Le Garage (8)
Récit érotique écrit par Poiluhds [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-09-2020 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le Garage (8)
Sébastien s’assied devant l’ordinateur et commence à consulter les factures récentes. Enzo ne dispose pas de la plaque d’immatriculation complète du véhicule impliqué dans un accident mais dont les témoins n’ont pas eu le temps de correctement noter le numéro.
La recherche est donc un peu laborieuse mais le beau mécano la mène avec beaucoup de bonne volonté, heureux d’être enfermé dans le petit bureau avec le bel inspecteur viril. L’air est chargé de testostérone et Sébastien ne débande pas pendant qu’il consulte soigneusement les pages du fichier.
Au bout de plusieurs minutes un véhicule entré deux jours plus tôt semble correspondre à la recherche de la police. Un 4X4 Mercedes blanc dont 3 lettres de l’immatriculation sont celles relevées par les témoins de l’accident et du délit de fuite. Différents détails de la fiche du client s’impriment sur l’écran.
- Je vous laisse ma place, si vous voulez noter.
Sébastien se lève de la chaise installée devant l’écran et l’inspecteur se penche vers l’ordinateur, sort un carnet et commence à recopier les informations qui l’intéressent.
Sébastien, debout dans le dos de l’inspecteur et qui attend que le policier termine son travail pose le regard sur le petit cul du flic moulé dans un jean levis. Il avale sa salive, traversé par une violente poussée de désir. Il a l’impression qu’ Enzo lui tend son cul d’une façon qui n’a rien d’innocent mais rien n’est jamais sûr dans ce genre de circonstances imprévues.
Néanmoins le temps passe et le policier a déjà eu le temps de noter dix fois les informations utiles à son enquête. Il fait donc durer le plaisir. C’est un appel…. Sébastien s’avance et pose sa main droite sur le cul du petit inspecteur qui n’a pas l’air surpris par cette familiarité inhabituelle lors d’une enquête sur le terrain.
Sous la main de Sébastien le muscle est ferme et Sébastien croit déjà sentir la douceur de la fourrure sombre et dense qui habille les fesses et la raie sombre et en chaleur du policier.
Il n’y a pas de temps à perdre. Les bureaux ouvrent à 14H00, trente minutes plus tard et les administratifs doivent être en train de prendre le café dans le restaurant où ils se retrouvent tous les midis.
Sébastien se colle au cul d’Enzo pour qu’il sente la force de son érection. Même à travers le tissu épais de la combinaison et celui du jean, la virilité du grand mâle se frotte sans difficulté contre le cul offert. Sébastien défait la bouche de la ceinture de l’inspecteur, puis les boutons métalliques. Il plonge la main entre le tissu bleu denim et le sexe du flic pour mesurer son excitation et se faire une idée de la forme et du volume de la queue de son nouvel ami. Le gland d’Enzo s’humidifie sous l’effet de l’exploration et durcit sous la douceur déterminée de la caresse.
Sébastien s’écarte un peu du cul d’Enzo, et s’accroupit pour faire glisser le jean le long des cuisses musclées et divinement poilues du représentant des forces de l’ordre.
Sébastien ne peut s’empêcher de retenir un sifflet d’étonnement et d’admiration. Comme il lui semblait l’avoir deviné quand il lui avait caressé la queue, Enzo est à poil sous son jean, pas de caleçon, mais ce n’est pas la seule surprise qui attend le mécano. Enzo a un plug de silicone noir enfoncé dans l’anus dont la découverte provoque une poussée d’adrénaline chez Sébastien qui se réjouit d’être tombé sur un partenaire à l’évidence susceptible d’apprécier les bonnes choses. L’anus d’Enzo est lubrifié depuis le matin pour pouvoir profiter à plein de la présence jouissive du sexe toy dans son intimité.
Sébastien, maintenant à genoux sur le sol, lèche les fesses et les cuisses velues de l’inspecteur avec gourmandise, passe la main entre ses cuisses pour s’assurer de l’érection du bel Enzo qui gémit à chaque nouvelle caresse de la langue du mécanicien.
Il est temps d’aller plus loin. Sébastien doit libérer l’accès à l’endroit qui l’intéresse le plus mais qui est occupé par le sexe synthétique. Il le retire doucement de l’anus d’Enzo, curieux de découvrir la taille du jouet que le petit flic utilise innocemment pendant ses heures de travail occupées à courir après les délinquants.
Sébastien n’est pas étonné par le diamètre plus que raisonnable de l’objet qui sort maintenant de l’anus poilu. Enzo n’en n’est pas à sa première fois et il n’est visiblement pas en train de s’entrainer pour offrir sa virginité anale à sa dernière conquête.
…P….. Sébastien se souvient que c’est Marco qui a récupéré le paquet de capotes dans l’établi dans l’atelier et lui n’en n’a plus sur lui. Pourvu que le petit inspecteur ne soit pas venu les mains vides… D’un autre coté, à poil sous son jean le cul bien ouvert il est à l’évidence en chasse… - Tu as une capote ?
- Oui, poche arrière gauche de mon jeanSébastien fouille rapidement l’endroit indiqué et trouve son bonheur. Grande taille, c’est parfait… et cohérent avec ce qu’il comprend des gouts et des attirances d’Enzo.
Enzo se penche en avant sur le bureau et appuie ses avant-bras poilus sur le bureau à côté de l’ordinateur qui vient de lui donner les informations qu’il était venu chercher.
Sébastien déroule le préservatif sur sa queue en feu et présente son gland contre l’anus du petit flic en rut. Il n’hésite pas. Bien sur sa queue monstrueuse est plus volumineuse que le plug retiré de la chatte du bel italien, mais Sébastien se dit qu’il n’est pas non plus le seul à enfoncer un engin comme le sien dans le cul des mecs et que probablement son partenaire de l’instant a connu des expériences semblables.
Enzo lui est dans un état second. Il n’a fait qu’imaginer la queue qui va bientôt le labourer. D’abord cette forme sous le tissu de la combinaison du mécanicien qu’il a immédiatement remarquée quand il est venu lui ouvrir. A son regard il a compris qu’il était soit en train de baiser avec un collègue, soit en train de se masturber pendant la pause déjeuner des autres, torturé par une autre forme d’appétit.
Et puis il y a eu le frottement de ce pénis encore caché contre son cul pendant que Sébastien lui signifiait son désir et son intention irréversible de prendre possession de sa petite chatte virile.
Et maintenant ce volume, ce gland qu’il sent contre sa rondelle et qui une seconde lui paraît impensable, impossible. Mais le défi est trop tentant. Il respire, se concentre sur son anus, plie légèrement les genoux pour s’asseoir sur l’extrémité du sexe sublime qui se dresse en bas du ventre de l’étalon en bleu de travail.
Enzo ne pense qu’à son trou, qu’à cette forme qui entre en lui, l’écarte, le visite, le remplit. Il aime et oublie même de se demander ce que Sébastien a pu penser en découvrant son cul poilu nu sous le jean et occupé par le plug noir quand il l’a déshabillé.
Sébastien lui s’enfonce avec délectation ; il sent le corps d’Enzo contre son sexe, millimètre après millimètre, absorbé, fusionné. Il aime qu’on l’aime, il aime les mecs qui comme Marco, malgré la peur de la souffrance ne tergiversent pas et consentent à l’inviter en eux sans faire trop d’histoires. Sébastien n’aime pas qu’on lui dise que sa queue est trop grosse. Il veut juste que les mecs écartent les cuisses, s’ouvrent et prennent leur pied comme lui.
Le plaisir monte et le temps passe. 13H50 à l’horloge murale. Sébastien s’agrippe au polo bleu marine de l’inspecteur, pose ses mains sur ses épaules pour l’enfoncer encore un peu plus sur lui et accélère les mouvements de sa queue dans la chatte humide du flic. Sébastien est au paradis, sa queue ressent un festival de sensations. Certaines qu’il connaît déjà et aujourd’hui d’autres presque inconnues. Le cul d’Enzo est une découverte, une promesse, un mystère à approfondir.
- Baise moi bien- Ouiiii…..ma salope- Encore…- GrrRRRRR- J’adore ta grosse queue….
L’inspecteur est désormais moins formel que pendant son enquête. Sébastien est au maximum de l’excitation. De toute façon Enzo est une chaudasse, il en est convaincu depuis le premier regard qu’ils ont échangé.
- Vas y jouis beau mec- Je viens….Ouiii………..Oh…P……… NonNNNNNN…….RRRRRRRRL’explosion. D’où viennent ces flots de jus épais qui gonflent la capote dans le cul du petit inspecteur poilu…. Sébastien a l’impression d’avoir puisé dans des réserves inconnues…- Oh non, c’est trop bonnnnLe mécano continue ses coups de boutoir dans le cul poilu qui s’est adapté à lui sans rechigner. Il ne veut pas que le miracle s’arrête, il veut rester là à baiser Enzo indéfiniment.
Son érection finit cependant par se calmer. Le corps et l’esprit vides Sébastien se retire du cul velu. Il regarde son sexe toujours énorme sortir du corps de son amant, fier, animal, repu et pourtant toujours déchiré de désir. Le réservoir de la capote est lourd de son jus viril.
13H55.
- Enzo, faut qu’on se rhabille les nanas de la compta vont arriver dans 5 minutes…Enzo se redresse et plonge son regard dans celui du grand mécano rassasié. Sans se quitter des yeux Sébastien range sa queue encore à moitié gonflée dans sa combinaison pendant qu’Enzo remonte son jean.
- C’était génial- Tu as aimé- Plus que ça…- Et çà on en fait quoi ?
Sébastien met le plug noir sous le nez de son amant.
- On le range à sa place…Enzo rebaisse son Levis, se retourne, se penche en avant à nouveau pour aider Sébastien qui s’amuse à remettre le sex toy dans le trou brûlant et humide du policier.
13H59.
La porte du rez-de chaussée claque et des bruits de talons se font entendre dans l’escalier.
Les deux beautés viriles sortent du bureau et les deux hommes ne laissent rien paraître de leurs ébats comme s’ils s’étaient contentés de faire une recherche dans la fichier client. Au fond de sa poche droite, Sébastien serre la capote nouée et remplie de son jus pour la descendre dans une poubelle de l’atelier sans se faire remarquer.
En retournant dans l’atelier, ils croisent Julien… Enzo interroge son collègue.
- Rien remarqué de particulier… ?
- …..nnnnonnnnnIl hésite. Sébastien croit comprendre. Le seul truc particulier à remarquer en bas c’est le petit Marco qui devait encore avoir une érection d’enfer quand l’inspecteur l’a croisé dans les vestiaires. Sébastien sourit, regarde Julien dans les yeux qui rougit.
- OK- Et vous ?
- Nous on a trouvé une piste sérieuse, un client venu avant-hier- Cool- Bon, on va y aller. Merci pour votre collaboration.
Enzo serre la main de Sébastien, innocent comme l’enfant qui vient de naître alors que son cul en feu va se souvenir pendant encore des heures des assauts du sublime mécano.
- Je vais vous noter la ligne directe du patron si vous voulez l’appeler à son retour pour les suites de l’affaire.
- Ok, merciSébastien se retire vers un tout petit coin bureau au fond de l’atelier et note le numéro d’Eric et son numéro de portable personnel sur une carte de la concession. Il a trop envie de retrouver les sensations nouvelles découvertes dans le petit anus poilu du beau policier.
Il l’insère dans un pochette avec les brochures des derniers modèles.
- Voilà, je vous ai mis nos dernières docs….ça plait beaucoup- Ok merci !
Les deux inspecteurs remontent dans leur voiture et croisent sur le parking les autres mécaniciens qui rentrent de leur pause déjeuner.
Plus tard dans l’après-midi Enzo ouvre la pochette préparée par Sébastien, trouve la carte avec son numéro personnel….et, entre deux pages de la nouvelle brochure Nissan, la capote, remplie du jus de son amant du jour….
La recherche est donc un peu laborieuse mais le beau mécano la mène avec beaucoup de bonne volonté, heureux d’être enfermé dans le petit bureau avec le bel inspecteur viril. L’air est chargé de testostérone et Sébastien ne débande pas pendant qu’il consulte soigneusement les pages du fichier.
Au bout de plusieurs minutes un véhicule entré deux jours plus tôt semble correspondre à la recherche de la police. Un 4X4 Mercedes blanc dont 3 lettres de l’immatriculation sont celles relevées par les témoins de l’accident et du délit de fuite. Différents détails de la fiche du client s’impriment sur l’écran.
- Je vous laisse ma place, si vous voulez noter.
Sébastien se lève de la chaise installée devant l’écran et l’inspecteur se penche vers l’ordinateur, sort un carnet et commence à recopier les informations qui l’intéressent.
Sébastien, debout dans le dos de l’inspecteur et qui attend que le policier termine son travail pose le regard sur le petit cul du flic moulé dans un jean levis. Il avale sa salive, traversé par une violente poussée de désir. Il a l’impression qu’ Enzo lui tend son cul d’une façon qui n’a rien d’innocent mais rien n’est jamais sûr dans ce genre de circonstances imprévues.
Néanmoins le temps passe et le policier a déjà eu le temps de noter dix fois les informations utiles à son enquête. Il fait donc durer le plaisir. C’est un appel…. Sébastien s’avance et pose sa main droite sur le cul du petit inspecteur qui n’a pas l’air surpris par cette familiarité inhabituelle lors d’une enquête sur le terrain.
Sous la main de Sébastien le muscle est ferme et Sébastien croit déjà sentir la douceur de la fourrure sombre et dense qui habille les fesses et la raie sombre et en chaleur du policier.
Il n’y a pas de temps à perdre. Les bureaux ouvrent à 14H00, trente minutes plus tard et les administratifs doivent être en train de prendre le café dans le restaurant où ils se retrouvent tous les midis.
Sébastien se colle au cul d’Enzo pour qu’il sente la force de son érection. Même à travers le tissu épais de la combinaison et celui du jean, la virilité du grand mâle se frotte sans difficulté contre le cul offert. Sébastien défait la bouche de la ceinture de l’inspecteur, puis les boutons métalliques. Il plonge la main entre le tissu bleu denim et le sexe du flic pour mesurer son excitation et se faire une idée de la forme et du volume de la queue de son nouvel ami. Le gland d’Enzo s’humidifie sous l’effet de l’exploration et durcit sous la douceur déterminée de la caresse.
Sébastien s’écarte un peu du cul d’Enzo, et s’accroupit pour faire glisser le jean le long des cuisses musclées et divinement poilues du représentant des forces de l’ordre.
Sébastien ne peut s’empêcher de retenir un sifflet d’étonnement et d’admiration. Comme il lui semblait l’avoir deviné quand il lui avait caressé la queue, Enzo est à poil sous son jean, pas de caleçon, mais ce n’est pas la seule surprise qui attend le mécano. Enzo a un plug de silicone noir enfoncé dans l’anus dont la découverte provoque une poussée d’adrénaline chez Sébastien qui se réjouit d’être tombé sur un partenaire à l’évidence susceptible d’apprécier les bonnes choses. L’anus d’Enzo est lubrifié depuis le matin pour pouvoir profiter à plein de la présence jouissive du sexe toy dans son intimité.
Sébastien, maintenant à genoux sur le sol, lèche les fesses et les cuisses velues de l’inspecteur avec gourmandise, passe la main entre ses cuisses pour s’assurer de l’érection du bel Enzo qui gémit à chaque nouvelle caresse de la langue du mécanicien.
Il est temps d’aller plus loin. Sébastien doit libérer l’accès à l’endroit qui l’intéresse le plus mais qui est occupé par le sexe synthétique. Il le retire doucement de l’anus d’Enzo, curieux de découvrir la taille du jouet que le petit flic utilise innocemment pendant ses heures de travail occupées à courir après les délinquants.
Sébastien n’est pas étonné par le diamètre plus que raisonnable de l’objet qui sort maintenant de l’anus poilu. Enzo n’en n’est pas à sa première fois et il n’est visiblement pas en train de s’entrainer pour offrir sa virginité anale à sa dernière conquête.
…P….. Sébastien se souvient que c’est Marco qui a récupéré le paquet de capotes dans l’établi dans l’atelier et lui n’en n’a plus sur lui. Pourvu que le petit inspecteur ne soit pas venu les mains vides… D’un autre coté, à poil sous son jean le cul bien ouvert il est à l’évidence en chasse… - Tu as une capote ?
- Oui, poche arrière gauche de mon jeanSébastien fouille rapidement l’endroit indiqué et trouve son bonheur. Grande taille, c’est parfait… et cohérent avec ce qu’il comprend des gouts et des attirances d’Enzo.
Enzo se penche en avant sur le bureau et appuie ses avant-bras poilus sur le bureau à côté de l’ordinateur qui vient de lui donner les informations qu’il était venu chercher.
Sébastien déroule le préservatif sur sa queue en feu et présente son gland contre l’anus du petit flic en rut. Il n’hésite pas. Bien sur sa queue monstrueuse est plus volumineuse que le plug retiré de la chatte du bel italien, mais Sébastien se dit qu’il n’est pas non plus le seul à enfoncer un engin comme le sien dans le cul des mecs et que probablement son partenaire de l’instant a connu des expériences semblables.
Enzo lui est dans un état second. Il n’a fait qu’imaginer la queue qui va bientôt le labourer. D’abord cette forme sous le tissu de la combinaison du mécanicien qu’il a immédiatement remarquée quand il est venu lui ouvrir. A son regard il a compris qu’il était soit en train de baiser avec un collègue, soit en train de se masturber pendant la pause déjeuner des autres, torturé par une autre forme d’appétit.
Et puis il y a eu le frottement de ce pénis encore caché contre son cul pendant que Sébastien lui signifiait son désir et son intention irréversible de prendre possession de sa petite chatte virile.
Et maintenant ce volume, ce gland qu’il sent contre sa rondelle et qui une seconde lui paraît impensable, impossible. Mais le défi est trop tentant. Il respire, se concentre sur son anus, plie légèrement les genoux pour s’asseoir sur l’extrémité du sexe sublime qui se dresse en bas du ventre de l’étalon en bleu de travail.
Enzo ne pense qu’à son trou, qu’à cette forme qui entre en lui, l’écarte, le visite, le remplit. Il aime et oublie même de se demander ce que Sébastien a pu penser en découvrant son cul poilu nu sous le jean et occupé par le plug noir quand il l’a déshabillé.
Sébastien lui s’enfonce avec délectation ; il sent le corps d’Enzo contre son sexe, millimètre après millimètre, absorbé, fusionné. Il aime qu’on l’aime, il aime les mecs qui comme Marco, malgré la peur de la souffrance ne tergiversent pas et consentent à l’inviter en eux sans faire trop d’histoires. Sébastien n’aime pas qu’on lui dise que sa queue est trop grosse. Il veut juste que les mecs écartent les cuisses, s’ouvrent et prennent leur pied comme lui.
Le plaisir monte et le temps passe. 13H50 à l’horloge murale. Sébastien s’agrippe au polo bleu marine de l’inspecteur, pose ses mains sur ses épaules pour l’enfoncer encore un peu plus sur lui et accélère les mouvements de sa queue dans la chatte humide du flic. Sébastien est au paradis, sa queue ressent un festival de sensations. Certaines qu’il connaît déjà et aujourd’hui d’autres presque inconnues. Le cul d’Enzo est une découverte, une promesse, un mystère à approfondir.
- Baise moi bien- Ouiiii…..ma salope- Encore…- GrrRRRRR- J’adore ta grosse queue….
L’inspecteur est désormais moins formel que pendant son enquête. Sébastien est au maximum de l’excitation. De toute façon Enzo est une chaudasse, il en est convaincu depuis le premier regard qu’ils ont échangé.
- Vas y jouis beau mec- Je viens….Ouiii………..Oh…P……… NonNNNNNN…….RRRRRRRRL’explosion. D’où viennent ces flots de jus épais qui gonflent la capote dans le cul du petit inspecteur poilu…. Sébastien a l’impression d’avoir puisé dans des réserves inconnues…- Oh non, c’est trop bonnnnLe mécano continue ses coups de boutoir dans le cul poilu qui s’est adapté à lui sans rechigner. Il ne veut pas que le miracle s’arrête, il veut rester là à baiser Enzo indéfiniment.
Son érection finit cependant par se calmer. Le corps et l’esprit vides Sébastien se retire du cul velu. Il regarde son sexe toujours énorme sortir du corps de son amant, fier, animal, repu et pourtant toujours déchiré de désir. Le réservoir de la capote est lourd de son jus viril.
13H55.
- Enzo, faut qu’on se rhabille les nanas de la compta vont arriver dans 5 minutes…Enzo se redresse et plonge son regard dans celui du grand mécano rassasié. Sans se quitter des yeux Sébastien range sa queue encore à moitié gonflée dans sa combinaison pendant qu’Enzo remonte son jean.
- C’était génial- Tu as aimé- Plus que ça…- Et çà on en fait quoi ?
Sébastien met le plug noir sous le nez de son amant.
- On le range à sa place…Enzo rebaisse son Levis, se retourne, se penche en avant à nouveau pour aider Sébastien qui s’amuse à remettre le sex toy dans le trou brûlant et humide du policier.
13H59.
La porte du rez-de chaussée claque et des bruits de talons se font entendre dans l’escalier.
Les deux beautés viriles sortent du bureau et les deux hommes ne laissent rien paraître de leurs ébats comme s’ils s’étaient contentés de faire une recherche dans la fichier client. Au fond de sa poche droite, Sébastien serre la capote nouée et remplie de son jus pour la descendre dans une poubelle de l’atelier sans se faire remarquer.
En retournant dans l’atelier, ils croisent Julien… Enzo interroge son collègue.
- Rien remarqué de particulier… ?
- …..nnnnonnnnnIl hésite. Sébastien croit comprendre. Le seul truc particulier à remarquer en bas c’est le petit Marco qui devait encore avoir une érection d’enfer quand l’inspecteur l’a croisé dans les vestiaires. Sébastien sourit, regarde Julien dans les yeux qui rougit.
- OK- Et vous ?
- Nous on a trouvé une piste sérieuse, un client venu avant-hier- Cool- Bon, on va y aller. Merci pour votre collaboration.
Enzo serre la main de Sébastien, innocent comme l’enfant qui vient de naître alors que son cul en feu va se souvenir pendant encore des heures des assauts du sublime mécano.
- Je vais vous noter la ligne directe du patron si vous voulez l’appeler à son retour pour les suites de l’affaire.
- Ok, merciSébastien se retire vers un tout petit coin bureau au fond de l’atelier et note le numéro d’Eric et son numéro de portable personnel sur une carte de la concession. Il a trop envie de retrouver les sensations nouvelles découvertes dans le petit anus poilu du beau policier.
Il l’insère dans un pochette avec les brochures des derniers modèles.
- Voilà, je vous ai mis nos dernières docs….ça plait beaucoup- Ok merci !
Les deux inspecteurs remontent dans leur voiture et croisent sur le parking les autres mécaniciens qui rentrent de leur pause déjeuner.
Plus tard dans l’après-midi Enzo ouvre la pochette préparée par Sébastien, trouve la carte avec son numéro personnel….et, entre deux pages de la nouvelle brochure Nissan, la capote, remplie du jus de son amant du jour….
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