Le joli mois de mai. 8 ème Partie

- Par l'auteur HDS Krispas -
Récit érotique écrit par Krispas [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Le joli mois de mai. 8 ème Partie Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-04-2016 dans la catégorie Plus on est
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Le joli mois de mai. 8 ème Partie
Car c’est au tour de ma femme et de Pierre de reprendre possession de la scène. Bien échauffés par leurs amis, ils glissent tous les deux et trouvent une position qui nous offre une vue merveilleuse sur leurs deux corps. Lui, allongé sur le dos, écarte les jambes en face du miroir dont il semble ignorer qu’il ne nous cache rien de leurs ébats. Les genoux un peu repliés, il attend Christelle qui face au miroir vient se poser sur lui de dos. Appuyée sur le bras gauche elle garde une main libre pour saisir ce sexe qui la désire, et le présente à l’entrée de sa chatte ouverte. Est-il vraiment possible qu’elle ne me voie pas ? À quelques mètres de moi, derrière cette vitre sans tain nos regards se soutiennent. Le sexe de Pierre maintenant bien enfoncé en elle, elle commence à baisser le bassin vers son amant qui vient à sa rencontre en même temps. Louise et moi voyons ce beau sexe d’homme, s’enfoncer jusqu’à la garde dans le sexe ouvert de ma femme. Cette position je la connais bien, elle offre la possibilité d’une pénétration très profonde et je sais que Christelle l’apprécie. Son partenaire aussi visiblement puisque bien campé sur ses appuis, il se penche pour voir sa bite la baiser. L’air concentré de son visage témoigne de sa volonté de profiter de ces instants. Christelle se tourne un peu vers lui et lui demande :
- « Prends ma taille ! »
Il s’exécute et lui maintient le bassin, pendant qu’il est seul à bouger. Nous voyons ce sexe coulisser en elle et ces deux couilles qui viennent frapper contre la vulve à chaque coup de rein. Je sens le plaisir monter en elle, je sais qu’elle va jouir. Comme je l’ai entendue le faire mille fois, elle s’abandonne à cet instant même dans un soupir que je connais bien. Pierre ralentit le rythme et finit par faire une pause, toujours planté en elle.
Essoufflée, mais heureuse du plaisir pris, elle se sépare de Pierre pour mieux le reprendre, cette fois tournée vers lui. C’est son joli cul musclé qu’elle nous montre et saisissant à nouveau ce membre bandé pour elle, elle le reprend. Ma femme plantée droite sur lui entame alors un rodéo effréné, pendant qu’il lui caresse les seins. Alternant avec des moments plus calmes, elle se couche parfois sur son buste et ce sont ses fesses qui attirent les mains de Pierre. Malaxées, écartées, plaquées contre son propre pubis, ce cul que j’aime tant prendre, garde les traces claires de la pression exercée sur cette peau à peine halée par les mains fermes de cet amant vigoureux.

Reprenant de la vigueur sous le travail intensif de Corinne, David se rappelle au bon souvenir de tous. Son sexe redevenu ferme est de nouveau protégé par un préservatif et je comprends son intention quand je le vois se positionner aux pieds du lit derrière ma femme. Loin de manifester le moindre recul, Christelle se pose sur le torse de Pierre et en se cambrant facilite la pénétration de David en elle. Il enfonce sa verge dans le petit œillet sombre de ma femme lentement comme pour ne pas la blesser, mais je le vois disparaître inexorablement. Je me remémore les sensations éprouvées la semaine dernière quand je l’ai prise ainsi avec Stéphane et ce souvenir m’excite au point que je commence à me caresser. Mon trouble semble gagner Louise qui elle aussi assise dans le voltaire posé à côté du mien commence à se masturber avec un des sex-toys posés sur la table basse.

De l’autre côté du miroir, se sentant peut-être délaissée, Corinne s’approche en rampant de son mari et lui présente son sexe en le posant sur son visage tout en faisant face à Christelle. Toutes les deux s’embrassent avec gourmandise, leurs langues tournoyant en une folle sarabande. À voir les ondulations de son corps, les soins que lui prodigue Pierre ne laisse pas la jolie blonde insensible. Les deux femmes se montrent très sensuelles dans leurs attentions à l’autre, leurs mains se touchent, leurs cheveux se mélangent quand elles s’enlacent. Pendant ce temps David continue à sodomiser ma femme consciencieusement et Pierre marque un temps d’arrêt dans ses va et vient. Il s’attarde visiblement plus sur le sexe de sa compagne qui commence à onduler sur sa bouche de plus en plus vite jusqu’à ce qu’elle jouisse en manifestant son plaisir par un mélange de plainte, de gémissement et de cri aigu.

Reprenant de plus belle son activité, Pierre se cale sur les mouvements de l’étalon qui fouille Christelle face à nous. Je me branle de plus en plus vite moi aussi et nous jouissons tous les trois juste après Christelle. David d’abord s’est extrait du piège où il s’agitait et se répand sur le dos de ma femme redressée dans son propre spasme. Je vois Pierre se contracter ensuite jusqu’à soulever Christelle, agitée de soubresauts incontrôlés. Je les rejoins moi aussi en me vidant sur le visage de Louise qui entre temps ne voulait pas perdre une goutte de tout mon sperme.

Retombant épuisés sur le lit, tous les quatre se remettent de leurs émotions. Nous voyons, Louise et moi leurs poitrines se soulever, cherchant l’air qui leur manque. Essuyant son front perlant de sueur David, répète sans cesse : « My God ! It was so good ! ».

Tandis que Pierre et Corinne s’embrassent avec une tendresse mêlée d’érotisme, leurs langues se cherchant et se trouvant alternativement entre leurs lèvres entrouvertes. Abandonnant le lit le bel étalon noir la queue encore superbe, se dirige vers la table basse et se sert un verre. Retirant délicatement son préservatif plein de sperme Pierre roule sur le côté et le rejoint. Les yeux dans le vague, ses seins superbes montant et descendant au rythme de sa respiration, ma femme les suit du regard et pose une main entre les cuisses de Corinne, comme pour sentir sur le sexe encore chaud de son amie les vagues de chaleur qui les ont emportées toutes les deux.

- « Elles sont vraiment très belles » me dit Louise.

- « Oui ! » me contenté-je de répondre, perdu dans mes pensées où les images de ces deux sexes d’hommes qui fouillaient ma femme se heurtaient aux cris, et aux soubresauts qu’elle ne contrôlait pas quand elle s’abandonna au plaisir.

Pour la première fois je voyais ma femme jouir sans moi. Lors de notre week-end avec Seb et Lisa, ils avaient fait l’amour de leur côté, mais seuls leurs cris et leurs râles m’étaient parvenus. Lorsque nous avons baisé tous les trois, pour sa première double pénétration nous vivions notre fantasme commun, ce soir pour la première fois elle a joui de se faire prendre et je n’étais pas prévu dans son programme.
Louise ressent mon trouble et me propose de passer à autre chose. Fine mouche, elle me demande de la suivre. Les cheveux encore en bataille, mais le visage essuyé de mon foutre, ma partenaire du soir, me fait un clin d’œil plein de malice et de mystère. D’un geste très féminin, elle réajuste sa robe et me dit, tournée vers la porte :
- « Suis-moi ! »
Je jette un dernier regard en quittant la pièce. Derrière le miroir sans tain, le lit est vide, ma femme a disparu de mon champ de vision. Le temps de me réhabituer à la lumière du couloir, je fixe les courbes de Louise devant moi, légère, ses pieds nus ne semblent pas toucher le sol. Elle glisse sur la moquette épaisse, laissant derrière elle des effluves de parfum dans un bruissement de soie.


Combien sommes-nous ? Tout autour de moi des hommes et des femmes forniquent. Quelques-uns qui m’ont été présentés et d’autres, inconnus. Jeunes, vieux, beaux ou laids s’embrassent, se caressent, font l’amour partout. Dans la pénombre je distingue bien maintenant leurs corps, leurs gestes, je surprends des regards, j’évite des couples enlacés, je frôle des mains, des bras m’agrippent. La musique couvre mal les gémissements, les cris de ceux qui baisent et les commentaires des voyeurs.

Arrivés dans une vaste chambre, une mise en scène étonnante, est en train de se mettre en place. Sous les ordres de Nicolas, deux messieurs bandent les yeux de plusieurs femmes complètement nues. Dociles, certaines attendent leur tour, les yeux déjà fermés, quand d’autres visiblement excitées s’agitent comme des ados lors de leur première boum. Le contraste est d’autant plus saisissant que certaines ont plus que dépassé l’âge de jouer aux midinettes. Nouant les bandeaux de soie noire, les deux mâles, ne se gênent pas pour s’immiscer entre les cuisses de ces futures proies, soupesant un sein ou flattant une croupe. Au fur et à mesure, elles sont isolées des autres, poussées vers le lit immense qui trône au milieu de la pièce. Quatre y sont déjà, et autant attendent encore d’être livrées à la merci de ce que je crois être leurs maîtres.

En se rapprochant de moi, Louise me dit :
- « Tu vas aimer ! »
Lorsque je perçois parmi l’assistance un mouvement, je comprends alors que, ces femmes vont se donner à tous ceux qui voudront les prendre.

Elles sont huit, nues, les yeux bandés, assises au bord du lit qui en devient presque petit. Les mains sagement posées sur leurs cuisses elles patientent, attentives aux sons et aux mouvements autour d’elles. Leurs têtes suivent les bruits émis autour d’elles. L’une notamment est visiblement plus impatiente que les autres. Sentant une présence elle tend ses mains vers la taille d’un des hommes de l’assistance qui en se déplaçant d’un coin à l’autre de la chambre est passé à sa portée. Il se laisse faire et attiré par cette harpie, se retrouve bien vite happé par une bouche avide. Son sexe encore flasque disparaît aspiré entre ces lèvres qui l’enserrent. Il pose ses mains sur la tête de cette femme en lui imprimant un mouvement cadencé d’avant en arrière. L’homme commence à apprécier puisque son sexe grossit à vue d’œil en même temps que ses hanches qui vont et viennent à la rencontre de sa partenaire. Toutes les autres femmes ont trouvé à s’occuper maintenant. Deux sont même renversées sur le lit et entre leurs jambes s’activent sans ménagement deux hommes. Bien vite un des deux jouit, aussitôt remplacé par un autre. Retournée présentant sa croupe au public de voyeurs devant elle, une femme au corps replet est littéralement pilonnée par son amant. À chacun de ses coups, elle semble vibrer et ses formes s’agitent parcourues d’une onde qui va de ses fesses rebondies à ses bras plantés sur le lit. Ses seins agités en tous sens suivent des courses étonnantes parfois interrompues par les pognes qui les saisissent, les malaxent, les pincent sans égards. L’homme quitte le sexe de la femme tout d’un coup et s’introduit dans son cul, son travail lui est facilité car maintenant avachie, la poitrine écrasée sous son propre poids sa maîtresse écarte ses fesses en signe de soumission. Pénétrée avec force, elle crie de plus en plus fort d’autant que s’abat sur elle une série de claques sonores qui laissent sur sa peau claire des marques cramoisies. La tête rejetée en arrière, elle subit les assauts de son étalon qui manifeste son propre plaisir par des grognements sourds entrecoupés de commentaires où fleurissent les « salope, tu aimes ça hein ! », les : « C’est bon hein ! Tu en veux encore ? » Et autres insanités.
Partisan de plus de délicatesse je les laisse à leurs jeux pour trouver ailleurs de quoi assouvir mes penchants de voyeur. Mon regard se pose sur une scène magique où deux hommes sont sucés par une même bouche. Une jolie brune au profil grec, très bien faite, avec une taille très marquée, s’est emparée dans chaque main d’une bite est les porte à sa bouche à tour de rôle, puis ensemble. Son visage masqué par le bandeau de soie est déformé par cette bouche démesurée où s’engouffrent deux sexes de belle taille. Goguenards les deux hommes discutent entre eux comme si de rien n’était. Les deux joues de cette femme se gonflent et se remplissent à mesure au gré de ses mouvements. Experte, c’est au contraire de sa voisine, elle qui mène le jeu en imposant ses caresses, ses coups de langues alternativement à l’un, à l’autre ou aux deux hampes de chair des deux compères. Son savant manège dure encore quelques minutes avant qu’un des hommes ne se retire, visiblement juste à temps pour ne pas jouir. L’autre profite dès lors de toutes les attentions de la jeune femme qui l’avale jusqu’à la garde. Imperceptiblement je bande devant ce spectacle qui m’excite au plus haut point je sens la main de Louise qui se saisit de moi en forçant ma braguette, m’empoigne et commence à me caresser pendant que son autre main lui donne son propre plaisir. Les yeux rivés sur ce beau visage qui avale cette colonne consciencieusement, je sens que mon amie cale son rythme sur celui que nous fixons comme hypnotisés. Quelle sensation exquise de sentir ses doigts agiles qui me caressent et de voir de profil ma partenaire se cambrer, la robe relevée, sa main droite glissant sur ce merveilleux bouton de nacre. Curieusement elles ont un physique assez proche toutes les deux, avec un je ne sais quoi qui émane d’elles, un peu comme dans ces grandes familles nobles : une sorte de classe naturelle et de certitude de leur beauté.

- « Viens derrière moi. » lui intimé-je.

Docile et piquée par la curiosité elle s’exécute et plaque son corps contre moi. Je glisse ma main entre nous en remontant le fin tissu rouge. Je sens ses seins s’écraser sur mon dos et son clitoris palpiter sous mes doigts. De sa main droite elle retrouve ma verge et reprend son activité et me caresse la poitrine de l’autre. Son visage est posé sur mon épaule et nous commentons à voix basse ce que nous ressentons :
- « Elle sait faire ! » lui dis-je.

- « Aussi bien que moi tu crois ? » rajoute Louise mutine.

- « Il faudrait que je puisse comparer ! »
- « On verra, si tu es sage je te présenterai » me dit-elle pleine de mystère.

- « Tu connais tout le monde ici ou quoi ? »
- « Tout le monde non, mais elle oui… c’est ma sœur ! »
Je ne peux retenir un léger mouvement de surprise, mais sûre de son effet, Louise me saisit vigoureusement le sexe et me dit :
- « On ne bouge pas, j’ai dit : si tu es sage... n’oublie pas… ! »
Et elle reprend son va et vient lent et sensuel au même rythme que sa sœur engouffre le sexe qui lui est offert.
Comme à regret nous voyons l’homme se défaire de ce piège torride et d’un geste ferme saisir les épaules de la jeune femme encore assise pour l’amener au bord du lit et la prendre en levrette. Pendant qu’elle prend la pose, il saisit une capote, l’enfile et pénètre le sexe imberbe qu’elle lui offre. Posée juste au bord du lit, totalement impudique comme toutes ces femmes qui ignorent quels sont ces hommes quoi les fouillent, elle apprécie visiblement de se faire prendre ainsi. L’homme en voyant la jeune femme se cambrer encore plus décide de monter à son tour sur le lit et toujours derrière elle, la reprend. Le sexe presque à la verticale s’enfonce lentement, en douceur mais inexorablement. Il entre et sort ainsi en guidant sa bite de sa main tout doucement pendant de longues minutes puis se met à la prendre avec frénésie alternant moments de calme presque amoureux et moments de baise très intense. À ce petit jeu il a tôt fait d’amener sa partenaire vers le plaisir. Quand il se sent lui aussi prêt à succomber il se retire, repose les pieds au sol et, en se finissant lui-même, il se vide sur ces fesses dans de longues saccades. Sa partenaire essoufflée reste immobile ainsi quelques secondes et finit par s’asseoir la poitrine soulevée par de grandes respirations, la bouche ouverte. En se relevant, elle retire son bandeau et semble rechercher son amant mais l’homme a disparu dans la foule des voyeurs. Son regard trouve alors celui de sa sœur. Elle lui sourit puis son regard croise le mien. Comme si nous voulions les rattraper tous les deux nous nous caressons Louise et moi en cherchant à jouir vite. Nos doigts savent comment faire pour hâter le moment où nous ne pourrons plus nous retenir et nos mouvements se font plus précis. Cette fois c’est Louise qui me devance et son plaisir déclenche le mien presque instantanément. En se mordant la lèvre inférieure, elle se détend après cet orgasme express et relâche la pression de ses doigts sur mon sexe qui encore dur vient d’envoyer un geyser de foutre vers sa sœur qui vient à notre rencontre. Malgré le côté trivial de la scène elle a beaucoup de classe quand elle attrape une lingette et s’en essuie les fesses sur lesquelles les traits clairs du sperme de son amant dessinent comme des coups de fouets sur sa peau bronzée. Elle s’approche de nous et dans un sourire me dit :
- « Ça vous a plu ? »
Ces yeux sont aussi expressifs que ceux de Louise. On y trouve la même espièglerie.

- « Toutes ces émotions m’ont donné soif ! » rajoute-t-elle en m’embrassant sur la bouche sans façon. Et à l’adresse de sa sœur : Tu ne fais pas les présentations ? »
- « Je suis Pascal. Oui j’ai trouvé le spectacle très excitant…et je sais où trouver du Champagne ! »
- « Pascal je te présente ma petite sœur : Julie » enchaîne Louise.
Je les accompagne en les prenant par la taille toutes les deux, sous le regard envieux du premier partenaire de Julie, qui voit sa proie lui filer entre les doigts, sans avoir jouit d’elle.

L’aînée accrochée à un bras et sa cadette à l’autre, nous laissons l’orgie en cours se poursuivre sans nous. L’une toujours nue et l’autre ayant réajusté sa robe, moi-même de plus en plus mal fagoté, nous formons un trio assez hétéroclite mais non dénué de charme et de fantaisie.

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