Les goûts et les couleurs ça se discute - Lendemain qui chante
Récit érotique écrit par Theo-kosma [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-08-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Les goûts et les couleurs ça se discute - Lendemain qui chante
Les goûts et les couleurs ça se discute
– Sucer, d’accord… seulement moi, c’est par esprit pratique. Pour que mon amoureux soit hyper excité, qu’il bande dur et qu’ensuite il puisse me la mettre bien profond. Il n’y aurait pas cette récompense que je ne le ferais pas, ou très rarement. J’ai toujours eu du mal à comprendre les filles qui prenaient leur pied pendant l’amour oral. Enfin quoi, on ne jouit pas par la bouche !
– C’est qui, « on » ? Pour ma part, je t’assure j’ai souvent des orgasmes en pompant. C’est presque mieux que la baise : pour la pipe, je jouis toujours au moment de l’éjaculation. Avoir un orgasme synchronisé c’est top, non ? Tandis que pendant l’amour, en général soit je termine trop vite, soit c’est lui.
– Tu veux dire que ta politique c’est une fellation égale une giclée ?
– Totalement, autrement je ne vois pas l’intérêt.
– Et le type te saute ensuite au moins ?!
– Déjà, ça dépend si on en a la possibilité ou non. Selon l’endroit, le temps dont on dispose… puis par ailleurs, voilà notre grande différence : pour toi cet acte est un simple moyen, pour moi une fin.
– Tu vas jusqu’à avaler ?
– Tout aussi systématiquement. Je n’envisage pas une fellation sans éjaculation et sans avaler.
– Tu es vraiment étrange...
– Pour ce qui est d’avaler, pour précision, c’est différent : c’est comme toi, par esprit pratique. Je n’y prends pas forcément plaisir.
– Je ne comprends pas.
– Je suce toujours à la maison quand mes enfants sont à l’école et mon mari au bureau. Il faut bien effacer les preuves !
Lendemain qui chante
— Dis, avant que tu partes... Vu que tous les deux c’était juste une petite aventure et que du coup on est pas sûrs de se revoir…— J’ai pas dit que… enfin ça dépend de toi aussi et…— Ça va, sois pas gêné ! C’est rien. Faut juste pas se mentir. Après bien sûr, qui sait. Quand même, je veux pas qu’on se sépare sans te l’avoir dit. C’était une super nuit avec toi.
— Merci de me l’avoir dit ! J’ai aussi beaucoup aimé.
— J’ai vécu un truc de fou… c’était incroyable. Vraiment... Qu’est-ce qu’il y a ? Tu as l’air étonné.
— Je le suis.
— Tu doutes de tes talents d’amant ?
— Pas spécialement mais… enfin, je t’ai pris pour ce que t’es pas visiblement.
— Explique ?
— J’ai observé ton allure, ton attitude… hyper à l’aise avec les mecs, à fricoter un peu avec tout le monde. Je t’ai pris pour une libertine.
— Je te rassure, tu ne t’es pas trompé !
— Une vraie ? Qui as vécu des tas de trucs différents avec des tas d’hommes ?
— Oui. Qu’est-ce qui t’étonne ?
— Que tu considères notre nuit incroyable. Je t’ai dragué, on a fait connaissance… on est allés dîner, puis on a bu un verre chez moi, on s’est embrassés, on a fait l’amour, ce matin j’ai ramené les croissants… et quoi ? Pour toi ça devrait être hyper banal, limite trop. Après je me plains pas évidemment.
— Justement ! J’avais jamais vécu ça avec un mec. Être prise par trois type dans un terrain vague, oui. Un gang bang, une partouze, du bondage, oui. Moi en cuir à fouetter des soumis, oui. Pénétrée par les trois trous en même temps, encore oui. Mais alors là ! Prendre le temps de dîner, de se balader au bord de la Seine, sentir tes lèvres se rapprocher des miennes, tes bras m’enlacer doucement… J’ai presque eu l’impression d’être dépucelée.
Un nouvel épisode de « Dialogues Interdits » chaque samedi à partir de 7 H.
– Sucer, d’accord… seulement moi, c’est par esprit pratique. Pour que mon amoureux soit hyper excité, qu’il bande dur et qu’ensuite il puisse me la mettre bien profond. Il n’y aurait pas cette récompense que je ne le ferais pas, ou très rarement. J’ai toujours eu du mal à comprendre les filles qui prenaient leur pied pendant l’amour oral. Enfin quoi, on ne jouit pas par la bouche !
– C’est qui, « on » ? Pour ma part, je t’assure j’ai souvent des orgasmes en pompant. C’est presque mieux que la baise : pour la pipe, je jouis toujours au moment de l’éjaculation. Avoir un orgasme synchronisé c’est top, non ? Tandis que pendant l’amour, en général soit je termine trop vite, soit c’est lui.
– Tu veux dire que ta politique c’est une fellation égale une giclée ?
– Totalement, autrement je ne vois pas l’intérêt.
– Et le type te saute ensuite au moins ?!
– Déjà, ça dépend si on en a la possibilité ou non. Selon l’endroit, le temps dont on dispose… puis par ailleurs, voilà notre grande différence : pour toi cet acte est un simple moyen, pour moi une fin.
– Tu vas jusqu’à avaler ?
– Tout aussi systématiquement. Je n’envisage pas une fellation sans éjaculation et sans avaler.
– Tu es vraiment étrange...
– Pour ce qui est d’avaler, pour précision, c’est différent : c’est comme toi, par esprit pratique. Je n’y prends pas forcément plaisir.
– Je ne comprends pas.
– Je suce toujours à la maison quand mes enfants sont à l’école et mon mari au bureau. Il faut bien effacer les preuves !
Lendemain qui chante
— Dis, avant que tu partes... Vu que tous les deux c’était juste une petite aventure et que du coup on est pas sûrs de se revoir…— J’ai pas dit que… enfin ça dépend de toi aussi et…— Ça va, sois pas gêné ! C’est rien. Faut juste pas se mentir. Après bien sûr, qui sait. Quand même, je veux pas qu’on se sépare sans te l’avoir dit. C’était une super nuit avec toi.
— Merci de me l’avoir dit ! J’ai aussi beaucoup aimé.
— J’ai vécu un truc de fou… c’était incroyable. Vraiment... Qu’est-ce qu’il y a ? Tu as l’air étonné.
— Je le suis.
— Tu doutes de tes talents d’amant ?
— Pas spécialement mais… enfin, je t’ai pris pour ce que t’es pas visiblement.
— Explique ?
— J’ai observé ton allure, ton attitude… hyper à l’aise avec les mecs, à fricoter un peu avec tout le monde. Je t’ai pris pour une libertine.
— Je te rassure, tu ne t’es pas trompé !
— Une vraie ? Qui as vécu des tas de trucs différents avec des tas d’hommes ?
— Oui. Qu’est-ce qui t’étonne ?
— Que tu considères notre nuit incroyable. Je t’ai dragué, on a fait connaissance… on est allés dîner, puis on a bu un verre chez moi, on s’est embrassés, on a fait l’amour, ce matin j’ai ramené les croissants… et quoi ? Pour toi ça devrait être hyper banal, limite trop. Après je me plains pas évidemment.
— Justement ! J’avais jamais vécu ça avec un mec. Être prise par trois type dans un terrain vague, oui. Un gang bang, une partouze, du bondage, oui. Moi en cuir à fouetter des soumis, oui. Pénétrée par les trois trous en même temps, encore oui. Mais alors là ! Prendre le temps de dîner, de se balader au bord de la Seine, sentir tes lèvres se rapprocher des miennes, tes bras m’enlacer doucement… J’ai presque eu l’impression d’être dépucelée.
Un nouvel épisode de « Dialogues Interdits » chaque samedi à partir de 7 H.
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