage la grosse queue épaisse prête à cracher de sa bouche et regarde son amant dans les yeux :
- Julien…- Oui…- J’ai envie que tu me prennes- Euhhh….t’es sur ?
- Oui….j’ai vraiment envie- Ok…. Mais je l’ai jamais fait avec un mec…- Pas de souci….tu verras…
La camionnette est un peu exigüe et remplie de matériel d’enregistrement sonore et de prise de vues. En particulier, un appareil photo de haute précision est installé sur un trépied devant une vitre latérale de l’utilitaire, et pointé sur l’entrée de l’immeuble où la cible est supposée avoir été logée par les services de renseignements.
Une chaise ergonomique permet à l’inspecteur en planque d’être confortablement installé pour assurer la qualité des photos souvent prises dans l’urgence.
Enzo fait signe à Julien de s’y asseoir pendant qu’il se débarrasse de ses Nike, de son jean et de son caleçon. Il se fout à poil le plus naturellement du monde et sans aucune gêne devant Julien qui passe lui par différentes émotions. D’abord ce plaisir incroyable de la bouche d’Enzo qui le suce et qu’il ne peut comparer à rien de semblable. Même la plus douée de ses copines ne lui a jamais procuré la moitié de ces sensations. Ensuite la relation de complicité qui est en train de s’installer avec Enzo depuis que leurs corps jouent ensemble et qui lui apporte une forme de joie inconnue. Et puis la peur de ne plus pouvoir revenir en arrière, de virer homo alors qu’il ne s’était jamais posé la question de ses attirances sexuelles.
Julien se rend compte qu’il regarde le corps d’Enzo avec désir que son physique de petit italien brun et velu lui donne une érection violente alors qu’il ne se masturbait jusqu’à maintenant que sur des photos et des films hétéros.
Il évacue son angoisse en se disant qu’il peut bien essayer une fois sans que la situation devienne incontrôlable.
- Tiens
Enzo tend à Julien un préservatif et un tube de lubrifiant, après avoir soigneusement enduit son anus de gel.
Julien fait glisser son jean le long de ses cuisses et habille sa grosse queue verticale avec la capote.
Enzo qui ne perd rien du spectacle, enjambe les cuisses de Julien, vient se mettre face à lui. Debout sa queue est à la hauteur de la bouche de Julien qui, pris d’une pulsion subite, écarte les lèvres et accueille le sexe de son ami sur sa langue. Enzo est surpris. Il attend. Julien n’a pas l’habitude. C’est la première queue qu’il prend dans sa bouche mais il apprécie cette sensation nouvelle et, comme mu par l’instinct, trouve le bon geste pour faire durcir encore un peu plus le pénis avalé.
- Hummmmmm
Enzo aime la caresse buccale mais il veut autre chose et se retire doucement. Il plie les genoux pour venir s’empaler sur la verge brillante de gel. Il a l’habitude, et après avoir été ralentie par le volume significatif du gland de Julien, sa course reprend pour absorber l’intégralité du gros pénis bandé dans son cul.
- P……c’est bon !
Enzo aime. Mais il n’est pas le seul.
- Oh oui….P…… c’est bon- Pas déçu ?
- Oh non !!! c’est dingue…..c’est mieux qu’un fleshlight…- Tu joues à ça toi ?
- Euh….oui….
- Cool
Enzo, désormais en totale confiance, monte et descend sur la queue de Julien qui s’empare des deux fesses fermes et poilues qui viennent taper sur ses cuisses pour mieux les écarter et les pénétrer.
Le jeu dure plusieurs minutes. Un bruit à l’extérieur attire leur attention. Une BMW est venue se garer devant l’immeuble qu’ils sont supposés surveiller.
- Ça bouge on dirait- Oui….
Enzo se lève doucement pour se dégager de la queue qui le laboure. Les deux inspecteurs essayent de comprendre ce qui est en train de se tramer dehors.
- Je vais faire les photos- OK
Pas besoin de se parler. Les deux mecs se comprennent. Enzo vient s’asseoir à nouveau sur le sexe de Julien mais maintenant tourné vers la vitre et l’appareil photo. Il se positionne face au viseur, le doigt sur le déclencheur, bien calé sur le sexe dur qui le traverse. Julien colle son torse à son dos et vient l’embrasser dans le cou.
- Tu vois tout ?
- Oui- Ca bouge là…- Oui, c’est parti !
Enzo déclenche les prises de vue en rafale. C’est bien le caïd annoncé qui sort du hall de l’immeuble accompagné par deux gardes du corps baraqués. Le trio s’engouffre dans la BMW qui démarre aussi vite.
- Bingo ! dans la boite- Et dans ton petit cul…
Julien se détend et prend son pied. La scène n’a pas duré plus de quelques minutes mais il a adoré voir Enzo aussi à l’aise et professionnel alors qu’il avait sa queue à lui au fond de l’anus.
Les mouvements du ventre d’Enzo sur son sexe s’associent à l’excitation de son cerveau bouleversé par ces circonstances invraisemblables et pourtant bien réelles qu’il n’aurait jamais osé imaginer, pour faire monter son sperme de ses grosses couilles vers son gland emprisonné au fond du petit flic poilu.
Toujours la tête dans le creux de l’épaule d’Enzo, Julien lui murmure….
- Je vais jouir- Oui…. Remplis moi….donne moi ton jus Julien
Il n’en faut pas plus pour que Julien perde tout contrôle et sente la tempête éclater dans les canaux de sa verge gonflée. Il a l’impression que son éjaculation ne se terminera jamais…incapable de compter les jets de sperme qu’il envoie au fond du cul de son ami tant il flotte au-dessus de la réalité…
- Waouhhhh
Enzo a aimé se faire labourer par cette tornade. Julien ne débande pas. Quand son érection faiblit enfin, Enzo se relève pour dégager le sexe de son trou en feu. Julien retient le préservatif, curieux de voir la quantité de jus qu’il a craché. La capote est lourde de sa semence.
- Ca va ?
Enzo veut que Julien se sente à l’aise.
- Oui….
- Ca t’a plu ?
- Oui……
Une hésitation….
- Enormément en fait…- Cool…moi aussi j’ai adoré….
Enzo regarde Julien dans les yeux. Son pénis est tendu à l’horizontale. Il n’a pas joui. Il n’a pas éjaculé pour être précis, mais il a joui mentalement de recevoir la queue juteuse de Julien au fond de lui.
Enzo récupère son caleçon et l’enfile, puis se glisse dans son jean. Julien fait de même, ne parvenant pas à cacher la demi-érection qui agite encore sa queue malgré la jouissance extrême que son corps vient de connaître. C’est son cerveau qui est à l’œuvre, ravagé par la découverte du plaisir entre hommes.
Il a besoin de faire comprendre à Enzo le nouveau bonheur qu’il est en train de ressentir.
- Merci…- Merci toi.
Les deux inspecteurs ont du travail avec les photos qu’ils viennent de prendre. Inutile de trainer plus longtemps dans ce quartier peu sûr où il ne serait pas bon de se faire remarquer. Si seulement les passants savaient ce qu’il se passe parfois dans ces camionnettes banalisées…
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