LES AVENTURES DE DJE 56
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-09-2018 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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LES AVENTURES DE DJE 56
LES AVENTURES DE DJE 56
EP 56 : EN MANQUE
C'est pas après ça que j'allais me sentir mieux ! Plus frustré que jamais je redescendais, je croisais des ouvriers partout et ils me paraissaient tous plus sexy les uns que les autres . J'avais la cervelle en feu. Des hommes, partout autour de moi, c'était le bruit, c'était ce qui venait de se passer ? C'était le manque ? J'aurais aimé qu'un d'entre eux, plusieurs même peut être, m'attrapent par le bras, m'entraînent dans un coin sombre et me violent sans aucun ménagement, sans aucun respect … Qu'ils me défoncent le cul jusqu'à m'obliger à les supplier … Je jure de ne pas appeler au secours ! C'est dans ces moment là que ma PK, mon dispositif de chasteté, je la sentais bien !
J'avais de l'énergie à dépenser aussi je décidais de prolonger ma séance d'entraînement. J'avais couru vingt kilomètres de plus quand j'arrivais à la maison. Charles m'accueillait.
Charles : Et bien Djé tu est sorti plus longtemps que d'habitude aujourd'hui ?
Moi : Beaucoup d'énergie à dépenser !
Charles : Tout va bien ?
Moi : Tout va très bien !
Charles : On vient de m'apporter une lettre, elle est ouverte, elle était arrivé chez notre voisin du dessous.
Moi : Tu sais de quoi elle parle ?
Charles : Bien sûr, comme tout très bon secrétaire que je suis je l'ai lu. C'est une proposition de contrat publicitaire pour des vêtements de sport. Une marque tout à fait convenable. Mais il y a un truc que je ne comprends pas !
Moi : Vas-y explique.
Charles : Regarde … On te propose un cachet de dix mille DI sous prétexte que tu n'est pas très connu … C'est ridicule … Le montant est ridicule aussi …
Moi : Dix mille ! Pour moi ! Tu as raison c'est pas très sérieux, on montrera ça à Antoine ça devrait le faire rire …
Je passais sous la douche, ça allait mieux ! La pression dans ma cage de chasteté commençait enfin à baisser. Je me retrouvais tout propre, fatigué, frustré, toujours en manque mais … Tout propre ! …
Ce soir là il n'y avait pas de réception, nous ne serions que trois, le lendemain il y avait école … Charles avait sa soirée, il prenait souvent sa soirée les jours ou nous ne recevions pas … Avec Antoine et Luc on se faisait livrer une pizza !
Luc : Je me suis inscrit au permis de conduire !
Antoine : Mais tu n'as pas encore l'âge pour conduire toi !
Luc : J'ai pas l'âge, j'ai pas l'âge … J'aurai mes dix huit ans dans quelques semaines !
Antoine : Tu as vu ça Djé, le p'tit devient grand, je n'ai pas vu le temps passer. Ça grandi vite à cet âge !
Luc : Arrête de dire n'importe quoi, on se connaît depuis moins d'un an !
Moi : Au fait je pense à un truc, Antoine, tu vas rire ! On me propose dix mille pour une campagne publicitaire … C'est ridicule .
Antoine : Dix mille ? C'est ridicule ! ( il rigolait )
Moi : Sous prétexte que je ne suis pas très célèbre !
Luc : Mais c'est quoi cette plaisanterie ? Fais voir la lettre !
Luc lisait attentivement la lettre …
Luc : '' Nous avons apprécié votre interview … '' … Tatata … '' Votre image véhicule une véritable joie de vivre … '' … Tatata … '' Votre jeunesse … '' … '' Quelques photos … '' …
…
Moi : Ça ne te fait pas rire ?
Luc : Dis moi Jérémy, tu as bien lu la lettre jusqu'au bout ?
Moi : Bein ! … ?
Luc : La lettre … Elle m'était adressée !
Je reprenais la lettre … En effet elle lui était adressée ! Je décidais de téléphoner à Justine. Je tombais sur son mari !
Moi : Salut Henri, ça va, j'espère que je ne dérange pas, je voudrais juste un petit conseil …
Je lui expliquait rapidement la situation, il me proposait de passer le lendemain au restaurant, il étudierait mon dossier pendant le repas …
Je le retrouvais donc, comme prévu au restaurant le lendemain, il était avec sa femme ainsi que Joss. Luc était bien sûr venu avec moi. On en profitait pour déjeuner ensemble … Les trois avocats nous expliquaient que Luc n'étant pas célèbre, le contrat ne reposait que sur l'impression qu'il avait laissé lors de son interview quelques semaines plus tôt au moment ou j'avais fait ces trois conférences … Justine se proposait de prendre en main cette histoire et de s'occuper de nos contrats à l'avenir … On acceptait et on lui laissait le courrier … Pour une fois Luc n'avait pas fait le mariole, c'est vrai que pour lui ça représentait une jolie somme … C'était suffisant pour qu'il reste sérieux. Je le reconduisait à son école après le repas …
Dans la voiture !
Luc : Tu as vu ça Jérémy, c'est mon premier contrat et il y avait trois avocats sur mon affaire !
Moi : Tu en as de la chance !
Luc : Moi je te le dis, ça commence très bien cette histoire, je sens que je vais devenir célèbre … Tu vas voir !
Le deuxième trimestre se terminait … Toute l'équipe décidait de faire une grosse fête, on serait plus de deux cent, bien sûr j'y serais et Antoine et Luc également. Ensuite c'était les vacances, comme à chaque fois des groupes de sport étaient organisés. Nous trois avion prévu de passer nos vacances en famille puis de terminer les derniers jours au château.
Ça faisait plus de trois mois que personne n'avait touché à mon cul, trois mois que mon tiroir à jouets n'avait pas été ouvert. La dernière fois que j'avais touché à un gode c'était justement lors de mon dernier séjour au château … Presque trois mois que je servais de sex-toy à ma nouvelle copine … Trois mois que j'avais la tête et le cul en feu … Trois mois …
Nous avions rapidement des nouvelles de Justine … Elle nous avait téléphoné !
Luc : Jérémy c'est vraiment super, elle a obtenu quinze mille !
Moi : Mais c'est plus que prévu ça !
Luc : Avec ça je vais pouvoir me payer ma première voiture ! C'est génial !
Moi : Et ça se passe comment ?
Luc : Le premier jour des vacances il y aura une séance photo, tout doit être réglé au plus tard le premier jour des vacances ! Je ne sais pas pourquoi !
Moi : Et ensuite on par voir la famille !
La veille des vacances on faisait la fête, toute l'équipe … C'était dans la salle de sport de l'université que ça se passait. On se faisait un bon repas, il y avait à boire, mais on avait décidé de passer la soirée entre nous … Entre porteurs … Ceux qui ne partaient pas en groupe de sport et qui en avaient fait la demande avaient reçu leur clés mais s'étaient engagé à ne se libérer qu'après la fin de la soirée …
Je ne pensais plus qu'à une chose … '' Qui allait se libérer à la fin de la soirée ? '' … Je regardais tous mes camarades et me disais … '' Celui-là c'est le groupe de sport, il garde son truc, celui-là je ne sais pas, celui-là c'est … Mathias ! '' …
Mathias : Tu fais quoi toi ces deux semaines ?
Moi : Huit jours en famille et huit jours au château, et toi ?
Mathias : Le château !
Moi : On s'y verra !
Donc je me disais … '' Celui-là il reste enfermé '' … '' Celui-là c'est sûr il se libère '' … Ceux là je les imaginais libre, j'imaginais leur bite se balancer puis se redresser, prendre du volume … je m'imaginais dans leurs bras, ils étaient tous musclés et tous avaient un corps magnifique, je le savais, je les voyais régulièrement nus sous la douche !
On riait, on mangeait, on buvait, on chantait, on se motivait … Au retour des vacances il y avait une compétition inter-universitaire, et l'année précédente on avait cassé la baraque, on avait raflé plus de la moitié des coupes et médailles … On avait progressé mais les autres aussi … Beaucoup d'étudiants avaient le même entraînement que nous, nous ne serions plus les seuls à nous être entraîné dans la chasteté … Moi je venais de passer trois mois et je peux vous garantir que j'avais de l'énergie en réserve …
La soirée avançait, la moitié des participants s'était retirée. J'avais un peu bu et je m'étais retirer dans un coin plus tranquille à réfléchir, j'entendais des murmures pas loin, je me penchais. Deux garçons se faisaient un câlin, ils étaient enlacés et s'embrassaient avec fougue.
D'abord je reconnaissais Julien (Ep 14), il est mignon Julien, il avait été un de mes colocataires l'année précédente et avait été aussi le premier à porter un dispositif, je l'aime bien Julien il est très mignon et très sympa … Mais l'autre c'est qui ?
Les blousons étaient tombés depuis longtemps et maintenant c'était les chemises qui tombaient à leur tour. Julien se retrouvait rapidement torse nue, il avait pris du muscle le petit Julien et devenait de plus en plus beau. Toujours aussi tendre, il avait passé son bras dans le dos de son camarade, sous la chemise de son partenaire, de l'autre main il caressait les cheveux de son camarade. Je ne parvenais toujours pas à voir qui était ce second personnage.
C'était une deuxième chemise qui tombait, il avait aussi du muscle le second, je ne parvenais toujours pas le reconnaître, il était plus grand … Peut être …
Les deux corps se touchaient, les deux corps se caressaient, se frôlaient, se serraient l'un contre l'autre comme attirés, les bras se mélangeaient jusqu'à faire des nœuds … Julien penchait la tête en arrière pendant que son camarade l'embrassait dans le coup, sur la gorge, dans l'oreille … Puis c'était l'autre qui relevais la tête pendant que Julien lui rendait généreusement ses baisers. Je ne parvenais toujours pas à voir qui c'était !
Le pantalon de Julien tombait, il faisait comme moi, il n'avait pas de sous vêtement. Je ne serais pas en train de lancer une mode moi ? Il avait gardé sa PK, ça ne m'étonnait pas, Julien ne participait pas au groupe de sport mais ça ne m'étonnait pas. Son camarade passait une main entre ses cuisses et lui caressait les couilles longuement, les prenait dans la main et semblait les serrer dans la main. Julien gémissait mais pas de douleur. C'était maintenant le pantalon du deuxième personnage qui tombait au sol. Finalement oui c'était bien une mode !
Ma Pk était sous pression et forçait pour se relever, ça devenait désagréable, gênant, je me sentais à l'étroit dans mon pantalon autant que dans ma PK. Une fois de plus le nouveau modèle montrait son confort, j'étais à l'étroit, ça me gênait entre mes cuisses mais il n'y avait toujours aucune douleur …
Il avait de belles fesses le partenaire à Julien, il avait aussi des cuisses magnifiques, fines et musclées … Mais pourquoi je flashe autant sur des fesses ou sur des cuisses moi ? J'en vois tous les jours sous la douche. Peut être parce que … Trois mois ... ? Peut être parce que … Ouai ! Trois mois, c'est bien ça, il faut pas chercher plus loin !
Julien s'agenouillait devant son camarade et semblait le sucer. Mais enfin, nous portons tous une PK ce soir, on ne le retirera que plus tard, après la soirée ou demain … Les deux amants se déplaçaient légèrement et je les voyais maintenant de profil … C'était Germain ! Et l'enfoiré il avait retiré son truc et là il se faisait sucer par Julien … Il est mignon Julien, il aime les grosses bite et c'est vrai qu'avec Germain il était servi. Il en profitait, il savait sucer, j'admirais sa technique, il avalait la bite de Germain sur toute la longueur et pour l'avoir pratiquée je savais qu'elle était grosse cette bite, je jour de la rentrée (Ep 40) je me l'étais prise dans le cul la bite à Germain !
Germain retenait la tête à Julien et le tirait vers lui. En même temps il donnait de violents coups de bassin. Julien encaissait et en redemandait. C'est lui qui tirait les fesses de son partenaire quand celui-ci se calmait, lui aussi il en voulait ! J'aurais aimé être à sa place …
Germain se laissait aller, et accélérait le mouvement. Il enfonçait joyeusement sa grosse bite dans la gorge de Julien et la ressortait avant de recommencer … Il gémissait de plaisir … J'aurais tellement aimé être à sa place …
Julien se relevait et Germain lui demandait de se retourner, Julien se retournait et s'appuyait sur le mur. Germain prenait position, il plaçait sa bite en position et doucement l'enfonçait en un mouvement régulier, dans le cul de Julien, il l'enfonçait doucement mais sans hésiter, elle rentrait lentement et je la voyait en ombre pénétrer jusqu'au moment ou le bas ventre de Germain écrasait les fesses de Julien qui poussait alors un long gémissement, une longue plainte, une sorte d'appel au secours qui espérait n'avoir aucune réponse …
Germain poussait fermement et se serrait encore plus contre son camarade, il le tirait vers lui en le prenant pas les hanches. Julien gémissait. Puis Germain se retirait, pas complètement, juste à moitié avant de revenir à la charge bien à fond dans un mouvement lent mais décidé. Il terminait par un coup de rein. A chaque mouvement il se retirait un peu plus et à chaque fois il revenait un peu plus fort, un peu plus vite, et à chaque fois il terminait par un coup de rein plus violent. A chaque fois Julien gémissait plus fort, il terminait par une sorte de sanglot étranglé.
Je sentais mon anus se contracter, je sentais ma cage me ratatiner la queue, j'avais l'impression que ma cage devenait plus petite, devenait trop petite. Il y a des jours comme ça. Je sentais ma prostate frémir, appeler, quémander, mendier une bite. Ce n'était plus seulement une envie ça devenait un besoin … J'avais besoin, pas envie, mais besoin, vraiment besoin comme jamais, j'avais besoin de me faire défoncer le cul, je me souvenais de ces sensations quand Germain m'avait éclater la rondelle, je me souvenais de cette impression de me sentir rempli, dilaté … Je me serais damné pour prendre la place de Julien … Mais je n'osais pas les déranger et je les regardais sans faire de bruit !
Je voyais le reflet du liquide qui coulait de la cage de Julien, ce liquide épais et blanc et j'entendais ses plaintes pendant qu'il jouissait ! J'aurais tellement aimé être à sa place …
J'entendais le souffle de Germain au moment ou il jouissait et j'avais presque l'impression de ressentir ses tremblements, les vibrations de son corps, je me souvenais de la force de ses muscles et de la douceur de sa peau et de la taille énorme de sa bite, je me souvenais qu'il avait fallu lui imprimer une modèle spécial grande taille au début de l'année …
Germain restait sans bouger cramponné à son camarade qui semblait avoir le souffle court. Julien retournait la tête en arrière et Germain lui donnait un baiser passionné. Ils restaient ainsi un long moment sans bouger, puis ils finissaient par se séparer, lentement, de profil je voyais alors la queue de Germain sortir du cul de Julien et retomber en partie, il commençait à débander … Quelques instants plus tard c'était une grosse molle qui pendait devant lui … J'aurais vraiment aimé être à sa place … Ma queue était écrasée dans sa cage, et je ne pensais plus qu'à cela, je ne ressentais plus que cela !
Je les regardais reprendre leurs esprits, ils se rhabillaient, ils ne me voyaient pas, ne se doutaient même pas de ma présence. Ils repartaient rejoindre le reste de l'équipe, enfin ceux qui étaient encore là ! La soirée avançait et il ne restait plus grand monde.
J'attendais encore quelques minutes et je les suivais. La salle se vidait. Luc faisait le guignol, pour changer, il était entouré d'un groupe de plusieurs garçons de la fac et à les voir rigoler on devinait que l'ambiance était bonne.
Antoine lui était plus calme, c'est lui qui conduisait il était resté sobre et donnait l'impression d'avoir envie de rentrer. On échangeait quelques signes, on se comprenait, Luc nous remarquait et terminait son verre, il saluait alors ses amis et nous rejoignais. On s'était compris, on était fatigué et on n'avait plus qu'une envie … Se faire défoncer le cul … Pardon ! Là je parlais pour moi !
Je reprends … On n'avait plus qu'une envie … Rentrer se coucher … Et moi j'avais envie comme jamais de me faire défoncer le cul. Il était trop tard pour aller draguer dans les coins mal fréquentés comme je l'ai déjà fait, il faisait froid, j'étais à moitié saoul …
On faisait route … Je n'ai pas vraiment bien dormi cette nuit là … J'ai fais des rêves érotiques, et je me suis réveillé à plusieurs reprises. En fin de nuit je me souviens même que je me suis réveillé alors que je rêvais que je me faisais enculer … C'était bon, je jouissais, enfin je veux dire que je rêvais que je jouissais … C'est pas tout à fait pareil … Je rêvais que j'éjaculais et c'est ce qui m'a réveillé. En fait j'éjaculais vraiment, je jutais, du sperme coulait de ma PK et semblait ne pas vouloir s'arrêter. Une fois réveillé je n'éprouvais plus aucune sensation, je ne me sentais même pas soulagé, j'avais toujours le feu au cul, et même de plus en plus.
Au réveil j'étais pas en forme, mais bon, personne ne s'en inquiétait. C'était un lendemain de fête et de toutes façons j'étais en vacances. Luc avait sa séance photo dans l'après midi, je pouvais faire la sieste. On ne partait pas avant le lendemain matin … J'avais tout le temps nécessaire pour me reposer !
EP 56 : EN MANQUE
C'est pas après ça que j'allais me sentir mieux ! Plus frustré que jamais je redescendais, je croisais des ouvriers partout et ils me paraissaient tous plus sexy les uns que les autres . J'avais la cervelle en feu. Des hommes, partout autour de moi, c'était le bruit, c'était ce qui venait de se passer ? C'était le manque ? J'aurais aimé qu'un d'entre eux, plusieurs même peut être, m'attrapent par le bras, m'entraînent dans un coin sombre et me violent sans aucun ménagement, sans aucun respect … Qu'ils me défoncent le cul jusqu'à m'obliger à les supplier … Je jure de ne pas appeler au secours ! C'est dans ces moment là que ma PK, mon dispositif de chasteté, je la sentais bien !
J'avais de l'énergie à dépenser aussi je décidais de prolonger ma séance d'entraînement. J'avais couru vingt kilomètres de plus quand j'arrivais à la maison. Charles m'accueillait.
Charles : Et bien Djé tu est sorti plus longtemps que d'habitude aujourd'hui ?
Moi : Beaucoup d'énergie à dépenser !
Charles : Tout va bien ?
Moi : Tout va très bien !
Charles : On vient de m'apporter une lettre, elle est ouverte, elle était arrivé chez notre voisin du dessous.
Moi : Tu sais de quoi elle parle ?
Charles : Bien sûr, comme tout très bon secrétaire que je suis je l'ai lu. C'est une proposition de contrat publicitaire pour des vêtements de sport. Une marque tout à fait convenable. Mais il y a un truc que je ne comprends pas !
Moi : Vas-y explique.
Charles : Regarde … On te propose un cachet de dix mille DI sous prétexte que tu n'est pas très connu … C'est ridicule … Le montant est ridicule aussi …
Moi : Dix mille ! Pour moi ! Tu as raison c'est pas très sérieux, on montrera ça à Antoine ça devrait le faire rire …
Je passais sous la douche, ça allait mieux ! La pression dans ma cage de chasteté commençait enfin à baisser. Je me retrouvais tout propre, fatigué, frustré, toujours en manque mais … Tout propre ! …
Ce soir là il n'y avait pas de réception, nous ne serions que trois, le lendemain il y avait école … Charles avait sa soirée, il prenait souvent sa soirée les jours ou nous ne recevions pas … Avec Antoine et Luc on se faisait livrer une pizza !
Luc : Je me suis inscrit au permis de conduire !
Antoine : Mais tu n'as pas encore l'âge pour conduire toi !
Luc : J'ai pas l'âge, j'ai pas l'âge … J'aurai mes dix huit ans dans quelques semaines !
Antoine : Tu as vu ça Djé, le p'tit devient grand, je n'ai pas vu le temps passer. Ça grandi vite à cet âge !
Luc : Arrête de dire n'importe quoi, on se connaît depuis moins d'un an !
Moi : Au fait je pense à un truc, Antoine, tu vas rire ! On me propose dix mille pour une campagne publicitaire … C'est ridicule .
Antoine : Dix mille ? C'est ridicule ! ( il rigolait )
Moi : Sous prétexte que je ne suis pas très célèbre !
Luc : Mais c'est quoi cette plaisanterie ? Fais voir la lettre !
Luc lisait attentivement la lettre …
Luc : '' Nous avons apprécié votre interview … '' … Tatata … '' Votre image véhicule une véritable joie de vivre … '' … Tatata … '' Votre jeunesse … '' … '' Quelques photos … '' …
…
Moi : Ça ne te fait pas rire ?
Luc : Dis moi Jérémy, tu as bien lu la lettre jusqu'au bout ?
Moi : Bein ! … ?
Luc : La lettre … Elle m'était adressée !
Je reprenais la lettre … En effet elle lui était adressée ! Je décidais de téléphoner à Justine. Je tombais sur son mari !
Moi : Salut Henri, ça va, j'espère que je ne dérange pas, je voudrais juste un petit conseil …
Je lui expliquait rapidement la situation, il me proposait de passer le lendemain au restaurant, il étudierait mon dossier pendant le repas …
Je le retrouvais donc, comme prévu au restaurant le lendemain, il était avec sa femme ainsi que Joss. Luc était bien sûr venu avec moi. On en profitait pour déjeuner ensemble … Les trois avocats nous expliquaient que Luc n'étant pas célèbre, le contrat ne reposait que sur l'impression qu'il avait laissé lors de son interview quelques semaines plus tôt au moment ou j'avais fait ces trois conférences … Justine se proposait de prendre en main cette histoire et de s'occuper de nos contrats à l'avenir … On acceptait et on lui laissait le courrier … Pour une fois Luc n'avait pas fait le mariole, c'est vrai que pour lui ça représentait une jolie somme … C'était suffisant pour qu'il reste sérieux. Je le reconduisait à son école après le repas …
Dans la voiture !
Luc : Tu as vu ça Jérémy, c'est mon premier contrat et il y avait trois avocats sur mon affaire !
Moi : Tu en as de la chance !
Luc : Moi je te le dis, ça commence très bien cette histoire, je sens que je vais devenir célèbre … Tu vas voir !
Le deuxième trimestre se terminait … Toute l'équipe décidait de faire une grosse fête, on serait plus de deux cent, bien sûr j'y serais et Antoine et Luc également. Ensuite c'était les vacances, comme à chaque fois des groupes de sport étaient organisés. Nous trois avion prévu de passer nos vacances en famille puis de terminer les derniers jours au château.
Ça faisait plus de trois mois que personne n'avait touché à mon cul, trois mois que mon tiroir à jouets n'avait pas été ouvert. La dernière fois que j'avais touché à un gode c'était justement lors de mon dernier séjour au château … Presque trois mois que je servais de sex-toy à ma nouvelle copine … Trois mois que j'avais la tête et le cul en feu … Trois mois …
Nous avions rapidement des nouvelles de Justine … Elle nous avait téléphoné !
Luc : Jérémy c'est vraiment super, elle a obtenu quinze mille !
Moi : Mais c'est plus que prévu ça !
Luc : Avec ça je vais pouvoir me payer ma première voiture ! C'est génial !
Moi : Et ça se passe comment ?
Luc : Le premier jour des vacances il y aura une séance photo, tout doit être réglé au plus tard le premier jour des vacances ! Je ne sais pas pourquoi !
Moi : Et ensuite on par voir la famille !
La veille des vacances on faisait la fête, toute l'équipe … C'était dans la salle de sport de l'université que ça se passait. On se faisait un bon repas, il y avait à boire, mais on avait décidé de passer la soirée entre nous … Entre porteurs … Ceux qui ne partaient pas en groupe de sport et qui en avaient fait la demande avaient reçu leur clés mais s'étaient engagé à ne se libérer qu'après la fin de la soirée …
Je ne pensais plus qu'à une chose … '' Qui allait se libérer à la fin de la soirée ? '' … Je regardais tous mes camarades et me disais … '' Celui-là c'est le groupe de sport, il garde son truc, celui-là je ne sais pas, celui-là c'est … Mathias ! '' …
Mathias : Tu fais quoi toi ces deux semaines ?
Moi : Huit jours en famille et huit jours au château, et toi ?
Mathias : Le château !
Moi : On s'y verra !
Donc je me disais … '' Celui-là il reste enfermé '' … '' Celui-là c'est sûr il se libère '' … Ceux là je les imaginais libre, j'imaginais leur bite se balancer puis se redresser, prendre du volume … je m'imaginais dans leurs bras, ils étaient tous musclés et tous avaient un corps magnifique, je le savais, je les voyais régulièrement nus sous la douche !
On riait, on mangeait, on buvait, on chantait, on se motivait … Au retour des vacances il y avait une compétition inter-universitaire, et l'année précédente on avait cassé la baraque, on avait raflé plus de la moitié des coupes et médailles … On avait progressé mais les autres aussi … Beaucoup d'étudiants avaient le même entraînement que nous, nous ne serions plus les seuls à nous être entraîné dans la chasteté … Moi je venais de passer trois mois et je peux vous garantir que j'avais de l'énergie en réserve …
La soirée avançait, la moitié des participants s'était retirée. J'avais un peu bu et je m'étais retirer dans un coin plus tranquille à réfléchir, j'entendais des murmures pas loin, je me penchais. Deux garçons se faisaient un câlin, ils étaient enlacés et s'embrassaient avec fougue.
D'abord je reconnaissais Julien (Ep 14), il est mignon Julien, il avait été un de mes colocataires l'année précédente et avait été aussi le premier à porter un dispositif, je l'aime bien Julien il est très mignon et très sympa … Mais l'autre c'est qui ?
Les blousons étaient tombés depuis longtemps et maintenant c'était les chemises qui tombaient à leur tour. Julien se retrouvait rapidement torse nue, il avait pris du muscle le petit Julien et devenait de plus en plus beau. Toujours aussi tendre, il avait passé son bras dans le dos de son camarade, sous la chemise de son partenaire, de l'autre main il caressait les cheveux de son camarade. Je ne parvenais toujours pas à voir qui était ce second personnage.
C'était une deuxième chemise qui tombait, il avait aussi du muscle le second, je ne parvenais toujours pas le reconnaître, il était plus grand … Peut être …
Les deux corps se touchaient, les deux corps se caressaient, se frôlaient, se serraient l'un contre l'autre comme attirés, les bras se mélangeaient jusqu'à faire des nœuds … Julien penchait la tête en arrière pendant que son camarade l'embrassait dans le coup, sur la gorge, dans l'oreille … Puis c'était l'autre qui relevais la tête pendant que Julien lui rendait généreusement ses baisers. Je ne parvenais toujours pas à voir qui c'était !
Le pantalon de Julien tombait, il faisait comme moi, il n'avait pas de sous vêtement. Je ne serais pas en train de lancer une mode moi ? Il avait gardé sa PK, ça ne m'étonnait pas, Julien ne participait pas au groupe de sport mais ça ne m'étonnait pas. Son camarade passait une main entre ses cuisses et lui caressait les couilles longuement, les prenait dans la main et semblait les serrer dans la main. Julien gémissait mais pas de douleur. C'était maintenant le pantalon du deuxième personnage qui tombait au sol. Finalement oui c'était bien une mode !
Ma Pk était sous pression et forçait pour se relever, ça devenait désagréable, gênant, je me sentais à l'étroit dans mon pantalon autant que dans ma PK. Une fois de plus le nouveau modèle montrait son confort, j'étais à l'étroit, ça me gênait entre mes cuisses mais il n'y avait toujours aucune douleur …
Il avait de belles fesses le partenaire à Julien, il avait aussi des cuisses magnifiques, fines et musclées … Mais pourquoi je flashe autant sur des fesses ou sur des cuisses moi ? J'en vois tous les jours sous la douche. Peut être parce que … Trois mois ... ? Peut être parce que … Ouai ! Trois mois, c'est bien ça, il faut pas chercher plus loin !
Julien s'agenouillait devant son camarade et semblait le sucer. Mais enfin, nous portons tous une PK ce soir, on ne le retirera que plus tard, après la soirée ou demain … Les deux amants se déplaçaient légèrement et je les voyais maintenant de profil … C'était Germain ! Et l'enfoiré il avait retiré son truc et là il se faisait sucer par Julien … Il est mignon Julien, il aime les grosses bite et c'est vrai qu'avec Germain il était servi. Il en profitait, il savait sucer, j'admirais sa technique, il avalait la bite de Germain sur toute la longueur et pour l'avoir pratiquée je savais qu'elle était grosse cette bite, je jour de la rentrée (Ep 40) je me l'étais prise dans le cul la bite à Germain !
Germain retenait la tête à Julien et le tirait vers lui. En même temps il donnait de violents coups de bassin. Julien encaissait et en redemandait. C'est lui qui tirait les fesses de son partenaire quand celui-ci se calmait, lui aussi il en voulait ! J'aurais aimé être à sa place …
Germain se laissait aller, et accélérait le mouvement. Il enfonçait joyeusement sa grosse bite dans la gorge de Julien et la ressortait avant de recommencer … Il gémissait de plaisir … J'aurais tellement aimé être à sa place …
Julien se relevait et Germain lui demandait de se retourner, Julien se retournait et s'appuyait sur le mur. Germain prenait position, il plaçait sa bite en position et doucement l'enfonçait en un mouvement régulier, dans le cul de Julien, il l'enfonçait doucement mais sans hésiter, elle rentrait lentement et je la voyait en ombre pénétrer jusqu'au moment ou le bas ventre de Germain écrasait les fesses de Julien qui poussait alors un long gémissement, une longue plainte, une sorte d'appel au secours qui espérait n'avoir aucune réponse …
Germain poussait fermement et se serrait encore plus contre son camarade, il le tirait vers lui en le prenant pas les hanches. Julien gémissait. Puis Germain se retirait, pas complètement, juste à moitié avant de revenir à la charge bien à fond dans un mouvement lent mais décidé. Il terminait par un coup de rein. A chaque mouvement il se retirait un peu plus et à chaque fois il revenait un peu plus fort, un peu plus vite, et à chaque fois il terminait par un coup de rein plus violent. A chaque fois Julien gémissait plus fort, il terminait par une sorte de sanglot étranglé.
Je sentais mon anus se contracter, je sentais ma cage me ratatiner la queue, j'avais l'impression que ma cage devenait plus petite, devenait trop petite. Il y a des jours comme ça. Je sentais ma prostate frémir, appeler, quémander, mendier une bite. Ce n'était plus seulement une envie ça devenait un besoin … J'avais besoin, pas envie, mais besoin, vraiment besoin comme jamais, j'avais besoin de me faire défoncer le cul, je me souvenais de ces sensations quand Germain m'avait éclater la rondelle, je me souvenais de cette impression de me sentir rempli, dilaté … Je me serais damné pour prendre la place de Julien … Mais je n'osais pas les déranger et je les regardais sans faire de bruit !
Je voyais le reflet du liquide qui coulait de la cage de Julien, ce liquide épais et blanc et j'entendais ses plaintes pendant qu'il jouissait ! J'aurais tellement aimé être à sa place …
J'entendais le souffle de Germain au moment ou il jouissait et j'avais presque l'impression de ressentir ses tremblements, les vibrations de son corps, je me souvenais de la force de ses muscles et de la douceur de sa peau et de la taille énorme de sa bite, je me souvenais qu'il avait fallu lui imprimer une modèle spécial grande taille au début de l'année …
Germain restait sans bouger cramponné à son camarade qui semblait avoir le souffle court. Julien retournait la tête en arrière et Germain lui donnait un baiser passionné. Ils restaient ainsi un long moment sans bouger, puis ils finissaient par se séparer, lentement, de profil je voyais alors la queue de Germain sortir du cul de Julien et retomber en partie, il commençait à débander … Quelques instants plus tard c'était une grosse molle qui pendait devant lui … J'aurais vraiment aimé être à sa place … Ma queue était écrasée dans sa cage, et je ne pensais plus qu'à cela, je ne ressentais plus que cela !
Je les regardais reprendre leurs esprits, ils se rhabillaient, ils ne me voyaient pas, ne se doutaient même pas de ma présence. Ils repartaient rejoindre le reste de l'équipe, enfin ceux qui étaient encore là ! La soirée avançait et il ne restait plus grand monde.
J'attendais encore quelques minutes et je les suivais. La salle se vidait. Luc faisait le guignol, pour changer, il était entouré d'un groupe de plusieurs garçons de la fac et à les voir rigoler on devinait que l'ambiance était bonne.
Antoine lui était plus calme, c'est lui qui conduisait il était resté sobre et donnait l'impression d'avoir envie de rentrer. On échangeait quelques signes, on se comprenait, Luc nous remarquait et terminait son verre, il saluait alors ses amis et nous rejoignais. On s'était compris, on était fatigué et on n'avait plus qu'une envie … Se faire défoncer le cul … Pardon ! Là je parlais pour moi !
Je reprends … On n'avait plus qu'une envie … Rentrer se coucher … Et moi j'avais envie comme jamais de me faire défoncer le cul. Il était trop tard pour aller draguer dans les coins mal fréquentés comme je l'ai déjà fait, il faisait froid, j'étais à moitié saoul …
On faisait route … Je n'ai pas vraiment bien dormi cette nuit là … J'ai fais des rêves érotiques, et je me suis réveillé à plusieurs reprises. En fin de nuit je me souviens même que je me suis réveillé alors que je rêvais que je me faisais enculer … C'était bon, je jouissais, enfin je veux dire que je rêvais que je jouissais … C'est pas tout à fait pareil … Je rêvais que j'éjaculais et c'est ce qui m'a réveillé. En fait j'éjaculais vraiment, je jutais, du sperme coulait de ma PK et semblait ne pas vouloir s'arrêter. Une fois réveillé je n'éprouvais plus aucune sensation, je ne me sentais même pas soulagé, j'avais toujours le feu au cul, et même de plus en plus.
Au réveil j'étais pas en forme, mais bon, personne ne s'en inquiétait. C'était un lendemain de fête et de toutes façons j'étais en vacances. Luc avait sa séance photo dans l'après midi, je pouvais faire la sieste. On ne partait pas avant le lendemain matin … J'avais tout le temps nécessaire pour me reposer !
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Les avis des lecteurs
Il serait intéressant que Léa puisse satisfaire ses envies et besoins !