Le jeune Denis Ep04 Découverte
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-02-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le jeune Denis Ep04 Découverte
Le jeune Denis Ep04
Découverte
Non il n'y avait pas que les déviants qui pensaient au sexe. Ils y pensaient bien sûr mais eux, c'était les seuls à le pratiquer. Les puritains qui portaient ce saint dispositif y pensaient mais le faisaient pas alors que les déviants le faisaient puis pensaient à autre chose.
Denis qui était sensé ne plus penser au sexe, en fait ne pensait plus qu'à ça. Le calme et la sérénité ne revenait pas. Denis restait sous pression, sous tension le reste de la journée.
Le soir, il lui semblait que ses camarades étaient tous parfaitement détendus. Mais une fois dans le lit. Ce n'était plus que soupir de fatigue, soupir d'inconfort. En plus ils étaient tous entre garçons. Que des mâles jeunes.
Les chambres avaient quatre occupants, un plus âgé. Dans la chambre de Denis c'était Jeremy, il avait vingt ans. Ensuite il y avait Damien qui état plus jeune de deux ans. Lucien qui ne portait la cage que depuis six mois et Denis qui commençait son séjour avec un peu plus d'une semaine. C'était lui le plus jeune mais tous la portaient depuis qu'ils avaient l'âge de Denis.
L'idée était simple, les plus âgés devaient aider les plus jeunes. Les encourager, les soutenir, veiller que tout se passait bien pour eux.
L'idée de ce séjour était simple, il y avait surtout des activités sportives, le but était de les fatiguer. Il y avait un grand lac et le ski nautique était au programme, balades en forêt et tout ce qu'on peut imaginer. Le soir il y avait un feu dans le jardin tout le monde se réunissait autour et se racontait des histoires qui font peur.
Bien sûr aucune de ces activités n'étaient obligatoires. Chacun faisait comme il l'entendait. Ce n'était pas une prison … De temps en temps Denis ressentait le besoin de se retrouver seul. On le laissait tranquille, il partait alors se promener dans la campagne, on lui demandait simplement de ne pas prendre de risque et de ne pas trop tarder à revenir.
Ça c'était la version officielle.
En fait Denis se sentait attirer vers la maison ou habitaient les ouvriers, vous savez les déviants qui ne sont pas fréquentables. Ce jour là il a bien failli se faire repérer par un de ouvriers se promenait lui aussi, il était torse nue, son corps magnifique attirait Denis. Il était comme hypnotisé par ce corps bronzé et musclé. Il avait un ventre plat, une douce fourrure brune, et un bermuda.
Ce devait l'heure de la pause, Denis ne comprenait pas vraiment quand les ouvriers travaillaient, le jardin était parfaitement entretenu, tous les travaux étaient faits avec sérieux mais Denis ne voyait jamais personne travailler à l'extérieure de la maison. C'est vrai qu'il n'y était pas toujours. Les occupants était souvent absents pendant la journée.
Denis décidait de suivre ce personnage.
Ce jour là il a bien failli se faire repérer deux fois. Une autre employé prenait la même route que le premier. Denis le remarquait avant que lui ne le remarque. Denis savait qu'il ne devait pas venir là ou il était, on lui avait toujours dit qu'il ne fallait pas fréquenter les déviants. Et là justement c'est parce qu'ils étaient déviant qu'ils les suivait.
Denis aurait du avoir honte de ce qu'il faisait ici. Il plongeait dans un buisson et se faisait tout petit. Le second homme passait sans le voir. Il était lui aussi torse nue et aussi beau que le premier. Enfin Denis le trouvait très beau, il n'était pas habitué à voir ces corps nus, ces corps bronzés, ces corps si attirants.
Denis décidait de les suivre.
C'est au milieu d'une carrière qu'ils se retrouvaient. Ils échangeaient un sourire et s'approchaient l'un de l'autre. Puis très décontractés, ils se prenaient dans les bras et s'embrassaient.
Les bras de l'un se refermaient sur les épaules et le dos de l'autre. Les torses étaient comme attirés l'un par l'autre. Ils se serraient très fort l'un contre l'autre et Denis était tout retourné de voir cette passion, ces baisers passionnés et chauds.
Chacun caressait l'autre. Les baisers couraient sur les épaules de l'un, sur le torse de l'autre et Denis avait l'impression que sa tête allait exploser et que sa cage était une torture qui ne prendrait jamais fin.
Un instant il se sentait projeté dans le futur, une instant il se voyait à côté d'une femme qui ne lui donnerait aucun plaisir, un instant il prenait conscience que sa cage, c'était pour toujours.
Il avait envie de sauter hors de sa cachette et de saisir ces deux hommes, de les embrasser lui aussi, de ne plus les lâcher, de les caresser. Il avait une violente envie de sentir leurs corps chauds et forts contre le sien. Mais c'était interdit, les puritains ne se permettent pas de telles choses, de tels plaisirs.
Denis restait comme paralysé, il restait dans sa cachette et regardait la scène de loin, depuis sa cachette, il voyait tout ce qui se passait mais on ne le voyait. Il avait brusquement honte de lui. Il était devenu un pauvre voyeur, un minable voyeur.
Mais il ne pouvait rien y faire, il ne pouvait pas détourner le regard. Ces deux hommes étaient tellement beaux et tellement sexy. Leurs peaux brunies par le soleil montraient des muscles fins qui roulaient et montraient leurs passions et leurs forces.
L'un se penchait et en s'inclinant il caressait le torse de son partenaire avec ses lèvres et sa langue, lui mordillait les tétons en le faisant gémir. Puis accroupi devant lui il lui ouvrait son pantalon, en sortait sa queue qui déjà était bien grosse et le prenait dans sa bouche.
'' Mais qu'est ce qu'ils font ! '' s'exclamait Denis dans sa tête. Il se raidissait et sa queue lançait une attaque pour se dégager de sa cage. Dans la famille de Denis on ne parlait jamais de sexe et il n'aurait jamais eu l'idée de faire une chose pareil.
Mais il devinait que ça devait être très agréable. Les gémissements non stimulés de l'ouvrier qui était resté debout en témoignaient. Et l'autre semblait y prendre un certain plaisir également. Il y mettait beaucoup de douceur. Il prenait la queue de son partenaire complètement dans sa bouche, elle disparaissait au fond de sa gorge puis il reculait la tête et la queue ressortait.
Il avançait sa tête et tout recommençait.
Suivaient des caresses, il glissait ses main derrière les fesses de son camarade et le tirait vers lui goulûment. Denis voyait ça et ne restait pas indifférent. Il savait qu'il ne pourrait jouer qu'un seul des deux rôles et maintenant il en avait envie.
Il fermait les yeux, seulement quelques seconde et se voyait à la place de garçon superbe qui était à genoux et qui semblait aimer faire plaisir à son partenaire.
Les deux hommes s’entraînaient lentement dans une valse de plaisir, un pouvait jouir et l'autre pouvait … Pouvait-il réellement prendre du plaisir ? Denis ne comprenait pas tout, c'était nouveau pou lui tout ça. Tout ce qu'il connaissait, ou presque, de la sexualité c'était la masturbation puis cette idée de négation du plaisir, cette obligation de la chasteté. Il avait accepté avec plaisir cette situation mais sans en mesurer toutes les contraintes.
Sa queue le torturait de nouveau, depuis son arrivée dans cette colonie de vacances c'était devenu une habitude. Une habitude à laquelle il ne s'habituait pas vraiment. C'était désagréable et quand la tension devenait plus intense, c'était douloureux.
Sa queue ne s'habituait toujours pas à ce confinement dans une cage minuscule.
Les deux hommes continuaient à partager ce moment de plaisir. Celui qui était debout appuyait sur la tête de l'autre qui ne montrait aucune fatigue et avalait toujours avec une grande facilité la queue de son camarade.
On pouvait le deviner elle entrait réellement dans la gorge. Denis finissait par remarquer le détail. La gorge du suceur gonflait quand la queue de son partenaire s'y engouffrait. Il faisait des bruits bizarres, par moment il retirait complètement sa tête et à ce moment il léchait le pénis de son partenaire, il le léchait comme on lèche une glace et qu'on est un gros gourmand.
Sa langue sortait de sa bouche et s'écrasait contre la queue de l'autre. Il lui léchait aussi les couilles. C'était beaucoup pour Denis tout ça, la tête lui tournait, il a bien cru défaillir. Le décor tournait mais il y avait cette douleur entre ses cuisses qui le maintenait en éveil, qui le maintenait très conscient.
Puis les mouvements des deux hommes devenaient plus rapides, l'un appuyait sa tête, l'autre la maintenait bien en place et Denis pouvait voir les lèvres et cette succion qui n'était plus discrète. Il tentait d'avaler la queue en entier et de la garder. Quand il avait besoin d'air il se dégageait, enfin il tentait de se dégager mais son partenaire essayait lui de le retenir un peu plus, un peu plus longtemps.
Celui qui était resté debout, qui au début ne faisait rien et laissait son partenaire, le retenait maintenait désormais avec force. Il prenait le contrôle de la situation. Il retenait la tête de son partenaire qui se contentait d'ouvrir la bouche et de recevoir la queue de l'autre qui ne se privait plus de la lui fourrer dans la gorge sans ménagement.
Celui qui était à genoux commençait à souffrir, il pleurait, mais ce n'était pas de tristesse, seulement de l'effort nécessaire. Il avait le visage couvert de salive mais ne voulait pas lâcher il en redemandait, il en redemandait toujours plus.
Son visage s'écrasait sur le ventre de son camarade qui gémissait de plaisir plus fort à chaque fois que sa queue s'enfonçait dans la bouche de son partenaire et disparaissait dans sa gorge.
Puis brusquement, celui qui était debout poussait un cri de plaisir. Il appuyait alors sur la tête de son partenaire pour le retenir malgré ses efforts pour se dégager.
Denis voyait alors couler de la bouche un liquide blanc et épais. Denis qu'au moins un des deux devait prendre beaucoup de plaisir. Mais l'autre .
Les deux corps se détendaient, les muscles se relâchaient. Le gars à genoux se relevait, du sperme coulait de sa bouche. Denis aurait du trouver dégoûtant mais il trouvait ça surtout excitant.
Sa queue protestait plus fort que jamais. C'était vraiment douloureux et Denis essayait en vain de réajuster le dispositif en tirant sur la peau.
Les deux hommes avaient disparu. Denis les apercevait, ils s'éloignaient en direction de leur maison.
Denis est resté un moment sans bouger l'après midi avançait. Les ouvriers devaient travailler le soir, la pause allait prendre fin. Mais Denis était préoccupés, sa cage lui faisait mal. IL décidait de revenait à la pension et de prendre une douche froide.
Il se glissait dans la salle bain en glissant contre les murs. Jeremy le remarquait et le retrouvait dans la salle de bain.
– On dirait que tu as des problème Denis ? Demandait Jeremy, c'était sa mission de veiller sur les plus jeunes.
– Non ça va ! Bafouillait Denis.
– J'ai pas l'impression ! Répondait Jeremy.
Denis finissait par lui montrer sa cage. Sa Queue était complètement congestionnée, ratatinée et la peau ressortait par les trous d'aération.
– Et bien mon bonhomme, tu t'est mis dans un état. Tu sais il faut essayer de penser à autre chose quand on porte un truc comme ça. Bon c'est pas bien grave, si ça ne passe pas on en parlera à l'infirmier.
– Je pensais prendre une douche bien froide ! Rajoutais Denis sur un ton pas vraiment convaincu.
– C'est une très bonne idée mais en attendant je connais un truc qui pourrait te calmer.
– Vrai ?
– Tu me fais confiance ?
– Bien sûr !
– C'est un peu spécial mais en général c'est efficace.
– Ok ! Jeremy, vas y !
– Tu te retournes et tu te penches en avant !
Denis s'exécutait, Jérémy lui caressait les fesses, oh sans insister. Il glissait un doigt entre les fesses de Denis et sans prévenir lui enfonçait un doigt dans le cul. Il ne le préparait pas, et son doigt est entré, de deux deux phalange au moins, a sec .
Denis à poussé un gémissement de douleur légère à moins que ce soi aussi de plaisir et en même temps éjaculait. Il éjaculait avec un intense plaisir. Ensuite Jeremy le laissait prendre sa douche. Il s'inquiétait de son état un peu plus tard. Tout semblait aller mieux.
Plus tard Denis a passé une très bonne nuit, le lendemain Jérémy demandait à le voir pour vérifier si tout allait bien. La congestion avait disparu. Il l'envoyait consulter l'infirmier par mesure de prudence. L'incident était terminé.
Mais Denis ne devais jamais oublier cette sensation de douleur légère suivie par ce plaisir intense. Denis venait d'apprendre qu'on pouvait prendre du plaisir avec le cul. Jamais il ne l'aurait seulement supposé avant !
A suivre
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Découverte
Non il n'y avait pas que les déviants qui pensaient au sexe. Ils y pensaient bien sûr mais eux, c'était les seuls à le pratiquer. Les puritains qui portaient ce saint dispositif y pensaient mais le faisaient pas alors que les déviants le faisaient puis pensaient à autre chose.
Denis qui était sensé ne plus penser au sexe, en fait ne pensait plus qu'à ça. Le calme et la sérénité ne revenait pas. Denis restait sous pression, sous tension le reste de la journée.
Le soir, il lui semblait que ses camarades étaient tous parfaitement détendus. Mais une fois dans le lit. Ce n'était plus que soupir de fatigue, soupir d'inconfort. En plus ils étaient tous entre garçons. Que des mâles jeunes.
Les chambres avaient quatre occupants, un plus âgé. Dans la chambre de Denis c'était Jeremy, il avait vingt ans. Ensuite il y avait Damien qui état plus jeune de deux ans. Lucien qui ne portait la cage que depuis six mois et Denis qui commençait son séjour avec un peu plus d'une semaine. C'était lui le plus jeune mais tous la portaient depuis qu'ils avaient l'âge de Denis.
L'idée était simple, les plus âgés devaient aider les plus jeunes. Les encourager, les soutenir, veiller que tout se passait bien pour eux.
L'idée de ce séjour était simple, il y avait surtout des activités sportives, le but était de les fatiguer. Il y avait un grand lac et le ski nautique était au programme, balades en forêt et tout ce qu'on peut imaginer. Le soir il y avait un feu dans le jardin tout le monde se réunissait autour et se racontait des histoires qui font peur.
Bien sûr aucune de ces activités n'étaient obligatoires. Chacun faisait comme il l'entendait. Ce n'était pas une prison … De temps en temps Denis ressentait le besoin de se retrouver seul. On le laissait tranquille, il partait alors se promener dans la campagne, on lui demandait simplement de ne pas prendre de risque et de ne pas trop tarder à revenir.
Ça c'était la version officielle.
En fait Denis se sentait attirer vers la maison ou habitaient les ouvriers, vous savez les déviants qui ne sont pas fréquentables. Ce jour là il a bien failli se faire repérer par un de ouvriers se promenait lui aussi, il était torse nue, son corps magnifique attirait Denis. Il était comme hypnotisé par ce corps bronzé et musclé. Il avait un ventre plat, une douce fourrure brune, et un bermuda.
Ce devait l'heure de la pause, Denis ne comprenait pas vraiment quand les ouvriers travaillaient, le jardin était parfaitement entretenu, tous les travaux étaient faits avec sérieux mais Denis ne voyait jamais personne travailler à l'extérieure de la maison. C'est vrai qu'il n'y était pas toujours. Les occupants était souvent absents pendant la journée.
Denis décidait de suivre ce personnage.
Ce jour là il a bien failli se faire repérer deux fois. Une autre employé prenait la même route que le premier. Denis le remarquait avant que lui ne le remarque. Denis savait qu'il ne devait pas venir là ou il était, on lui avait toujours dit qu'il ne fallait pas fréquenter les déviants. Et là justement c'est parce qu'ils étaient déviant qu'ils les suivait.
Denis aurait du avoir honte de ce qu'il faisait ici. Il plongeait dans un buisson et se faisait tout petit. Le second homme passait sans le voir. Il était lui aussi torse nue et aussi beau que le premier. Enfin Denis le trouvait très beau, il n'était pas habitué à voir ces corps nus, ces corps bronzés, ces corps si attirants.
Denis décidait de les suivre.
C'est au milieu d'une carrière qu'ils se retrouvaient. Ils échangeaient un sourire et s'approchaient l'un de l'autre. Puis très décontractés, ils se prenaient dans les bras et s'embrassaient.
Les bras de l'un se refermaient sur les épaules et le dos de l'autre. Les torses étaient comme attirés l'un par l'autre. Ils se serraient très fort l'un contre l'autre et Denis était tout retourné de voir cette passion, ces baisers passionnés et chauds.
Chacun caressait l'autre. Les baisers couraient sur les épaules de l'un, sur le torse de l'autre et Denis avait l'impression que sa tête allait exploser et que sa cage était une torture qui ne prendrait jamais fin.
Un instant il se sentait projeté dans le futur, une instant il se voyait à côté d'une femme qui ne lui donnerait aucun plaisir, un instant il prenait conscience que sa cage, c'était pour toujours.
Il avait envie de sauter hors de sa cachette et de saisir ces deux hommes, de les embrasser lui aussi, de ne plus les lâcher, de les caresser. Il avait une violente envie de sentir leurs corps chauds et forts contre le sien. Mais c'était interdit, les puritains ne se permettent pas de telles choses, de tels plaisirs.
Denis restait comme paralysé, il restait dans sa cachette et regardait la scène de loin, depuis sa cachette, il voyait tout ce qui se passait mais on ne le voyait. Il avait brusquement honte de lui. Il était devenu un pauvre voyeur, un minable voyeur.
Mais il ne pouvait rien y faire, il ne pouvait pas détourner le regard. Ces deux hommes étaient tellement beaux et tellement sexy. Leurs peaux brunies par le soleil montraient des muscles fins qui roulaient et montraient leurs passions et leurs forces.
L'un se penchait et en s'inclinant il caressait le torse de son partenaire avec ses lèvres et sa langue, lui mordillait les tétons en le faisant gémir. Puis accroupi devant lui il lui ouvrait son pantalon, en sortait sa queue qui déjà était bien grosse et le prenait dans sa bouche.
'' Mais qu'est ce qu'ils font ! '' s'exclamait Denis dans sa tête. Il se raidissait et sa queue lançait une attaque pour se dégager de sa cage. Dans la famille de Denis on ne parlait jamais de sexe et il n'aurait jamais eu l'idée de faire une chose pareil.
Mais il devinait que ça devait être très agréable. Les gémissements non stimulés de l'ouvrier qui était resté debout en témoignaient. Et l'autre semblait y prendre un certain plaisir également. Il y mettait beaucoup de douceur. Il prenait la queue de son partenaire complètement dans sa bouche, elle disparaissait au fond de sa gorge puis il reculait la tête et la queue ressortait.
Il avançait sa tête et tout recommençait.
Suivaient des caresses, il glissait ses main derrière les fesses de son camarade et le tirait vers lui goulûment. Denis voyait ça et ne restait pas indifférent. Il savait qu'il ne pourrait jouer qu'un seul des deux rôles et maintenant il en avait envie.
Il fermait les yeux, seulement quelques seconde et se voyait à la place de garçon superbe qui était à genoux et qui semblait aimer faire plaisir à son partenaire.
Les deux hommes s’entraînaient lentement dans une valse de plaisir, un pouvait jouir et l'autre pouvait … Pouvait-il réellement prendre du plaisir ? Denis ne comprenait pas tout, c'était nouveau pou lui tout ça. Tout ce qu'il connaissait, ou presque, de la sexualité c'était la masturbation puis cette idée de négation du plaisir, cette obligation de la chasteté. Il avait accepté avec plaisir cette situation mais sans en mesurer toutes les contraintes.
Sa queue le torturait de nouveau, depuis son arrivée dans cette colonie de vacances c'était devenu une habitude. Une habitude à laquelle il ne s'habituait pas vraiment. C'était désagréable et quand la tension devenait plus intense, c'était douloureux.
Sa queue ne s'habituait toujours pas à ce confinement dans une cage minuscule.
Les deux hommes continuaient à partager ce moment de plaisir. Celui qui était debout appuyait sur la tête de l'autre qui ne montrait aucune fatigue et avalait toujours avec une grande facilité la queue de son camarade.
On pouvait le deviner elle entrait réellement dans la gorge. Denis finissait par remarquer le détail. La gorge du suceur gonflait quand la queue de son partenaire s'y engouffrait. Il faisait des bruits bizarres, par moment il retirait complètement sa tête et à ce moment il léchait le pénis de son partenaire, il le léchait comme on lèche une glace et qu'on est un gros gourmand.
Sa langue sortait de sa bouche et s'écrasait contre la queue de l'autre. Il lui léchait aussi les couilles. C'était beaucoup pour Denis tout ça, la tête lui tournait, il a bien cru défaillir. Le décor tournait mais il y avait cette douleur entre ses cuisses qui le maintenait en éveil, qui le maintenait très conscient.
Puis les mouvements des deux hommes devenaient plus rapides, l'un appuyait sa tête, l'autre la maintenait bien en place et Denis pouvait voir les lèvres et cette succion qui n'était plus discrète. Il tentait d'avaler la queue en entier et de la garder. Quand il avait besoin d'air il se dégageait, enfin il tentait de se dégager mais son partenaire essayait lui de le retenir un peu plus, un peu plus longtemps.
Celui qui était resté debout, qui au début ne faisait rien et laissait son partenaire, le retenait maintenait désormais avec force. Il prenait le contrôle de la situation. Il retenait la tête de son partenaire qui se contentait d'ouvrir la bouche et de recevoir la queue de l'autre qui ne se privait plus de la lui fourrer dans la gorge sans ménagement.
Celui qui était à genoux commençait à souffrir, il pleurait, mais ce n'était pas de tristesse, seulement de l'effort nécessaire. Il avait le visage couvert de salive mais ne voulait pas lâcher il en redemandait, il en redemandait toujours plus.
Son visage s'écrasait sur le ventre de son camarade qui gémissait de plaisir plus fort à chaque fois que sa queue s'enfonçait dans la bouche de son partenaire et disparaissait dans sa gorge.
Puis brusquement, celui qui était debout poussait un cri de plaisir. Il appuyait alors sur la tête de son partenaire pour le retenir malgré ses efforts pour se dégager.
Denis voyait alors couler de la bouche un liquide blanc et épais. Denis qu'au moins un des deux devait prendre beaucoup de plaisir. Mais l'autre .
Les deux corps se détendaient, les muscles se relâchaient. Le gars à genoux se relevait, du sperme coulait de sa bouche. Denis aurait du trouver dégoûtant mais il trouvait ça surtout excitant.
Sa queue protestait plus fort que jamais. C'était vraiment douloureux et Denis essayait en vain de réajuster le dispositif en tirant sur la peau.
Les deux hommes avaient disparu. Denis les apercevait, ils s'éloignaient en direction de leur maison.
Denis est resté un moment sans bouger l'après midi avançait. Les ouvriers devaient travailler le soir, la pause allait prendre fin. Mais Denis était préoccupés, sa cage lui faisait mal. IL décidait de revenait à la pension et de prendre une douche froide.
Il se glissait dans la salle bain en glissant contre les murs. Jeremy le remarquait et le retrouvait dans la salle de bain.
– On dirait que tu as des problème Denis ? Demandait Jeremy, c'était sa mission de veiller sur les plus jeunes.
– Non ça va ! Bafouillait Denis.
– J'ai pas l'impression ! Répondait Jeremy.
Denis finissait par lui montrer sa cage. Sa Queue était complètement congestionnée, ratatinée et la peau ressortait par les trous d'aération.
– Et bien mon bonhomme, tu t'est mis dans un état. Tu sais il faut essayer de penser à autre chose quand on porte un truc comme ça. Bon c'est pas bien grave, si ça ne passe pas on en parlera à l'infirmier.
– Je pensais prendre une douche bien froide ! Rajoutais Denis sur un ton pas vraiment convaincu.
– C'est une très bonne idée mais en attendant je connais un truc qui pourrait te calmer.
– Vrai ?
– Tu me fais confiance ?
– Bien sûr !
– C'est un peu spécial mais en général c'est efficace.
– Ok ! Jeremy, vas y !
– Tu te retournes et tu te penches en avant !
Denis s'exécutait, Jérémy lui caressait les fesses, oh sans insister. Il glissait un doigt entre les fesses de Denis et sans prévenir lui enfonçait un doigt dans le cul. Il ne le préparait pas, et son doigt est entré, de deux deux phalange au moins, a sec .
Denis à poussé un gémissement de douleur légère à moins que ce soi aussi de plaisir et en même temps éjaculait. Il éjaculait avec un intense plaisir. Ensuite Jeremy le laissait prendre sa douche. Il s'inquiétait de son état un peu plus tard. Tout semblait aller mieux.
Plus tard Denis a passé une très bonne nuit, le lendemain Jérémy demandait à le voir pour vérifier si tout allait bien. La congestion avait disparu. Il l'envoyait consulter l'infirmier par mesure de prudence. L'incident était terminé.
Mais Denis ne devais jamais oublier cette sensation de douleur légère suivie par ce plaisir intense. Denis venait d'apprendre qu'on pouvait prendre du plaisir avec le cul. Jamais il ne l'aurait seulement supposé avant !
A suivre
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