Madame 05 Dans la dépendance

- Par l'auteur HDS Charly Chast -
Auteur homme.
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Récit libertin : Madame 05 Dans la dépendance Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-02-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Madame 05 Dans la dépendance
Madame 05Dans la dépendance

Teddy était installé dans sa nouvelle vie, dans sa nouvelle maison, dans sa nouvelle chambre, dans ce nouveau luxe depuis presque un an, tous les jours c'était la même folie. Les rare fois ou il n'était pas réveiller par Madame qui lui tombait dessus il en profitait pour se lever très vite, s'habiller et se sauver au bureau. Il ne prenait même pas son petit déjeuner.

Il savait que Madame passerait au bureau pour voir si tout se passait bien, qu'elle voudrait s'entretenir avec lui … Mais c'était un peu de temps gagné. Il n'en pouvait plus.

Madame pouvait exiger de lui ses faveurs sexuelles jusqu'à cinq fois dans la journée. Elle savait exiger avec tellement de gentillesse, de douceur, d'insistance. On n'avait même pas l'impression qu'elle exigeait on avait l'impression qu'elle suppliait et que céder à ses exigences c'était avoir le beau, le bon rôle.

Cinq fois par jour, si au début c'est rigolo, au bout d'un certain temps, ça devient pesant …
Au bureau il entendait souvent des réflexions du genre.

– Vous n'avez pas bonne mine Monsieur Teddy. Vous devriez vous reposer.
– Vous savez Monsieur Teddy, vous n'êtes pas obligé de venir si tôt au travail …
Quelque fois il parvenait à répondre … '' Oui mais … '' … Il n'allait jamais plus loin dans sa réponse et terminait sa phrase par un gros soupir. Les réveils, les matinées, les après midi, les soirées et les nuits se déroulaient toujours au même rythme, tous les jours c'était le même rituel. Il avait l'impression que c'était devenu un rituel.

Il était allongé, à moitié mort, limite intransportable … La chaleur de la peau de Madame le maintenait en vie et la douceur des ses seins écrasés sur ses tétons lui rappelait que le cauchemar n'était pas terminé, qu'il ne prendrait pas, qu'il ne prendrait jamais fin.

– Nous ne pouvons continuer comme ça ! Déclarait-elle sur un ton désespérés.
– Bein non !
– Je t'aime beaucoup mais vraiment beaucoup tu sais …– Mais ?
– Oui mais je n'en peu plus. Ne te vexe pas surtout tu n'y es pour rien c'est de ma faute je ne peut plus te suivre tu est trop exigeant en amour enfin en sexe je veux dire tu es trop demandeur et je ne peux plus te suivre j'ai des irritations partout sur la vulve c'est pas une maladie c'est trop c'est tout c'est tout simplement trop j'ai du mal à marcher maintenant le matin je t'aime terriblement plus que tout mais là il va falloir mettre fin a cette relation ne te fais aucun reproche tu es fait ainsi et je suis sûre que tu rencontreras quelqu'un qui saura t'aimer comme tu le mérites …
Sa voix ne marquait aucune pause, elle parlait sur un ton continu et monotone.

'' Je suis trop demandeur '' se répétait dans sa tête le pauvre Teddy. Mais il était trop fatigué pour réagir. Il voulait dormir, au moins pendent dix jours d'affilé, il voulait dormir seul sans que personne ne le touche. Il venait de jouir et se demandait comment il tiendrait ne serait-ce qu'une journée de plus.

– Oui mais tu sais …– Tu es tellement mignon personne ne peut te résister c'est comme au bureau tout les jours c'est trop jeudi dernier nous avons fait l'amour six fois tu es une force de la nature un dieu de l'amour oh non ne vas pas t'imaginer que je compte mais j'ai des limites je n'en peux plus je ne veux plus que personne ne me touche pendant des mois je me ferai none tu m'a comblé tant de fois je t'aime mais …– On pourrait peut être se calmer un peu ! Juste un petit peu. Dis tu en penses quoi ?
– Ce ne serait pas possible, comment pourrait-on résister à ta beauté à tes charmes à tous tes avantages ?

Elle disait cela en lui caressant la queue. Il bandait mou, il avait une grosse molle qui ne voulait plus durcir.

– Bein oui je comprends bien, c'est ma faute mais que veux tu que je fasse, tout ce que tu voudras.

Elle se redressait alors vigoureusement.

– Il y a une solution !
– J’adhère ! Lui répondait-il sur un ton fatigué.
– Tu ferais un tel effort ? Je ne me sens pas le courage de te l'imposer.

Là il avait peur d'un coup.

– Heu ! On ne parle pas de mutilation là ?
– Oh non ce serait monstrueusement criminel. Non je pensais juste à ça !

Elle déposait alors sur son ventre un dispositif de chasteté modèle PK Sécure, grande taille … Il regardait le truc sans comprendre, en louchant sans relever la tête.

– C'est quoi ?

Elle allumait la télévision qui sortait de son meuble au pied du lit et lançait la vidéo explicative …
– Tu me diras quand tu seras prêt !

Elle le laissait alors seul dans son lit.

Il était tellement fatigué le pauvre que son corps ne réagissait pas pendant qu'il regardait le documentaire. Il a failli s'endormir mais brusquement il réagissait. Dans sa tête il se disait que s'il voulait vraiment pouvoir dormir tranquille, c'était une solution comme une autre. Il fallait vraiment qu'il soit épuisé ...

Il passait alors ses testicules dans l'anneau, sans aucune conviction je précise, et si certains commencent à bander quand ils arrivent à ce niveau de la situation, ce n'était pas son cas. Ces dernière vingt quatre heures il avait fait l'amour à Madame et l'avait satisfaite à cinq reprises, six même peut être il ne savait plus, elle avait une sacrée santé la petite !

Lui ne réagissait plus, l'anneau était bien installé à la base de son sexe. Il glissait alors sa queue dans la cage, son cœur ne battait même pas plus vite que d'habitude. Il verrouillait alors la cage, le cadenas était inclus, un clic lui confirmait que tout était OK. Comme l'expliquait le documentaire.

Un instant il fermait les yeux et ne les ouvrait que le lendemain, il faisait jour. On l'avait laissé dormir. Il ne se souvenait plus de la fin de la soirée mais tout lui revenait quand il voulait se gratter les couilles. Là il se demandait s'il avait bien fait. Puis il se disait que quelques jours de repos n'avaient jamais fait de mal à personne. Ces dispositifs étaient connus, même s'il n'avait jamais songé à en porter un, il en avait entendu parler.

Il passait sous la douche et sentait l'érection matinale se manifester. Ce n'était pas si désagréable de sentir les barreaux de cette cage qui étranglaient sa queue avec une certaine douceur.

– Au moins elle ne me sautera pas dessus ! Se disait-il !

Puis il réagissait …
– Oui mais c'est elle qui a la clé, je ne l'ai pas !

Pour la première fois depuis des mois il n'avait pas à s'inquiéter de savoir s'il pourrait bander ou pas, si Madame ne le retiendrait pas pendant une heure ou plus. Quelquefois elle faisait durer. Il avait la tête vide, les couilles aussi et la queue au repos. Enfin soyons claire, quand je dis au repos, il bandait bien un peu et il sentait bien la cage mais il savait qu'il serait sage et c'est de ça qu'il avait envie pour le moment.

Un employé de maison lui préparait un petit déjeuner copieux. Il était tard mais ce n'était pas bien grave, personne ne lui ferait le moindre reproche. Madame était sortie. Il prenait sa voiture et se rendait au bureau. Là non plus personne ne lui faisait le moindre reproche, pas même un commentaire. Il venait travailler à onze heures du matin mais c'était normal. C'est vrai qu'il était directeur du service.

Madame n'est pas passée ce jour là. Elle lui a téléphoné pour s'assurer que tout allait bien.

Il était tellement repus de sexe, tellement gavé depuis des mois que cette petite pause lui convenait très bien finalement. Il ne pourrait même pas se masturber mais prenait l'idée très sereinement. Il était tellement gavé de sexe que la pression constante, forte et douce sur sa queue le satisfaisait déjà pleinement … pour le moment.

Le reste de la journée se passait normalement, je dirais même paisiblement. Madame partait en voyage pour quelques jours.

Le soir de retour à la maison, Jonaz l'informait qu'il avait transféré toutes ses affaires dans la dépendance juste à côté. Une très jolie maison, très chic à quelques centaines de mètres de la maison principale.

– Je n'ai pas reçu de consignes pour les repas aussi je suppose que vous les prendrez là bas également à partir de demain. Lui Expliquait Jonaz. Vous verrez vous serez très bien, il y a même une autre piscine, c'est vraiment très confortable … Madame sait prendre soin des gens qu'elle aime.

Ce n'était pas la première fois que ça lui arrivait depuis le début de cette histoire mais une fois de plus Teddy ne comprenait plus rien. Il prenait sa voiture, c'était pas pour faire la route c'était pour l'avoir sous la main le lendemain matin.

Devant la maison il y avait un parking, une voiture décapotable magnifique blanche qui trônait au milieu du parking et un peu plus loin, il y avait aussi deux voitures de luxe. Il entrait la maison correspondait à la description, une grande salle de séjour, un escalier au premier étage il trouvait facilement sa chambre, son nom était inscrit sur la porte. L'endroit était loin d'être aussi luxueux que sa chambre initiale, plus petite elle restait tout à fait spacieuse, mais pour ce qui du confort elle n'avait rien à envier à la première.

Teddy était épuisé, il s'est effondré dans son lit et s'est endormi tout de suite. Le lendemain il était reposé, sa queue manifestait et c'est ce qui le réveillait. Il prenait sa douche, s'habillait et descendait il y avait une salle à manger et déjà plusieurs personnes s'y retrouvaient.

– Jonaz ? Vous êtes là vous aussi ?
– Vous verrez Teddy, on est très bien ici.
– Salut toi ! Lui lançait un homme jeune et très beau.

Il portait un juste au corps très fin qui moulait les formes de ses muscles pour ne pas dire ' qui exhibait les formes de ses muscles '. Teddy faisait la comparaison avec lui dans sa tête. Le petit déjeuner était prêt, il y avait deux autres hommes très beaux eux aussi et avec un musculature parfaite. Ils travaillaient tous les deux comme personnel de maison. Teddy connaissait aussi les deux derniers, ils les avait souvent vu. Heureusement pour lui il avait toujours été très courtois et très sympa avec eux, sinon comme ils semblaient maintenant être à égalité au niveau hiérarchie ils auraient peut être eu envie de se venger ...

– Alors … Tu vas vivre avec nous. Tu as déjà décidé du temps que tu vas vivre ici ?
– Je … Je sais pas je viens juste d'arriver …– Teddy n'a pas encore été briefé. Déclarait un des serviteur que Teddy connaissait.

Teddy regardait ses nouveaux camarades sans trop comprendre. Il cherchait une réponse en regardant les deux employés qui rigolaient. Jonaz était parti lui.

– Bon on va t'affranchir reprenait un des employé. Tu me connais moi c'est John, mon camarade que tu connais aussi c'est Rufus.

Teddy acquiesçait, il les connaissait en effet mais le ton avait changé, là maintenant on l'appelait pas son prénom et on lui disait ' TU ' mais ça ne le dérangeait pas vraiment, c'était plutôt le contraire qui l'embarrassait. John continuait.

– Et notre jardinier en chef Rémi .
– Salut Rémi ! Rajoutait Teddy.
– Donc je te demandais si tu avait décidé de rester longtemps ici. Rajoutait Rémi– Je ne sais pas. Répétait Teddy visiblement sans comprendre.
– Tu supportes bien ton dispositif de chasteté ? Demandait Rufus.

Teddy regardait ses camarades l'air inquiet et surtout sans comprendre.

– Il faut lui montrer. Continuait Rufus.

Les trois hommes baissaient alors leurs pantalons et Teddy ouvrait de grands yeux. Ses trois camarades portaient eux aussi un dispositif comme le sien.

– Sacha ne t'a rien dit . Demandait John.

Teddy faisait non de la tête.

– Elle fait le cas à tout le monde, elle abuse je trouve. Moi non plus, elle ne m'avait rien dit. Rajoutais Rufus.
– Et bien la règle est simple. Continuait John. Madame ne te libérera jamais, elle va te garder à son service aussi longtemps que tu le désireras, tu bénéficieras de ton salaire, du logement luxueux, de la voiture de service et de quelques cadeaux de temps en temps. Mais elle ne te donnera pas la clé tant que tu seras à son service.

John faisait une pause et affichait un sourire taquin. Rémi reprenait.

– Elle te donnera la clé quand tu lui remettras ta démission tu perdras alors ton salaire, la voiture de fonction et le logement. Tu garderas bien sûr les cadeaux que tu auras reçu et comme il convient, tout ce que tu auras gagné …
Les trois colocataires de Teddy, c'était désormais ses colocataires, regardaient Teddy avec un regard rieur. Teddy ne comprenait pas vraiment ce qui lui arrivait …
FIN ( probable )
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