Le joli mois de mai. 4ème partie. Bordeaux

- Par l'auteur HDS Krispas -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Le joli mois de mai. 4ème partie. Bordeaux Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-03-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le joli mois de mai. 4ème partie. Bordeaux
« Les femmes et le Bordeaux. Je crois que ce sont les deux seules raisons de survivre. »
Pierre Desproges

Après ce week-end extraordinaire chez Sébastien et Lisa, il faut bien revenir au quotidien. Reprendre le travail n’est pas simple… sans cesse des flashes m’envahissent et la journée du lundi est longue à s’écouler. Le soir, de retour à la maison, Christelle et moi, passons de longues heures tendres à revivre tous les deux dans notre lit, les sensations merveilleuses éprouvées avec nos amis et ce couple expert en amour que sont Valérie et Nicolas.
Curieusement, toutes ces langues, ces sexes d’hommes bandés, minous accueillants et autres caresses ne nous manquent pas. Nos nuits comblent nos envies sur le moment et je remplis ma femme de mon sexe et de ses godes préférés. Son canard vibrant lui rappelle aussi quelques souvenirs avec Lisa et Valérie. Quand je la prends par derrière c’est aussi au cul de Lisa que je pense, c’est aussi entre les seins de Valérie que j’imagine mon sexe branlé jusqu’à l’orgasme mais je ne m’en cache pas et elle m’avoue que pour elle aussi les coups de langue experts de ses amants du week-end la font frémir rétrospectivement. C’est pourtant bien nous qui jouissons de nos caresses tous les deux. Mais nous avons ouvert la boite de Pandore : sans être accro aux parties fines, nous y avons pris goût. Après avoir éjaculé sur ses seins voluptueux, je préviens Christelle que je vais joindre Nicolas dès le lendemain matin.

À voir son regard pétillant, je comprends que derrière son « Si tu veux… » presque indifférent il y a un grand : « Oh oui !... » Notre nuit s’écoule peuplée de rêves tous plus fous les uns que les autres.

Absolument pas surpris de mon appel, Nicolas, après avoir pris des nouvelles de Christelle, me propose de les rejoindre dans leur maison du Médoc ce week-end. Nous échangeons sur ces moments exquis passés ensemble avec nos amis et notamment Lisa. Mais c’est au sujet de ma « charmante femme » qu’il s’étend le plus. En effet ils ont passé beaucoup de temps ensemble à baiser dans tous les sens. Aucun de ses orifices ne lui ayant échappé, il s’est régalé de ses courbes et de son savoir-faire amoureux. Je sais par les filles qu’il est un amant vigoureux et sensuel car son sexe long et dur semble d’airain et que ses attentions pour ces dames les ont comblées. Lisa et Christelle ont gardé un doux souvenir de son passage entre leurs cuisses.

Vendredi, dix-neuf heures. L’heure et l’adresse du rendez-vous sont notées. Nicolas m’a assuré qu’ils nous organisaient un week-end très coquin. Je bande presque en raccrochant.

Bien que pressés d’arriver à destination, nous prenons les chemins de traverse pour nous rendre chez nos nouveaux amis. De notre jolie ville de Nantes à Bordeaux, l’autoroute est le chemin le plus court mais nous privilégions souvent les départementales pour leur côté bucolique et leurs petits hôtels de charme. Nous nous arrêtons volontiers à chacun de nos voyages pour une pause plus moins longue dans un bon restaurant, pour un arrêt coquin dans la nature... Depuis quelques minutes, ma femme se caresse en évoquant le week-end passé et en envisageant le prochain. Sa petite robe légère remontée sur ses cuisses ne cache rien au regard des chauffeurs de camion que je double le plus lentement possible avec malice. Les appels de phares qu’ils nous laissent dans le rétroviseur sont pour nous comme des remerciements. En voyant devant nous se profiler un autre poids lourd, je suggère à Christelle d’ôter sa culotte et de la laisser flotter au vent par la vitre. Loin de s’en contenter, elle va plus loin en descendant le haut de sa robe sur sa taille. C’est donc quasiment nue qu’elle s’exhibe, cuisses écartées, se fouillant de ses doigts le sexe que je sens déjà humide. Ses seins sont comme soulignés par la ceinture de sécurité qui les sépare. Vision érotique incongrue sur cette petite route départementale. En m’approchant du camion, je guette le moment propice pour le doubler. Certains des automobilistes qui viennent en face sont stupéfaits de ce qu’ils voient : une femme nue assise sur le fauteuil passager !
Je profite d’une longue section à trois voies pour doubler. Dans cette longue ligne droite typique du paysage vendéen, notre chauffeur ne doit pas en croire ses yeux : ne perdant pas une miette du spectacle grâce au toit ouvrant : Christelle donne libre cours à son imagination. Tout en se caressant l’entre cuisse de la main gauche elle fait passer sa main droite alternativement de sa poitrine à sa bouche. Humectant ses doigts à la manière d’une bite qui la prendrait, son index va et vient lentement entre ses lèvres, puis redescend sur sa poitrine pour pincer la pointe de durcie de ses seins. Elle regarde pendant ce temps le chauffeur du camion et semble le trouver appétissant :
- « Celui-là n’est pas mal » me dit-elle, « prends ton temps pour le doubler… ».

Concentré sur ma conduite je suis bien obligé de lui faire confiance, mais je connais ses goûts et si elle me le dit c’est qu’il est sûrement très mignon. Son petit manège dure une minute qui a dû paraître bien courte à notre voyeur involontaire qui nous voit disparaître bien vite dans les froufrous de la petite culotte de ma femme agitée par la vitre.
De son côté ma délicieuse exhibitionniste, excitée comme une folle commence à lorgner sur la bosse que forme mon sexe dans mon pantalon. À travers le tissu elle jauge mon excitation et semblant satisfaite de mes dimensions du moment, fait sortir le loup de sa tanière. Je lui facilite la tâche en relevant le bassin pour quelle puisse baisser jusqu’aux genoux mon pantalon et mon boxer. Mon sexe jaillit à ce moment et elle entreprend de me masturber tout en se caressant. À ce rythme-là nous commençons à envisager très vite de nous arrêter sur la prochaine aire de repos. Dix kilomètres plus loin, de plus en plus tendu, je ralentis et m’engage dans une aire ombragée, heureusement calme à cette heure. À peine le frein à main serré, Christelle se jette sur moi et entreprend de me sucer. Sous ses caresses je commence à sentir mon sexe palpiter de manière incontrôlée. Il est temps de passer à d’autres caresses sinon je risque de maculer tout l’habitacle de mon sperme. J’ouvre la portière et tout en essayant de masquer mon érection je sors de la voiture, fais le tour et entrouvre la portière côté passager et je demande à Christelle de me présenter sa croupe. Accroupie les fesses tournée vers moi, elle m’offre une vue d’une indécence folle. En me penchant un peu en avant je commence à lui caresser la vulve. Son sexe entièrement épilé s’écarte sous ma langue. Je capture son clitoris entre mes lèvres et le titille du bout de la langue en même temps. Elle ne résiste en général pas longtemps à cette caresse et effectivement je commence à sentir son bassin onduler de plus en plus, la fréquence de ses petits cris augmente aussi et dans une grande aspiration rauque elle jouit en criant :
- « Chéri ! Tu me fais jouir ! »
Ne comptant pas en rester là, je ressors par la braguette de mon pantalon, mon sexe toujours aussi dur et l’enfile d’une traite. Elle est littéralement brûlante encore une fois et je la fouille en prenant ses hanches à pleines mains. Je sors littéralement mon sexe à chaque mouvement de mes reins, pour la reprendre immédiatement. Son sexe trempé est un véritable puits dans lequel je plonge avec délice pendant qu’elle retient ses cris de jouissance. Complètement pris dans nos jeux nous avons oublié que nous étions dans un espace public. Tout en labourant Christelle, je lance un regard circulaire vers le véhicule sur notre droite, de l’autre côté de la voie. Un jeune couple avec un bébé et un chien fait une pause. La jeune femme est assise sur l’herbe, son bébé à côté d’elle et l’homme joue en lançant au chien un bâton inlassablement ramené par le gentil toutou. Rien à craindre de leur côté me dis-je, tout au plus voient-ils émerger de la voiture le haut de mon buste et les vitres teintées de la voiture dissimulent le corps nu de ma femme. C’est en me tournant vers la gauche, que je remarque un camion immobilisé à vingt mètres environ. Je le reconnais tout de suite : il porte les couleurs de celui devant lequel Christelle s’est caressée tout à l’heure. Il a dû mettre pied au plancher en espérant nous rattraper. D’où il est, il doit bien se douter de notre manège : sous cet angle les mouvements de mon bassin ne lui laissent aucun doute sur ce que fais. Sentant mon trouble Christelle se retourne, me voit regarder vers l’arrière et suivant mon regard aperçoit elle aussi le camion. Loin de la gêner cela semble au contraire la faire redoubler d’ardeur et elle me demande de continuer quand même :
- « Continue, ça m’excite de savoir qu’il nous mate. »
Je continue donc à faire l’amour à ma femme selon ses désirs puisque je sais d’expérience que ce genre de situation lui plait. Reprenant mon rythme de plus belle, je ne m’aperçois de la présence de l’homme que lorsqu’il est arrêté au niveau du coffre de la voiture. M’ignorant complètement, il ne voit que le cul de ma femme en se branlant consciencieusement. Daignant enfin me regarder, il me demande s’il peut approcher davantage. Mis en confiance par son allure plutôt sympa, je l’y autorise d’un signe de tête. Il est maintenant juste à côté de moi, la bite à la main en train de s’astiquer, hypnotisé par la vue de ma femme accroupie, vulve offerte à mes longs coups de bite. Christelle sentant qu’il se passe quelque chose a un léger mouvement de surprise mais bien vite son côté exhibitionniste prend le dessus.

- « Attends ! » me dit-elle, « Je vais le sucer pendant que tu me prends. »
Aussi discrètement que possible elle sort de la voiture et me pousse presque pour que je m’y assoie, les jambes dehors. Je me cale tant bien que mal avec un pied au sol et l’autre sur le marchepied. Les cuisses bien écartées. Ma femme vient poser son sexe sur le mien et me guidant en elle, s’empale dans un long râle. D’un signe de la main elle appelle notre jeune homme et quand il est assez prêt l’attrape par le poignet en lui disant :
- « Viens ! Ma bouche est meilleure que ta main. »
Son pantalon gris de travail, est maintenant grand ouvert laissant apparaître sa bite entièrement. Entouré d’un toison brune, son sexe de belle taille, est presque recouvert au niveau du gland d’une calotte de peau que ma femme lui dégage de deux doigts dans un geste étonnant de précision compte tenu du fait que je la pilonne de plus en plus fort. Ma pénétration n’est pas très profonde mais j’ai le sentiment que Christelle est en train de s’envoyer en l’air. Engouffrant la bite maintenant bien dure du chauffeur elle l’astique de la main et l‘aspire en même temps. Il ne faut malheureusement que quelques minutes pour qu’elle soit abreuvée du sperme de cet inconnu. Il se vide en plus avec un cri qui est suffisamment explicite pour que le jeune couple de tout à l’heure le remarque et ne le regardent interloqués.

- « Je suis désolé ! » bafouille-t-il, en rengainant son matériel tout penaud.

- « Ce n’est pas grave. » lui répond ma femme et à mon adresse :
- « Continue ! »
Je ne me fais pas prier et nous finissons par jouir au bout de quelques minutes d’intense va et vient. Christelle s’écroule en avant dans un souffle et je me vide en sentant mon sperme jaillir en elle.

- « Tu t’appelles comment ? » demande-t-elle au jeune camionneur.

- « Kevin.» lui répond-t-il.

- « Et bien merci Kevin ! Fais bonne route et sois prudent ! »
- « Merci Madame » lâche-t-il en nous tournant le dos tout en remettant son tee-shirt dans son pantalon.

- « Madame ?! Le petit con ! Je pourrais être sa mère d’accord, mais le « madame » est de trop » fait-elle en se retournant après m’avoir quitté.

Sa main retient tant bien que mal mon sperme en elle. Je lui attrape un mouchoir dans la boîte à gants. Elle me sourit, se penche vers moi et me sourit :
- « Merci mon chéri ! »
À mon tour je lui réponds :
- « De rien Madame » et elle éclate de rire…
Le jeune couple a remballé chienchien et bébé et nous sommes maintenant seuls sur l’aire de pique-nique. Nous nous accordons quelques minutes de pause, mais pas plus… nos amis nous attendent et avec eux d’autres surprises… Le week-end commence bien !

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