LUCILLE (suite 3)
Récit érotique écrit par Alain Dex [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-07-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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LUCILLE (suite 3)
-Te voici arrivée-Merci, maman, à tantôt.
Comme presque tous les jeudis maintenant, la mère de Lucille déposait cette dernière devant le studio que Christophe partageait avec trois autres photographes. Elle avait toujours refusé d’entrer dans cet endroit où sa fille se montrait nue et, surtout, se faisait photographier par d’autres hommes que son mari. Cependant, elle avait fini par faire encadrer une photo de sa fille qui, bien qu’elle y figurât nue, n’était pas trop indécente à ses yeux. Elle avait accepté cette consternante lubie de sa fille de vouloir poser sans vêtement pour un photographe et d’en faire une habitude.
-Je viendrai te chercher avec Audrey, à quatre heures, sois prête.
-Merci maman, à tantôt.
Lucille pénétra dans le studio où Christophe finissait de régler les éclairages.
-Tu es plus ponctuel pour me photographier déshabillée que pour te rendre au bureau.
Elle adorait le taquiner, le provoquer. Il travaillait mieux alors, lui semblait-il. Elle lui fit la bise. Elle apprécia son parfum. Il était charmant.
Elle se déshabilla et alla s’asseoir avec nonchalance sur une table. Là, regardant Christophe fixement dans les yeux, elle écarta lentement les jambes. Oui, elle le voulait. Elle ouvrit les jambes totalement, offrant au photographe le spectacle de son intimité intégralement exposée. Christophe était devenu pâle, haletant. Lucille savoura ce regard fixé sur cette vue sublime et pleine de mystère. La voix autoritaire de Lucille lui fit recouvrer quelque peu ses esprits.
« Alors, vas-y, qu'attends-tu ? »Il prit quelques photos de ce spectacle à couper le souffle.
« Déshabille-toi aussi ! » fit-elle sur un ton qui n'admettait aucune contradiction.
Il se déshabilla aussi, penaud.
« Maintenant, masturbe-toi ! » ajouta-t-elle quand il fut complètement nu.
« Quoi ? »« Tu as bien compris. Branle-toi devant moi. Tu feras de meilleures photos après. »Elle le regarda se masturber devant elle. Elle eut beau feindre une certaine froideur, ce spectacle l'échauffa et son sexe exposé au regard du jeune homme s'humecta avec évidence et sans équivoque possible. N'y tenant plus, elle se toucha le clitoris du bout de son majeur.
Le jeune homme jouit le premier. Les yeux mi-clos, elle fit d'une voix langoureuse : « Prends tes photos, maintenant, vicieux ! Et puis après, je m’occuperai de toi. Je te trouve très beau. Tu m’excites. Tu sais quoi ? J’ai envie de t’attacher et de te fouetter»
Lucille tournait lentement autour de Christophe, complètement nu, attaché ventre contre la petite table en chêne, les chevilles entravées, jambes écartées, aux pieds de la table et les poignets attachés, bras écartés et tendus au maximum, aux coins opposés de cette table. Lucille se délectait à loisir de la vue de cette position très inconfortable à laquelle Christophe était soumis. Il était beaucoup plus jeune qu'elle et elle le trouvait très beau. Elle aimait particulièrement ces moments, de plus en plus fréquents où il était soumis et à son entière disposition. Elle l'avait recruté et le protégeait dans son propre service, pour faire plaisir à un ami, au départ. Des liens équivoques s'étaient rapidement liés entre eux et avaient déclenché entre eux des éclairs de désirs sado-masochistes irrépressibles. Elle aimait toucher les parties génitales du jeune garçon, les caresser, les triturer avec plus de fermeté. Les frapper aussi de temps en temps. Elle faisait le tour de la table et décidait, de temps à autre, d'une action. Elle se dirigeait alors vers la petite commode basse dont elle ouvrait le tiroir supérieur. Là, se trouvaient alignés une série de fouets, badines et cravaches en cuir, ouvragés ou rudimentaires. Elle en choisissait un avec soin, imaginant le plaisir et la douleur que pouvait provoquer l'instrument choisi. Puis, muni de son outil, elle se remettait à déambuler autour de sa victime. "On y va avec cela, d'accord ?" "Oui, s'il te plaît…" "Bon, je vais te bander les yeux, tu auras la surprise !" Elle lui bandait les yeux, puis se remettait à déambuler. Mais à présent, elle le frappait. Elle le frappait, mais seulement de temps à autre, soit en continuant de marcher, soit en marquant un temps d’arrêt, comme pour mieux s'appliquer.
Parfois, quand elle était très excitée, elle touchait le sexe de Christophe et lui caressait les testicules. C'était d'abord un geste tendre qui devenait ensuite plus ferme. Christophe commençait à gémir. Ses gémissements excitaient Lucille qui devenait de plus en plus brutale et finissait par céder à ses pulsions les plus sadiques. Elle pinçait alors les testicules de sa jeune victime, les tordait, lui serrait le pénis de toute ses forces. Il criait alors. Elle s'arrêtait un court instant pour lui faire implorer de reprendre ses brutales caresses.
Puis, elle se fatigue de le torturer et les engage vers une nouvelle soif qu'elle éprouve maintenant, celle des effusions. Elle le libère parce qu'il doit être libre de ses mouvements pour mieux participer.
"Caresse-moi, mon trésor." lui dit-elle en même temps qu'elle se met à le caresser, elle aussi. Des caresses lentes accompagnés de baisers tendres, au début. Pour s’échauffer. Elle aimait les caresses de ce jeune garçon encore un peu maladroit mais qu'elle excitait avec autant de facilité et qui pouvait jouir plus de dix fois en une seule après-midi.
"Lentement pour commencer, mon petit trésor…" lui suggérait-elle. "Tu es si beau…" Elle savait qu'il était excité d'avoir été fouetté comme il l'avait été et elle-même était prête à jouir. Ces caresses étaient divines. "Fais-moi tout ce que tu veux, mon amour… Demande-moi ce que tu veux… N'aies pas peur, surtout…" Elle le fit se coucher sur le dos et vint s'asseoir sur son visage puis, se penchant, elle lui suça la queue toute bandante en lui malaxant les testicules d'une main experte. « Vas-y, mon trésor, maintenant, j’ai envie que tu me lèches. » Christophe lécha la vulve toute mouillée de foutre de Lucille. « Oh oui, comme ça, c’est bon, continue, mon trésor, continue, je t’en prie... » Elle allait bientôt jouir.
Lucille était rentrée au milieu de la nuit. Sans faire de bruit, elle se déshabillait au pied du lit. Son mari avait cessé de ronfler. L'instinct sans doute l'avait réveillé. Il contempla sa femme. Elle retirait ses sous-vêtements et le faisait très lentement depuis qu'il était réveillé. Elle avait bien changé. Elle était devenue étrangement attirante. Et insatiable aussi. Maintenant, il lui faisait souvent l'amour en écoutant ses confessions. Elle avouait qu'elle aimait séduire d'autres hommes. Elle lui racontait dans le détail ses rendez-vous amoureux. Et parfois des rendez-vous d'affaire anodins qui se transformaient en torrides rendez-vous amoureux. Cela les excitait tous les deux. Ces confessions les conduisait à un plaisir extrême.
Comme presque tous les jeudis maintenant, la mère de Lucille déposait cette dernière devant le studio que Christophe partageait avec trois autres photographes. Elle avait toujours refusé d’entrer dans cet endroit où sa fille se montrait nue et, surtout, se faisait photographier par d’autres hommes que son mari. Cependant, elle avait fini par faire encadrer une photo de sa fille qui, bien qu’elle y figurât nue, n’était pas trop indécente à ses yeux. Elle avait accepté cette consternante lubie de sa fille de vouloir poser sans vêtement pour un photographe et d’en faire une habitude.
-Je viendrai te chercher avec Audrey, à quatre heures, sois prête.
-Merci maman, à tantôt.
Lucille pénétra dans le studio où Christophe finissait de régler les éclairages.
-Tu es plus ponctuel pour me photographier déshabillée que pour te rendre au bureau.
Elle adorait le taquiner, le provoquer. Il travaillait mieux alors, lui semblait-il. Elle lui fit la bise. Elle apprécia son parfum. Il était charmant.
Elle se déshabilla et alla s’asseoir avec nonchalance sur une table. Là, regardant Christophe fixement dans les yeux, elle écarta lentement les jambes. Oui, elle le voulait. Elle ouvrit les jambes totalement, offrant au photographe le spectacle de son intimité intégralement exposée. Christophe était devenu pâle, haletant. Lucille savoura ce regard fixé sur cette vue sublime et pleine de mystère. La voix autoritaire de Lucille lui fit recouvrer quelque peu ses esprits.
« Alors, vas-y, qu'attends-tu ? »Il prit quelques photos de ce spectacle à couper le souffle.
« Déshabille-toi aussi ! » fit-elle sur un ton qui n'admettait aucune contradiction.
Il se déshabilla aussi, penaud.
« Maintenant, masturbe-toi ! » ajouta-t-elle quand il fut complètement nu.
« Quoi ? »« Tu as bien compris. Branle-toi devant moi. Tu feras de meilleures photos après. »Elle le regarda se masturber devant elle. Elle eut beau feindre une certaine froideur, ce spectacle l'échauffa et son sexe exposé au regard du jeune homme s'humecta avec évidence et sans équivoque possible. N'y tenant plus, elle se toucha le clitoris du bout de son majeur.
Le jeune homme jouit le premier. Les yeux mi-clos, elle fit d'une voix langoureuse : « Prends tes photos, maintenant, vicieux ! Et puis après, je m’occuperai de toi. Je te trouve très beau. Tu m’excites. Tu sais quoi ? J’ai envie de t’attacher et de te fouetter»
Lucille tournait lentement autour de Christophe, complètement nu, attaché ventre contre la petite table en chêne, les chevilles entravées, jambes écartées, aux pieds de la table et les poignets attachés, bras écartés et tendus au maximum, aux coins opposés de cette table. Lucille se délectait à loisir de la vue de cette position très inconfortable à laquelle Christophe était soumis. Il était beaucoup plus jeune qu'elle et elle le trouvait très beau. Elle aimait particulièrement ces moments, de plus en plus fréquents où il était soumis et à son entière disposition. Elle l'avait recruté et le protégeait dans son propre service, pour faire plaisir à un ami, au départ. Des liens équivoques s'étaient rapidement liés entre eux et avaient déclenché entre eux des éclairs de désirs sado-masochistes irrépressibles. Elle aimait toucher les parties génitales du jeune garçon, les caresser, les triturer avec plus de fermeté. Les frapper aussi de temps en temps. Elle faisait le tour de la table et décidait, de temps à autre, d'une action. Elle se dirigeait alors vers la petite commode basse dont elle ouvrait le tiroir supérieur. Là, se trouvaient alignés une série de fouets, badines et cravaches en cuir, ouvragés ou rudimentaires. Elle en choisissait un avec soin, imaginant le plaisir et la douleur que pouvait provoquer l'instrument choisi. Puis, muni de son outil, elle se remettait à déambuler autour de sa victime. "On y va avec cela, d'accord ?" "Oui, s'il te plaît…" "Bon, je vais te bander les yeux, tu auras la surprise !" Elle lui bandait les yeux, puis se remettait à déambuler. Mais à présent, elle le frappait. Elle le frappait, mais seulement de temps à autre, soit en continuant de marcher, soit en marquant un temps d’arrêt, comme pour mieux s'appliquer.
Parfois, quand elle était très excitée, elle touchait le sexe de Christophe et lui caressait les testicules. C'était d'abord un geste tendre qui devenait ensuite plus ferme. Christophe commençait à gémir. Ses gémissements excitaient Lucille qui devenait de plus en plus brutale et finissait par céder à ses pulsions les plus sadiques. Elle pinçait alors les testicules de sa jeune victime, les tordait, lui serrait le pénis de toute ses forces. Il criait alors. Elle s'arrêtait un court instant pour lui faire implorer de reprendre ses brutales caresses.
Puis, elle se fatigue de le torturer et les engage vers une nouvelle soif qu'elle éprouve maintenant, celle des effusions. Elle le libère parce qu'il doit être libre de ses mouvements pour mieux participer.
"Caresse-moi, mon trésor." lui dit-elle en même temps qu'elle se met à le caresser, elle aussi. Des caresses lentes accompagnés de baisers tendres, au début. Pour s’échauffer. Elle aimait les caresses de ce jeune garçon encore un peu maladroit mais qu'elle excitait avec autant de facilité et qui pouvait jouir plus de dix fois en une seule après-midi.
"Lentement pour commencer, mon petit trésor…" lui suggérait-elle. "Tu es si beau…" Elle savait qu'il était excité d'avoir été fouetté comme il l'avait été et elle-même était prête à jouir. Ces caresses étaient divines. "Fais-moi tout ce que tu veux, mon amour… Demande-moi ce que tu veux… N'aies pas peur, surtout…" Elle le fit se coucher sur le dos et vint s'asseoir sur son visage puis, se penchant, elle lui suça la queue toute bandante en lui malaxant les testicules d'une main experte. « Vas-y, mon trésor, maintenant, j’ai envie que tu me lèches. » Christophe lécha la vulve toute mouillée de foutre de Lucille. « Oh oui, comme ça, c’est bon, continue, mon trésor, continue, je t’en prie... » Elle allait bientôt jouir.
Lucille était rentrée au milieu de la nuit. Sans faire de bruit, elle se déshabillait au pied du lit. Son mari avait cessé de ronfler. L'instinct sans doute l'avait réveillé. Il contempla sa femme. Elle retirait ses sous-vêtements et le faisait très lentement depuis qu'il était réveillé. Elle avait bien changé. Elle était devenue étrangement attirante. Et insatiable aussi. Maintenant, il lui faisait souvent l'amour en écoutant ses confessions. Elle avouait qu'elle aimait séduire d'autres hommes. Elle lui racontait dans le détail ses rendez-vous amoureux. Et parfois des rendez-vous d'affaire anodins qui se transformaient en torrides rendez-vous amoureux. Cela les excitait tous les deux. Ces confessions les conduisait à un plaisir extrême.
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