Le joli mois de mai. deuxième partie. - histoire érotique

Le lendemain matin nous émergeons petit à petit et très naturellement nos couples reconstitués ont retrouvé leurs salles de bains respectives. Le petit déjeuner est l’occasion de nous remémorer cette nuit délirante. Nos amis depuis si longtemps, sont devenus nos amants contre toute attente. Lisa et Seb ont autant apprécié ces moments torrides que nous. Il n’est qu’à voir leurs regards se poser sur nous pour le comprendre. Notre repas est vite expédié et nous avons tous envie de recommencer à baiser ensemble. C’est Christelle qui reprend l’initiative et qui me demande de la suivre, mais loin de se contenter de ma seule personne, elle invite Sébastien à nous suivre en disant :

- « Maintenant j’ai envie de vous deux ! Lisa tu me prêtes ton mari ? Ce que j’ai vu hier soir me donne envie de les sentir tous les deux au fond de moi ».

Sans attendre de réponse, elle se lève, fait glisser sa petite robe à ses pieds et grimpe à l’étage en nous offrant une vue magnifique sur son corps que nous allons prendre tous les deux.
Nous entrons après-elle et tombons littéralement en arrêt devant ce que nous voyons : ma femme à quatre pattes nous présente sa croupe offerte. Nous avons tellement, elle et moi, fait l’amour en imaginant cette scène, que naturellement je glisse à ses côtés et qu’elle vient s’empaler sur mon sexe déjà bandé. N’y tenant pas plus que moi, Sébastien saisit la capote que Christelle lui tend et commence à approcher son sexe large au bord du petit trou qui lui est donné. Je sens sa bite entrer alors que moi-même je commence mon va et vient dans le sexe de ma femme. Quand elle sent notre ami la prendre, Christelle a un mouvement de recul tant il est gros et je vois dans son regard une lueur que je ne lui connaissais pas, faite de surprise, de crainte et d’amour.

- « Comme c’est bon ! » me dit-elle dans l’oreille et elle m’embrasse avec fougue.

Nos deux bites commencent à la pilonner d’abord alternativement : j’entre en elle quand il sort son sexe et inversement. Ma femme nous accompagne avec des gémissements explicites qui nous poussent à continuer. Sans nous concerter Seb et moi commençons maintenant à la pénétrer dans un même mouvement ce qui décuple son plaisir. Elle commence à crier maintenant de plus en plus fort et nos bites s’enfoncent sans la ménager. Sébastien jouit juste après elle. Leurs cris se confondent et je sens les spasmes de son sexe qui se vide. À mon tour j’éjacule en longs jets.
Cette scène de baise n’aura duré que quelques minutes mais aura été d’une intensité folle. Ce n’est qu’après avoir repris nos esprits que nous entendons la petite voix de Lisa qui nous dit :

- « C’est dans la boite ! »






Effectivement dans l’entrée de la chambre nous la voyons comme nous l’avons laissée, mais entre-temps elle avait attrapé au vol son appareil photo numérique et sur la position camera, avait immortalisé toute la scène.

- « Je suis restée un peu trop concentrée sur ce que je filmais, mais maintenant je crois que j’aimerais beaucoup me caresser en regardant un film de cul en votre compagnie… »

- « Bonne idée, je vais chercher les câbles et on visionne le tout dans le salon » rebondit Sébastien déjà debout, qui s’empare de l’appareil en embrassant sa femme.

Le week-end que nous envisagions très cool avec nos amis virait à l’orgie. Seb et Lisa se révélaient des amants merveilleux et visiblement tous deux étaient comblés par nos jeux sexuels. Après avoir été filmés à notre insu par Lisa, nous nous retrouvons visionnant la scène. Ma femme, Sébastien et moi devenus acteurs involontaires d’une scène de cul digne des meilleurs porno : tous les deux en train de lui faire l’amour, la pénétrant avec fougue par devant et par derrière, lui permettant de vivre son fantasme le plus fou.

Les images de nos ébats sur l’écran plat de leur salon avec le son du home cinéma font leur effet et Christelle assise entre Seb et moi sur le canapé, s’est emparée de nos deux bites pour les masturber consciencieusement. Lisa semble, elle perplexe à la vue du sexe de son mari pénétrant dans le petit orifice de ma femme. Elle est assez réservée sur la sodomie mais à voir sa langue qui humecte ses lèvres, tout cela lui fait quand même de l’effet. Ma femme nous astique tous les deux jusqu’à ce que, arrivés au maximum de nos possibilités, elle sollicite son amie pour lui apporter de l’aide. Alors qu’à l’écran la bite de Seb prend ma femme, Lisa nous rejoint sur le canapé pour me sucer et Christelle s’occupe de Sébastien. Le son mêlé du film et de nos gémissements remplit le salon et il faut fermer les fenêtres pour ne pas rameuter tous les voisins. Lisa en profite pour prendre dans une commode d’autres capotes. Elles vont vite servir…
Je nous vois en train de baiser en 16/9ème et devant moi notre amie est accroupie pour m’enfiler un préservatif. Elle se déshabille complètement et m’apparaît encore plus belle. Son corps mince, sa taille fine et ses petits seins dressés, me font véritablement craquer tout comme son sexe à la toison bien épilée, gonflé de désir et son clitoris qui luit, prêt à être léché, sucé, aspiré, mordillé.
Elle vient en face à moi s’empaler sur mon sexe et sans me quitter du regard va et vient, ses cheveux bruns roulant sur ses épaules, se mordant la lèvre pour retenir les mots qu’elle a envie de dire, mais que le plaisir aidant elle lâche :

- « C’est bon !… Et toi tu aimes me baiser ? »

Il y a dans son regard noir une détermination, une effronterie extraordinaire. Elle que je connais si posée, mère attentive de ses deux charmants bambins ! Je baise une jolie salope, dont je n’imaginais pas le potentiel sexuel. Sous ses airs de jeune mère de famille Lisa est une bombe au lit.

- « Et comment ! Mais tu rates une partie du spectacle » dis-je en désignant la télévision.
S’arrêtant, elle se lève alors, me tourne le dos et à califourchon reprend ma bite dans sa main pour la guider dans son sexe en feu. Elle reprend ses mouvements alors que je lui pince les seins en l’embrassant dans le cou, en léchant le lobe de ses oreilles, provoquant des gémissements de plus en plus intenses.
Seb et Christelle eux s’activent également sans rien perdre de la vidéo. Un pied au sol l’autre sur l’accoudoir du canapé elle se fait fouiller le sexe, tout en se caressant. Notre ami la fait aller et venir sur son sexe toujours aussi imposant en la tenant par la taille. Son corps tendu m’excite. Ses seins balancent en rythme avec leur pointe durcie et son bassin accompagne les mouvements de notre ami.
Nos exploits précédents nous ont quelque peu diminués et la jouissance est plus longue à venir pour nous les hommes, mais les filles, elles, se mettent à crier presque ensemble. Lisa jouit la première, suivie de ma femme et comme nous n’arrêtons pas de les pilonner, ce premier orgasme est suivi d’un deuxième pour Christelle. La vue de son corps pris devant et derrière, affiché plein écran et la présence de ce gros sexe en elle décuple son plaisir. Peut-être aussi ma présence à côté d’elle admirant ce spectacle inédit.
Épuisé, je rends les armes mais Lisa ne s’en laisse pas compter. Elle ne veut pas être en reste et est, elle aussi, déterminée à jouir encore. Elle connaît maintenant mes talents et debout face à moi elle m’offre son sexe pour un cunnilingus. Je n’ai aucun mal à la faire jouir encore et elle est prise de spasmes violents lors de ce nouvel orgasme. Mêlant les rires et les larmes, cherchant à reprendre sa respiration elle se laisse tomber sur moi et, me prenant le visage entre les mains, elle m’embrasse. Ses lèvres brûlantes sont avec son orgasme le plus beau moyen de me remercier.

Le film de notre partie à trois tourne en boucle sur la télé mais nous n’y prêtons plus attention.

- « Et notre jogging ? » demande Seb.

Nous acceptons volontiers sa proposition. Le temps, beau et frais se prête à une activité sportive en extérieur. Tout autour de nous coulent des rivières dont les berges sont aménagées pour la balade et le jogging. Chaussés et habillés pour la circonstance, nous quittons la maison à petites foulées en guise d’échauffement. Les filles empruntent un parcours de sept kilomètres, Seb et moi les rejoindrons plus tard après une boucle plus longue. Leurs jolis culs se dandinent devant nous, mis en valeur par le pantalon de yoga de Lisa et le short de Christelle. Quand elles bifurquent à une intersection pour nous laisser faire notre boucle, elles nous adressent des baisers et reprennent leur discussion et leurs foulées légères.

Nous les retrouvons sur une aire aménagée après une douzaine de kilomètres. Détendues, en train de s’étirer les jambes sur les bancs, d’un coin pique-nique, les joues rosies par l’effort, elles sont vraiment très jolies dans leurs tenues de sport. Je trouve dans le sac à dos de Lisa de quoi nous réhydrater et...des capotes... Quand j’en sors une faussement étonné, Lisa me propose de la tester avec elle.

- « Là tout de suite ? »

- « Pourquoi pas ? Il n’y a personne... »

À l’idée de replonger à nouveau au plus profond de cette petite coquine, je sens mon sexe se cambrer dans mon short. Mon trouble est visible et, quand elle se rapproche, elle vérifie encore une fois l’effet qu’elle a sur moi. Aussi discrètement que le permet notre environnement, elle plonge sa main un peu froide dans mon short et s’empare de ma gaule naissante. Loin de me calmer, la fraîcheur de ses doigts qui courent le long de mon sexe et saisissent mes bourses m’excite davantage.
À mon tour je me fais entreprenant et je me glisse entre son pantalon et sa peau. Je retrouve son clitoris qui frémit sous mes doigts. La capote que je brandissais à l’instant se retrouve glissée sur ma hampe et guidé par ses soins, je la prends assis sur le banc en bois brut. Le pantalon baissé elle se pose comme une fleur sur moi et commence à monter, descendre comme une enfant sautant « à dada » sur mes genoux. De loin notre activité peut passer pour normale, mais nous guettons le chemin duquel peuvent surgir à tout instant promeneurs ou sportifs. Notre excitation est à son comble quand Lisa entre deux sauts de cabri sur ma verge, me lance :

- « Le bon air fait du bien à tout le monde on dirait... »

Et d’un coup de menton elle me désigne Christelle et Sébastien un peu plus loin sur notre gauche qui baisent appuyés contre un arbre. Ma femme dos calé contre le tronc emprisonne son amant avec une jambe. Son short n’est même pas baissé. Juste écarté, il laisse par cette échancrure assez de place à la verge de Seb pour la posséder. Deux mains crispées empoignent le tee-shirt de Seb pour le plaquer contre elle à chaque pénétration. Leur manège, beaucoup moins discret que le nôtre, nous expose un peu trop mais je sais que Christelle trouve le danger excitant. De toute façon, à les entendre eux aussi vont vite prendre leur pied.
La vue que j’ai et les sensations que me procure le vagin de Lisa autour de ma bite commencent à avoir raison de moi et je jouis un peu trop vite pour ma partenaire qui n’a pas le temps de me rejoindre.
Essoufflé, je suis contraint de me poser un peu ce qui permet à Lisa de venir s’asseoir sur la table face à moi cette fois en me présentant son sexe gonflé après notre cavalcade. Je me débarrasse de mon préservatif plein de sperme et plonge avec délice dans sa toison humide pour la faire jouir avec ma langue. Elle se laisse emporter cette fois et ses petits cris se mêlent à ceux de Christelle balayée elle aussi par le plaisir sous les coups de Sébastien. Lui aussi rejoint ma femme en se vidant en elle. Ses fesses se contractent à chaque giclée, pour finir comme crispées dans un dernier spasme.

Au bout du chemin déboule un tout petit sur un tricycle. Il s’arrête de pédaler, nous observe avant d’être rejoint par ses parents. Nous avons juste le temps de nous redonner une bonne contenance : Christelle et Seb jouant les chastes amoureux appuyés contre un arbre et Lisa tirant comme elle le peut sur son tee-shirt pour cacher ses petites fesses roses. Nous devons quand même paraître un peu bizarres aux promeneurs que nous saluons poliment mais qui nous regardent d’un air circonspect. Nous l’avons échappé belle mais cela valait le coup à voir le visage radieux de mon épouse posé sur l’épaule de l’homme qui vient encore de la faire jouir.

Nous ne sommes que samedi midi et tout ce que nous entreprenons depuis la veille au soir finit en occasion de faire l’amour…Nous reprenons le chemin de la maison en marchant. Accompagné d’un bon rosé de Provence, le barbecue traîne en longueur tout l’après-midi. Nous nous accordons une sieste réparatrice sur la terrasse, simplement vêtus d’un short ou d’un boxer. Les filles offrent leurs seins nus à leurs amants et aux rayons du soleil.

Quand Il commence à baisser à l’horizon, Seb nous propose de faire une ballade pour nous changer les idées avant de repérer un restaurant en ville pour ce soir.