Les Tuniques Bleues, sérieux ?
Récit érotique écrit par lelivredejeremie [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-03-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Les Tuniques Bleues, sérieux ?
Quand il est entré dans le bar, j’ai jeté un regard curieux à sa besace, en me demandant quel serait le trésor du jour.
- Un manhwa, mec ! a clamé Ed, en se posant sur le tabouret voisin du mien, au bar du ‘Bouquin’.
- On n’a pas ça, désolé, a soufflé Sylvain, croyant qu’il lui parlait.
- C’est pas une bière, on parle de BD, Syl’.
- De bande dessinée, pas de pédés… Enfin, pas là, a soufflé Ed, un peu lubrique.
Le serveur, gêné, nous a proposé sa nouvelle mousse, mon sex-friend habituel a sorti l’album, pour me le prêter, avant qu’on finisse nos verres, et qu’il m’annonce qu’il a un date avec un grand Black, et que ‘’Voilà, désolé, sans moi ce soir’’. Je lui avais répondu ‘’Tu me raconteras’’, avant qu’on se sépare, à grandes tapes bien viriles dans le dos.
- Elle t’a goûté, la Peak ? a demandé Sylvain, derrière le bar.
- La bière ? Oui mais tu sais, moi, les pics, les caps, les péninsules, je suis toujours preneur… ai-je glissé. Avant d’ajouter ‘’Euh… c’est dans Cyrano, Sylvain… Je disais juste ça pour être à la hauteur du nom du café…’’
- Ah. Oui, bien sûr… J’avais déjà capté que tu es un intello, mais la bande dessinée, vraiment ?
- Il y a des trucs superbes, non ? Tu aimes, toi ?
- Oui, a répondu le géant blond. ‘’Je les ai laissées chez mes parents, pas de place chez moi.’’
- Le jour où ça te dit, tu sais bien, j’habite en face, tu sonnes au 2A, je t’en filerai, je te demanderai juste d’y faire gaffe.
- On ne dirait pas, vu ma carrure, mais je n’ai jamais cassé de verre, je peux être délicat, tu sais. Dis, tu vas dormir tôt ?
- J’ai de la lecture pour ce soir, Syl’, ai-je glissé en souriant, avant de rentrer chez moi.
A 23H15, l’interphone a sonné. ‘’C’est Sylvain, désolé de te déranger, je viens de fermer, mais j’ai vu de la lumière à ta fenêtre…’’
- Ah ! Ben, oui, monte, ai-je répondu, avant de réaliser que je vais lui ouvrir en boxer, torse et pieds nus. J’ai tapé un plaid sur mes épaules, pour ouvrir la porte et le trouver agenouillé, en train de retirer ses chaussures. ‘’Je préfère…’’
- Tu restes plus habillé que moi, je me suis mis à l’aise pour lire celle que mon pote m’a prêtée… C’est de la BD coréenne, et là-bas, c’est respectueux de retirer ses pompes en entrant, donc tu es dans l’ambiance, Syl’..
- Ah ouais, quand même ! a-t-il dit, en découvrant le mur d’étagères blindées d’albums. ‘’Ça, c’est de la collec’, je me sens un peu con, là.’’
- C’est quoi, la tienne ? ai-je répondu, en posant un bras sur ses larges épaules.
- Ben… Gaston, l’Agent 212, les Tuniques Bleues…
- Les Tuniques Bleues, sérieux ? Non, je ne dis rien, j’aimais bien, moi aussi…
- T’as des mangas ? Je connais juste Dragon Ball Z.
- Il y a méchamment plus noir, hein ! Attack on Titans, Death Note, Monster… J’ai commencé celui qu’Ed m’a filé, viens voir, ai-je dit en me jetant dans le canapé, pour l’inviter à me rejoindre en tapant sur le coussin, avant de lui passer l’album, ‘Killing Staling’, ouvert sur une planche où un brun maigrichon, en sueur, les larmes aux yeux, le poignet pressé sur sa bouche, se fait défoncer par une queue massive.
- Il prend cher, lui… a-t-il murmuré.
- Depuis le début, et pas trop respectueusement, il ne kiffe pas trop que son mec se vide en lui, sauf que… Ah, ben oui ! me suis-je exclamé en tournant la page sur le dessin rapproché de l’anus béant du petit Bum d’où suinte une coulée de sperme, et dans la case suivante, celui du sexe épais de Sangwoo d’où perle une goutte nacrée.
- Tu… je veux dire, ça te plait ?
- Je n’ai pas de problème à me prendre une éjac dans le rectum, un peu plus avec la violence, mais dans une BD, c’est bon… Après, tant qu’on en est aux confidences… tu n’es pas passé pour parler de ligne claire ou de phylactères, si ? ai-je murmuré en posant la main sur le relief augmenté sous son slim.
- Je… euh… c’est juste que… quand tu viens boire un verre avec un garçon, tu le ramènes chez toi, ensuite, mais là, il n’est pas resté.
- Et les autres, disons que le Bouquin est ma zone de test, pour voir si le mec pourrait le faire. Ed, c’est mon sex-friend de secours, on ne se doit rien… Mais du coup, tu t’es dit pourquoi pas ?
- Je ne sais même pas ce que tu penses de moi…
- Que tu es un très beau mec, mais toujours trop habillé, tu bois quoi ? J’ai du Coca ou de l’Icetea Green, je vais trainer un peu à ajouter les glaçons, mais si tu pouvais montrer un maximum de peau à mon retour…
Je l’ai retrouvé en boxer et chaussettes. ‘’C’est encore trop de tissu, Syl’…’’
- On m’a trop dit que j’ai des moches pieds de gorille, et… là… j’ai été opéré quand j’étais petit.
- Pour des raisons… techniques, je kiffe les grands pieds, et pour le reste, dressé, ça ne change rien, sauf que la circoncision apporte un petit plus pas négligeable. Vire tout, s’il te plait.
Il s’est débarrassé de ses derniers vêtements alors que je virais mon boxer, pour exposer mon mètre soixante-neuf pour soixante kilos devant ce que j’ai estimé à un mètre quatre-vingt-dix et près du quintal de testostérone… Puis une queue épaisse, à la hampe lisse, et au gland exposé.
J’ai consacré une bonne minute à l’amener à son maximum et la couvrir de ma salive, avant de me relever pour poser les genoux de part et d’autre de son bassin, de diriger sa colonne de chair raide sur mon sphincter, et de lentement m’y empaler.
- Attends, laisse-moi m’ha… Aaaaah… m’habituer.
- Je te fais mal.
- Nooon ! ai-je menti, déchiré par son épaisseur inédite… ‘’Je te pro-oh-met que je ne m’étais enco… Oooooh ! encore jamais p… pris autaaant !
‘Ni trop souvent en longueur’ ai-je pensé, en me ressaisissant, pour revenir à ma réalité, celle où je suis plus prostatique qu’anal, et entamer la remontée de son mât, pour plafonner à cinq ou six centimètres de pénétration, et positionner son gland sur ma glande si sensible, pour la stimuler de mouvements retenus.
J’ai porté le regard sur ma mi-molle, et mon gland à moitié sorti de mon prépuce, d’où suinte un filet de pré-sperme fluide, avant de le remonter dans le sien, étonné.
- C’est… ?
- Pas encore vrai…ment, mais c’est toi qui fais ça, et c’est trop booooon, ai-je gémi. ‘’Maintenant, pa… Aaah… page dix, je crois, Sangwoo soulève Mun et va le pilo… Oooh… pilonner contre la porte d’entrée ! Et les grands pieds, pour la stabilité, tu voi… Aaah ! ai-je grogné, alors qu’il se redressait et s’enfonçait entièrement.
À l’inverse du personnage du manhwa, aucune agressivité en lui, juste une grande douceur alors que, mon dos collé au battant, ses bras calés dans le pliant de mes genoux, il pousse son membre raide en moi, déplaçant mon plaisir qui s’étend lentement à mon bassin, puis à tout mon corps.
Un sursaut de conscience m’a fait serrer et agiter le poing sur mon sexe maintenant dressé.
- Jérémie, je v… je vais jouir… je peux ? … en toi, je tiens plus.
- Viens, Syl’, viens !
En quatre mouvements plus espacés, il s’est libéré avec un grognement sourd. Je l’ai suivi juste ensuite, en projetant trois trainées de ma semence nacrée sur mon ventre et une sur le sien, avant qu’en quelques enjambées, il me repose sur le canapé.
- Tu… tu ne débandes pas ! me suis-je étonné. ‘’Encore, longtemps !’’
Avec un sourire étonné mais un peu fier, il a continué la possession de mon rectum, provoquant les spasmes de quelques répliques de mon plaisir, avant de mollir, et de se redresser, à genoux entre mes jambes tremblantes… ‘’C’est comme dans la BD, ça coule, c’est presque beau’’ a-t-il soufflé, un peu naïvement.
Il est juste adorable de candeur, lui ! Puis pas loin d’être la meilleure queue que je me sois faite…
- À quoi tu penses, Jérémie ?
- Euh… que les grands pieds, ça le fait ! Debout, j’avais jamais… Et c’était putain de bon !
- Oh ! Ben… Cool ! Sinon, l’autre truc… technique, tu vois ?
- Hein ? Ah, ton sexe parfait, oui… Ben, c’était juste une constatation, chez les mecs circoncis, le gland se balade dans les sous-vêtements, ça finit par durcir le gland, je me dis, les frottements sur ma prostate, puis l’endurance, tout ça…
- Ne te fais jamais opérer.
- Ben non, mais pourquoi ?
- Tu vas trouver ça bête, mais… ton prépuce… délicat, et ton gland qui en sort lentement, c’est l’un des plus beaux trucs que j’aie jamais vus, voilà.
- Oh ! C’est gentil, ça. Puis presque poétique. Mais c’est si rare ?
- Les mecs que je baise dans les parcs, ou dans des toilettes de bars, c’est vite fait, en levrette ou de dos, je les vois à peine. Toi oui, et tu es beau dans le plaisir.
J’ai retenu mon sourire qui aurait été trop large, et tourné la tête vers ma collection de BD.
- Je ne te retiendrai pas d’y retourner, mais si tu veux te poser ici à l’occasion, il y a à lire…
- Lire, hein ! a-t-il murmuré avec une grimace légèrement lubrique, avant de venir m’embrasser, puis de porter la bouche à mon sexe, qu’il a décalotté avant de le nettoyer.
***
Depuis qu’il passe ses week-ends chez moi, j’ai fait de la place pour ses Tuniques Bleues, que je me suis mis à relire, calé à un bout du canapé, en jetant régulièrement un coup d’œil vers lui, à l’autre extrémité.
La couverture de l’album qu'il lit cache son visage, mais sa queue dressée dans son boxer est tout à fait visible… J’ai posé ‘Mariage à Fort Bow’ sur la table basse, avant de remonter le siège à quatre pattes, et lécher le relief sous le tissu. ‘’Il n’y a pas de sexe dans Monster, Syl’…’’
- Johan Liebert est mignon, un peu angélique, on dirait toi en blond.
- Merci pour la comparaison, sous ses airs innocents, c’est un sociopathe et un tueur en série !
- J’ai plus fait l’amour en un mois que dans toute ma vie avant toi, je suis tombé dans le piège d’un baiseur en série, m’a-t-il souri, avec d’à son tour poser l’album.
- Un manhwa, mec ! a clamé Ed, en se posant sur le tabouret voisin du mien, au bar du ‘Bouquin’.
- On n’a pas ça, désolé, a soufflé Sylvain, croyant qu’il lui parlait.
- C’est pas une bière, on parle de BD, Syl’.
- De bande dessinée, pas de pédés… Enfin, pas là, a soufflé Ed, un peu lubrique.
Le serveur, gêné, nous a proposé sa nouvelle mousse, mon sex-friend habituel a sorti l’album, pour me le prêter, avant qu’on finisse nos verres, et qu’il m’annonce qu’il a un date avec un grand Black, et que ‘’Voilà, désolé, sans moi ce soir’’. Je lui avais répondu ‘’Tu me raconteras’’, avant qu’on se sépare, à grandes tapes bien viriles dans le dos.
- Elle t’a goûté, la Peak ? a demandé Sylvain, derrière le bar.
- La bière ? Oui mais tu sais, moi, les pics, les caps, les péninsules, je suis toujours preneur… ai-je glissé. Avant d’ajouter ‘’Euh… c’est dans Cyrano, Sylvain… Je disais juste ça pour être à la hauteur du nom du café…’’
- Ah. Oui, bien sûr… J’avais déjà capté que tu es un intello, mais la bande dessinée, vraiment ?
- Il y a des trucs superbes, non ? Tu aimes, toi ?
- Oui, a répondu le géant blond. ‘’Je les ai laissées chez mes parents, pas de place chez moi.’’
- Le jour où ça te dit, tu sais bien, j’habite en face, tu sonnes au 2A, je t’en filerai, je te demanderai juste d’y faire gaffe.
- On ne dirait pas, vu ma carrure, mais je n’ai jamais cassé de verre, je peux être délicat, tu sais. Dis, tu vas dormir tôt ?
- J’ai de la lecture pour ce soir, Syl’, ai-je glissé en souriant, avant de rentrer chez moi.
A 23H15, l’interphone a sonné. ‘’C’est Sylvain, désolé de te déranger, je viens de fermer, mais j’ai vu de la lumière à ta fenêtre…’’
- Ah ! Ben, oui, monte, ai-je répondu, avant de réaliser que je vais lui ouvrir en boxer, torse et pieds nus. J’ai tapé un plaid sur mes épaules, pour ouvrir la porte et le trouver agenouillé, en train de retirer ses chaussures. ‘’Je préfère…’’
- Tu restes plus habillé que moi, je me suis mis à l’aise pour lire celle que mon pote m’a prêtée… C’est de la BD coréenne, et là-bas, c’est respectueux de retirer ses pompes en entrant, donc tu es dans l’ambiance, Syl’..
- Ah ouais, quand même ! a-t-il dit, en découvrant le mur d’étagères blindées d’albums. ‘’Ça, c’est de la collec’, je me sens un peu con, là.’’
- C’est quoi, la tienne ? ai-je répondu, en posant un bras sur ses larges épaules.
- Ben… Gaston, l’Agent 212, les Tuniques Bleues…
- Les Tuniques Bleues, sérieux ? Non, je ne dis rien, j’aimais bien, moi aussi…
- T’as des mangas ? Je connais juste Dragon Ball Z.
- Il y a méchamment plus noir, hein ! Attack on Titans, Death Note, Monster… J’ai commencé celui qu’Ed m’a filé, viens voir, ai-je dit en me jetant dans le canapé, pour l’inviter à me rejoindre en tapant sur le coussin, avant de lui passer l’album, ‘Killing Staling’, ouvert sur une planche où un brun maigrichon, en sueur, les larmes aux yeux, le poignet pressé sur sa bouche, se fait défoncer par une queue massive.
- Il prend cher, lui… a-t-il murmuré.
- Depuis le début, et pas trop respectueusement, il ne kiffe pas trop que son mec se vide en lui, sauf que… Ah, ben oui ! me suis-je exclamé en tournant la page sur le dessin rapproché de l’anus béant du petit Bum d’où suinte une coulée de sperme, et dans la case suivante, celui du sexe épais de Sangwoo d’où perle une goutte nacrée.
- Tu… je veux dire, ça te plait ?
- Je n’ai pas de problème à me prendre une éjac dans le rectum, un peu plus avec la violence, mais dans une BD, c’est bon… Après, tant qu’on en est aux confidences… tu n’es pas passé pour parler de ligne claire ou de phylactères, si ? ai-je murmuré en posant la main sur le relief augmenté sous son slim.
- Je… euh… c’est juste que… quand tu viens boire un verre avec un garçon, tu le ramènes chez toi, ensuite, mais là, il n’est pas resté.
- Et les autres, disons que le Bouquin est ma zone de test, pour voir si le mec pourrait le faire. Ed, c’est mon sex-friend de secours, on ne se doit rien… Mais du coup, tu t’es dit pourquoi pas ?
- Je ne sais même pas ce que tu penses de moi…
- Que tu es un très beau mec, mais toujours trop habillé, tu bois quoi ? J’ai du Coca ou de l’Icetea Green, je vais trainer un peu à ajouter les glaçons, mais si tu pouvais montrer un maximum de peau à mon retour…
Je l’ai retrouvé en boxer et chaussettes. ‘’C’est encore trop de tissu, Syl’…’’
- On m’a trop dit que j’ai des moches pieds de gorille, et… là… j’ai été opéré quand j’étais petit.
- Pour des raisons… techniques, je kiffe les grands pieds, et pour le reste, dressé, ça ne change rien, sauf que la circoncision apporte un petit plus pas négligeable. Vire tout, s’il te plait.
Il s’est débarrassé de ses derniers vêtements alors que je virais mon boxer, pour exposer mon mètre soixante-neuf pour soixante kilos devant ce que j’ai estimé à un mètre quatre-vingt-dix et près du quintal de testostérone… Puis une queue épaisse, à la hampe lisse, et au gland exposé.
J’ai consacré une bonne minute à l’amener à son maximum et la couvrir de ma salive, avant de me relever pour poser les genoux de part et d’autre de son bassin, de diriger sa colonne de chair raide sur mon sphincter, et de lentement m’y empaler.
- Attends, laisse-moi m’ha… Aaaaah… m’habituer.
- Je te fais mal.
- Nooon ! ai-je menti, déchiré par son épaisseur inédite… ‘’Je te pro-oh-met que je ne m’étais enco… Oooooh ! encore jamais p… pris autaaant !
‘Ni trop souvent en longueur’ ai-je pensé, en me ressaisissant, pour revenir à ma réalité, celle où je suis plus prostatique qu’anal, et entamer la remontée de son mât, pour plafonner à cinq ou six centimètres de pénétration, et positionner son gland sur ma glande si sensible, pour la stimuler de mouvements retenus.
J’ai porté le regard sur ma mi-molle, et mon gland à moitié sorti de mon prépuce, d’où suinte un filet de pré-sperme fluide, avant de le remonter dans le sien, étonné.
- C’est… ?
- Pas encore vrai…ment, mais c’est toi qui fais ça, et c’est trop booooon, ai-je gémi. ‘’Maintenant, pa… Aaah… page dix, je crois, Sangwoo soulève Mun et va le pilo… Oooh… pilonner contre la porte d’entrée ! Et les grands pieds, pour la stabilité, tu voi… Aaah ! ai-je grogné, alors qu’il se redressait et s’enfonçait entièrement.
À l’inverse du personnage du manhwa, aucune agressivité en lui, juste une grande douceur alors que, mon dos collé au battant, ses bras calés dans le pliant de mes genoux, il pousse son membre raide en moi, déplaçant mon plaisir qui s’étend lentement à mon bassin, puis à tout mon corps.
Un sursaut de conscience m’a fait serrer et agiter le poing sur mon sexe maintenant dressé.
- Jérémie, je v… je vais jouir… je peux ? … en toi, je tiens plus.
- Viens, Syl’, viens !
En quatre mouvements plus espacés, il s’est libéré avec un grognement sourd. Je l’ai suivi juste ensuite, en projetant trois trainées de ma semence nacrée sur mon ventre et une sur le sien, avant qu’en quelques enjambées, il me repose sur le canapé.
- Tu… tu ne débandes pas ! me suis-je étonné. ‘’Encore, longtemps !’’
Avec un sourire étonné mais un peu fier, il a continué la possession de mon rectum, provoquant les spasmes de quelques répliques de mon plaisir, avant de mollir, et de se redresser, à genoux entre mes jambes tremblantes… ‘’C’est comme dans la BD, ça coule, c’est presque beau’’ a-t-il soufflé, un peu naïvement.
Il est juste adorable de candeur, lui ! Puis pas loin d’être la meilleure queue que je me sois faite…
- À quoi tu penses, Jérémie ?
- Euh… que les grands pieds, ça le fait ! Debout, j’avais jamais… Et c’était putain de bon !
- Oh ! Ben… Cool ! Sinon, l’autre truc… technique, tu vois ?
- Hein ? Ah, ton sexe parfait, oui… Ben, c’était juste une constatation, chez les mecs circoncis, le gland se balade dans les sous-vêtements, ça finit par durcir le gland, je me dis, les frottements sur ma prostate, puis l’endurance, tout ça…
- Ne te fais jamais opérer.
- Ben non, mais pourquoi ?
- Tu vas trouver ça bête, mais… ton prépuce… délicat, et ton gland qui en sort lentement, c’est l’un des plus beaux trucs que j’aie jamais vus, voilà.
- Oh ! C’est gentil, ça. Puis presque poétique. Mais c’est si rare ?
- Les mecs que je baise dans les parcs, ou dans des toilettes de bars, c’est vite fait, en levrette ou de dos, je les vois à peine. Toi oui, et tu es beau dans le plaisir.
J’ai retenu mon sourire qui aurait été trop large, et tourné la tête vers ma collection de BD.
- Je ne te retiendrai pas d’y retourner, mais si tu veux te poser ici à l’occasion, il y a à lire…
- Lire, hein ! a-t-il murmuré avec une grimace légèrement lubrique, avant de venir m’embrasser, puis de porter la bouche à mon sexe, qu’il a décalotté avant de le nettoyer.
***
Depuis qu’il passe ses week-ends chez moi, j’ai fait de la place pour ses Tuniques Bleues, que je me suis mis à relire, calé à un bout du canapé, en jetant régulièrement un coup d’œil vers lui, à l’autre extrémité.
La couverture de l’album qu'il lit cache son visage, mais sa queue dressée dans son boxer est tout à fait visible… J’ai posé ‘Mariage à Fort Bow’ sur la table basse, avant de remonter le siège à quatre pattes, et lécher le relief sous le tissu. ‘’Il n’y a pas de sexe dans Monster, Syl’…’’
- Johan Liebert est mignon, un peu angélique, on dirait toi en blond.
- Merci pour la comparaison, sous ses airs innocents, c’est un sociopathe et un tueur en série !
- J’ai plus fait l’amour en un mois que dans toute ma vie avant toi, je suis tombé dans le piège d’un baiseur en série, m’a-t-il souri, avec d’à son tour poser l’album.
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