Manon, nouvelle mariée (2ème partie) - histoire érotique

Le personnel de l'hôtel n'a pas lésiné sur les moyens pour la nuit de noces des nouveaux mariés. Le décor est magnifique. C'est magique. L'éclairage de la suite est tamisé. Des bougies sont allumées. De l'encens brûle et parfume l'espace. Les mariés n'en croivent pas leurs yeux et sont épatés, en pénétrant dans la chambre après le repas de noces.

Un plateau est placé sur le bureau qui se trouve à l'écran plat dernière génération de la télévision. Dessus, il y a un seau dans lequel se trouvent des glaçons ainsi qu'une bouteille de champagne. Sur le plateau, il y a aussi deux flûtes à champagne. Une boîte de chocolats est mise à la disposition des amoureux, certainement gourmands. Les yeux d'Alexandre comme ceux de Manon se baladent de part et d'autre de la chambre. Les amoureux n'en perdent pas une miette. Et que dire du lit, alors? Un lit à baldaquin est le centre névralgique de la chambre car il est imposant. Il est impeccablement fait. De beaux draps d'un blanc immaculé, un matelas qui a l'air confortable, des oreillers à première vue moelleux. Mais ce qui saute aux yeux des tourtereaux, ce sont les pétales de roses rouges qui y sont éparpillés. C'est romantique. C'est beau. Manon ne peut rien fait pour contenir son émotion. Elle est la femme la plus heureuse du monde.
Elle saute sur son mari et elle va se pendre à son cou. Elle laisse exploser l'amour, la passion et le désir qu'elle a pour son homme. Leur nuit de noces ne fait que commencer...



Manon est une perle. Alexandre a voulu lui réserver cette surprise. Il a voulu que son épouse soit la princesse d'un soir, la princesse d'une nuit. Force est de constater que l'hôtel a écouté sa demande et a bien prêté attention à sa requête. Il est ébahi, lui aussi, Alexandre. Il est un enfant qui ouvre ses cadeaux à Noël. C'est trop beau. C'est romantique. C'est magique. C'est parfait. Rien n'est trop beau pour Manon. Alexandre tient à elle comme à la prunelle de ses yeux. Qui plus est, elle est particulièrement belle dans sa robe de mariée. Les coiffeuses qui se sont occupées d'elle avant la cérémonie ont fait des merveilles. Même si Manon a d'habitude soit les cheveux lâchés qui lui arrivent aux épaules ou soit attachés en queue de cheval, le nouveau marié trouve que ce chignon tressé lui va bien. Une pensée lui traverse l'esprit. Et s'il lui demandait qu'elle soit coiffée ainsi, un petit peu plus, de temps en temps ? En temps voulu, il le lui demandera. Ce qui compte, là, c'est qu'ils consomment leur mariage. Le charme de la chambre est propice au rapprochement charnel de leurs corps ainsi qu'à l'alliance spirituelle de leurs âmes. Habillée et coiffée comme elle l'est, Manon plaît à son mari. Elle le fait bander. Alexandre a, lui, envie de sa femme.



De toutes les femmes sur Terre, Manon est la plus belle. Alexandre est ému. Non seulement sa femme est jolie, mais c'est quelqu'un d'intelligent et qui a son caractère. Que de temps passé à lui plaire, à la séduire, à la conquérir... Aujourd'hui, c'est un jour à marquer d'une pierre blanche. La robe de Manon... Les bas qu'elle porte... Tout est d'un blanc immaculé. Limite, c'est un blanc à connotation virginale. Mais voilà... Alexandre est et restera Alexandre, quelque part. Ils sont dans leur chambre d'hôtel et à présent, c'est leur nuit de noces qui commence. Il brûle d'envie de consommer leur mariage, avec Manon. De plus, elle n'est plus blanche comme neige. Elle n'est plus un ange. Elle n'est plus lisse. Elle n'est plus innocente. Depuis qu'ils ont commencé à se fréquenter véritablement, Alexandre s'est confié comme mission de dévergonder la jeune femme. En écoutant Manon, en prenant en compte ses envies et ses fantasmes mais aussi et surtout ses limites, ça a été petite touche par petite touche qu'il a métamorphosé sa désormais épouse. Dans la vie privée, Manon est devenue gourmande, insatiable. La maîtresse, la bombe sexuelle d'Alexandre.
Manon est belle. C'est une princesse. Manon sent bon. C'est une déesse. Voilà. Alexandre sent que son érection durcit, grossit dans son pantalon de costume.



Les mains d'Alexandre sont posées sur la robe de mariée de Manon. Or contact avec le tissu est agréable. Le nouveau marié aime cette sensation et ses mains parcourent le corps de son épouse. Il ne s'en lasser pas. Ses mains passent et repassent sur Manon, se déplacent sur elle. Ce qu'il se passe entre les tourtereaux, c'est comme si le temps s'était arrêté. Il n'y a que leur amour qui compte. Manon est ravissante. Manon est irrésistible. Alexandre est précautionneux. Oui, il a envie de son épouse. Et oui, aussi, il brûle d'envie de faire l'amour avec elle. Mais aujourd'hui, c'est un jour particulier parce qu'il est unique. Ce n'était pas hier qu'ils se sont dit oui et ce ne sera pas demain qu'ils se diront oui. Les amoureux prennent leur temps. Les baisers et les caresses qu'ils échangent font monter la température, petite touche par petite touche et c'est ainsi qu'ils aiguisent leur sensualité. C'est ainsi que de longues minutes s'écoulent sans qu'il ne se passe quelque chose d'autre.
Les baisers s'enchaînent et ils sont langoureux. Seul l'amour est important. Le désir, aussi, désormais, à l'instant-t. Les amoureux prennent du plaisir à s'embrasser. Pas un mot n'est prononcé. Alexandre a de plus en plus les mains curieuses. Baladeuses. C'est de plus en plus dur pour lui de réprimer l'envie qu'il a pour Manon. La tendresse finit par ne faire plus qu'un avec la passion. Les mains sont plus gourmandes. Manon les sent sur elles, ces deux mains. Elles la pelotent. Son corps est un objet du désir. Son corps excite. Son corps est une source de plaisir...



Les nouveaux mariés font abstraction de tout, en particulier du monde qui les entoure. La bienséance n'existe plus, maintenant qu'ils ne sont plus que tous les deux, dans cette suite nuptiale. Consommer leur mariage leur confère une sorte de seconde virginité. Le couple s'embrasse et se touche avec un peu plus d'ardeur. Alexandre penche la tête et l'abaisse de sorte qu'il puisse atteindre le cou de sa belle. Ce n'est pas un secret pour lui que Manon a le cou sensible et que ça lui fait de l'effet s'il lui dépose des baisers à cet endroit. L'homme en profite pour remuer du bassin afin de faire comprendre à son épouse qu'il bande.
Manon est émoustillée. Elle halète. Plus Alexandre l'embrasse dans le cou, plus elle se tortille. Plus elle se tortille, moins les mouvements de son corps sont maîtrisés. De plus, elle sent que son mari se frotte contre elle. Ainsi, il lui fait sentir à quel point il est excité... et surtout à quel point il a envie d'elle. Manon reste pendue au cou d'Alexandre, comme si elle s'accrochait à un radeau de survie. La soirée... Que dire... La nuit de noces ne fait que commencer et la jeune mariée est déjà sans dessus dessous. Les mariés s'aiment et se désirent. En ce qui concerne l'homme, il laisse ses mains peloter le corps de sa jolie femme un peu plus allègrement. Il aime la sensation de velours de la robe qu'elle a choisi de porter pour ce jour spécial, quand il passe et déplace ses doigts dessus. Elle épouse à merveille les formes et les courbes de Manon, cette robe.



Manon n'est pas dupe. Elle ne sent que trop bien l'érection d'Alexandre, entre eux. Cette érection... Elle est enfermée et même si elle s'épanouit au fil des minutes qui passent, ça l'empêche d'être pleinement en verve. Manon se dit qu'il faut qu'elle fasse quelque chose. Ça l'excite, de sentir que son homme est dur alors qu'ils s'embrassent et que leurs sexes se frottent l'un contre l'autre, désormais. Mais voilà. Alexandre la prend au court et dégoupille le premier. Sa bouche encore et toujours dans le cou de sa femme, ses mains n'en restent pas moins inactives et tirent sur la robe afin de mettre Manon à nu.




Alexandre prend son temps et fait en sorte que chaque geste qu'il fait soit doux, délicat. Certes, ça ne va pas être la première fois que Manon va apparaître nue sous ses yeux. Mais ce soir, c'est particulier et c'est unique. Voilà pourquoi il prend son temps, quitte à faire languir Manon. 
Manon, elle, n'est pas non plus en reste. Ses mains s'accordent avec celles de son époux. Elles parcourent le corps d'Alexandre, encore vêtu. Et en effet, Manon se languit. Au plus profond d'elle, elle brûle d'envie de passer à la vitesse supérieure. Elle se rassure : ce n'est que partie remise.
La robe de mariée de Manon étant bustier, ça rend plus... facile à Alexandre la... tâche de la retirer à son épouse. Lentement, doucement, Alexandre fait glisser le tissu afin qu'il descende que ça mette la peau de Manon à nu. Crescendo...


Là. Plus la descente de la robe progresse petit à petit, plus la peau de Manon se révèle. C'est long, comme progression. Mais voilà. Alexandre se délecte du moindre millimètre carré de peau dénudé comme du moindre détail qui s'offre à ses yeux. Alexandre est attentif à la moindre réaction que Manon peut avoir. Il est à l'affût du moindre tremblement comme du moindre changement de rythme lorsqu'elle respire. Dans le même temps, il sent les mains de son épouse sur lui. Elle, non plus, elle ne se fait pas prier pour exprimer le désir qu'elle a.