Le Roy 15 La cour du Roi
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-08-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le Roy 15 La cour du Roi
Le Roy 15
La cour du Roi
En entrant dans le second bâtiment, pour être plus précis la seconde partie du palais, celle qui était réservée à premier et au second cercle Jaffa était orienté vers une autre direction, on lui confiait nos baluchons. Des petites mains l'accompagnaient et une petite main nous guidait, nous le suivions.
Il nous conduisait vers le cœur du bâtiment, on traversait une cour circulaire. On entrait ensuite dans un grand bâtiment, c'était luxueux, il y avait des rideaux aux murs, d'étranges pierres plates et totalement transparentes aux fenêtre. La lumières rentrait on pouvait voir le ciel comme s'il n'y avait rien mais le vent lui ne passait pas. Il y avait des tapis partout, c'est plus agréable que de marcher sur le sol en marbre qui est froid. Un peut partout il y avait des statues, le plus souvent de marbre.
C'était extraordinaire, extraordinairement beau, on avait vraiment l'impression d'être dans un palais, un vrai. C'était tellement beau que j'avais oublié que je bandais, et j'étais pas le seul.
– Sommes nous vraiment présentables ? Demandait un de mes camarades.
– Vous avez la chance de pouvoir bander, alors ne venez pas vous plaindre. Lui répondait sèchement le petite main.
C'est vrai que lui ne le pouvait pas. Il portait un dispositif de chasteté de petite taille. Je trouvais que le mien était microscopique, en fait il était de belle taille mais cette impression venait du fait que ma queue était dedans. Son dispositif était bien plus petit que celui que nous portions la veille.
Une lourde porte de cinq mètres de haut s'ouvrait devant nous. La salle qui s'ouvrait devant nous était devait avoir au moins dix mètre de plafond et était totalement circulaire. Un balcon faisait le tour de la salle, il était plein. Des petites mains, uniquement des petites mains et des gardes internes.
Les gardes internes étaient des gardes chastes, il appartenaient au second cercle. Seul les membres du premier cercle ne portaient pas de dispositif de chasteté. C'est à ce cercle que mes camarades et moi appartenaient.
Une haie d'honneur de gardes internes s'alignait le long du tapis rouge qui conduisait au centre de la salle. Notre guide s'écartait et nous faisait signe d'avancer. On avançait, au centre de la salle il y avait un trône, et assis dessus, ce devait être le Roi.
Nous approchions, on n'était pas fier surtout qu'on bandait. On bandait ferme même … Le Roi nous faisait signe d'avancer, nous nous présentions devant lui, on s'inclinait. Nous étions nus, il portait une cape qui semblait très légère, on pouvait en juger à la manière dont l'étoffe flottait et bougeait.
Il me montrait du doigt.
– Toi approche !
Je m'approchais jusqu'en bas du trône, il y avait quatre marche pour arriver au trône. J'inclinais la tête.
– Voilà donc le nouveau cercle. Ma fois, on m'a encore gâté, ils sont tous plus beaux les uns que les autres. Toi, qui es tu, d’où viens-tu, quel est ton nom ? Présente toi, parle moi de toi.
Là je ne vous dis pas j'étais tétanisé. Je bafouillais un peu au début, mais le Roy avait l'air bienveillant, je finissait par articuler correctement. Je le regardais il me souriais. Il était beau, vraiment beau. Il était jeune, il ne devait pas avoir beaucoup plus de trente ans. Son corps était musclé et harmonieux, sa peau semblait douce, il n'avait pas un poil sur le corps. Sa cape lui recouvrait les épaules et sur sa tête il y avait une couronne jaune qui brillait.
Je bandais toujours, ma queue se redressait fière à la verticale et se plaquait contre mon ventre. Il ne semblait pas en être gêné. Au contraire peut être même. Je suivais son regard et souvent il s'attardait sur ma bite. Au début j'étais gêné par cette érection que je ne parvenais toujours pas à contrôler mais je finissait par me sentir tout à fait à mon aise.
Un autre de mes camarades suivait et prenait ma place. Il était dans le même état que moi, il bandait lui aussi. Nous bandions toujours fermement tous les quatre. Il était un peu moins intimidé que moi, il avait pu voir comment ça se passait avec moi.
Nous somme passé tous les quatre, au pied du trône, à nous présenter. Le Roi semblait ravi. Nous nous placions comme on nous indiquait, côté à côté avec chacun une érection qui ne se calmait pas, toujours pas. Là je commençais à avoir une violente envie de me branler et c'est pas ça qui risquait de me calmer.
Le roi se levait, et on découvrait son dispositif de chasteté.
Je me demandais dans quel monde nous étions tombé, tout le monde ici portait un dispositif de chasteté, j'avais imaginé que c'était pour le plaisir du roi, j'avais imaginé que le premier cercle auquel j'allais appartenir était là pour le distraire mais là je ne comprenais plus.
La garde interne portait le dispositif de chasteté, les petites mains portaient un dispositif de chasteté et le Roi …
Le Roi portait lui aussi une tel dispositif.
Il descendait de son trône retirait sa cape, nous pouvions admirer son corps, il était vraiment beau. Il bougeait avec élégance, son corps était totalement dépourvu de poil et sa peau devait être vraiment douce. Je bandais encore plus.
Il tournait autour de nous, il nous touchait, nous caressait. Sa main glissait sur mes épaules et descendait le long de mon dos. Il me caressait ensuite les côtés de mon corps et sa mains continuait sur mon torse et sans montrer le moindre embarras se refermait sur ma queue.
Il me branlait, juste quelques mouvement de la main avant de ma tâter les couilles et passait à mon camarade.
C'est là que j'ai réagi.
Dans la salle nous étions les seuls à ne pas porter ce dispositif maudit. Ici le dispositif était béni. Les gardes, les petites mains, toutes les personnes qui entouraient le Roi portaient un dispositif de chasteté.
Je tournais la tête et je pouvais voir le Roi caresser le corps de mon camarade avec la même douceur que pour moi. Lui aussi bandait et ce que nous faisait le Roi ne risquait pas de nous calmer ?
Je sentais ma queue tendue comme jamais, je bandais depuis un moment déjà et je ne me calmais pas.
Je regardais vers le balcon, il y avait un premier balcon qui faisait le tour de la salle circulaire. Là il n'y avait que des petites mains, ils observaient la scène, c'était un peu comme au spectacle, surtout que ce spectacle devait être rares. Ils pouvaient se rincer l’œil et comme ils étaient en manque, ce devait être un vrai spectacle pour eux.
Plus discret il y avait un balcon au dessus, mais là les hommes qui s'y étaient regroupés étaient nus et ne portaient pas ce dispositif. Je comprenais que ce devait être le premier cercle. Je ne connaissais personne, pour être plus précis je ne connaissais encore personne. Mes idées vagabondaient ainsi jusqu'au plafond en dôme.
C'est le roi qui me ramenait sur terre, je sentais quelque chose de doux qui entourait ma queue. Je baissais les yeux, c'était le Roy qui la prenait dans sa bouche. Il savait s'y prendre le gars. Ma queue disparaissait totalement dans sa bouche, je la sentais glisser dans gorge. C'était génial.
Il prenait mes mains et les posait sur l'arrière de sa tête. Il la relevait et me disait.
– Vas y lâche toi, prend moi comme une pute, ne te retiens pas.
Il reprenait ma queue dans sa bouche aussitôt.
Je n'osais pas, au début, je n'osais pas. Puis j'ai tenté un coups de bassin, il a encaissé, j'en tentais un autre, plus violent et je continuais en tirant avec force sa tête vers moi. Des coups suivaient, tous plus violents. Il faisait des bruits bizarres et amusant, je commençais à apprécier la situation moi.
Il me retenait, se retirait et se tournait vers mon camarade, juste à côté. Je suivais le mouvement, et me tournais vers le Roi, je continuais à le caresser pendant qu'il recevait des coups de bite dans la gorge de la part de mon camarade.
Le Roi avait le visage tout rouge quand il se tournait vers le troisième d'entre nous. Il le suçait lui aussi avec expertise, il prenait sa queue dans la gorge avec facilité. Celui-là n'attendait pas qu'on lui demande pour se lâcher, il saisissait tout de suite la tête du Roy et lui balançait un violent et rapide coup de bassin dans la figure, sa bite s'écrasait bien au fond de sa gorge.
Au moment ou le Roi passait au dernier d'entre nous un des petites mains me faisait comprendre par signe que je devais enculer le Roi. J'ai hésité, je me demandait s'il ne se moquait pas de moi. Se faire sucer par le Roi c'est une chose mais l'enculer …
Un autre des petites mains me faisait les mêmes signes. Pendant ce temps là mes camarades s'affairaient autour du Roi, le caressaient, un lui tripotait les couilles, l'autre appuyait bien sa tête contre lui en lui enfonçant sa bite bien à fond. Ils le caressaient aussi et le couvraient de baiser.
Finalement j'étais le moins rapide à réagir. Je me décidais, je me lubrifiait bien la queue, on m'a donné ce qu'il fallait, puis sans prévenir j'ai poussé ma queue directe dans son cul, de toutes mes forces, sans préliminaires.
Le Roi à relevé la tête et à hurlé. Son cri se terminait par un … '' Oh oui encore, vas y !''.
Face à cette réaction je me retirait rapidement et revenait avec force. Mon ventre claquait contre ses fesses, d'abord j'étais surpris qu'il ne dise plus rien mais un de mes camarades lui tenait fermement la tête et lui défonçait la bouche. C'était donc normal.
Je le limais pendant un long moment avec force et violence. Puis un de mes camarades jouait les coude et me poussait. Je me retirais pour reprendre un peu mon souffle pendant que lui bousculait le Roi, le retournait sur le dos, lui relevait les jambes et l'enculait à son tour avec force.
Cette position semblait plus efficace, le Roi gueulait de plaisir, il en redemandait. En fait c'était parce que personne ne lui avait encore rempli la bouche … Ça n'a pas duré. Quelques instants plus tard il ne disait plus rien.
Je lui tripotais les couilles et je m'amusait avec sa cage. Je remarquait qu'il n'y avait pas de serrure. Le dispositif était fermé en force. Je devinais que le roi ne le retirerait jamais.
Ça ne m'a pas arrêté. Je me suis bien essuyé la queue et je la lui enfonçait dans la bouche écartant ainsi un de mes camarades. La fièvre montait, on se bousculait pour avoir la place.
De nouveau on retournait le Roi. Les gardes surveillaient les opération avec attention. Il ne fallait pas abîmer le Roi, mais de toutes évidences on pouvait le baiser dans tous les sens, comme une pute. En temps normal c'était notre roi mais en ce moment c'était notre pute de luxe.
Le Roi se retrouvait de nouveau sur le dos mais allongé sur un de mes camarades, la queue de mon camarade bien plantée dans son cul. Un autre prenait place, relevait les cuisses du Roi et enfonçait alors sa queue dans son cul qui était déjà occupé. Le Roi hurlait, la queue du second mec s'enfonçait, on faisait taire le Roi de nouveau en lui remplissant la bouche.
Autour de nous il y avait des murmures qui venaient d'un peu partout. Les gardes montraient de la gène au niveau de leurs cages à bites mais restaient présentables.
Le Roi gémissait et continuait à gémir, moins fort certes mais il gémissait tout de même, au moment ou nous nous calmions. La fièvre retombait, un de mes camarades était allongé, totalement essoufflé. J'étais assis sur une des marches du trône. Le roi était là sur le sol, presque mort de plaisir.
Notre entrée dans le premier cercle était validé.
A suivre
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
La cour du Roi
En entrant dans le second bâtiment, pour être plus précis la seconde partie du palais, celle qui était réservée à premier et au second cercle Jaffa était orienté vers une autre direction, on lui confiait nos baluchons. Des petites mains l'accompagnaient et une petite main nous guidait, nous le suivions.
Il nous conduisait vers le cœur du bâtiment, on traversait une cour circulaire. On entrait ensuite dans un grand bâtiment, c'était luxueux, il y avait des rideaux aux murs, d'étranges pierres plates et totalement transparentes aux fenêtre. La lumières rentrait on pouvait voir le ciel comme s'il n'y avait rien mais le vent lui ne passait pas. Il y avait des tapis partout, c'est plus agréable que de marcher sur le sol en marbre qui est froid. Un peut partout il y avait des statues, le plus souvent de marbre.
C'était extraordinaire, extraordinairement beau, on avait vraiment l'impression d'être dans un palais, un vrai. C'était tellement beau que j'avais oublié que je bandais, et j'étais pas le seul.
– Sommes nous vraiment présentables ? Demandait un de mes camarades.
– Vous avez la chance de pouvoir bander, alors ne venez pas vous plaindre. Lui répondait sèchement le petite main.
C'est vrai que lui ne le pouvait pas. Il portait un dispositif de chasteté de petite taille. Je trouvais que le mien était microscopique, en fait il était de belle taille mais cette impression venait du fait que ma queue était dedans. Son dispositif était bien plus petit que celui que nous portions la veille.
Une lourde porte de cinq mètres de haut s'ouvrait devant nous. La salle qui s'ouvrait devant nous était devait avoir au moins dix mètre de plafond et était totalement circulaire. Un balcon faisait le tour de la salle, il était plein. Des petites mains, uniquement des petites mains et des gardes internes.
Les gardes internes étaient des gardes chastes, il appartenaient au second cercle. Seul les membres du premier cercle ne portaient pas de dispositif de chasteté. C'est à ce cercle que mes camarades et moi appartenaient.
Une haie d'honneur de gardes internes s'alignait le long du tapis rouge qui conduisait au centre de la salle. Notre guide s'écartait et nous faisait signe d'avancer. On avançait, au centre de la salle il y avait un trône, et assis dessus, ce devait être le Roi.
Nous approchions, on n'était pas fier surtout qu'on bandait. On bandait ferme même … Le Roi nous faisait signe d'avancer, nous nous présentions devant lui, on s'inclinait. Nous étions nus, il portait une cape qui semblait très légère, on pouvait en juger à la manière dont l'étoffe flottait et bougeait.
Il me montrait du doigt.
– Toi approche !
Je m'approchais jusqu'en bas du trône, il y avait quatre marche pour arriver au trône. J'inclinais la tête.
– Voilà donc le nouveau cercle. Ma fois, on m'a encore gâté, ils sont tous plus beaux les uns que les autres. Toi, qui es tu, d’où viens-tu, quel est ton nom ? Présente toi, parle moi de toi.
Là je ne vous dis pas j'étais tétanisé. Je bafouillais un peu au début, mais le Roy avait l'air bienveillant, je finissait par articuler correctement. Je le regardais il me souriais. Il était beau, vraiment beau. Il était jeune, il ne devait pas avoir beaucoup plus de trente ans. Son corps était musclé et harmonieux, sa peau semblait douce, il n'avait pas un poil sur le corps. Sa cape lui recouvrait les épaules et sur sa tête il y avait une couronne jaune qui brillait.
Je bandais toujours, ma queue se redressait fière à la verticale et se plaquait contre mon ventre. Il ne semblait pas en être gêné. Au contraire peut être même. Je suivais son regard et souvent il s'attardait sur ma bite. Au début j'étais gêné par cette érection que je ne parvenais toujours pas à contrôler mais je finissait par me sentir tout à fait à mon aise.
Un autre de mes camarades suivait et prenait ma place. Il était dans le même état que moi, il bandait lui aussi. Nous bandions toujours fermement tous les quatre. Il était un peu moins intimidé que moi, il avait pu voir comment ça se passait avec moi.
Nous somme passé tous les quatre, au pied du trône, à nous présenter. Le Roi semblait ravi. Nous nous placions comme on nous indiquait, côté à côté avec chacun une érection qui ne se calmait pas, toujours pas. Là je commençais à avoir une violente envie de me branler et c'est pas ça qui risquait de me calmer.
Le roi se levait, et on découvrait son dispositif de chasteté.
Je me demandais dans quel monde nous étions tombé, tout le monde ici portait un dispositif de chasteté, j'avais imaginé que c'était pour le plaisir du roi, j'avais imaginé que le premier cercle auquel j'allais appartenir était là pour le distraire mais là je ne comprenais plus.
La garde interne portait le dispositif de chasteté, les petites mains portaient un dispositif de chasteté et le Roi …
Le Roi portait lui aussi une tel dispositif.
Il descendait de son trône retirait sa cape, nous pouvions admirer son corps, il était vraiment beau. Il bougeait avec élégance, son corps était totalement dépourvu de poil et sa peau devait être vraiment douce. Je bandais encore plus.
Il tournait autour de nous, il nous touchait, nous caressait. Sa main glissait sur mes épaules et descendait le long de mon dos. Il me caressait ensuite les côtés de mon corps et sa mains continuait sur mon torse et sans montrer le moindre embarras se refermait sur ma queue.
Il me branlait, juste quelques mouvement de la main avant de ma tâter les couilles et passait à mon camarade.
C'est là que j'ai réagi.
Dans la salle nous étions les seuls à ne pas porter ce dispositif maudit. Ici le dispositif était béni. Les gardes, les petites mains, toutes les personnes qui entouraient le Roi portaient un dispositif de chasteté.
Je tournais la tête et je pouvais voir le Roi caresser le corps de mon camarade avec la même douceur que pour moi. Lui aussi bandait et ce que nous faisait le Roi ne risquait pas de nous calmer ?
Je sentais ma queue tendue comme jamais, je bandais depuis un moment déjà et je ne me calmais pas.
Je regardais vers le balcon, il y avait un premier balcon qui faisait le tour de la salle circulaire. Là il n'y avait que des petites mains, ils observaient la scène, c'était un peu comme au spectacle, surtout que ce spectacle devait être rares. Ils pouvaient se rincer l’œil et comme ils étaient en manque, ce devait être un vrai spectacle pour eux.
Plus discret il y avait un balcon au dessus, mais là les hommes qui s'y étaient regroupés étaient nus et ne portaient pas ce dispositif. Je comprenais que ce devait être le premier cercle. Je ne connaissais personne, pour être plus précis je ne connaissais encore personne. Mes idées vagabondaient ainsi jusqu'au plafond en dôme.
C'est le roi qui me ramenait sur terre, je sentais quelque chose de doux qui entourait ma queue. Je baissais les yeux, c'était le Roy qui la prenait dans sa bouche. Il savait s'y prendre le gars. Ma queue disparaissait totalement dans sa bouche, je la sentais glisser dans gorge. C'était génial.
Il prenait mes mains et les posait sur l'arrière de sa tête. Il la relevait et me disait.
– Vas y lâche toi, prend moi comme une pute, ne te retiens pas.
Il reprenait ma queue dans sa bouche aussitôt.
Je n'osais pas, au début, je n'osais pas. Puis j'ai tenté un coups de bassin, il a encaissé, j'en tentais un autre, plus violent et je continuais en tirant avec force sa tête vers moi. Des coups suivaient, tous plus violents. Il faisait des bruits bizarres et amusant, je commençais à apprécier la situation moi.
Il me retenait, se retirait et se tournait vers mon camarade, juste à côté. Je suivais le mouvement, et me tournais vers le Roi, je continuais à le caresser pendant qu'il recevait des coups de bite dans la gorge de la part de mon camarade.
Le Roi avait le visage tout rouge quand il se tournait vers le troisième d'entre nous. Il le suçait lui aussi avec expertise, il prenait sa queue dans la gorge avec facilité. Celui-là n'attendait pas qu'on lui demande pour se lâcher, il saisissait tout de suite la tête du Roy et lui balançait un violent et rapide coup de bassin dans la figure, sa bite s'écrasait bien au fond de sa gorge.
Au moment ou le Roi passait au dernier d'entre nous un des petites mains me faisait comprendre par signe que je devais enculer le Roi. J'ai hésité, je me demandait s'il ne se moquait pas de moi. Se faire sucer par le Roi c'est une chose mais l'enculer …
Un autre des petites mains me faisait les mêmes signes. Pendant ce temps là mes camarades s'affairaient autour du Roi, le caressaient, un lui tripotait les couilles, l'autre appuyait bien sa tête contre lui en lui enfonçant sa bite bien à fond. Ils le caressaient aussi et le couvraient de baiser.
Finalement j'étais le moins rapide à réagir. Je me décidais, je me lubrifiait bien la queue, on m'a donné ce qu'il fallait, puis sans prévenir j'ai poussé ma queue directe dans son cul, de toutes mes forces, sans préliminaires.
Le Roi à relevé la tête et à hurlé. Son cri se terminait par un … '' Oh oui encore, vas y !''.
Face à cette réaction je me retirait rapidement et revenait avec force. Mon ventre claquait contre ses fesses, d'abord j'étais surpris qu'il ne dise plus rien mais un de mes camarades lui tenait fermement la tête et lui défonçait la bouche. C'était donc normal.
Je le limais pendant un long moment avec force et violence. Puis un de mes camarades jouait les coude et me poussait. Je me retirais pour reprendre un peu mon souffle pendant que lui bousculait le Roi, le retournait sur le dos, lui relevait les jambes et l'enculait à son tour avec force.
Cette position semblait plus efficace, le Roi gueulait de plaisir, il en redemandait. En fait c'était parce que personne ne lui avait encore rempli la bouche … Ça n'a pas duré. Quelques instants plus tard il ne disait plus rien.
Je lui tripotais les couilles et je m'amusait avec sa cage. Je remarquait qu'il n'y avait pas de serrure. Le dispositif était fermé en force. Je devinais que le roi ne le retirerait jamais.
Ça ne m'a pas arrêté. Je me suis bien essuyé la queue et je la lui enfonçait dans la bouche écartant ainsi un de mes camarades. La fièvre montait, on se bousculait pour avoir la place.
De nouveau on retournait le Roi. Les gardes surveillaient les opération avec attention. Il ne fallait pas abîmer le Roi, mais de toutes évidences on pouvait le baiser dans tous les sens, comme une pute. En temps normal c'était notre roi mais en ce moment c'était notre pute de luxe.
Le Roi se retrouvait de nouveau sur le dos mais allongé sur un de mes camarades, la queue de mon camarade bien plantée dans son cul. Un autre prenait place, relevait les cuisses du Roi et enfonçait alors sa queue dans son cul qui était déjà occupé. Le Roi hurlait, la queue du second mec s'enfonçait, on faisait taire le Roi de nouveau en lui remplissant la bouche.
Autour de nous il y avait des murmures qui venaient d'un peu partout. Les gardes montraient de la gène au niveau de leurs cages à bites mais restaient présentables.
Le Roi gémissait et continuait à gémir, moins fort certes mais il gémissait tout de même, au moment ou nous nous calmions. La fièvre retombait, un de mes camarades était allongé, totalement essoufflé. J'étais assis sur une des marches du trône. Le roi était là sur le sol, presque mort de plaisir.
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A suivre
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