LES AVENTURES DE DJE 67
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-12-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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LES AVENTURES DE DJE 67
LES AVENTURES DE DJE 67
Voilà qui conclu la cinquième saison des aventures de notre ami Djé . Je vais suspendre quelques temps la diffusion de cette histoire et prochainement je vous proposerai un nouveau récit … L'histoire d'un p'tit gars pas toujours très futé, un peu nouille mais sympathique et attachant. Il s'appelle Benoît … Ce sera donc : UNE GROSSE NOUILLE NOMMÉE BENOIT …Djé et David vont revenir dans quelques semaines. Le temps pour moi de rédiger une nouvelle saison car là, je n'ai plus de textes en avance .
Ep 67 : LENDEMAIN DE FÊTE
Léa se réveillait en pleine forme. J'étais un peu … Pas trop en forme … La tête dans le pâté, un peu mal au crane, et cette sensation pas vraiment désagréable de se sentir rempli, bien dilaté et agréablement rempli au niveau du cul … Je m'étais pris de quoi la veille au soir ! …
Avant que j'ai eu le temps de réagir, elle s'était levé, douché, habillé et partait faire un petit tour. Je ne suis pas sûr d'avoir bien entendu, elle me parlait d'un petit déjeuner, d'une galerie marchande, et de … Ah oui ça me revient maintenant … De ma carte de crédit …
Je restais là, allongé sur le dos. Une main me caressait le torse, je me retournais, c'était Jonathan … Je l'avais presque oublié celui là mais au moment ou je le revoyais mon cul me faisait savoir que lui, il ne l'avait pas oublié !
Je lui caressait la main et le souvenir de son énorme matraque me réveillait la bite, elle se manifestais dans sa cage, je sentais la pression, je bandais, enfin j'essayais … Sa main me caressait le torse et descendait sur mon ventre pour finir sur ma bite en cage et mes couilles.
Jon : Ça va toi ?
Moi : Ouai ça va !
Jon : J'aime bien ton truc …Moi : Tu en veux un je peux t'avoir des prix !
Il rigolait.
Jon : Non ça ira comme ça ! J'aime bien ce truc sur les autres, pas pour moi !
Moi : Ça fait moins de concurrence !
Jon : J'ai pas peur de la concurrence !
Moi : C'est vrai qu'il n'y en pas beaucoup à la hauteur !
Je me levais et me dirigeait vers la salle de bain. Au passage je contemplais son corps magnifique et surtout cette bite disproportionnée qui m'avait défoncé le cul la veille, j'en sentais encore sa présence en moi. C'était cette sensation agréable de se sentir encore un peu dilaté mais vidé après avoir été tellement rempli, si violemment rempli !
Je laissais l'eau couler sur moi, sur mon visage un long moment … Je commençais à me savonner quand Jonathan arrivait à sont tour dans la salle de bain, j'admirais sa démarche, il est vraiment beau ce mec, j'admirais aussi cette lourde saucisse qui se balançait mollement bien accrochée sur son entre jambes.
Il avait le sourire, et semblait fier de lui. Il me retrouvait sous la douche, me caressait le dos, l'épaule puis il glissait sa main jusque sur ma cage de chasteté, il la tripotait un peu la relevait pour pouvoir bien l'examiner. Elle se relevait déjà toute seule sous sa pression interne, elle était bien remplie, ma queue était maintenant bien réveillée et réclamait un peu d'espace et de liberté … Il ne faut pas rêver, il n'en était pas question, de toutes façons je n'avais pas la clé. Il n'en était pas question, c'est tout !
Jonathan m’agrippait les couilles fermement, il me faisait mal mais je le laissais faire, il me tirait fermement vers lui, je ne résistais pas. Il passait son autre bras autour de mon dos et me serrait contre lui. Ma bite palpitait au rythme de mon cœur qui frappait fort. Je prenais Jonathan dans mes bras et me serrais fort contre lui, il me serrait les couilles bien fort d'un coup ce qui provoquait un réflexe de recul de ma part et me les lâchait.
Nous restions serrés l'un contre l'autre, l'eau coulait sur nous. Nous nous embrassions et après ce court intermède un peu … Viril … Ce n'était plus que tendresse, caresses et douceur …
Je sentais sa queue se relever entre mes cuisses, elle glissait grâce au savon et se faufilait jusqu'à mes couilles qu'elle soulevait doucement …
Jonathan : Retourne toi !
Je me retournais et m'appuyais contre le mur de la douche. Jonathan me savonnait vigoureusement le cul, il y glissait un puis deux doigts. Savonnait abondamment avant d'y glisser, sans aucune douceur un troisième doigts qu'il agitait dans mon cul. Je gémissais déjà d'un plaisir douloureux. J'avais écarté les cuisses et me retenais, penché en avant, les deux mains appuyées sur le mur.
Jonathan se collait contre moi, la bite bien redressée entre mes cuisses.
Jonathan : Serre les cuisses !
J'hésitais, pas sûr de bien comprendre. Il reprenait sur un ton plus sec !
Jonathan : Referme tes cuisses, bien jointes …
Sa queue se retrouvait coincée entre mes cuisses, elle dépassait bien devant et poussait sur mes couilles, je me caressais les couilles et m'attardais sur la queue de mon partenaire qui dépassait ... Je la sentais bien, là, entre mes cuisses. Elle était énorme. Il faisait des mouvements d'avant en arrière, elle glissait sans résistance avec le savon. Je respirais fort ! Mon anus palpitait et ma prostate frétillait … Souvenir de la veille …
Avec sa queue Jonathan me caressait l'anus quand il reculait et me soulevait les couilles quand il avançait … Il s'attardait plus longtemps sur mon cul puis reprenait … Il s'attardait un peu plus longtemps sur mon cul à chaque passage puis reprenait. Il appuyait bien longuement sur l'ouverture de mon cul pour me détendre avant de recommencer ce mouvement puis, sans prévenir il appuyait plus fort et enfonçait son énorme bite bien à fond dans mon cul, me dilatait jusqu'à la limite de la déchirure et m'écrasait la prostate. Je hurlais !
Sans pitié, il appuyait bien fort m'obligeant à me relever sur la pointe des pieds, mes mains cherchaient quelque chose à accrocher, j'avais la bouche ouverte comme pour appeler à l'aide mais aucun son n'en sortait. Il me serrait bien fort contre lui, se retirait, juste un peu avant de s'enfoncer à nouveau, avec violence, j'entendais son ventre frapper contre mes fesses.
Dans mon corps, c'était la panique. Mon anus allait se déchirer, ma prostate écrasée appelait au secours avec une sensation de plaisir intense et de douleur. Avec un gode on contrôle mais quand c'est une bite et qu'il y a quelqu'un au bout … C'est lui qui contrôle ! … Il ne s'en privait pas … Il pensait à son plaisir, uniquement à son plaisir. J'étais un jouet,une sorte de sex-toy mais contrairement à ce qui se passait avec Léa, les sensations fortes étaient pour moi.
Je ne résistais pas, je me laissais faire. J'étais bientôt submergé de plaisir, je jouissais, je jouissais comme un fou. Quand il se retirait je jutais, quand il avançait et me remplissait plus rien ne coulait. A chaque mouvement le plaisir devenait plus intense, je frémissais, je tremblais, je convulsais, j'étais pris de mouvements incontrôlables … J'allais tomber mais il me retenait … Je me penchais complètement en avant et posais mes mains sur le sol, il me tenais par les hanches et me donnais de violents coups de bassin quand il me tirait vers lui. Il me poussait en avant m'obligeant à m'appuyer sur le sol pour ne pas tomber quand il se retirait.
Je manquais d'air, je suffoquais, je voulais gémir mais aucun son ne sortait de ma bouche … J'aurais voulu gueuler, hurler mais je restais muet ! A peine une légère plainte sortait de ma gorge, une plainte comme celles qui précèdent une crise de larmes. Jonathan continuait ainsi encore un petit moment et ces mouvements devenaient plus rapides, plus violents encore, pour se terminer par quelques coups secs juste au moment ou il jouissait, il me relevait alors et me serrait fort contre lui. J'entendais son souffle contre mon oreille, je tremblais, je ne tenais plus debout et s'il m'avait lâché je serais tombé comme un poids mort.
Il se retirait, un flot de sperme coulait de ma cage de chasteté, il semblait ne pas vouloir s'arrêter, je m'asseyais sur le sol, l'eau me coulait toujours sur le corps. Devant moi, gai comme un pinçon, Jonathan reprenait sa douche, il me regardait avec un petit sourire satisfait … J'étais mois aussi satisfait, le cul un peu endolori mais satisfait … Satisfait aussi qu'il se soit retiré …
Je reprenais mes esprits, puis je reprenais également ma douche. Ensuite je me laissais tomber mollement sur le lit, Jonathan y était déjà allongé, on récupérait … Pour lui je ne sais pas … Mais pour moi, je peux vous garantir qu'il faut de l'énergie pour encaisser tout ça … Remarquer pour lui aussi, je suppose que pour bander comme il le fait avec une bite pareil il faut aussi beaucoup d'énergie …
On se faisait beau et on descendait au bar pour prendre notre petit déjeuner, il commençait à faire tard, on prendrait juste un café … On retrouvait Léa, elle était attablée devant un thé, quelques pochettes en papier décorée de la marque de l'hôtel, un peu comme celles qu'on vous offre généreusement quand vous achetez des vêtements de luxe par exemple …
Léa : Ah vous voilà … Je me suis occupé un peu en vous attendant !
Elle nous montrait une jolie robe en soie qu'elle venait de s'acheter …
Léa : Je n'ai pas pu résisté quand j'ai vu cette merveille. Comment tu la trouves Djé ?
Moi : Très joli !
Elle me rendais ma carte de crédit il y avait le ticket de caisse avec. Si le montant de mon compte en banque ne s'écrivait pas avec sept chiffres je peux vous garantir que j'aurais convulsé … Mais c'est vrai ça ! C'est quoi cette manie de vendre des étoffes plus chère que leur poids en or, largement plus chère. Arrivé à ce niveau on pourrait en faire une monnaie de référence. Je me disais : ''Peut être que mon compte en banque ne s'écrit plus qu'avec six chiffres maintenant !'' . Je gardais le sourire, elle avait l'air contente, et de toutes façons il y avait encore un bon million de DI qui devaient arriver dans quelques mois …
On prenait un café, en attendant de passer à table … Finalement il était presque l'heure du dîner déjà on préparait la salle à manger. Jonathan dînait avec nous nous passions encore un moment à discuter après le repas puis il retrouvait ses camarades avec qui il était venu … Quand je le voyais partir, j'avais encore cette sensation au plus profond de mon ventre et je me demandais … Quand ? … Si ? … Et je savais que le souvenir de cette queue énorme me laisserait rêveur encore longtemps …
Nous passions le reste de la journée à déambuler dans la ville, à faire du tourisme, à nous détendre … On se couchait tôt, je dormais bien cette nuit là, Léa était dans mes bras, détendue je la tenais doucement, détendu … On ne sortait pas les jouets et j'étais trop fatigué pour regarder de plus prêt la petite boite qu'il y avait aussi et que je n'avais pas ouvert … sur le couvercle ou pouvait lire '' GIGOTEUR '' … Se recharge par induction … Pilotable avec votre smart-phone … ?
On se réveillait tôt, on était en pleine forme. Rapidement on faisait les valise. Celle de Léa ne fermait plus …
Moi : Mais elle fermait sans problème quand on est arrivé !
Léa : J'ai fait quelques emplettes …Moi : Oui mais enfin si tu parles de la petite robe … Ce genre de chose en prix ça se compte en kilos et en poids en grammes. C'est pas ça qui va prendre beaucoup de place …Léa : Les jouets … Moi : Oui ça c'est vrai, ça c'est plus gros.
Elle me montrait un des godes qu'elle avait acheté, un gros, presque aussi gros que la bite à Jonathan …
Léa : Celui là, tu vas te le prendre dans le cul ! J'ai vu comment tu aimais ça !
Je restais penseur devant le truc, j'en avais un du même genre à la maison plus petit peut être ? Mais à peine, je ne suis pas sûr. En regardant de plus près sur l'emballage je remarquais un détail … Un logo … C'était un petit dessin qui représentait une maison bourgeoise ou un château et qui ressemblait étrangement au Château … Celui qu'on connaît …
Je lisait plus en détail. La marque était '' LE MANOIR DU PLAISIR '', en tout petit on pouvait lire … '' Fabriqué pour le Manoir … Filiale de la société Le Château …
Moi : Je rêve !
Léa : Tu disais Djé ?
Moi : Rien je pensais à haute voix … Une impression … Ça doit être une erreur !
On prenait la route … Je laissais Léa conduire, elle aime bien ma voiture et j'en profitais pour me reposer !
Moi : Mais tu as acheté beaucoup de gode, j'ai pas tout vu ?
Léa : Tu penses au gros que je t'ai montré ?
Moi : Oui … Il est balaise !
Léa : Je me suis dit que si tu pouvais te prendre la bite à Jonathan tu pourrais te prendre un truc de ce genre …
…
Léa : Avant qu'on commence à jouer comme on le fait … C'était pas la première fois pour toi ?
Moi : Mais qu'est-ce qui te fait penser ça !
Léa : Jonathan à une bite hors norme, elle est énorme, et je sais par expérience que si tu n'est pas un minimum habitué … Ça peut faire des dégâts !
Moi : Bein disons que j'ai un peu tâté …Léa : J'ai eu des échos …
On échangeait des regards et des sourires complices. Puis on roulait … Nous avions deux cent kilomètres à faire avant d'arriver. Léa arrêtait la voiture moins de cinquante kilomètre plus loin. Elle allait chercher quelque chose dans le coffre de la voiture et revenait avec la boite que j'avais remarqué … '' LE GIGOTEUR '' … j'examinais la boite toujours la même marque, Le Manoir , le Château …
Léa : Ouvre !
Il y avait à l'intérieur un gode d'une forme un peu spécial, il avait la forme d'une saucisse de Toulouse mais parfaitement droit. Quatre centimètre de diamètre sur quinze de long. Le contact était agréable …
Léa : C'est télécommandé, ça se plie au milieu de quarante cinq degrés dans un sens et autant dans l'autre sens … C'est télécommandé par ton smart-phone, vitesse réglable, amplitude du mouvement réglable, c'est programmable et ça se recharge par induction …
Je continuais à examiner le jouet, à une des deux extrémité il y avait une ficelle qui devait permettre de le récupérer plus facilement … Ça me faisait sourire, j'étais amusé par ce nouveau gadget. Léa sortait son téléphone et le dispositif commençait à bouger, il se repliait dans un sens puis dans l'autre, il pouvait vibrer aussi ...
Léa : Enfile toi le dans le cul !
Je sursautais à cette demande que je n'attendais pas, la regardais dans les yeux, elle souriait … Je sortais de la voiture disparaissait quelques instants derrière un buisson et revenait m'installer dans la voiture … Léa avait l'air vraiment amusée.
Léa : Je me l'étais pris pour moi,mais c'est pas grave la prochaine fois qu'on reviendra j'en achèterai un autre …
Je m'installais bien confortablement, elle reprenait la route …
Au bout d'une dizaine de minutes, le gigoteur se manifestait, il commençait par vibrer. Je fermais les yeux, c'était cool. C'était doux, rien de violent comme je l'avais un peu redouté, une vibration qui rapidement faisait réagir la prostate bien stimulée pendant ce week-end. Et le plaisir montait rapidement, sans m'en rendre compte je gémissais doucement !
Léa : Tu as l'air d'aimer ça dis donc ?
Moi : Qu'est ce qui te fait dire ça ?
Léa : Je t'entends gémir de plaisir ?
Moi : Mais non !
Léa : Mais si !
Finalement elle avait raison, je m'en rendais compte quand le petit truc ( enfin pas si petit que ça ) recommençais à vibrer mais un peu plus fort cette fois. C'était divin … Brusquement le dispositif se pliait, je sursautais … Il continuait à vibrer … Il se pliait brusquement mais dans l'autre sens cette fois ci . Je poussais un cri et me redressai. Il continuait à se plier mais doucement, la vitesse était raisonnable, je me laissais tomber sur le fauteuil. Le plaisir montait rapidement et là je gémissais mais je m'en rendais compte. Au bout d'une petite demie heure j'étais en transe … Je respirais fort, et je tremblais …
Le dispositif s'affolait alors et il ne vibrait plus seulement a force maximale, il se pliait dans un sens et dans l'autre. C'est là que j'ai compris pourquoi on l'appelait '' LE GIGOTEUR '' ! Ses mouvements devenaient violent, rapides et violents ! Il suivait un programme partait en douceur augmentait en puissance, se ralentissait un peu puis plus fort et ainsi de suite jusqu'à atteindre un vitesse élevée, et une grande amplitude, il s'arrêtait totalement, je reprenais mon souffle, et sans prévenir il repartait encore un moment à vitesse et amplitude du mouvement élevés … Il faisait alors une pause, là j'avais presque le vertige, et reprenait au début.
Arrivé à la fin du sicle je me cramponnais à mon fauteuil, j'avais envie d'éjaculer et le plaisir parvenait jusqu'à mon pénis, je sentais le plaisir jusqu'à l'extrémité de mon pénis tout au long de mon urètre, un peu comme quand on éjacule. C'était le pied …
Un nouveau sicle reprenait, j'avais envie de crier '' NON '' mais je ne disais rien, je ne bronchais pas, je me cramponnais c'est tout. Suivait encore un sicle, je convulsais … Un orgasme qui durait dans le temps, j'en pouvais plus mais je ne pouvais pas me résigner à demander grâce et je laissais le truc continuer.
Une heure et demie plus tard, j'étais effondré sur le fauteuil, je convulsais, je jouissais, c'était un plaisir de dingue, un truc je vous dis pas j'avais jamais connu ça … Léa prenait son téléphone dans la main … Et le dispositif se calmait doucement au moment ou nous entrions en ville, je récupérais un peu. Si la voiture s'était arrêtée à ce moment je pense que je n'aurais pas pu tenir debout mais quand la voiture s'arrêtait devant la maison, je parvenais à prendre une valise monter dans l'appartement et j'allais me coucher avant que mes jambes ne me lâchent …
J'avais juste salué les colocataires d'un mot, avant de disparaître, Léa arrivait juste après moi.
J'entendais Charles qui lui demandait si tout allait bien, elle répondait juste : '' Grosse fatigue ''. Peu après je retirais le '' GIGOTEUR '' de mon cul, Léa venait s'allonger à côté de moi, je récupérais rapidement mais je gardais cette sensation de massage de la prostate, cette agréable sensation de me sentir vidé après avoir été tellement rempli, la bite à Jonathan puis le Gigoteur pendant une heure et demie …
Avec Léa on s'amusait avec on le mettait en marche sur la table et il portait bien son nom. Il bougeait vite, il sautait sur place à la vitesse maximale … Et c'est ce truc que j'avais gardé dans mon cul pendant tout le retour …
Nos jeux érotiques avec Léa devenaient plus chaud. Il faudra acheter un autre '' GIGOTEUR '' et même plusieurs, ça devrait faire des heureux …
Avec Antoine on investissait notre nouvelle fortune dans un immeuble, on en possédait chacun la moitié et on le mettait en location. Luc commençait une carrière d'animateur télé, il s'en sortait bien. Bob s'adaptait doucement au port du dispositif de chasteté, pour le moment il ne gardait jamais trop longtemps. Peut avant la fin de l'année scolaire il m'en parlait …
Bob : En fait Djé c'est pas si difficile que je le pensais, là ça fait deux semaines que je le porte … Tu avais raison on s'y habitue à ce truc …
Le dernier trimestre se terminait. Les vacances arrivaient, Luc ne quittait pas l'appartement, il avait son émission. Il était prévu d'en enregistrer plusieurs pour lui laisser le deuxième mois des vacances tranquille il le passerait avec son amis Bob, et avait décidé de retirer le dispositif pendant cette période ... Antoine et moi restions aussi le premier mois était réservé aux contrats publicitaires, photos, enregistrement vidéo, essayage … Léa disparaissait dans sa famille pendant deux mois … Charles prenait le deuxième mois de vacances puisque nous devions tous rester pendant le premier …
On faisait une super fête avant de partir en vacances, certains retiraient leur dispositif d'autres choisissaient de le garder encore jusqu'à la fin de l'année suivante … ( Encore un an ) ! Il n'y a pas si longtemps j'aurais eu peur d'une telle idée, mais maintenant je ne prévoyais pas de le retirer avant …
Un an ?
Non !
Certainement beaucoup plus !
Voilà qui conclu la cinquième saison des aventures de notre ami Djé . Je vais suspendre quelques temps la diffusion de cette histoire et prochainement je vous proposerai un nouveau récit … L'histoire d'un p'tit gars pas toujours très futé, un peu nouille mais sympathique et attachant. Il s'appelle Benoît … Ce sera donc : UNE GROSSE NOUILLE NOMMÉE BENOIT …Djé et David vont revenir dans quelques semaines. Le temps pour moi de rédiger une nouvelle saison car là, je n'ai plus de textes en avance .
Ep 67 : LENDEMAIN DE FÊTE
Léa se réveillait en pleine forme. J'étais un peu … Pas trop en forme … La tête dans le pâté, un peu mal au crane, et cette sensation pas vraiment désagréable de se sentir rempli, bien dilaté et agréablement rempli au niveau du cul … Je m'étais pris de quoi la veille au soir ! …
Avant que j'ai eu le temps de réagir, elle s'était levé, douché, habillé et partait faire un petit tour. Je ne suis pas sûr d'avoir bien entendu, elle me parlait d'un petit déjeuner, d'une galerie marchande, et de … Ah oui ça me revient maintenant … De ma carte de crédit …
Je restais là, allongé sur le dos. Une main me caressait le torse, je me retournais, c'était Jonathan … Je l'avais presque oublié celui là mais au moment ou je le revoyais mon cul me faisait savoir que lui, il ne l'avait pas oublié !
Je lui caressait la main et le souvenir de son énorme matraque me réveillait la bite, elle se manifestais dans sa cage, je sentais la pression, je bandais, enfin j'essayais … Sa main me caressait le torse et descendait sur mon ventre pour finir sur ma bite en cage et mes couilles.
Jon : Ça va toi ?
Moi : Ouai ça va !
Jon : J'aime bien ton truc …Moi : Tu en veux un je peux t'avoir des prix !
Il rigolait.
Jon : Non ça ira comme ça ! J'aime bien ce truc sur les autres, pas pour moi !
Moi : Ça fait moins de concurrence !
Jon : J'ai pas peur de la concurrence !
Moi : C'est vrai qu'il n'y en pas beaucoup à la hauteur !
Je me levais et me dirigeait vers la salle de bain. Au passage je contemplais son corps magnifique et surtout cette bite disproportionnée qui m'avait défoncé le cul la veille, j'en sentais encore sa présence en moi. C'était cette sensation agréable de se sentir encore un peu dilaté mais vidé après avoir été tellement rempli, si violemment rempli !
Je laissais l'eau couler sur moi, sur mon visage un long moment … Je commençais à me savonner quand Jonathan arrivait à sont tour dans la salle de bain, j'admirais sa démarche, il est vraiment beau ce mec, j'admirais aussi cette lourde saucisse qui se balançait mollement bien accrochée sur son entre jambes.
Il avait le sourire, et semblait fier de lui. Il me retrouvait sous la douche, me caressait le dos, l'épaule puis il glissait sa main jusque sur ma cage de chasteté, il la tripotait un peu la relevait pour pouvoir bien l'examiner. Elle se relevait déjà toute seule sous sa pression interne, elle était bien remplie, ma queue était maintenant bien réveillée et réclamait un peu d'espace et de liberté … Il ne faut pas rêver, il n'en était pas question, de toutes façons je n'avais pas la clé. Il n'en était pas question, c'est tout !
Jonathan m’agrippait les couilles fermement, il me faisait mal mais je le laissais faire, il me tirait fermement vers lui, je ne résistais pas. Il passait son autre bras autour de mon dos et me serrait contre lui. Ma bite palpitait au rythme de mon cœur qui frappait fort. Je prenais Jonathan dans mes bras et me serrais fort contre lui, il me serrait les couilles bien fort d'un coup ce qui provoquait un réflexe de recul de ma part et me les lâchait.
Nous restions serrés l'un contre l'autre, l'eau coulait sur nous. Nous nous embrassions et après ce court intermède un peu … Viril … Ce n'était plus que tendresse, caresses et douceur …
Je sentais sa queue se relever entre mes cuisses, elle glissait grâce au savon et se faufilait jusqu'à mes couilles qu'elle soulevait doucement …
Jonathan : Retourne toi !
Je me retournais et m'appuyais contre le mur de la douche. Jonathan me savonnait vigoureusement le cul, il y glissait un puis deux doigts. Savonnait abondamment avant d'y glisser, sans aucune douceur un troisième doigts qu'il agitait dans mon cul. Je gémissais déjà d'un plaisir douloureux. J'avais écarté les cuisses et me retenais, penché en avant, les deux mains appuyées sur le mur.
Jonathan se collait contre moi, la bite bien redressée entre mes cuisses.
Jonathan : Serre les cuisses !
J'hésitais, pas sûr de bien comprendre. Il reprenait sur un ton plus sec !
Jonathan : Referme tes cuisses, bien jointes …
Sa queue se retrouvait coincée entre mes cuisses, elle dépassait bien devant et poussait sur mes couilles, je me caressais les couilles et m'attardais sur la queue de mon partenaire qui dépassait ... Je la sentais bien, là, entre mes cuisses. Elle était énorme. Il faisait des mouvements d'avant en arrière, elle glissait sans résistance avec le savon. Je respirais fort ! Mon anus palpitait et ma prostate frétillait … Souvenir de la veille …
Avec sa queue Jonathan me caressait l'anus quand il reculait et me soulevait les couilles quand il avançait … Il s'attardait plus longtemps sur mon cul puis reprenait … Il s'attardait un peu plus longtemps sur mon cul à chaque passage puis reprenait. Il appuyait bien longuement sur l'ouverture de mon cul pour me détendre avant de recommencer ce mouvement puis, sans prévenir il appuyait plus fort et enfonçait son énorme bite bien à fond dans mon cul, me dilatait jusqu'à la limite de la déchirure et m'écrasait la prostate. Je hurlais !
Sans pitié, il appuyait bien fort m'obligeant à me relever sur la pointe des pieds, mes mains cherchaient quelque chose à accrocher, j'avais la bouche ouverte comme pour appeler à l'aide mais aucun son n'en sortait. Il me serrait bien fort contre lui, se retirait, juste un peu avant de s'enfoncer à nouveau, avec violence, j'entendais son ventre frapper contre mes fesses.
Dans mon corps, c'était la panique. Mon anus allait se déchirer, ma prostate écrasée appelait au secours avec une sensation de plaisir intense et de douleur. Avec un gode on contrôle mais quand c'est une bite et qu'il y a quelqu'un au bout … C'est lui qui contrôle ! … Il ne s'en privait pas … Il pensait à son plaisir, uniquement à son plaisir. J'étais un jouet,une sorte de sex-toy mais contrairement à ce qui se passait avec Léa, les sensations fortes étaient pour moi.
Je ne résistais pas, je me laissais faire. J'étais bientôt submergé de plaisir, je jouissais, je jouissais comme un fou. Quand il se retirait je jutais, quand il avançait et me remplissait plus rien ne coulait. A chaque mouvement le plaisir devenait plus intense, je frémissais, je tremblais, je convulsais, j'étais pris de mouvements incontrôlables … J'allais tomber mais il me retenait … Je me penchais complètement en avant et posais mes mains sur le sol, il me tenais par les hanches et me donnais de violents coups de bassin quand il me tirait vers lui. Il me poussait en avant m'obligeant à m'appuyer sur le sol pour ne pas tomber quand il se retirait.
Je manquais d'air, je suffoquais, je voulais gémir mais aucun son ne sortait de ma bouche … J'aurais voulu gueuler, hurler mais je restais muet ! A peine une légère plainte sortait de ma gorge, une plainte comme celles qui précèdent une crise de larmes. Jonathan continuait ainsi encore un petit moment et ces mouvements devenaient plus rapides, plus violents encore, pour se terminer par quelques coups secs juste au moment ou il jouissait, il me relevait alors et me serrait fort contre lui. J'entendais son souffle contre mon oreille, je tremblais, je ne tenais plus debout et s'il m'avait lâché je serais tombé comme un poids mort.
Il se retirait, un flot de sperme coulait de ma cage de chasteté, il semblait ne pas vouloir s'arrêter, je m'asseyais sur le sol, l'eau me coulait toujours sur le corps. Devant moi, gai comme un pinçon, Jonathan reprenait sa douche, il me regardait avec un petit sourire satisfait … J'étais mois aussi satisfait, le cul un peu endolori mais satisfait … Satisfait aussi qu'il se soit retiré …
Je reprenais mes esprits, puis je reprenais également ma douche. Ensuite je me laissais tomber mollement sur le lit, Jonathan y était déjà allongé, on récupérait … Pour lui je ne sais pas … Mais pour moi, je peux vous garantir qu'il faut de l'énergie pour encaisser tout ça … Remarquer pour lui aussi, je suppose que pour bander comme il le fait avec une bite pareil il faut aussi beaucoup d'énergie …
On se faisait beau et on descendait au bar pour prendre notre petit déjeuner, il commençait à faire tard, on prendrait juste un café … On retrouvait Léa, elle était attablée devant un thé, quelques pochettes en papier décorée de la marque de l'hôtel, un peu comme celles qu'on vous offre généreusement quand vous achetez des vêtements de luxe par exemple …
Léa : Ah vous voilà … Je me suis occupé un peu en vous attendant !
Elle nous montrait une jolie robe en soie qu'elle venait de s'acheter …
Léa : Je n'ai pas pu résisté quand j'ai vu cette merveille. Comment tu la trouves Djé ?
Moi : Très joli !
Elle me rendais ma carte de crédit il y avait le ticket de caisse avec. Si le montant de mon compte en banque ne s'écrivait pas avec sept chiffres je peux vous garantir que j'aurais convulsé … Mais c'est vrai ça ! C'est quoi cette manie de vendre des étoffes plus chère que leur poids en or, largement plus chère. Arrivé à ce niveau on pourrait en faire une monnaie de référence. Je me disais : ''Peut être que mon compte en banque ne s'écrit plus qu'avec six chiffres maintenant !'' . Je gardais le sourire, elle avait l'air contente, et de toutes façons il y avait encore un bon million de DI qui devaient arriver dans quelques mois …
On prenait un café, en attendant de passer à table … Finalement il était presque l'heure du dîner déjà on préparait la salle à manger. Jonathan dînait avec nous nous passions encore un moment à discuter après le repas puis il retrouvait ses camarades avec qui il était venu … Quand je le voyais partir, j'avais encore cette sensation au plus profond de mon ventre et je me demandais … Quand ? … Si ? … Et je savais que le souvenir de cette queue énorme me laisserait rêveur encore longtemps …
Nous passions le reste de la journée à déambuler dans la ville, à faire du tourisme, à nous détendre … On se couchait tôt, je dormais bien cette nuit là, Léa était dans mes bras, détendue je la tenais doucement, détendu … On ne sortait pas les jouets et j'étais trop fatigué pour regarder de plus prêt la petite boite qu'il y avait aussi et que je n'avais pas ouvert … sur le couvercle ou pouvait lire '' GIGOTEUR '' … Se recharge par induction … Pilotable avec votre smart-phone … ?
On se réveillait tôt, on était en pleine forme. Rapidement on faisait les valise. Celle de Léa ne fermait plus …
Moi : Mais elle fermait sans problème quand on est arrivé !
Léa : J'ai fait quelques emplettes …Moi : Oui mais enfin si tu parles de la petite robe … Ce genre de chose en prix ça se compte en kilos et en poids en grammes. C'est pas ça qui va prendre beaucoup de place …Léa : Les jouets … Moi : Oui ça c'est vrai, ça c'est plus gros.
Elle me montrait un des godes qu'elle avait acheté, un gros, presque aussi gros que la bite à Jonathan …
Léa : Celui là, tu vas te le prendre dans le cul ! J'ai vu comment tu aimais ça !
Je restais penseur devant le truc, j'en avais un du même genre à la maison plus petit peut être ? Mais à peine, je ne suis pas sûr. En regardant de plus près sur l'emballage je remarquais un détail … Un logo … C'était un petit dessin qui représentait une maison bourgeoise ou un château et qui ressemblait étrangement au Château … Celui qu'on connaît …
Je lisait plus en détail. La marque était '' LE MANOIR DU PLAISIR '', en tout petit on pouvait lire … '' Fabriqué pour le Manoir … Filiale de la société Le Château …
Moi : Je rêve !
Léa : Tu disais Djé ?
Moi : Rien je pensais à haute voix … Une impression … Ça doit être une erreur !
On prenait la route … Je laissais Léa conduire, elle aime bien ma voiture et j'en profitais pour me reposer !
Moi : Mais tu as acheté beaucoup de gode, j'ai pas tout vu ?
Léa : Tu penses au gros que je t'ai montré ?
Moi : Oui … Il est balaise !
Léa : Je me suis dit que si tu pouvais te prendre la bite à Jonathan tu pourrais te prendre un truc de ce genre …
…
Léa : Avant qu'on commence à jouer comme on le fait … C'était pas la première fois pour toi ?
Moi : Mais qu'est-ce qui te fait penser ça !
Léa : Jonathan à une bite hors norme, elle est énorme, et je sais par expérience que si tu n'est pas un minimum habitué … Ça peut faire des dégâts !
Moi : Bein disons que j'ai un peu tâté …Léa : J'ai eu des échos …
On échangeait des regards et des sourires complices. Puis on roulait … Nous avions deux cent kilomètres à faire avant d'arriver. Léa arrêtait la voiture moins de cinquante kilomètre plus loin. Elle allait chercher quelque chose dans le coffre de la voiture et revenait avec la boite que j'avais remarqué … '' LE GIGOTEUR '' … j'examinais la boite toujours la même marque, Le Manoir , le Château …
Léa : Ouvre !
Il y avait à l'intérieur un gode d'une forme un peu spécial, il avait la forme d'une saucisse de Toulouse mais parfaitement droit. Quatre centimètre de diamètre sur quinze de long. Le contact était agréable …
Léa : C'est télécommandé, ça se plie au milieu de quarante cinq degrés dans un sens et autant dans l'autre sens … C'est télécommandé par ton smart-phone, vitesse réglable, amplitude du mouvement réglable, c'est programmable et ça se recharge par induction …
Je continuais à examiner le jouet, à une des deux extrémité il y avait une ficelle qui devait permettre de le récupérer plus facilement … Ça me faisait sourire, j'étais amusé par ce nouveau gadget. Léa sortait son téléphone et le dispositif commençait à bouger, il se repliait dans un sens puis dans l'autre, il pouvait vibrer aussi ...
Léa : Enfile toi le dans le cul !
Je sursautais à cette demande que je n'attendais pas, la regardais dans les yeux, elle souriait … Je sortais de la voiture disparaissait quelques instants derrière un buisson et revenait m'installer dans la voiture … Léa avait l'air vraiment amusée.
Léa : Je me l'étais pris pour moi,mais c'est pas grave la prochaine fois qu'on reviendra j'en achèterai un autre …
Je m'installais bien confortablement, elle reprenait la route …
Au bout d'une dizaine de minutes, le gigoteur se manifestait, il commençait par vibrer. Je fermais les yeux, c'était cool. C'était doux, rien de violent comme je l'avais un peu redouté, une vibration qui rapidement faisait réagir la prostate bien stimulée pendant ce week-end. Et le plaisir montait rapidement, sans m'en rendre compte je gémissais doucement !
Léa : Tu as l'air d'aimer ça dis donc ?
Moi : Qu'est ce qui te fait dire ça ?
Léa : Je t'entends gémir de plaisir ?
Moi : Mais non !
Léa : Mais si !
Finalement elle avait raison, je m'en rendais compte quand le petit truc ( enfin pas si petit que ça ) recommençais à vibrer mais un peu plus fort cette fois. C'était divin … Brusquement le dispositif se pliait, je sursautais … Il continuait à vibrer … Il se pliait brusquement mais dans l'autre sens cette fois ci . Je poussais un cri et me redressai. Il continuait à se plier mais doucement, la vitesse était raisonnable, je me laissais tomber sur le fauteuil. Le plaisir montait rapidement et là je gémissais mais je m'en rendais compte. Au bout d'une petite demie heure j'étais en transe … Je respirais fort, et je tremblais …
Le dispositif s'affolait alors et il ne vibrait plus seulement a force maximale, il se pliait dans un sens et dans l'autre. C'est là que j'ai compris pourquoi on l'appelait '' LE GIGOTEUR '' ! Ses mouvements devenaient violent, rapides et violents ! Il suivait un programme partait en douceur augmentait en puissance, se ralentissait un peu puis plus fort et ainsi de suite jusqu'à atteindre un vitesse élevée, et une grande amplitude, il s'arrêtait totalement, je reprenais mon souffle, et sans prévenir il repartait encore un moment à vitesse et amplitude du mouvement élevés … Il faisait alors une pause, là j'avais presque le vertige, et reprenait au début.
Arrivé à la fin du sicle je me cramponnais à mon fauteuil, j'avais envie d'éjaculer et le plaisir parvenait jusqu'à mon pénis, je sentais le plaisir jusqu'à l'extrémité de mon pénis tout au long de mon urètre, un peu comme quand on éjacule. C'était le pied …
Un nouveau sicle reprenait, j'avais envie de crier '' NON '' mais je ne disais rien, je ne bronchais pas, je me cramponnais c'est tout. Suivait encore un sicle, je convulsais … Un orgasme qui durait dans le temps, j'en pouvais plus mais je ne pouvais pas me résigner à demander grâce et je laissais le truc continuer.
Une heure et demie plus tard, j'étais effondré sur le fauteuil, je convulsais, je jouissais, c'était un plaisir de dingue, un truc je vous dis pas j'avais jamais connu ça … Léa prenait son téléphone dans la main … Et le dispositif se calmait doucement au moment ou nous entrions en ville, je récupérais un peu. Si la voiture s'était arrêtée à ce moment je pense que je n'aurais pas pu tenir debout mais quand la voiture s'arrêtait devant la maison, je parvenais à prendre une valise monter dans l'appartement et j'allais me coucher avant que mes jambes ne me lâchent …
J'avais juste salué les colocataires d'un mot, avant de disparaître, Léa arrivait juste après moi.
J'entendais Charles qui lui demandait si tout allait bien, elle répondait juste : '' Grosse fatigue ''. Peu après je retirais le '' GIGOTEUR '' de mon cul, Léa venait s'allonger à côté de moi, je récupérais rapidement mais je gardais cette sensation de massage de la prostate, cette agréable sensation de me sentir vidé après avoir été tellement rempli, la bite à Jonathan puis le Gigoteur pendant une heure et demie …
Avec Léa on s'amusait avec on le mettait en marche sur la table et il portait bien son nom. Il bougeait vite, il sautait sur place à la vitesse maximale … Et c'est ce truc que j'avais gardé dans mon cul pendant tout le retour …
Nos jeux érotiques avec Léa devenaient plus chaud. Il faudra acheter un autre '' GIGOTEUR '' et même plusieurs, ça devrait faire des heureux …
Avec Antoine on investissait notre nouvelle fortune dans un immeuble, on en possédait chacun la moitié et on le mettait en location. Luc commençait une carrière d'animateur télé, il s'en sortait bien. Bob s'adaptait doucement au port du dispositif de chasteté, pour le moment il ne gardait jamais trop longtemps. Peut avant la fin de l'année scolaire il m'en parlait …
Bob : En fait Djé c'est pas si difficile que je le pensais, là ça fait deux semaines que je le porte … Tu avais raison on s'y habitue à ce truc …
Le dernier trimestre se terminait. Les vacances arrivaient, Luc ne quittait pas l'appartement, il avait son émission. Il était prévu d'en enregistrer plusieurs pour lui laisser le deuxième mois des vacances tranquille il le passerait avec son amis Bob, et avait décidé de retirer le dispositif pendant cette période ... Antoine et moi restions aussi le premier mois était réservé aux contrats publicitaires, photos, enregistrement vidéo, essayage … Léa disparaissait dans sa famille pendant deux mois … Charles prenait le deuxième mois de vacances puisque nous devions tous rester pendant le premier …
On faisait une super fête avant de partir en vacances, certains retiraient leur dispositif d'autres choisissaient de le garder encore jusqu'à la fin de l'année suivante … ( Encore un an ) ! Il n'y a pas si longtemps j'aurais eu peur d'une telle idée, mais maintenant je ne prévoyais pas de le retirer avant …
Un an ?
Non !
Certainement beaucoup plus !
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