Le Roy 21 Le terrible accident
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-09-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le Roy 21 Le terrible accident
Le Roy 21
Le terrible accident
Quelquefois la destinée d'un homme peut changer en un instant, il ne faut presque rien pour tout changer. Je n'était à la cour que depuis quelques mois, mes camarades qui étaient arrivés avec moi étaient eux aussi très bien adapté, et c'est sans efforts que nous nous enrichissions tranquillement. Ce jour là, je m'en souviens très bien j'étais au service du Roi.
Comme tous les jours il s'était levé et on lui avait fait un câlin. Nous étions quatre à dormir avec le roi, il ne dormait jamais seul, lui seul portait une cage de chasteté.
Nous le caressions, nous le couvrions de baisers, autour du lit il y avait tout un groupe de petites mains qui portaient, tout comme le roi un dispositif de chasteté. Pour eux, c'était frustration garantie, pour le roi plaisir garanti mais frustration aussi. Pour nous quatre, pas de frustration, que du plaisir. Si certains ne jouissaient pas dans la bouche ou dans le cul du roi, ce n'était pas bien grave, pas vraiment frustrant. Il prendraient leur plaisir un peu plus tard. On n'était pas en manque mais vraiment pas en manque de sexe.
Il n'était pas rare que je baise plusieurs fois dans la journée. Toutefois pendant les quatre jours qu'on passait au service du roi, on devait se réserver uniquement pour lui. C'était un petit sacrifice mais comme je vous dis, on n'était pas en manque de sexe.
Allongé sur le dos, le roi ouvrait un œil et tournait la tête dans vers moi. Je me redressais et lui enfonçais ma queue dans la bouche. Je ne lui demandais rien, on était là pour ça. Il suçait bien, vraiment bien, c'est vrai aussi qu'il avait de l'entraînement il suçait plusieurs queue par jour.
Mes camarades caressaient le corps de notre roi, ce n'était que douceur, il avait un corps magnifique, il devait avoir une grosse queue aussi mais ça, c'était sans importance, il ne devait plus s'en servir !
Mes camarades couvraient le corps du roi de caresses et de baisers. Moi je lui limais la bouche. Sa langue était habile, elle tournait autour de mon gland et le stimulait avec autant de force que de douceur.
C'était mon roi, j'étais son serviteur mais ces moment de partage érotique, je devait surtout oublier qu'il était mon roi, je devais surtout oublier de le respecter. C'était valable pour nous tous. On était là pour le baiser, le faire crier de plaisir, le pousser à nous implorer et à se comporter comme une chienne face à son mâle dominant.
Toutefois le respect revenait quand les ébats érotiques se terminaient. Là nous redevenions les serviteurs attentifs. Nous devions alors être aux petits soins pour notre roi.
Je plaçais ma main derrière sa tête, et appuyais fermement, je l'obligeais à avaler ma queue jusqu'à la garde. Je faisais très attention à ses réactions. Mais je n'en tenais pas toujours compte. C'était mon plaisir qui comptait, mon plaisir, mon désir que je suivais. Son plaisir, le roi le prenait dans le nôtre.
Je me retenais pas de bien pousser ma queue dans sa gorge, elle entrait complètement. Elle était de belle taille et je me demandais toujours comment il faisait. Par moment c'était un jeu, je tentais de le pousser aux limites de sa résistance. Il ne me le reprochais jamais.
Un de mes camarades prenait ma place. Lui non plus ne se retenait pas, lui aussi enfonçait sa queue bien dans gorge de notre roi. Il était là pour encaisser, c'est tout ce qu'il avait à faire pendant ces séances de baise.
Oui vas y ! Toi … Me disait le roi en me caressant les couilles.
On continuait à câliner notre prince. Nos mains se promenaient sur corps, on insistait de plus en plus lourdement sur ses couilles et quelques doigts s'égaraient dans son cul. C'est là que j'intervenais.
Je prenais position. On retournait le roi, c'est moi qu'il avait choisi. Autour de nous les petites mains nous observaient, certains prenaient des notes. Tout était noté, duré de l'acte ainsi que sa force. Il était bon que le roi de face défoncer le cul pendant une bonne demie heure avec des moments doux autant que des moment d'une certaine violence.
Je me penchais sur le corps du roi et commençais à le mordiller doucement en commencent en haut de son cou, je commençais déjà à lui ouvrir et à lui lubrifier le cul. Rapidement c'était violent et je vous jure que, pour rien au monde, je n'aurais voulu être à la place.
Mes doigts n'étaient pas les seuls à se glisser dans son cul. Puis le je me laissais retomber sur son dos et dans le même mouvement je me glissait avec force en lui, un peu comme je l'avais fait avec sa bouche. Je lui avais bien limé la bouche, et là en quelques instant je lui limais fermement le cul. C'était un peu violent, c'était voulu, il râlait quelque fois il gueulait. Je lui limait le cul avec violence, je ne prenais pas le temps d'attendre, je le prenais et je faisais durer le plaisir, enfin mon plaisir.
Je me demandais toujours comment il pouvait supporter ça. Pourtant il encaissait, il encaissait toujours. Des signes s'échangeaient autour de nous, les petites mains surveillaient le timing. Je le comprenais et je me lâchais, j'éjaculais dans son cul puis je ressortais et là je terminais d'éjaculer sur son dos.
Nous passions à la douche.
Sous la douche, l'ambiance se calmait, chacun l'avait son voisin et tous prenaient soin du roi qui ressortait tout propre. Il choisissait sa tenue, un harnais et une cape rouge, puis il s'empalait sur sa chaise à porteur. Une chaise à porteur équipée d'un beau gode qui se voyait, puis partait faire le tour des remparts.
Le roi était acclamé par tous, comme le protocole le prévoit il se levait à plusieurs reprises pour saluer et montrait bien qu'il était empalé, comme le protocole le prévoit …
Plus tard on retrouvait le roi a sa table. On dînait, on discutait. Nous avions ce privilège et c'est à ce moment que nous pouvions intervenir pour soutenir ceux qui avaient sollicité, on jouait les conseilleurs mais rien n'était gratuit. Au bout de cinq ans, à la fin de notre engagement nous serions tous très riches.
Le roi avait aussi des moments de détente, il décidait de faire une petite sortie à cheval en attendant le moment des doléances. Je m'étais mis à l'équitation pour pouvoir suivre mon roi. On utilisait une selle légère en tissus, pour le confort et c'est entièrement nus que nous partions ver la prairie. C'était une grande zone, avec une forêt au nord du palais royal.
J'avais fini par prendre goût à cet exercice, j'aimais le vent sur mon corps, la force de l'animal, et j'aimais bien aussi sentir mes couilles et ma bite se balancer au rythme du galop et du trot.
Quand on revenait au palais, en règles générales, je bandais ferme. Je me sentais bien, l'effort nous donne cette fatigue réconfortante, on transpirait et on repassait sous la douche. Le roi nous laissait faire, il nous laissait le savonner, il nous laissait le cajoler et lui caresser tout le corps.
On ne le faisait pas tous les jours mais très souvent, on pouvait aussi faire une longue séance de natation, il y avait un plan d'eau pas très profond même si au milieu on n'avait pas pied.
Moi qui était né dans un désert, j'avais appris à nager pour pouvoir suivre le roi qui était très sportif, et pour rester en forme aussi. Tous mes camarades faisaient comme moi, nous étions des baiseurs et il fallait toujours donner envie de se faire baiser par nous.
J'aimais bien la natation, j'aimais sentir l'eau courir sur tout mon corps, glisser dans les recoins les plus discrets de mon anatomie. J'aimais sentir ma queue se balancer avec légèreté dans l'eau. Ma queue était lourde mais là, dans l'élément liquide elle ne pesait plus rien.
Ça me faisait bander et quand je ressortais de l'eau je bandais.
Le roi était sensible à ma plastique, je le savais, je le voyais, je ne cachais pas mon corps, je ne couvrais pas ma nudité. C'est vrais que nous n'avions pas de vêtements. Nous n'en avions pas besoin.
Nous étions très bien comme ça. Nus, naturellement nus et détendus. On avait le droit de bander, on avait le droit de baiser qui nous voulions. Même pas besoin de nous cacher ou de nous isoler. Si un d'entre nous voulait enculer un mec de rencontre ou bien son régulier, il n'avait qu'à le faire. Toutes les parties publiques étaient à sa disposition. Les autres autour pouvait regarder ou faire ce qu'ils voulaient.
Mais il fallait rester sérieux, pendant les jours ou nous étions à la disposition du roi, on devait se consacrer à lui et à lui seul. Seule la masturbation était interdite. C'est un peu normal, ni les petites mains, ni les gardes, ni le roi ne pouvaient se masturber.
La sanction était sévère, la cage à bite permanente. Mais cette punition n'était jamais prononcé, il était plus facile de respecter la règle que de l'enfreindre. Si on était pris d'une grosse envie, on attrapait une petite main … '' Suce moi bonhomme ! '' , et hop l'envie passait …
C'était la belle vie.
Je vous parlais donc au départ d'un terrible accident.
Le roi était parti faire une balade à cheval, mais tout le monde revenait complètement paniqué. Je me souviens j'ai vu le roi allongé sur un brancard, il n'avait pas l'air bien. Il bougeait la main, je me suis précipité. Des gardes m'empêchaient d'approcher, ils avaient mauvaise mine.
Un des gardien me disait quelques mots et ne me cachait pas que la situation.
– Tu sais Flesh, au niveau des rochers du diable … Le roi est tombé ! Ça n'a pas l'air bon, il ne peut plus bouger les jambes.
– Le médecin royal faisait installer le roi dans sa chambre et faisait venir en urgence plusieurs de ses collègues.
On conduisait le roi tout doucement, en prenant le plus grand soin de ne pas le remuer, deux confidents lui tenaient la main pour le réconforter. Il n'avait pas de blessures apparentes. Une petite tache de sang perlait sous sa tête. C'est tout ce que je pouvais voir.
On m'envoyait chercher des fruits, une grosse corbeille de fruits, on envoyait un de mes camarades chercher plusieurs carafes d'eau. Je fonçais sans réfléchir. Il avait dit des fruits, il n'avait rien précisé. J'arrivais aux cuisines et je prenais une grande corbeille de fruits. Je choisissais plusieurs des fruits préférés du roi. Je connaissais ses goûts.
Je paniquais, je m'inquiétais, je ne sais plus mais il me semble que je pleurais aussi. Je repartais avec cette corbeille avec l'espoir que cela pourra réconforter le roi. Je me disais qu'il y avait les meilleurs médecins du royaume, que le roi serait vite sur pieds. Je courais, je fonçais, je ne sais pas comment je ne suis pas tombé. J'arrivais dans le grand couloir juste devant la chambre du roi. Je connaissais bien l'endroit, la nuit précédente j'y avais dormi.
La je me souviens, j'étais en larme quand j'arrivais à la porte de la chambre du roi, j'entendais cette chanson, ce chant répétitif dont je ne comprenais pas les paroles.
J'approchais deux gardes fermaient l'entrée en croisant leurs hallebardes. Là je comprenais les paroles, elles résonnaient maintenant dans tout le palais.
'' Le roi est mort ! Qui sera notre roi ? ''
Cette phrase était répétée et répétée encore. Elle résonnait maintenant dans tout le palais.
Là j'ai paniqué, l'angoisse m'a prise à la gorge, j'ai foncé, les gardes m'ont laissé entrer et on recroisé leurs hallebardes après mon passage.
Au pied du lit, tout autour du lit, tout le monde était à genoux ou un genou à terre et psalmodiait cette phrase à moitié chantée.
'' Le roi est mort ! Qui sera notre roi ? ''
Puis ils on remarqué ma présence, mon camarade arrivait avec les carafes d'eau, on ne le laissait pas rentrer.
'' Le roi est mort ! Qui sera notre roi ? ''
En silence ils se sont tous tournés vers moi et on recommencé à psalmodier …
'' Le roi est mort ! TU seras notre roi ? ''
A suivre
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Le terrible accident
Quelquefois la destinée d'un homme peut changer en un instant, il ne faut presque rien pour tout changer. Je n'était à la cour que depuis quelques mois, mes camarades qui étaient arrivés avec moi étaient eux aussi très bien adapté, et c'est sans efforts que nous nous enrichissions tranquillement. Ce jour là, je m'en souviens très bien j'étais au service du Roi.
Comme tous les jours il s'était levé et on lui avait fait un câlin. Nous étions quatre à dormir avec le roi, il ne dormait jamais seul, lui seul portait une cage de chasteté.
Nous le caressions, nous le couvrions de baisers, autour du lit il y avait tout un groupe de petites mains qui portaient, tout comme le roi un dispositif de chasteté. Pour eux, c'était frustration garantie, pour le roi plaisir garanti mais frustration aussi. Pour nous quatre, pas de frustration, que du plaisir. Si certains ne jouissaient pas dans la bouche ou dans le cul du roi, ce n'était pas bien grave, pas vraiment frustrant. Il prendraient leur plaisir un peu plus tard. On n'était pas en manque mais vraiment pas en manque de sexe.
Il n'était pas rare que je baise plusieurs fois dans la journée. Toutefois pendant les quatre jours qu'on passait au service du roi, on devait se réserver uniquement pour lui. C'était un petit sacrifice mais comme je vous dis, on n'était pas en manque de sexe.
Allongé sur le dos, le roi ouvrait un œil et tournait la tête dans vers moi. Je me redressais et lui enfonçais ma queue dans la bouche. Je ne lui demandais rien, on était là pour ça. Il suçait bien, vraiment bien, c'est vrai aussi qu'il avait de l'entraînement il suçait plusieurs queue par jour.
Mes camarades caressaient le corps de notre roi, ce n'était que douceur, il avait un corps magnifique, il devait avoir une grosse queue aussi mais ça, c'était sans importance, il ne devait plus s'en servir !
Mes camarades couvraient le corps du roi de caresses et de baisers. Moi je lui limais la bouche. Sa langue était habile, elle tournait autour de mon gland et le stimulait avec autant de force que de douceur.
C'était mon roi, j'étais son serviteur mais ces moment de partage érotique, je devait surtout oublier qu'il était mon roi, je devais surtout oublier de le respecter. C'était valable pour nous tous. On était là pour le baiser, le faire crier de plaisir, le pousser à nous implorer et à se comporter comme une chienne face à son mâle dominant.
Toutefois le respect revenait quand les ébats érotiques se terminaient. Là nous redevenions les serviteurs attentifs. Nous devions alors être aux petits soins pour notre roi.
Je plaçais ma main derrière sa tête, et appuyais fermement, je l'obligeais à avaler ma queue jusqu'à la garde. Je faisais très attention à ses réactions. Mais je n'en tenais pas toujours compte. C'était mon plaisir qui comptait, mon plaisir, mon désir que je suivais. Son plaisir, le roi le prenait dans le nôtre.
Je me retenais pas de bien pousser ma queue dans sa gorge, elle entrait complètement. Elle était de belle taille et je me demandais toujours comment il faisait. Par moment c'était un jeu, je tentais de le pousser aux limites de sa résistance. Il ne me le reprochais jamais.
Un de mes camarades prenait ma place. Lui non plus ne se retenait pas, lui aussi enfonçait sa queue bien dans gorge de notre roi. Il était là pour encaisser, c'est tout ce qu'il avait à faire pendant ces séances de baise.
Oui vas y ! Toi … Me disait le roi en me caressant les couilles.
On continuait à câliner notre prince. Nos mains se promenaient sur corps, on insistait de plus en plus lourdement sur ses couilles et quelques doigts s'égaraient dans son cul. C'est là que j'intervenais.
Je prenais position. On retournait le roi, c'est moi qu'il avait choisi. Autour de nous les petites mains nous observaient, certains prenaient des notes. Tout était noté, duré de l'acte ainsi que sa force. Il était bon que le roi de face défoncer le cul pendant une bonne demie heure avec des moments doux autant que des moment d'une certaine violence.
Je me penchais sur le corps du roi et commençais à le mordiller doucement en commencent en haut de son cou, je commençais déjà à lui ouvrir et à lui lubrifier le cul. Rapidement c'était violent et je vous jure que, pour rien au monde, je n'aurais voulu être à la place.
Mes doigts n'étaient pas les seuls à se glisser dans son cul. Puis le je me laissais retomber sur son dos et dans le même mouvement je me glissait avec force en lui, un peu comme je l'avais fait avec sa bouche. Je lui avais bien limé la bouche, et là en quelques instant je lui limais fermement le cul. C'était un peu violent, c'était voulu, il râlait quelque fois il gueulait. Je lui limait le cul avec violence, je ne prenais pas le temps d'attendre, je le prenais et je faisais durer le plaisir, enfin mon plaisir.
Je me demandais toujours comment il pouvait supporter ça. Pourtant il encaissait, il encaissait toujours. Des signes s'échangeaient autour de nous, les petites mains surveillaient le timing. Je le comprenais et je me lâchais, j'éjaculais dans son cul puis je ressortais et là je terminais d'éjaculer sur son dos.
Nous passions à la douche.
Sous la douche, l'ambiance se calmait, chacun l'avait son voisin et tous prenaient soin du roi qui ressortait tout propre. Il choisissait sa tenue, un harnais et une cape rouge, puis il s'empalait sur sa chaise à porteur. Une chaise à porteur équipée d'un beau gode qui se voyait, puis partait faire le tour des remparts.
Le roi était acclamé par tous, comme le protocole le prévoit il se levait à plusieurs reprises pour saluer et montrait bien qu'il était empalé, comme le protocole le prévoit …
Plus tard on retrouvait le roi a sa table. On dînait, on discutait. Nous avions ce privilège et c'est à ce moment que nous pouvions intervenir pour soutenir ceux qui avaient sollicité, on jouait les conseilleurs mais rien n'était gratuit. Au bout de cinq ans, à la fin de notre engagement nous serions tous très riches.
Le roi avait aussi des moments de détente, il décidait de faire une petite sortie à cheval en attendant le moment des doléances. Je m'étais mis à l'équitation pour pouvoir suivre mon roi. On utilisait une selle légère en tissus, pour le confort et c'est entièrement nus que nous partions ver la prairie. C'était une grande zone, avec une forêt au nord du palais royal.
J'avais fini par prendre goût à cet exercice, j'aimais le vent sur mon corps, la force de l'animal, et j'aimais bien aussi sentir mes couilles et ma bite se balancer au rythme du galop et du trot.
Quand on revenait au palais, en règles générales, je bandais ferme. Je me sentais bien, l'effort nous donne cette fatigue réconfortante, on transpirait et on repassait sous la douche. Le roi nous laissait faire, il nous laissait le savonner, il nous laissait le cajoler et lui caresser tout le corps.
On ne le faisait pas tous les jours mais très souvent, on pouvait aussi faire une longue séance de natation, il y avait un plan d'eau pas très profond même si au milieu on n'avait pas pied.
Moi qui était né dans un désert, j'avais appris à nager pour pouvoir suivre le roi qui était très sportif, et pour rester en forme aussi. Tous mes camarades faisaient comme moi, nous étions des baiseurs et il fallait toujours donner envie de se faire baiser par nous.
J'aimais bien la natation, j'aimais sentir l'eau courir sur tout mon corps, glisser dans les recoins les plus discrets de mon anatomie. J'aimais sentir ma queue se balancer avec légèreté dans l'eau. Ma queue était lourde mais là, dans l'élément liquide elle ne pesait plus rien.
Ça me faisait bander et quand je ressortais de l'eau je bandais.
Le roi était sensible à ma plastique, je le savais, je le voyais, je ne cachais pas mon corps, je ne couvrais pas ma nudité. C'est vrais que nous n'avions pas de vêtements. Nous n'en avions pas besoin.
Nous étions très bien comme ça. Nus, naturellement nus et détendus. On avait le droit de bander, on avait le droit de baiser qui nous voulions. Même pas besoin de nous cacher ou de nous isoler. Si un d'entre nous voulait enculer un mec de rencontre ou bien son régulier, il n'avait qu'à le faire. Toutes les parties publiques étaient à sa disposition. Les autres autour pouvait regarder ou faire ce qu'ils voulaient.
Mais il fallait rester sérieux, pendant les jours ou nous étions à la disposition du roi, on devait se consacrer à lui et à lui seul. Seule la masturbation était interdite. C'est un peu normal, ni les petites mains, ni les gardes, ni le roi ne pouvaient se masturber.
La sanction était sévère, la cage à bite permanente. Mais cette punition n'était jamais prononcé, il était plus facile de respecter la règle que de l'enfreindre. Si on était pris d'une grosse envie, on attrapait une petite main … '' Suce moi bonhomme ! '' , et hop l'envie passait …
C'était la belle vie.
Je vous parlais donc au départ d'un terrible accident.
Le roi était parti faire une balade à cheval, mais tout le monde revenait complètement paniqué. Je me souviens j'ai vu le roi allongé sur un brancard, il n'avait pas l'air bien. Il bougeait la main, je me suis précipité. Des gardes m'empêchaient d'approcher, ils avaient mauvaise mine.
Un des gardien me disait quelques mots et ne me cachait pas que la situation.
– Tu sais Flesh, au niveau des rochers du diable … Le roi est tombé ! Ça n'a pas l'air bon, il ne peut plus bouger les jambes.
– Le médecin royal faisait installer le roi dans sa chambre et faisait venir en urgence plusieurs de ses collègues.
On conduisait le roi tout doucement, en prenant le plus grand soin de ne pas le remuer, deux confidents lui tenaient la main pour le réconforter. Il n'avait pas de blessures apparentes. Une petite tache de sang perlait sous sa tête. C'est tout ce que je pouvais voir.
On m'envoyait chercher des fruits, une grosse corbeille de fruits, on envoyait un de mes camarades chercher plusieurs carafes d'eau. Je fonçais sans réfléchir. Il avait dit des fruits, il n'avait rien précisé. J'arrivais aux cuisines et je prenais une grande corbeille de fruits. Je choisissais plusieurs des fruits préférés du roi. Je connaissais ses goûts.
Je paniquais, je m'inquiétais, je ne sais plus mais il me semble que je pleurais aussi. Je repartais avec cette corbeille avec l'espoir que cela pourra réconforter le roi. Je me disais qu'il y avait les meilleurs médecins du royaume, que le roi serait vite sur pieds. Je courais, je fonçais, je ne sais pas comment je ne suis pas tombé. J'arrivais dans le grand couloir juste devant la chambre du roi. Je connaissais bien l'endroit, la nuit précédente j'y avais dormi.
La je me souviens, j'étais en larme quand j'arrivais à la porte de la chambre du roi, j'entendais cette chanson, ce chant répétitif dont je ne comprenais pas les paroles.
J'approchais deux gardes fermaient l'entrée en croisant leurs hallebardes. Là je comprenais les paroles, elles résonnaient maintenant dans tout le palais.
'' Le roi est mort ! Qui sera notre roi ? ''
Cette phrase était répétée et répétée encore. Elle résonnait maintenant dans tout le palais.
Là j'ai paniqué, l'angoisse m'a prise à la gorge, j'ai foncé, les gardes m'ont laissé entrer et on recroisé leurs hallebardes après mon passage.
Au pied du lit, tout autour du lit, tout le monde était à genoux ou un genou à terre et psalmodiait cette phrase à moitié chantée.
'' Le roi est mort ! Qui sera notre roi ? ''
Puis ils on remarqué ma présence, mon camarade arrivait avec les carafes d'eau, on ne le laissait pas rentrer.
'' Le roi est mort ! Qui sera notre roi ? ''
En silence ils se sont tous tournés vers moi et on recommencé à psalmodier …
'' Le roi est mort ! TU seras notre roi ? ''
A suivre
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Génial