LES AVENTURES DE DJE Ep 86 : COMPETITION EN BEQUILLE
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-01-2020 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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LES AVENTURES DE DJE Ep 86 : COMPETITION EN BEQUILLE
LES AVENTURES DE DJEEp 86 : COMPETITION EN BEQUILLE
Le soir Luc me tombait sur la couenne ( si j'ose dire ) il était enthousiaste, il voulait que je sois avec lui pour animer la compétition.
Luc : Mais tu ne peux plus bouger, là au moins tu t'occuperas. Tu dois t'ennuyer tout seul à la maison alors qu'on est tous là bas .
Moi : Mais non, pas …Luc : En plus ils seront tous super content de te voir avec nous !
Moi : Oui mais …Luc : Tu verrais, tout le monde me demande ce que tu deviens.
Ça durait encore un long moment, il ne me lâchait que quand je disais oui.
Le lendemain je me retrouvais donc au studio, j'avais à ma disposition, un fauteuil roulant, deux cannes, deux béquilles et un déambulateur … rien que ça ! Il n'est pas seulement prévoyant mon petit frère, il en fait trop tout simplement … Je me contentais des béquilles, dans mon cas c'est encore ce qu'il y avait de plus pratique.
Je ne l'avais jamais vu au boulot et il faut dire qu'il m'étonnait, il dirigeait tout avec une main de fer que je ne lui connaissais pas, mais il gardait toujours beaucoup de respects pour ses collaborateurs, leur parlait avec avec gentillesse, courtoisie. Il connaissait tout le monde et avait le mot juste … '' On m'a dit que ta femme avait accouchée dans la nuit … Ça s'est bien passé ? '' … ( bien sûr il faisait livrer le jour même des fleurs à la nouvelle maman et s'organisait pour trouver du temps libre pour le papa ), ou encore '' Je suis intervenu pour ton fils, son entrée à l'université est réglée … '' …
Il exigeait le meilleur de ses collaborateurs, quand il donnait un ordre il devait être exécuté … Mais plutôt que d'utiliser l'autorité, il se faisait obéir de tous par sa gentillesse et tous ses collaborateurs étaient prêts à se mettre en quatre pour lui faire plaisir. C'était là une technique de management qui marchait bien et satisfaisait tout le monde. Le nouveau papa par exemple ce jour là, était venu travailler par nécessité, il n'y avait personne pour le remplacer et Luc n'avait même pas eu à le lui demander …
Mon jeune frère m'impressionnait de plus en plus.
On faisait quelques directes, quelques pauses. Tout le monde me soutenait, histoire de me remonter le moral, à cause du fait que je ne pouvais pas participer. J'étais bien entouré.
Je suivais Luc en dehors des studios et boitait tranquillement derrière lui, mon apparition était saluée par des applaudissement et quelques acclamations.
Finalement je ne regrettais pas ma sortie, j'étais mieux que devant la télé. Le soir par contre je me retrouvais tout seul. Gérôme était reparti, on m'avait vu boiter avec élégance de long en large pendant toute la journée, je ne pouvais pas prétendre que j'avais encore besoin d'être bordé … Pour ce qui est des menus travaux de la maison c'est le majordome de Greg ( mon voisin du dessous ) qui s'en occupait. Greg était à la compétition donc son majordome avait du temps libre. Il est bien, il est très bien mais moins rigolo que Charles …
J'ai regretté le départ de Gérôme. Oulàlà que oui. J'ai même rêvé de lui une fois ou deux. Et que je n'entende personne ricaner bêtement, j'avais pas touché à un homme depuis trois mois, et il était super bien foutu. J'aurais bien aimé me prendre sa queue dans les fesses moi ! Pfff !
Antoine s'était trouvé un nouveau copain qui ne portait pas de dispositif de chasteté et je me disais que je ferais bien d'en faire autant. Je parcourais la liste des premières années, Mike était déjà en main. J'en était pas vraiment surpris, il est pas farouche Mike et il est vraiment craquant. C'est à peu près à ce moment que je voyais Liam. Un petit gars discret, un tête de moins que moi, un corps très mince, musclé mais très mince. Il paraissait plus jeune que mon frère mais en fait il avait l'âge de Bob.
Il s'était glissé discrètement à côté de moi et s'arrangeait pour n'être jamais loin quand je sortais du studio. Quand d'un geste maladroit je laissais tomber mes deux béquilles en même temps, il arrivait sans prévenir. J'étais en équilibre sur un pied, il me ramassait mes béquilles avant que je n'ai le temps de réagir.
Liam : Tu sais Djé, tu peux t'appuyer sur mon épaule si tu veux, j'en ai pas l'air mais je suis solide.
Solide, il l'était, sa musculature était mince, fine mais c'est pas pour ça qu'il n'était pas costaud. C'était un bel athlète, cheveux courts, pas de barbe. J'en profitais et j'utilisais l'appui sur son épaule pour réajuster ma chaussure. En fait il n'y avait pas besoin de réajuster quoi que ce soit mais je voulais tâter le bestiau … Bon ça va j'ai honte de ce que je viens de dire mais c'est vrai quoi, depuis deux mois, pardon je voulais dire trois mois, j'avais bien un peu tripoté la bitte à Gérôme, sinon … Rien !
Et le petit Liam, me semblait bien mignon.
Donc, après m'être assuré que le petit gars était solide je l'invitais à me suivre. On s’arrêtait boire un verre dans un café, puis je retournais au studio. Liam me suivait.
J'en ressortais plus de trois heures plus tard. Il m'avait attendu devant la porte, j'avais autour du cou une sorte de sacoche, c'était pas très pratique avec les deux béquilles, Liam se proposait pour me la porter … Il est pas mignon ce petit gars !
Il me suivait, on parlait.
Je finissais par l'inviter pour le souper à la maison. Toute l'équipe soupait dans le réfectoire de l'école, moi je soupais en tête à tête avec un petit jeune très mignon. Stéphane ( mon majordome provisoire ) m'avait répondu … '' Bien Monsieur je vais faire le nécessaire pour que deux soupers soient prêts '' . Il est toujours un peu coincé Stéphane, on a même l'impression quelquefois qu'il s'est coincé un parapluie dans cul, mais c'est seulement une manière de parler … Enfin j'espère pour lui !
Il avait fait ça bien Stéphane, une table, deux couverts, juste à côté de la baie vitrée, deux bougies, et un repas digne des meilleurs restaurant. Sur ce dernier point il n'avait rien à envier à Charles.
Avec Liam on discutait tard, Stéphane n'avait pas assuré le service mais tout était prêt. Pour Liam j'étais sa star, il voulait suivre mon exemple, c'est à cause de moi qu'il avait voulu entrer dans cette école et au moment ou nos deux mains se touchaient en voulant attraper la bouteille il ne retirait pas la sienne. Au contraire même.
Brusquement on ne parlait plus, on se regardait dans les yeux, on se souriait, imperceptiblement on se penchait en avant, nos visages s'approchaient, je penchais la tête vers ma droite, il en faisait de même nos lèvres se touchaient et nous échangions un baiser d'une incroyable douceur.
Au fait c'était qui ce Gérôme dont je vous parlais un peu plus tôt ?
Il n'y avait plus que Liam.
Moi : Tu veux dormir ici ?
Je lui donnais un baiser.
Liam : Je ne voudrais pas déranger !
Il me donnait un baiser.
Moi : Tu ne me déranges pas du tout !
Je lui donnais un baiser.
Liam : C'est vrai que l'appartement est assez grand.
Il me donnait un baiser.
Vous imaginez que ce petit jeux devait durer encore un moment avant qu'on décide de se lever de table. Et là on ne disait plus rien … On se donnait des baisers, je le tenais dans mes bras, ça me faisait bizarre, il était tout menu, tout mince, il faisait une tête de moins que moi. La plus grande partie des garçons que j'ai tenu dans mes bras était soit dans ma taille soit plus grands. Mais lui … C'était pas désagréable pour autant.
Liam : Tu vas réussir à boiter jusqu'à la chambre ?
Moi : Je vais essayer, tu est prêt à me soutenir ?
Liam : Pas de problème, j'en ai pas l'air mais je suis costaud. Tu verras, l'année prochaine je ramène une médaille aux altères … Les premières années en général ne participent pas, même s'il y a des exceptions.
Je sautais sur un pied jusqu'à ma chambre, il me suivait l'air un peu amusé.
Liam : Ouah la baignoire, j'y crois pas !
J'enfilais une capote sur ma jambe ( le plâtre ) puis on se retrouvait tous les deux, à poil, face à face dans le bain moussant. On ne se lâchait pas des yeux, il avait un petit sourire malicieux et se décalait vers sa gauche, je me décalais vers ma droite. On finissait par se retrouver côte à côte.
Là ce n'était plus que caresses, câlins, baiser sur les lèvres, dans le cou, sur l'épaule. Le sol autour du bain bouillonnant a été rehausse, on peut donc se retrouver allongé sur le sol, les pieds dans l'eau. C'est dans cette position qu'il était quand je me penchais sur lui. Les bras en croix, il me laissait le câliner. Je caressais son corps avec le bout de mon nez et le bout de ma langue, il respirait doucement en poussant quelques petits gémissements de temps à autre.
Je le chevauchais et ne regrettais qu'une seule chose. Il avait un dispositif de chasteté, mais ça je le savait déjà. Il chausse petit … du deux … il a une petite bite qui doit faire quinze centimètres de long, pas plus. Il ne faut pas oublier que j'ai participé à la conception des ces dispositifs. Mais c'est vrai que si d'habitude je fantasme sur les grosse bittes, avec un dispositif dessus, la taille à tout de suite moins d'importance.
Mes mains couraient sur ses cuisses, à l'extérieure de ses cuisses, à l'intérieur de ses cuisses. Je soulevais son bassin, posais ses chevilles sur mes épaules et lui caressais les fesses. J'y glissais un doigt puis deux. Juste au fond de sa grosse ride naturelle. Il me laissait faire.
J'insistais sur l'ouverture de son petit trou du cul, je le sentais se contracter, avec mouvement circulaire du doigt je le massais. Il me répondait par de petits gémissements. Je me lubrifiais un doigt et l'enfonçais avec force et douceur bien à fond. Un long gémissement de sa part suivait. Je sentais son muscle se contracter autour de mon doigt.
Il relevait la tête, passait sa main sur ma nuque et me tirait vers lui, je lui massais la prostate, on s'embrassait.
J'attrapais un harnais et un gode. Ce soir je me fait défoncer les fesses, je me disais … Voyant cela Liam ouvrait des yeux tout ronds.
Liam : Ne bouge pas et laisse moi faire. C'est délire ce truc, j'ai toujours voulu essayer.
Je me disais '' Là c'est sympa, il va se le fixer et je vais me faire encules ce soir, ça commençait à me manquer tout ça. ''
Mais il ne se fixais pas le dispositif, il me le fixais. '' Bon on va commencer dans ce sent alors … Pff ''.
On inversait la position, c'est moi qui me retrouvais allongé sur le sol. Il me câlinait comme je l'avais fait un peu plus tôt. Il m'embrassait sur tout le corps, me lubrifiait la prothèse ( je parle là du gode qu'il avait fixé à mon harnais ), ensuite il prenait position et s'empalait doucement, il prenait bien son temps. Je le voyais relever la tête, il râlait de plaisir. Le gode s'enfonçait doucement, à chacun de ses mouvements un peu plus. Je ne bougeais pas je le regardais faire, tout au plus je lui caressais les cuisses pour l'encourager.
Il prenait son pied et moi je regrettais de porter ce dispositif, c'était encore une de ces soirées ou je me serais damné pour pouvoir le retirer, j'avais envie de l'enculer avec ma vraie bitte. Vous imaginez bien qu'avec ce genre de truc je ne ressentais rien. Mais quand je dis rien … Lui il aimait moi j'étais en manque. Je relevais mon bassin, doucement au début puis plus vite. Il glissait, peut être volontairement et se retrouvait entièrement empalé sur le gode. Je relevais alors le torse et le prenais dans mes bras, il croisait ses pieds dans mon dos, on s'enlaçait.
Je basculais mon bassin d'avant en arrière, il gémissait, il couinait, il me serrait dans ses bras fins mais terriblement musclés. Je lui caressais les cheveux, et l'embrassais dans le cou. Chacun prenait un vrai plaisir à sentir à sentir la peaux de l'autre sur sa propre peau.
Par moment je le sentais contracter les muscles de ses cuisses, il se soulevait légèrement et se laissait retomber. Ses gémissements devenaient plus bruyant, ses caresses plus désordonnées, ses baisers plus passionnés. Il tremblait, frémissait je le regardais avec passion il faisait des grimaces, fermait les yeux et fronçait les sourcilles.
Brusquement il ouvrait la bouche et poussait des râles de plaisir, il se contractait, tout son corps se contractait. Il se cramponnais à moi, je le serrais fort également et je sentais un liquide couler sur mon ventre, il jutait et je vous garantis qu'il jouissait en même temps.
Il s'effondrait sur moi, sa tête sur mon épaule, le moindre de mes mouvements lui arrachait alors des cris et lui provoquait des tremblements incontrôlés. On ne bougeait plus.
Un peu plus tard il se retirait, ses jambes tremblaient et j'ai bien cru qu'il n'y arriverait pas mais il se relevait.
On se lavait rapidement, puis il me prenait la main et m'entraînait vers le lit, j'avais toujours le harnais dans la main, prêt à le lui enfiler pour me faire plaisir. Je vous rappelle qu'au début je voulais me trouver un mec qui ne porterait pas ce dispositif de chasteté !
On s'allongeait l'un à côté de l'autre, encore des câlins, encore des caresses, il tirait la couette sur nous, se blottissait tout contre moi. Les quelques bouts de sa peau que je voyais me faisaient penser à une fille, non pas qu'il était efféminé, oh non mais il était totalement imberbe, naturellement imberbe. Il n'avait pas plus de deux ou trois poils sous les bras, pas d'avantage autour du sexe et sur le menton … pas un !
Je sentais cette douceur de peau particulièrement extraordinaire et ma queue protestait encore plus fort dans sa cage. Il s'endormait, je n'osais plus bouger.
Oui bien c'est très beau ces passages romantiques, mais je vous jure que ce soir là ça m'a gavé. J'ai pas dormi avant … tard , très tard dans la nuit. Ma queue s'est manifestée toute la nuit, me rappelant que le gode au départ je me le gardais pour moi … Me rappelant que ça faisait trois mois que personne n'avait touché à mon cul … Me rappelant j'étais en manque !
C'est toujours pareil ! J'arrive jamais à me faire enculer quand j'en ai envie moi. C'est pas la première fois que ça m'arrive, mais je suis maudit ou quoi ? Non mais c'est vrai ça il faut que je fasse quoi ? Que je sorte au bordel ? … Tiens c'est une idée ça il faudra que je me renseigne …
Je me souviens avoir râlé dans ma tête pendant une bonne partie de la nuit. Je n'osais pas bouger, je n'osais rien dire, j'avais peur de le réveiller, il était si mignon endormi dans mes bras.
N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Le soir Luc me tombait sur la couenne ( si j'ose dire ) il était enthousiaste, il voulait que je sois avec lui pour animer la compétition.
Luc : Mais tu ne peux plus bouger, là au moins tu t'occuperas. Tu dois t'ennuyer tout seul à la maison alors qu'on est tous là bas .
Moi : Mais non, pas …Luc : En plus ils seront tous super content de te voir avec nous !
Moi : Oui mais …Luc : Tu verrais, tout le monde me demande ce que tu deviens.
Ça durait encore un long moment, il ne me lâchait que quand je disais oui.
Le lendemain je me retrouvais donc au studio, j'avais à ma disposition, un fauteuil roulant, deux cannes, deux béquilles et un déambulateur … rien que ça ! Il n'est pas seulement prévoyant mon petit frère, il en fait trop tout simplement … Je me contentais des béquilles, dans mon cas c'est encore ce qu'il y avait de plus pratique.
Je ne l'avais jamais vu au boulot et il faut dire qu'il m'étonnait, il dirigeait tout avec une main de fer que je ne lui connaissais pas, mais il gardait toujours beaucoup de respects pour ses collaborateurs, leur parlait avec avec gentillesse, courtoisie. Il connaissait tout le monde et avait le mot juste … '' On m'a dit que ta femme avait accouchée dans la nuit … Ça s'est bien passé ? '' … ( bien sûr il faisait livrer le jour même des fleurs à la nouvelle maman et s'organisait pour trouver du temps libre pour le papa ), ou encore '' Je suis intervenu pour ton fils, son entrée à l'université est réglée … '' …
Il exigeait le meilleur de ses collaborateurs, quand il donnait un ordre il devait être exécuté … Mais plutôt que d'utiliser l'autorité, il se faisait obéir de tous par sa gentillesse et tous ses collaborateurs étaient prêts à se mettre en quatre pour lui faire plaisir. C'était là une technique de management qui marchait bien et satisfaisait tout le monde. Le nouveau papa par exemple ce jour là, était venu travailler par nécessité, il n'y avait personne pour le remplacer et Luc n'avait même pas eu à le lui demander …
Mon jeune frère m'impressionnait de plus en plus.
On faisait quelques directes, quelques pauses. Tout le monde me soutenait, histoire de me remonter le moral, à cause du fait que je ne pouvais pas participer. J'étais bien entouré.
Je suivais Luc en dehors des studios et boitait tranquillement derrière lui, mon apparition était saluée par des applaudissement et quelques acclamations.
Finalement je ne regrettais pas ma sortie, j'étais mieux que devant la télé. Le soir par contre je me retrouvais tout seul. Gérôme était reparti, on m'avait vu boiter avec élégance de long en large pendant toute la journée, je ne pouvais pas prétendre que j'avais encore besoin d'être bordé … Pour ce qui est des menus travaux de la maison c'est le majordome de Greg ( mon voisin du dessous ) qui s'en occupait. Greg était à la compétition donc son majordome avait du temps libre. Il est bien, il est très bien mais moins rigolo que Charles …
J'ai regretté le départ de Gérôme. Oulàlà que oui. J'ai même rêvé de lui une fois ou deux. Et que je n'entende personne ricaner bêtement, j'avais pas touché à un homme depuis trois mois, et il était super bien foutu. J'aurais bien aimé me prendre sa queue dans les fesses moi ! Pfff !
Antoine s'était trouvé un nouveau copain qui ne portait pas de dispositif de chasteté et je me disais que je ferais bien d'en faire autant. Je parcourais la liste des premières années, Mike était déjà en main. J'en était pas vraiment surpris, il est pas farouche Mike et il est vraiment craquant. C'est à peu près à ce moment que je voyais Liam. Un petit gars discret, un tête de moins que moi, un corps très mince, musclé mais très mince. Il paraissait plus jeune que mon frère mais en fait il avait l'âge de Bob.
Il s'était glissé discrètement à côté de moi et s'arrangeait pour n'être jamais loin quand je sortais du studio. Quand d'un geste maladroit je laissais tomber mes deux béquilles en même temps, il arrivait sans prévenir. J'étais en équilibre sur un pied, il me ramassait mes béquilles avant que je n'ai le temps de réagir.
Liam : Tu sais Djé, tu peux t'appuyer sur mon épaule si tu veux, j'en ai pas l'air mais je suis solide.
Solide, il l'était, sa musculature était mince, fine mais c'est pas pour ça qu'il n'était pas costaud. C'était un bel athlète, cheveux courts, pas de barbe. J'en profitais et j'utilisais l'appui sur son épaule pour réajuster ma chaussure. En fait il n'y avait pas besoin de réajuster quoi que ce soit mais je voulais tâter le bestiau … Bon ça va j'ai honte de ce que je viens de dire mais c'est vrai quoi, depuis deux mois, pardon je voulais dire trois mois, j'avais bien un peu tripoté la bitte à Gérôme, sinon … Rien !
Et le petit Liam, me semblait bien mignon.
Donc, après m'être assuré que le petit gars était solide je l'invitais à me suivre. On s’arrêtait boire un verre dans un café, puis je retournais au studio. Liam me suivait.
J'en ressortais plus de trois heures plus tard. Il m'avait attendu devant la porte, j'avais autour du cou une sorte de sacoche, c'était pas très pratique avec les deux béquilles, Liam se proposait pour me la porter … Il est pas mignon ce petit gars !
Il me suivait, on parlait.
Je finissais par l'inviter pour le souper à la maison. Toute l'équipe soupait dans le réfectoire de l'école, moi je soupais en tête à tête avec un petit jeune très mignon. Stéphane ( mon majordome provisoire ) m'avait répondu … '' Bien Monsieur je vais faire le nécessaire pour que deux soupers soient prêts '' . Il est toujours un peu coincé Stéphane, on a même l'impression quelquefois qu'il s'est coincé un parapluie dans cul, mais c'est seulement une manière de parler … Enfin j'espère pour lui !
Il avait fait ça bien Stéphane, une table, deux couverts, juste à côté de la baie vitrée, deux bougies, et un repas digne des meilleurs restaurant. Sur ce dernier point il n'avait rien à envier à Charles.
Avec Liam on discutait tard, Stéphane n'avait pas assuré le service mais tout était prêt. Pour Liam j'étais sa star, il voulait suivre mon exemple, c'est à cause de moi qu'il avait voulu entrer dans cette école et au moment ou nos deux mains se touchaient en voulant attraper la bouteille il ne retirait pas la sienne. Au contraire même.
Brusquement on ne parlait plus, on se regardait dans les yeux, on se souriait, imperceptiblement on se penchait en avant, nos visages s'approchaient, je penchais la tête vers ma droite, il en faisait de même nos lèvres se touchaient et nous échangions un baiser d'une incroyable douceur.
Au fait c'était qui ce Gérôme dont je vous parlais un peu plus tôt ?
Il n'y avait plus que Liam.
Moi : Tu veux dormir ici ?
Je lui donnais un baiser.
Liam : Je ne voudrais pas déranger !
Il me donnait un baiser.
Moi : Tu ne me déranges pas du tout !
Je lui donnais un baiser.
Liam : C'est vrai que l'appartement est assez grand.
Il me donnait un baiser.
Vous imaginez que ce petit jeux devait durer encore un moment avant qu'on décide de se lever de table. Et là on ne disait plus rien … On se donnait des baisers, je le tenais dans mes bras, ça me faisait bizarre, il était tout menu, tout mince, il faisait une tête de moins que moi. La plus grande partie des garçons que j'ai tenu dans mes bras était soit dans ma taille soit plus grands. Mais lui … C'était pas désagréable pour autant.
Liam : Tu vas réussir à boiter jusqu'à la chambre ?
Moi : Je vais essayer, tu est prêt à me soutenir ?
Liam : Pas de problème, j'en ai pas l'air mais je suis costaud. Tu verras, l'année prochaine je ramène une médaille aux altères … Les premières années en général ne participent pas, même s'il y a des exceptions.
Je sautais sur un pied jusqu'à ma chambre, il me suivait l'air un peu amusé.
Liam : Ouah la baignoire, j'y crois pas !
J'enfilais une capote sur ma jambe ( le plâtre ) puis on se retrouvait tous les deux, à poil, face à face dans le bain moussant. On ne se lâchait pas des yeux, il avait un petit sourire malicieux et se décalait vers sa gauche, je me décalais vers ma droite. On finissait par se retrouver côte à côte.
Là ce n'était plus que caresses, câlins, baiser sur les lèvres, dans le cou, sur l'épaule. Le sol autour du bain bouillonnant a été rehausse, on peut donc se retrouver allongé sur le sol, les pieds dans l'eau. C'est dans cette position qu'il était quand je me penchais sur lui. Les bras en croix, il me laissait le câliner. Je caressais son corps avec le bout de mon nez et le bout de ma langue, il respirait doucement en poussant quelques petits gémissements de temps à autre.
Je le chevauchais et ne regrettais qu'une seule chose. Il avait un dispositif de chasteté, mais ça je le savait déjà. Il chausse petit … du deux … il a une petite bite qui doit faire quinze centimètres de long, pas plus. Il ne faut pas oublier que j'ai participé à la conception des ces dispositifs. Mais c'est vrai que si d'habitude je fantasme sur les grosse bittes, avec un dispositif dessus, la taille à tout de suite moins d'importance.
Mes mains couraient sur ses cuisses, à l'extérieure de ses cuisses, à l'intérieur de ses cuisses. Je soulevais son bassin, posais ses chevilles sur mes épaules et lui caressais les fesses. J'y glissais un doigt puis deux. Juste au fond de sa grosse ride naturelle. Il me laissait faire.
J'insistais sur l'ouverture de son petit trou du cul, je le sentais se contracter, avec mouvement circulaire du doigt je le massais. Il me répondait par de petits gémissements. Je me lubrifiais un doigt et l'enfonçais avec force et douceur bien à fond. Un long gémissement de sa part suivait. Je sentais son muscle se contracter autour de mon doigt.
Il relevait la tête, passait sa main sur ma nuque et me tirait vers lui, je lui massais la prostate, on s'embrassait.
J'attrapais un harnais et un gode. Ce soir je me fait défoncer les fesses, je me disais … Voyant cela Liam ouvrait des yeux tout ronds.
Liam : Ne bouge pas et laisse moi faire. C'est délire ce truc, j'ai toujours voulu essayer.
Je me disais '' Là c'est sympa, il va se le fixer et je vais me faire encules ce soir, ça commençait à me manquer tout ça. ''
Mais il ne se fixais pas le dispositif, il me le fixais. '' Bon on va commencer dans ce sent alors … Pff ''.
On inversait la position, c'est moi qui me retrouvais allongé sur le sol. Il me câlinait comme je l'avais fait un peu plus tôt. Il m'embrassait sur tout le corps, me lubrifiait la prothèse ( je parle là du gode qu'il avait fixé à mon harnais ), ensuite il prenait position et s'empalait doucement, il prenait bien son temps. Je le voyais relever la tête, il râlait de plaisir. Le gode s'enfonçait doucement, à chacun de ses mouvements un peu plus. Je ne bougeais pas je le regardais faire, tout au plus je lui caressais les cuisses pour l'encourager.
Il prenait son pied et moi je regrettais de porter ce dispositif, c'était encore une de ces soirées ou je me serais damné pour pouvoir le retirer, j'avais envie de l'enculer avec ma vraie bitte. Vous imaginez bien qu'avec ce genre de truc je ne ressentais rien. Mais quand je dis rien … Lui il aimait moi j'étais en manque. Je relevais mon bassin, doucement au début puis plus vite. Il glissait, peut être volontairement et se retrouvait entièrement empalé sur le gode. Je relevais alors le torse et le prenais dans mes bras, il croisait ses pieds dans mon dos, on s'enlaçait.
Je basculais mon bassin d'avant en arrière, il gémissait, il couinait, il me serrait dans ses bras fins mais terriblement musclés. Je lui caressais les cheveux, et l'embrassais dans le cou. Chacun prenait un vrai plaisir à sentir à sentir la peaux de l'autre sur sa propre peau.
Par moment je le sentais contracter les muscles de ses cuisses, il se soulevait légèrement et se laissait retomber. Ses gémissements devenaient plus bruyant, ses caresses plus désordonnées, ses baisers plus passionnés. Il tremblait, frémissait je le regardais avec passion il faisait des grimaces, fermait les yeux et fronçait les sourcilles.
Brusquement il ouvrait la bouche et poussait des râles de plaisir, il se contractait, tout son corps se contractait. Il se cramponnais à moi, je le serrais fort également et je sentais un liquide couler sur mon ventre, il jutait et je vous garantis qu'il jouissait en même temps.
Il s'effondrait sur moi, sa tête sur mon épaule, le moindre de mes mouvements lui arrachait alors des cris et lui provoquait des tremblements incontrôlés. On ne bougeait plus.
Un peu plus tard il se retirait, ses jambes tremblaient et j'ai bien cru qu'il n'y arriverait pas mais il se relevait.
On se lavait rapidement, puis il me prenait la main et m'entraînait vers le lit, j'avais toujours le harnais dans la main, prêt à le lui enfiler pour me faire plaisir. Je vous rappelle qu'au début je voulais me trouver un mec qui ne porterait pas ce dispositif de chasteté !
On s'allongeait l'un à côté de l'autre, encore des câlins, encore des caresses, il tirait la couette sur nous, se blottissait tout contre moi. Les quelques bouts de sa peau que je voyais me faisaient penser à une fille, non pas qu'il était efféminé, oh non mais il était totalement imberbe, naturellement imberbe. Il n'avait pas plus de deux ou trois poils sous les bras, pas d'avantage autour du sexe et sur le menton … pas un !
Je sentais cette douceur de peau particulièrement extraordinaire et ma queue protestait encore plus fort dans sa cage. Il s'endormait, je n'osais plus bouger.
Oui bien c'est très beau ces passages romantiques, mais je vous jure que ce soir là ça m'a gavé. J'ai pas dormi avant … tard , très tard dans la nuit. Ma queue s'est manifestée toute la nuit, me rappelant que le gode au départ je me le gardais pour moi … Me rappelant que ça faisait trois mois que personne n'avait touché à mon cul … Me rappelant j'étais en manque !
C'est toujours pareil ! J'arrive jamais à me faire enculer quand j'en ai envie moi. C'est pas la première fois que ça m'arrive, mais je suis maudit ou quoi ? Non mais c'est vrai ça il faut que je fasse quoi ? Que je sorte au bordel ? … Tiens c'est une idée ça il faudra que je me renseigne …
Je me souviens avoir râlé dans ma tête pendant une bonne partie de la nuit. Je n'osais pas bouger, je n'osais rien dire, j'avais peur de le réveiller, il était si mignon endormi dans mes bras.
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