Le roy 13 Terre en vue
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-08-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le roy 13 Terre en vue
Le roy 13
Terre en vue
Tous les jours les personnages importants venaient nous proposer leur bite à sucer ou à se prendre dans le cul. Nous ne savions pas s'ils étaient des personnages importants et puissants et dans le doute mes camarades hésitaient à leur refuser leurs faveurs. Il me fallait beaucoup de diplomatie pour refuser sans les vexer. Pour moi ce genre de truc c'était pas pour moi.
Comme je vous le disais, moi je suis un vrai mec et un vrai mec ne se fait pas enculer, c'est lui qui encule !
Ceci dit il n'aurait certainement pas fallu me proposer plusieurs fois de retirer ma cage pour enculer un de mes camarades. Surtout que quand on est arrivé j'étais le seul à avoir préservé mon cul.
De fait j'étais le seul à m'être privé de tout plaisir sexuel, vu que notre cul était tout ce qui nous restait pour prendre du plaisir. J'avais l'impression que ça faisait des mois que ça durait cette situation. C'était un truc de fou. C'était pire que la première fois ou j'avais gardé le dispositif pendant trois mois. Vous vous souvenez ? C'était quand le marchand m'avait laissé le dispositif sur moi et était reparti avec la clé.
Pendant cette période j'avais su me préserver en évitant trop de stimulations, rester calme ça aide mais là je ne pouvais pas. Non seulement le bateau n'était pas très grand, mais en plus il n'y avait pas vraiment de place pour s'isoler et seuls mes camarades et les petites mains portaient un vêtement. Et pour ce qui est du vêtement il était minuscule … c'était le dispositif de chasteté. Les autres, les voyageurs de marque et l'équipage du bateau étaient à poil, ils avaient tous de grosse queue, et ou que je regarde, je voyais des corps nus, musclés, beau, fermes et de grosses queue qui se balançaient lourdement …
Chaleur ! Chaleur !
En plus dès qu'il y en avait un qui ne savait pas quoi faire, il en profitait pour enculer tranquillement un des porteurs de ce dispositif. Je vous dis, j'étais le seul à avoir réussi à préserver mon cul. C'est vraiment pas pour moi ça. Moi je suis un mec, un vrai !
Mes camarades y étaient tous passé plusieurs fois. Toutes les petites mains aussi, mais pour certains on peut se demander si ce n'est pas leur fonction principal dans la traversée.
Un jour je discutais avec Hohaquim, un des passagers, il avait une belle grosse bite, bien longue, bien lourde, toujours à moitié en érection. Ce devait être l'ambiance qui le mettait dans cet état. Il ne me faisait pas envie, j'avais moi aussi une belle grosse queue mais bon, c'est vrai qu'à cette période je ne pouvais pas trop m'en servir. Par contre ma grosse queue était toujours en semi-érection, ma cage était pleine, bien pleine en permanence. C'était de la folie, j'avais envie d'enculer quelqu'un. Je rêvais la nuit et quand je ne dormais pas j'avais ce spectacle devant les yeux … Ah je vous jure, il ne se privaient pas, il ne se retenaient pas non plus.
Et Hohaquim était le premier. Il venait souvent discuter avec moi. Pour commencer il me tripotait les couilles, juste pour me taquiner. J'évitais de lui rendre la politesse, il l'aurait pris comme une invitation et là je n'aurais jamais pu me débarrasser de lui. Il aurait absolument voulu m'enculer.
Ensuite on parlait. Par moment il bandait un peu plus. Presque à chaque fois, sans prévenir, il attrapait un de mes camarades ou une petites mains et lui disait seulement …
– Viens par là toi ! Tu n'as rien à faire, suce moi donc un peu !
Et la pauvre petite main s'exécutait. Là, juste devant moi. Il se mettait à genoux devant le gars et prenait sa queue dans la bouche. Hohaquim le laissait faire, le petit savait y faire. Et Hohaquim continuait à discuter avec moi. Il était détendu … Moi pas !
Il me racontait comment ça se passait à la cour du roi, j'avais du mal à le suivre par moment. Je regardait la scène qui se passait juste à côté de moi. Il n'était pas rare que si je regardais ailleurs, il y avait au moins un autre duo qui s'était formé également.
Ma queue protestait à n'en plus finir. La cage était trop petite, ça ne pouvait être que ça. C'était terrible, je m'imaginait à sa place, j'imaginais que c'était ma queue qui entrait et ressortait de la bouche du petit gars. J'imaginais ses lèvres, sa langue qui me caressaient le gland et ma queue protestait toujours plus. J'en pouvais plus,
C'est pendant des moment comme celui-ci que je me serais damné, si on m'avait proposé un contrat avec les démons de tous les mondes, j'aurais signé !
Je tentais de rester stoïque et c'était pas facile !
Juste à coté de nous, un passager qui était tranquillement en train de se faire sucer par un de mes camarades, lui demandait de se retourner. Mon camarade s'exécutait sans discuter et sans attendre le passager lui enfilait sa queue dans le cul.
Là je vous jure il me fallait bien des efforts pour rester concentré. J'aurais volontiers pris la place de ce passager. J'aurais volontiers défoncer le cul de mon camarade, je savais que ce serait tellement bien. Mais tout ce que pouvait faire ma queue c'était forcer contre des barreaux indestructibles de cet acier d'Extrêmasie. C'était infernal, heureusement que la fin approchait.
Le passager glissait sa queue dans le cul de mon camarade, elle disparaissait totalement en moins d'une seconde. Le ventre du passager s'écrasait contre les fesses de mon ami qui râlait.
L'autre y allait fort, il y allait de toutes ses force, ma queue protestait, je ne montrait rien. Hohaquim ne disait plus rien, il regardait et laissait faire son partenaire qui lui, n'avait pas arrêté de sucer, la queue de Hohaquim s'enfonçait et disparaissait dans la gorge de son vide couille mais Hohaquim, lui, ne faisait plus rien.
Au bout d'un moment Hohaquim s'adressait à son vide couilles.
– On va faire comme eux, tu te retournes et je vais t'enculer !
Le pauvre semblait surpris, et plus peut être même. Combien de fois s'était-il fait enculé depuis le début de la journée, ne serait-ce que depuis le début de la journée ? J'en ai vu qui se faisait enculer plusieurs fois par jours, mes camarades et moi avions le droit de refuser, nous n'étions pas des petites mains mais des passagers chastes. Mais les petites mains ou petites bites, c'est comme on veut, n'ont pas ce droit. Si on leur dit de prendre position ils prennent position et se font enculer.
Il prenait position mais ne parvenait pas à cacher une certaine crainte. Il faut bien se dire aussi que Hohaquim en avait une grosse.
Hohaquim lubrifiait rapidement et encore plus rapidement enfonçait sa queue, son énorme queue en un mouvement rapide, un mouvement bien directe et bien à fond. Sa victime à hurlé mais n'a pas bougé.
Ensuite suivaient des mouvent de va et vient rapides. Hohaquim se lâchait. Ses coups devenaient rapidement violents, son ventre claquait quand il s'écrasait contre les fesses du petit gars. Et c'était reparti, un autre coups de bassin, encore un coup de queue bien à fond, et un claquement bruyant.
Hohaquim le saisissait par les hanches et le tirait vers lui au moment ou il avançait son bassin avec force. Les coups devenaient de plus en plus rapides, de plus en plus violent, j'avais le vertige.
Je m'imaginais tantôt à la place de l'un et j'avais presque l'impression de ressentir la douleur de sa bite qui me défonçait le cul, je vous jure j'avais mal au cul rien que de le voir et tantôt je m'imaginais à la place de l'autre, et là c'était ma queue qui glissait avec fluidité dans le cul de ma victime. Oui ma victime parce que je vous jure que dans ce cas je ne me retenais pas, j'y allais de bon cœur.
En réponse, je sentais la morsure des barreaux de ma cage à bite.
– Tu as l'air tout bizarre ? Me faisait remarquer Hohaquim.
Il avait raison, j'étais perdu dans mes pensées. Et sa question me réveillait.
– Tu sais Flesh, tu me laisses faire et ça te fera du bien. Regarde lui, disait-il en me montrant de la main le pauvre gars qu'il enculait. Regarde le lui, il gueule, il déguste je ne dis pas. Mais après, ça ira mieux.
Je n'étais pas vraiment convaincu et ça le faisait rire.
– Tu veux vraiment pas que je t'encule. Tu sais tous ces mecs en tirent vraiment du plaisir sinon il ne se laisserais pas faire …
– Oui bein moi j'ai déjà essayé et je n'en ai pas tiré du plaisir.
– Oui bon, je ne dis pas la première fois ça fait toujours un peu mal mais ensuite avec un peu d'entraînement ça ne fait plus mal du tout !
Il était marrant dans son genre Hohaquim, il était marrant mais je n'étais toujours pas convaincu. C'est là qu'il à joui dans le cul du gars. À côté de nous l'autre duo avait terminé et chacun était reparti vaquer à ses occupations.
Je manquais de souffle, la tête me tournait, j'étais en manque et je vous jure je me serais damné pour pouvoir tirer mon coup, mais c'était sans espoir !
Des cris.
– Terre, terre en vue !
Tout le monde se précipitait vers l'avant du bateau, on regardait mais on ne voyait rien, il n'y avait plus un bruit pendant un long moment. Puis de nouveau un bruit.
– Là, là, juste en face.
On apercevait le plus grand bâtiment de la ville qui se dessinait. C'était le palais royal, le reste de la ville apparaissait, le haut du quartier administratif, puis finalement on apercevait la côte. Là tout le monde chantait.
– On y sera ce soir. Me disait Hohaquim. Tu ne veux vraiment pas que je t'encule. Il y a beaucoup de monde là bas et on ne se reverra peut pas avant longtemps.
– C'est un souvenir de toi dont je me passerai. Lui répondais-je.
Personne ne tenait plus en place, au début on avait l'impression que le bateau n'avançait pas, mais plus on approchait plus il nous semblait qu'on avançait vite. C'était l'agitation qui dominait à ce moment. Le bateau prenait position sur le quai, les cordages étaient lancés.
Un officiel du port montait à bord et nous appelait. Il était bien plus âgé nous, il devait avoir au moins quarante ans. Bien musclé, bien bâti, bien monté, il avait une queue énorme qui pendait lourdement à chacun de ses mouvements. On le remarquait bien surtout qu'il ne portait qu'un harnais.
– Les passagers chastes par ici, avec moi.
Nous prenions notre balluchon et le suivions.
– Vous êtes cinq on m'a dit et un accompagnateur. C'est qui l'accompagnateur ?
– Moi répondait Jaffaµ.
– Bien et tu accompagnes qui ?
– Moi ! Répondais-je.
– OK , tu sais qu'un partie de ton salaire lui sera reversé.
– Oui je sais !
– C'est ridicule, tu sais que tu n'aura pas besoin d'un serviteur ni d'un vide couille ?
– Bein oui je sais !
– Enfin c'est toi qui décide, si tu veux on peut encore le renvoyer.
Je voyais un éclair de panique dans les yeux de Jaffa.
– Non, non, Jaffa et moi on ne se sépare pas !
Je voyais un sourire rassuré sur le visage de Jaffa.
– Bon allez ! Direction le premier cercle ! Déclarait l'officiel.
A suivre
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Terre en vue
Tous les jours les personnages importants venaient nous proposer leur bite à sucer ou à se prendre dans le cul. Nous ne savions pas s'ils étaient des personnages importants et puissants et dans le doute mes camarades hésitaient à leur refuser leurs faveurs. Il me fallait beaucoup de diplomatie pour refuser sans les vexer. Pour moi ce genre de truc c'était pas pour moi.
Comme je vous le disais, moi je suis un vrai mec et un vrai mec ne se fait pas enculer, c'est lui qui encule !
Ceci dit il n'aurait certainement pas fallu me proposer plusieurs fois de retirer ma cage pour enculer un de mes camarades. Surtout que quand on est arrivé j'étais le seul à avoir préservé mon cul.
De fait j'étais le seul à m'être privé de tout plaisir sexuel, vu que notre cul était tout ce qui nous restait pour prendre du plaisir. J'avais l'impression que ça faisait des mois que ça durait cette situation. C'était un truc de fou. C'était pire que la première fois ou j'avais gardé le dispositif pendant trois mois. Vous vous souvenez ? C'était quand le marchand m'avait laissé le dispositif sur moi et était reparti avec la clé.
Pendant cette période j'avais su me préserver en évitant trop de stimulations, rester calme ça aide mais là je ne pouvais pas. Non seulement le bateau n'était pas très grand, mais en plus il n'y avait pas vraiment de place pour s'isoler et seuls mes camarades et les petites mains portaient un vêtement. Et pour ce qui est du vêtement il était minuscule … c'était le dispositif de chasteté. Les autres, les voyageurs de marque et l'équipage du bateau étaient à poil, ils avaient tous de grosse queue, et ou que je regarde, je voyais des corps nus, musclés, beau, fermes et de grosses queue qui se balançaient lourdement …
Chaleur ! Chaleur !
En plus dès qu'il y en avait un qui ne savait pas quoi faire, il en profitait pour enculer tranquillement un des porteurs de ce dispositif. Je vous dis, j'étais le seul à avoir réussi à préserver mon cul. C'est vraiment pas pour moi ça. Moi je suis un mec, un vrai !
Mes camarades y étaient tous passé plusieurs fois. Toutes les petites mains aussi, mais pour certains on peut se demander si ce n'est pas leur fonction principal dans la traversée.
Un jour je discutais avec Hohaquim, un des passagers, il avait une belle grosse bite, bien longue, bien lourde, toujours à moitié en érection. Ce devait être l'ambiance qui le mettait dans cet état. Il ne me faisait pas envie, j'avais moi aussi une belle grosse queue mais bon, c'est vrai qu'à cette période je ne pouvais pas trop m'en servir. Par contre ma grosse queue était toujours en semi-érection, ma cage était pleine, bien pleine en permanence. C'était de la folie, j'avais envie d'enculer quelqu'un. Je rêvais la nuit et quand je ne dormais pas j'avais ce spectacle devant les yeux … Ah je vous jure, il ne se privaient pas, il ne se retenaient pas non plus.
Et Hohaquim était le premier. Il venait souvent discuter avec moi. Pour commencer il me tripotait les couilles, juste pour me taquiner. J'évitais de lui rendre la politesse, il l'aurait pris comme une invitation et là je n'aurais jamais pu me débarrasser de lui. Il aurait absolument voulu m'enculer.
Ensuite on parlait. Par moment il bandait un peu plus. Presque à chaque fois, sans prévenir, il attrapait un de mes camarades ou une petites mains et lui disait seulement …
– Viens par là toi ! Tu n'as rien à faire, suce moi donc un peu !
Et la pauvre petite main s'exécutait. Là, juste devant moi. Il se mettait à genoux devant le gars et prenait sa queue dans la bouche. Hohaquim le laissait faire, le petit savait y faire. Et Hohaquim continuait à discuter avec moi. Il était détendu … Moi pas !
Il me racontait comment ça se passait à la cour du roi, j'avais du mal à le suivre par moment. Je regardait la scène qui se passait juste à côté de moi. Il n'était pas rare que si je regardais ailleurs, il y avait au moins un autre duo qui s'était formé également.
Ma queue protestait à n'en plus finir. La cage était trop petite, ça ne pouvait être que ça. C'était terrible, je m'imaginait à sa place, j'imaginais que c'était ma queue qui entrait et ressortait de la bouche du petit gars. J'imaginais ses lèvres, sa langue qui me caressaient le gland et ma queue protestait toujours plus. J'en pouvais plus,
C'est pendant des moment comme celui-ci que je me serais damné, si on m'avait proposé un contrat avec les démons de tous les mondes, j'aurais signé !
Je tentais de rester stoïque et c'était pas facile !
Juste à coté de nous, un passager qui était tranquillement en train de se faire sucer par un de mes camarades, lui demandait de se retourner. Mon camarade s'exécutait sans discuter et sans attendre le passager lui enfilait sa queue dans le cul.
Là je vous jure il me fallait bien des efforts pour rester concentré. J'aurais volontiers pris la place de ce passager. J'aurais volontiers défoncer le cul de mon camarade, je savais que ce serait tellement bien. Mais tout ce que pouvait faire ma queue c'était forcer contre des barreaux indestructibles de cet acier d'Extrêmasie. C'était infernal, heureusement que la fin approchait.
Le passager glissait sa queue dans le cul de mon camarade, elle disparaissait totalement en moins d'une seconde. Le ventre du passager s'écrasait contre les fesses de mon ami qui râlait.
L'autre y allait fort, il y allait de toutes ses force, ma queue protestait, je ne montrait rien. Hohaquim ne disait plus rien, il regardait et laissait faire son partenaire qui lui, n'avait pas arrêté de sucer, la queue de Hohaquim s'enfonçait et disparaissait dans la gorge de son vide couille mais Hohaquim, lui, ne faisait plus rien.
Au bout d'un moment Hohaquim s'adressait à son vide couilles.
– On va faire comme eux, tu te retournes et je vais t'enculer !
Le pauvre semblait surpris, et plus peut être même. Combien de fois s'était-il fait enculé depuis le début de la journée, ne serait-ce que depuis le début de la journée ? J'en ai vu qui se faisait enculer plusieurs fois par jours, mes camarades et moi avions le droit de refuser, nous n'étions pas des petites mains mais des passagers chastes. Mais les petites mains ou petites bites, c'est comme on veut, n'ont pas ce droit. Si on leur dit de prendre position ils prennent position et se font enculer.
Il prenait position mais ne parvenait pas à cacher une certaine crainte. Il faut bien se dire aussi que Hohaquim en avait une grosse.
Hohaquim lubrifiait rapidement et encore plus rapidement enfonçait sa queue, son énorme queue en un mouvement rapide, un mouvement bien directe et bien à fond. Sa victime à hurlé mais n'a pas bougé.
Ensuite suivaient des mouvent de va et vient rapides. Hohaquim se lâchait. Ses coups devenaient rapidement violents, son ventre claquait quand il s'écrasait contre les fesses du petit gars. Et c'était reparti, un autre coups de bassin, encore un coup de queue bien à fond, et un claquement bruyant.
Hohaquim le saisissait par les hanches et le tirait vers lui au moment ou il avançait son bassin avec force. Les coups devenaient de plus en plus rapides, de plus en plus violent, j'avais le vertige.
Je m'imaginais tantôt à la place de l'un et j'avais presque l'impression de ressentir la douleur de sa bite qui me défonçait le cul, je vous jure j'avais mal au cul rien que de le voir et tantôt je m'imaginais à la place de l'autre, et là c'était ma queue qui glissait avec fluidité dans le cul de ma victime. Oui ma victime parce que je vous jure que dans ce cas je ne me retenais pas, j'y allais de bon cœur.
En réponse, je sentais la morsure des barreaux de ma cage à bite.
– Tu as l'air tout bizarre ? Me faisait remarquer Hohaquim.
Il avait raison, j'étais perdu dans mes pensées. Et sa question me réveillait.
– Tu sais Flesh, tu me laisses faire et ça te fera du bien. Regarde lui, disait-il en me montrant de la main le pauvre gars qu'il enculait. Regarde le lui, il gueule, il déguste je ne dis pas. Mais après, ça ira mieux.
Je n'étais pas vraiment convaincu et ça le faisait rire.
– Tu veux vraiment pas que je t'encule. Tu sais tous ces mecs en tirent vraiment du plaisir sinon il ne se laisserais pas faire …
– Oui bein moi j'ai déjà essayé et je n'en ai pas tiré du plaisir.
– Oui bon, je ne dis pas la première fois ça fait toujours un peu mal mais ensuite avec un peu d'entraînement ça ne fait plus mal du tout !
Il était marrant dans son genre Hohaquim, il était marrant mais je n'étais toujours pas convaincu. C'est là qu'il à joui dans le cul du gars. À côté de nous l'autre duo avait terminé et chacun était reparti vaquer à ses occupations.
Je manquais de souffle, la tête me tournait, j'étais en manque et je vous jure je me serais damné pour pouvoir tirer mon coup, mais c'était sans espoir !
Des cris.
– Terre, terre en vue !
Tout le monde se précipitait vers l'avant du bateau, on regardait mais on ne voyait rien, il n'y avait plus un bruit pendant un long moment. Puis de nouveau un bruit.
– Là, là, juste en face.
On apercevait le plus grand bâtiment de la ville qui se dessinait. C'était le palais royal, le reste de la ville apparaissait, le haut du quartier administratif, puis finalement on apercevait la côte. Là tout le monde chantait.
– On y sera ce soir. Me disait Hohaquim. Tu ne veux vraiment pas que je t'encule. Il y a beaucoup de monde là bas et on ne se reverra peut pas avant longtemps.
– C'est un souvenir de toi dont je me passerai. Lui répondais-je.
Personne ne tenait plus en place, au début on avait l'impression que le bateau n'avançait pas, mais plus on approchait plus il nous semblait qu'on avançait vite. C'était l'agitation qui dominait à ce moment. Le bateau prenait position sur le quai, les cordages étaient lancés.
Un officiel du port montait à bord et nous appelait. Il était bien plus âgé nous, il devait avoir au moins quarante ans. Bien musclé, bien bâti, bien monté, il avait une queue énorme qui pendait lourdement à chacun de ses mouvements. On le remarquait bien surtout qu'il ne portait qu'un harnais.
– Les passagers chastes par ici, avec moi.
Nous prenions notre balluchon et le suivions.
– Vous êtes cinq on m'a dit et un accompagnateur. C'est qui l'accompagnateur ?
– Moi répondait Jaffaµ.
– Bien et tu accompagnes qui ?
– Moi ! Répondais-je.
– OK , tu sais qu'un partie de ton salaire lui sera reversé.
– Oui je sais !
– C'est ridicule, tu sais que tu n'aura pas besoin d'un serviteur ni d'un vide couille ?
– Bein oui je sais !
– Enfin c'est toi qui décide, si tu veux on peut encore le renvoyer.
Je voyais un éclair de panique dans les yeux de Jaffa.
– Non, non, Jaffa et moi on ne se sépare pas !
Je voyais un sourire rassuré sur le visage de Jaffa.
– Bon allez ! Direction le premier cercle ! Déclarait l'officiel.
A suivre
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