LES AVENTURES DE DAVID 01
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-12-2014 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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LES AVENTURES DE DAVID 01
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
LES AVENTURES DE DAVID 01
IL SAVAIT CE QU'IL VOULAIT
J'ai trouvé sur internet une histoire qui s'intitulait '' the installation'' c'est cette petite fiction qui m'a inspiré l'histoire qui suit...
Le port d'un dispositif de chasteté masculin était depuis quelques années devenu banal, voire même de bon goût dans certains milieux, ou dans certaines professions. On trouvait de la pub dans de nombreuses revues, les religions s'en étaient mêlées et les lieux de cultes étaient devenues les plus actifs lieux de promotion de tels dispositifs ... De nombreux centres de vente avaient ouverts, ils étaient restés cantonnés aux banlieue ou aux zones industrielles pendant longtemps, mais depuis quelles années il s'étaient installé aux centres des villes dans les galeries marchandes, accessibles mais discrets.
David venait de franchir une de ces portes discrètes de la galerie marchande, il ressentait comme un nœud dans son estomac, et avait la sensation de trembler, il était nerveux. Il se retrouvait dans un petit hall tout blanc, une porte s'ouvrait sur le mur de droite, une hôtesse l'invitait à entrer.
'' Je m'appelle Nathalie vous êtes un peu en avance David, mais ce n'est pas grave. Vous pouvez vous installer et attendre tranquillement, personne ne viendra vous déranger, si vous avez besoin de quelque chose il y a une sonnette ici ... Votre conseiller François va vous recevoir dès que possible'
Elle lui indiquait la sonnette ainsi qu'un fauteuil géant très confortable avant de le laisser seul. Il y avait un grand écran de télévision au milieu du mur face du fauteuil, ainsi que différentes lectures sur une petite table design a coté du fauteuil. David connaissait bien l'endroit, toutes les salle d'attente étaient identiques, il était déjà venu à plusieurs reprises ici, pour son rendez-vous d'aujourd'hui, mais avant déjà. Pourtant, il n'avait que dix huit ans!
Il était très en avance, il le savait, alors il ne lui restait plus qu'à attendre. Il s'installait confortablement et regardait la télé, c'était un film de pub, de propagande diront certains, sur le dispositif des chasteté PK-OR le dispositif permanent et non amovible, quasi impossible à retirer, réalisé dans un alliage plus dure que les meilleurs aciers, jaune brillant comme l'or, mais impossibles a rayer, riveté, plus de 40 points de rivetage, 40 points de fixation ou les différents élément du dispositif de chasteté s'emboîtaient en force. Pour le retirer il fallait couper chacun des points de rivetage ce qui provoquait une surchauffe, donc il fallait y aller doucement il fallait de nombreuses heures de travail avec une scie spéciale capable d'effectuer un travail minutieux, très minutieux, et de nombreuses pauses pour éviter la surchauffe ...
C'était ce dispositif qu'il était venu se faire poser ... Il en portait déjà un depuis plus de deux ans sans interruption, il avait décidé depuis longtemps qu'il voulait la PK-OR et en avait donc commandé une. Le dispositif était fabriqué sur mesure, et comme on ne pouvait pas le retirer, pour en avoir un il fallait avoir porter un dispositif de même type pendant au moins six mois et avoir plus de dix huit ans. Il remplissait les deux conditions. C'était aujourd'hui le jour de ses 18 ans ...
Il se souvenait de sa première visite dans ce centre... C'était il y a presque trois ans, il avait à peine plus de quinze ans ! Ce petit gars savait déjà ce qu'il voulait !
Il se souvenait ... Ce jour là, il était entré, sans trop savoir comment ça allait se passer... Un jeune homme d'environ vingt cinq ans lui avait alors ouvert la porte pour l'accueillir, l'avait fait entrer dans un bureau. ''Bonjour, je m'appelle François, vous me paraissez bien jeune mon garçon, essayez vous si vous voulez bien, nous allons faire connaissance.''. David était très intimidé, mais il était décidé, et de plus François semblait très sympathique, il entrait et s'asseyait , François prenait place en face de lui.
David : J'ai quinze ans et six mois !
François : Tu es très jeune, et je suis étonné de te voir ici, tu es sur que tu ne t'es pas trompé de porte ?
D : Non, je porte déjà un dispositif de chasteté et on m'a dit que ... ici ... je n'ai pas de keyholder ...
F : Tu voudrait que le centre devienne ton keyholder ?
D : Oui c'est exactement ça. .. Ça se passe comment ? Je vous donne les clées ? c'est payant ? c'est chère ? Vous vérifiez si le dispositif est correctement posé ? Vous posez une puce de sécurité ? C'est un Classic Confort CC-T4 ? ...
F : Du calme mon garçon, rien de tout cela. Tout d'abord tu es trop jeune, beaucoup trop jeune. Tes parents ne devraient pas te faire porter un tel dispositif, ils n'en ont pas le droit, c'est interdit !
D : Mais ils ne le savent pas, je leur ai pas dit !
F : Tu as 15 ans et demis, tu portes porte une PK-CC, c'est un modèle très confortable, T4 c'est la taille, j'en ai porté une aussi mais je me limitait à la taille 3, et tes parent ne le savent pas, j'aimerais comprendre.
D : Bon d'accord je vous raconte tout si vous acceptez mes clées !
F : Pas avant tes 16 ans, c'est l'âge légal minimum, mais raconte quand même.
David : Voilà, c'était l'an dernier environ 4 mois avant mes 15 ans, je m'amusais dans le grenier chez mon grand père. Mon grand père voyage beaucoup, et il y a plein de trucs qui viennent d'un peu partout sur la planète, et, dans tout cela, un jour j'ai trouvé une boite qui ressemblait à un livre... sur lequel était marqué ''PURITY KEEPER''. J'ai tout de suite compris ce que c'était mais ce qui m'a le plus surpris, c'est que c'était à mon grand père. Je savais pas que ... On n'en avait jamais parlé dans la famille ... C'était complètement fou et je trouvais cet objet absolument magnifique, je n'avais qu'une seule envie... Dans un premier temps, je replaçais la boite à sa place. Le soir, je n'arrivais pas à dormir, je revoyais l'objet, il était vraiment beau, était-il assez grand, la taille c'est important il faut qu'il soit parfaitement ajusté... Je finissais par m'endormir en m'imaginant avec ce superbe dispositif entre mes cuisses.
Le lendemain, je remontais dans le grenier pour admirer de nouveau ce petit bidule. Il y avait un mode d'emploi , je m'installais confortablement dans un vieux fauteuil en cuir déchiré, et je commençais la lecture, la taille, comment se mesurer, comment le passer, conseils pour l'ajuster, l'hygiène, les précautions d'emploi ... Toutes les infos pour porter sans problème et durablement l'objet. Je restais, hésitant, puis brusquement je me relevais, trouvais une règle et me mesurais, évidemment je bandais dur. En érection, la taille correspondait, mais au repos ... Comme je ne parvenais à me calmer, il ne restait plus qu'une seule solution ... Je me branlais vigoureusement ! Deux fois de suite, et enfin j'arrivais à me calmer. Je mesurais à nouveau ma bite au repos ... les dimensions correspondaient aussi, j'hésitais un moment puis je décidais de l'essayer ! Je suivais rigoureusement la notice, passais d'abord un testicule dans l'anneau puis le second et glissais la bite, c'est sur pour la passer il fallait pas bander, la sensation était assez agréable, une douce pression à la base de mon sexe ... je glissais ensuite ma bite dans le tube (il était très aéré, ça ne devais poser aucun problème pour l'hygiène) j'enclenchais le tube sur l'anneau et verrouillais l'ensemble avec le cadenas ... Puis une sueur froide, les clées, ou sont les clées ? Je fouillais la boite comme un fou, ou sont les clées? Elles étaient bien là!
Voilà, j'étais là, chez mon grand père, dans le grenier, le pantalon baissé, un dispositif de chasteté parfaitement verrouillé entre mes cuisses. Je me levais pour pouvoir m'admirer dans un miroir, c'était le délire, je trouvais ce que je voyais très beau, je bandais mais ça ne se voyait pas. Aucune douleur, je ressentais seulement une forte pression autour de ma bite, c'était finalement une sensation assez agréable ...
A ce moment j'entendis Thierry un ami qui devait me rendre visite, je l'avais complètement oublié celui-là, il m'appelait, "David, tu es là, qu'est ce que tu fabrique au grenier ?'' . Je l'entendais monter ! Je remontais mon pantalon, rangeais la boite à sa place avec les clées dedans, me laissais tomber sur le fauteuil, attrapais une bande dessinée l'ouvrais au hasard et faisais semblant de lire au moment ou il arrivait au grenier.
T : "Mais qu'est-ce tu fabrique ? tu viens, on va jouer au foot. Tout le monde t'attend !''
Je regardais par la lucarne, en effet toute l'équipe de copain était là, Denis , olivier , Antoine...
Moi : '' Ok, j'arrive!''
Nous descendions ensemble les escaliers, mais j'étais terrorisé, je portais une ceinture de chasteté depuis moins d'une demie heure et je ne savais pas comment ça allait marcher, c'était une nouvelle expérience, une véritable aventure, j'étais terrifié mais terriblement excité.
Le reste de la journée se passait sans problème, j'avais toujours l'impression de bander dur, en fait je pense que je bandais, j'avais l'impression d'avoir un truc énorme dans le pantalon, une bosse énorme qui devait se voir, mais rien ne dépassait, c'était totalement invisible.
On jouait au ballon, on faisait du vélo, on courrait, sautait, bref on s'amusait bien tranquille sans se retenir et sans gène. J'étais ravis, très contant. puis arrivait l'heure de rentrer, je revenais chez mon grand père, toutes les fenêtres étaient fermées, la porte du jardin aussi était fermée, je faisait le tour de la maison rapidement. Ma mère était en train de fermer la porte d'entrée ...
Ma mère : ''Ah, te voilà! Je me demandais ou tu étais rendu, je referme la maison, ton grand père trouvera une maison propre quand il reviendra, c'est pour dans deux ou trois semaine, enfin, s'il n'est pas en retard... ce ne serait pas la première fois. Je te laisse rentrer en vélo, ne traîne pas trop demain il y a école.
Ma mère me laissait là et repartait en voiture. J'étais là, avec un dispositif de chasteté verrouillé, les clées étaient hors de portée. Je reprenais mon vélo et faisait route vers la maison, mais là j'étais vraiment inquiet, j'avais les boules quoi !
François écoutait attentivement cette histoire, il avait l'air un peu amusé et impressionné, David savait vraiment ce qu'il voulait, mais il avait envie de connaître la suite.
François : '' Et tu es resté longtemps comme ça ?
David : En fait je l'ai pas encore retiré ...
F : C'était la première fois que tu, C'EST LA PREMIERE FOIS que tu porte ce truc et ça dure depuis dix mois??!!
D : Oui.
F : Tu n'as jamais eut des douleurs , des irritations, des gènes, aucun problème ?
D : Non, il doit être exactement à ma taille.
F : Ça c'est sur, trop grand il y a des frottements et ... douleurs, trop petit ça coince et douleurs également, ou pire ... Mais c'est vrai que la PK-CC est de grande qualité, très confortable, j'en ai porté une pendant trois ans sans interruption ...
D : Au début il arrivait que ça me réveille en fin de nuit mais je m'y suis totalement habitué en quelques semaines. Grand père est revenu de son voyage deux mois plus tard, je ne suis retourné chez lui que deux semaines avant son retour, je portais le dispositif depuis six semaines, je me suis assuré que les clées n'avaient pas bougé, mais je ne les ai pas utilisées. En fait, je me sentais bien, je me sens toujours aussi bien, j'aime cette sensation.
F : Tu es trop jeune pour que quelqu'un te force à porter un tel dispositif mais si c'est ton choix , sans contraintes, on ne peut pas te l'interdire...
D : Alors je peux déposer les clées ?
F : Non, sur ce point on n'a pas le droit. Pas avant tes 16 ans. il va falloir attendre un peu. Encore six mois, je te conseil de passer un contrat de chasteté avec une église quelconque, comme ça ce sera gratuit, on pose une puce de sécurité, elle prouve que le dispositif n'a pas été ouvert avec ou sans les clées, c'est fait en cinq minutes, il suffit de prendre rendez-vous deux semaines à l'avance environ.
D : Ce serait bien si c'était pour mon anniversaire.
F : Si tu veux une date précise demande ton rendez-vous un mois à l'avance, c'est plus sur!
La première rencontre avec le centre s'était bien passée, et David avait suivi tous les conseils de François, il revenait six mois plus tard, le jour de son anniversaire. C'est François qui s'était chargé de son dossier. La puce de sécurité était un système très simple, c'était une puce électronique imprimée sur un support souple, un film auto-collant collé sur la ceinture de chasteté si elle venait à être ouverte avec ou sans la clée, la puce serait détruite prouvant l'ouverture du dispositif de chasteté ! Le principal intérêt de cette puce est qu'il était alors possible de contrôler la viabilité du dispositif à distance, en passant un portique, ou une porte, ou tout simplement en passant à proximité d'un détecteur. De fait en entrant dans le centre il avait été contrôlé, il avait été validé chaste depuis deux ans même si en fait cela faisait déjà plus de trois ans... Le deuxième intérêt était que le porteur pouvait garder les clées, au cas ou, une urgence, mais si toutefois il ouvrait le dispositif, il n'aurait aucun moyen de le dissimuler. David avait choisi de conserver les clées, elles étaient restées dans leur boite, au fonde d'un placard, dans le grenier du grand père et par habitude ou pour se rassurer, David trouvait toujours une occasion pour monter y jeter un coup d'oeil à chacune de ses visites...
La PK-OR n'était pas donnée, elle était même très chère ... Et aucune association de promotion de la chasteté ne la prenait en charge. Il fallait payer cash, il fallait même payer à la commande, non remboursable, c'est par un total hasard qu'il avait trouvé le financement, car bien sur il n'avait pas les moyens financiers de se la payer...
C'était environ un an plus tôt, il était passé voir son grand père, c'était un bel athlète de 57 ans, musclé sportif et même très actif. Grand voyageur, il était souvent absent souvent à l'autre bout du monde, et généralement pour de longue période. Il s'était marié très jeune, il avait eut son premier enfant, le père de David, à l'âge de vingt ans. Sa femme était morte plus de quinze ans plus tôt, David n'avait pas connu sa grand mère. Depuis son grand père vivait seul. Ce jour là, David était venu voir son grand père et comme à chacune de ses visites, il faisait un tour rapide au grenier pour jeter un oeil sur les clefs. Mais ce jour là, les clefs n'étaient plus à leur place, la boite avait disparu. Il y avait eut du rangement dans le grenier...
En redescendant, David était inquiet, perplexe. Il revenait dans le salon ou l'attendait son grand père qui venait de déboucher une bière.
Le grand père : Et bien alors David, qu'est ce qui t'arrive, tu as perdu quelque chose? Viens donc boire une bière, celle la je l'ai ramené d'Inde.
David s'asseyait il était livide qu'est ce que ça voulait dire "tu as perdu quelque chose" son grand avait trouvé la boite vide qu'allait-il penser et qu'est ce qu'il allait lui dire, il n'osait pas regarder son grand père, il prenait la bière qui était sur la table devant lui et, restait figé, la boite qu'il recherchait était là, sur la table, la boite en forme de livre avec les clées en dedans pourtant elle n'était pas là quand il était arrivé, ça il en était sur... Le Grand père s'aperçut du trouble de son petit fils qui devenait tout rouge de confusion.
G P : Alors c'est bien toi qui t'es amusé avec ...
D : Oui ... enfin ... je voulais pas ... c'est à dire que...
Le grand père éclata de rire.
G P : Bon, d'accord, tu t'es amusé avec, et tu venais le remettre en place c'est pas grave tu sais, y a pas de problème... Il y a longtemps que tu joues avec dis-mois.
David pris une grande bouffé d'air puis ... sans marqué aucune pause ...
D : J'étais juste venu voir si tout était en ordre si les clées était toujours là je porte ton dispositif depuis maintenant presque 27 mois sans interruption et je me suis fait posé une puce de sécurité le jour de mes 16 ans personne n'est au courant dans la famille ni chez mes amis tu es le seul à savoir maintenant si tu veux que je te le rende mois j'aimerais bien le garder en fait je voudrais une PK-OR mais c'est trop chere et il faut avoir plus de 18 ans pour pouvoir s'en faire poser une et j'en ai pas encore 17.
David était tout rouge et reprenait son souffle.
G P : Du calme, respire, et avale une gorgée ça ira mieux, ça va aller, ça va aller.
Il regardait David et lui souriait.
G P : Tu sais, j'en ai pas besoin, je l'ai porté pendant plus de dix ans, après la naissance de ton père, puis je suis passé à autre chose ...
En disant cela, le grand père se levait, ouvrait sa braguette, baissait son pantalon et son slip ... David regardait les yeux émerveillés ... son grand père portait une PK-OR!
G P : Je la porte depuis l'âge de trente ans. Le modèle venait juste de sortir, il y a une puce de sécurité intégrée, et, que dire de plus, elle est très confortable, toujours aussi brillante qu'au premier jour, aucune irritation, aucune gène ... j'adore !
Disant cela, il remontait et refermait son pantalon. David n'en revenait pas . Il avait eut peur qu'on lui fasse la morale, ou des reproche. Finalement c'était cool il pouvait garder sa PK-CC, et de plus c'était une complicité qui était en train de naître avec son grand perré.
D : Je veux la même !
G P : On verra en temps utile, pour le moment tu es équipé, tu sais je l'ai portée pendant près de dix ans, mais moi c'est vrai que j'avais vingt ans et toi ... Tu la porte depuis plus de deux ans ... tu n'avais même pas quinze ans ... raconte ...
David lui racontait toute son histoire, son grand père écoutait avec attention, il était impressionné, le petit savait vraiment ce qu'il voulait. Finalement ils décidèrent tous les deux de remettre les clées au grenier, David pourrait s'il craquait retirer la PK-CC, personne ne lui demanderait de rendre des comptes...
Un mois et demis avant son dix huitième anniversaire David était invité par son grand père pour souper un week end. Il arrivait tôt, finalement c'est une habitude chez ce garçon d'arriver en avance, il avait emmené une bonne bouteille, il savait que son grand père était amateur de bon vin même s'il n'en buvait que rarement. La soirée se passait calmement, les deux hommes discutaient de choses et d'autres, l'un racontait son dernier voyage, l'autre comment se passaient ses études... La discussion dérivait inévitablement sur la PK-OR, c'est alors que le grand père fit cette proposition à David.
G P : Dis moi David, tu veux toujours avoir une PK-OR ?
D : Oui, mais tu as vu le prix, c'est pas donné, et j'ai pas les moyens, j'ai travaillé pendant les vacances, j'ai économisé au maximum mais c'est loin d'être suffisant.
G P : Ça va faire bientôt 39 mois que tu portes ta PK-CC ?
D : Oui, j'y suis tellement habitué que j'ai même pas envie de la retirer. *
G P : Alors si je te propose, pour tes dix huit ans, une PK-OR ou un voyage en Afrique pendant les grandes vacances ... tu choisis quoi ?
D : Non pas ça! la PK c'est pour la vie, j'en rêve depuis des années, le voyage c'est pour un mois ça aussi ça fait rêver ...
G P : Deux mois !
D: Même deux mois au final, il me restera que des souvenir .
G P : Les souvenir, c'est pour la vie aussi !
D : Oui mais, je pourrais y aller plus tard, j'ai un grand père qui a une maison dans cette région du monde.
Il jetais un coup d'oeil a son grand père qui lui répondait par le même coup d'oeil complice et amusé.
G P : Oui, d'accord, mais pour le moment tu es équipé ...
D : Oui, mais, non ! Finalement je choisis la PK-OR !
G P : C'est définitif ?
D : Définitif, irrévocable !
G P : Alors ce sera les deux !
D : Grand père je t'adore! ...
G P : (en lui donnant un document dans une enveloppe) Tiens c'est pour toi, un bon de commande, tu n'auras plus qu'à le faire validé au centre PK de ton choix, c'est payé, bien sur puisqu'il faut payer à la commande, ils m'ont promis que tu pourrait l'avoir le jour de tes dix huit ans, ensuite n'oublie pas de faire valider ton passeport, trois mois après, c'est le grand voyage.
David se souvenais de ce jour là un mois et demis plus tôt, et voilà, il se retrouvait dans cette salle d'attente et c'est son grand père qui lui offrait son rêve de chasteté. David était perdu dans ses rêves quand il entendit à coté de lui :'' Ça va David on peut y aller ?'' c'était François son conseiller qui venait d'entrer
François le conduisait dans une grand salle blanche aseptisée, très lumineuse avec en son centre un un grand fauteuil du genre de ceux qui sont utilisés pour les accouchements.
F : On y est ! C'est le grand jour ! Toujours décidé ?
D : Et comment ! J'ai les jambes qui tremblent, j'ai à la fois une sensation de panique et d'enthousiasme. Mais décidé, ça oui , et comment !
F : Alors on passe à la suite. Tu vas retirer tes vêtements, tu pourras les ranger là, il indiquait un porte manteaux que David n'avait pas remarqué avant, puis tu pourras prendre place sur la fauteuil.
David s'exécutais, il s'installait sur le fauteuil, les jambes écartées.
François s'approchait et , tout en tournant autour du fauteuil.
F : Je vais maintenant te ceinturer au fauteuil, tu ne pourras plus bouger. Toujours d'accord ?
David fit un geste de la tête tout en avalant sa salive. Il laissait François lui fixer les chevilles, les genoux puis les cuisses.
F : Tu peux tout interrompre à tout moment, tant que nous n'aurons pas atteint le point de non retour ... Je te préviendrais à ce moment et te demanderais de confirmer ta décision une dernière fois ...
Il continuais à ceinturer David , le ventre, le torse ... Les bras étaient en arrière vers le bas sous le fauteuil. François plaçait dans la main de David un dispositif , une sorte de poignée qui fonctionnait comme frein d'un vélo.
F : C'est toi qui va verrouiller la PK quand elle sera en place, tu n'aura qu'a actionner ce dispositif, comme quand tu freine avec ton vélo.
François s'approchait du visage de David.
F : Bien, nous y voilà ... On est au point de non retour ... Toujours décidé ?
Tout en avalant sa salive, David bafouillant ''oui toujours''
F : Alors répète après moi ... C'est sans aucune contrainte que je vous demande de procéder.
David respirait bien a fond, avalait sa salive et répétait distinctement la phrase ...
Sans aucune hésitation François bâillonnait David puis venait se placer entre ses cuisses, il ouvrait le dispositif, le retirait délicatement, puis lui caressait les cuisses et lui massait le sexe, doucement puis plus fermement. Rapidement David bandait !
F : Nous allons voir si tout est en ordre, si tout fonctionne bien. Pour le moment ça a l'air bon...
Il se penchait et commençait à sucer la queue de David qui n'en revenait pas et ,surpris tentait d'abord de se dégager... Mais .... C'est à peine s'il pouvait bouger !
François relevait la tète et tout en continuant à masturber David.
F : Quarante mois depuis ta dernière branlette, je vais t'offrir un petit plaisir, et un souvenir, t'es pas près d'oublier ça !
Il continuait de le pomper tout en lui caressant les cuisses, lui gobais les couilles sans cesser de lui masser la queue et le gland lubrifié au maximum. Recommençais, plus vite, moins vite, plus fort plus doucement. David respirait de plus en plus fort, jusqu'au moment ce fut l'explosion, il éjaculait tout en poussant un long gémissement au travers de son baillon . La tension allait s'apaiser mais François continuait a le masturber. David se contractait ses muscles se tendaient, il essayait de se dégager mais ses mouvements étaient impossibles.
Il gémissait, son souffle était vraiment très fort, il semblait vouloir dire , ''assez j'en peux plus'', mais seul un râle passait au travers du bâillon.
Il se raidissait, se contractait, tremblait, ses yeux semblaient dire ''pitié'' quant... Nouvelle explosion, il éjaculais de nouveau et continuait a se contracter et a trembler. Il était en sueur, son souffle restait intense. François ne le touchait plus, il était debout, le regardai, lui souriait.
F : Moi j'ai jamais oublié, toi non plus tu n'oublieras pas !
François essuyait David qui réagissait par une contraction a chaque contact sur sa peau. Puis sans plus d'hésitation commençait à installer la PK-OR. La PK-OR posée il installait dessus la pince hydraulique, un petit dispositif qui permettait de la verrouiller définitivement.
F : Maintenant, c'est à toi...
Il remarquait que David était tendu et serrait de toutes ses forces la petite poignée dans sa main.
F : Au moment ou tu lâcheras la poignée, la PK-OR sera définitivement fermée ... C'est à toi !
Il retirais le bâillon et David se mit a hurler...
D : Arête tout, je veux plus! C'était trop bon, non ,je veux plus...
Il regardait François qui s'était placé en face de lui à quelques pas et lui souriait .
D : Je veux plus, j'ai changé d'avis ! On arrête tout, la PK-OR n'est pas encore verrouillée, retire la, ... S'il te plaît!
François le regardais en souriant sans bouger.
F : La poignée va devenir de plus en plus dure, tu auras de plus en plus de mal à la mal à la retenir.
David regardait le dispositif qu'il avait entre ses cuisses puis regardait Francis.
D : S'il te plaît, libère moi, je veux plus...
F : Lâches la poignée et tu seras libère!
D : Et la PK sera fermée
F : Oui!
D : Non ...
David regardait François qui ne bougeait toujours pas et lui souriait, la poignée devenait vraiment dure, il ne pouvait plus la retenir, il la lâchait. Les quartantes rivets se refermaient tous en même temps dans un bruits d'explosion, il sursautait, la pince se libérait et retombait sous le fauteuil, la PK-OR était visible dans toute sa splendeur, les ceintures qui le rattachait au fauteuil se libéraient toutes en même temps,il était libre de ses mouvement ...
David restait là quelques instants sans bouger... François lui rapportait ses vêtements, David se relevait, descendait du fauteuil l'air un peu sonné puis s'habillait avec des gestes hésitants.
F : Ça va ?
David esquissait un sourire ...
D : Ça va.
Avant de remonter son pantalon, il se regardait un long moment dans un miroir ... son sourire revenait progressivement, finalement c'est un large sourire qui éclairait son visage ravi.
D : Finalement c'est cool, vraiment très beau, j'adore! Et c'est vrai, c'est une journée que je n'oublierai sûrement jamais.
LES AVENTURES DE DAVID 01
IL SAVAIT CE QU'IL VOULAIT
J'ai trouvé sur internet une histoire qui s'intitulait '' the installation'' c'est cette petite fiction qui m'a inspiré l'histoire qui suit...
Le port d'un dispositif de chasteté masculin était depuis quelques années devenu banal, voire même de bon goût dans certains milieux, ou dans certaines professions. On trouvait de la pub dans de nombreuses revues, les religions s'en étaient mêlées et les lieux de cultes étaient devenues les plus actifs lieux de promotion de tels dispositifs ... De nombreux centres de vente avaient ouverts, ils étaient restés cantonnés aux banlieue ou aux zones industrielles pendant longtemps, mais depuis quelles années il s'étaient installé aux centres des villes dans les galeries marchandes, accessibles mais discrets.
David venait de franchir une de ces portes discrètes de la galerie marchande, il ressentait comme un nœud dans son estomac, et avait la sensation de trembler, il était nerveux. Il se retrouvait dans un petit hall tout blanc, une porte s'ouvrait sur le mur de droite, une hôtesse l'invitait à entrer.
'' Je m'appelle Nathalie vous êtes un peu en avance David, mais ce n'est pas grave. Vous pouvez vous installer et attendre tranquillement, personne ne viendra vous déranger, si vous avez besoin de quelque chose il y a une sonnette ici ... Votre conseiller François va vous recevoir dès que possible'
Elle lui indiquait la sonnette ainsi qu'un fauteuil géant très confortable avant de le laisser seul. Il y avait un grand écran de télévision au milieu du mur face du fauteuil, ainsi que différentes lectures sur une petite table design a coté du fauteuil. David connaissait bien l'endroit, toutes les salle d'attente étaient identiques, il était déjà venu à plusieurs reprises ici, pour son rendez-vous d'aujourd'hui, mais avant déjà. Pourtant, il n'avait que dix huit ans!
Il était très en avance, il le savait, alors il ne lui restait plus qu'à attendre. Il s'installait confortablement et regardait la télé, c'était un film de pub, de propagande diront certains, sur le dispositif des chasteté PK-OR le dispositif permanent et non amovible, quasi impossible à retirer, réalisé dans un alliage plus dure que les meilleurs aciers, jaune brillant comme l'or, mais impossibles a rayer, riveté, plus de 40 points de rivetage, 40 points de fixation ou les différents élément du dispositif de chasteté s'emboîtaient en force. Pour le retirer il fallait couper chacun des points de rivetage ce qui provoquait une surchauffe, donc il fallait y aller doucement il fallait de nombreuses heures de travail avec une scie spéciale capable d'effectuer un travail minutieux, très minutieux, et de nombreuses pauses pour éviter la surchauffe ...
C'était ce dispositif qu'il était venu se faire poser ... Il en portait déjà un depuis plus de deux ans sans interruption, il avait décidé depuis longtemps qu'il voulait la PK-OR et en avait donc commandé une. Le dispositif était fabriqué sur mesure, et comme on ne pouvait pas le retirer, pour en avoir un il fallait avoir porter un dispositif de même type pendant au moins six mois et avoir plus de dix huit ans. Il remplissait les deux conditions. C'était aujourd'hui le jour de ses 18 ans ...
Il se souvenait de sa première visite dans ce centre... C'était il y a presque trois ans, il avait à peine plus de quinze ans ! Ce petit gars savait déjà ce qu'il voulait !
Il se souvenait ... Ce jour là, il était entré, sans trop savoir comment ça allait se passer... Un jeune homme d'environ vingt cinq ans lui avait alors ouvert la porte pour l'accueillir, l'avait fait entrer dans un bureau. ''Bonjour, je m'appelle François, vous me paraissez bien jeune mon garçon, essayez vous si vous voulez bien, nous allons faire connaissance.''. David était très intimidé, mais il était décidé, et de plus François semblait très sympathique, il entrait et s'asseyait , François prenait place en face de lui.
David : J'ai quinze ans et six mois !
François : Tu es très jeune, et je suis étonné de te voir ici, tu es sur que tu ne t'es pas trompé de porte ?
D : Non, je porte déjà un dispositif de chasteté et on m'a dit que ... ici ... je n'ai pas de keyholder ...
F : Tu voudrait que le centre devienne ton keyholder ?
D : Oui c'est exactement ça. .. Ça se passe comment ? Je vous donne les clées ? c'est payant ? c'est chère ? Vous vérifiez si le dispositif est correctement posé ? Vous posez une puce de sécurité ? C'est un Classic Confort CC-T4 ? ...
F : Du calme mon garçon, rien de tout cela. Tout d'abord tu es trop jeune, beaucoup trop jeune. Tes parents ne devraient pas te faire porter un tel dispositif, ils n'en ont pas le droit, c'est interdit !
D : Mais ils ne le savent pas, je leur ai pas dit !
F : Tu as 15 ans et demis, tu portes porte une PK-CC, c'est un modèle très confortable, T4 c'est la taille, j'en ai porté une aussi mais je me limitait à la taille 3, et tes parent ne le savent pas, j'aimerais comprendre.
D : Bon d'accord je vous raconte tout si vous acceptez mes clées !
F : Pas avant tes 16 ans, c'est l'âge légal minimum, mais raconte quand même.
David : Voilà, c'était l'an dernier environ 4 mois avant mes 15 ans, je m'amusais dans le grenier chez mon grand père. Mon grand père voyage beaucoup, et il y a plein de trucs qui viennent d'un peu partout sur la planète, et, dans tout cela, un jour j'ai trouvé une boite qui ressemblait à un livre... sur lequel était marqué ''PURITY KEEPER''. J'ai tout de suite compris ce que c'était mais ce qui m'a le plus surpris, c'est que c'était à mon grand père. Je savais pas que ... On n'en avait jamais parlé dans la famille ... C'était complètement fou et je trouvais cet objet absolument magnifique, je n'avais qu'une seule envie... Dans un premier temps, je replaçais la boite à sa place. Le soir, je n'arrivais pas à dormir, je revoyais l'objet, il était vraiment beau, était-il assez grand, la taille c'est important il faut qu'il soit parfaitement ajusté... Je finissais par m'endormir en m'imaginant avec ce superbe dispositif entre mes cuisses.
Le lendemain, je remontais dans le grenier pour admirer de nouveau ce petit bidule. Il y avait un mode d'emploi , je m'installais confortablement dans un vieux fauteuil en cuir déchiré, et je commençais la lecture, la taille, comment se mesurer, comment le passer, conseils pour l'ajuster, l'hygiène, les précautions d'emploi ... Toutes les infos pour porter sans problème et durablement l'objet. Je restais, hésitant, puis brusquement je me relevais, trouvais une règle et me mesurais, évidemment je bandais dur. En érection, la taille correspondait, mais au repos ... Comme je ne parvenais à me calmer, il ne restait plus qu'une seule solution ... Je me branlais vigoureusement ! Deux fois de suite, et enfin j'arrivais à me calmer. Je mesurais à nouveau ma bite au repos ... les dimensions correspondaient aussi, j'hésitais un moment puis je décidais de l'essayer ! Je suivais rigoureusement la notice, passais d'abord un testicule dans l'anneau puis le second et glissais la bite, c'est sur pour la passer il fallait pas bander, la sensation était assez agréable, une douce pression à la base de mon sexe ... je glissais ensuite ma bite dans le tube (il était très aéré, ça ne devais poser aucun problème pour l'hygiène) j'enclenchais le tube sur l'anneau et verrouillais l'ensemble avec le cadenas ... Puis une sueur froide, les clées, ou sont les clées ? Je fouillais la boite comme un fou, ou sont les clées? Elles étaient bien là!
Voilà, j'étais là, chez mon grand père, dans le grenier, le pantalon baissé, un dispositif de chasteté parfaitement verrouillé entre mes cuisses. Je me levais pour pouvoir m'admirer dans un miroir, c'était le délire, je trouvais ce que je voyais très beau, je bandais mais ça ne se voyait pas. Aucune douleur, je ressentais seulement une forte pression autour de ma bite, c'était finalement une sensation assez agréable ...
A ce moment j'entendis Thierry un ami qui devait me rendre visite, je l'avais complètement oublié celui-là, il m'appelait, "David, tu es là, qu'est ce que tu fabrique au grenier ?'' . Je l'entendais monter ! Je remontais mon pantalon, rangeais la boite à sa place avec les clées dedans, me laissais tomber sur le fauteuil, attrapais une bande dessinée l'ouvrais au hasard et faisais semblant de lire au moment ou il arrivait au grenier.
T : "Mais qu'est-ce tu fabrique ? tu viens, on va jouer au foot. Tout le monde t'attend !''
Je regardais par la lucarne, en effet toute l'équipe de copain était là, Denis , olivier , Antoine...
Moi : '' Ok, j'arrive!''
Nous descendions ensemble les escaliers, mais j'étais terrorisé, je portais une ceinture de chasteté depuis moins d'une demie heure et je ne savais pas comment ça allait marcher, c'était une nouvelle expérience, une véritable aventure, j'étais terrifié mais terriblement excité.
Le reste de la journée se passait sans problème, j'avais toujours l'impression de bander dur, en fait je pense que je bandais, j'avais l'impression d'avoir un truc énorme dans le pantalon, une bosse énorme qui devait se voir, mais rien ne dépassait, c'était totalement invisible.
On jouait au ballon, on faisait du vélo, on courrait, sautait, bref on s'amusait bien tranquille sans se retenir et sans gène. J'étais ravis, très contant. puis arrivait l'heure de rentrer, je revenais chez mon grand père, toutes les fenêtres étaient fermées, la porte du jardin aussi était fermée, je faisait le tour de la maison rapidement. Ma mère était en train de fermer la porte d'entrée ...
Ma mère : ''Ah, te voilà! Je me demandais ou tu étais rendu, je referme la maison, ton grand père trouvera une maison propre quand il reviendra, c'est pour dans deux ou trois semaine, enfin, s'il n'est pas en retard... ce ne serait pas la première fois. Je te laisse rentrer en vélo, ne traîne pas trop demain il y a école.
Ma mère me laissait là et repartait en voiture. J'étais là, avec un dispositif de chasteté verrouillé, les clées étaient hors de portée. Je reprenais mon vélo et faisait route vers la maison, mais là j'étais vraiment inquiet, j'avais les boules quoi !
François écoutait attentivement cette histoire, il avait l'air un peu amusé et impressionné, David savait vraiment ce qu'il voulait, mais il avait envie de connaître la suite.
François : '' Et tu es resté longtemps comme ça ?
David : En fait je l'ai pas encore retiré ...
F : C'était la première fois que tu, C'EST LA PREMIERE FOIS que tu porte ce truc et ça dure depuis dix mois??!!
D : Oui.
F : Tu n'as jamais eut des douleurs , des irritations, des gènes, aucun problème ?
D : Non, il doit être exactement à ma taille.
F : Ça c'est sur, trop grand il y a des frottements et ... douleurs, trop petit ça coince et douleurs également, ou pire ... Mais c'est vrai que la PK-CC est de grande qualité, très confortable, j'en ai porté une pendant trois ans sans interruption ...
D : Au début il arrivait que ça me réveille en fin de nuit mais je m'y suis totalement habitué en quelques semaines. Grand père est revenu de son voyage deux mois plus tard, je ne suis retourné chez lui que deux semaines avant son retour, je portais le dispositif depuis six semaines, je me suis assuré que les clées n'avaient pas bougé, mais je ne les ai pas utilisées. En fait, je me sentais bien, je me sens toujours aussi bien, j'aime cette sensation.
F : Tu es trop jeune pour que quelqu'un te force à porter un tel dispositif mais si c'est ton choix , sans contraintes, on ne peut pas te l'interdire...
D : Alors je peux déposer les clées ?
F : Non, sur ce point on n'a pas le droit. Pas avant tes 16 ans. il va falloir attendre un peu. Encore six mois, je te conseil de passer un contrat de chasteté avec une église quelconque, comme ça ce sera gratuit, on pose une puce de sécurité, elle prouve que le dispositif n'a pas été ouvert avec ou sans les clées, c'est fait en cinq minutes, il suffit de prendre rendez-vous deux semaines à l'avance environ.
D : Ce serait bien si c'était pour mon anniversaire.
F : Si tu veux une date précise demande ton rendez-vous un mois à l'avance, c'est plus sur!
La première rencontre avec le centre s'était bien passée, et David avait suivi tous les conseils de François, il revenait six mois plus tard, le jour de son anniversaire. C'est François qui s'était chargé de son dossier. La puce de sécurité était un système très simple, c'était une puce électronique imprimée sur un support souple, un film auto-collant collé sur la ceinture de chasteté si elle venait à être ouverte avec ou sans la clée, la puce serait détruite prouvant l'ouverture du dispositif de chasteté ! Le principal intérêt de cette puce est qu'il était alors possible de contrôler la viabilité du dispositif à distance, en passant un portique, ou une porte, ou tout simplement en passant à proximité d'un détecteur. De fait en entrant dans le centre il avait été contrôlé, il avait été validé chaste depuis deux ans même si en fait cela faisait déjà plus de trois ans... Le deuxième intérêt était que le porteur pouvait garder les clées, au cas ou, une urgence, mais si toutefois il ouvrait le dispositif, il n'aurait aucun moyen de le dissimuler. David avait choisi de conserver les clées, elles étaient restées dans leur boite, au fonde d'un placard, dans le grenier du grand père et par habitude ou pour se rassurer, David trouvait toujours une occasion pour monter y jeter un coup d'oeil à chacune de ses visites...
La PK-OR n'était pas donnée, elle était même très chère ... Et aucune association de promotion de la chasteté ne la prenait en charge. Il fallait payer cash, il fallait même payer à la commande, non remboursable, c'est par un total hasard qu'il avait trouvé le financement, car bien sur il n'avait pas les moyens financiers de se la payer...
C'était environ un an plus tôt, il était passé voir son grand père, c'était un bel athlète de 57 ans, musclé sportif et même très actif. Grand voyageur, il était souvent absent souvent à l'autre bout du monde, et généralement pour de longue période. Il s'était marié très jeune, il avait eut son premier enfant, le père de David, à l'âge de vingt ans. Sa femme était morte plus de quinze ans plus tôt, David n'avait pas connu sa grand mère. Depuis son grand père vivait seul. Ce jour là, David était venu voir son grand père et comme à chacune de ses visites, il faisait un tour rapide au grenier pour jeter un oeil sur les clefs. Mais ce jour là, les clefs n'étaient plus à leur place, la boite avait disparu. Il y avait eut du rangement dans le grenier...
En redescendant, David était inquiet, perplexe. Il revenait dans le salon ou l'attendait son grand père qui venait de déboucher une bière.
Le grand père : Et bien alors David, qu'est ce qui t'arrive, tu as perdu quelque chose? Viens donc boire une bière, celle la je l'ai ramené d'Inde.
David s'asseyait il était livide qu'est ce que ça voulait dire "tu as perdu quelque chose" son grand avait trouvé la boite vide qu'allait-il penser et qu'est ce qu'il allait lui dire, il n'osait pas regarder son grand père, il prenait la bière qui était sur la table devant lui et, restait figé, la boite qu'il recherchait était là, sur la table, la boite en forme de livre avec les clées en dedans pourtant elle n'était pas là quand il était arrivé, ça il en était sur... Le Grand père s'aperçut du trouble de son petit fils qui devenait tout rouge de confusion.
G P : Alors c'est bien toi qui t'es amusé avec ...
D : Oui ... enfin ... je voulais pas ... c'est à dire que...
Le grand père éclata de rire.
G P : Bon, d'accord, tu t'es amusé avec, et tu venais le remettre en place c'est pas grave tu sais, y a pas de problème... Il y a longtemps que tu joues avec dis-mois.
David pris une grande bouffé d'air puis ... sans marqué aucune pause ...
D : J'étais juste venu voir si tout était en ordre si les clées était toujours là je porte ton dispositif depuis maintenant presque 27 mois sans interruption et je me suis fait posé une puce de sécurité le jour de mes 16 ans personne n'est au courant dans la famille ni chez mes amis tu es le seul à savoir maintenant si tu veux que je te le rende mois j'aimerais bien le garder en fait je voudrais une PK-OR mais c'est trop chere et il faut avoir plus de 18 ans pour pouvoir s'en faire poser une et j'en ai pas encore 17.
David était tout rouge et reprenait son souffle.
G P : Du calme, respire, et avale une gorgée ça ira mieux, ça va aller, ça va aller.
Il regardait David et lui souriait.
G P : Tu sais, j'en ai pas besoin, je l'ai porté pendant plus de dix ans, après la naissance de ton père, puis je suis passé à autre chose ...
En disant cela, le grand père se levait, ouvrait sa braguette, baissait son pantalon et son slip ... David regardait les yeux émerveillés ... son grand père portait une PK-OR!
G P : Je la porte depuis l'âge de trente ans. Le modèle venait juste de sortir, il y a une puce de sécurité intégrée, et, que dire de plus, elle est très confortable, toujours aussi brillante qu'au premier jour, aucune irritation, aucune gène ... j'adore !
Disant cela, il remontait et refermait son pantalon. David n'en revenait pas . Il avait eut peur qu'on lui fasse la morale, ou des reproche. Finalement c'était cool il pouvait garder sa PK-CC, et de plus c'était une complicité qui était en train de naître avec son grand perré.
D : Je veux la même !
G P : On verra en temps utile, pour le moment tu es équipé, tu sais je l'ai portée pendant près de dix ans, mais moi c'est vrai que j'avais vingt ans et toi ... Tu la porte depuis plus de deux ans ... tu n'avais même pas quinze ans ... raconte ...
David lui racontait toute son histoire, son grand père écoutait avec attention, il était impressionné, le petit savait vraiment ce qu'il voulait. Finalement ils décidèrent tous les deux de remettre les clées au grenier, David pourrait s'il craquait retirer la PK-CC, personne ne lui demanderait de rendre des comptes...
Un mois et demis avant son dix huitième anniversaire David était invité par son grand père pour souper un week end. Il arrivait tôt, finalement c'est une habitude chez ce garçon d'arriver en avance, il avait emmené une bonne bouteille, il savait que son grand père était amateur de bon vin même s'il n'en buvait que rarement. La soirée se passait calmement, les deux hommes discutaient de choses et d'autres, l'un racontait son dernier voyage, l'autre comment se passaient ses études... La discussion dérivait inévitablement sur la PK-OR, c'est alors que le grand père fit cette proposition à David.
G P : Dis moi David, tu veux toujours avoir une PK-OR ?
D : Oui, mais tu as vu le prix, c'est pas donné, et j'ai pas les moyens, j'ai travaillé pendant les vacances, j'ai économisé au maximum mais c'est loin d'être suffisant.
G P : Ça va faire bientôt 39 mois que tu portes ta PK-CC ?
D : Oui, j'y suis tellement habitué que j'ai même pas envie de la retirer. *
G P : Alors si je te propose, pour tes dix huit ans, une PK-OR ou un voyage en Afrique pendant les grandes vacances ... tu choisis quoi ?
D : Non pas ça! la PK c'est pour la vie, j'en rêve depuis des années, le voyage c'est pour un mois ça aussi ça fait rêver ...
G P : Deux mois !
D: Même deux mois au final, il me restera que des souvenir .
G P : Les souvenir, c'est pour la vie aussi !
D : Oui mais, je pourrais y aller plus tard, j'ai un grand père qui a une maison dans cette région du monde.
Il jetais un coup d'oeil a son grand père qui lui répondait par le même coup d'oeil complice et amusé.
G P : Oui, d'accord, mais pour le moment tu es équipé ...
D : Oui, mais, non ! Finalement je choisis la PK-OR !
G P : C'est définitif ?
D : Définitif, irrévocable !
G P : Alors ce sera les deux !
D : Grand père je t'adore! ...
G P : (en lui donnant un document dans une enveloppe) Tiens c'est pour toi, un bon de commande, tu n'auras plus qu'à le faire validé au centre PK de ton choix, c'est payé, bien sur puisqu'il faut payer à la commande, ils m'ont promis que tu pourrait l'avoir le jour de tes dix huit ans, ensuite n'oublie pas de faire valider ton passeport, trois mois après, c'est le grand voyage.
David se souvenais de ce jour là un mois et demis plus tôt, et voilà, il se retrouvait dans cette salle d'attente et c'est son grand père qui lui offrait son rêve de chasteté. David était perdu dans ses rêves quand il entendit à coté de lui :'' Ça va David on peut y aller ?'' c'était François son conseiller qui venait d'entrer
François le conduisait dans une grand salle blanche aseptisée, très lumineuse avec en son centre un un grand fauteuil du genre de ceux qui sont utilisés pour les accouchements.
F : On y est ! C'est le grand jour ! Toujours décidé ?
D : Et comment ! J'ai les jambes qui tremblent, j'ai à la fois une sensation de panique et d'enthousiasme. Mais décidé, ça oui , et comment !
F : Alors on passe à la suite. Tu vas retirer tes vêtements, tu pourras les ranger là, il indiquait un porte manteaux que David n'avait pas remarqué avant, puis tu pourras prendre place sur la fauteuil.
David s'exécutais, il s'installait sur le fauteuil, les jambes écartées.
François s'approchait et , tout en tournant autour du fauteuil.
F : Je vais maintenant te ceinturer au fauteuil, tu ne pourras plus bouger. Toujours d'accord ?
David fit un geste de la tête tout en avalant sa salive. Il laissait François lui fixer les chevilles, les genoux puis les cuisses.
F : Tu peux tout interrompre à tout moment, tant que nous n'aurons pas atteint le point de non retour ... Je te préviendrais à ce moment et te demanderais de confirmer ta décision une dernière fois ...
Il continuais à ceinturer David , le ventre, le torse ... Les bras étaient en arrière vers le bas sous le fauteuil. François plaçait dans la main de David un dispositif , une sorte de poignée qui fonctionnait comme frein d'un vélo.
F : C'est toi qui va verrouiller la PK quand elle sera en place, tu n'aura qu'a actionner ce dispositif, comme quand tu freine avec ton vélo.
François s'approchait du visage de David.
F : Bien, nous y voilà ... On est au point de non retour ... Toujours décidé ?
Tout en avalant sa salive, David bafouillant ''oui toujours''
F : Alors répète après moi ... C'est sans aucune contrainte que je vous demande de procéder.
David respirait bien a fond, avalait sa salive et répétait distinctement la phrase ...
Sans aucune hésitation François bâillonnait David puis venait se placer entre ses cuisses, il ouvrait le dispositif, le retirait délicatement, puis lui caressait les cuisses et lui massait le sexe, doucement puis plus fermement. Rapidement David bandait !
F : Nous allons voir si tout est en ordre, si tout fonctionne bien. Pour le moment ça a l'air bon...
Il se penchait et commençait à sucer la queue de David qui n'en revenait pas et ,surpris tentait d'abord de se dégager... Mais .... C'est à peine s'il pouvait bouger !
François relevait la tète et tout en continuant à masturber David.
F : Quarante mois depuis ta dernière branlette, je vais t'offrir un petit plaisir, et un souvenir, t'es pas près d'oublier ça !
Il continuait de le pomper tout en lui caressant les cuisses, lui gobais les couilles sans cesser de lui masser la queue et le gland lubrifié au maximum. Recommençais, plus vite, moins vite, plus fort plus doucement. David respirait de plus en plus fort, jusqu'au moment ce fut l'explosion, il éjaculait tout en poussant un long gémissement au travers de son baillon . La tension allait s'apaiser mais François continuait a le masturber. David se contractait ses muscles se tendaient, il essayait de se dégager mais ses mouvements étaient impossibles.
Il gémissait, son souffle était vraiment très fort, il semblait vouloir dire , ''assez j'en peux plus'', mais seul un râle passait au travers du bâillon.
Il se raidissait, se contractait, tremblait, ses yeux semblaient dire ''pitié'' quant... Nouvelle explosion, il éjaculais de nouveau et continuait a se contracter et a trembler. Il était en sueur, son souffle restait intense. François ne le touchait plus, il était debout, le regardai, lui souriait.
F : Moi j'ai jamais oublié, toi non plus tu n'oublieras pas !
François essuyait David qui réagissait par une contraction a chaque contact sur sa peau. Puis sans plus d'hésitation commençait à installer la PK-OR. La PK-OR posée il installait dessus la pince hydraulique, un petit dispositif qui permettait de la verrouiller définitivement.
F : Maintenant, c'est à toi...
Il remarquait que David était tendu et serrait de toutes ses forces la petite poignée dans sa main.
F : Au moment ou tu lâcheras la poignée, la PK-OR sera définitivement fermée ... C'est à toi !
Il retirais le bâillon et David se mit a hurler...
D : Arête tout, je veux plus! C'était trop bon, non ,je veux plus...
Il regardait François qui s'était placé en face de lui à quelques pas et lui souriait .
D : Je veux plus, j'ai changé d'avis ! On arrête tout, la PK-OR n'est pas encore verrouillée, retire la, ... S'il te plaît!
François le regardais en souriant sans bouger.
F : La poignée va devenir de plus en plus dure, tu auras de plus en plus de mal à la mal à la retenir.
David regardait le dispositif qu'il avait entre ses cuisses puis regardait Francis.
D : S'il te plaît, libère moi, je veux plus...
F : Lâches la poignée et tu seras libère!
D : Et la PK sera fermée
F : Oui!
D : Non ...
David regardait François qui ne bougeait toujours pas et lui souriait, la poignée devenait vraiment dure, il ne pouvait plus la retenir, il la lâchait. Les quartantes rivets se refermaient tous en même temps dans un bruits d'explosion, il sursautait, la pince se libérait et retombait sous le fauteuil, la PK-OR était visible dans toute sa splendeur, les ceintures qui le rattachait au fauteuil se libéraient toutes en même temps,il était libre de ses mouvement ...
David restait là quelques instants sans bouger... François lui rapportait ses vêtements, David se relevait, descendait du fauteuil l'air un peu sonné puis s'habillait avec des gestes hésitants.
F : Ça va ?
David esquissait un sourire ...
D : Ça va.
Avant de remonter son pantalon, il se regardait un long moment dans un miroir ... son sourire revenait progressivement, finalement c'est un large sourire qui éclairait son visage ravi.
D : Finalement c'est cool, vraiment très beau, j'adore! Et c'est vrai, c'est une journée que je n'oublierai sûrement jamais.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
A la fin David , David hésite tout simplement c'es sensé être définitif ... "Je veux plus" ... Puis, finalement c'est bien ce qu'il voulait "un large sourire" ... "c'est vraiment très beau" .
NDL
NDL
J'aime bcp ... Mais j'ai pas bien compris la fin... "Je ne veux plus"... "C'est très beau"...