LES AVENTURES DE DJE 64 : LA FÊTE
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-11-2018 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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LES AVENTURES DE DJE 64 : LA FÊTE
LES AVENTURES DE DJE 64Ep 64 : LA FÊTE
La compétition s'était, comme je l'ai dit plus tôt, très bien passée. Mon petit frère avait un gros succès. Toutes les filles de son âge lui tournait autour le soir quand il sortait du studio. Évidemment il faisait le mariole et Bob préférait s’asseoir à côté de moi au restaurant … J'étais la vedette de l'équipe mais c'était malgré tout plus discret d'être à côté de moi !
le deuxième jours je ne concourrais pas et on m'invitait à passer au studio télé. C'était un studio installé dans la bibliothèque, dans un salon privé … Les fous, ils avaient installé un véritable mur d'écrans et on pouvait suivre toutes les compétitions depuis cette salle. Luc y passait ses journée, sauf bien sûr quand il descendait sur le terrain pour animer et toujours … Faire son mariole …
Bob n'avait pas de bureau, qu'en aurait-il fait ? Il avait un badge pass et on le laissait aller librement … C'était un privilège ! Sans badge je pense que Antoine et moi devions être les seuls qui pourrions plus ou moins passer ! On était célèbres ...
La journaliste me recevais, mon frère se mettait en place !
L'émission commençait et je pense que c'est à ce moment que j'ai eu l'idée de m'amuser un peu !
La journaliste : Nous recevons ce soir notre champion Jérémy Brosso …Luc : Bonsoir Jérémy.
Moi : Bonsoir ! Mais dites moi, vous ne trouvez pas qu'il est mignon comme ça ! ( en montrant mon frère )
Là, il était déconcerté !
Lj : Oui ! Notre nouveau co animateur est très mignon, il a un très gros succès ici, je ne vous dit pas Jérémy !
Luc : Ma … Je … Moi : Mais oui Luc tu est très mignon avec ton costume, ta cravate et tout. Tu devrais t'habiller comme ça tous les jours … Luc : M … J …Moi : Et il s'en sort bien le stagiaire ? Je n'ai pas pu le suivre toute la journée ! Je ne l'ai vu qu'à quelques reprises !
La journaliste entrait dans mon jeu …
L j : Oh oui il s'en sort très bien. Il m'a dit qu'il en ferait bien sa profession …Luc : Djé !
Moi : Oui ! ( me retournant vers la caméra ) C'est mon petit frère, vous savez ? Il est très mignon, un peu mariole mais adorable !
Bob s'était caché dans un coin derrière un projecteur mais c'est pas parce qu'il était tout rouge mais parce qu'il était plié de rire … Luc ne savait plus quoi dire et restait là, la bouche ouverte.
Luc : Djé !
Moi : Oui c'est comme ça que tout le monde m'appelle, je peux préciser que seul mon jeune frère m'appelle Jérémy … Sauf quand il est en colère contre moi !
Luc : DJE !!
La journaliste disparaissait, elle s'était jetée sous le bureau, elle était pliée de rire à voir la tête que faisait mon frère et préférait disparaître un moment … Elle ne réapparaissait que quelques instants plus tard pour annoncer une coupure publicitaire …
Mon frère me faisait les gros yeux, je rigolais comme un fou et dans la pièce il devait être le seul à ne pas rigoler … On respirait bien à fond et on reprenait … Je le laissais faire, il semblait y tenir, et finalement il s'en sortait bien. Il me connaissait bien et posait bien sûr des questions auxquelles je connaissais les réponses … Ma courte carrière de champion, mes études, mes projets qui pour le moment se limitaient à … Terminer mes études et … On verra plus tard …
Il abordait le sujet du dispositif de chasteté, le sport, la transformation de l'école, les autres équipes …
La réunion durait presque une heure et on rendait l’antenne. On avait bien rigolé, tout s'était bien passé et mon frère avait oublié les petites taquineries que je lui avait lancé au début ! La journaliste n'était plus du tout comme l'année précédente et nous invitait pour le souper dans un restaurant.
Ce soir là au restaurant toutes les filles que nous avons croisées nous faisaient des sourires, je leur rendais leurs sourires jusqu'au moment ou je me rendais compte que ces sourires ne m'étaient pas destinés … C'était pour mon petit frère … On s'est rendu compte par la suite que, en fait, peu de personnes savait que c'était mon petit frère, sauf les étudiants bien sûr ! Il est très mignon, je vous l'ai déjà dit il me ressemble, je suis très populaire. Il était donc le petit frère craquant du champion de la ville … Par la suite sa popularité n'a cessé d'augmenter. Il a reçu des milliers de lettres de ses admiratrices mais il n'a lu que celles de ses admirateurs et a laissé Bob lire les autres … Il est comme ça mon petit frère !
Le test anti dopage était pratiqué et comme prévu il était négatif ! Pour tout le monde, pour toutes les équipes … Ce n'était pas vraiment une surprise on connaissait la réputation de nos adversaires, elle était irréprochable ! C'était une belle compétition et elle se terminait par une fête que plus d'un, et plus d'une, n'oublieraient pas de si tôt !
On se laissait un peu aller, on picolait … Léa avait envie de passer la soirée avec moi mais, elle est adorable cette petite et me laissait avec mes copains, je ne lui avait rien demandé mais elle m'avait dit …
Léa : Trésor, tu sais que tu m'a manqué et je ne pense qu'à une chose … Me retrouver dans tes bras ! Je te laisse t'amuser avec tes copains mais attention il faudra rattraper ça !
Elle passait sa soirée entre filles …
Nous aussi ! D'une certaine manière ...
Sous la douche j'avais retrouvé Julien, il portait toujours son dispositif Julien mais il avait sympathisé avec un supporter d'une autre équipe. Un grand, bonne tête, belle carrure fine et musclée. Il m'invitait à les rejoindre dans un coin calme, une chambre de l'internat … Son copain n'était pas venu seul, il y avait avec lui un autre garçon … Un petit gros … Enfin quand je dis gros, je devrais dire bien carré, costaud, très musclé. Petit ! … Un peu plus petit que moi mais comme il était très large ça accentuait l'impression de petite taille. Une carrure de lanceur de marteau … Avec une bonne tête et un sourire malicieux.
Nous nous retrouvions tous les trois, on avait un peu picolé. Je prenais Julien dans mes bras, ça faisait longtemps que je ne l'avais pas tenu dans mes bras celui là. Les deux autres nous regardaient faire en se déshabillant. Ils s'approchaient alors de nous l'un retirait la chemise de Julien pendant que l'autre me faisait la même chose, puis c'était le pantalon. Pour moi c'était rapide. Je vous l'ai déjà dit ? Je ne sais plus mais … Je ne porte pas de sous vêtement …
Nous étions nus tous les trois, le petit s'était approché de moi, il me tenait contre lui, tout contre … Je sentais son pénis se relever entre mes cuisses, il me donnait des baisers qui me chatouillaient au milieu du dos, une légère moustache me chatouillait et me faisait frissonner. Le grand derrière Julien lui faisait la même chose. Nous nous retournions et prenions nos partenaires dans nos bras. Il était large, massif, musclé il n'avait pas un poil de graisse. Que du muscle. Sa queue aussi était musclée, d'une longueur tout à fit normale mais massive, comme son propriétaire, bien large, bien lourde, bien ... massive …
Je n'attendais pas qu'il me le demande, je m'accroupissais devant lui et lui suçais la queue. En longueur ça ne posait pas de problème, mais pour la largeur, c'était du lourd. Il avait un énorme gland qui faisait envie. Il fallait que j'ouvre la mâchoire en grand pour le prendre dans la bouche. Déjà je me l'imaginait dans mon cul. Même si en longueur ça passait, en largeur je savais déjà que je la sentirais passer ...
Il me tenait la tête, enfonçait sa queue, ça passait. Ça passait mal mais ça passait. Je toussais, j'avais du mal … Je me relevais me retournais et me retrouvais face à mon camarade Julien. Il me souriait. M'embrassait les épaules, un moment je lui caressais les fesses et … Son partenaire avait déjà commencé à le pénétrer, je sentais sa queue qui entrait dans l'anus de Julien.
Julien se tenait à moi, et gémissait dans mon oreille, en réponse je lui mordillais le lobe, il gémissait encore plus fort. Le plus grand demandait à Julien de se pencher en avant contre le canapé. J'en faisait de même et me mettais à genoux.
Sans attendre et sans me demander mon avis le gars que je venais de sucer se plaçait derrière moi et après m'avoir bien lubrifié le cul me plantait sa queue en un mouvement aussi rapide que violent. Je hurlais ! Je l'avais bien dit au niveau longueur ça ne posait pas de problème mais au niveau largeur … Il était trapu de la queue ce garçon … Et je le sentais bien, il me dilatait l'anus, au début ça faisait un peu mal mais rapidement c'était bon …
Il me limait ensuite rapidement, il y allait de bon cœur. Me tirait de toutes ses forces vers lui et il était costaud. Poussait avec violence son bassin en avant, son ventre frappait contre mes fesses, c'était bon, ma bite protestait, mon dispositif de chasteté se relevait et malgré les mouvements rapide ne se balançait pas vraiment tant il y avait de pression à l'intérieur. Je me cramponnais au canapé !
Il se retirait, je reprenais mon souffle. C'est le plus grand qui le replaçait Julien me regardait, son partenaire venait de se retirer il était aux anges. Les deux garçons échangeaient leurs positions. C'est une queue plus fine et plus longue qui me pénétrait alors. Je la sentais s'enfoncer doucement et longuement, je relevais la tête, il se penchait vers moi et me donnait un baiser. Je retournais la tête et on s'embrassait au moment ou il frappait contre mes fesses. Je ne pouvais retenir un gémissement sans pour autant arrêter de l'embrasser, il se retirait et revenait. Il continuait ce mouvement, doucement plus vite puis doucement encore …
Julien râlait de douleur autant que de plaisir, le '' petit gros '' se lâchait sur le cul de Julien après s'être lâché sur le mien. Le plus grand me limait le cul toujours de la même manière, avec des mouvements très amples, lents puis rapides mais pas trop … Toujours amples, sans s'arrêter … Le plaisir montait, le massage de mon anus me procurait un plaisir de plus en plus intense et les coups répétés sur ma prostate me faisaient trembler …
Un plaisir intense montait en moi ! Je me sentais rempli bien à fond, je me sentais sur le point d'exploser, le plaisir envahissait tout mon ventre et envahissait mon cœur, il remplissait tout mon corps. C'était bon, je ne jutais pas, mais j'étais pris d'un tremblement nerveux incontrôlable, je manquais d'air, je respirais fort mais je manquais d'air, je respirais fort, la bouche ouverte et sans m'en rendre compte je râlais, je criais, je hurlais de plaisir. Je jouissais sans juter mais je jouissais, ma prostate s'affolait, je ne tremblais plus c'étaient des convulsions, le gars me serrait dans ses bras fort, de toutes ses forces et il hurlait également quand il jutait dans mon cul …
Le petit continuait à se lâcher sur le cul de mon camarade Julien qui hurlait maintenant, son partenaire poussait des râles de plaisir et jouissait à son tour. Julien jutait, il n'éjaculait pas vraiment il jutait. Un flot de sperme coulait de son dispositif de chasteté, il n'éjaculait pas, il jutait, il jouissait …
On était en sueur et on se laissait tomber sur le sol, sur le lit, sur un fauteuil … Le temps de récupérer et on passait sous la douche avant de retourner faire la fête avec tout le reste de l'équipe …
Je me sentais bien vraiment bien et je me jurais que je ne passerais plus des semaines comme ces derniers mois … Des semaines sans toucher à un mec, des semaines à accepter de me priver de ce plaisir … A ne pas me faire défoncer le cul … Ça c'est clair ! Plus une semaine sans … !
On continuait la fête et je terminais un peu dans le même état que l'année passée, vous vous souvenez ? Je ne savais plus ou j'habitais ( Ep 24 ) Antoine et Julien m'avaient raccompagné et je ne voulais pas rentré chez moi, j'avais déménagé le jour même et je ne m'en souvenais plus je voulais rentrer dans mon ancien appartement … Il avaient rigolé ce soir là et ce n'est pas par hasard si Antoine venait vers moi …
Antoine : Tu sais Djé que maintenant nous habitons ensemble …Moi : ( en rigolant ) Oui je sais, mais pourquoi tu me dis ça ?
Antoine : L'an dernier tu te souviens ?
Je pouffais de rire.
Moi : Tu tu moques de moi ! Je sais ou j'habite maintenant !
Antoine : On verra bien !
Au retour on entrait à pied, on chantait sur la route, à pied bien sûr … Pas question de prendre les voitures … Elles étaient dans un parking bien tranquilles, en sécurité, on les récupérerait le lendemain … Nos chauffeurs étaient dans le même état que moi, aussi il n'était pas question de les laisser conduire. C'est donc une bande joyeuse et bruyante qui arrivait tard dans la nuit, Charles était avec nous, il nous laissait au rez de chaussée et préférait rentrer se coucher tout de suite. Nous on avait des bouteille de champagne et je me voyais déjà installé sur la terrasse à remplir les coupes … Ouai … Euh … C'est vrai qu'on est encore en hiver … Bon dans le salon, ce sera bien aussi dans le salon, et ce sera peut être mieux même en cette saison !
On était bien énervés tous. Je n'avais jamais vu Bob dans cet état ! Mais lui ne tardait pas à s'endormir, à un moment de la soirée il avait disparu, on ne savait pas vraiment à quel moment, et c'est en posant une bouteille de champagne vide dans un coin que Antoine le retrouvait. Le pauvre Bob s'était endormi derrière le canapé replié sur lui même … Le voyant ainsi Luc lui glissait tendrement un coussin sous la tête. Et on continuait à chanter …
Un peut plus tard c'est Luc qui disparaissait à son tour, je le retrouvais rapidement, en voulant aller je ne sais plus ou, j'ai failli tomber en me prenant le pied sur sa jambe il s'était effondré à côté de son copain Bob, la tête posée sur le même coussin !
Antoine : Ils sont tout de même mignons quand ils dorment !
Moi : C'est vrai qu'ils sont … hips … mignons …
On terminait la bouteille entamée … Il ne faut pas que ça se perde … C'est du bon … C'est le même que celui que je sers à mes invités à chaque fois qu'on reçoit … Puis … Là ça devient un peu confus Romain le copain d'Antoine s'endormait sur un fauteuil, je m'allongeais dans un coin, un coussin sous la tête pour pouvoir discuter avec Antoine … Puis … Je ne sais plus …
C'est l'odeur du café qui me réveillait … Charles était en train préparer du café, il avait posé un verre avec un cachet effervescent à côté de lui … Je me levait et en titubant j'allais comme je pouvais m'installer à la table de la cuisine …
Charles : Ça s'est bien terminé hier ?
Moi : Euhhh …Charles : Vous avez traîné tard ?
Moi : Euhhh … J'sais pas ! Dis tu en a d'autres ? ( en montrant le verre avec le médicament contre le mal de tête )
En quelques secondes il m'en préparait un également !
Charles : Je laisse la boite de comprimés juste là … Dis moi Djé, je peux te demander une faveur ?
Moi : Vas y toujours, dans l'état ou je suis je ne peux rien te promettre …Charles : J'aimerais prendre ma matinée pour me reposer encore un peu plus … La soirée à été dure …Moi : Vas y prend ta journée même je crois que personne sera trop vigoureux aujourd'hui, on devrait pouvoir se passer de toi ! Prend ta journée je passerai le mot pour que personne ne te dérange !
Charles : Je te remercie … Je prépare le petit déjeuner, vous pourrez le prendre quand … Quant tout le monde sera sorti du coma … Et je vous laisse alors … Encore merci !
J'avalais mon café et allais m'effondrer sur mon lit … Quand je me relevais beaucoup plus tard Antoine et Romain avaient disparu ! Luc avait un peu bougé, il s'était retourné … Bob dormait maintenant sur le dos … J'avais toujours mal à la tête … En fait non c'est pas vraiment la tête qui me faisait mal … C'était mes cheveux qui me faisaient mal, un peu comme s'ils avaient poussé trop fort cette nuit là …
Progressivement vers treize heures du matin ... Oui je sais ! … Mes camarades arrivaient vers à cuisine l'un après l'autre. On avalait un café, deux aspirines, et trois bouchées du gâteau que Charles nous avait laissé et on continuait à comater devant la télé une bonne partie du reste de la journée … Malgré tout on était content, on avait encore fait une compétition qui ne nous ridiculisait pas, loin de la … Léa avait eu vent de la soirée et quand elle me téléphonait c'était uniquement pour prendre des nouvelles … Je lui racontais la fin de la soirée ce qui la faisait rire … Elle me disait qu'elle me réservait une petite surprise pour la prochaine fois qu'on se retrouverait ensemble … Mais elle ne voulait pas en dire plus …
Il fallait encore attendre le lendemain pour retrouver la forme … Charles avait préparé le petit déjeuner comme d'habitude, il était en forme, nous avions tous récupéré … Il était temps de retourner à l'école …
On ne parlait que de la compétition. Bob me racontait plus tard que Luc avait été reçu sous les ovations des élèves et le regard amusé des professeurs. Léa m'avait fait un gros câlin et Justine m'avait téléphoné !
Avec Antoine on se retrouvait dans son cabinet … Luc avait insisté pour venir avec nous, et quand il veut quelque chose celui là … On avait cédé pour avoir la paix …
Justine : Je suis heureuse de vous voir tous les jeunes … J'ai de bonnes nouvelles pour vous …
Elle nous faisait un grand discours sur le développement de la PK … Ses ventes …
Antoine : On se doutait un peu que ça marchait bien ce truc … Moi : En partant en vacances, avec Luc on a trouvé un bureau de vente de la PK …Justine : On en ouvre régulièrement ! Les ventes on vraiment explosé, et les commandes viennent d'exploser encore depuis deux jours … La compétition … Je vais donc vous remettre un versement assez considérable … Eh, éh, éh …Antoine : Mais parle … Deux cent, trois cent … ?
Justine : Oh non comment tu y vas toi !
Elle laissait monter le suspense, c'était son côté sadique … Puis reprenait …
Justine : Presque … Un million !
On restait pétrifié par la surprise, on savait que ça marchait bien cette affaire mais pas à ce point …
Justine : Si tout se passe bien on espère un montant similaire pour la prochaine rentrée … Mais bon comme chacun sait il ne faut pas vendre la peau de l'ours avant de l'avoir mangé !
Antoine : Tu manges des ours toi maintenant!
Moi : C'est une avocate, elle a la dent dure et puis tu ne l'as pas vue avec son mari …Justine : Djé !
Luc rigolait ! Ce montent n'incluait pas les contrats publicitaires qui nous étaient proposés … Si on les comptait tous ça doublait la somme … On passait un long moment à les étudier, Justine avait déjà tout décortiqué, négocié, écarter les proposition qui risquaient de nuire à notre image ou ne rapportaient pas suffisamment … On signait ! Les photos ou enregistrements vidéos seraient effectués dès la fin des cours … On en aurait pour un mois, mais un mois de travail pas trop fatigant pour gagner un million …
Vous feriez quoi vous à ma place ? C'est facile de critiquer ! …
La réunion prenait fin Antoine et moi nous levions … Luc ne bougeait pas !
Justine : Bien, maintenant on va passer à toi Luc ! Tu as été remarqué pendant cette compétition, tu es très télégénique …Luc : ( en rigolant )Vous pourriez me laisser, si ça ne vous dérange pas les vieux , j'ai une discussion d'affaire avec mon avocate …Antoine : LUC !
Moi : BOURRIQUE !
Il rigolait et ne le cachait pas, Justine aussi … Bien sûr on restait ! On lui proposait à lui cinq contrat publicitaires pour un total de trois cent mille, les versements seraient étalés dans l'été, et un contrat pour co-animer une émission télé tous les dimanches pendant six mois sur les sport et les activités sportives dans le milieu étudiant pour un montant de deux mille DI (Dollars Internationaux) par émission … Il jubilait et bien sûr il signait … Habituellement les prestations pour ce genre de travail n'étaient pas aussi élevées pour les animateurs débutants mais Justine ne nous cachait pas que cette émission était voulue par Monsieur Le Conte …
La compétition s'était, comme je l'ai dit plus tôt, très bien passée. Mon petit frère avait un gros succès. Toutes les filles de son âge lui tournait autour le soir quand il sortait du studio. Évidemment il faisait le mariole et Bob préférait s’asseoir à côté de moi au restaurant … J'étais la vedette de l'équipe mais c'était malgré tout plus discret d'être à côté de moi !
le deuxième jours je ne concourrais pas et on m'invitait à passer au studio télé. C'était un studio installé dans la bibliothèque, dans un salon privé … Les fous, ils avaient installé un véritable mur d'écrans et on pouvait suivre toutes les compétitions depuis cette salle. Luc y passait ses journée, sauf bien sûr quand il descendait sur le terrain pour animer et toujours … Faire son mariole …
Bob n'avait pas de bureau, qu'en aurait-il fait ? Il avait un badge pass et on le laissait aller librement … C'était un privilège ! Sans badge je pense que Antoine et moi devions être les seuls qui pourrions plus ou moins passer ! On était célèbres ...
La journaliste me recevais, mon frère se mettait en place !
L'émission commençait et je pense que c'est à ce moment que j'ai eu l'idée de m'amuser un peu !
La journaliste : Nous recevons ce soir notre champion Jérémy Brosso …Luc : Bonsoir Jérémy.
Moi : Bonsoir ! Mais dites moi, vous ne trouvez pas qu'il est mignon comme ça ! ( en montrant mon frère )
Là, il était déconcerté !
Lj : Oui ! Notre nouveau co animateur est très mignon, il a un très gros succès ici, je ne vous dit pas Jérémy !
Luc : Ma … Je … Moi : Mais oui Luc tu est très mignon avec ton costume, ta cravate et tout. Tu devrais t'habiller comme ça tous les jours … Luc : M … J …Moi : Et il s'en sort bien le stagiaire ? Je n'ai pas pu le suivre toute la journée ! Je ne l'ai vu qu'à quelques reprises !
La journaliste entrait dans mon jeu …
L j : Oh oui il s'en sort très bien. Il m'a dit qu'il en ferait bien sa profession …Luc : Djé !
Moi : Oui ! ( me retournant vers la caméra ) C'est mon petit frère, vous savez ? Il est très mignon, un peu mariole mais adorable !
Bob s'était caché dans un coin derrière un projecteur mais c'est pas parce qu'il était tout rouge mais parce qu'il était plié de rire … Luc ne savait plus quoi dire et restait là, la bouche ouverte.
Luc : Djé !
Moi : Oui c'est comme ça que tout le monde m'appelle, je peux préciser que seul mon jeune frère m'appelle Jérémy … Sauf quand il est en colère contre moi !
Luc : DJE !!
La journaliste disparaissait, elle s'était jetée sous le bureau, elle était pliée de rire à voir la tête que faisait mon frère et préférait disparaître un moment … Elle ne réapparaissait que quelques instants plus tard pour annoncer une coupure publicitaire …
Mon frère me faisait les gros yeux, je rigolais comme un fou et dans la pièce il devait être le seul à ne pas rigoler … On respirait bien à fond et on reprenait … Je le laissais faire, il semblait y tenir, et finalement il s'en sortait bien. Il me connaissait bien et posait bien sûr des questions auxquelles je connaissais les réponses … Ma courte carrière de champion, mes études, mes projets qui pour le moment se limitaient à … Terminer mes études et … On verra plus tard …
Il abordait le sujet du dispositif de chasteté, le sport, la transformation de l'école, les autres équipes …
La réunion durait presque une heure et on rendait l’antenne. On avait bien rigolé, tout s'était bien passé et mon frère avait oublié les petites taquineries que je lui avait lancé au début ! La journaliste n'était plus du tout comme l'année précédente et nous invitait pour le souper dans un restaurant.
Ce soir là au restaurant toutes les filles que nous avons croisées nous faisaient des sourires, je leur rendais leurs sourires jusqu'au moment ou je me rendais compte que ces sourires ne m'étaient pas destinés … C'était pour mon petit frère … On s'est rendu compte par la suite que, en fait, peu de personnes savait que c'était mon petit frère, sauf les étudiants bien sûr ! Il est très mignon, je vous l'ai déjà dit il me ressemble, je suis très populaire. Il était donc le petit frère craquant du champion de la ville … Par la suite sa popularité n'a cessé d'augmenter. Il a reçu des milliers de lettres de ses admiratrices mais il n'a lu que celles de ses admirateurs et a laissé Bob lire les autres … Il est comme ça mon petit frère !
Le test anti dopage était pratiqué et comme prévu il était négatif ! Pour tout le monde, pour toutes les équipes … Ce n'était pas vraiment une surprise on connaissait la réputation de nos adversaires, elle était irréprochable ! C'était une belle compétition et elle se terminait par une fête que plus d'un, et plus d'une, n'oublieraient pas de si tôt !
On se laissait un peu aller, on picolait … Léa avait envie de passer la soirée avec moi mais, elle est adorable cette petite et me laissait avec mes copains, je ne lui avait rien demandé mais elle m'avait dit …
Léa : Trésor, tu sais que tu m'a manqué et je ne pense qu'à une chose … Me retrouver dans tes bras ! Je te laisse t'amuser avec tes copains mais attention il faudra rattraper ça !
Elle passait sa soirée entre filles …
Nous aussi ! D'une certaine manière ...
Sous la douche j'avais retrouvé Julien, il portait toujours son dispositif Julien mais il avait sympathisé avec un supporter d'une autre équipe. Un grand, bonne tête, belle carrure fine et musclée. Il m'invitait à les rejoindre dans un coin calme, une chambre de l'internat … Son copain n'était pas venu seul, il y avait avec lui un autre garçon … Un petit gros … Enfin quand je dis gros, je devrais dire bien carré, costaud, très musclé. Petit ! … Un peu plus petit que moi mais comme il était très large ça accentuait l'impression de petite taille. Une carrure de lanceur de marteau … Avec une bonne tête et un sourire malicieux.
Nous nous retrouvions tous les trois, on avait un peu picolé. Je prenais Julien dans mes bras, ça faisait longtemps que je ne l'avais pas tenu dans mes bras celui là. Les deux autres nous regardaient faire en se déshabillant. Ils s'approchaient alors de nous l'un retirait la chemise de Julien pendant que l'autre me faisait la même chose, puis c'était le pantalon. Pour moi c'était rapide. Je vous l'ai déjà dit ? Je ne sais plus mais … Je ne porte pas de sous vêtement …
Nous étions nus tous les trois, le petit s'était approché de moi, il me tenait contre lui, tout contre … Je sentais son pénis se relever entre mes cuisses, il me donnait des baisers qui me chatouillaient au milieu du dos, une légère moustache me chatouillait et me faisait frissonner. Le grand derrière Julien lui faisait la même chose. Nous nous retournions et prenions nos partenaires dans nos bras. Il était large, massif, musclé il n'avait pas un poil de graisse. Que du muscle. Sa queue aussi était musclée, d'une longueur tout à fit normale mais massive, comme son propriétaire, bien large, bien lourde, bien ... massive …
Je n'attendais pas qu'il me le demande, je m'accroupissais devant lui et lui suçais la queue. En longueur ça ne posait pas de problème, mais pour la largeur, c'était du lourd. Il avait un énorme gland qui faisait envie. Il fallait que j'ouvre la mâchoire en grand pour le prendre dans la bouche. Déjà je me l'imaginait dans mon cul. Même si en longueur ça passait, en largeur je savais déjà que je la sentirais passer ...
Il me tenait la tête, enfonçait sa queue, ça passait. Ça passait mal mais ça passait. Je toussais, j'avais du mal … Je me relevais me retournais et me retrouvais face à mon camarade Julien. Il me souriait. M'embrassait les épaules, un moment je lui caressais les fesses et … Son partenaire avait déjà commencé à le pénétrer, je sentais sa queue qui entrait dans l'anus de Julien.
Julien se tenait à moi, et gémissait dans mon oreille, en réponse je lui mordillais le lobe, il gémissait encore plus fort. Le plus grand demandait à Julien de se pencher en avant contre le canapé. J'en faisait de même et me mettais à genoux.
Sans attendre et sans me demander mon avis le gars que je venais de sucer se plaçait derrière moi et après m'avoir bien lubrifié le cul me plantait sa queue en un mouvement aussi rapide que violent. Je hurlais ! Je l'avais bien dit au niveau longueur ça ne posait pas de problème mais au niveau largeur … Il était trapu de la queue ce garçon … Et je le sentais bien, il me dilatait l'anus, au début ça faisait un peu mal mais rapidement c'était bon …
Il me limait ensuite rapidement, il y allait de bon cœur. Me tirait de toutes ses forces vers lui et il était costaud. Poussait avec violence son bassin en avant, son ventre frappait contre mes fesses, c'était bon, ma bite protestait, mon dispositif de chasteté se relevait et malgré les mouvements rapide ne se balançait pas vraiment tant il y avait de pression à l'intérieur. Je me cramponnais au canapé !
Il se retirait, je reprenais mon souffle. C'est le plus grand qui le replaçait Julien me regardait, son partenaire venait de se retirer il était aux anges. Les deux garçons échangeaient leurs positions. C'est une queue plus fine et plus longue qui me pénétrait alors. Je la sentais s'enfoncer doucement et longuement, je relevais la tête, il se penchait vers moi et me donnait un baiser. Je retournais la tête et on s'embrassait au moment ou il frappait contre mes fesses. Je ne pouvais retenir un gémissement sans pour autant arrêter de l'embrasser, il se retirait et revenait. Il continuait ce mouvement, doucement plus vite puis doucement encore …
Julien râlait de douleur autant que de plaisir, le '' petit gros '' se lâchait sur le cul de Julien après s'être lâché sur le mien. Le plus grand me limait le cul toujours de la même manière, avec des mouvements très amples, lents puis rapides mais pas trop … Toujours amples, sans s'arrêter … Le plaisir montait, le massage de mon anus me procurait un plaisir de plus en plus intense et les coups répétés sur ma prostate me faisaient trembler …
Un plaisir intense montait en moi ! Je me sentais rempli bien à fond, je me sentais sur le point d'exploser, le plaisir envahissait tout mon ventre et envahissait mon cœur, il remplissait tout mon corps. C'était bon, je ne jutais pas, mais j'étais pris d'un tremblement nerveux incontrôlable, je manquais d'air, je respirais fort mais je manquais d'air, je respirais fort, la bouche ouverte et sans m'en rendre compte je râlais, je criais, je hurlais de plaisir. Je jouissais sans juter mais je jouissais, ma prostate s'affolait, je ne tremblais plus c'étaient des convulsions, le gars me serrait dans ses bras fort, de toutes ses forces et il hurlait également quand il jutait dans mon cul …
Le petit continuait à se lâcher sur le cul de mon camarade Julien qui hurlait maintenant, son partenaire poussait des râles de plaisir et jouissait à son tour. Julien jutait, il n'éjaculait pas vraiment il jutait. Un flot de sperme coulait de son dispositif de chasteté, il n'éjaculait pas, il jutait, il jouissait …
On était en sueur et on se laissait tomber sur le sol, sur le lit, sur un fauteuil … Le temps de récupérer et on passait sous la douche avant de retourner faire la fête avec tout le reste de l'équipe …
Je me sentais bien vraiment bien et je me jurais que je ne passerais plus des semaines comme ces derniers mois … Des semaines sans toucher à un mec, des semaines à accepter de me priver de ce plaisir … A ne pas me faire défoncer le cul … Ça c'est clair ! Plus une semaine sans … !
On continuait la fête et je terminais un peu dans le même état que l'année passée, vous vous souvenez ? Je ne savais plus ou j'habitais ( Ep 24 ) Antoine et Julien m'avaient raccompagné et je ne voulais pas rentré chez moi, j'avais déménagé le jour même et je ne m'en souvenais plus je voulais rentrer dans mon ancien appartement … Il avaient rigolé ce soir là et ce n'est pas par hasard si Antoine venait vers moi …
Antoine : Tu sais Djé que maintenant nous habitons ensemble …Moi : ( en rigolant ) Oui je sais, mais pourquoi tu me dis ça ?
Antoine : L'an dernier tu te souviens ?
Je pouffais de rire.
Moi : Tu tu moques de moi ! Je sais ou j'habite maintenant !
Antoine : On verra bien !
Au retour on entrait à pied, on chantait sur la route, à pied bien sûr … Pas question de prendre les voitures … Elles étaient dans un parking bien tranquilles, en sécurité, on les récupérerait le lendemain … Nos chauffeurs étaient dans le même état que moi, aussi il n'était pas question de les laisser conduire. C'est donc une bande joyeuse et bruyante qui arrivait tard dans la nuit, Charles était avec nous, il nous laissait au rez de chaussée et préférait rentrer se coucher tout de suite. Nous on avait des bouteille de champagne et je me voyais déjà installé sur la terrasse à remplir les coupes … Ouai … Euh … C'est vrai qu'on est encore en hiver … Bon dans le salon, ce sera bien aussi dans le salon, et ce sera peut être mieux même en cette saison !
On était bien énervés tous. Je n'avais jamais vu Bob dans cet état ! Mais lui ne tardait pas à s'endormir, à un moment de la soirée il avait disparu, on ne savait pas vraiment à quel moment, et c'est en posant une bouteille de champagne vide dans un coin que Antoine le retrouvait. Le pauvre Bob s'était endormi derrière le canapé replié sur lui même … Le voyant ainsi Luc lui glissait tendrement un coussin sous la tête. Et on continuait à chanter …
Un peut plus tard c'est Luc qui disparaissait à son tour, je le retrouvais rapidement, en voulant aller je ne sais plus ou, j'ai failli tomber en me prenant le pied sur sa jambe il s'était effondré à côté de son copain Bob, la tête posée sur le même coussin !
Antoine : Ils sont tout de même mignons quand ils dorment !
Moi : C'est vrai qu'ils sont … hips … mignons …
On terminait la bouteille entamée … Il ne faut pas que ça se perde … C'est du bon … C'est le même que celui que je sers à mes invités à chaque fois qu'on reçoit … Puis … Là ça devient un peu confus Romain le copain d'Antoine s'endormait sur un fauteuil, je m'allongeais dans un coin, un coussin sous la tête pour pouvoir discuter avec Antoine … Puis … Je ne sais plus …
C'est l'odeur du café qui me réveillait … Charles était en train préparer du café, il avait posé un verre avec un cachet effervescent à côté de lui … Je me levait et en titubant j'allais comme je pouvais m'installer à la table de la cuisine …
Charles : Ça s'est bien terminé hier ?
Moi : Euhhh …Charles : Vous avez traîné tard ?
Moi : Euhhh … J'sais pas ! Dis tu en a d'autres ? ( en montrant le verre avec le médicament contre le mal de tête )
En quelques secondes il m'en préparait un également !
Charles : Je laisse la boite de comprimés juste là … Dis moi Djé, je peux te demander une faveur ?
Moi : Vas y toujours, dans l'état ou je suis je ne peux rien te promettre …Charles : J'aimerais prendre ma matinée pour me reposer encore un peu plus … La soirée à été dure …Moi : Vas y prend ta journée même je crois que personne sera trop vigoureux aujourd'hui, on devrait pouvoir se passer de toi ! Prend ta journée je passerai le mot pour que personne ne te dérange !
Charles : Je te remercie … Je prépare le petit déjeuner, vous pourrez le prendre quand … Quant tout le monde sera sorti du coma … Et je vous laisse alors … Encore merci !
J'avalais mon café et allais m'effondrer sur mon lit … Quand je me relevais beaucoup plus tard Antoine et Romain avaient disparu ! Luc avait un peu bougé, il s'était retourné … Bob dormait maintenant sur le dos … J'avais toujours mal à la tête … En fait non c'est pas vraiment la tête qui me faisait mal … C'était mes cheveux qui me faisaient mal, un peu comme s'ils avaient poussé trop fort cette nuit là …
Progressivement vers treize heures du matin ... Oui je sais ! … Mes camarades arrivaient vers à cuisine l'un après l'autre. On avalait un café, deux aspirines, et trois bouchées du gâteau que Charles nous avait laissé et on continuait à comater devant la télé une bonne partie du reste de la journée … Malgré tout on était content, on avait encore fait une compétition qui ne nous ridiculisait pas, loin de la … Léa avait eu vent de la soirée et quand elle me téléphonait c'était uniquement pour prendre des nouvelles … Je lui racontais la fin de la soirée ce qui la faisait rire … Elle me disait qu'elle me réservait une petite surprise pour la prochaine fois qu'on se retrouverait ensemble … Mais elle ne voulait pas en dire plus …
Il fallait encore attendre le lendemain pour retrouver la forme … Charles avait préparé le petit déjeuner comme d'habitude, il était en forme, nous avions tous récupéré … Il était temps de retourner à l'école …
On ne parlait que de la compétition. Bob me racontait plus tard que Luc avait été reçu sous les ovations des élèves et le regard amusé des professeurs. Léa m'avait fait un gros câlin et Justine m'avait téléphoné !
Avec Antoine on se retrouvait dans son cabinet … Luc avait insisté pour venir avec nous, et quand il veut quelque chose celui là … On avait cédé pour avoir la paix …
Justine : Je suis heureuse de vous voir tous les jeunes … J'ai de bonnes nouvelles pour vous …
Elle nous faisait un grand discours sur le développement de la PK … Ses ventes …
Antoine : On se doutait un peu que ça marchait bien ce truc … Moi : En partant en vacances, avec Luc on a trouvé un bureau de vente de la PK …Justine : On en ouvre régulièrement ! Les ventes on vraiment explosé, et les commandes viennent d'exploser encore depuis deux jours … La compétition … Je vais donc vous remettre un versement assez considérable … Eh, éh, éh …Antoine : Mais parle … Deux cent, trois cent … ?
Justine : Oh non comment tu y vas toi !
Elle laissait monter le suspense, c'était son côté sadique … Puis reprenait …
Justine : Presque … Un million !
On restait pétrifié par la surprise, on savait que ça marchait bien cette affaire mais pas à ce point …
Justine : Si tout se passe bien on espère un montant similaire pour la prochaine rentrée … Mais bon comme chacun sait il ne faut pas vendre la peau de l'ours avant de l'avoir mangé !
Antoine : Tu manges des ours toi maintenant!
Moi : C'est une avocate, elle a la dent dure et puis tu ne l'as pas vue avec son mari …Justine : Djé !
Luc rigolait ! Ce montent n'incluait pas les contrats publicitaires qui nous étaient proposés … Si on les comptait tous ça doublait la somme … On passait un long moment à les étudier, Justine avait déjà tout décortiqué, négocié, écarter les proposition qui risquaient de nuire à notre image ou ne rapportaient pas suffisamment … On signait ! Les photos ou enregistrements vidéos seraient effectués dès la fin des cours … On en aurait pour un mois, mais un mois de travail pas trop fatigant pour gagner un million …
Vous feriez quoi vous à ma place ? C'est facile de critiquer ! …
La réunion prenait fin Antoine et moi nous levions … Luc ne bougeait pas !
Justine : Bien, maintenant on va passer à toi Luc ! Tu as été remarqué pendant cette compétition, tu es très télégénique …Luc : ( en rigolant )Vous pourriez me laisser, si ça ne vous dérange pas les vieux , j'ai une discussion d'affaire avec mon avocate …Antoine : LUC !
Moi : BOURRIQUE !
Il rigolait et ne le cachait pas, Justine aussi … Bien sûr on restait ! On lui proposait à lui cinq contrat publicitaires pour un total de trois cent mille, les versements seraient étalés dans l'été, et un contrat pour co-animer une émission télé tous les dimanches pendant six mois sur les sport et les activités sportives dans le milieu étudiant pour un montant de deux mille DI (Dollars Internationaux) par émission … Il jubilait et bien sûr il signait … Habituellement les prestations pour ce genre de travail n'étaient pas aussi élevées pour les animateurs débutants mais Justine ne nous cachait pas que cette émission était voulue par Monsieur Le Conte …
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