Sainte-Nitouche et le Maître de Chorale 3

- Par l'auteur HDS Alain Dex -
Récit érotique écrit par Alain Dex [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Sainte-Nitouche et le Maître de Chorale 3 Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-11-2025 dans la catégorie Pour la première fois
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Sainte-Nitouche et le Maître de Chorale 3
Le mystère du Maître de Chorale restait entier.

Que cela reste entre nous. Lucie ignore encore que son soi-disant « cousin Guigui » n’est pas du tout de sa famille. C’est tout simplement un ancien camarade de classe de sa mère. Quand elle apprendra ça… (et le reste ! )


Elle, elle avait avoué. Elle avait tout avoué à « cousin » Guigui. Aveux obtenus par la ruse et par la menace de tortures insupportables.

La veille au soir, après bien des péripéties très immorales, ce chenapan de « cousin » lui avait proposé, avant d’aller dormir, un dernier petit divertissement coquin. Toujours très curieuse de ces découvertes que lui offrait régulièrement « cousin » Guigui et qui lui avaient, jusqu’ici, fort ouvert l’esprit, elle avait accepté, mais non sans ses quelques petites minauderies habituelles qui plaisaient tant à son cher « cousin ».

Elle était vêtue seulement, étant données de certaines péripéties récentes, d’une petite nuisette transparente et sans aucun autre sous-vêtement protecteur. Lui, était tout nu, dès le début.

Il avait préparé tout le matériel nécessaire pour exécuter la gentille petite saynète qu’il avait projeté.

« Je peux t’attacher sur le lit, mon trésor ? » avait-il quémandé de sa voix la plus suavement persuasive.
« Hummmmm… enfin… Allez, oui… » avait-elle chuchoté, visiblement troublée par cette invite qui laissait peu de doute sur les intentions équivoques de son partenaire.

Ils avaient déjà joué à « ça ». Elle trouvait ça amusant. Elle ne craignait pas qu’il la viole. Il savait qu’elle ne voulait pas faire « la chose » en aucun cas.

Elle se laissa donc attacher avec des cordes aux quatre pieds du lit. Puis, naïve jeune fille, elle attendit des caresses inédites qui la ferait monter au ciel. Elle avait juste, d’une voix tranquille, objecté que si elle avait les poignets et les chevilles attachés, elle ne pourrait pas le caresser. Mais bon, c’était juste pour dire. Elle attendait beaucoup de cette position, que Tonton lui faisait prendre pour la première fois.

Mais quand elle le vit approcher avec son plumeau…

Et qu’il approcha le plumeau de son aisselle…

Elle hurla… mais hurla ! Comme jamais Guigui ne l’avait entendue hurler… Il ne l’avait pas touchée. Mais elle se débattit comme une diablesse. Elle en déplaça le lit… et un pied cassa. C’était le lit des parents. Une catastrophe…
« ARRÊTE… PITIÉ… NON ! PAS ÇA… JE T’EN SUPPLIE… NON ! »
«  »
« Oui… oui ! Je dirai tout ! Tout ce que tu voudras… »


« Alors… avoue ! Comment sait-il cela, cet affreux libidineux Maître de Chorale ? Hein, dis un peu ! Comment il sait ça ? Que ta foufoune est comme celui de ta mère ? »

La colère de Guigui ne semblait pas feinte du tout.

« T’es jaloux, Guigui ? »

Lucie était ulcérée. Elle était accusée. Pourtant elle était sûre. Elle savait pertinemment qu’elle n’avait jamais commis d’impudicité coupable envers le Maître de Chorale.

« Tu es toujours vierge ? »
« Mais oui, idiot, bien sûr… »
« Mais comment alors le Maître de Chorale a-t-il pu voir ta foufoune ?’
« Il ne l’a pas vue ! Détache-moi. »
« Tu as dit qu’il l’avait vue, ta foufoune… »
« Non, je n’ai pas dit ça ! J’ai dit qu’il prétendait que j’avais la même que maman ! Et tu as dit la même chose ! Détache-moi, sinon… »

Guigui jeta le plumeau au loin.

« Sinon quoi ? » fit-il goguenard, mais tout en libérant Lucie.
« Sinon, je dis tout à maman. »
« Tu vas dire à maman que ce vicieux de Maître de Chorale a vu sa foufoune et qu’il a dit que tu as la même ? »
« Écoute, le Maître de Chorale n’est pas un vicieux ! C’est même tout le contraire, si tu veux le savoir… »
« Explique ! »
« Eh bien, quand j’étais à l’Institut, le cours de gymnastique se pratiquait dans la même salle que celle où répétait la chorale des jeunes. L’institut des filles leur prêtait cette salle parce qu’elle avait une très bonne acoustique, qu’ils disaient. »
« Et alors ? »
« Alors ? Ben, je ne chantais pas encore à la chorale à cette époque, j’avais suivi le cours de gym. et on avait la permission de prendre une douche, après. »
« Mais c’est bien ça, non ? »
« Oui, c’était bien. Mais cette petite peste de Brigitte est venue me trouver à poil dans ma douche, où j’étais toute nue aussi, forcément, puisque je prenais ma douche. Elle m’a piqué mes vêtements et s’est encourue avec… »
« Ah, je comprend… tu as couru derrière elle. Et elle t’a entraînée jusque là où la chorale répétait et c’est comme ça que le Maître de Chorale a vu ta foufoune… »
« Non, pas du tout ! Moi je suis restée dans ma douche… J’étais terrorisée ! Cette garce de Brigitte a couru à poil autour de la chorale, où, entre parenthèse, il y avait des garçons, et elle a jeté en riant mes vêtements à travers la salle. »
« Si je comprend bien, le Maître de Chorale et les garçons se sont bien rincé l’œil… »
« Tu es fou ! Le Maître de Chorale s’est mis à hurler et il s’est précipité à la Direction. La Direction a appelé les parents de Brigitte et elle a été renvoyée immédiatement »
« Alors, je ne comprend plus… Il n’a pas vu ta foufoune, le Maître de Chorale ? »
« Non. Mais après je me suis inscrite à la chorale. Le Maître de Chorale est un peu sévère mais très gentil… »
« Je ne comprend plus du tout, alors, pourquoi il a dit ça… »
« Je t’ai dit que ma chasuble était trop courte… Lui et moi sommes allés voir dans le local où nous nous changeons, pour essayer d’en trouver une à ma taille… Et là… collé en plein sur la porte de mon casier… »
« Quoi ? »
« Un grand autocollant avec une femme nue, les jambes écartées …et avec MA tête ! Et une grande inscription en imprimé majuscule : SAINTE-NITOUCHE !… Je te jure… »
« Un montage ? »
« Évidemment, tête de nœud ! Et c’est là que le Maître de Chorale a fait un grand signe de croix en s’écriant : Jésus, Marie …COMME TA MÈRE ! »

Lucie était outrée.
«  Comme ma mère, qu’il a dit ! Mais enfin, Tonton, comment il a pu dire ça ? Comment il aurait vu ma mère complètement à poil ? »

Elle ajouta sur un ton désabusé :
« Finalement, ce saint homme n’est qu’un infâme vicieux hypocrite, comme tous les hommes ? »

Elle réfléchit un peu. Mais… Guigui… Après tout… Il avait dit la même chose. Que ma foufoune était comme celui de ma mère. Au fond, lui aussi… Comment savait-il ça, hein ?

Tous coupables… mais elle seule accusée.


À suivre.

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
Lamentable...
Et le consentement ???



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