Le roy 12 L'arrivée au bateau
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-08-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le roy 12 L'arrivée au bateau
Le roy 12
L'arrivée au bateau
J'avais réussi à préserver mon cul pendant toute la traversée en caravane. Je ne vous raconte pas le nombre de propositions que j'avais eu. Tout le monde voulait me défoncer le cul !
Mais moi je ne voulais pas qu'on me défonce le cul. J'avais déjà un peu essayé et je n'avais pas aimé. Non mais franchement vous avez déjà essayé ? Ça fait mal ! Non soyons sérieux, j'ai une grosse bite et je préfère être celui qui s'en sert !
D'accord en ce moment je ne pouvais pas m'en servir mais c'était pas une raison, c'était une situation qui ne devait pas durer. C'était prévu. Je m'imaginais quand je serais au premier cercle, toutes ces ' petites mains ' qui me tourneraient autour, qui me courtiseraient, qui me feraient des papouilles et que je pourrais enfiler à volonté. Dans ce sens ça me dérangeait beaucoup moins.
Jaffa était toujours auprès de moi et souvent je pensais à ce jour qui viendrait ou je l'épouserais, j'épouserais aussi une femme. Pas que pour avoir des enfants mais aussi pour le plaisir. Bon avec une femme je n'avais rien fait, rien essayé et il fallait que je résiste à la tentation, sinon, mon voyage s'arrêterait ici et en plus je risquerais d'être condamné à porter le dispositif pendant un moment, un long, un très long moment.
Mais nous étions entre hommes donc, la tentation ne posait aucun problème.
Dès notre arrivée au port, une ' petite main ' nous conduisait à la capitainerie. Personne ne faisait attention à nous. Ici c'était un peu comme dans une caserne à ciel ouvert. Que des hommes ! Il y avait des personnalité, notables et officiers et les petites mains. On passait pour des petites mains …
On nous conduisait sur un bateau, il devait quitter le port le jour même aussi nous n'avions pas le temps de visiter quoi que ce soit dans la ville. Enfin, la caserne, c'était un casernement.
On aurait bien aimé visiter un peu le port, mais là ça ne rigolait plus, le bateau nous attendait pour partir. Il a fallu se dépêcher, on nous a conduit directement au bateau, là on s'est trouvé un petit recoin pour pouvoir nous reposer, la nuit tombait.
On s'est réveillé en plaine mer le lendemain, plusieurs de mes camarades ont été malades mais pas moi ! Enfin un peu, mais un tout petit peu. Seul Jaffa n'était pas dérangé par le roulis, il avait déjà pris le bateau lui, mais j'avais jamais vu autant d'eau à la fois, c'est pour ça …
Il y avait des passagers important, des VIP, eux ils avaient des cabines mais elles étaient toute petites. Vous l'avez compris, c'était pas le grand confort. Surtout que les passagers de classe ne portaient pas ce dispositif maudit que je devait garder encore pour un moment et que, arrivé à ce moment de l'histoire j'avais surtout envie de retirer, de jeter, de brûler, de casser … Même si je savais que le truc en métal que je portais était incassable et ne brûlait pas.
Je l'aurais bien jeté par dessus bord !
Donc les passagers importants ne se privaient pas de venir nous courtiser, ils nous proposait de dîner avec eux, leur ordinaire n'était pas le même que le nôtre. Ils arrivaient comme ça, sans prévenir, on les voyais pourtant venir de loin. Ils arrivaient avec la queue fière, bien relevée, j'avais mieux mais moi je ne pouvais pas m'en servir. J'imaginais le jour ou je retirerais mon dispositif. Je m'y voyais, je savais que là, je pourrais me venger de toutes ces frustrations. C'est Jaffa qui en ferais les frais. C'est sur lui que je me vengerais en premier. Ensuite je sauterais sur toutes les petites mains qui passeraient à ma portée.
Mais Jaffa, ce serait le premier !
Jaffa aimait bien se faire défoncer le cul, avec lui ça ne traînait pas. Le premier passager qui est arrivé vers lui avec une grosse dure qui se redressait devant lui l'a constaté. Même moi j'étais surpris de voir ça.
Le passager avançait ver Jaffa, Jaffa se mettait à genoux. Le passager s'avancer encore un peu et caressait les cheveux de Jaffa et Jaffa prenait dans la bouche la queue du gars qui était pourtant bien longue, bien ferme, et bien grosse. Dans ma tête je me disais que la mienne devait être à peu près de sa taille. Je savais que Jaffa pouvait l'avaler jusqu'à la garde, et il m'en faisait la démonstration.
Il appuyait son visage contre le ventre du passager, il prenait avec toujours la même facilité la queue de son partenaire, elle glissait sans aucune résistance et allait se caler dans la gorge, jusqu'au fond de la gorge de Jaffa. Il ne me surprenait pas vraiment, il me l'avait fait plus d'une fois ça.
Le ventre du passager s'écrasait sur le nez de Jaffa. Jaffa passait ses bras autour des cuisses de son partenaire et le tirait vers lui. Il lui caressait les fesses et avalait sa queue, il glissait ses doigts entre les fesses du passager. Il les glissait avec de plus en plus de passion.
Il finissait pas glisser un doigt dans le cul du passager. Celui-ci s'est alors contracté a poussé un long gémissement, Jaffas s'est lui aussi contracté. Le passager jutait dans sa bouche et Jaffa à tout avalé, il a continué à sucer la queue du passager pendant encore un moment puis a retiré sa tête.
Je regardais ça, j'aurais fait n'importe quoi pour pouvoir prendre la place du passager. J'étais en manque, et ce spectacle m'excitait au plus haut. Dans sa cage ma queue protestait, elle hurlait silencieusement et elle se redressait. Ça se voyait, la cage était pleine et se relevait, c'était ridicule mais que pouvais-je y faire. J'en pouvais plus, je sentais que j'allais craquer. Pourtant que pouvais-je faire ?
Nous étions toujours nus, et quand on avait une réaction comme la mienne, c'était aussi visible que si je on ne portait rien. Enfin presque …
Le passager ne débandait pas totalement, Jaffa prenait de nouveau cette queue qui lui était proposée. De nouveau Jaffa la prenait dans sa bouche, j'étais juste à côté d'eux et je voyais la queue du passager redevenir dure, bien dure, il bandait de nouveau.
Retourne toi, maintenant je vais t'enculer ! Ordonnait le passager.
Jaffa n'hésitait pas une seconde, il se relevait, regardait bien dans les yeux le passager, lui donnait un baiser sur les lèvres et se retournait. Il se penchait alors en avait et laissait faire.
J'étais juste à côté d'eux, autour de nous il n'y avait plus personne. Tout le monde était parti, ils avaient eux aussi la même réaction que moi. Ils se sentaient à l'étroit dans leurs cage. Je parle là de mes camarades et comme vous le savez nous portions tous un dispositif de chasteté.
Le passager prenait rapidement place. Il lubrifiait, il était prévoyant et avait tout ce qu'il fallait. Puis au moment ou il était prêt il poussait.
Jaffa poussait un cri suivi par un gémissement. C'était du plaisir, je ne pouvais pas en douter. Je l'avais pratiqué le petit Jaffa et je savait comment il fonctionnait. Il aimait bien ce genre de situation. C'est vrai que c'était le seul rôle qu'il pouvait encore jouer.
Le passager s'enfonçait rapidement, il s'enfonçait bien à fond, son ventre s'écrasait sur les fesses de Jaffa. Il poussait alors, il appuyait avec force. Jaffa retournait la tête et le passager l'embrassait.
Ils avaient sans doute bougé ou alors c'est moi qui m'était rapproché sans m'en rendre compte. Ma main frôlait le bras de Jaffa. Il me laissait faire et en profitait pour me tripoter les couilles. Je ne vous raconte pas mais ça ne me calmait pas vraiment. Ma queue protestait encore plus, avec encore plus de force. C'était presque douloureux.
Je suis un mec moi ! Actif, uniquement actif. Et j'avais là, sous les yeux un mec qui était superbe, passif, et qui se faisait enculer. Je lui caressais le dos, ma main descendait sur ses reins puis sur ses fesses pendant que le passager de marque le limait avec force.
Glisse un doigt ! Me demandait le passager.
Je ne le faisait pas répéter, mes doigts glissaient entre les fesses de Jaffa et je glissais mon index dans le cul de Jaffa qui gueulait un peu plus fort. Ça semblait amuser le passager. Mon doigt entrait, ça résistait bien un peu mais je forçais.
Le passager forçait aussi, il accélérait le mouvement. Ses coups devenaient plus forts, plus rapide et j'agitais mon doigt. Jaffa gueulait et en redemandait.
Le passager venait juste d'éjaculer, et il continuait. Il tenait bien le coup et ses coups de bassin devenaient violents, vraiment violents je veux dire.
Ce jeu devait durer encore un long moment. Jaffa se tortillait par moments et tremblait. J'aurais bien aimé me faire sucer par mon compagnon Jaffa. Mais que pouvais-je faire ? Je laissais faire et me retirais du jeux.
Le passager semblait en profiter pour accélérer encore la vitesses et la force des coups et finalement lui aussi gémissait avec force. Il donnait des coups violents et ne se retirait plus comme il le faisait. Il jouissait, il jutait.
Un filet de liquide blanc le confirmait quand il s'est retiré.
Il ne nous a pas salué, il s'est essuyé puis il est reparti. Il m'a juste lancé.
La prochaine fois ce sera ton tour.
Je ne répondais rien, c'est vrai que j'étais retourné. Ma queue hurlait toujours. A ce moment j'étais tellement en manque que j'aurais presque pu dire oui à une telle proposition. Pourtant vous savez que c'est pas pour moi ce genre d'acrobatie. Non moi je suis un mec, un vrai et un vrai mec, il encule il ne se fait pas enculer.
Il ne fallait pas plus de quelques jours pour que j'arrive à ma destination et comme là bas je ne garderais pas mon dispositif de chasteté, je pourrais montrer à tout le monde que je suis un mec, un vrai, un dur, un tatoué … Euh enfin non pas tatoué mais à part ça …
Mais je vous jure qu'au bout d'un moment avec la bite enfermée dans ce genre de dispositif diabolique on finit par avoir des idées bizarres. Non mais franchement c'est vrai ça. Me faire enculer … J'ai déjà essayé remarquez. Quand je dis que je n'aime pas et que c'est pas pour moi, au moins je sais de quoi je parle.
Il y en a qui disent qu'ils n'aiment pas et qui n'ont jamais essayé et qui donc en fait ne savent pas. Peut être qu'ils aimeraient si ça se trouve …
Bon mais je parle, je parle, je parle. Mais ça ne fait pas avancer mon histoire tout ça, surtout que la traversée n'était pas terminée. Surtout que je ne me calmais pas. A part les petites mains, ou les petites bites comme vous voulez, et notre équipe mes cinq camarades avec Jaffa, tout le monde, tous les passagers importants ne portent pas ce dispositif maudit.
Ceux là étaient tranquilles, certains étaient mariés et avaient au moins une femme, quelques uns avaient aussi un époux sous clé, comme il convient, comme la morale l'exige. Dans mon équipe tout le monde était célibataire, les petites mains aussi mais eux au moins il servaient à quelque chose. C'étaient les vide couilles des personnes importantes.
Je le savais, dans quelques jours, le temps du voyage et nous serions au premier cercle, autour du roi. Nous serions libérés, je pourrai alors me laisser aller, il y aurait Jaffa à mes côtés, et Jaffa, moi, je l'aimais bien. Il m'affolait quand il se faisait enculer devant moi mais bon, lui il était résigné. Ce serait ça sa vie, il servirait de vide couille mais comme il aimait ça il ne se plaignait pas.
Ça devenait dure pour moi, mais je tiendrais le coup. Je n'allais pas craquer quelques jours seulement avant la fin de ce voyage. Les cinq ans suivraient seraient tranquilles pour moi, je pourrais m'amuser un peu, je deviendrais moi aussi un personnage important.
Vous vous imaginez je serai alors une membre du premier cercle autour du roi. J'aurais de l'influence, enfin c'est à supposer. Ensuite je reviendrais dans mon village, je prendrais une femme, et j'épouserais aussi Jaffa. Comme il portait déjà un dispositif de chasteté, ça ne poserait aucun problème. Avec tout l'argent que j'aurais gagné, je m’achèterais un grand troupeau de mouton et peut être même un machine à filer la laine, ils en font des gros maintenant qui peuvent filer …
Ces rêves m'aidaient à tenir. Ma queue protestait presque en permanence à partir de ce moment. Tous ces corps nus, toutes ces bites qui se balançaient librement, ces grosses bites, les petites étaient sous clés. J'avais l'impression de devenir fou mais cet avenir, cette belle promesse d'avenir me tenait debout.
Heureusement parce que ma queue continuait à protester de plus en plus fort.
A suivre
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
L'arrivée au bateau
J'avais réussi à préserver mon cul pendant toute la traversée en caravane. Je ne vous raconte pas le nombre de propositions que j'avais eu. Tout le monde voulait me défoncer le cul !
Mais moi je ne voulais pas qu'on me défonce le cul. J'avais déjà un peu essayé et je n'avais pas aimé. Non mais franchement vous avez déjà essayé ? Ça fait mal ! Non soyons sérieux, j'ai une grosse bite et je préfère être celui qui s'en sert !
D'accord en ce moment je ne pouvais pas m'en servir mais c'était pas une raison, c'était une situation qui ne devait pas durer. C'était prévu. Je m'imaginais quand je serais au premier cercle, toutes ces ' petites mains ' qui me tourneraient autour, qui me courtiseraient, qui me feraient des papouilles et que je pourrais enfiler à volonté. Dans ce sens ça me dérangeait beaucoup moins.
Jaffa était toujours auprès de moi et souvent je pensais à ce jour qui viendrait ou je l'épouserais, j'épouserais aussi une femme. Pas que pour avoir des enfants mais aussi pour le plaisir. Bon avec une femme je n'avais rien fait, rien essayé et il fallait que je résiste à la tentation, sinon, mon voyage s'arrêterait ici et en plus je risquerais d'être condamné à porter le dispositif pendant un moment, un long, un très long moment.
Mais nous étions entre hommes donc, la tentation ne posait aucun problème.
Dès notre arrivée au port, une ' petite main ' nous conduisait à la capitainerie. Personne ne faisait attention à nous. Ici c'était un peu comme dans une caserne à ciel ouvert. Que des hommes ! Il y avait des personnalité, notables et officiers et les petites mains. On passait pour des petites mains …
On nous conduisait sur un bateau, il devait quitter le port le jour même aussi nous n'avions pas le temps de visiter quoi que ce soit dans la ville. Enfin, la caserne, c'était un casernement.
On aurait bien aimé visiter un peu le port, mais là ça ne rigolait plus, le bateau nous attendait pour partir. Il a fallu se dépêcher, on nous a conduit directement au bateau, là on s'est trouvé un petit recoin pour pouvoir nous reposer, la nuit tombait.
On s'est réveillé en plaine mer le lendemain, plusieurs de mes camarades ont été malades mais pas moi ! Enfin un peu, mais un tout petit peu. Seul Jaffa n'était pas dérangé par le roulis, il avait déjà pris le bateau lui, mais j'avais jamais vu autant d'eau à la fois, c'est pour ça …
Il y avait des passagers important, des VIP, eux ils avaient des cabines mais elles étaient toute petites. Vous l'avez compris, c'était pas le grand confort. Surtout que les passagers de classe ne portaient pas ce dispositif maudit que je devait garder encore pour un moment et que, arrivé à ce moment de l'histoire j'avais surtout envie de retirer, de jeter, de brûler, de casser … Même si je savais que le truc en métal que je portais était incassable et ne brûlait pas.
Je l'aurais bien jeté par dessus bord !
Donc les passagers importants ne se privaient pas de venir nous courtiser, ils nous proposait de dîner avec eux, leur ordinaire n'était pas le même que le nôtre. Ils arrivaient comme ça, sans prévenir, on les voyais pourtant venir de loin. Ils arrivaient avec la queue fière, bien relevée, j'avais mieux mais moi je ne pouvais pas m'en servir. J'imaginais le jour ou je retirerais mon dispositif. Je m'y voyais, je savais que là, je pourrais me venger de toutes ces frustrations. C'est Jaffa qui en ferais les frais. C'est sur lui que je me vengerais en premier. Ensuite je sauterais sur toutes les petites mains qui passeraient à ma portée.
Mais Jaffa, ce serait le premier !
Jaffa aimait bien se faire défoncer le cul, avec lui ça ne traînait pas. Le premier passager qui est arrivé vers lui avec une grosse dure qui se redressait devant lui l'a constaté. Même moi j'étais surpris de voir ça.
Le passager avançait ver Jaffa, Jaffa se mettait à genoux. Le passager s'avancer encore un peu et caressait les cheveux de Jaffa et Jaffa prenait dans la bouche la queue du gars qui était pourtant bien longue, bien ferme, et bien grosse. Dans ma tête je me disais que la mienne devait être à peu près de sa taille. Je savais que Jaffa pouvait l'avaler jusqu'à la garde, et il m'en faisait la démonstration.
Il appuyait son visage contre le ventre du passager, il prenait avec toujours la même facilité la queue de son partenaire, elle glissait sans aucune résistance et allait se caler dans la gorge, jusqu'au fond de la gorge de Jaffa. Il ne me surprenait pas vraiment, il me l'avait fait plus d'une fois ça.
Le ventre du passager s'écrasait sur le nez de Jaffa. Jaffa passait ses bras autour des cuisses de son partenaire et le tirait vers lui. Il lui caressait les fesses et avalait sa queue, il glissait ses doigts entre les fesses du passager. Il les glissait avec de plus en plus de passion.
Il finissait pas glisser un doigt dans le cul du passager. Celui-ci s'est alors contracté a poussé un long gémissement, Jaffas s'est lui aussi contracté. Le passager jutait dans sa bouche et Jaffa à tout avalé, il a continué à sucer la queue du passager pendant encore un moment puis a retiré sa tête.
Je regardais ça, j'aurais fait n'importe quoi pour pouvoir prendre la place du passager. J'étais en manque, et ce spectacle m'excitait au plus haut. Dans sa cage ma queue protestait, elle hurlait silencieusement et elle se redressait. Ça se voyait, la cage était pleine et se relevait, c'était ridicule mais que pouvais-je y faire. J'en pouvais plus, je sentais que j'allais craquer. Pourtant que pouvais-je faire ?
Nous étions toujours nus, et quand on avait une réaction comme la mienne, c'était aussi visible que si je on ne portait rien. Enfin presque …
Le passager ne débandait pas totalement, Jaffa prenait de nouveau cette queue qui lui était proposée. De nouveau Jaffa la prenait dans sa bouche, j'étais juste à côté d'eux et je voyais la queue du passager redevenir dure, bien dure, il bandait de nouveau.
Retourne toi, maintenant je vais t'enculer ! Ordonnait le passager.
Jaffa n'hésitait pas une seconde, il se relevait, regardait bien dans les yeux le passager, lui donnait un baiser sur les lèvres et se retournait. Il se penchait alors en avait et laissait faire.
J'étais juste à côté d'eux, autour de nous il n'y avait plus personne. Tout le monde était parti, ils avaient eux aussi la même réaction que moi. Ils se sentaient à l'étroit dans leurs cage. Je parle là de mes camarades et comme vous le savez nous portions tous un dispositif de chasteté.
Le passager prenait rapidement place. Il lubrifiait, il était prévoyant et avait tout ce qu'il fallait. Puis au moment ou il était prêt il poussait.
Jaffa poussait un cri suivi par un gémissement. C'était du plaisir, je ne pouvais pas en douter. Je l'avais pratiqué le petit Jaffa et je savait comment il fonctionnait. Il aimait bien ce genre de situation. C'est vrai que c'était le seul rôle qu'il pouvait encore jouer.
Le passager s'enfonçait rapidement, il s'enfonçait bien à fond, son ventre s'écrasait sur les fesses de Jaffa. Il poussait alors, il appuyait avec force. Jaffa retournait la tête et le passager l'embrassait.
Ils avaient sans doute bougé ou alors c'est moi qui m'était rapproché sans m'en rendre compte. Ma main frôlait le bras de Jaffa. Il me laissait faire et en profitait pour me tripoter les couilles. Je ne vous raconte pas mais ça ne me calmait pas vraiment. Ma queue protestait encore plus, avec encore plus de force. C'était presque douloureux.
Je suis un mec moi ! Actif, uniquement actif. Et j'avais là, sous les yeux un mec qui était superbe, passif, et qui se faisait enculer. Je lui caressais le dos, ma main descendait sur ses reins puis sur ses fesses pendant que le passager de marque le limait avec force.
Glisse un doigt ! Me demandait le passager.
Je ne le faisait pas répéter, mes doigts glissaient entre les fesses de Jaffa et je glissais mon index dans le cul de Jaffa qui gueulait un peu plus fort. Ça semblait amuser le passager. Mon doigt entrait, ça résistait bien un peu mais je forçais.
Le passager forçait aussi, il accélérait le mouvement. Ses coups devenaient plus forts, plus rapide et j'agitais mon doigt. Jaffa gueulait et en redemandait.
Le passager venait juste d'éjaculer, et il continuait. Il tenait bien le coup et ses coups de bassin devenaient violents, vraiment violents je veux dire.
Ce jeu devait durer encore un long moment. Jaffa se tortillait par moments et tremblait. J'aurais bien aimé me faire sucer par mon compagnon Jaffa. Mais que pouvais-je faire ? Je laissais faire et me retirais du jeux.
Le passager semblait en profiter pour accélérer encore la vitesses et la force des coups et finalement lui aussi gémissait avec force. Il donnait des coups violents et ne se retirait plus comme il le faisait. Il jouissait, il jutait.
Un filet de liquide blanc le confirmait quand il s'est retiré.
Il ne nous a pas salué, il s'est essuyé puis il est reparti. Il m'a juste lancé.
La prochaine fois ce sera ton tour.
Je ne répondais rien, c'est vrai que j'étais retourné. Ma queue hurlait toujours. A ce moment j'étais tellement en manque que j'aurais presque pu dire oui à une telle proposition. Pourtant vous savez que c'est pas pour moi ce genre d'acrobatie. Non moi je suis un mec, un vrai et un vrai mec, il encule il ne se fait pas enculer.
Il ne fallait pas plus de quelques jours pour que j'arrive à ma destination et comme là bas je ne garderais pas mon dispositif de chasteté, je pourrais montrer à tout le monde que je suis un mec, un vrai, un dur, un tatoué … Euh enfin non pas tatoué mais à part ça …
Mais je vous jure qu'au bout d'un moment avec la bite enfermée dans ce genre de dispositif diabolique on finit par avoir des idées bizarres. Non mais franchement c'est vrai ça. Me faire enculer … J'ai déjà essayé remarquez. Quand je dis que je n'aime pas et que c'est pas pour moi, au moins je sais de quoi je parle.
Il y en a qui disent qu'ils n'aiment pas et qui n'ont jamais essayé et qui donc en fait ne savent pas. Peut être qu'ils aimeraient si ça se trouve …
Bon mais je parle, je parle, je parle. Mais ça ne fait pas avancer mon histoire tout ça, surtout que la traversée n'était pas terminée. Surtout que je ne me calmais pas. A part les petites mains, ou les petites bites comme vous voulez, et notre équipe mes cinq camarades avec Jaffa, tout le monde, tous les passagers importants ne portent pas ce dispositif maudit.
Ceux là étaient tranquilles, certains étaient mariés et avaient au moins une femme, quelques uns avaient aussi un époux sous clé, comme il convient, comme la morale l'exige. Dans mon équipe tout le monde était célibataire, les petites mains aussi mais eux au moins il servaient à quelque chose. C'étaient les vide couilles des personnes importantes.
Je le savais, dans quelques jours, le temps du voyage et nous serions au premier cercle, autour du roi. Nous serions libérés, je pourrai alors me laisser aller, il y aurait Jaffa à mes côtés, et Jaffa, moi, je l'aimais bien. Il m'affolait quand il se faisait enculer devant moi mais bon, lui il était résigné. Ce serait ça sa vie, il servirait de vide couille mais comme il aimait ça il ne se plaignait pas.
Ça devenait dure pour moi, mais je tiendrais le coup. Je n'allais pas craquer quelques jours seulement avant la fin de ce voyage. Les cinq ans suivraient seraient tranquilles pour moi, je pourrais m'amuser un peu, je deviendrais moi aussi un personnage important.
Vous vous imaginez je serai alors une membre du premier cercle autour du roi. J'aurais de l'influence, enfin c'est à supposer. Ensuite je reviendrais dans mon village, je prendrais une femme, et j'épouserais aussi Jaffa. Comme il portait déjà un dispositif de chasteté, ça ne poserait aucun problème. Avec tout l'argent que j'aurais gagné, je m’achèterais un grand troupeau de mouton et peut être même un machine à filer la laine, ils en font des gros maintenant qui peuvent filer …
Ces rêves m'aidaient à tenir. Ma queue protestait presque en permanence à partir de ce moment. Tous ces corps nus, toutes ces bites qui se balançaient librement, ces grosses bites, les petites étaient sous clés. J'avais l'impression de devenir fou mais cet avenir, cette belle promesse d'avenir me tenait debout.
Heureusement parce que ma queue continuait à protester de plus en plus fort.
A suivre
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Il garde encore sa cage dans l'épisode qui vient, après seulement ça va changer .
Vivement que ce voyage touche à son terme et qu'on lui enlève sa cage-machin, car ça commence à devenir un peu répétitif.
salut Charly
super récit merci et vivement la suite
super récit merci et vivement la suite