Le nouveau voisin 02
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-02-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le nouveau voisin 02
Le nouveau voisin 02
Quelques jours passaient encore, je me remettais de ma dernière poussée de honte et en rentrant chez moi je croisais mes deux voisins dans le couloir. Dylan m'invitait à boire un verre et Coraline appréciait l'idée.
La double porte qui donnait sur leur chambre était ouverte, et je comprenais du premier coup d’œil. Ils avaient mis le lit au milieu de la chambre. Forcément je n'entendais plus rien.
Dylan me montrait un fauteuil confortable, je me laissais tomber dedans. Il s'installait en face de moi sur le canapé. J'avais une bière dans la main et on trinquait.
– Je suis épuisée. Déclarait Coraline. Je vais aller prendre un bain. Puis elle disparaissait.
Je continuait à discuter avec Dylan, il travaillait dans … Heu je crois que j'ai oublié. Il venait de … Heu j'ai oublié aussi … Il est avec sa grosse , pardon je voulais dire sa compagne depuis … Heu je sais plus, j'ai encore oublié.
Bref, j'étais tellement sous le charme que mon cerveau était en surchauffe et ne fonctionnait plus normalement. Ceci dit ça n'avait rien de nouveau. Je regardais leur décoration, il y avait plein de photos sur les murs, des nus, des demis nus, des …
C'était lui et sa gonzesse !
Je sursautais et regardais les photos avec beaucoup d'intérêt d'un coup. Le torse musclé sur la photo au dessus de la télé, c'était lui. Sur la photo à côté, le profil c'était toujours lui, sur la suivante on pouvait le voir, toujours avec des éclairages rasants, en nu intégral de face, il était beau, on voyait parfaitement son sexe, il était encore plus beau que je l'avais rêvé. Une bulle de bière avait du mal à passer dans ma gorge et ma bière commençait à mousser, ou alors c'était une montée en température.
La photo suivante montrait sa copine, en nu intégral aussi, je passais à autre chose … Et dans l'ouverture de la porte c'est sa copine qui apparaissait, entièrement nue, le visage dans la serviette elle s'essuyait les cheveux. Ma bière a débordé. En quelques secondes il me tendait un tissus pour essuyer, et en plus il rigolait.
Elle était à poil, enfin à poil, son corps était entière épilé, sa peau était lisse. J'en profitais pour revenir sur les photos du mec, lui aussi était entièrement épilé. Je suis observateur remarquez, j'avais noté le détail à la première rencontre.
Elle s'installait sur le canapé, juste à côté de mon voisin. Distraitement il lui caressait la cuisse, elle lui donnait un baiser. D’où j'étais je pouvais admirer toute son anatomie. Enfin c'est ce que certains auraient fait, moi je jetais un œil distrait.
– Tu peux regarder tu sais ! Me disais mon voisin en glissant une main entre les cuisses de sa copine.
J'avalais ma salive et tentais d'avaler une gorgée de bière mais je loupais ma bouche. Ils étaient pliés de rire et Dylan me tendait de nouveau le tissus pour m'essuyer.
J'avais pas l'air malin, une fois de plus, mais je commençais à m'y habituer.
– Je le trouve mignon, on l'invite ? Demandait Coraline à mon voisin.
– C'est toi qui décide mon amour. Lui répondait Dylan.
Je fronçais un sourcil et relevait l'autre pour dissimuler autant ma perplexité que mon interrogation. Je n'étais même plus sûr de ce que j'entendais. Elle se mettait à genoux juste devant moi et commençait à m'ouvrir la chemise. Vous savez je suis très mignon, tous mes copains me l'on déjà dit mais ça n'avait malgré tout rien à voir avec mon voisin, lui c'était du super moi à côté je suis de l'ordinaire sans plomb.
Elle me caressait doucement avec le revers de la main, délicatement me donnait un baiser sur le téton. Ça me chatouillait. Bon, jusque là j'étais plus tétanisé que réellement excité. Je ne bandais pas du tout, il faut bien se dire qu'aucune fille n'a réussi à me faire bander. Par contre le regard, le sourire amusé de Dylan me faisait de l'effet.
Il retirait sa chemise. Oui je sais ils n'ont pas froid aux yeux mes voisin mais personne ici ne va s'en plaindre. Je pouvais enfin admirer la superbe anatomie de mon voisin. C'est là que j'ai commencé à bandé, c'est à cause de ça que j'ai bandé. Par générosité, pour ne froisser personne je laisserai croire à la petit blonde que c'est à cause d'elle.
Vous voyez je sais être charmant quand je veux.
Le torse de mon voisin était vraiment sexy, il avait une très belle tablette de chocolat qui en plus en avait la couleur. Sa compagne ouvrait mon pantalon, je soulevais les fesses pour l'aider, mais c'est son compagnon que je regardais je ne loupais aucun de ses mouvements, aucun des ses gestes. J'avais envie d'y toucher, j'avais envie de le caresser et ce sont ces pensées qui me faisaient bander.
Je me retrouvais avec le pantalon sur les chevilles et rapidement elle me l'enlevait totalement, j'étais nu. Elle s'écartait pour que son compagnon puisse bien me voir. Il me lançait un regard approbateur. Je bandais encore plus.
La petite blonde se penchait alors sur moi et prenait ma queue dans sa bouche. Je sentais sa langue qui tournait autour de mon gland. Mais ce qui me faisait vraiment bander, c'était Dylan.
Il se relevait et laissait sa chemise sur place. Puis bien en face de moi je le voyais ouvrir son ceinturon, puis son pantalon, il le baissait, se penchait en avant, quand il se relevait il repoussait son pantalon du pied et se montrait dans toute sa splendeur, il avait une superbe érection et comme je l'avais imaginé il en avait une belle. Une très belle queue qui se relevait bien droit, bien ferme, bien longue, bien large.
J'en bavais d'envie, j'en avais rêvé et moi aussi je bandais encore plus ferme en voyant ça. Ma queue entrait alors dans la bouche de Coraline elle s'enfonçait encore plus et finalement s'écrasait au fond de sa gorge. Mais c'est qu'elle savait y faire la petite. Aucune ne m'avais jamais fait ça. Remarquez j'avais jamais laissé une fille aller aussi loin.
Il y en avait bien une qui avait voulu essayer à une époque mais je m'étais vite sauvé en criant avec une voie suraiguë. Mais je préfère ne pas me rappeler. Là il y avait à porté de main, une queue digne d'un demi dieu …
– Tu l'enfiles ? Demandait Coraline à mon voisin.
J'étais sonné, je ne demandais que ça, je n'aurais jamais osé le demander et là, c'est comme si on me le proposait sans me demander … Avec beaucoup de douceur je lui caressais les cheveux. Je me relevais, il se glissait derrière moi, glissait son bras sur mon ventre, me caressait avec une incroyable douceur. Je me laissais aller, me penchais contre lui ma tête en arrière il m'embrassait sur l'épaule et dans le cou.
Je sentais son sexe, son énorme queue se relever entre mes cuisses. Je me sentais tout bizarre, tout fébrile, tout tremblant. Il refermait ses deux bras autour de moi et me serrait fort contre lui. Là je décollais, je me sentais léger, minuscule dans les bras d'un géant. Sa queue me soulevait les couilles et j'avais complètement oublié Coraline, elle s'était retirée et je ne l'avais même pas remarqué.
Les bras de Dylan glissaient sur mon corps. Ses mains glissaient sur mes couilles, me caressaient ma queue qui avait atteint sa taille maximale. Je bandais ferme, encore mieux qu'avec la petite. Progressivement je m'étais retrouvé à genoux sur le tapis sans même m'en rendre compte.
Je sentais un liquide froid sur mon cul. Il y avait une main de Dylan sur ma gorge qui ne tentait pas de m'étrangler, son autre mains sur le bas de mon ventre et … Ah oui j'avais oublié Coraline, elle a de la suite dans les idées la petite, c'est elle qui me lubrifiait le cul. Je laissais faire, elle glissait un doigt dans mon cul. Je ne regardais même pas ce qui se passait, je gardais les yeux fermés et je me laissais faire.
Dylan devenait plus directif, il me retenait avec sa mains sur mon ventre, appuyait sur mon dos pour que je me penche en avant, je me relevais et m'appuyais contre le dossier du fauteuil et là il me tirait vers lui et poussait en même temps sa queue dans mon cul.
J'ai hurlé ! J'ai hurlé mais je n'ai pas tenté de me dégager. Il poussait avec force mais sans pour autant brûler les étapes, c'est lentement que sa queue s'enfonçait. Je tremblait, je poussait des gémissements à la fois de plaisir et de douleur. Je ne vous raconte pas comment il me dilatait la rondelle. C'était terrifiant. Je ne tentais pas de me dégager mais je serrais les dents, pas le cul, dans cette situation je vous le déconseille.
Je sentais sa matraque s'enfoncer, je sentais mon cul se dilater, je sentais tout mon ventre se dilater également en même temps qu'il se remplissait. Je ne comprenais plus grand chose, mes voisins, les bruits contre le mur, ils avaient l'air de former un couple sérieux. Et moi dans les bras d'un demi dieu, et sa femme qui nous regardait, enfin je suppose qu'elle nous regardait. J'avais les yeux fermés, je faisait une grimace qui devait être à faire peur, j'avais du mal à respirer quand j'essayais, le plus simple à ce moment c'était de ne rien faire. Mais bon de temps en temps il faut bien respirer tout de même.
Il approchait de la limite, il atteignait la limite, je râlais il continuait à s'enfoncer, il dépassait la limite. J'étais sur le point de m'évanouir, là je vous jure que je n'oubliais plus de respirer au contraire, je respirais fort avec un râle dans la voie. Je gémissait, il continuait à s'enfoncer en moi et c'est finalement son ventre qui arrêtait tout au moment ou il s'écrasait contre mes fesses.
– Je t'avais dit qu'il allait aimer ! C'était Coraline, je ne savais pas ou elle était mais elle ne devait pas être loin.
– Eh oui, une fois de plus tu avais raison mon amour !
– Ça se voyait au premier coup d’œil que c'était pas moi qui l'intéressait !
– Et tu pensais qu'il prendrait ma queue bien à fond du premier coup.
– Là je dois dire qu'il m'impressionne.
Dylan me tirait vers lui avec force tout en me balançant des coups de bassin.
– Il encaisse vraiment bien, c'est un plaisir !
– AAAAAAH ! AAAAAAH!OOOOOoooOOOO !
Oui je sais mais je ne pouvais pas faire mieux là, j'aurais voulu vous y voir. J'en prenais plein le cul. Il se retirait et revenait avec violence. Je criais encore plus fort, puis il commençait à me limer le cul avec des petits mouvement puis des vas et viens plus amples et finalement il se retirait presque entièrement avant de revenir avec vigueur bien à fond .
Je m'effondrais, et si je restais en place c'est uniquement parce qu'il me tenait. Mes jambes tremblaient, il devenait violent. Oh il ne m'a pas frappé sinon avec son ventre contre mes fesses.
Il faisait une pose, sa queue bien installée dans mon cul. J'ai senti le corps de Coraline qui s'approchait, elle se glissait contre lui, il me lâchait et je tombais sur le sol. Mes jambes ne me portaient plus. Mais à ce moment j'ai ressenti un plaisir intense parcourir tout mon corps et ça à duré dans le temps, ça a duré, j'ai joui, j'ai éjaculé et je me suis replié sur moi même. Je me sentais bien.
Dylan passait un petit moment dans la salle de bain. Et quand il revenait Caroline glissait dans ses bras, je pouvais les voir, il se glissait en elle. Il s'allongeait sur le dos, et elle s'allongeait sur lui.
Suivaient des caresses, des câlins et de très violent coups de bassin. Et c'était parti, Coraline se redressait et chaque coups de bassin la soulevait comme si elle était sur le dos d'un taureau, ça ressemblait à une séance de rodéo.
Coraline hurlait, criait. Je reconnaissais les cris que j'avais déjà entendu et je me disais que finalement l'insonorisation était bonne. Je vous jure qu'elle criait fort la petite, et que en comparaison je n'entendais qu'un murmure de l'autre côté du mur.
Peu à peu je récupérait, je me sentais encore rempli, mais je me sentais bien maintenant. Mon cœur se calmait, mon esprit pas trop et je continuais à trembler. Mais ça allait mieux !
C'était au tour de la blonde de s'en prendre plein la chatte et d’où j'étais je contemplait la scène. Je ne bandais plus du tout. Je me posais bien des questions, je n'avais jamais imaginé me retrouvé là. Mais c'était bien. Je n'avais jamais imaginé que mes voisins soient comme ça. Mais je n'étais pas du tout déçu. Au contraire même.
Il leur a fallu un long moment, un très long moment. Ça je l'avais déjà remarqué, avec Dylan ça dure dans le temps et avec Caroline ça vaut mieux sinon elle resterait sur sa faim.
Finalement c'était une grosse cochonne.
Ils finissaient par se calmer, elle s'écroulait sur lui. Je la comprends, il est confortable.
– Tu sais, Charly, tu m'as épaté là, tu m'as épaté ! Disait Dylan.
– Bein c'est moi le plus surpris.
– On n'aurais jamais espéré avoir un voisin comme toi. Rajoutait Coraline.
Elle relevais son torse en s'appuyant sur son compagnon et en le regardant bien dans les yeux.
– Alors satisfait de cette fin de cycle ?
– Très satisfait. Lui répondait Dylan avec une voie douce.
Il était encore en elle, je pouvais le voir d’où j'étais, je ne pouvais pas savoir s'il bandait encore ou pas, dans tous les cas sa queue est grosse, même en position repos, elle est grosse alors …
Elle s'est relevée, il débandait et sa queue s'étalait lourdement sur son ventre.
A suivre
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Quelques jours passaient encore, je me remettais de ma dernière poussée de honte et en rentrant chez moi je croisais mes deux voisins dans le couloir. Dylan m'invitait à boire un verre et Coraline appréciait l'idée.
La double porte qui donnait sur leur chambre était ouverte, et je comprenais du premier coup d’œil. Ils avaient mis le lit au milieu de la chambre. Forcément je n'entendais plus rien.
Dylan me montrait un fauteuil confortable, je me laissais tomber dedans. Il s'installait en face de moi sur le canapé. J'avais une bière dans la main et on trinquait.
– Je suis épuisée. Déclarait Coraline. Je vais aller prendre un bain. Puis elle disparaissait.
Je continuait à discuter avec Dylan, il travaillait dans … Heu je crois que j'ai oublié. Il venait de … Heu j'ai oublié aussi … Il est avec sa grosse , pardon je voulais dire sa compagne depuis … Heu je sais plus, j'ai encore oublié.
Bref, j'étais tellement sous le charme que mon cerveau était en surchauffe et ne fonctionnait plus normalement. Ceci dit ça n'avait rien de nouveau. Je regardais leur décoration, il y avait plein de photos sur les murs, des nus, des demis nus, des …
C'était lui et sa gonzesse !
Je sursautais et regardais les photos avec beaucoup d'intérêt d'un coup. Le torse musclé sur la photo au dessus de la télé, c'était lui. Sur la photo à côté, le profil c'était toujours lui, sur la suivante on pouvait le voir, toujours avec des éclairages rasants, en nu intégral de face, il était beau, on voyait parfaitement son sexe, il était encore plus beau que je l'avais rêvé. Une bulle de bière avait du mal à passer dans ma gorge et ma bière commençait à mousser, ou alors c'était une montée en température.
La photo suivante montrait sa copine, en nu intégral aussi, je passais à autre chose … Et dans l'ouverture de la porte c'est sa copine qui apparaissait, entièrement nue, le visage dans la serviette elle s'essuyait les cheveux. Ma bière a débordé. En quelques secondes il me tendait un tissus pour essuyer, et en plus il rigolait.
Elle était à poil, enfin à poil, son corps était entière épilé, sa peau était lisse. J'en profitais pour revenir sur les photos du mec, lui aussi était entièrement épilé. Je suis observateur remarquez, j'avais noté le détail à la première rencontre.
Elle s'installait sur le canapé, juste à côté de mon voisin. Distraitement il lui caressait la cuisse, elle lui donnait un baiser. D’où j'étais je pouvais admirer toute son anatomie. Enfin c'est ce que certains auraient fait, moi je jetais un œil distrait.
– Tu peux regarder tu sais ! Me disais mon voisin en glissant une main entre les cuisses de sa copine.
J'avalais ma salive et tentais d'avaler une gorgée de bière mais je loupais ma bouche. Ils étaient pliés de rire et Dylan me tendait de nouveau le tissus pour m'essuyer.
J'avais pas l'air malin, une fois de plus, mais je commençais à m'y habituer.
– Je le trouve mignon, on l'invite ? Demandait Coraline à mon voisin.
– C'est toi qui décide mon amour. Lui répondait Dylan.
Je fronçais un sourcil et relevait l'autre pour dissimuler autant ma perplexité que mon interrogation. Je n'étais même plus sûr de ce que j'entendais. Elle se mettait à genoux juste devant moi et commençait à m'ouvrir la chemise. Vous savez je suis très mignon, tous mes copains me l'on déjà dit mais ça n'avait malgré tout rien à voir avec mon voisin, lui c'était du super moi à côté je suis de l'ordinaire sans plomb.
Elle me caressait doucement avec le revers de la main, délicatement me donnait un baiser sur le téton. Ça me chatouillait. Bon, jusque là j'étais plus tétanisé que réellement excité. Je ne bandais pas du tout, il faut bien se dire qu'aucune fille n'a réussi à me faire bander. Par contre le regard, le sourire amusé de Dylan me faisait de l'effet.
Il retirait sa chemise. Oui je sais ils n'ont pas froid aux yeux mes voisin mais personne ici ne va s'en plaindre. Je pouvais enfin admirer la superbe anatomie de mon voisin. C'est là que j'ai commencé à bandé, c'est à cause de ça que j'ai bandé. Par générosité, pour ne froisser personne je laisserai croire à la petit blonde que c'est à cause d'elle.
Vous voyez je sais être charmant quand je veux.
Le torse de mon voisin était vraiment sexy, il avait une très belle tablette de chocolat qui en plus en avait la couleur. Sa compagne ouvrait mon pantalon, je soulevais les fesses pour l'aider, mais c'est son compagnon que je regardais je ne loupais aucun de ses mouvements, aucun des ses gestes. J'avais envie d'y toucher, j'avais envie de le caresser et ce sont ces pensées qui me faisaient bander.
Je me retrouvais avec le pantalon sur les chevilles et rapidement elle me l'enlevait totalement, j'étais nu. Elle s'écartait pour que son compagnon puisse bien me voir. Il me lançait un regard approbateur. Je bandais encore plus.
La petite blonde se penchait alors sur moi et prenait ma queue dans sa bouche. Je sentais sa langue qui tournait autour de mon gland. Mais ce qui me faisait vraiment bander, c'était Dylan.
Il se relevait et laissait sa chemise sur place. Puis bien en face de moi je le voyais ouvrir son ceinturon, puis son pantalon, il le baissait, se penchait en avant, quand il se relevait il repoussait son pantalon du pied et se montrait dans toute sa splendeur, il avait une superbe érection et comme je l'avais imaginé il en avait une belle. Une très belle queue qui se relevait bien droit, bien ferme, bien longue, bien large.
J'en bavais d'envie, j'en avais rêvé et moi aussi je bandais encore plus ferme en voyant ça. Ma queue entrait alors dans la bouche de Coraline elle s'enfonçait encore plus et finalement s'écrasait au fond de sa gorge. Mais c'est qu'elle savait y faire la petite. Aucune ne m'avais jamais fait ça. Remarquez j'avais jamais laissé une fille aller aussi loin.
Il y en avait bien une qui avait voulu essayer à une époque mais je m'étais vite sauvé en criant avec une voie suraiguë. Mais je préfère ne pas me rappeler. Là il y avait à porté de main, une queue digne d'un demi dieu …
– Tu l'enfiles ? Demandait Coraline à mon voisin.
J'étais sonné, je ne demandais que ça, je n'aurais jamais osé le demander et là, c'est comme si on me le proposait sans me demander … Avec beaucoup de douceur je lui caressais les cheveux. Je me relevais, il se glissait derrière moi, glissait son bras sur mon ventre, me caressait avec une incroyable douceur. Je me laissais aller, me penchais contre lui ma tête en arrière il m'embrassait sur l'épaule et dans le cou.
Je sentais son sexe, son énorme queue se relever entre mes cuisses. Je me sentais tout bizarre, tout fébrile, tout tremblant. Il refermait ses deux bras autour de moi et me serrait fort contre lui. Là je décollais, je me sentais léger, minuscule dans les bras d'un géant. Sa queue me soulevait les couilles et j'avais complètement oublié Coraline, elle s'était retirée et je ne l'avais même pas remarqué.
Les bras de Dylan glissaient sur mon corps. Ses mains glissaient sur mes couilles, me caressaient ma queue qui avait atteint sa taille maximale. Je bandais ferme, encore mieux qu'avec la petite. Progressivement je m'étais retrouvé à genoux sur le tapis sans même m'en rendre compte.
Je sentais un liquide froid sur mon cul. Il y avait une main de Dylan sur ma gorge qui ne tentait pas de m'étrangler, son autre mains sur le bas de mon ventre et … Ah oui j'avais oublié Coraline, elle a de la suite dans les idées la petite, c'est elle qui me lubrifiait le cul. Je laissais faire, elle glissait un doigt dans mon cul. Je ne regardais même pas ce qui se passait, je gardais les yeux fermés et je me laissais faire.
Dylan devenait plus directif, il me retenait avec sa mains sur mon ventre, appuyait sur mon dos pour que je me penche en avant, je me relevais et m'appuyais contre le dossier du fauteuil et là il me tirait vers lui et poussait en même temps sa queue dans mon cul.
J'ai hurlé ! J'ai hurlé mais je n'ai pas tenté de me dégager. Il poussait avec force mais sans pour autant brûler les étapes, c'est lentement que sa queue s'enfonçait. Je tremblait, je poussait des gémissements à la fois de plaisir et de douleur. Je ne vous raconte pas comment il me dilatait la rondelle. C'était terrifiant. Je ne tentais pas de me dégager mais je serrais les dents, pas le cul, dans cette situation je vous le déconseille.
Je sentais sa matraque s'enfoncer, je sentais mon cul se dilater, je sentais tout mon ventre se dilater également en même temps qu'il se remplissait. Je ne comprenais plus grand chose, mes voisins, les bruits contre le mur, ils avaient l'air de former un couple sérieux. Et moi dans les bras d'un demi dieu, et sa femme qui nous regardait, enfin je suppose qu'elle nous regardait. J'avais les yeux fermés, je faisait une grimace qui devait être à faire peur, j'avais du mal à respirer quand j'essayais, le plus simple à ce moment c'était de ne rien faire. Mais bon de temps en temps il faut bien respirer tout de même.
Il approchait de la limite, il atteignait la limite, je râlais il continuait à s'enfoncer, il dépassait la limite. J'étais sur le point de m'évanouir, là je vous jure que je n'oubliais plus de respirer au contraire, je respirais fort avec un râle dans la voie. Je gémissait, il continuait à s'enfoncer en moi et c'est finalement son ventre qui arrêtait tout au moment ou il s'écrasait contre mes fesses.
– Je t'avais dit qu'il allait aimer ! C'était Coraline, je ne savais pas ou elle était mais elle ne devait pas être loin.
– Eh oui, une fois de plus tu avais raison mon amour !
– Ça se voyait au premier coup d’œil que c'était pas moi qui l'intéressait !
– Et tu pensais qu'il prendrait ma queue bien à fond du premier coup.
– Là je dois dire qu'il m'impressionne.
Dylan me tirait vers lui avec force tout en me balançant des coups de bassin.
– Il encaisse vraiment bien, c'est un plaisir !
– AAAAAAH ! AAAAAAH!OOOOOoooOOOO !
Oui je sais mais je ne pouvais pas faire mieux là, j'aurais voulu vous y voir. J'en prenais plein le cul. Il se retirait et revenait avec violence. Je criais encore plus fort, puis il commençait à me limer le cul avec des petits mouvement puis des vas et viens plus amples et finalement il se retirait presque entièrement avant de revenir avec vigueur bien à fond .
Je m'effondrais, et si je restais en place c'est uniquement parce qu'il me tenait. Mes jambes tremblaient, il devenait violent. Oh il ne m'a pas frappé sinon avec son ventre contre mes fesses.
Il faisait une pose, sa queue bien installée dans mon cul. J'ai senti le corps de Coraline qui s'approchait, elle se glissait contre lui, il me lâchait et je tombais sur le sol. Mes jambes ne me portaient plus. Mais à ce moment j'ai ressenti un plaisir intense parcourir tout mon corps et ça à duré dans le temps, ça a duré, j'ai joui, j'ai éjaculé et je me suis replié sur moi même. Je me sentais bien.
Dylan passait un petit moment dans la salle de bain. Et quand il revenait Caroline glissait dans ses bras, je pouvais les voir, il se glissait en elle. Il s'allongeait sur le dos, et elle s'allongeait sur lui.
Suivaient des caresses, des câlins et de très violent coups de bassin. Et c'était parti, Coraline se redressait et chaque coups de bassin la soulevait comme si elle était sur le dos d'un taureau, ça ressemblait à une séance de rodéo.
Coraline hurlait, criait. Je reconnaissais les cris que j'avais déjà entendu et je me disais que finalement l'insonorisation était bonne. Je vous jure qu'elle criait fort la petite, et que en comparaison je n'entendais qu'un murmure de l'autre côté du mur.
Peu à peu je récupérait, je me sentais encore rempli, mais je me sentais bien maintenant. Mon cœur se calmait, mon esprit pas trop et je continuais à trembler. Mais ça allait mieux !
C'était au tour de la blonde de s'en prendre plein la chatte et d’où j'étais je contemplait la scène. Je ne bandais plus du tout. Je me posais bien des questions, je n'avais jamais imaginé me retrouvé là. Mais c'était bien. Je n'avais jamais imaginé que mes voisins soient comme ça. Mais je n'étais pas du tout déçu. Au contraire même.
Il leur a fallu un long moment, un très long moment. Ça je l'avais déjà remarqué, avec Dylan ça dure dans le temps et avec Caroline ça vaut mieux sinon elle resterait sur sa faim.
Finalement c'était une grosse cochonne.
Ils finissaient par se calmer, elle s'écroulait sur lui. Je la comprends, il est confortable.
– Tu sais, Charly, tu m'as épaté là, tu m'as épaté ! Disait Dylan.
– Bein c'est moi le plus surpris.
– On n'aurais jamais espéré avoir un voisin comme toi. Rajoutait Coraline.
Elle relevais son torse en s'appuyant sur son compagnon et en le regardant bien dans les yeux.
– Alors satisfait de cette fin de cycle ?
– Très satisfait. Lui répondait Dylan avec une voie douce.
Il était encore en elle, je pouvais le voir d’où j'étais, je ne pouvais pas savoir s'il bandait encore ou pas, dans tous les cas sa queue est grosse, même en position repos, elle est grosse alors …
Elle s'est relevée, il débandait et sa queue s'étalait lourdement sur son ventre.
A suivre
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