Le joli mois de mai. 7ème partie.

- Par l'auteur HDS Krispas -
Récit érotique écrit par Krispas [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Le joli mois de mai. 7ème partie. Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-04-2016 dans la catégorie Plus on est
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Le joli mois de mai. 7ème partie.
Effectivement après quelques kilomètres nous prenons le chemin d’un beau château typiquement Bordelais. Plusieurs voitures sont garées sur le parking visiteurs.

Nous nous joignons au groupe de touristes qui visitent ce château du Médoc. Nous commençons par une salle fraîche et dans la pénombre dans laquelle sont installées plusieurs rangées de bancs, rendus accueillants par des petits coussins de couleur bordeaux. Un vidéo projecteur nous projette des images et un commentaire sur la fabrication du vin dans ce terroir magique. Mais j’ai à portée de main d’autres territoires à redécouvrir. Sous sa petite robe d’été la peau de ma femme réagit à la fraîcheur de cette salle et je pose ma main sur sa cuisse quand je la sens frissonner. Je me fais plus curieux en remontant sa robe et en m’immisçant entre ses cuisses. Là, je trouve dans les replis humides, un trésor aussi précieux que le nectar qui enchante nos palais depuis le début de notre séjour en Aquitaine.
Je suis quand même le seul à n’avoir pas complètement joui de cet après-midi. Valérie et Nicolas, eux, se sont bien amusés dans l’eau et ma femme semble avoir apprécié quoiqu’elle n’en dise rien son épisode avec son inconnu à la plage. De plus, je suis de mon côté resté sur ma faim après avoir assisté aux exploits de la jolie rousse dans les fourrés.
Comme si elle comprenait ma frustration, Christelle commence elle aussi à promener sa main sur mon sexe qu’elle sent très vite grossir sous le tissu fin de mon pantalon. Alors que les diapos s’écoulent à un rythme très lent sur l’écran et qu’un commentaire insipide nous explique ce que sont des graves, les agissements de ma femme le long de ma colonne ne laissent pas de marbre nos amis assis tout à côté. En totale décontraction, Valérie pose ses pieds sur le banc devant elle et écarte les jambes où Nicolas trouve très vite de quoi la faire frémir tout en se laissant caresser. Les autres spectateurs restent eux captivés par la géologie locale et ne se doutent en rien de ce qui se passe derrière eux dans l’obscurité.

Mon sexe est complètement sorti de mon pantalon quand la lumière se rallume et que notre accompagnatrice nous invite à la suivre dans les méandres du chai. Remballant mon matériel à la hâte, je me cache derrière ma femme pour ne pas laisser trop apparaître mon émoi. Nous fermons donc la marche du petit groupe qui fait halte maintenant devant de grands alignements de barriques assez hautes derrière lesquelles nous ne sommes visibles qu’à moitié. Toujours placé dans son dos avec une trique impressionnante, je commence à relever la petite robe et je place mon sexe entre les fesses de Christelle.

- « Tu es fou !» me dit-elle dans un souffle.

Mais son reproche n’est qu’une façade car dans ses yeux je ne vois que du désir. D’abord surprise, elle se détend et se cambre afin de me laisser la pénétrer tout doucement. Cette sensation de faire l’amour en douceur est exquise. Je ressens le long de chaque centimètre de ma verge la chaleur de son sexe qui m’enserre. Le fait d’aller et venir en elle très lentement, en silence, décuple cette sensation. Sentir le regard et le sourire complice de nos amis sur nous et constater que devant nous la guide et ses touristes ignorent notre petit jeu est exquis. Mais bientôt nous devons passer dans une autre salle plus vaste et plus claire cette fois. Tout autour de nous : des cuves en inox immenses et un peu en retrait : des palettes de bois sur lesquelles sont empilés des cartons de bouteilles en partance vers le Japon, apprenons-nous. Toujours aussi excité, je me fais violence pour ne pas sauter sur ma femme. Nue sous sa robe, campée devant moi, je sais que son minou est encore ouvert de mon dernier passage en elle. Sur un signe de la responsable des visites tout le groupe glisse plus loin vers une cuve spéciale, ce qui me permet sous le regard de plus en plus lubrique de Nicolas et Valérie de pénétrer de nouveau ma femme. Notre relative tranquillité me permet de ne pas me réfréner et je l’entreprends toujours par derrière avec vigueur cette fois, lui arrachant des gémissements suggestifs.
Quand le groupe revient vers nous, je dois à nouveau me décoller d’elle, rabattre sa jupe et ranger vivement mon sexe dans mon pantalon. La scène a le don de faire pouffer de rire nos amis et d’attirer de nouveau sur nous les regards intrigués des touristes. Ce petit jeu commence à m’énerver mais aussi à plaire à ma coquine d’épouse.
Nous finissons bien sûr la visite par la dégustation, mais il nous est impossible de continuer à faire l’amour dans la salle ouverte où d’autres groupes attendent leur guide. En voyant le pictogramme des sanitaires sur une porte, je glisse un mot dans l’oreille de Christelle qui m’emboîte le pas en direction des toilettes. La première porte franchie je me dirige vers celles indiquées « Messieurs », suivi par ma femme. À peine la porte refermée elle soulève sa robe et, un pied au sol et l’autre posé sur la cuvette, elle me fait face en me disant :

- « Vite je n’en peux plus ! Baise-moi ! »

Mes mains sur les hanches je l’empoigne, la pénètre profondément et au bout de quelques minutes nous jouissons dans un cri commun. Je me sépare d’elle, encore chancelant et reprends mes esprits en la regardant porter la main à son sexe d’où le sperme s’écoule maintenant. Elle est belle à couper le souffle et je reprends mes esprits lentement.
Quand nous ressortons encore ébouriffés de nos exploits nous croisons les regards goguenards de nos amis, mais aussi ceux réprobateurs de la guide et de certains pisse-froids de touristes.

Entre temps quelques cartons du millésime 2012 ont changé de mains et c’est les bras chargés que nous rejoignons la voiture qui nous ramène cette fois sans détour à Saint Jean de Médoc.

La fin de journée est superbe. Le soleil de mai tombe derrière les collines vallonnées recouvertes de vigne. Ma femme est belle, nos amis adorables. Il nous reste une journée avant le retour vers Nantes.
Une journée et ce soir...





De retour chez Valérie et Nicolas, nous nous éclipsons afin de récupérer de cette journée riche en expériences. Le temps contre toute attente, s’est un peu rafraîchi et nous rinçons nos corps du sel de l’océan sous la douche de notre chambre. Christelle a pris de belles couleurs qui ajoutent encore à son charme. Jolie brune au teint mat, sa peau réagit au soleil en lui donnant un bronzage cuivré qui souligne son côté méditerranéen. Ses cheveux de jais, bouclés naturellement, et son regard sombre ajoutent encore à son côté nature et me font craquer par leur côté indiscipliné.

Une fois propres, pomponnés et changés nous rejoignons nos hôtes dans le salon. Nous les retrouvons en compagnie de trois couples dans nos âges. Charmants à divers titres, nous leurs sommes présentés comme des amis libertins de Nantes. Le ton de la soirée est donné : tout le monde sait pourquoi il est là. Rapidement Christelle trouve en compagnie d’un couple assez jeune, prénommé Pierre et Corinne, deux interlocuteurs agréables.
Je perçois dans son attitude tout ce que j’aime chez une femme qui me plait : son bassin imperceptiblement en avant quand elle discute, ses mains qui recoiffent ses cheveux dans des gestes d’une grande sensualité. L’angle même de ses pieds, face à ce beau blond, font un angle très ouvert qui, pour qui sait décoder cette attitude, est significatif de son état d’esprit très « ouvert » à son égard. Chaque flûte de champagne qu’elle porte à ses lèvres est également l’occasion de laisser transparaître ses intentions : bouche entr’ouverte laissant voir ses jolies dents, langue qui apparaît de temps en temps, promesse rose entre deux lèvres carmin. Et son regard que je vois plonger alternativement dans les yeux de ce bel homme et se poser sur sa bouche en une invitation muette. Tout dans son comportement dit : tu me plais !
De son côté elle semble affoler Corinne qui ostensiblement pose sa main libre sur les hanches de Christelle en se collant amoureusement à elle. Plus petite qu’elle, elle semble boire ses paroles, suspendue à ses lèvres. Je ne me fais pas de soucis : ce soir ma femme va passer un bon moment.

Tout autour de moi de nouveaux couples apparaissent, se forment et se mélangent spontanément lorsqu’ils se connaissent ou papillonnent en fonction de l’intérêt qu’ils trouvent chez ces inconnus. Je ne reste moi-même pas longtemps seul puisque je suis abordé par une jolie femme en robe carmin très moulante et aux cheveux presque rouges coupés au carré. Avec une belle voix grave elle m’apostrophe en me disant :

- « Ainsi, vous êtes Pascal ! »

J’ai dû être présenté par quelqu’un forcément ! Nicolas ? Valérie ?

- « C’est bien moi effectivement ! Et vous êtes ?... »

C’est ainsi que ma partenaire privilégiée de cette soirée m’apprend qu’elle s’appelle Louise.

Me prenant d’autorité par le bras elle m’entraîne vers quelques autres personnes en me présentant comme son nouvel amant. Je ne la contredis surtout pas car ce que me laisse deviner sa robe autant que son intelligence m’ont tout de suite séduit. Inévitablement, nous retrouvons Christelle et son chaperon avec Corinne et un très bel homme noir comme l’ébène, grand et mince ; de ce type d’homme que l’on croise dans les régions du Kenya ou de la Tanzanie. Très aimable, avec un fort accent anglais, j’apprends qu’il s’appelle David et qu’il travaille dans le l’import- export de bois. Ma femme me regarde avec l’air qu’elle devait avoir, enfant devant son premier vélo, le matin de Noël au pied du sapin.
La soirée va être longue et nous allons vivre un moment d’exception nous en sommes sûrs. Aucune jalousie, aucune envie entre nous, rien que la joie de permettre à l’autre de vivre son plaisir.

Après l’arrivée d’autres personnes, nous sommes maintenant une bonne vingtaine. Les couples initiaux ont, pour la plupart volé en éclat. Un peu partout dans le salon des hommes et des femmes s’embrassent et se caressent. D’autre plus entreprenants ont déjà franchi le stade des présentations et font l’amour dans la plus parfaite décontraction. Valérie est d’ailleurs à genoux dans un canapé la croupe offerte à un homme assez rond et au fort accent méridional. Les coudes posés sur le dossier du canapé, elle suce allègrement un autre homme qui lui maintient la tête en la faisant aller et venir sur un sexe de belle taille. Il s’enfonce au plus profond dans sa gorge en soufflant et le son étouffé qu’elle émet à chaque coup de rein de l’homme derrière elle témoigne du plaisir qu’elle a. Un couple regarde le trio. Elle, la tête penchée sur l’épaule de l’homme, lui se masturbant tout doucement.
Nicolas est en train de son côté de rendre folle de plaisir une blonde aux seins lourds qui m’a été présentée comme une certaine Kathy. Elle plante à intervalles réguliers ses ongles dans les épaules de son amant qui lui fait un cunni visiblement efficace.
Toujours accompagné de Louise, je me promène sur la terrasse et nous échangeons des considérations assez pointues sur la région, sa vie culturelle, les prochaines expositions d’artistes à Bordeaux. Cependant nos corps échauffés par l’alcool et toute cette orgie autour de nous se sont rapprochés. Imperceptiblement, l’appel de la chair se ressent et nous nous posons dans le salon de jardin où la veille ma femme était assise après ses ébats avec Valérie. Les verres, les bouteilles qui jonchent la terrasse et les coupes remplies de préservatifs disposées partout sont une invitation à la luxure. Assise à mes côtés dans un grand fauteuil à deux places, elle pose sa cuisse sur les miennes en me présentant par la fente de sa robe moulante une vue superbe sur ses longues jambes fuselées. Je remonte ma main, encouragé par ses baisers qui se font plus insistant au fur et à mesure de mon exploration. Je sens sous mes doigts son sexe déjà mouillé. Le bras passé au-dessus de son épaule je soupèse ces deux seins lourds que je sens gonflés de désir. Elle tente de saisir à pleine main ma bite tendue retenue par mon pantalon et mon boxer. Trouvant le chemin de la liberté avec son aide, mon sexe jaillit enfin pour se retrouver dans le piège expert de ses doigts agiles. Je suis flatté par sa moue en constatant l’effet qu’elle me fait et je semble être à la hauteur de ses espérances. Elle décalotte ma verge et m’excite en promenant son pouce sur mon gland. Parfois elle s’aventure plus bas et m’enserre en me branlant énergiquement.
Ses caresses me transportent littéralement et je suis obligé de l’interrompre pour ne pas franchir le point de non-retour. Je me lève et l’invite à venir s’asseoir sur la table en teck. Elle s’exécute avec grâce et, dans un geste plein de sensualité, balaie d’un revers de main sur le front ses cheveux rouges. J’écarte les flûtes abandonnées, et pose ma conquête au bord du plateau de bois pour lui administrer mes caresses préférées.
Son bassin qui m’accompagne d’avant en arrière et ses petits feulements de chat me comblent d’aise. Elle aime et le manifeste de plus en plus jusqu’à l’orgasme qui l’emporte bientôt. Je ne la laisse pas reprendre son souffle et me saisis d’un préservatif pour la prendre. J’aimerai bien prendre mon temps comme avec Christelle cet après-midi même, mais je la pénètre d’une traite et sans la ménager, je lui fais l’amour à la hussarde. Elle est complètement allongée sur le dos, la table grince sur les dalles de la terrasse, ses jambes refermées dans mon dos m’entourent et m’empêchent de prendre tout mon élan entre chaque coup de queue. Nos mouvements se coordonnent assez vite, son bassin venant à ma rencontre pour une pénétration plus profonde encore. Elle secoue la tête de gauche à droite en poussant des gémissements de plus en plus forts et jouit dans un cri aigu. Je la pénètre de manière de plus en plus incontrôlée moi aussi et avant de jouir j’ai juste le temps de retirer ma capote pour lui gicler sur les seins en soufflant comme un âne éreinté par notre cavalcade.
Nous n’avons fait l’amour que quelques minutes mais si intensément que nous en sommes surpris l’un comme l’autre.
Je lui tends la main pour l’aider à se redresser et je lui sers un peu de Champagne. Elle y trempe à peine les lèvres et m’entraîne en courant vers l’intérieur de la maison en me disant d’un ton mystérieux :

- « Viens, je vais te montrer quelque chose… »

Le salon, mais aussi la cuisine, se sont transformés en lupanar où s’ébattent des couples mixtes ou non sous le regard fiévreux de voyeurs. Je retrouve Kathy qui est passée entre d’autres mains, entreprise par un inconnu dont j’ai oublié le prénom. Elle me voit sans me voir quand je passe devant elle, toute entière concentrée sur le plaisir que lui procure la bite qui la fouille par son orifice le plus intime.
Valérie sur un sofa, chevauche telle une valkyrie, un monsieur particulièrement bien monté, à voir l’amplitude des mouvements qu’elle fait pour s’empaler dessus. Son mari à côté d’elle me salue d’un geste amical pendant que deux créatures se partagent à tour de rôle dans leurs bouches sa bite triomphante. Partout des couples, des trios, des quatuors s’enlacent, se baisent, se caressent, s’aspirent. Partout des cris et des gémissements retentissent entrecoupés de mots et d’injonctions plus crus les uns que les autres. Baiser, enculer, sucer, jouir, caresser, branler, aimer, sont les verbes conjugués à l’impératif que j’entends, parfois chuchotés mais le plus souvent criés.

Alors que je suis en train de me demander où est ma femme dans cette partouze, Louise ouvre une porte près de la chambre où avec nos hôtes nous avons baisé hier soir. La pièce est petite, sans éclairage. On pourrait croire une penderie assez vaste mais le temps de s’accoutumer à la pénombre, je comprends où nous sommes. Une glace sans tain me permet de retrouver le petit salon et le grand lit au milieu duquel je vois ma femme comme je ne l’avais jamais vue auparavant. Je suis invisible à ses yeux, et je ne semble pas lui manquer du tout. Corinne, Pierre et David sont avec elle.
Deux fauteuils voltaires nous tendent leurs bras avec de part et d’autres deux tables basses où se trouvent les incontournables préservatifs et deux sex-toys de belle taille.

Devant la scène qui se déroule devant moi, je ne peux m’empêcher d’imaginer que nous n’étions peut-être pas aussi seuls que nous le pensions, hier soir avec nos amis. Quelqu’un se cachait-il derrière la vitre sans tain, et qui ?
Ma femme, Corinne, Pierre son mari et David avaient visiblement fait plus ample connaissance depuis mon escapade avec Louise. Christelle complètement nue regarde allongée sur le côté David et Corinne faire l’amour. Dans son dos Pierre caresse avec beaucoup de douceur ses seins et son ventre, s’aventurant parfois au niveau du pubis. Les gestes de ce bel homme, sont très lents comme des préliminaires. C’est un peu comme s’ils regardaient en couple un film érotique en direct dans leur lit. Le son de leurs ébats nous parvient par deux petites enceintes placées de part et d’autre du miroir.

La scène est effectivement assez captivante : grand, mince et noir ébène, David prend en levrette la petite Corinne, blonde comme les blés. Le visage maintenu en arrière par son cavalier qui lui attrape les cheveux, elle est comme en extase. Les yeux fermés, elle prend pleinement la mesure du sexe qui la possède. Une verge très longue entre et sort sans ménagement de son sexe offert. Les reins cambrés à l’extrême, toute en courbes et en formes pleines, elle s’abandonne à cet homme au corps sec et bien dessiné. Chacun de ses muscles semble n’avoir pour fonction que de pénétrer. Tout entier tendu vers elle, il ressemble à un danseur d’une compagnie de danse moderne dont le seul mouvement serait celui d’un piston qui inlassablement et avec une précision de métronome, coulisse en elle. Ce ballet hypnotique met en émoi Christelle qui commence à ouvrir le compas de ses jambes pour permettre à son amant niché derrière de la fouiller plus avant. Comme s’il n’attendait que ce signal, sa main droite laisse la place à son sexe tendu qui, protégé d’une capote, commence à la prendre d’abord doucement puis au même rythme que David envoie en l’air Corinne. La jolie blonde commence à perdre tout contrôle, le plaisir monte en elle et Christelle comme pour le décupler entreprend de lui caresser le sexe pendant que David continue ses mouvements mécaniques. Ma femme pose délicatement ses doigts sur le sexe mouillé et commence à stimuler les clitoris gonflé de cette nouvelle partenaire. L’effet cumulé de la bite de David et des caresses de Christelle a vite raison d’elle. Corinne explose en vol, dans un long râle aigu. Le marteau pilon derrière elle modifie son rythme et dans des mouvements plus saccadés s’enfonce de plus en plus fort dans sa partenaire pour enfin jouir lui aussi. Je trouve, de mon poste d’observation, presque dommage qu’il ait jouit en elle, me privant du spectacle de cette belle bite se vidant en longues saccades.
Retombée à plat ventre sur lit, abandonnée par son amant africain qui retire son préservatif de son sexe toujours aussi impressionnant, Corinne reprend son souffle.
Louise rompt le silence entre nous et me demande :

- « Le spectacle te plait ? »

- « J’attends le deuxième acte » lui dis- je

Les avis des lecteurs

Merci Micky. J'espère que la suite vous plait aussi...

Un réel talent pour raconter une partouze. Pas si simple...



Texte coquin : Le joli mois de mai. 7ème partie.
Histoire sexe : Une rose rouge
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