Le Roy 08 Ce sera un long voyage
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-08-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le Roy 08 Ce sera un long voyage
Le Roy 08
Ce sera un long voyage
Je ne gardais pas mon harnais. Le recruteur me rappelait qu'une cage à bite avec un harnais, ça fait péquenaud. Le recruteur nous équipait d'un sac à dos, il fallait transporter l'eau et des vivres …
On partait d'un pas décidé. Notre voyage devait durer un mois jusqu'au port des grands fonds. La première étape de ce voyage d'aller, consistait à rejoindre la ville de feu, c'était une ville administrative dans une région très chaudes, on disait que même les chameaux avaient du mal à y rester, il fallait leur donner à boire tous les jours … Nous, on était habitué à la chaleur, devant chez moi, j'avais toujours quelques chameaux qui suffoquaient pendant la journée. Ça ne devrait pas trop me changer. Cinq ou six jours de marche seraient nécessaires.
C'est seulement au bout du troisième jour que la nature se réveillait. Si vous avez bien suivi, vous avez remarqué que nous portions tous un dispositif de chasteté sauf le lieutenant recruteur. Je ne l'avais pas vu bander pendant ces derniers jours.
Nous étions réunis autour d'un feu de camps, on avait bien mangé et il était allongé, à la vue de tous, il ne tentait même pas de se cacher. Il bandait, nous on était tous un peu à l'étroit. Dans nos cages, je veux dire …
Le secrétaire regardait ça de loin, puis il se décidait, il s'approchait de son chef, se penchait sur lui et prenait sa queue dans la bouche.
On a tous sursauté quand on a vu ça. Le recruteur allongeait ses jambes sur le sol et les écartait, son secrétaire s'était installé entre ses jambes, il était à genoux, juste à la bonne hauteur. Avec les deux mains il caressait le corps de son boss, et en même temps il avalait sa queue bien à fond sans efforts apparents.
Comme je vous le disais, je ne suis pas attiré par les hommes mais … Je m'imaginais à la place du boss. Je me serais bien fait sucé le queue moi aussi.
Le secrétaire qui, comme on pouvait le constater était bien plus qu'un secrétaire, savait s'y prendre. Le lieutenant penchait sa tête en arrière et ne retenait pas ses gémissements, au contraire même, j'avais l'impression qu'il en rajoutait. Il abusait, il ne faisait rien, il se laissait faire. Est-ce que je me comporte comme ça moi ?
En plus il ne se privait pas de bien s'exhiber devant nous sept. Jaffa regardait ça avec intérêt, il se contrôlait bien mais les six autre, moi y compris, avions du mal à ne pas réagir. Je sentais ma queue qui protestait dans ma cage. Dans ma tête je me disais que c'était reparti, pendant trois mois j'avais porté mon dispositif, je devrais garder à nouveau ce dispositif pendant tout le voyage. Et ça durerais encore un moment.
Je me demandais si c'était une bonne idée tout ça. Bon j'étais parti pour un contrat de cinq ans, ensuite, j'épouserai Jaffa et ensuite j'épouserai une femme. Je serais alors riche et bien installé. Déjà qu'avec les moutons, ma famille était relativement à l'aise, au niveau finance je veux dire. On ne manquait de rien. On pourrait doter ma jeune sœur sans problème.
J'essayais de penser à autre chose alors que le secrétaire s'allongeait sur le lieutenant, glissait contre lui et utilisait son corps pour caresser celui de son maître. Il n'avait pas de poil et une peau qui devait être douce, il avait une musculature fine et bien dessinée. Sa cage était de belle taille ce qui prouvait qu'il devait avoir une grosse queue lui aussi.
Ça n'avait peut être plus d'importance, peut être faisait-il parti de ceux qui ne la retireraient jamais. C'était bien le cas de Jaffa. Lui remarquez ne l'avait pas choisi. J'avais envie de lui péter le cul. J'avais brusquement une violente envie de l'enculer avec force. Ma queue gonflait, elle prenait toute la place et tentait même de déborder, des bourrelets de peau se formaient à chaque trou d'aération. Ma cage se balançait en suivant les battement de mon cœur.
Le secrétaire glissait sur le corps de son boss, lui déposait des baiser un peu partout, sur les épaules sur les tétons sur les hanches avant de reprendre sa queue dans la bouche. De nouveau il le suçait, cette très belle queue de belle taille entrait facilement et devait s'écraser au fond de sa gorge quand il appuyait son visage sur le ventre du lieutenant.
Il gémissait de plus en plus fort, heureusement il n'y avait personne dans les environs. On s'était arrêté en pleine campagne, dans un endroit isolé.
Le lieutenant se relevait, il prenait bien son temps. Il avait sorti un lubrifiant, c'était un truc fait chez l’apothicaire, on devinait qu'il avait les moyens, moi souvent dans ce cas j'utilisais du beurre. Ça marche bien le beurre aussi remarquez.
Il lubrifiait bien le cul du secrétaire avant de bien se lubrifier la queue. Il était impressionnant debout éclairé par les flammes du feu on voyait toute sa force, toute sa virilité. D'habitude je n'avais rien à lui envier mais là avec cette cage en ivoire de Dentosaure, ça ne faisait pas pareil.
J'aurais été prêt à tout pour pouvoir le retirer. Mais c'était pas prévu, il ne nous avait pas dit pourquoi mais ce n'était pas prévu.
Le secrétaire se retournait, se penchait en avant et écartait bien les jambes. Sans rien dire son maître prenait position et d'un mouvement rapide et décidé, lui enfonçait la queue bien à fond. Il le prenait à froid mais le secrétaire ne bronchait pas, il encaissait, il gémissait, poussait même un petit cri mais il encaissait avec facilité.
Le boss commençait alors à lui limer le cul, il était décidé. Il avait décidé de prendre son pied, il avait décidé de faire couiner son secrétaire il lui défonçais le cul sans ménagement.
Les coups tombaient les uns après les autres, il se lâchait le boss, il se lâchait, c'est vrai qu'on ne l'avait pas vu bander depuis notre départ mais, nous non plus on n'avait pas bandé.
C'est vrai que pour nous c'était un peu différents. Nous on ne pouvait pas !
On ne pouvait pas mais à ce moment on en mourait d'envie. Nos cages à tous les sept se relevaient avec une certaine force et se balançaient de haut en bas au rythme des battements de nos cœurs.
Le recruteur s'énervait, il accélérait le mouvement et devenait violent. Son ventre claquait quand il s'écrasait sur les fesses de son partenaire. Il le tirait en arrière quand il lui donnait de violents coup de bassin. Là le secrétaire commençait à gémir, il respirait plus fort et poussait des cris à chaque coup qu'il recevait.
Autour de moi mes camarades ne tenaient plus en place. Visiblement leurs dispositifs de chasteté les travaillaient. Ils se tortillaient, bougeaient, il ne parvenaient pas à trouver une position confortable.
Avec un tel dispositif sur la queue on ne peut pas bander et si on bande ça ne se voit pas. Enfin normalement ça ne se voit pas mais là je peux vous garantir que ça se voyait. Ça se voyait même très bien. Les cages à bite étaient toutes bien pleines, et ça débordait de partout. Et on n'était pas à notre aise.
Le recruteur continuait à s'amuser pendant un moment. Ses mouvements devenaient saccadés. Il faisait des grimace, il respirait fort, quelques coups violents puis il s'effondrait sur son partenaire.
Il se retirait finalement, nous étions en apnée. J'avais l'impression de ne plus respirer. Le secrétaire se relevait et on voyait clairement couler de sa cage un liquide blanc. Sont visage était tout rouge, et cette couleur était amplifiée par la lumière chaude du feu mais il avait air ravi, il avait joui.
Nous on ne se sentait pas vraiment bien. J'espérais qu'ils ne chauffent pas comme ça tous les jours ou alors je deviendrais fou avant la fin du voyage.
Ensuite le recruteur s'allongeait, il jetait sur lui un couverture, quelquefois les nuits sont froide, son secrétaire allait se blottir contre lui et quelques minutes plus tard ils dormaient tous les deux.
Nous on restait en retrait et on discutaient.
Je n'étais pas le seul à ne pas me faire enculer. Il y en a qui aiment d'autres pas. Jaffa aimait lui, heureusement pour lui. Des cinq autres il n'y en avait qu'un qui y trouvait un certains plaisir.
Nous étions tous purs, c'est à dire que nous n'avions jamais touché à une femme. Comme je vous l'expliquais plus tôt, on vivait à poil mais c'est pas pour ça que nous avions des mœurs légères. Presque toutes les femmes arrivaient vierges au mariage.
Bon c'est vrai qu'avec mon petit frère, ça faisait baisser la moyenne, il n'avait pas seize ans et déjà lui n'était plus pur du tout. En plus je me doutais qu'il allait continuer à déshonorer d'autres pauvres filles ce petit branleur. Quoi que le qualificatif de branleur dans son cas n'était peut être pas le plus pertinent.
Enfin bref, on n'a pas vraiment bien dormi cette nuit là. Si on en avait eu la possibilité on se serait branlé et tout de suite ça aurait été plus détendu mais, on devait porter une dispositif de chasteté pendant tout le voyage. Il y en avait au moins un en plus de Jaffa qui se serait porté volontaire pour prendre la place du secrétaire avant l'arrivée.
Il était tout content de lui, et gai comme un pinçon le lieutenant le lendemain matin en se réveillant. Il venait nous réveiller en nous donnant un coup de savate et en plus il chantait.
On s'est préparé et on est reparti.
Je marchais à côté du lieutenant pour pouvoir parler avec lui.
— Dites moi, lieutenant recruteur, pourquoi faut-il qu'on porte ce dispositif de chasteté ? Si entre hommes ça ne compte pas ça ne sert à rien, on est entre hommes justement.
— Tu n'as donc pas remarqué les filles au dernier village ? Me répondait le lieutenant. Il y en avait tout un groupe qui se formait et nous suivaient. Tu peux me croire mon garçon, si une d'entre elle met la main sur l'un d'entre vous et qu'il n'est pas protégé, je ne donne pas cher de sa pureté.
— Et c'est grave si … Je ne terminait même pas ma phrase.
— C'est la loi ! Pour faire partie du cercle des proches du roi, pour pouvoir l'approcher, le servir, le toucher, il faut être pur. Lui il l'est !
Je réfléchissais à ce qu'il me disait, je n'étais pas vraiment sur de comprendre ce qu'il me racontait mais bon, si c'est la loi …
— Tu prends un engagement de cinq ans et ensuite tu peut vivre ta vie comme tu l'entends.
— Il faudra porter ce truc pendant cinq ans ?
— Non, on vous le retirera quand vous entrerez dans le cercle des proche. A ce niveau là du palais royal, il n'y a plus que des hommes.
C'était rassurant, sinon je crois que je serais reparti, je ne m'étais pas encore engagé moi, en fait à ce niveau là, nous n'étions que des candidats.
— Il y a aussi le second cercle. Rajoutait le lieutenant. Lui il est composé de petite mains, certains disent de petites bites. Eux portent un dispositif de chasteté en ivoire de dentozaure.
— Comme ceux qu'on porte en ce moment ?
— Voilà ! Ton camarade Jaffa, grâce à son dispositif en métal, pourra accéder au second cercle mais sera à ton service. C'est toi qui le paieras.
Je ne comprenais plus du tout de quoi il s'agissait, le travail que nous devrions faire. C'était quoi cette histoire de cercles et de petites mains ? Je me posais des questions.
Nous serions les proches du roi ? Ses serviteurs ?
J'avais hâte d'arriver et de voir de quoi il en retournait. Il n'y avait pas de femmes dans l'entourage immédiat et pour le servir il fallait ne jamais y avoir touché.
Plus j'en apprenais, plus je me posais de questions.
Quelques jours plus tard nous arrivions à la ville de feu.
A suivre
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Ce sera un long voyage
Je ne gardais pas mon harnais. Le recruteur me rappelait qu'une cage à bite avec un harnais, ça fait péquenaud. Le recruteur nous équipait d'un sac à dos, il fallait transporter l'eau et des vivres …
On partait d'un pas décidé. Notre voyage devait durer un mois jusqu'au port des grands fonds. La première étape de ce voyage d'aller, consistait à rejoindre la ville de feu, c'était une ville administrative dans une région très chaudes, on disait que même les chameaux avaient du mal à y rester, il fallait leur donner à boire tous les jours … Nous, on était habitué à la chaleur, devant chez moi, j'avais toujours quelques chameaux qui suffoquaient pendant la journée. Ça ne devrait pas trop me changer. Cinq ou six jours de marche seraient nécessaires.
C'est seulement au bout du troisième jour que la nature se réveillait. Si vous avez bien suivi, vous avez remarqué que nous portions tous un dispositif de chasteté sauf le lieutenant recruteur. Je ne l'avais pas vu bander pendant ces derniers jours.
Nous étions réunis autour d'un feu de camps, on avait bien mangé et il était allongé, à la vue de tous, il ne tentait même pas de se cacher. Il bandait, nous on était tous un peu à l'étroit. Dans nos cages, je veux dire …
Le secrétaire regardait ça de loin, puis il se décidait, il s'approchait de son chef, se penchait sur lui et prenait sa queue dans la bouche.
On a tous sursauté quand on a vu ça. Le recruteur allongeait ses jambes sur le sol et les écartait, son secrétaire s'était installé entre ses jambes, il était à genoux, juste à la bonne hauteur. Avec les deux mains il caressait le corps de son boss, et en même temps il avalait sa queue bien à fond sans efforts apparents.
Comme je vous le disais, je ne suis pas attiré par les hommes mais … Je m'imaginais à la place du boss. Je me serais bien fait sucé le queue moi aussi.
Le secrétaire qui, comme on pouvait le constater était bien plus qu'un secrétaire, savait s'y prendre. Le lieutenant penchait sa tête en arrière et ne retenait pas ses gémissements, au contraire même, j'avais l'impression qu'il en rajoutait. Il abusait, il ne faisait rien, il se laissait faire. Est-ce que je me comporte comme ça moi ?
En plus il ne se privait pas de bien s'exhiber devant nous sept. Jaffa regardait ça avec intérêt, il se contrôlait bien mais les six autre, moi y compris, avions du mal à ne pas réagir. Je sentais ma queue qui protestait dans ma cage. Dans ma tête je me disais que c'était reparti, pendant trois mois j'avais porté mon dispositif, je devrais garder à nouveau ce dispositif pendant tout le voyage. Et ça durerais encore un moment.
Je me demandais si c'était une bonne idée tout ça. Bon j'étais parti pour un contrat de cinq ans, ensuite, j'épouserai Jaffa et ensuite j'épouserai une femme. Je serais alors riche et bien installé. Déjà qu'avec les moutons, ma famille était relativement à l'aise, au niveau finance je veux dire. On ne manquait de rien. On pourrait doter ma jeune sœur sans problème.
J'essayais de penser à autre chose alors que le secrétaire s'allongeait sur le lieutenant, glissait contre lui et utilisait son corps pour caresser celui de son maître. Il n'avait pas de poil et une peau qui devait être douce, il avait une musculature fine et bien dessinée. Sa cage était de belle taille ce qui prouvait qu'il devait avoir une grosse queue lui aussi.
Ça n'avait peut être plus d'importance, peut être faisait-il parti de ceux qui ne la retireraient jamais. C'était bien le cas de Jaffa. Lui remarquez ne l'avait pas choisi. J'avais envie de lui péter le cul. J'avais brusquement une violente envie de l'enculer avec force. Ma queue gonflait, elle prenait toute la place et tentait même de déborder, des bourrelets de peau se formaient à chaque trou d'aération. Ma cage se balançait en suivant les battement de mon cœur.
Le secrétaire glissait sur le corps de son boss, lui déposait des baiser un peu partout, sur les épaules sur les tétons sur les hanches avant de reprendre sa queue dans la bouche. De nouveau il le suçait, cette très belle queue de belle taille entrait facilement et devait s'écraser au fond de sa gorge quand il appuyait son visage sur le ventre du lieutenant.
Il gémissait de plus en plus fort, heureusement il n'y avait personne dans les environs. On s'était arrêté en pleine campagne, dans un endroit isolé.
Le lieutenant se relevait, il prenait bien son temps. Il avait sorti un lubrifiant, c'était un truc fait chez l’apothicaire, on devinait qu'il avait les moyens, moi souvent dans ce cas j'utilisais du beurre. Ça marche bien le beurre aussi remarquez.
Il lubrifiait bien le cul du secrétaire avant de bien se lubrifier la queue. Il était impressionnant debout éclairé par les flammes du feu on voyait toute sa force, toute sa virilité. D'habitude je n'avais rien à lui envier mais là avec cette cage en ivoire de Dentosaure, ça ne faisait pas pareil.
J'aurais été prêt à tout pour pouvoir le retirer. Mais c'était pas prévu, il ne nous avait pas dit pourquoi mais ce n'était pas prévu.
Le secrétaire se retournait, se penchait en avant et écartait bien les jambes. Sans rien dire son maître prenait position et d'un mouvement rapide et décidé, lui enfonçait la queue bien à fond. Il le prenait à froid mais le secrétaire ne bronchait pas, il encaissait, il gémissait, poussait même un petit cri mais il encaissait avec facilité.
Le boss commençait alors à lui limer le cul, il était décidé. Il avait décidé de prendre son pied, il avait décidé de faire couiner son secrétaire il lui défonçais le cul sans ménagement.
Les coups tombaient les uns après les autres, il se lâchait le boss, il se lâchait, c'est vrai qu'on ne l'avait pas vu bander depuis notre départ mais, nous non plus on n'avait pas bandé.
C'est vrai que pour nous c'était un peu différents. Nous on ne pouvait pas !
On ne pouvait pas mais à ce moment on en mourait d'envie. Nos cages à tous les sept se relevaient avec une certaine force et se balançaient de haut en bas au rythme des battements de nos cœurs.
Le recruteur s'énervait, il accélérait le mouvement et devenait violent. Son ventre claquait quand il s'écrasait sur les fesses de son partenaire. Il le tirait en arrière quand il lui donnait de violents coup de bassin. Là le secrétaire commençait à gémir, il respirait plus fort et poussait des cris à chaque coup qu'il recevait.
Autour de moi mes camarades ne tenaient plus en place. Visiblement leurs dispositifs de chasteté les travaillaient. Ils se tortillaient, bougeaient, il ne parvenaient pas à trouver une position confortable.
Avec un tel dispositif sur la queue on ne peut pas bander et si on bande ça ne se voit pas. Enfin normalement ça ne se voit pas mais là je peux vous garantir que ça se voyait. Ça se voyait même très bien. Les cages à bite étaient toutes bien pleines, et ça débordait de partout. Et on n'était pas à notre aise.
Le recruteur continuait à s'amuser pendant un moment. Ses mouvements devenaient saccadés. Il faisait des grimace, il respirait fort, quelques coups violents puis il s'effondrait sur son partenaire.
Il se retirait finalement, nous étions en apnée. J'avais l'impression de ne plus respirer. Le secrétaire se relevait et on voyait clairement couler de sa cage un liquide blanc. Sont visage était tout rouge, et cette couleur était amplifiée par la lumière chaude du feu mais il avait air ravi, il avait joui.
Nous on ne se sentait pas vraiment bien. J'espérais qu'ils ne chauffent pas comme ça tous les jours ou alors je deviendrais fou avant la fin du voyage.
Ensuite le recruteur s'allongeait, il jetait sur lui un couverture, quelquefois les nuits sont froide, son secrétaire allait se blottir contre lui et quelques minutes plus tard ils dormaient tous les deux.
Nous on restait en retrait et on discutaient.
Je n'étais pas le seul à ne pas me faire enculer. Il y en a qui aiment d'autres pas. Jaffa aimait lui, heureusement pour lui. Des cinq autres il n'y en avait qu'un qui y trouvait un certains plaisir.
Nous étions tous purs, c'est à dire que nous n'avions jamais touché à une femme. Comme je vous l'expliquais plus tôt, on vivait à poil mais c'est pas pour ça que nous avions des mœurs légères. Presque toutes les femmes arrivaient vierges au mariage.
Bon c'est vrai qu'avec mon petit frère, ça faisait baisser la moyenne, il n'avait pas seize ans et déjà lui n'était plus pur du tout. En plus je me doutais qu'il allait continuer à déshonorer d'autres pauvres filles ce petit branleur. Quoi que le qualificatif de branleur dans son cas n'était peut être pas le plus pertinent.
Enfin bref, on n'a pas vraiment bien dormi cette nuit là. Si on en avait eu la possibilité on se serait branlé et tout de suite ça aurait été plus détendu mais, on devait porter une dispositif de chasteté pendant tout le voyage. Il y en avait au moins un en plus de Jaffa qui se serait porté volontaire pour prendre la place du secrétaire avant l'arrivée.
Il était tout content de lui, et gai comme un pinçon le lieutenant le lendemain matin en se réveillant. Il venait nous réveiller en nous donnant un coup de savate et en plus il chantait.
On s'est préparé et on est reparti.
Je marchais à côté du lieutenant pour pouvoir parler avec lui.
— Dites moi, lieutenant recruteur, pourquoi faut-il qu'on porte ce dispositif de chasteté ? Si entre hommes ça ne compte pas ça ne sert à rien, on est entre hommes justement.
— Tu n'as donc pas remarqué les filles au dernier village ? Me répondait le lieutenant. Il y en avait tout un groupe qui se formait et nous suivaient. Tu peux me croire mon garçon, si une d'entre elle met la main sur l'un d'entre vous et qu'il n'est pas protégé, je ne donne pas cher de sa pureté.
— Et c'est grave si … Je ne terminait même pas ma phrase.
— C'est la loi ! Pour faire partie du cercle des proches du roi, pour pouvoir l'approcher, le servir, le toucher, il faut être pur. Lui il l'est !
Je réfléchissais à ce qu'il me disait, je n'étais pas vraiment sur de comprendre ce qu'il me racontait mais bon, si c'est la loi …
— Tu prends un engagement de cinq ans et ensuite tu peut vivre ta vie comme tu l'entends.
— Il faudra porter ce truc pendant cinq ans ?
— Non, on vous le retirera quand vous entrerez dans le cercle des proche. A ce niveau là du palais royal, il n'y a plus que des hommes.
C'était rassurant, sinon je crois que je serais reparti, je ne m'étais pas encore engagé moi, en fait à ce niveau là, nous n'étions que des candidats.
— Il y a aussi le second cercle. Rajoutait le lieutenant. Lui il est composé de petite mains, certains disent de petites bites. Eux portent un dispositif de chasteté en ivoire de dentozaure.
— Comme ceux qu'on porte en ce moment ?
— Voilà ! Ton camarade Jaffa, grâce à son dispositif en métal, pourra accéder au second cercle mais sera à ton service. C'est toi qui le paieras.
Je ne comprenais plus du tout de quoi il s'agissait, le travail que nous devrions faire. C'était quoi cette histoire de cercles et de petites mains ? Je me posais des questions.
Nous serions les proches du roi ? Ses serviteurs ?
J'avais hâte d'arriver et de voir de quoi il en retournait. Il n'y avait pas de femmes dans l'entourage immédiat et pour le servir il fallait ne jamais y avoir touché.
Plus j'en apprenais, plus je me posais de questions.
Quelques jours plus tard nous arrivions à la ville de feu.
A suivre
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci pour ces histoires. Je suis toujours fan et quand je n'ai pas le temps de les lire sur le site je les recopie pour les lire plus tard dans le train pour bander ostensiblement quand mon contrôleur favori passe contrôler les billets...