le réveil (1er mai pluvieux II) - histoire érotique

Je me réveille, nu, le dos tourné à mon amant. Sa femme est en vacances quelques jours et il a décidé de m’inviter chez lui une nuit. La soirée a été épuisante. Nous nous sommes endormis dans le lit en « cuillère ». A présent, alors que j’émerge, je sens entre mes cuisses quelque chose de chaud et dur. J’y jette un œil et découvre le gland du membre de l’homme qui dépasse. Son phallus est prit entre mes jambes, dur contre mes fesses. Je souris. Je bande également et l’envi de reprendre nos ébats est forte. Lentement je me frotte à lui, son sexe toujours calé, le bout venant tapoter contre la peau de mon scrotum. Il grogne dans son sommeil. J’accélère un peu le rythme. Une trainée de liquide pré-séminal s’échappe de son gland et s’étale contre ma peau imberbe. Je sens sa main se saisir de ma hanche, il est réveillé. Il accélère le rythme de friction de nos deux corps. Une pression de sa main sur ma hanche m’immobilise. Il se positionne, je sens son gland se glisser contre mon trou. Il applique une petite pression et s’initie en moi. Sans lubrifiant à part ma salive et son sperme, il peine d’abord à entrer. Il est très bien monté et, à ce stade, en pleine érection mais je me force à ne pas résister. Je le veux en moi, qu’il me lime à fond. Enfin le gland entre en entier et il entame une pénétration profonde. Je sens son bassin venir se coller à mes fesses, ses boules tapoter délicatement contre ma peau. Les coups de reins commencent, lentement mais fermement. J’écarte un peu les cuisses pour lui faciliter le mouvement, tandis que sa poigne se ressert sur ma hanche. Il grogne profondément, et je lui fais écho avec de petits gémissements. Nous continuons ainsi de longues minutes.

Au fur et à mesure de ses coups de reins, je sens mon amant frustré par la position. Soudain, il décide de s’en libérer et me pousse sur le ventre, faisant sortir son membre de ma paroi. Je le sens se placer au-dessus de moi, puis son membre se glisser de nouveau entre mes fesses. Cette fois il me pénètre en un mouvement ferme. Les vas et viens recommencent mais plus forts à présent. Je ressens un mélange de douleur et de plaisir. Ses testicules tapent contre mes fesses à présent, sans délicatesse cette fois. Progressivement la douleur s’efface. Il me donne un dernier coup de rein puissant et je laisse échapper un gémissement aigu. Mon amant se laisse tomber à mes côtés, épuisé. Tendrement je lui caresse le sexe encore raide. Il n’a pas joui mais nous avons encore le temps.

Tandis que je le branle tendrement je repense à notre dernière rencontre. Je me rappelle de la pluie tapotant contre la fenêtre tandis que son sexe me pénétrait. J’avais porté un string. Un autre se trouve parterre ce moment même. Il m’adore en lingerie. Hier soir, avant qu’il ne me baise, mon amant m’avant demandé de me balader dans l’appartement, ne portant que ce bas en dentelle noire. Pendant une heure je l’avais aguiché. Lui était habillé, laissant ses mains parcourir mon corps. Nous avions discuté de tout et de rien. Nous nous voyons depuis presque deux ans. Nos rendez vous sont plus espacés d’ordinaire mais récemment il m’accoste presque à chaque fois que je me connecte sur skype et je n’arrive pas à lui dire non. C’est la première fois que nous dormons ensemble cependant. Ma main va de haut en bas le long de sa verge, s’arrêtant parfois sur son gland, le malaxant doucement. Notre première rencontre avait été une des expériences à me pousser à en faire d’autres.

« On devrait faire un plan à trois. » Sa voix interrompe pour la première fois le silence matinal.

« Si tu en as envi. »

« Je connais un mec que t’aimerais bien. En même temps par contre j’aurais du mal à te partager. »

Je lui souris, flatté. Ma main gauche se promène sur son scrotum.

« Allez, on prend une douche. »

L’eau ruisselle le long de nos corps collés. Je le savonne, à genoux devant lui, mes mains continuant les caresses de la chambre. Il m’observe de haut, un sourire en coin.

« Qu’est-ce que t’es bonne comme ça, soumise. »

L’eau finit de rincer son membre toujours raide. Je le prend alors en bouche, pour la première fois de la journée mais pas de cette rencontre, loin de là. Hier soir j’ai du lui faire au moins cinq pipes. Il a été particulièrement endurant, déversant deux fois son foutre au fond de ma gorge.

Je suis lent et méticuleux, l’eau chaude accompagnant mes caresses orales. Parfois il pousse en avant son bassin, voulant aller plus profond et je le laisse faire. A d’autres moments je m’attarde uniquement sur le gland. Je le sens se raidir, et sans prévenir, le retire de ma bouche. Avec un dernier coup de main il fait irruption sur mon visage. Le foutre se mélange à l’eau, se diluant sur ma peau.

Nous avons encore la journée entière devant nous.