Le jeune Denis Ep07 Et finalement l'amour
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-02-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le jeune Denis Ep07 Et finalement l'amour
Denis n'était pas calmé quand il revenait à la pension de la colonie de vacances. Il bandait ! Enfin sa queue essayait d'une manière obstinée. Elle ne voulait rien savoir, elle était sous clé, en cage mais ne l'acceptait pas.
Denis regardait avec insistance l'entre cuisse de hommes et des garçons, seuls les plus jeunes ne l'intéressaient pas ( encore heureux ) mais même les plus âgés l'intéressaient ( si c'est pas malheureux ).
Denis avait besoin de rencontrer des gens mais il ne savait pas comment s'y prendre. Il aimait traîner dans le parc de la ville, c'était une petite ville. Au bout de quelques jours Denis remarquait un jeune homme qui était toujours seul. Il devait avoir le même âge, il avait les cheveux en bataille et on peut dire que sur certains point il se ressemblaient.
Ils avaient le même âge, ils avaient la même taille, la même silhouette, un visage doux et en plus cet inconnu avait une jolie bosse entre les cuisses. Elle ressortait d'autant plus que sa silhouette était mince.
C'est comme un coup au cœur que Denis recevait. Ils se sont regardé droit dans les yeux et les deux semblaient exprimer comme un trouble. Le jeune homme continuait sa route et s'asseyait sur un banc qu'il y avait devant lui, de là il pouvait voir Denis.
Denis venait s'asseoir juste en face, ils se regardaient et se souriaient.
– Je m'appelle Denis.
– Emmanuel ! Répondait l'inconnu.
Ils se rapprochaient s'asseyaient sur le même banc. Denis rêvait, de près le jeune homme luis était encore plus beau. Denis aimait son sourire, ses yeux …
Emmanuel avait lui aussi le même regard.
Ils ne tardaient pas à se rapprocher ces deux là. Juste derrière un buisson, caché de la vue de tous il s'embrassaient. Leurs deux cœurs battaient fort et vite et surtout parfaitement synchronisés.
L'un se perdait dans les yeux de l'autre qui lui au contraire y voyait comme une lumière qu'il ne voulait plus oublier. Ils se sont alors déplacé vers un endroit plus tranquille. Il y avait la campagne, de grands espaces ou on ne rencontrait personne.
Rapidement c'est près d'une rivière que les deux jeunes hommes se retrouvaient tous les jours. Ils s'allongeaient dans le frais cresson bleu. Puis continuaient à se rapproché, et entre deux baisers, Denis finissait par s'allonger la tête sur une pierre sur laquelle il installait une veste repliée pour plus de confort.
Emmanuel, perpendiculaire à Denis, appuyait sa tête sur le ventre de son nouvel ami. Ils se sont raconté leurs vie, Denis évitait toutefois de parler des ces aventures depuis le début des vacances. Il n'en avait pas eu beaucoup mais c'était déjà énorme et il avait peur d'effrayer son nouvel ami.
Distraitement Denis caressait le visage d'Emmanuel avec son pouce. C'était un moment de tendresse qu'ils partageaient tous les deux.
– Alors tu es un puritain ?
– Oui c'est comme ça qu'on nous appelle. Et toi tu es un déviant ?
– Mais moi je ne dévie rien. Mes amis diraient plutôt que je suis un branleur.
– Un branleur ?
– Mais c'est normal à mon âge.
Ils parlaient encore, apprenaient à se connaître.
Denis décidait d'organiser un pique-nique, et les deux nouveaux amants se retrouvaient de nouveau dans un endroit calme. Ils étaient à l'ombre sous un arbre au milieu des champs, pas loin d'une rivière. Ils se laissaient aller, ils oubliaient que leurs amours étaient interdites. Ils s'en moquaient.
Ils s'enlaçaient, se caressaient et s'embrassaient.
Ils parlaient, ils roulaient l'un sur l'autre. Ils se tenaient fermement enlacés. Ils se retrouvaient torse nue, se caressaient, et s'embrassaient, chacun goûtait l'autre et y prenait du plaisir, beaucoup de plaisir.
– Alors tu portes un de ces dispositifs de chasteté.
Denis faisait oui de la tête.
– Je le sens là, contre ma cuisse.
Les deux jeunes hommes s'étaient serré l'un contre l'autre et chacun sentait ce que l'autre avait dans la poche, même si ce n'était pas dans la poche.
– Tu fais voir ?
C'est sans faire de manières que Denis ouvrait son pantalon et en sortait son sexe en cage.
– Ça ne fait pas mal ?
– Non ça va mais par moment c'est pas très confortable. Si je reste tendu trop longtemps, ça peut finir par faire un peu mal oui.
Emmanuel regardait l'air un peu horrifié puis tendait la main. Denis le laissait faire.
– Tu peux toucher si tu veux.
– Tu laisses tout le monde y toucher ?
– Mais tu n'est pas tout le monde !
Suivait un nouveau baiser, très tendre, très chaud et quand leurs lèvres se séparaient, Emmanuel tripotait, un peu comme par hasard, les couilles de Denis.
– Et c'est normal si tu n'as pas de poils sur tes couilles ?
– On nous les retire, c'est une méthode électrique, c'est amusant en deux ou trois séances ils disparaissent totalement et définitivement. C'est amusant, ça chatouille.
Emmanuel continuait à caresser les couilles de Denis. La pression dans la cage devenait vite énorme. Il s'en rendait compte. La cage avait tendance à se relever.
– Tu bandes là on dirait .
– Maintenant toi, fais voir. Lui demandait Denis.
Emmanuel hésitait un instant puis se décidait, il ouvrait à son tour son pantalon et comme Denis quelques instant plus tôt en sortait son sexe. Il bandait lui aussi mais rien n'entravait son érection. Il en avait une belle.
Denis caressait à son tour le sexe de son ami. Emmanuel, continuait à lui caresser les couilles.
– C'est vraiment trop doux sans aucun poil. Faisait remarquer Emmanuel.
Au bout d'un moment Denis se retournait et se retrouvant face au sexe de son camarade décidait d'aller un peu plus loin. Il se penchait et passait doucement sa langue sur le gland de son ami.
Emmanuel à sursauté.
– Laisse moi faire. Insistait Denis.
Emmanuel restait un peu crispé mais finalement laissait faire. Il penchait la tête en arrière et soupirait, c'était agréable, Denis était tellement attentif à ses réactions que ce n'était que du plaisir.
– Tu l'as déjà fait ou bien ? Demandait Emmanuel.
– J'y ai souvent pensé depuis quelques temps. Tu sais avec un tel dispositif, on ne pense plus qu'à ça.
– Et c'est ça qu'on appelle : Puritain ?
– Moque toi, je voudrais bien t'y voir ! Lui répondait Denis.
Denis continuait à sucer, il passait et repassait sa langue tout autour du gland de son amant. Il appuyait son visage et la queue d'Emmanuel disparaissait complètement dans la gorge de Denis.
Emmanuel gémissait de plaisir maintenant et caressait les cheveux de Denis. Par moment il soulevait son bassin, un mouvement qui devait échapper à son contrôle. Denis avalait sa queue qui s'enfonçait maintenant avec force.
C'était mieux, c'était plus agréable qu'avec les hommes de la forêt, enfin je veux dire les ouvriers qui travaillent pour la pension. Ils étaient beaux, sexy, attirants, mais c'était pas pareil, il y avait en Emmanuel autre chose. Il y avait quelque chose d'indéfinissable.
Ils avaient le même âge, Denis bandait comme un fou mais l'entrave n'était pas douloureuse, il aurait pourtant aimer pouvoir bander librement, il aurait tellement aimer pouvoir découvrir lui aussi les plaisirs de la fellation et il aurait aimé les découvrir avec son ami Emmanuel.
Denis ne se laissait pas distraire et continuait à sucer Emmanuel qui gémissait plus fort et frémissait maintenant.
Des voix d'hommes se faisaient entendre. Les deux jeunes ont un peu paniqué. Il ne fallait surtout pas être surpris, ce serait la honte. Emmanuel un jeune très bien sous tous rapports et connu au village et Denis un puritain …
Mon dieu, je vous laisse imaginer le scandale. Dans le village on ne parlerait plus que de ça.
Mais les deux garçons était rapides, ils ne se relevaient pas, tant qu'ils était allongés, les grandes herbes les dissimulaient. Mais il ne leur fallait pas plus de quelques secondes pour remettre leurs pantalon. Il était temps, ils étaient encore torses nues quand deux hommes passaient à proximité.
Deux garçons, torses nues, allongés dans l'herbe à un bon mètre l'un de l'autre, à côté d'une rivière, en pleine canicule … Tout était normal en fait. Il n'y avait rien à redire.
– Alors ça se passe bien les jeunes. Vous parlez des filles je suppose ! Leur lançait un des deux hommes.
– Emmanuel, ta mère te cherchait, tu ne devrait pas trop tarder. Lui disait le second homme.
Tout le monde se connaissait dans ce village, en effet.
Les deux jeunes n'avaient pas eu le temps de conclure mais il fallait rentrer. Ils avançaient ensemble, l'un à côté de l'autre, ils n'osaient pas se toucher, se prendre la main. On pouvait voir des passants de loin. Et de loin ça paraîtrait déplacé pour ne pas dire autre chose.
Ils ne se sont pas embrassé au moment de la séparation. Pourtant ils savaient que c'était la dernière fois qu'ils se voyaient. Denis devait repartir le lendemain, les vacances étaient terminées.
Chacun voyait dans les yeux de l'autre cette hésitation, ce désir de repousser encore ne serait-ce que de quelques secondes le moment de leur séparation.
Ils n'ont rien montré mais c'était une déchirure qu'ils vivaient l'un comme l'autre. Ils n'avaient passé que deux semaines ensemble. Pour Denis c'étaient les deux plus belles semaines de sa vie.
Denis avait passé des vacances étonnantes. Il avait découvert le flirt, le premier baiser, le pelotage, la fellation et la sodomie … Mais pas dans cet ordre. C'est pourtant dans cet ordre en général que ça se passe mais bon, tout ne se passe pas toujours comme prévu, c'est la vie.
Denis traversait la forêt pour rentrer à la colonie de vacances, il avait son panier de pique-nique et c'est sans même y penser qu'il approchait de la maison de ouvriers.
A suivre
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Denis regardait avec insistance l'entre cuisse de hommes et des garçons, seuls les plus jeunes ne l'intéressaient pas ( encore heureux ) mais même les plus âgés l'intéressaient ( si c'est pas malheureux ).
Denis avait besoin de rencontrer des gens mais il ne savait pas comment s'y prendre. Il aimait traîner dans le parc de la ville, c'était une petite ville. Au bout de quelques jours Denis remarquait un jeune homme qui était toujours seul. Il devait avoir le même âge, il avait les cheveux en bataille et on peut dire que sur certains point il se ressemblaient.
Ils avaient le même âge, ils avaient la même taille, la même silhouette, un visage doux et en plus cet inconnu avait une jolie bosse entre les cuisses. Elle ressortait d'autant plus que sa silhouette était mince.
C'est comme un coup au cœur que Denis recevait. Ils se sont regardé droit dans les yeux et les deux semblaient exprimer comme un trouble. Le jeune homme continuait sa route et s'asseyait sur un banc qu'il y avait devant lui, de là il pouvait voir Denis.
Denis venait s'asseoir juste en face, ils se regardaient et se souriaient.
– Je m'appelle Denis.
– Emmanuel ! Répondait l'inconnu.
Ils se rapprochaient s'asseyaient sur le même banc. Denis rêvait, de près le jeune homme luis était encore plus beau. Denis aimait son sourire, ses yeux …
Emmanuel avait lui aussi le même regard.
Ils ne tardaient pas à se rapprocher ces deux là. Juste derrière un buisson, caché de la vue de tous il s'embrassaient. Leurs deux cœurs battaient fort et vite et surtout parfaitement synchronisés.
L'un se perdait dans les yeux de l'autre qui lui au contraire y voyait comme une lumière qu'il ne voulait plus oublier. Ils se sont alors déplacé vers un endroit plus tranquille. Il y avait la campagne, de grands espaces ou on ne rencontrait personne.
Rapidement c'est près d'une rivière que les deux jeunes hommes se retrouvaient tous les jours. Ils s'allongeaient dans le frais cresson bleu. Puis continuaient à se rapproché, et entre deux baisers, Denis finissait par s'allonger la tête sur une pierre sur laquelle il installait une veste repliée pour plus de confort.
Emmanuel, perpendiculaire à Denis, appuyait sa tête sur le ventre de son nouvel ami. Ils se sont raconté leurs vie, Denis évitait toutefois de parler des ces aventures depuis le début des vacances. Il n'en avait pas eu beaucoup mais c'était déjà énorme et il avait peur d'effrayer son nouvel ami.
Distraitement Denis caressait le visage d'Emmanuel avec son pouce. C'était un moment de tendresse qu'ils partageaient tous les deux.
– Alors tu es un puritain ?
– Oui c'est comme ça qu'on nous appelle. Et toi tu es un déviant ?
– Mais moi je ne dévie rien. Mes amis diraient plutôt que je suis un branleur.
– Un branleur ?
– Mais c'est normal à mon âge.
Ils parlaient encore, apprenaient à se connaître.
Denis décidait d'organiser un pique-nique, et les deux nouveaux amants se retrouvaient de nouveau dans un endroit calme. Ils étaient à l'ombre sous un arbre au milieu des champs, pas loin d'une rivière. Ils se laissaient aller, ils oubliaient que leurs amours étaient interdites. Ils s'en moquaient.
Ils s'enlaçaient, se caressaient et s'embrassaient.
Ils parlaient, ils roulaient l'un sur l'autre. Ils se tenaient fermement enlacés. Ils se retrouvaient torse nue, se caressaient, et s'embrassaient, chacun goûtait l'autre et y prenait du plaisir, beaucoup de plaisir.
– Alors tu portes un de ces dispositifs de chasteté.
Denis faisait oui de la tête.
– Je le sens là, contre ma cuisse.
Les deux jeunes hommes s'étaient serré l'un contre l'autre et chacun sentait ce que l'autre avait dans la poche, même si ce n'était pas dans la poche.
– Tu fais voir ?
C'est sans faire de manières que Denis ouvrait son pantalon et en sortait son sexe en cage.
– Ça ne fait pas mal ?
– Non ça va mais par moment c'est pas très confortable. Si je reste tendu trop longtemps, ça peut finir par faire un peu mal oui.
Emmanuel regardait l'air un peu horrifié puis tendait la main. Denis le laissait faire.
– Tu peux toucher si tu veux.
– Tu laisses tout le monde y toucher ?
– Mais tu n'est pas tout le monde !
Suivait un nouveau baiser, très tendre, très chaud et quand leurs lèvres se séparaient, Emmanuel tripotait, un peu comme par hasard, les couilles de Denis.
– Et c'est normal si tu n'as pas de poils sur tes couilles ?
– On nous les retire, c'est une méthode électrique, c'est amusant en deux ou trois séances ils disparaissent totalement et définitivement. C'est amusant, ça chatouille.
Emmanuel continuait à caresser les couilles de Denis. La pression dans la cage devenait vite énorme. Il s'en rendait compte. La cage avait tendance à se relever.
– Tu bandes là on dirait .
– Maintenant toi, fais voir. Lui demandait Denis.
Emmanuel hésitait un instant puis se décidait, il ouvrait à son tour son pantalon et comme Denis quelques instant plus tôt en sortait son sexe. Il bandait lui aussi mais rien n'entravait son érection. Il en avait une belle.
Denis caressait à son tour le sexe de son ami. Emmanuel, continuait à lui caresser les couilles.
– C'est vraiment trop doux sans aucun poil. Faisait remarquer Emmanuel.
Au bout d'un moment Denis se retournait et se retrouvant face au sexe de son camarade décidait d'aller un peu plus loin. Il se penchait et passait doucement sa langue sur le gland de son ami.
Emmanuel à sursauté.
– Laisse moi faire. Insistait Denis.
Emmanuel restait un peu crispé mais finalement laissait faire. Il penchait la tête en arrière et soupirait, c'était agréable, Denis était tellement attentif à ses réactions que ce n'était que du plaisir.
– Tu l'as déjà fait ou bien ? Demandait Emmanuel.
– J'y ai souvent pensé depuis quelques temps. Tu sais avec un tel dispositif, on ne pense plus qu'à ça.
– Et c'est ça qu'on appelle : Puritain ?
– Moque toi, je voudrais bien t'y voir ! Lui répondait Denis.
Denis continuait à sucer, il passait et repassait sa langue tout autour du gland de son amant. Il appuyait son visage et la queue d'Emmanuel disparaissait complètement dans la gorge de Denis.
Emmanuel gémissait de plaisir maintenant et caressait les cheveux de Denis. Par moment il soulevait son bassin, un mouvement qui devait échapper à son contrôle. Denis avalait sa queue qui s'enfonçait maintenant avec force.
C'était mieux, c'était plus agréable qu'avec les hommes de la forêt, enfin je veux dire les ouvriers qui travaillent pour la pension. Ils étaient beaux, sexy, attirants, mais c'était pas pareil, il y avait en Emmanuel autre chose. Il y avait quelque chose d'indéfinissable.
Ils avaient le même âge, Denis bandait comme un fou mais l'entrave n'était pas douloureuse, il aurait pourtant aimer pouvoir bander librement, il aurait tellement aimer pouvoir découvrir lui aussi les plaisirs de la fellation et il aurait aimé les découvrir avec son ami Emmanuel.
Denis ne se laissait pas distraire et continuait à sucer Emmanuel qui gémissait plus fort et frémissait maintenant.
Des voix d'hommes se faisaient entendre. Les deux jeunes ont un peu paniqué. Il ne fallait surtout pas être surpris, ce serait la honte. Emmanuel un jeune très bien sous tous rapports et connu au village et Denis un puritain …
Mon dieu, je vous laisse imaginer le scandale. Dans le village on ne parlerait plus que de ça.
Mais les deux garçons était rapides, ils ne se relevaient pas, tant qu'ils était allongés, les grandes herbes les dissimulaient. Mais il ne leur fallait pas plus de quelques secondes pour remettre leurs pantalon. Il était temps, ils étaient encore torses nues quand deux hommes passaient à proximité.
Deux garçons, torses nues, allongés dans l'herbe à un bon mètre l'un de l'autre, à côté d'une rivière, en pleine canicule … Tout était normal en fait. Il n'y avait rien à redire.
– Alors ça se passe bien les jeunes. Vous parlez des filles je suppose ! Leur lançait un des deux hommes.
– Emmanuel, ta mère te cherchait, tu ne devrait pas trop tarder. Lui disait le second homme.
Tout le monde se connaissait dans ce village, en effet.
Les deux jeunes n'avaient pas eu le temps de conclure mais il fallait rentrer. Ils avançaient ensemble, l'un à côté de l'autre, ils n'osaient pas se toucher, se prendre la main. On pouvait voir des passants de loin. Et de loin ça paraîtrait déplacé pour ne pas dire autre chose.
Ils ne se sont pas embrassé au moment de la séparation. Pourtant ils savaient que c'était la dernière fois qu'ils se voyaient. Denis devait repartir le lendemain, les vacances étaient terminées.
Chacun voyait dans les yeux de l'autre cette hésitation, ce désir de repousser encore ne serait-ce que de quelques secondes le moment de leur séparation.
Ils n'ont rien montré mais c'était une déchirure qu'ils vivaient l'un comme l'autre. Ils n'avaient passé que deux semaines ensemble. Pour Denis c'étaient les deux plus belles semaines de sa vie.
Denis avait passé des vacances étonnantes. Il avait découvert le flirt, le premier baiser, le pelotage, la fellation et la sodomie … Mais pas dans cet ordre. C'est pourtant dans cet ordre en général que ça se passe mais bon, tout ne se passe pas toujours comme prévu, c'est la vie.
Denis traversait la forêt pour rentrer à la colonie de vacances, il avait son panier de pique-nique et c'est sans même y penser qu'il approchait de la maison de ouvriers.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Mais peut être que dans trois jours Monsieur Denis se souviendra un peu plus de cet amour de vacances ... Mais il est vrai que Emmanuel et lui sont séparés par le milieu social ...
Une suite avec Emmanuel serait la bienvenue . J'aime beaucoup cette histoire