LE JOLI MOIS DE MAI : 13ème épisode
Récit érotique écrit par Krispas [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-07-2016 dans la catégorie Plus on est
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LE JOLI MOIS DE MAI : 13ème épisode
Réveillé de bonne heure par la lumière du jour, je vais chercher des croissants et prépare thé et café. Hier soir nous avions autre chose en tête lorsque nous nous sommes couchés tous les trois. Ma priorité n’était pas de fermer les volets et cela a du bon : il est tôt, il fait frais mais beau. La journée s’annonce bien.
« Mes » deux femmes me rejoignent réveillés par les bonnes odeurs qui montent de la cuisine : thé pour toutes les deux. C’est notre deuxième petit déjeuner ensemble après celui de lundi mais aussi le dernier cette semaine. Pour chasser mes pensées mélancoliques je leur soumets quelques propositions de sorties avant de quitter Louise à la gare vers dix-neuf heures.
C’est le marché qui remporte la palme de mes propositions et nous décidons d’aller faire quelques emplettes en bord de Loire. Un brin de toilette, une heure pour décider quelle robe mettre, trente minutes à échanger sur les mérites comparés de telle marque de sac à mains par rapport à telle autre et nous prenons la voiture. Nous arrivons à destination vers neuf heures et demies. Il y a déjà un peu de monde car nous sommes samedi et qu’il fait beau. Nous prenons quelques fruits et légumes, des coquilles saint Jacques, un peu de fromage et de crème chez un excellent crémier. Je parade comme un coq au milieu de cette foule, sous les regards jaloux ou envieux des hommes qui me croisent avec Christelle et Louise. Particulièrement en beauté, elles s’amusent en m’appelant « mon chéri » toutes les deux, en m’embrassant à chaque instant. Dans leurs jolies robes printanières, leurs corps souples et gracieux attirent tous les regards. Je suis derrière mes lunettes de soleil la direction des yeux de tous ces hommes qui les matent. Je connais bien leur petit manège : un regard furtif qui glisse sur un décolleté, une fausse excuse pour se retourner sur notre passage. Certains moins subtils dévisagent carrément ces deux très jolies femmes sans imaginer que je pourrais leur péter à la gueule si j’étais un peu jaloux. D’autre franchement lourds évaluent ostensiblement la marchandise de haut en bas mais je m’en fous car c’est moi qui leur fait l’amour.
Piqué néanmoins par leur jeu pervers je décide de laisser les filles passer devant en prétextant qu’il faut prendre de l’argent au distributeur. Elles continuent leur chemin et ma petite course faite je les suis à distance. Bras dessous, bras dessus elles s’attardent devant les étals. Les commerçants n’en demandent pas tant et les interpellent à grands renforts de « Bonjour Mesdemoiselles », ou « Holà ! Les jolies princesses ! ». Elles jouent le jeu et se laissent alpaguer par un vendeur de chapeaux de paille qui n’espérait pas d’aussi jolis mannequins pour sa camelote. Poursuivant leur chemin, elles empruntent les allées du marché et je comprends mieux pourquoi je percevais certains murmures derrière nous à intervalles réguliers. Le soleil encore bas enveloppe de ses rayons leurs silhouettes et laisse par transparence apparaître leur corps nus sous le léger tissu de leur robe. Elles apparaissent quasiment nues aux petits veinards qui n’ignorent plus qu’elles ne portent aucun sous-vêtement.
La simple vue de ces ombres chinoises est terriblement érotique et je sens battre mon cœur un peu plus fort.
Arrivées devant un marchand de fringues, je les vois comparer sur elles les tenues qu’elles préfèrent. Le jeune vendeur, de type maghrébin, peau mate, cheveux très noirs ; leur propose de les essayer dans la cabine. Lui non plus ne peut s’empêcher de profiter du spectacle qui lui est offert. Les filles s’amusent visiblement à l’allumer en lui demandant son avis :- « Et vous en pensez quoi ? »
- « C’est pas trop moulant ? »
- « Ça vous plait quand c’est un peu court comme ça ? » fait Christelle en remontant un tee-shirt long jusqu’à laisser entrevoir son sexe épilé.
Là, le garçon doit bander comme un fou. Louise s’en aperçoit et en se faufilant vers la cabine d’essayage, l’attrape au vol. Propulsé derrière la toile qui se referme instantanément, il doit vivre un moment comme il ne lui en sera pas donné beaucoup dans sa vie : entrepris par une superbe amoureuse, experte en jeux érotiques.
Je l’imagine en train de s’agenouiller devant lui, d’extirper son sexe et de le sucer jusqu’à ce qu’il bande assez pour la prendre. Ma femme complice de ce kidnapping se positionne devant la cabine et comme si elle conseillait sa bonne copine, assiste en entrebâillant le rideau à toute la scène. D’où je suis je devine qu’elle est en train de se caresser car ses jambes se sont un peu écartée, sa robe relevée par sa main libre se trouve plaquée contre son joli cul. Son talon droit s’est relevé et écartant encore plus ses cuisses elle peut se donner plus de plaisir. La toile de la cabine s’agite comme prise dans une rafale de vente et alors que j’entre moi-même sous l’auvent du commerçant, j’entends clairement les grognements de l’homme qui baise Louise. Je ne suis pas le seul puisque je croise les regards interloqués de badeaux qui se demandent d’où viennent ces gémissements explicites. Je reconnais un petit cri et j’imagine le visage de Louise se mordant la lèvre inférieure, les yeux grands ouverts fixant le vide alors qu’un inconnu se répand en elle.
Je rejoins Christelle dans l’entrebâillement de la cabine et voit effectivement ma rousse incendiaire en train de réajuster sa robe tirebouchonnée sur la taille et relevée sur les hanches. Pendant que son étalon arabe rengaine son arme dans son jean. À ses pieds une capote pleine de sperme et un tee-shirt piétiné qu’il aura du mal à vendre maintenant. Encore essoufflée et le rouge aux joues, nous laissons Louise sortir de la cabine et lancer à la cantonade :
- « Non, finalement, je ne le prends pas, il est trop petit !"
Heureuse de son trait d’humour, elle nous fait un clin d’œil et nous nous éloignons sous le regard réprobateur de certains, envieux des autres, en laissant reparaître le vendeur qui essaie de faire bonne figure pour les clientes qui l’attendent. Nous rejoignons la voiture sur le parking et rentrons sans autres péripéties à la maison. Ce midi : brochettes de saint Jacques au romarin. Je vais essayer un Crozes-Hermitage 2009 pour les accompagner.
Abrités du vent qui s’est levé nous nous prélassons dans le jardin. Pour parfaire son bronzage intégral commencé chez Valérie et Nicolas, Christelle est nue, offrant au soleil de mai sa peau dorée. Louise nue elle aussi, finit de saisir un dossier sur son ordinateur. Assise les jambes écartées, les pieds de part et d’autre du bain de soleil en teck, elle est d’une impudeur incroyable et d’une beauté folle. Je les regarde toutes les deux par-dessus le livre que je fais plus ou moins semblant de lire. Quelle chance j’ai de vivre de tels moments. Une femme que j’aime, amoureuse, qui se révèle une maîtresse formidable, une amie tout aussi douée au lit et des copains qui nous font découvrir ou qui découvrent avec nous les plaisirs du libertinage.
D’ailleurs il faut que nous pensions à rappeler Lisa et Sébastien.
Louise est rentrée par le train de dix-neuf heures pour Bordeaux. Arrivée à vingt-trois heures sept. Valérie l’attend, une autre amoureuse de la vie et du plaisir. Ce soir nous nous couchons de bonne heure et laissons nos corps d’athlètes se remettre de leurs émotions. Particulièrement sollicitée Christelle préfère ménager sa délicate monture. Je ne lui cache pas que j’ai besoin moi aussi de recharger mes accus.
La semaine a repris avec son rythme de croisière. Christelle et moi gardons le contact via Skype par des messages écrits le plus souvent anodins (rappel de courses à faire, ou commentaires sur telle ou telle mésaventure au travail. Mais ce mercredi après-midi, je reçois d’elle un message avec un smiley « clin d’œil » me signalant qu’elle a hâte de rentrer à la maison. Seul devant mon ordinateur je lui réponds intrigué et nous entamons une discussion de plus en plus coquine. La tension monte à chaque message, de plus en plus explicite et je décide de me pointer à l’improviste au bureau de mon adorable épouse. Outre l’effet de surprise, j’espère la convaincre malgré sa responsable de site d’une fin de journée anticipée. Sa supérieure hiérarchique m’aime bien je crois et je compte sur mon pouvoir de persuasion pour lui arracher cette concession. La période est assez calme dans son secteur et elle non plus ne devrait pas beaucoup manquer à ses collègues.
Je m’engouffre dans la voiture et me rends sur son lieu de travail. Il me suffit de m’engager sur le périphérique pour me retrouver pris dans un embouteillage monstre dont seule Nantes a le secret. J’arrive donc à dix-huit heures trente à son bureau. À cette heure il n’est plus nécessaire de réclamer quoique ce soit : c’est bientôt l’heure de la fermeture. Par contre l’excitation de Christelle n’est pas retombée et échauffée par notre discussion sur Skype, elle aimerait bien profiter de moi tout de suite me glisse-t-elle à l’oreille.
Il ne reste plus au bureau qu’Isabelle, sa chef et le jeune stagiaire en Bac professionnel. Petite femme dans la quarantaine, un peu ronde mais ne manquant pas de charme, elle est pourtant célibataire. Habillée de manière assez austère elle pourrait se mettre beaucoup plus en valeur. Une jolie bouche aux lèvres pulpeuses, blonde, les yeux d’un bleu très clair, une forte poitrine qu’elle essaie de contenir dans des chemisiers trop stricts. Je l’ai saluée en entrant bien sûr et je l’ai trouvée plutôt contente de me voir. Je file vers le bureau de Christelle et attends qu’elle ait fini de ranger ses dossiers. Nous entendons la voix d’Isabelle nous prévenir de son départ et de celui du stagiaire qu’elle dépose tous les soirs à l’arrêt de bus.
- « Bonne soirée à vous aussi ! » lui répondons-nous en chœur.
Christelle baisse les stores vénitiens des baies donnant sur le parking et sans que je m’y attende se jette sur moi, m’embrasse comme elle le fait quand elle a envie de baiser.
Plaqué dans le fauteuil à roulettes où je l’attendais, je la laisse défaire ma cravate, ouvrir ma chemise et desserrer la ceinture de mon pantalon. Les boutons ne lui résistent pas plus longtemps que la fermeture à glissière et elle agrippe mon sexe par surprise pour le caresser en me disant :
- « J’ai eu envie de toi très fort cet après-midi ! »
Visiblement cette envie ne l’a pas quittée. Elle me secoue la bite frénétiquement et obtient très vite ce qu’elle cherche. Quand je bande suffisamment à son goût, elle se recule et en s’ouvrant se pose sur son bureau fraîchement débarrassé. Je ne peux m’empêcher de croire qu’elle y pensait déjà quand elle rangeait « innocemment » ses affaires tout à l’heure.
Le pantalon descendu sur les chevilles je n’ai heureusement pas beaucoup de chemin à parcourir pour la rejoindre et la prendre. À la hussarde, je la secoue sans la ménager. Je sais bien qu’elle aime faire l’amour comme ça et effectivement ses ongles plantés dans mes reins pour m’encourager, sont comme les coups d’éperons du cavalier pour sa monture. Mais je sais aussi comment la faire grimper plus haut que lors d’un petit coup vite fait bien fait.
Je stoppe mes mouvements et elle comprend ce que je vais lui faire quand je l’allonge sur le bureau et que je me penche sur elle pour la caresser. J’aime son odeur, son sexe est mûr à point comme un fruit que je n’ai qu’à cueillir. Je l’embrasse et pose mes dents sur son clitoris gonflé de plaisir. Je recueille ses sucs et les mélange avec ma salive pour rendre plus doux encore mes coups de langue. Dès que je la sens s’approcher de l’orgasme je m’éloigne et retourne la pilonner de nouveau. Alternant coups de bites et coups de langue je parviens ainsi à la faire jouir à chaque fois. Pour mieux succomber à mes caresses elle vient à la rencontre de ma bouche avec des mouvements de son bassin. La bouche pleine de son goût, je me redresse, plonge en elle tout en l’embrassant. Elle retrouve sur moi sa propre odeur et quand je gicle en elle, une seconde vague de plaisir l’emporte. Je retombe épuisé sur elle. Mon cœur cogne dans ma poitrine et entre deux bouffées d’oxygène je lui confirme que je l’aime en lui disant :
- « Comme c’est bon !... Tu me fais jouir ... »
Nous finissons par reprendre nos esprits. Avec cette démarche forcément ridicule liée au pantalon toujours à mes chevilles j’attrape son sac posé plus loin, y trouve parmi mille choses un paquet de mouchoirs. Elle retient mon sperme avec celui que je lui tends pour ne pas en mettre partout sur la moquette ou le bureau. Sa robe encore relevée sur les hanches elle sort du bureau et tombe nez à nez avec Isabelle, elle aussi la main entre les cuisses mais pour d’autres raisons.
- « Je suis désolée, j’avais oublié le dossier MS Décor...»La bite encore à l’air, je lui réponds :
- « Ne soyez pas désolée Isabelle ! Ça vous a plu ? »
- « Euh... j’ai trouvé que vous avez de belles fesses ? »
- « Et ma bite ? Elle vous plait ? »
Cette jolie salope nous matait depuis le début en se caressant le minou en silence. Mi gênée, mi intriguée, Christelle s’est éloignée vers les toilettes me laissant avec sa supérieure hiérarchique bien embêtée maintenant. Il ne va pas être simple de reprocher quoique ce soit à sa collaboratrice sans s’expliquer sur ses doigts encore mouillés.
- « Allez venez ne soyez pas timide. Je ne mords pas ! »
Je me sens tout ragaillardi devant cette petite bonne femme gironde. Je lorgne vers ses seins lourds de manière de plus en plus appuyée et comme elle s’en aperçoit elle aussi s’enhardit :
- « J’ai bien aimé comment vous avez fait l’amour à Christelle...»
- « Qu’est-ce qui vous a plu ? »
- « Tout ! En fait j’aurai bien aimée être à sa place. »
Revenant des toilettes, Christelle rebondit sur ces propos et lui propose de tester ma résistance :
- « Qu’en dis-tu Pascal ? Elle est à ton goût je pense ! »
- « À mon goût et coquine j’en suis sûr » dis-je en remarquant dans ses yeux cette lueur qui anime le regard de toutes les femmes amoureuses.
D’un geste, je l’encourage à se rapprocher afin qu’elle ranime ma flamme. Elle minaude pour la forme mais je vois bien qu’obnubilée par mon sexe que je commence à caresser, elle en meurt d’envie. En manque peut-être ?
Très vite son chemisier est ouvert pour laisser le champ libre à mes investigations autour de ses seins. Un soutien-gorge blanc très simple contient difficilement deux sphères qui ne demandent qu’à jaillir de leur carcan de coton. Délicieusement potelée, elle est très réactive à mes attouchements et s’enhardit jusqu’à saisir ma bite qui grossit à vue d’œil. Je la fais descendre en lui appuyant sur les épaules un étage plus bas pour que ce soit avec la bouche qu’elle me réveille maintenant. Pas très douée en matière de pipe la chef ! Je dois encadrer ses mouvements désordonnés en lui expliquant comment faire :
- « Doucement ! Tu prends ma queue dans ta main et en douceur tu me branles... Comme ça, c’est bien... Maintenant tu me prends dans ta bouche mais seulement le gland et tu refermes tes lèvres autour... et tu t’amuses en tournant autour avec ta langue. C’est mieux... ».
C’est mieux mais toujours un peu empruntée, elle a du mal à coordonner ses gestes et à respirer en même temps. C’est Christelle qui vient à sa rescousse en se plaçant à côté d’elle pour lui apprendre par l’exemple comment faire bander un homme. À elles deux elles arrivent bien vite à obtenir le maximum de moi. En dépit de notre séance de baise encore toute récente, je suis tout excité par le fait de me faire sucer par deux femmes, sur leur lieu de travail. Je reprends des couleurs sous les soins de ma femme et de sa responsable. Sous mes yeux ses seins encore prisonniers sont un véritable appel à la branlette espagnole...Je me surprends à avoir des réflexes de vieux pervers lubrique mais je suis encore plus surpris par le comportement de Christelle qui se lâche complètement depuis notre séjour à Angers. Elle ose tout, partout, avec un inconnu, voire plusieurs, avec des femmes, dans des positions et des endroits parfois incongrus. La cinquantaine triomphante !
C’est maintenant elle qui s’affaire sous la jupe du tailleur d’Isabelle. Je vois sa main disparaître entre ces cuisses qui imperceptiblement s’ouvrent en grand pour lui faciliter l’accès à son trésor intime. La bouche pleine de ma bite Isabelle a du mal à s’abandonner complètement, aussi je la libère et lui propose de prendre la place qu’occupait Christelle quand elle nous a surpris.
À son tour allongée sur le plateau du bureau, elle se fait caresser par ma femme qui s’en empare à pleine bouche. Le rempart de la petite culotte cède très vite. La jupe retroussée, la petite coquine se retrouve, impudique, cuisses écartées se faisant brouter le minou par sa meilleure collaboratrice pendant qu’elle empoigne son mari maladroitement. Je me fais l’effet d’une barre de métro parisien à laquelle elle s’accrocherait, bousculée par la foule. Sous les caresses expertes de ma femme, Isabelle jouit très vite. Sous l’effet du manque sûrement aussi.
Mais nous n’en n’avons pas encore fini avec elle et c’est à mon tour de faire plus intimement connaissance avec notre réceptive petite coquine. Protégé par une capote prise dans le sac de Christelle. Je promène, sadique, mon gland sur le clito encore vibrant de l’orgasme qu’elle vient d’avoir. Je lui arrache ainsi des gémissements mi plainte, mi encouragements, puis je plonge en elle comme j’aime le faire : inexorablement. Elle mesure ainsi l’excitation qu’elle provoque chez moi et en profite pleinement. Je n’ai qu’à aller et venir en elle quelques dizaines de fois pour qu’elle soit emportée par un tsunami. Elle se met à crier en faisant des mouvements incontrôlés et incontrôlables. Elle ameuterait l’immeuble entier s’il n’était pas si tard. Ce corps replet aux rondeurs alléchantes avec ses plis, ses replis me plait. Son grain de peau très doux est un délice et son odeur est chaude, un peu sucrée. Rien à voir avec les créatures sportives et musclées que j’aimé prendre depuis quelques semaines. Elle me rappelle Valérie par son côté plantureux et le volume de sa poitrine. Ses seins lourds sont entraînés par leur poids et retombent de part et d’autre de son buste dans des mouvements d’avant en arrière, coordonnés aux miens.
Les yeux exorbités, sous l’effet de son plaisir, les joues rouges et le souffle coupé elle semble me demander grâce. C’est trop me demander car je n’en ai pas fini du tout avec elle. Sans la laisser reprendre son souffle, je m’extrais de sa chatte lui attrape les poignets et l’agenouille devant moi. Ma femme, complice, comprend ce que j’attends d’elle et se place derrière sa responsable. Je pose ma bite entre ces deux seins maintenant et c’est ma femme qui les fait jouer de haut en bas le long de ma colonne. Mes sensations sont exquises mais loin d’être aussi voluptueuses que lors des mêmes caresses avec Valérie. Les commentaires de ma femme qui nous encourage, accentue cependant mon plaisir et Isabelle joue le jeu bien heureuse visiblement de me procurer autant d’effet. Le rythme imposé par Christelle s’accélère. Elle me connaît par cœur et sait que je vais bientôt jouir. Compressant plus fort la poitrine de sa directrice elle parvient à m’arracher un cri quand je me vide pour la deuxième fois. Surprise, Isabelle pousse un cri lorsque mon sperme vient se répandre sur son cou et que Christelle l’étale de ses doigts jusque sur ses lèvres. Elle ne peut rien lui refuser pas plus qu’à moi qui exige qu’elle aspire ma semence jusqu’à dernière goutte. Elle me pompe donc en creusant les joues pour extraire tout ce qu’il me restait dans les bourses. Cette ultime caresse est à la limite de la sensation de douleur. Il me faut tout mon sang froid pour ne pas crier trop fort à mon tour.
Isabelle, gênée a du mal à soutenir notre regard et se confond en excuses :
- « Je suis désolée, je ne comprends pas ce qu’il m’a pris, vraiment Christelle, il faut que tout cela reste entre nous. Vous comprenez, c’est important pour moi... »
- « Ne vous excusez pas Isabelle, cela restera un secret entre nous trois, n’est-ce pas mon chéri ? »
- « Bien sûr ! rassurez-vous. Mais si vous souhaitez de temps en temps vous éclater, vous nous faites signe... Qu’est-ce que tu en penses Chérie ? »
- « Oui, bien sûr !... Nous pouvons vous faire découvrir un monde merveilleux... »
Des pas résonnent dans l’escalier qui nous rappellent que nous sommes dans une situation assez compromettante. Nous nous rhabillons tant bien que mal en quatrième vitesse juste avant que la porte ne s’ouvre devant le petit stagiaire, qui patientait depuis tout à l’heure dans la voiture.
- « Excusez-moi, mais je vais rater mon bus ! »
S’il remarque quelque chose, il n’en montre rien. Mais d’expérience je me doute que l’odeur de sexe qui règne dans le bureau doit être suffisamment forte et nos mines de marathoniens sur la ligne d’arrivée devraient lui mettre la puce à l’oreille.
- « Nous discutions du dossier ML décor » s’exclame un peu trop énergiquement Isabelle, reprenant là ses attitudes de manager mais oubliant ses cheveux défaits, son chemisier froissé et les traces de sperme maculant son visage rond.
- « D’ailleurs nous avons fini, n’est-ce pas ! »
Nous acquiesçons et la laissons repartir avec son stagiaire, en se lissant la jupe sur les fesses. Elle ramasse son sac dans l’entrée du bureau de Christelle et disparaît pour revenir immédiatement.
- « Je prends juste le dossier MS Décor. Je vous laisse fermer Christelle ? »
D’un signe de tête, elle lui souhaite une bonne soirée. Je me joins à elle en rajoutant :
- « Merci beaucoup, Isabelle »
- « C’est moi qui vous remercie Pascal. À bientôt j’espère... » rajoute-t-elle visiblement émue de ce qu’elle vient de vivre.
Enfin seuls, Christelle me dit en se frottant à moi et en m’embrassant :
- « Il faudrait qu’on l’invite à la maison un de ces quatre. »
- « Pourquoi pas... On en reparle un peu plus tard. Pour l’instant j’ai surtout envie d’une bonne douche. »
- « Avec moi ? »
Décidément insatiable...
« Mes » deux femmes me rejoignent réveillés par les bonnes odeurs qui montent de la cuisine : thé pour toutes les deux. C’est notre deuxième petit déjeuner ensemble après celui de lundi mais aussi le dernier cette semaine. Pour chasser mes pensées mélancoliques je leur soumets quelques propositions de sorties avant de quitter Louise à la gare vers dix-neuf heures.
C’est le marché qui remporte la palme de mes propositions et nous décidons d’aller faire quelques emplettes en bord de Loire. Un brin de toilette, une heure pour décider quelle robe mettre, trente minutes à échanger sur les mérites comparés de telle marque de sac à mains par rapport à telle autre et nous prenons la voiture. Nous arrivons à destination vers neuf heures et demies. Il y a déjà un peu de monde car nous sommes samedi et qu’il fait beau. Nous prenons quelques fruits et légumes, des coquilles saint Jacques, un peu de fromage et de crème chez un excellent crémier. Je parade comme un coq au milieu de cette foule, sous les regards jaloux ou envieux des hommes qui me croisent avec Christelle et Louise. Particulièrement en beauté, elles s’amusent en m’appelant « mon chéri » toutes les deux, en m’embrassant à chaque instant. Dans leurs jolies robes printanières, leurs corps souples et gracieux attirent tous les regards. Je suis derrière mes lunettes de soleil la direction des yeux de tous ces hommes qui les matent. Je connais bien leur petit manège : un regard furtif qui glisse sur un décolleté, une fausse excuse pour se retourner sur notre passage. Certains moins subtils dévisagent carrément ces deux très jolies femmes sans imaginer que je pourrais leur péter à la gueule si j’étais un peu jaloux. D’autre franchement lourds évaluent ostensiblement la marchandise de haut en bas mais je m’en fous car c’est moi qui leur fait l’amour.
Piqué néanmoins par leur jeu pervers je décide de laisser les filles passer devant en prétextant qu’il faut prendre de l’argent au distributeur. Elles continuent leur chemin et ma petite course faite je les suis à distance. Bras dessous, bras dessus elles s’attardent devant les étals. Les commerçants n’en demandent pas tant et les interpellent à grands renforts de « Bonjour Mesdemoiselles », ou « Holà ! Les jolies princesses ! ». Elles jouent le jeu et se laissent alpaguer par un vendeur de chapeaux de paille qui n’espérait pas d’aussi jolis mannequins pour sa camelote. Poursuivant leur chemin, elles empruntent les allées du marché et je comprends mieux pourquoi je percevais certains murmures derrière nous à intervalles réguliers. Le soleil encore bas enveloppe de ses rayons leurs silhouettes et laisse par transparence apparaître leur corps nus sous le léger tissu de leur robe. Elles apparaissent quasiment nues aux petits veinards qui n’ignorent plus qu’elles ne portent aucun sous-vêtement.
La simple vue de ces ombres chinoises est terriblement érotique et je sens battre mon cœur un peu plus fort.
Arrivées devant un marchand de fringues, je les vois comparer sur elles les tenues qu’elles préfèrent. Le jeune vendeur, de type maghrébin, peau mate, cheveux très noirs ; leur propose de les essayer dans la cabine. Lui non plus ne peut s’empêcher de profiter du spectacle qui lui est offert. Les filles s’amusent visiblement à l’allumer en lui demandant son avis :- « Et vous en pensez quoi ? »
- « C’est pas trop moulant ? »
- « Ça vous plait quand c’est un peu court comme ça ? » fait Christelle en remontant un tee-shirt long jusqu’à laisser entrevoir son sexe épilé.
Là, le garçon doit bander comme un fou. Louise s’en aperçoit et en se faufilant vers la cabine d’essayage, l’attrape au vol. Propulsé derrière la toile qui se referme instantanément, il doit vivre un moment comme il ne lui en sera pas donné beaucoup dans sa vie : entrepris par une superbe amoureuse, experte en jeux érotiques.
Je l’imagine en train de s’agenouiller devant lui, d’extirper son sexe et de le sucer jusqu’à ce qu’il bande assez pour la prendre. Ma femme complice de ce kidnapping se positionne devant la cabine et comme si elle conseillait sa bonne copine, assiste en entrebâillant le rideau à toute la scène. D’où je suis je devine qu’elle est en train de se caresser car ses jambes se sont un peu écartée, sa robe relevée par sa main libre se trouve plaquée contre son joli cul. Son talon droit s’est relevé et écartant encore plus ses cuisses elle peut se donner plus de plaisir. La toile de la cabine s’agite comme prise dans une rafale de vente et alors que j’entre moi-même sous l’auvent du commerçant, j’entends clairement les grognements de l’homme qui baise Louise. Je ne suis pas le seul puisque je croise les regards interloqués de badeaux qui se demandent d’où viennent ces gémissements explicites. Je reconnais un petit cri et j’imagine le visage de Louise se mordant la lèvre inférieure, les yeux grands ouverts fixant le vide alors qu’un inconnu se répand en elle.
Je rejoins Christelle dans l’entrebâillement de la cabine et voit effectivement ma rousse incendiaire en train de réajuster sa robe tirebouchonnée sur la taille et relevée sur les hanches. Pendant que son étalon arabe rengaine son arme dans son jean. À ses pieds une capote pleine de sperme et un tee-shirt piétiné qu’il aura du mal à vendre maintenant. Encore essoufflée et le rouge aux joues, nous laissons Louise sortir de la cabine et lancer à la cantonade :
- « Non, finalement, je ne le prends pas, il est trop petit !"
Heureuse de son trait d’humour, elle nous fait un clin d’œil et nous nous éloignons sous le regard réprobateur de certains, envieux des autres, en laissant reparaître le vendeur qui essaie de faire bonne figure pour les clientes qui l’attendent. Nous rejoignons la voiture sur le parking et rentrons sans autres péripéties à la maison. Ce midi : brochettes de saint Jacques au romarin. Je vais essayer un Crozes-Hermitage 2009 pour les accompagner.
Abrités du vent qui s’est levé nous nous prélassons dans le jardin. Pour parfaire son bronzage intégral commencé chez Valérie et Nicolas, Christelle est nue, offrant au soleil de mai sa peau dorée. Louise nue elle aussi, finit de saisir un dossier sur son ordinateur. Assise les jambes écartées, les pieds de part et d’autre du bain de soleil en teck, elle est d’une impudeur incroyable et d’une beauté folle. Je les regarde toutes les deux par-dessus le livre que je fais plus ou moins semblant de lire. Quelle chance j’ai de vivre de tels moments. Une femme que j’aime, amoureuse, qui se révèle une maîtresse formidable, une amie tout aussi douée au lit et des copains qui nous font découvrir ou qui découvrent avec nous les plaisirs du libertinage.
D’ailleurs il faut que nous pensions à rappeler Lisa et Sébastien.
Louise est rentrée par le train de dix-neuf heures pour Bordeaux. Arrivée à vingt-trois heures sept. Valérie l’attend, une autre amoureuse de la vie et du plaisir. Ce soir nous nous couchons de bonne heure et laissons nos corps d’athlètes se remettre de leurs émotions. Particulièrement sollicitée Christelle préfère ménager sa délicate monture. Je ne lui cache pas que j’ai besoin moi aussi de recharger mes accus.
La semaine a repris avec son rythme de croisière. Christelle et moi gardons le contact via Skype par des messages écrits le plus souvent anodins (rappel de courses à faire, ou commentaires sur telle ou telle mésaventure au travail. Mais ce mercredi après-midi, je reçois d’elle un message avec un smiley « clin d’œil » me signalant qu’elle a hâte de rentrer à la maison. Seul devant mon ordinateur je lui réponds intrigué et nous entamons une discussion de plus en plus coquine. La tension monte à chaque message, de plus en plus explicite et je décide de me pointer à l’improviste au bureau de mon adorable épouse. Outre l’effet de surprise, j’espère la convaincre malgré sa responsable de site d’une fin de journée anticipée. Sa supérieure hiérarchique m’aime bien je crois et je compte sur mon pouvoir de persuasion pour lui arracher cette concession. La période est assez calme dans son secteur et elle non plus ne devrait pas beaucoup manquer à ses collègues.
Je m’engouffre dans la voiture et me rends sur son lieu de travail. Il me suffit de m’engager sur le périphérique pour me retrouver pris dans un embouteillage monstre dont seule Nantes a le secret. J’arrive donc à dix-huit heures trente à son bureau. À cette heure il n’est plus nécessaire de réclamer quoique ce soit : c’est bientôt l’heure de la fermeture. Par contre l’excitation de Christelle n’est pas retombée et échauffée par notre discussion sur Skype, elle aimerait bien profiter de moi tout de suite me glisse-t-elle à l’oreille.
Il ne reste plus au bureau qu’Isabelle, sa chef et le jeune stagiaire en Bac professionnel. Petite femme dans la quarantaine, un peu ronde mais ne manquant pas de charme, elle est pourtant célibataire. Habillée de manière assez austère elle pourrait se mettre beaucoup plus en valeur. Une jolie bouche aux lèvres pulpeuses, blonde, les yeux d’un bleu très clair, une forte poitrine qu’elle essaie de contenir dans des chemisiers trop stricts. Je l’ai saluée en entrant bien sûr et je l’ai trouvée plutôt contente de me voir. Je file vers le bureau de Christelle et attends qu’elle ait fini de ranger ses dossiers. Nous entendons la voix d’Isabelle nous prévenir de son départ et de celui du stagiaire qu’elle dépose tous les soirs à l’arrêt de bus.
- « Bonne soirée à vous aussi ! » lui répondons-nous en chœur.
Christelle baisse les stores vénitiens des baies donnant sur le parking et sans que je m’y attende se jette sur moi, m’embrasse comme elle le fait quand elle a envie de baiser.
Plaqué dans le fauteuil à roulettes où je l’attendais, je la laisse défaire ma cravate, ouvrir ma chemise et desserrer la ceinture de mon pantalon. Les boutons ne lui résistent pas plus longtemps que la fermeture à glissière et elle agrippe mon sexe par surprise pour le caresser en me disant :
- « J’ai eu envie de toi très fort cet après-midi ! »
Visiblement cette envie ne l’a pas quittée. Elle me secoue la bite frénétiquement et obtient très vite ce qu’elle cherche. Quand je bande suffisamment à son goût, elle se recule et en s’ouvrant se pose sur son bureau fraîchement débarrassé. Je ne peux m’empêcher de croire qu’elle y pensait déjà quand elle rangeait « innocemment » ses affaires tout à l’heure.
Le pantalon descendu sur les chevilles je n’ai heureusement pas beaucoup de chemin à parcourir pour la rejoindre et la prendre. À la hussarde, je la secoue sans la ménager. Je sais bien qu’elle aime faire l’amour comme ça et effectivement ses ongles plantés dans mes reins pour m’encourager, sont comme les coups d’éperons du cavalier pour sa monture. Mais je sais aussi comment la faire grimper plus haut que lors d’un petit coup vite fait bien fait.
Je stoppe mes mouvements et elle comprend ce que je vais lui faire quand je l’allonge sur le bureau et que je me penche sur elle pour la caresser. J’aime son odeur, son sexe est mûr à point comme un fruit que je n’ai qu’à cueillir. Je l’embrasse et pose mes dents sur son clitoris gonflé de plaisir. Je recueille ses sucs et les mélange avec ma salive pour rendre plus doux encore mes coups de langue. Dès que je la sens s’approcher de l’orgasme je m’éloigne et retourne la pilonner de nouveau. Alternant coups de bites et coups de langue je parviens ainsi à la faire jouir à chaque fois. Pour mieux succomber à mes caresses elle vient à la rencontre de ma bouche avec des mouvements de son bassin. La bouche pleine de son goût, je me redresse, plonge en elle tout en l’embrassant. Elle retrouve sur moi sa propre odeur et quand je gicle en elle, une seconde vague de plaisir l’emporte. Je retombe épuisé sur elle. Mon cœur cogne dans ma poitrine et entre deux bouffées d’oxygène je lui confirme que je l’aime en lui disant :
- « Comme c’est bon !... Tu me fais jouir ... »
Nous finissons par reprendre nos esprits. Avec cette démarche forcément ridicule liée au pantalon toujours à mes chevilles j’attrape son sac posé plus loin, y trouve parmi mille choses un paquet de mouchoirs. Elle retient mon sperme avec celui que je lui tends pour ne pas en mettre partout sur la moquette ou le bureau. Sa robe encore relevée sur les hanches elle sort du bureau et tombe nez à nez avec Isabelle, elle aussi la main entre les cuisses mais pour d’autres raisons.
- « Je suis désolée, j’avais oublié le dossier MS Décor...»La bite encore à l’air, je lui réponds :
- « Ne soyez pas désolée Isabelle ! Ça vous a plu ? »
- « Euh... j’ai trouvé que vous avez de belles fesses ? »
- « Et ma bite ? Elle vous plait ? »
Cette jolie salope nous matait depuis le début en se caressant le minou en silence. Mi gênée, mi intriguée, Christelle s’est éloignée vers les toilettes me laissant avec sa supérieure hiérarchique bien embêtée maintenant. Il ne va pas être simple de reprocher quoique ce soit à sa collaboratrice sans s’expliquer sur ses doigts encore mouillés.
- « Allez venez ne soyez pas timide. Je ne mords pas ! »
Je me sens tout ragaillardi devant cette petite bonne femme gironde. Je lorgne vers ses seins lourds de manière de plus en plus appuyée et comme elle s’en aperçoit elle aussi s’enhardit :
- « J’ai bien aimé comment vous avez fait l’amour à Christelle...»
- « Qu’est-ce qui vous a plu ? »
- « Tout ! En fait j’aurai bien aimée être à sa place. »
Revenant des toilettes, Christelle rebondit sur ces propos et lui propose de tester ma résistance :
- « Qu’en dis-tu Pascal ? Elle est à ton goût je pense ! »
- « À mon goût et coquine j’en suis sûr » dis-je en remarquant dans ses yeux cette lueur qui anime le regard de toutes les femmes amoureuses.
D’un geste, je l’encourage à se rapprocher afin qu’elle ranime ma flamme. Elle minaude pour la forme mais je vois bien qu’obnubilée par mon sexe que je commence à caresser, elle en meurt d’envie. En manque peut-être ?
Très vite son chemisier est ouvert pour laisser le champ libre à mes investigations autour de ses seins. Un soutien-gorge blanc très simple contient difficilement deux sphères qui ne demandent qu’à jaillir de leur carcan de coton. Délicieusement potelée, elle est très réactive à mes attouchements et s’enhardit jusqu’à saisir ma bite qui grossit à vue d’œil. Je la fais descendre en lui appuyant sur les épaules un étage plus bas pour que ce soit avec la bouche qu’elle me réveille maintenant. Pas très douée en matière de pipe la chef ! Je dois encadrer ses mouvements désordonnés en lui expliquant comment faire :
- « Doucement ! Tu prends ma queue dans ta main et en douceur tu me branles... Comme ça, c’est bien... Maintenant tu me prends dans ta bouche mais seulement le gland et tu refermes tes lèvres autour... et tu t’amuses en tournant autour avec ta langue. C’est mieux... ».
C’est mieux mais toujours un peu empruntée, elle a du mal à coordonner ses gestes et à respirer en même temps. C’est Christelle qui vient à sa rescousse en se plaçant à côté d’elle pour lui apprendre par l’exemple comment faire bander un homme. À elles deux elles arrivent bien vite à obtenir le maximum de moi. En dépit de notre séance de baise encore toute récente, je suis tout excité par le fait de me faire sucer par deux femmes, sur leur lieu de travail. Je reprends des couleurs sous les soins de ma femme et de sa responsable. Sous mes yeux ses seins encore prisonniers sont un véritable appel à la branlette espagnole...Je me surprends à avoir des réflexes de vieux pervers lubrique mais je suis encore plus surpris par le comportement de Christelle qui se lâche complètement depuis notre séjour à Angers. Elle ose tout, partout, avec un inconnu, voire plusieurs, avec des femmes, dans des positions et des endroits parfois incongrus. La cinquantaine triomphante !
C’est maintenant elle qui s’affaire sous la jupe du tailleur d’Isabelle. Je vois sa main disparaître entre ces cuisses qui imperceptiblement s’ouvrent en grand pour lui faciliter l’accès à son trésor intime. La bouche pleine de ma bite Isabelle a du mal à s’abandonner complètement, aussi je la libère et lui propose de prendre la place qu’occupait Christelle quand elle nous a surpris.
À son tour allongée sur le plateau du bureau, elle se fait caresser par ma femme qui s’en empare à pleine bouche. Le rempart de la petite culotte cède très vite. La jupe retroussée, la petite coquine se retrouve, impudique, cuisses écartées se faisant brouter le minou par sa meilleure collaboratrice pendant qu’elle empoigne son mari maladroitement. Je me fais l’effet d’une barre de métro parisien à laquelle elle s’accrocherait, bousculée par la foule. Sous les caresses expertes de ma femme, Isabelle jouit très vite. Sous l’effet du manque sûrement aussi.
Mais nous n’en n’avons pas encore fini avec elle et c’est à mon tour de faire plus intimement connaissance avec notre réceptive petite coquine. Protégé par une capote prise dans le sac de Christelle. Je promène, sadique, mon gland sur le clito encore vibrant de l’orgasme qu’elle vient d’avoir. Je lui arrache ainsi des gémissements mi plainte, mi encouragements, puis je plonge en elle comme j’aime le faire : inexorablement. Elle mesure ainsi l’excitation qu’elle provoque chez moi et en profite pleinement. Je n’ai qu’à aller et venir en elle quelques dizaines de fois pour qu’elle soit emportée par un tsunami. Elle se met à crier en faisant des mouvements incontrôlés et incontrôlables. Elle ameuterait l’immeuble entier s’il n’était pas si tard. Ce corps replet aux rondeurs alléchantes avec ses plis, ses replis me plait. Son grain de peau très doux est un délice et son odeur est chaude, un peu sucrée. Rien à voir avec les créatures sportives et musclées que j’aimé prendre depuis quelques semaines. Elle me rappelle Valérie par son côté plantureux et le volume de sa poitrine. Ses seins lourds sont entraînés par leur poids et retombent de part et d’autre de son buste dans des mouvements d’avant en arrière, coordonnés aux miens.
Les yeux exorbités, sous l’effet de son plaisir, les joues rouges et le souffle coupé elle semble me demander grâce. C’est trop me demander car je n’en ai pas fini du tout avec elle. Sans la laisser reprendre son souffle, je m’extrais de sa chatte lui attrape les poignets et l’agenouille devant moi. Ma femme, complice, comprend ce que j’attends d’elle et se place derrière sa responsable. Je pose ma bite entre ces deux seins maintenant et c’est ma femme qui les fait jouer de haut en bas le long de ma colonne. Mes sensations sont exquises mais loin d’être aussi voluptueuses que lors des mêmes caresses avec Valérie. Les commentaires de ma femme qui nous encourage, accentue cependant mon plaisir et Isabelle joue le jeu bien heureuse visiblement de me procurer autant d’effet. Le rythme imposé par Christelle s’accélère. Elle me connaît par cœur et sait que je vais bientôt jouir. Compressant plus fort la poitrine de sa directrice elle parvient à m’arracher un cri quand je me vide pour la deuxième fois. Surprise, Isabelle pousse un cri lorsque mon sperme vient se répandre sur son cou et que Christelle l’étale de ses doigts jusque sur ses lèvres. Elle ne peut rien lui refuser pas plus qu’à moi qui exige qu’elle aspire ma semence jusqu’à dernière goutte. Elle me pompe donc en creusant les joues pour extraire tout ce qu’il me restait dans les bourses. Cette ultime caresse est à la limite de la sensation de douleur. Il me faut tout mon sang froid pour ne pas crier trop fort à mon tour.
Isabelle, gênée a du mal à soutenir notre regard et se confond en excuses :
- « Je suis désolée, je ne comprends pas ce qu’il m’a pris, vraiment Christelle, il faut que tout cela reste entre nous. Vous comprenez, c’est important pour moi... »
- « Ne vous excusez pas Isabelle, cela restera un secret entre nous trois, n’est-ce pas mon chéri ? »
- « Bien sûr ! rassurez-vous. Mais si vous souhaitez de temps en temps vous éclater, vous nous faites signe... Qu’est-ce que tu en penses Chérie ? »
- « Oui, bien sûr !... Nous pouvons vous faire découvrir un monde merveilleux... »
Des pas résonnent dans l’escalier qui nous rappellent que nous sommes dans une situation assez compromettante. Nous nous rhabillons tant bien que mal en quatrième vitesse juste avant que la porte ne s’ouvre devant le petit stagiaire, qui patientait depuis tout à l’heure dans la voiture.
- « Excusez-moi, mais je vais rater mon bus ! »
S’il remarque quelque chose, il n’en montre rien. Mais d’expérience je me doute que l’odeur de sexe qui règne dans le bureau doit être suffisamment forte et nos mines de marathoniens sur la ligne d’arrivée devraient lui mettre la puce à l’oreille.
- « Nous discutions du dossier ML décor » s’exclame un peu trop énergiquement Isabelle, reprenant là ses attitudes de manager mais oubliant ses cheveux défaits, son chemisier froissé et les traces de sperme maculant son visage rond.
- « D’ailleurs nous avons fini, n’est-ce pas ! »
Nous acquiesçons et la laissons repartir avec son stagiaire, en se lissant la jupe sur les fesses. Elle ramasse son sac dans l’entrée du bureau de Christelle et disparaît pour revenir immédiatement.
- « Je prends juste le dossier MS Décor. Je vous laisse fermer Christelle ? »
D’un signe de tête, elle lui souhaite une bonne soirée. Je me joins à elle en rajoutant :
- « Merci beaucoup, Isabelle »
- « C’est moi qui vous remercie Pascal. À bientôt j’espère... » rajoute-t-elle visiblement émue de ce qu’elle vient de vivre.
Enfin seuls, Christelle me dit en se frottant à moi et en m’embrassant :
- « Il faudrait qu’on l’invite à la maison un de ces quatre. »
- « Pourquoi pas... On en reparle un peu plus tard. Pour l’instant j’ai surtout envie d’une bonne douche. »
- « Avec moi ? »
Décidément insatiable...
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