Le joli mois de mai 10 ème partie : Partouze et rugby
Récit érotique écrit par Krispas [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-05-2016 dans la catégorie Plus on est
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Le joli mois de mai 10 ème partie : Partouze et rugby
Les invités tous repartis vers leurs vies « normales », nous nous sommes retrouvés en compagnie de nos hôtes, de Louise et de Julie. Après un agréable périple dans le Q9 nous arrivons à Bordeaux dans l’après-midi. Passés par le Quai des Chartrons, nous longeons le fleuve, passons devant le miroir d’eau place de la bourse où s’éclatent des gamins. Entourés de supporters des deux clubs, nous trouvons une place par miracle proche du numéro quarante-six de l’avenue qui marque l’entrée des VIP. Nous sommes très vite pris en charge par une hôtesse qui nous accompagne dans une des loges prestige du stade.
Au sommet de la tribune d’honneur, nous avons une vue imprenable sur la pelouse. Il fait bon dans cet espace un peu austère mais confortable. Des fauteuils bleus nous tendent les bras et nous nous retrouvons assis avec un verre de Bordeaux à la main. Des mignardises sont disposées sur des tables derrière nous par une très jolie hôtesse blonde, queue de cheval assez haute, jupe tailleur gris assez strict et un garçon plutôt athlétique en costume noir. Nicolas a encore bien fait les choses.
Le match commence et pendant que les supporters encouragent leur équipe, je me cale dans mon fauteuil à côté de Nicolas. Très vite le match est plié. Toulon mène au score à la mi-temps. Les filles papotent entre elles assez peu intéressées par le match à l’exception de Christelle qui se fait expliquer les subtilités du rugby par Valérie. Forcément le physique des joueurs retient leur attention et elles semblent évoquer en catimini quelques informations sur un joueur bordelais habitué des soirées coquines selon Valérie. Sous les voûtes de la loge les esprits s’échauffent sous l’effet conjugué du vin qui coule à flot et de la chaleur qui monte. La clim ne fonctionne pas très bien et bien vite nous percevons quelques gémissements derrière nos fauteuils. Nos quatre coquines en sous-vêtements, entreprennent le serveur qui se laisse faire avec gourmandise. Bien vite débarrassé de son pantalon, Il ne garde plus que sa chemise ouverte maintenue par sa cravate. Sportif le jeune homme !
- « Marc fait du handball en club en même temps que ses études. » me dit Nicolas avant de rajouter :
- « Il participe de temps en temps à nos soirées lui aussi. Hier il avait une compétition. J’espère qu’il n’y a pas laissé tout son jus ! »
De retour d’une course à la demande de Nicolas, la jeune hôtesse entre dans la loge et tombe en arrêt devant le spectacle offert sous ses yeux. Loin d’être effarouchée, elle nous observe visiblement intéressée.
Nos adorables furies pompent maintenant à tour de rôle le jeune handballeur, mais il ne peut leur suffire à lui seul et nous sommes encouragés à les rejoindre. Louise et Julie commencent à nous attraper le manche et nous astiquent méticuleusement pendant que Christelle et Valérie continuent à sucer Marc. Sous leurs efforts conjugués, sa verge commence à prendre des dimensions impressionnantes. La jeune hôtesse fixe, gourmande, cette bite vraiment énorme tout en se caressant, la jupe maintenant relevée sur les hanches. Son slip écarté d’une main, elle fouille son intimité en faisant rouler sous ses doigts disponibles son clitoris. Les yeux brillants et les lèvres entrouvertes, elle se laisse emporter dans de grands mouvements du bassin. Haletante, elle s’appuie dos à la table haute derrière elle.
Maintenant bien raide grâce aux talents de Julie, je la rejoins. Sa veste de tailleur est prête à exploser sous la pression de ses seins. Je découvre sur son badge son prénom, Aurélie, en même temps que je la libère de sa veste et de son chemisier en prenant soin de lui laisser son soutien-gorge. Je m’accroupis devant elle et commence à la caresser à grands coups de langue. Mes mains remontent le long de son ventre plat et au travers de la fine dentelle blanche je fais rouler leurs pointes entre mes pouces et mes index.
Sa toison blonde sent le musc et je plonge dedans avec délice. Elle accompagne mes caresses en posant ses mains de part et d’autre de ma tête, Elle exerce dessus une pression plus ou moins forte en fonction du plaisir qu’elle ressent et me guide ainsi vers son orgasme. Saisissant mes cheveux courts, elle jouit en aspirant l’air dans un son aigu tout en me plaquant contre elle. « Heureusement que la loge est bien insonorisée » me dis-je en retournant la jeune femme sans lui laisser le loisir de protester.
Je me saisis dans une coupe d’un préservatif et pousse ma jolie blonde à se tourner vers la baie qui nous sépare des quelque vingt mille spectateurs présents cet après-midi. Penchée vers l’avant, la croupe soulignée par sa jupe remontée sur ses hanches, elle empoigne le dossier d’un fauteuil et attend offerte que je la prenne. Juchée sur ses talons elle m’offre une vulve trempée et brûlante. Je fais tomber mon pantalon à mes pieds et baissant mon boxer j’écarte sa petite culotte de la main et m’enfonce en elle de toute ma longueur. Sans la ménager, je la besogne comme un malotru et à ma grande surprise elle aime ça. Chacun de mes coups de butoir la fait crier.
Pendant ce temps nos compagnes ne se sont pas endormies et Valérie se fait pénétrer par l’énorme gourdin de Marc. Elle aussi pliée en deux vers le terrain, complètement nue, elle regarde droit devant elle cette foule ignorant tout de ce qui se passe dans la loge. Christelle à côté d’elle, empoigne Marc d’une main comme elle le ferait d’un gode et de l’autre caresse la poitrine généreuse de son amie en lui chuchotant à l’oreille des mots que je ne peux entendre. Entre deux baisers dans le cou, elle me regarde en train de baiser la jeune Aurélie avec ce sourire auquel je commence à m’habituer.
Comme un pacha, Nicolas lui, se fait pomper le dard par les deux sœurs, assis dans son fauteuil sans perdre une miette du match qui se déroule en contrebas. Heureux homme !
Tout à mon ouvrage entre les cuisses de ma blonde, je n’en oublie pas pour autant le spectacle que me donne Valérie. Je suis hypnotisé par le mouvement de ses seins libérés de leur soutien-gorge par les doigts agiles de ma femme. Dans un mouvement circulaire, d’avant vers l’arrière, ils dansent une folle sarabande au fur et à mesure que l’étalon placé derrière elle la pilonne. Elle jouit bien vite alors que son amant impassible continue ses va et viens. Dans un râle interminable elle ânonne quelque insanités et semble tétanisée, les yeux fermés, la bouche grande ouverte les cheveux défaits.
Marc finit par se rendre compte qu’elle lui demande grâce et cesse enfin de la prendre. Il s’extrait d’elle, énorme : la capote qu’il porte ne couvre qu’un petit tiers de sa verge.
Figée dans sa position tout en reprenant son souffle Valérie cède sa place à ma femme. Christelle se hisse sur un des deux tabourets de bar et se penche elle aussi vers l’avant. Elle ne touche pas le sol et doit chercher le repose pieds pour se caler. Plus petite que Valérie, la même position n’aurait été confortable ni pour lui ni pour elle. Par contre, juchée à la bonne hauteur, il pourra la posséder à fond. Placé derrière elle, il se penche et saisit la manette qui sert au réglage de l’assise. Sans effort apparent, d’une main il relève le fauteuil au bon niveau et se place entre les fesses de ma femme.
Changeant de préservatif, il humecte son pouce de sa salive, le présente entre les lèvres gonflées qui lui sont offertes et d’un geste ample il y enfonce son engin. Les yeux d’abord fermés de Christelle, s’ouvrent dans une expression ou se lisent la surprise, la douleur et le plaisir. Jamais je ne l’avais vue prise par un sexe d’homme aussi gros. Sentant bien que sa partenaire du moment n’est pas du même calibre que la précédente, Marc prend son temps mais inexorablement, il entre au plus profond du sexe qui lui est offert.
Par mimétisme et plus modestement, je cale mes propres mouvements sur ceux de cet homme qui transperce ma femme. Un râle accompagne chacune des poussées qu’elles subissent toutes les deux. Valérie ayant repris ses esprits va à la rencontre de Christelle et accroupie devant elle l’embrasse et lui chuchote à son tour des mots que je n’entends pas. Ma partenaire elle aussi réagit à mes attentions et au bout de quelques minutes intenses durant lesquelles je fais l’amour par procuration à ma femme, elle jouit dans un interminable cri aigu en se cambrant dans un spasme. Marc et moi accélérons le rythme. Il fait jouir Christelle tandis que ma petite hôtesse perd toute retenue dans un deuxième orgasme. Ayant saisi les bras de son amie ma femme plante ses doigts autour des poignets de Valérie pour ne pas hurler et retenir la violence de son plaisir. Elle jouit pendant de longues secondes et, vaincue, laisse son partenaire s’extraire d’elle, arracher sa capote et jouir en longues giclées sur le creux de ses reins.
Les deux sœurs un temps occupées au plaisir de Nicolas se sont rapprochées de la scène et le sollicitent pour qu’à leur tour elles puissent profiter de son endurance. C’est ainsi qu’elles se retrouvent à leur tour sur le tabouret abandonné par Christelle pour se faire fouiller par le sexe de cet infatigable amant.
Christelle m’a rejoint avec Valérie et pendant que nous nous désaltérons, nous assistons au merveilleux spectacle de ces deux superbes femmes prises à tour de rôle par Nicolas.
Marc et Aurélie ne restent pas de marbre et enfin, notre jeune hôtesse d’accueil peut profiter de ce sexe qu’elle lorgnait depuis le début de notre partie de jambe en l’air.
Assis sur un fauteuil les cuisses écartées il laisse la jeune femme le sucer. La bouche béante, ses lèvres dans un O parfait enserrent le sexe de nouveau raide. C’est lui qui imprime à sa partenaire le rythme auquel il veut la posséder. Saisissant sa queue de cheval, il fait faire au doux visage déformé par son sexe un mouvement de haut en bas qui l’amène à engouffrer ce pieu de chair jusqu’à la garde. S’estimant assez excité, il demande à Aurélie de venir dos à lui, s’empaler dessus. Il disparaît bien vite en elle alors qu’elle s’appuie sur les accoudoirs des fauteuils voisins pour le faire réapparaître avant de le laisser la reprendre.
Il en est ainsi durant de longues minutes durant lesquelles subjuguées, Christelle, Valérie et moi assistons à cette scène terriblement excitante. Toujours sans ménager sa partenaire, il lui intime l’ordre de se lever, la plaque sur la baie vitrée et, comme avec Christelle tout à l’heure, il humecte son pouce en crachant dessus et le glisse dans son petit anneau pour préparer le terrain puis il la sodomise. La petite hôtesse apprécie visiblement le traitement qu’il lui réserve et jouit coup sur coup après de longs instants durant lesquels abandonnant toute dignité elle se mit à prononcer des énormités encourageant Marc à l’enculer de plus en plus vite et de plus en plus fort. Face à la foule des supporters toulonnais acclamant les vainqueurs, elle monte et redescend, le visage plaqué contre la vitre, au rythme de chaque coup de rein.
Encouragé par son comportement, Marc la traite sans ménagement et la fouraille comme une brute. Décidément insatiable, il la besogne s’accompagnant de commentaires :
- « Tu aimes ça quand je t’encule hein ! Tu aimes ça, te faire prendre par derrière comme ça hein ? »
Et visiblement ça lui plait.
- « Oh oui, prends-moi, vas-y plus fort, plus fort, oui ! Prends-moi comme ça ! »
Là-dessus, Louise elle aussi se met à jouir pendant que Nicolas la possède. Et c’est dans un bel ensemble que les deux jeunes femmes atteignent l’orgasme dans des vocalises. S’échappant du délicieux piège dans lequel il est prisonnier, il plonge dans la bouche de sa sœur qui n’attendait que lui, la bouche ouverte. Il se débarrasse lui aussi de sa capote et après s’être vigoureusement branlé, il jouit sur le visage de Julie.
Marc à son tour, explose dans le cul de sa partenaire en contractant avec violence à plusieurs reprises ses fesses musclées, sa jeune victime les bras en croix maintenus par ses poignets plaqués contre la vitre.
Ils restent ainsi quelques temps avant de revenir vers nous. Même au repos son sexe est imposant et attire le regard des filles. Julie ne cache pas son intérêt et se positionne clairement comme sa prochaine cible lors d’une soirée coquine chez Valérie et Nicolas.
Louise, restera sur sa faim car elle nous apprend qu’elle doit partir en séminaire dès ce soir, ce sera donc pour une prochaine fois.
- « Il faut que nous aussi nous retournions à la réalité du quotidien. » répond Christelle.
- « Et où a lieu ton séminaire ? »
- « Une semaine avec des ingénieurs commerciaux à la Baule...sur la gestion des conflits... »
Je percute en même temps que Christelle et nous lui proposons de remonter avec nous :
- « Nantes-La baule : une heure de route, pas plus ! »
- « Oh oui ! » s’enthousiasme ma femme pour qui la célèbre station balnéaire était, jusqu’à cet instant, sans aucun intérêt !
Je la soupçonne d’avoir encore une idée derrière la tête. Comment lui en voudrais-je, je ne suis moi-même pas dénué d’intentions.
Le stade est vide à l’exception des équipes techniques qui s’affairent sur la pelouse. Nous finissons les plateaux d’amuse-bouche et entamons un superbe Pessac-Léognan. Marc et Aurélie se régalent avec nous, comme si de rien n’était. Nous avons pourtant baisé comme des fous et elle va certainement garder un souvenir cuisant de cet après-midi de travail. Etudiante, elle arrondit ses fins de mois en faisant des extras régulièrement. La voilà riche d’une expérience qu’elle ne mettra pas sur son CV.
Ces dames rhabillées, pomponnées, recoiffées et débarrassées des stigmates de notre partouze, nous regagnons l’Audi au parking. Julie a pris le numéro de Marc. Ceux-là n’attendront pas longtemps avant de se revoir. La petite Aurélie a pointé en retard à la sortie du boulot aujourd’hui, mais Nicolas l’a rassurée. Ses heures lui seront bien payées.
Nous rentrons dans le Médoc après avoir fait un crochet pour déposer Louise afin qu’elle prenne chez elle ses affaires pour la semaine. Elle nous rejoindra chez Valérie et Nicolas plus tard.
Une dernière tête dans la piscine, puis un tour dans la cave avec notre hôte qui nous offre quelques bouteilles, « des millésimes intéressants » en gage d’amitié.
Louise arrive vers dix-neuf heures et nous partons ensemble vers Nantes avec un crochet par La Baule.
Au sommet de la tribune d’honneur, nous avons une vue imprenable sur la pelouse. Il fait bon dans cet espace un peu austère mais confortable. Des fauteuils bleus nous tendent les bras et nous nous retrouvons assis avec un verre de Bordeaux à la main. Des mignardises sont disposées sur des tables derrière nous par une très jolie hôtesse blonde, queue de cheval assez haute, jupe tailleur gris assez strict et un garçon plutôt athlétique en costume noir. Nicolas a encore bien fait les choses.
Le match commence et pendant que les supporters encouragent leur équipe, je me cale dans mon fauteuil à côté de Nicolas. Très vite le match est plié. Toulon mène au score à la mi-temps. Les filles papotent entre elles assez peu intéressées par le match à l’exception de Christelle qui se fait expliquer les subtilités du rugby par Valérie. Forcément le physique des joueurs retient leur attention et elles semblent évoquer en catimini quelques informations sur un joueur bordelais habitué des soirées coquines selon Valérie. Sous les voûtes de la loge les esprits s’échauffent sous l’effet conjugué du vin qui coule à flot et de la chaleur qui monte. La clim ne fonctionne pas très bien et bien vite nous percevons quelques gémissements derrière nos fauteuils. Nos quatre coquines en sous-vêtements, entreprennent le serveur qui se laisse faire avec gourmandise. Bien vite débarrassé de son pantalon, Il ne garde plus que sa chemise ouverte maintenue par sa cravate. Sportif le jeune homme !
- « Marc fait du handball en club en même temps que ses études. » me dit Nicolas avant de rajouter :
- « Il participe de temps en temps à nos soirées lui aussi. Hier il avait une compétition. J’espère qu’il n’y a pas laissé tout son jus ! »
De retour d’une course à la demande de Nicolas, la jeune hôtesse entre dans la loge et tombe en arrêt devant le spectacle offert sous ses yeux. Loin d’être effarouchée, elle nous observe visiblement intéressée.
Nos adorables furies pompent maintenant à tour de rôle le jeune handballeur, mais il ne peut leur suffire à lui seul et nous sommes encouragés à les rejoindre. Louise et Julie commencent à nous attraper le manche et nous astiquent méticuleusement pendant que Christelle et Valérie continuent à sucer Marc. Sous leurs efforts conjugués, sa verge commence à prendre des dimensions impressionnantes. La jeune hôtesse fixe, gourmande, cette bite vraiment énorme tout en se caressant, la jupe maintenant relevée sur les hanches. Son slip écarté d’une main, elle fouille son intimité en faisant rouler sous ses doigts disponibles son clitoris. Les yeux brillants et les lèvres entrouvertes, elle se laisse emporter dans de grands mouvements du bassin. Haletante, elle s’appuie dos à la table haute derrière elle.
Maintenant bien raide grâce aux talents de Julie, je la rejoins. Sa veste de tailleur est prête à exploser sous la pression de ses seins. Je découvre sur son badge son prénom, Aurélie, en même temps que je la libère de sa veste et de son chemisier en prenant soin de lui laisser son soutien-gorge. Je m’accroupis devant elle et commence à la caresser à grands coups de langue. Mes mains remontent le long de son ventre plat et au travers de la fine dentelle blanche je fais rouler leurs pointes entre mes pouces et mes index.
Sa toison blonde sent le musc et je plonge dedans avec délice. Elle accompagne mes caresses en posant ses mains de part et d’autre de ma tête, Elle exerce dessus une pression plus ou moins forte en fonction du plaisir qu’elle ressent et me guide ainsi vers son orgasme. Saisissant mes cheveux courts, elle jouit en aspirant l’air dans un son aigu tout en me plaquant contre elle. « Heureusement que la loge est bien insonorisée » me dis-je en retournant la jeune femme sans lui laisser le loisir de protester.
Je me saisis dans une coupe d’un préservatif et pousse ma jolie blonde à se tourner vers la baie qui nous sépare des quelque vingt mille spectateurs présents cet après-midi. Penchée vers l’avant, la croupe soulignée par sa jupe remontée sur ses hanches, elle empoigne le dossier d’un fauteuil et attend offerte que je la prenne. Juchée sur ses talons elle m’offre une vulve trempée et brûlante. Je fais tomber mon pantalon à mes pieds et baissant mon boxer j’écarte sa petite culotte de la main et m’enfonce en elle de toute ma longueur. Sans la ménager, je la besogne comme un malotru et à ma grande surprise elle aime ça. Chacun de mes coups de butoir la fait crier.
Pendant ce temps nos compagnes ne se sont pas endormies et Valérie se fait pénétrer par l’énorme gourdin de Marc. Elle aussi pliée en deux vers le terrain, complètement nue, elle regarde droit devant elle cette foule ignorant tout de ce qui se passe dans la loge. Christelle à côté d’elle, empoigne Marc d’une main comme elle le ferait d’un gode et de l’autre caresse la poitrine généreuse de son amie en lui chuchotant à l’oreille des mots que je ne peux entendre. Entre deux baisers dans le cou, elle me regarde en train de baiser la jeune Aurélie avec ce sourire auquel je commence à m’habituer.
Comme un pacha, Nicolas lui, se fait pomper le dard par les deux sœurs, assis dans son fauteuil sans perdre une miette du match qui se déroule en contrebas. Heureux homme !
Tout à mon ouvrage entre les cuisses de ma blonde, je n’en oublie pas pour autant le spectacle que me donne Valérie. Je suis hypnotisé par le mouvement de ses seins libérés de leur soutien-gorge par les doigts agiles de ma femme. Dans un mouvement circulaire, d’avant vers l’arrière, ils dansent une folle sarabande au fur et à mesure que l’étalon placé derrière elle la pilonne. Elle jouit bien vite alors que son amant impassible continue ses va et viens. Dans un râle interminable elle ânonne quelque insanités et semble tétanisée, les yeux fermés, la bouche grande ouverte les cheveux défaits.
Marc finit par se rendre compte qu’elle lui demande grâce et cesse enfin de la prendre. Il s’extrait d’elle, énorme : la capote qu’il porte ne couvre qu’un petit tiers de sa verge.
Figée dans sa position tout en reprenant son souffle Valérie cède sa place à ma femme. Christelle se hisse sur un des deux tabourets de bar et se penche elle aussi vers l’avant. Elle ne touche pas le sol et doit chercher le repose pieds pour se caler. Plus petite que Valérie, la même position n’aurait été confortable ni pour lui ni pour elle. Par contre, juchée à la bonne hauteur, il pourra la posséder à fond. Placé derrière elle, il se penche et saisit la manette qui sert au réglage de l’assise. Sans effort apparent, d’une main il relève le fauteuil au bon niveau et se place entre les fesses de ma femme.
Changeant de préservatif, il humecte son pouce de sa salive, le présente entre les lèvres gonflées qui lui sont offertes et d’un geste ample il y enfonce son engin. Les yeux d’abord fermés de Christelle, s’ouvrent dans une expression ou se lisent la surprise, la douleur et le plaisir. Jamais je ne l’avais vue prise par un sexe d’homme aussi gros. Sentant bien que sa partenaire du moment n’est pas du même calibre que la précédente, Marc prend son temps mais inexorablement, il entre au plus profond du sexe qui lui est offert.
Par mimétisme et plus modestement, je cale mes propres mouvements sur ceux de cet homme qui transperce ma femme. Un râle accompagne chacune des poussées qu’elles subissent toutes les deux. Valérie ayant repris ses esprits va à la rencontre de Christelle et accroupie devant elle l’embrasse et lui chuchote à son tour des mots que je n’entends pas. Ma partenaire elle aussi réagit à mes attentions et au bout de quelques minutes intenses durant lesquelles je fais l’amour par procuration à ma femme, elle jouit dans un interminable cri aigu en se cambrant dans un spasme. Marc et moi accélérons le rythme. Il fait jouir Christelle tandis que ma petite hôtesse perd toute retenue dans un deuxième orgasme. Ayant saisi les bras de son amie ma femme plante ses doigts autour des poignets de Valérie pour ne pas hurler et retenir la violence de son plaisir. Elle jouit pendant de longues secondes et, vaincue, laisse son partenaire s’extraire d’elle, arracher sa capote et jouir en longues giclées sur le creux de ses reins.
Les deux sœurs un temps occupées au plaisir de Nicolas se sont rapprochées de la scène et le sollicitent pour qu’à leur tour elles puissent profiter de son endurance. C’est ainsi qu’elles se retrouvent à leur tour sur le tabouret abandonné par Christelle pour se faire fouiller par le sexe de cet infatigable amant.
Christelle m’a rejoint avec Valérie et pendant que nous nous désaltérons, nous assistons au merveilleux spectacle de ces deux superbes femmes prises à tour de rôle par Nicolas.
Marc et Aurélie ne restent pas de marbre et enfin, notre jeune hôtesse d’accueil peut profiter de ce sexe qu’elle lorgnait depuis le début de notre partie de jambe en l’air.
Assis sur un fauteuil les cuisses écartées il laisse la jeune femme le sucer. La bouche béante, ses lèvres dans un O parfait enserrent le sexe de nouveau raide. C’est lui qui imprime à sa partenaire le rythme auquel il veut la posséder. Saisissant sa queue de cheval, il fait faire au doux visage déformé par son sexe un mouvement de haut en bas qui l’amène à engouffrer ce pieu de chair jusqu’à la garde. S’estimant assez excité, il demande à Aurélie de venir dos à lui, s’empaler dessus. Il disparaît bien vite en elle alors qu’elle s’appuie sur les accoudoirs des fauteuils voisins pour le faire réapparaître avant de le laisser la reprendre.
Il en est ainsi durant de longues minutes durant lesquelles subjuguées, Christelle, Valérie et moi assistons à cette scène terriblement excitante. Toujours sans ménager sa partenaire, il lui intime l’ordre de se lever, la plaque sur la baie vitrée et, comme avec Christelle tout à l’heure, il humecte son pouce en crachant dessus et le glisse dans son petit anneau pour préparer le terrain puis il la sodomise. La petite hôtesse apprécie visiblement le traitement qu’il lui réserve et jouit coup sur coup après de longs instants durant lesquels abandonnant toute dignité elle se mit à prononcer des énormités encourageant Marc à l’enculer de plus en plus vite et de plus en plus fort. Face à la foule des supporters toulonnais acclamant les vainqueurs, elle monte et redescend, le visage plaqué contre la vitre, au rythme de chaque coup de rein.
Encouragé par son comportement, Marc la traite sans ménagement et la fouraille comme une brute. Décidément insatiable, il la besogne s’accompagnant de commentaires :
- « Tu aimes ça quand je t’encule hein ! Tu aimes ça, te faire prendre par derrière comme ça hein ? »
Et visiblement ça lui plait.
- « Oh oui, prends-moi, vas-y plus fort, plus fort, oui ! Prends-moi comme ça ! »
Là-dessus, Louise elle aussi se met à jouir pendant que Nicolas la possède. Et c’est dans un bel ensemble que les deux jeunes femmes atteignent l’orgasme dans des vocalises. S’échappant du délicieux piège dans lequel il est prisonnier, il plonge dans la bouche de sa sœur qui n’attendait que lui, la bouche ouverte. Il se débarrasse lui aussi de sa capote et après s’être vigoureusement branlé, il jouit sur le visage de Julie.
Marc à son tour, explose dans le cul de sa partenaire en contractant avec violence à plusieurs reprises ses fesses musclées, sa jeune victime les bras en croix maintenus par ses poignets plaqués contre la vitre.
Ils restent ainsi quelques temps avant de revenir vers nous. Même au repos son sexe est imposant et attire le regard des filles. Julie ne cache pas son intérêt et se positionne clairement comme sa prochaine cible lors d’une soirée coquine chez Valérie et Nicolas.
Louise, restera sur sa faim car elle nous apprend qu’elle doit partir en séminaire dès ce soir, ce sera donc pour une prochaine fois.
- « Il faut que nous aussi nous retournions à la réalité du quotidien. » répond Christelle.
- « Et où a lieu ton séminaire ? »
- « Une semaine avec des ingénieurs commerciaux à la Baule...sur la gestion des conflits... »
Je percute en même temps que Christelle et nous lui proposons de remonter avec nous :
- « Nantes-La baule : une heure de route, pas plus ! »
- « Oh oui ! » s’enthousiasme ma femme pour qui la célèbre station balnéaire était, jusqu’à cet instant, sans aucun intérêt !
Je la soupçonne d’avoir encore une idée derrière la tête. Comment lui en voudrais-je, je ne suis moi-même pas dénué d’intentions.
Le stade est vide à l’exception des équipes techniques qui s’affairent sur la pelouse. Nous finissons les plateaux d’amuse-bouche et entamons un superbe Pessac-Léognan. Marc et Aurélie se régalent avec nous, comme si de rien n’était. Nous avons pourtant baisé comme des fous et elle va certainement garder un souvenir cuisant de cet après-midi de travail. Etudiante, elle arrondit ses fins de mois en faisant des extras régulièrement. La voilà riche d’une expérience qu’elle ne mettra pas sur son CV.
Ces dames rhabillées, pomponnées, recoiffées et débarrassées des stigmates de notre partouze, nous regagnons l’Audi au parking. Julie a pris le numéro de Marc. Ceux-là n’attendront pas longtemps avant de se revoir. La petite Aurélie a pointé en retard à la sortie du boulot aujourd’hui, mais Nicolas l’a rassurée. Ses heures lui seront bien payées.
Nous rentrons dans le Médoc après avoir fait un crochet pour déposer Louise afin qu’elle prenne chez elle ses affaires pour la semaine. Elle nous rejoindra chez Valérie et Nicolas plus tard.
Une dernière tête dans la piscine, puis un tour dans la cave avec notre hôte qui nous offre quelques bouteilles, « des millésimes intéressants » en gage d’amitié.
Louise arrive vers dix-neuf heures et nous partons ensemble vers Nantes avec un crochet par La Baule.
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