Le joli mois de mai - troisième partie.

- Par l'auteur HDS Krispas -
Récit érotique écrit par Krispas [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Le joli mois de mai - troisième partie. Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-03-2016 dans la catégorie Plus on est
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Le joli mois de mai - troisième partie.
Nous partons en voiture et nous garons sur un parking quelques kilomètres plus loin. Ayant mis des tenues plus adaptées mais ne mettant pas moins leurs formes en valeur, les filles circulent maintenant bras dessus bras dessous, quelques pas devant nous. Sous leurs robes légères nous savons les trésors qu’elles ne manqueront pas de nous offrir encore.
Avant de trouver un restaurant, nous décidons de nous installer à la table d’une brasserie assez chic, en terrasse. Les filles assises côte à côte rient de nos blagues et se rapprochent physiquement, leurs mains se frôlent, Lisa passe ses doigts dans les cheveux bouclés de Christelle ce qui reste un privilège rare qu’elle n’accorde qu’a de rares personnes. Mais après ce que nous venons de vivre, Lisa fait vraiment partie de son cercle le plus intime maintenant. Après avoir commandé à une jeune et jolie serveuse de quoi nous rafraîchir, les filles se mettent à se peloter de manière discrète au début puis de plus en plus visible. Une main plongée sous la robe titille le sexe de l’autre. La jeune serveuse revenant avec notre commande reste bouche bée devant le petit jeu de nos deux femmes. Debout à quelques centimètres de Lisa, le plateau à la main elle ne manque rien de leur activité en déposant nos verres. Amusées nos coquines la regardent en souriant, comme pour l’inviter à se joindre à elles. Mais tournant les talons, elle repart vers le bar sans en demander plus. Dans sa jupette ses fesses rebondies balancent et on devine la fine marque d’un slip brésilien qui souligne ses formes. Tout le temps que nous passons dans l’établissement, elle observe notre table à chaque occasion, Seb se demandant même si à un moment, cachée derrière le zinc elle ne se caresse pas elle aussi. Nous ne le saurons jamais car le temps s’écoule et nous voulons passer à table assez vite. Affamés certes mais aussi désireux de nous retrouver au lit tous les quatre.

Le restaurant choisi offre une carte simple, de bon goût et quelques vins alléchants servis au verre. La déco très design est soignée, le personnel efficace et discret. Je commande un Sancerre blanc en apéritif, les filles ne se refusant rien commandent une coupe de Champagne. Seb recherchant des sensations plus corsées choisit un puissant Caramany.
En demandant un coin calme pour quatre personnes nous ne pensons pas être aussi bien placés par le maître d’hôtel. En mezzanine, se trouve une alcôve parfaite où nous serons tranquilles. Une table ovale épouse les contours d’une banquette confortable. Au mur un grand miroir baroque plonge ses reflets vers nous. Le serveur, qui nous précède dans les escaliers nous glisse, plein d’humour, que de là-haut nous avons une vue imprenable sur la mer !

De l’autre côté de la salle, sur une autre mezzanine beaucoup plus grande, d’autres tables attendent leurs convives. Petit à petit la salle se remplit et entre chaque plat voire entre chaque bouchée, nous profitons de notre isolement pour caresser notre voisine ou nous laisser caresser. Jongler avec les allées et venues du personnel nous servant ajoute du piquant à nos jeux. Garder mon sang froid, face au serveur qui nous apporte notre plat alors que ma voisine me branle l’air de rien est un exercice très excitant. Nous manquons quand même de nous faire pincer quand Lisa surprend Christelle en glissant son pied nu sous sa jupe en présence du serveur. Son petit cri de surprise passa pour de l’enthousiasme à la vue du dessert. Elle qui n’aime pas les desserts !


Le repas s’écoule en douceur et, le moment de l’addition venu, je descends régler. Je patiente devant la caisse que les clients précédents règlent leurs consommations et dans mon dos une voix masculine, me demande si le repas s’était bien passé. Je me retourne et mon regard croise celui d’un homme d’une bonne cinquantaine d’années, très élégant, accompagné d’une très jolie blonde, l’œil pétillant de malice. Je me rends compte à cet instant que nos petits jeux coquins n’avaient pas été aussi discrets que nous le croyions. Sans me démonter je les regarde tous les deux avec un grand sourire et les assure que oui, tout était très bon.

- « Effectivement il y a un très beau choix ! » ajoute la jolie blonde.

- « Et tout est très appétissant ! » renchérit l’homme.

Je les remercie, paie la note et prend congé en les saluant. S’effaçant le couple me souhaite une bonne soirée et la femme me dit :
- « À bientôt peut-être ? »
Je retrouve Christelle, Lisa et Sébastien et je leur explique la situation.

- « Tiens, tiens ! Et ils sont comment ? » me demande Lisa.

- « Lui : très classe, la cinquantaine élégante, svelte, cheveux courts poivre et sel, visage assez émacié, quelque chose entre Vincent Cassel et Georges Clooney en plus mince. Elle ? : la blonde qui va avec, plantureuse, très grande, très bien foutue, jolies jambes, escarpins, tailleur, chemisier, maquillage parfait… La classe quoi ! »
- « Pas comme nous… » risque Seb.

- « Détrompe-toi, nous étions visiblement tout à fait à leur goût…»
- « La blonde, je ne sais pas mais Georges et Vincent, moi ça m’irait bien ! » dit Christelle décidément insatiable.

Nous sortons du restaurant et prenons le chemin du retour à pied. Nous tenant par la taille, Lisa et moi marchons devant, Seb et Christelle sont ensemble juste derrière nous. Arrivés sur le parking nous allons monter en voiture quand une berline au ralenti s’approche. La vitre du passager se baisse et la jolie blonde du restaurant se penche et nous dit :
- « Re bonsoir !... Nous nous sommes dit mon mari et moi que nous aimerions beaucoup finir notre soirée en bonne compagnie… Nous avons une chambre à l’hôtel Royal pour le week-end. Voulez-vous partager un peu de Champagne et faire plus ample connaissance ? Je m’appelle Valérie. » Elle tenait à bout de bras deux bouteilles de Mumm cordon rouge.

- « Et je m’appelle Nicolas, ajoute le « sosie » de Georges, en se penchant à son tour vers nous. »
- « Pourquoi pas » dit Christelle.

Lisa se détachant de mon bras s’approche de la voiture et ajoute :
- « Je suis Lisa, vous connaissez déjà Pascal, voici Christelle et Sébastien mon mari. On vous suit en voiture, l’hôtel Royal c’est celui de la place de la victoire ? »
- « Celui-là même » acquiesça l’homme en me regardant. « J’ouvre la marche… ne vous perdez pas en route, ce serait très dommage… »
Déjà les filles étaient dans la voiture et Seb démarrait.

Il ne faut que quelques minutes pour rejoindre l’hôtel et nous trouvons facilement une place dans la rue qui mène au parking clients où s’engouffrent nos nouveaux amis. La personne chargée de l’accueil, occupée avec une de ses collègues à discuter, ne semble pas surprise de voir monter six personnes. L’ascenseur est rapide et nous avons à peine le temps d’échanger quelques banalités sur les prestations de l’établissement. Nicolas passe devant nous pour ouvrir la porte de la chambre et en refermant derrière lui nous propose de nous mettre à l’aise. Un petit canapé deux places, un fauteuil et une sorte de bureau forment un « espace salon » et le lit immense juste à côté n’attend plus que nous. La place de la victoire est calme ce soir. La soirée risque d’être plus mouvementée que prévu.

Nos nouveaux amis nous expliquent que rien ne leur a échappé de nos petits jeux lors du repas car un peu en retrait, ils bénéficiaient d’une vue imprenable sans être vus grâce au miroir de style rococo qui se situait à notre gauche.
- « Votre complicité fait plaisir à voir. Jusqu’à ce que Lisa ne vous présente tous, nous étions persuadés qu’elle était la femme de Pascal ! »
Tout en nous servant une coupe, Valérie nous demande :
- « Vous vous connaissez depuis longtemps ? »
Et Lisa lui répond :
- « Oui, mais nous ne baisons ensemble que depuis hier. »
- « J’ai une certaine idée de la vigueur de vos sexes messieurs, mais j’aimerai voir de plus près cette fois ces bites le long desquelles s’agitaient les mains de vos femmes. » fait Valérie avec une moue gourmande.

- « De mon côté je ne demande qu’à faire plus ample connaissance avec ce que j’ai entraperçu sous les robes de ces dames.» rajoute Nicolas…
Il se lève et entreprend de déshabiller ma femme en ouvrant les boutons de sa robe, il en écarte les bretelles et découvre les superbes seins de ma femme qu’il se met à caresser. Christelle à son tour lui déboutonne la chemise et défait la ceinture de son pantalon de lin. Épilé et bronzé intégralement, son corps est très beau, ses abdominaux bien dessinés et en dessous commence à se dresser sous les doigts de ma femme une colonne impressionnante.

Pour accélérer son érection, Lisa se joint à elle et l’entreprend également avec gourmandise. À elles deux, elles sucent alternativement Nicolas qui fait aller et venir les bouches de nos femmes sur son sexe en imprimant à leur tête un long mouvement d’avant en arrière.

- « Doucement mesdames ! » dit-il, « il y en aura pour tout le monde… »
Valérie et Sébastien debout tout à côté, s’embrassent goulûment. Elle est plus grande de vingt bons centimètres et doit se pencher un peu pour mélanger leurs langues, par contre sa main experte est à la bonne hauteur pour saisir sa bite et faire jouer ses doigts fins dessus. Seb trouve la fermeture à glissière de la jupe qui tombe dans un bruissement soyeux sur la moquette. Un porte-jarretelles blanc apparaît autour d’une taille fine, sur des jambes fuselées magnifiquement bronzées. Ses bas ajoutent encore une touche très sexy à notre nouvelle partenaire. C’est au tour du chemisier de disparaître et de dévoiler une poitrine qui, comme je l’avais deviné, défiait la pesanteur. Bien droits, deux obus de bronze, pointent vers la bouche de Sébastien qui n’a que peu d’effort à faire pour les atteindre.

Captivé par ce qui se déroule autour de moi, je m’efface et, assis sur le petit fauteuil, commence à me branler doucement. Jetant un regard sur le lit, je retrouve notre étalon dont la queue, sous les langues de ses maîtresses du moment, me semble encore plus grosse. Lisa le pousse gentiment sur le dos et vient le chevaucher en s’asseyant sur sa poitrine. Elle lui présente ainsi son sexe ouvert qu’il commence à caresser d’une langue agile alors qu’elle se caresse les seins. Christelle prend avantage de la situation et, après lui avoir enfilé une capote sortie de son sac à mains, vient à son tour se placer sur lui et s’empale sur cette colonne énorme. Son regard fiévreux la trahit et elle l’engloutit sans difficulté tant son excitation est grande. Les soupirs qu’elles poussent toutes les deux me stimulent et je quitte ma position de voyeur pour me joindre à eux sur le lit. C’est à ma femme que je présente ma bite tendue pour qu’elle la suce. Prise dans sa bouche et dans sa chatte, elle ferme les yeux de plaisir. Nicolas s’avère être un amant hors pair puisque Lisa, jouit dans des râles impressionnants, la langue de son partenaire effectuant entre ses deux orifices un ballet diablement efficace. Attirés par les cris de Lisa, Valérie et Sébastien nous rejoignent. Et c’est ainsi que Nicolas caresse de sa langue Lisa en pénétrant Christelle qui elle-même me suce. Pendant ce temps Valérie, tout en caressant les seins de Lisa se fait prendre par Sébastien. Le lit extra large est bien vite totalement occupé.
Décidément très résistant, après avoir fait jouir Lisa de sa langue, c’est au tour de Christelle de succomber aux assauts de Nicolas. Quand elle roule sur le côté le sexe encore palpitant du plaisir qu’il vient de lui procurer, elle se fait immédiatement remplacer par Lisa qui veut à son tour goûter à ce gode vivant qui parait d’autant plus gros pour son corps menu. Elle m’offre donc à son tour sa bouche et me caresse divinement tout en prenant son pied, transpercée par une véritable colonne de chair. Rapidement je me vide longuement et elle avale tout mon sperme avec ce sourire que je lui connais maintenant quand elle est comblée.

C’est Valérie qui s’occupe de ma femme et qui l’encourage à faire de même avec elle. Tête bêche, elles se lèchent le minou toutes les deux explorant avec délice et curiosité les moindres replis de leurs sexes humides. Ma femme semble prendre autant de plaisir à se faire caresser qu’à apporter du plaisir à cette délicieuse blonde que Sébastien a abandonné après avoir joui de manière spectaculaire en se branlant jusqu’à éjaculer sur ses seins.
Je m’éloigne avec lui et nous nous servons à nouveau une coupe de Champagne, sans rien perdre de l’orgie qui se déroule devant nous. Nicolas s’est maintenant redressé et, placé derrière Lisa, la prend en levrette. À chacun de ses assauts elle pousse un gémissement qui en dit long sur le plaisir qu’il lui donne. La tête enfouie dans un des oreillers, les mains crispées au bord du lit, elle subit les mouvements de cette bite qui la pilonne presque mécaniquement de plus en plus vite et de plus en plus fort. Lui aussi commence à sentir le plaisir monter et dans un grand mouvement se retire, arrache son préservatif et gicle sur les fesses de sa partenaire qui va en grognant de plaisir s’allonger épuisée, le regard perdu, dans le petit canapé. Nous l’avons perdue pour quelques temps.

Imperturbables, les deux rescapées de notre partouze, continuent à se caresser, emboîtées l’une contre l’autre, frottant frénétiquement leur vulve contre celle de leur partenaire, excitant ainsi leurs clitoris dans une série de gémissements sensuels. Ma femme fait l’amour à une autre femme, sous mes propres yeux.

Tous les trois nous admirons cette scène torride et machinalement nos mains empoignent nos sexes et nous recommençons à nous masturber, reprenant petit à petit de la vigueur. Nous voyant nous astiquer, ces deux amazones, l’une aussi blonde que l’autre est brune, cessent leurs caresses et nous proposent de les rejoindre. Ma femme me proposant de la partager avec mes deux congénères. Ainsi je me retrouve à enculer mon épouse, pendant que Nicolas la prend et qu’elle fait une fellation à Sébastien. Prise de partout elle s’acquitte de son rôle avec enthousiasme nous encourageant entre deux coups de langue par des cris de plus en plus forts. Deux fois elle jouira sous les assauts conjugués de ces hommes qui se sont relayés au plus profond de son intimité.

De mon côté je laisse ma place à Seb qui s’en donne à cœur joie et j’entreprends à mon tour l’ascension de Valérie que je n’ai pas encore honorée.
Son sexe chaud, m’accueille bien vite et pendant que je la transperce, elle se caresse le sexe en décrivant sur ses lèvres et son clitoris des mouvements frénétiques. J’ai les yeux fixés sur le balancement de ses seins qui bougent au rythme de mes allées et venues. Elle jouit en m’attrapant par la taille et en y plantant ses ongles carmin. Je garderai ce souvenir sur ma peau plusieurs jours.

- « Branle-moi avec tes seins » lui dis-je.

Elle s’exécuta avec gourmandise me prodiguant une cravate de notaire impeccable. Maintenant assise au bord du lit, jambes écartées, moi debout plaqué contre elle je vois mon gland disparaître entre les deux globes superbes de cette experte. Je me vide, trop vite à mon goût, sur sa poitrine dans un spasme violent qui projette mon sperme jusque dans ses cheveux.

Les jambes coupées je regarde autour de moi et vois mes amis, cet homme que je ne connaissais pas deux heures plus tôt et ma femme de nouveau entraînés dans une sarabande de langues enchevêtrées, de doigts inquisiteurs, de caresses voluptueuses et de sexes gourmands qui ne cessera que tard dans la nuit, faute de combattants et de Champagne.

Nous avons pris congé de nos hôtes au petit matin. Nicolas me laissant une carte de visite professionnelle en me demandant de le rappeler dès nous avons l’occasion de passer par Bordeaux où ils résident. Nous reprenons la voiture de Sébastien et Lisa en direction de leur maison. Dans la même tenue qu’hier soir, nous apprécions l’air frais de ce matin de mai. Notre orgie à six, nous permet de n’avoir plus aucun secret les uns pour les autres, tout au moins pour ce qui est de nos goûts en matière de sexe. Mon adorable épouse est d’humeur joyeuse, pleine de gaîté, après ces heures de « voltige à plusieurs ». Lisa, elle aussi guillerette, manifeste sa joie de vivre en souriant à son mari et en l’embrassant tous les deux mètres. J’ai moi aussi le sourire aux lèvres à l’évocation de cette partie fine incroyable, avec nos amis et ce couple très beau que forment Valérie et Nicolas. Experts en amour, ils nous ont fait partager des moments intenses que nous n’oublierons pas de sitôt. Après un arrêt à la boulangerie pour nous ravitailler en croissants, brioches et pains frais, nous retrouvons nos quartiers du week-end.
Notre petit déjeuner est l’occasion de nous exprimer sur notre ressenti. Christelle nous avoue avoir joui comme jamais quand tous les trois nous l’avons pénétrée en même temps. Elle revit encore en nous décrivant la scène son orgasme :
- « Vous sentir tous les trois en moi !...Nicolas est vraiment un amant extraordinaire et quand il m’a prise par derrière en même temps que toi Seb, mes sensations étaient encore plus fortes que ce que j’avais imaginé lors de mes rêves érotiques les plus dingues. »
- « J’ai adoré baiser avec lui moi aussi ! » rajoute Lisa. « Seb, je te dirai comment il m’a fait jouir, sa langue passant de mon sexe à mon anus, ses doigts jouant avec mon clito, c’était très bon. »
Je me remémore à mon tour, les moments pendant lesquels Valérie et moi avons vécu d’incroyables moments d’extase. Son corps superbe, qui ferait bander un eunuque, ses longues jambes, ses seins parfaits, ajoutés à son savoir-faire me font de nouveau bander rien que d’y penser.
Sébastien de son côté avait eu l’occasion de sodomiser chacune des trois femmes présentes, sa propre épouse s’étant laissée convaincre de se laisser prendre, préparée par les caresses savantes de Nicolas.
Encore émoustillés par ces moments coquins, nous devons cependant penser à d’autres plaisirs, plus terre à terre. Le marché dominical est très réputé et nous ne manquons pas à chacune de nos visites de trouver quelques produits de grande qualité. Nous arrêtons notre choix de repas et décidons de nous faire un tartare de bœuf ce midi. De jolies pommes de terre en accompagnement et quelques fruits en dessert compléteront notre dernier repas ensemble. « Que boire avec ? », nous tient en haleine quelques minutes dans la cave jusqu’à ce que nous décidions de boire un cru bourgeois de Médoc.
Je m’abstiens de prendre l’apéritif, la route m’attendant. J’aurai les idées claires aussi pour ce que j’ai toujours en tête : Lisa ne s’est toujours pas totalement offerte à moi et j’ai bien l’intention d’obtenir d’elle ce que son mari et Nicolas ont eu le privilège de goûter cette nuit.

Pendant tout le repas je veille à resservir consciencieusement le verre de mes amis et de ma femme. Passablement éméchés, après le café, Christelle propose à tout le monde une sieste crapuleuse en guise de feu d’artifice.
Inépuisable, Seb se lève, commence à baisser son pantalon et sort son sexe déjà bien bandé pour que Christelle le caresse. Lisa se lève à son tour et se plantant devant moi, prend à pleine bouche le sexe que je lui présente comme une offrande. Elle me suce avec voracité et gourmandise. Je bande très vite sous le jeu de sa langue mêlé à celui de ses lèvres qui m’entourent. Je sens ses dents qui me titillent le gland alors que ses doigts courent frénétiquement le long de ma bite. Nous nous retrouvons bien vite nus et nos vêtements sont éparpillés partout dans le salon. Christelle et Sébastien sont maintenant en train de baiser sur le canapé comme si nous n’étions pas là. Je propose à Lisa de nous éclipser dans la chambre d’amis pour y continuer à faire l’amour. Elle me précède, lâchant comme à regret mon sexe qu’elle sait si bien faire grossir. Je ne perds rien de ce que je vois de sa croupe quand elle marche jusqu’au lit. À cet instant je suis plus que jamais déterminé à jouir entre ses fesses.
Arrivés au bord du lit elle se retourne, me sourit comme je l’ai déjà vue faire depuis vendredi soir. Je sais ce que cela signifie : « Je vais te donner du plaisir et tu vas m’en donner aussi ».
Assise au bord du lit, elle me reprend dans sa jolie bouche. Ses lèvres reprennent leur jeu autour de mon sexe, sa langue virevolte autour de mon gland, s’arrête sur le frein, m’aspire en creusant les joues et me déguste jusqu’à me libérer dans un bruit de succion humide. Ses doigts, courent pendant ce temps le long de ma bite : le pouce et l’index joints comme un anneau vont et viennent en me serrant juste assez fort. Je prends cette sensation exquise comme un avant-goût de son œillet que je forcerai tout à l’heure. Parfois elle m’entoure de toute sa main et tout en allant et venant effectue un mouvement du poignet qui décuple mon plaisir.
Le regard noir qu’elle me jette de temps en temps lui permet de mesurer mon excitation, pour savoir quand ralentir le rythme ou au contraire l’augmenter. Ses doigts fins aux ongles délicatement manucurés, courent ainsi durant de longues minutes absolument exquises et m’amènent juste au bord du plaisir, sans jamais me faire franchir cette frontière invisible entre le plaisir et l’orgasme. En dépit de sa jeunesse, Lisa s’avère être une suceuse de première. Afin de ne pas me laisser surprendre par la jouissance qu’elle m’amène à tutoyer, je ralentis son rythme effréné en lui prenant les cheveux de ma main droite, tout en imprimant à sa tête le mouvement de va et vient qui me permet d’apprécier l’agilité de sa bouche et de sa langue sans gicler trop tôt au fond de sa gorge. Elle m’engloutit ainsi à mon rythme, jusqu’à la garde sans rechigner et même en y prenant plaisir, comme me le montre son regard plein d’excitation.
Du salon, d’autres bruits nous parviennent, moins discrets, qui ne laissent aucun doute sur l’activité de nos conjoints. Nous percevons distinctement les sons qu’il émet lorsqu’il enfonce son sexe au plus profond de sa partenaire. Le rythme chez eux aussi varie entre des tempos rapides pendant plusieurs minutes et d’autres plus lents durant lesquels, leurs râles se font plus langoureux. Parfois les gémissements de ma femme s’interrompent et j’imagine qu’elle l’embrasse comme elle sait si bien le faire, avec sa langue à la fois douce et agile. Ils alternent eux aussi les plaisirs puisque c’est au tour de Seb d’émettre des commentaires très crus :
- « Oui, suce moi comme ça…vas-y c’est bon ! Suce ma bite, aspire-la, plus loin, plus loin… Oui comme ça c’est bon,… Attends… »
Aux sons que nous entendons, nous comprenons qu’ils changent de position et très vite les coups de butoir de Seb reprennent comme elle aime : - « Oooh ! Oui c’est bon comme ça, tu viens profond !… »
Le petit cri de surprise qu’elle a poussé à l’instant nous laisse penser que c’est par derrière qu’il la pénètre maintenant. Le rythme du claquement du bassin sur les fesses de ma femme nous révèle qu’il prend son temps pour profiter au maximum de l’étroit fourreau dans lequel il va et vient. J’imagine Christelle, prise en levrette, le dos cambré, la tête dans un des coussins du canapé, les deux mains écartant ses deux fesses musclées pour mieux s’offrir. Les sons étouffés qu’elle émet sont ceux qu’elle aura poussé à plusieurs reprise lors de ce week-end orgiaque prise par son mari, un ami et un inconnu, vivant là son fantasme le plus absolu.
Lisa tout en continuant à me branler, tend elle aussi l’oreille et comprend la même chose que moi. C’est elle qui prend alors la parole, en fixant ma bite sans cesser ses mouvements.

- « Tu vas me prendre par derrière toi aussi, j’en ai envie ! »
Joignant le geste à la parole, elle m’attire sur le lit, m’allonge sur le dos et vient me chevaucher. Légère comme une plume, elle me regarde alors qu’elle saisit mon sexe bandé dans sa main pour le présenter tout doucement devant son anus. Je sens son petit trou me résister. Je la prends par la taille de mes deux mains et la retiens lorsque mon gland commence à l’écarter. Maintenue ainsi, elle ne peut plus m’échapper. Ainsi tout doucement, je la pénètre. À mon tour de la posséder totalement, elle s’abandonne et c’est comme un tribut qu’elle m’offre.

- « Tu m’as donné tellement de plaisir depuis vendredi que je te dois bien ça. »
Et effectivement je la sens qui se relâche, me permettant de la prendre en douceur sur toute la longueur de mon sexe, dur comme jamais. Elle se colle à moi maintenant et ses seins écrasés contre ma poitrine, elle vient à ma rencontre. Nous nous rejoignons, l’un allant vers l’autre. Je la prends autant qu’elle se donne, l’un et l’autre faisant la moitié du chemin qui me permet de la prendre profondément. Je vais et je viens, lentement, laissant Lisa s’habituer à la présence de ce sexe qu’elle désire depuis si longtemps. Elle commence à se détendre de plus en plus et c’est avec douceur et détermination que je glisse entre ses fesses écartées. Son anneau étroit m’enserre comme ses doigts tout à l’heure, plus chaud, plus doux. Je sens sa respiration s’accélérer, son souffle de plus en plus court dans mon cou, mêlé de gémissements de plus en plus forts. Moi aussi, je sens bien que le plaisir monte et je ralentis pour ne pas jouir trop tôt.
Quittant ses hanches, mes mains encadrent son visage tendu par le plaisir et je la force à me regarder pour vérifier, mes yeux droits dans les siens, qu’elle aime sentir ma bite en elle. Ce que je vois ne me trompe pas : elle commence à prendre goût à la sodomie. Le passage que j’emprunte déjà ouvert par son mari et Nicolas durant notre orgie de la veille, se détend de plus en plus, jusqu’à ce qu’elle commence à manifester son contentement par des cris de plus en plus forts. Je suis en train de la faire jouir en l’enculant ! Effectivement comme je l’ai déjà vérifié durant ce week-end, pendant ses orgasmes elle se tend, retenant sa respiration, les yeux dans le vide durant les quelques secondes où elle quitte ce monde pour entrer dans le plaisir. Elle retombe essoufflée sur ma poitrine et je la laisse profiter seule de cet instant. Immobile, plongé en elle, le sexe palpitant, je patiente pour mieux profiter de cet instant. Ma maîtresse se rend compte de mon besoin de pause et me dit : - « Profites-en, je suis toute à toi et ça me plait de sentir ta bite dans mon petit cul. Tu veux jouir avec moi ? »
Et c’est donc à sa demande que je reprends mon va et vient. Mon rythme s’accélère, mon amplitude aussi. Je sors presque d’elle à chaque fois avant de replonger en la soulevant. Mes deux mains écartent ses fesses au maximum tout en les malaxant. Je sens ses muscles se contracter à mesure que je la pilonne. Elle aime, recommence à gémir, à me dire que c’est bon jusqu’à ce que n’y tenant plus je me vide à longs traits en elle. Mon sperme jaillit et la remplit dans une étreinte finale durant laquelle elle me rejoint en criant. Sans capote, toute ma semence contenue se répand dans cet étroit fourreau.
Reprenant nos esprits nous réalisons que dans l’embrasure de la porte ma femme et mon ami nous regardent sourire aux lèvres.

- « Et voilà, on ne peut pas vous laisser seuls cinq minutes tous les deux Heureusement qu’on n’est pas jaloux hein ? »
Après s’être tournée vers le mari de Lisa elle nous toise maintenant dans sa féminité offerte, nue, impudique et sublime. J’aime ma femme encore plus à cet instant.
Ils nous rejoignent tous les deux sur le lit et nos couples se reforment avec tendresse. J’entends Sébastien demander doucement à sa femme si c’était bon et je la vois plus que je ne l’entends exprimer dans un sourire ce qu’elle a ressenti en sentant mes saccades de sperme en elle.

- « Une bonne douche ça te tente ? » me demande Christelle sans malice.

Nous nous levons en direction de la salle d’eau flambant neuve que nous avons dignement inaugurée avant-hier. Nos amis nous rejoignent et sous l’eau chaude nous récupérons de nos ébats en nous caressant tendrement.

Après un café serré, le moment de rentrer chez nous, arrive et c’est à regret que nous nous séparons de nos amis. J’embrasse Lisa sur la bouche, son mari enlace ma femme, la plaque contre lui et avec une petite tape sur les fesses, lui dit :
- « On se revoit bientôt ? »
- « Je ne sais pas ! » répond Christelle dans un regard qui disait exactement le contraire.

En montant dans notre voiture en cette fin d’après-midi, nous échangeons un merci qui revêt plus de sens que d’habitude.
Ils disparaissent avec de grands signes dans le rétroviseur de la voiture. Bien vite sur l’autoroute, ma femme s’endort et je reste seul avec mes pensées et des idées de week-end à Bordeaux.

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