Le jeune Denis Ep02 Sur la route des vacances

- Par l'auteur HDS Charly Chast -
Auteur homme.
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Récit libertin : Le jeune Denis Ep02 Sur la route des vacances Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-02-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le jeune Denis Ep02 Sur la route des vacances
Le jeune Denis Ep02
Sur la route des vacances



Ça va j'ai compris. Vous êtes resté sur votre faim avec le dernier texte. Mais enfin vous ne vous imaginiez quand même pas que le jeune Denis et son cousin Gaétan allaient se branler devant tout le monde ?

C'était une cérémonie officielle importante dans la vie d'un jeune homme, surtout dans ce milieu très puritain. Il représentaient plus de quatre vingt dix pour cent de la population à ce qu'ils disaient. En fait peut être un cinquième mais pas plus.

En plus si vous avez suivi, le pauvre Denis et son cousin ne risquaient pas de se branler, rapidement il ne pouvaient même pas bander, le médecin avait fait le nécessaire.

Pendant tout le reste de la journée les deux jeunes hommes étaient tranquilles mais ça ne devait pas durer. La nuit tombait à peine quand Denis commençait à sentir sa cage. Sa queue se réveillait et la pression des barreaux contre sa bite commençait à le chatouiller. Les barreaux étaient larges et plats pour garantir un certain confort. Et ça marchait bien

En fait c'était sa queue qui manifestait et qui poussait contre la cage. La présence des barreau la stimulait et elle prenait de plus en plus de de place, mais la cage était un dispositif impitoyable qui ne laissait aucun espoir.

C'était le lendemain matin, au réveil que tout s'est un peu compliqué. Denis bandait. Vous connaissez tous le proverbe : ' Érection du matin … ' ( Oui bon, je sais mais je n'arrive toujours pas à trouver une suite ) .

Bref pour ceux qui ne seraient pas familiarisés à cette réaction très masculine, en général le matin, les hommes bandent. Pour quatre vingt pour cent des hommes de ce monde, ça se passe très bien. Mais pour les membres de cette communauté puritaine, c'est souvent le moment le plus compliqué de la journée. La cage est là, impitoyable, et ne leur laisse aucune change d'arriver à quelque chose.

En général, enfin surtout au début, la queue force sous l'effet du confinement et de la pression que cela provoque. C'est presque douloureux. En fait ce n'est pas vraiment douloureux mais presque. La pression constante des anneaux, toute la nuit aux même endroits provoque une gêne très désagréable. Le dispositif est très bien étudié mais il y a des limites. Il faut alors réajuster le dispositif, il faut tirer la peau dans un sens ou dans l'autre. Obligatoirement au bout d'un moment tout finit par se calmer.

Au début la gène peut durer dans la journée, mais si ça ne passe pas il faut alors consulter le Chastisan, il est le plus habilité à faire un diagnostique, et trouver la cause pour y remédier.

Denis ne se masturbait pas tous les jours ( enfin ça c'était la version officielle ) aussi il arrivait rapidement à s'adapter. Mais rapidement il ressentait un manque. On lui conseillait de faire du sport, il ne s'en privait pas et faisait plusieurs fois le tour du parc de la maison tous les matin. Plus de quinze kilomètres au total.

Tout le monde trouvait ce nouveau passe temps très positif.

La première semaine passait vite et on préparait le départ. On enverrait Denis en colonie de vacances. Oui je sais dit comme ça, ça fait un peu populaire. Mais cette société aime bien quelquefois ce genre d'expressions. Il se retrouverait avec des jeunes de son âge qui, tous, portaient un dispositif comme celui de Denis depuis quelques jours à quelques mois.

Il pourraient donc discuter entre eux et partager leurs expériences. Il y aurait aussi des moniteurs, tous très jeunes et bien sûr tous porteurs également. Eux le portaient depuis plusieurs années et connaissaient donc très bien le problème.

Denis était content de ce séjour même si son cousin ne le suivrait pas. Autre chose était prévu pour lui. Le matin du jour, les valets et femmes de service préparaient la voiture. C'était une calèche de voyage tirée par deux chevaux. Denis voyagerait seul.

Dans ce genre de véhicule on n'est jamais seul, il y a toujours un cocher. Mais il était formellement interdit à Denis de s'asseoir à côté de lui. C'était un déviant … Il ne portait pas de dispositif de chasteté. Vous vous rendez compte ?

La calèche ne prenait pas la route de la ville, Denis s'en inquiétait.

– Ce n'est pas la bonne route ? Demandait-il.
– Bien sûr Monsieur Denis, nous passons par le Moulin de La Farine. Leur jeune fils vient lui aussi de fêter son anniversaire et il fera le voyage avec vous.
– Charles Emmanuel de La Farine vient avec moi ?
–Je ne sais pas s'il vient avec vous mais il va jusqu'à la ville avec vous, ça c'est sûr.

Le cocher n'était pas très bavard, c'était bien, Denis n'avait rien à dire de toutes façons.

Il ne fallait qu'un peut plus d'une heure trente pour arriver au Moulin. Tout le monde était au travail, ah ça ne rigolait pas dans cette famille. Tous les employés portaient un dispositif de chasteté et tous les membres masculin qui avaient atteint l'âge. C'étaient pas des branleurs !

Charles Emmanuel attendait, le cocher montait et attachait fermement les bagages et la voiture repartait. Denis connaissait Charles Emmanuel et rapidement ils discutaient, ils échangeaient leurs impressions.

– C'était quand toi ? Demandait Denis.
– Ça fait trois semaines et toi ?
– Juste une.

Ils échangeaient leurs impressions, à l'avait le cocher rigolait de les entendre.

– Et pourquoi tu te marres toi ? Demandait Charles ( on va l'appeler Charles, ça sera plus rapide. Mais ne le répétez pas il déteste qu'on éborgne son prénom . ( Note de l'auteur )
– Vous me faites marrer vous les puritains. Vous vous croyez meilleurs que les autres parce que vous êtes chastes.
– Et nous sommes de loin les plus nombreux dans la société.
– Dans la société ! Répétait le cocher en éclatant de rire. Vous ne représentez même pas un cinquième de la population.

Les deux jeunes continuaient à discuter entre eux, là c'est vrai qu'ils parlaient surtout du cocher. Mais lui il continuait à rigoler. Puis un peu agacé ou seulement provocateur, il se retournait.

– Et ça ressemble à quoi votre truc dont vous êtes si fières.

Charles et Denis se regardaient et Charles qui était certainement le plus farceur se relevait et baissait son pantalon. Le cocher le regardait en rigolant.

– C'est de l'acier d'Extrèmasie ! Déclarait-il fièrement.

Voyant cela Denis suivait et baissait lui aussi son pantalon.

– C'est de l'ivoire de Dentosaure !
– Oh béh dites donc les jeunes on voit que vos familles on les moyens. Mais ça ne change rien moi je préfère ce que j'ai.
– Ah oui et fais donc voire ce que tu as. Lui rétorquait Charles.

Sans aucune hésitation, on aurait pu penser qu'il n'attendait que cela. Le cocher ouvrait son pantalon et en sortait une très grosse queue, longue, large, et totalement molle.

– Et tu ne bandes même pas ! Rajoutait Charles.
– Bein mince. Murmurait Denis. Il en a une grosse.

Sans attendre plus, le cocher commençait à se tripoter la queue. Elle était déjà bien grosse et prenait encore un peu plus de volume tout en durcissant. Il était circoncis, sa queue restait malléable pendant un moment puis se transformait en un énorme saucisson bien ferme. Elle restait un peu molle et se repliait mais elle était ferme.

Le cocher se lâchait, il se masturbait tranquillement devant les deux jeunes. Ils étaient en pleine campagne dans une zone isolés, il n'y avait personne pour les déranger.

Les deux jeunes restaient là, sans réagir, surtout au début. Ensuite ils ne parvenaient pas à dissimuler Un certain malaise, surtout au niveau de leurs cages de chasteté. Il y avait une pression à laquelle ils n'étaient pas habitués.

Leurs queues hurlaient de colère, ce spectacle les excitait. Depuis des jours aucun d'entre eux n'avait pu se faire plaisir et ils étaient pourtant jeunes. Et là devant eux, il y avait un mec monté comme son cheval qui se masturbait, qui gémissait de plaisir. Il prenait son temps, il savait faire durer, il savait prendre son temps avant de jouir.

C'est une pression dans le torse qui envahissait les deux jeunes. Par moment l'un avait l'impression de manquer d'air.

Chacun se caressait la cage et les couilles comme il pouvait, cherchant à se stimuler pour pouvoir se faire plaisir. Mais le dispositif était sans pitié, si la stimulation devenait trop forte, la cage devenait douloureuse et ils étaient obligé de se calmer.

Le cocher s'en rendait bien compte et s'en amusait.

Les deux jeunes se caressaient les couilles, les tripotaient. Ça passait mieux que s'ils remuaient trop la cage mais ce n'était pas plus efficace. Leur queues continuaient à protester. La pression dans les cages était au maximum.

Ils regardaient la grosse queue du cocher qui roulait dans la main de son propriétaire. Il la malaxait, elle était un peu comme un morceau de viande, molle. Elle était comme une bite, une vraie, elle se relevait légèrement vers le haut. Pourtant elle était lourde.

Denis tentait de retrouver un peu de confort en réajustant sa peau. Il tirait sur la peau ce ses couilles pour se sentir mieux. Ça ne donnait pas beaucoup d'effet, il insistait un petit moment avant de laisser tomber .

Ils se tenaient alors les couilles. Ce n'était pas vraiment nécessaire, elles se relevaient et formaient une grosse boule bien dure. On aurait dit qu'ils n'avaient plus qu'une seule couille mais qu'elle était énorme.

Le cocher continuait à se masturber, il relevait la tête en arrière et accélérait son mouvement. Il refermait sa main de plus en plus fort autour de sa queue. On la voyait qui s'écrasait au passage de sa main.

Sa main glissait et pas seulement sur sa queue. Il se branlait d'avant en arrière avec force. Il soupirait fort. Il en arrivait finalement à gémir de plaisir et là sans prévenir, les deux jeunes en tout cas ne l'ont pas vu venir, le cocher éjaculait avec force.

La quantité de sperme qu'il lâchait semblait en rapport avec la taille de l'organe qui était énorme.

Le cocher continuait à se masturber, il prenait sa bite à sa base, serrait sa main très fort et avançait sa main vers son gland. Il semblait chasser le sperme qui pourrait y rester.

C'était de très grosses gouttes d'un liquide blanc très épais qui coulait.

Il terminait avec quelques gestes saccadés, il poussait un dernier gémissement, un dernier souffle très fort.

Les deux jeunes étaient en apnée, ils avaient cessé de respirer. Ils restaient là la bouche ouverte l'air con, leurs couilles dans la main. Ils ne bougeaient plus.

Plusieurs jours pour l'un, plusieurs semaines pour l'autre, ça commençait à faire long, et cette petite exhibition ne risquait pas de les calmer.

Le cocher refermait son pantalon, il n'avait pas de sous vêtement, se retournait et reprenait la route. Les deux jeunes remontaient leur pantalon, on ne les pas entendu pendant le reste du voyage.


Fin


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