Manu, le mari exhibitionniste et candauliste d'Alice. - histoire érotique

J'ai demandé à Sofie34fr, dont les récits m'ont tellement excité, de mettre nos aventures sur papier.
Nous sommes un couple marié depuis 21 ans. Nous vivons dans le midi, pas très loin de Sofie justement, à Nîmes pour être précis. Nous avons deux enfants.
Alice est une très jolie fille, petite (1m59) et fine, blonde avec de jolis petits seins bien ronds, un beau petit cul et… des petits pieds magnifiques. Elle a un corps intégralement épilé avec un superbe grain de peau. Je l'aime encore davantage qu'au premier jour.
Moi, Manu, je mesure 1m87, plutôt sportif, j'ai des cheveux courts un peu grisonnants.

Nous sommes naturistes et nous aimons aller à la plage de l’Espiguette. C’est une plage naturiste protégée. C'est pour moi la plus belle plage de la Méditerranée !

Au niveau sexuel, je suis assez open. Si je ne suis pas spécialement pudique, Alice, c'est le contraire. Elle est réservée et pudique, même si elle aime beaucoup le sexe ! Elle est plutôt soumise qu’entreprenante. Elle aime se laisser diriger. Lorsque nous faisons l'amour, elle est excitée par les fessées que je peux lui donner. Elle adore les mots crus. C'est une soumise non assumée. Je la vois avec beaucoup de potentiel mais, comme beaucoup de femmes, son éducation l'empêche de s'exprimer et de se libérer pour assumer.

Petit à petit, je l'amène à s'exhiber davantage sur la plage, à accepter mes caresses et, un jour, jusqu'à jouir sous mes doigts. Cette fois-là, j'étais tellement excité de la voir jouir, alors qu'il y avait un homme près de nous en train de se masturber, que j'ai éjaculé naturellement. J'avais joui comme un gamin !!!!!

Ces exhibitions se sont renouvelées à mon plus grand plaisir. Je me rappelle, une fois, Alice s'est laissée aller et s'est masturbée face à un homme qui se branlait devant elle. Quand elle a jouit, l'homme a éjaculé. Ses jets on atterri sur ma femme et sur moi. L'homme est rapidement parti. Alors, j'ai trempé mon doigt dans sa crème et l'ai donné à lécher à Alice qui avait les yeux fermés avant de l'embrasser. Nous avons ainsi consacré notre première expérience avec un autre homme.

Voyant le potentiel d'Alice se confirmer, je me mis en quête un d'un nouveau défi. Ma femme adore les caresses, et surtout les massages. C'est pourquoi j'ai organisé une séance particulière de massage avec un homme que j'avais trouvé sur internet. Je l'avais averti du contexte et des points sensibles de mon épouse, notamment ses pieds.
J'ai réservé une chambre d'hôtel 4 étoiles et nous avons convenu d'un rendez-vous. Ma femme avait accepté sous conditions. Elle garderait ses sous-vêtements, et ne les enlèverait que si elle se sentait suffisamment à l'aise. L'expérience s'arrêterait immédiatement si elle le décidait. Il n'y aurait rien d'autre….
J'étais tellement excité à l'idée qu'un homme caresse ma femme devant moi que j'étais prêt à tout accepter.

Arrivés à l'hôtel nous montâmes à la chambre. Alice était tendue. Moi aussi, mais pas pour les mêmes raisons.
J'ouvris le lit et enlevais les couvertures pour que ma femme puisse s'installer. Elle se déshabilla. Je lui mis un bandeau sur les yeux pour qu'elle soit moins stressée et qu'elle concentre ses sens sur les mains du masseur afin d'accroitre les effets ressentis. Je la positionnais sur le lit. Elle était allongée sur le ventre, ses pieds orientés vers la porte. J'écartais ses jambes. Je mis une musique adaptée à la situation et allumais quelques bougies. Je profitais que mon épouse ait les yeux bandés pour installer une petite caméra et préparer mon appareil photo. Je me déshabillais également pour rester en boxer.

Un SMS m'annonça qu'il était à la réception. Je lui donnai le numéro de la chambre et j'entrouvris la porte.

En attendant son arrivée, je me suis lové contre Alice pour lui dire des mots tendres et pour l'embrasser afin de la rassurer.

Quand la porte s'ouvrit et que je vis apparaitre cet inconnu, je sentis que mon niveau d'excitation augmentait. Alice me serra les doigts. Les premières minutes étaient les plus délicates. Je n'osais plus respirer. La tension et l'excitation étaient palpables dans la chambre.

- Bonjour. Je m'appelle Marc. Je suis venu pour vous masser Alice. Votre mari, Manu, m'a tout expliqué. Rien n'est obligé. Vous arrêtez quand vous voulez. Je suis là pour vous donner du plaisir sans prise de tête. Laissez-vous aller.

Il se déshabilla pour rester en caleçon et sortit l'huile de massage de sa sacoche. Sa voix était douce. Il continua à parler.
- Je vais chauffer un peu l'huile afin qu'elle soit à la bonne température. Je demanderai à Manu de commencer, et progressivement, mes mains rejoindront les siennes pour vous donner le maximum de plaisir.
- Alice, vous êtes d'accord ?
Un petit "oui" sortit de la bouche d'Alice…
- Excusez-moi Alice, je n'ai pas bien entendu. Pouvez-vous dire clairement "oui Marc" ?
Alice s'exécuta.
- Oui Marc.

Marc me fit un clin d'œil. C'était bien parti.
- Alice, nous devons attendre encore une à deux minutes que l'huile soit à la bonne température.
- Tout va bien ?
Un petit "oui" sortit de la bouche d'Alice…
- Excusez-moi Alice, je n'ai pas bien entendu. Pouvez-vous dire clairement "oui Marc" ?
Alice s'exécuta.
- Oui Marc.
- Bien, bien. C'est excellent.
- Bon, l'huile semble prête. Manu, je vous laisse commencer.

J'étais tétanisé. Je me sentais gauche devant la situation et l'assurance de Marc. Je ne pouvais détacher mes yeux de la bosse qui déformait son caleçon. Je suis plutôt bien monté, mais Marc était un cran au-dessus. Voyant mon regard appuyé, ce dernier me fit un large sourire.

Connaissant les points faibles de mon Alice, je commençais à lui masser les mollets, puis les pieds. Délicatement, je caressais individuellement chaque orteil. Je la sentis enfin se détendre. Elle se mit à ronronner comme une chatte.

C'est alors que Marc entra dans la danse. Alice sursauta au contact de ces mains inconnues, puis sous ses caresses, je la vis se détendre et reprendre ses ronronnements.

Quelle excitation pour moi de voir les mains d'un autre homme caresser ma femme devant moi. Je bandais fort. Et, je n'étais pas le seul. Je voyais bien que le corps d'Alice ne laissait pas indifférent notre masseur.

Pour l'instant, sur mes recommandations, il se focalisait sur ses pieds et, tout particulièrement, ses orteils. Il les étirait, l'un après l'autre et passait ses doigts entre orteil. Alice se laissait aller. Son corps se détendait. Marc approcha ses orteils de sa bouche. Délicatement, il lécha chaque orteil, l'un après l'autre, puis entre eux. Ma femme lâchait des "hummmm, encore, oui…..". Elle écarta des cuisses et je la vis descendre une main pour écarter sa culotte et se caresser. Marc aussi avait vu le geste d'Alice et me fit un clin d'œil. Je me déplaçais pour venir du côté de la tête de mon épouse et entreprit de lui masser la tête, puis le dos. Je la voyais baver de plaisir. Je m'approchais de son oreille et lui murmurais "Est-ce que je peux maintenant dégrafer ton soutien-gorge ?". Elle me répondit "oui" sans hésiter. Je repris un peu d'huile et me mis à masser délicatement son dos tandis que je voyais Marc remonter ses mains le long des jambes d'Alice. Elle semblait aux anges. Ses doigts s'activaient toujours sur son clitoris. Quand notre invité remonta au niveau des cuisses, je vis ma belle les écarter encore davantage, et cambrer ses reins, comme une invitation à continuer son exploration. Ses mains remontèrent jusqu'à ses fesses qu'il malaxa délicatement, puis plus fermement. J'étais terriblement excité. Ma queue dépassait de mon boxer. Je ne pus me retenir et l'enlevais prestement. Marc me regarda et je lui fis signe d'en faire autant. Putain quelle braquemart il avait.

Je proposais alors à Alice de se retourner. Elle se retourna. Son bandeau toujours sur les yeux. Je lui retirai délicatement son soutien-gorge. Après avoir remis de l'huile sur nos mains, Marc et moi nous nous plaçâmes de part et d'autre de mon épouse et nous reprîmes notre massage à quatre mains. Mon épouse s'abandonna totalement. Ses mains allongées sur son côté, effleuraient nos cuisses. C'était son premier contact avec Marc. Nous nous concentrâmes sur son ventre, ses jambes, ses pieds et négligions volontairement ses seins et sa vulve. Nous nous rapprochions de ses points sensibles, mais sans les toucher. Alice se mordillait les lèvres. À nouveau, elle lâchait des "hummmm, encore, oui…..". Chaque fois que nous nous approchions de ses seins ou de sa vulve, je la voyais se tortiller comme pour nous offrir ses trésors. Enfin, j'aperçus ses doigts, ses mains bouger, comme pour caresser nos cuisses.

Je m'approchais de ma belle et lui murmura à l'oreille. "Mon amour, veux-tu que nous continuions ?". Mon mouvement eut pour effet de placer ma queue sur sa main. Je la vis se raidir, surprise. Marc s'approcha également et lui dit
- "Alice, voulez-vous que nous continuions ?".
Un petit "oui" sortit de sa bouche …
- Excusez-moi Alice, je n'ai pas bien entendu. Pouvez-vous dire clairement "oui Marc" ?
Alice s'exécuta.
- Oui Marc.
- Bien Alice. Votre corps est magnifique. Votre grain de peau est superbe et délicat. C'est un plaisir de vous masser.
- Alice, avez-vous envie que j'enlève votre culotte ?
Je sentis Alice hésiter. Elle ne répondit pas de suite.
Alice, votre silence signifie-t-il que vous souhaitiez vous arrêter là, maintenant ?
Alice, à nouveau, hésita à répondre.
Un petit "non" sortit de sa bouche …
Ah que j'étais content de ce moment-là. Un moment rêvé, attendu depuis si longtemps.
- Excusez-moi Alice, je n'ai pas bien entendu. Pouvez-vous dire clairement "non Marc, je n'ai pas envie que vous vous arrêtiez là" ?
Alice s'exécuta.
- Non Marc, je n'ai pas envie que vous vous arrêtiez là.
- Alors, je renouvelle ma question : Alice, avez-vous envie que j'enlève votre culotte ?
Un petit "oui" sortit de sa bouche …
- Excusez-moi Alice, je n'ai pas bien entendu. Pouvez-vous dire clairement "Marc, j'ai envie que vous m'enleviez ma culotte".
Alice s'exécuta.
- Marc, j'ai envie que vous m'enleviez ma culotte…

Marc me regarda avec un large sourire. Alice lâchait prise. Marc se leva. Il attrapa l'élastique de la culotte de ma femme et je vis pour la première fois un homme qui enlevait la culotte de ma femme devant moi. J'étais aux anges.

Le sexe glabre d'Alice sautait à nos yeux comme une friandise prête à être consommée.
- Hummm Alice, vous êtes magnifique. J'envie votre mari.

Après avoir repris un peu d'huile, Marc et moi reprîmes notre massage. Nous continuions à jouer avec l'impatience de ma belle. Nos mains, nos doigts tournaient toujours autour de ses points sensibles. Alice se passait la langue sur les lèvres, son bassin ondulait légèrement, se tendant à chaque passage pour tenter de mettre en contact son clitoris avec un de nos doigts. Son buste se cambrait pour offrir ses tétons à nos caresses….

Marc et moi étions terriblement excités. La queue de notre invité était gonflée. Ses dimensions m'impressionnaient. Alors que nous nous approchions encore une fois du clitoris de ma femme, je vis que la queue de Marc entrait en contact avec la main d'Alice. Avec une excitation au maximum, mon épouse ne put résister à la tentation de pratiquer une caresse appuyée sur la bite de son masseur.

C'est le moment que nous choisîmes pour prendre en mains les tétons de ma femme. Les bouts étaient durs. Très rapidement nos caresses expertes provoquèrent une montée du plaisir d'Alice qui se crispa et jouit d'un cri puissant. Je vis qu'elle avait pris à pleine main la queue de Marc. J'en profitais pour approcher la mienne de son autre main. Marc et moi bougions nos sexes lentement pour nous masturber dans la main d'Alice qui répondit activement en jouant avec nos queues.

Forts de cette avancée, nous nous occupâmes enfin de la vulve et du clitoris d'Alice. Nos doigts se croisaient autour de son bouton gonflé et pénétraient sa vulve détrempée. Je ne sais combien de doigts nous arrivions à y glisser. Alice ondulait. Tout son corps était endiablé. Elle maltraitait nos queues avec ses mains. Elle perdait le contrôle. Elle criait son plaisir comme je ne l'avais jamais entendue, "hummmm, encore, oui, plus fort, encore, encore…".

Marc, sûr de lui, accentua son emprise sur Alice.
- Alice, voulez-vous que je vous fasse jouir, maintenant ?
- Ouiiiiii.
- Je suis fier de vous Alice, vous progressez. Je constate que vous lâchez prise et que vous débordez de désir et d'envie de jouissance. Dites-moi clairement "Marc, je veux que vous me fassiez jouir maintenant".
J'étais tétanisé. Je pris peur que Marc aille trop loi, trop vite. J'étais bien naïf… J'entendais Alice lui répondre sans hésiter.
- Oui Marc, je veux que vous me fassiez jouir maintenant.
- Avec grand plaisir ma belle Alice. Je vais vous demander de vous occuper de ma queue afin de m'encourager à vous faire jouir comme jamais votre mari ne vous a fait jouir.
Je restais stupéfait par la remarque de Marc. Comment osait-il ? Mais je ne pouvais réagir, j'étais ensorcelé par son autorité naturelle.
- Alice, avez-vous envie de ma grosse queue ?
Un petit "oui" sortit de sa bouche …
- Alice !!!! Vous pouvez mieux faire. Dites-moi clairement "Marc, j'ai envie de votre grosse queue".
- Oui marc, j'ai envie de votre grosse queue.
- Je suis si fier de vous Alice. Vous n'allez pas le regretter.

Marc repris les caresses sur les points sensibles de ma femme. Je me sentais exclu, jaloux, mais je bandais comme un âne. Je laissais notre invité prendre ma femme en main. Je devenais voyeur. Je vérifiais que mon appareil photo continuait bien de filmer, puis à l'aide de mon téléphone, je commençais à prendre des photos.

Alice était soumise à Marc et à ses mains. Son corps n'était qu'un sexe. Marc avait une main qui titillait adroitement un téton tandis que l'autre malaxait le clitoris. Ma femme gémissait. Son corps exultait. Sa tête allait de droite à gauche. Son plaisir montait, montait. Marc avait raison, je devais le constater. Je n'avais jamais vu mon épouse prendre autant de plaisir. Elle émettait des "Oui Marc, encore… encore. C'est trop bon…" Marc ravi de la tournure que prenaient les choses se déplaça pour positionner sa queue près du visage de mon épouse. Lorsque celle-ci la sentit si proche, elle se figea. Marc arrêta ses caresses. Alice ne souhaitant manifestement pas que cela s'arrête, je la vis approcher doucement sa bouche du gland de la queue de notre ami, puis elle commença à la gober et à la lécher…
Je pris mon appareil photo afin de filmer au plus près la bouche gourmande d'Alice, suçant, léchant et avalant la grosse queue de son amant.

Marc reprit ses caresses en les appuyant davantage. Ses doigts fouillaient maintenant le sexe de mon épouse qui cambrait son bassin. Son pouce s'occupait de son clitoris. Alice perdait pied. Ses gémissements étaient étouffés par la queue de Marc qui remplissait sa bouche. Me voyant tout près avec mon appareil photo Marc sortit la queue de la bouche de mon épouse pour la diriger vers moi.
- A toi, maintenant. Suce !!!
J'étais scotché : son tutoiement, sa demande qui ne laissait pas de place au refus. Je restais figé devant le gland humide de la bave d'Alice… D'un geste, il insista. Son autorité naturelle fit tomber mes barrières et je m'exécutais. C'était la première fois de ma vie que je suçais un mec. Que dira Alice de ma soumission ? Marc me l'enfonça plus loin encore. Elle était énorme et je me vis y prendre du plaisir. Je la suçais, la léchais comme j'avais pu voir faire les femmes dans les vidéos pornos. Je m'appliquais.

En s'adressant à ma femme, Marc, tutoyant Alice à son tour, dit :
- Tu sais Alice, il n'y a pas que toi qui aime ma queue. Ton mari semble aussi la trouver à son goût…
Je vois ma femme qui reste bouche bée…
Me retirant la queue de la bouche, il la remet dans celle de mon épouse.
- Manu suce bien. Il s'applique, mais manque peut-être un peu d'entrainement. Je préfère ta bouche…
Alice reprend la queue de marc avec application et délectation.

Marc reprend plus vivement ses caresses appuyées. Je vois Alice hoqueter, la bouche plaine. Elle gémit, se tend, et puis pousse un grand cri "Ouiiiiiiiiiiii. Encore, encore..." Sa jouissance est incroyable. Oui, effectivement, ce salaud de Marc avait bien raison. Je ne l'avais jamais vu jouir autant. Et Marc continuait. J'ai vraiment cru qu'il allait la tuer, que les clients de l'hôtel allaient frapper aux murs, à la porte. J'étais sidéré.

Marc ralentit ses mouvements pour s'arrêter. Alice se décontracta, épuisée par cet orgasme puissant et inhabituel.
Nous nous relâchâmes quelques instants, même si nos sexes étaient toujours raides.

En s'adressant à ma femme, Marc dit :
- Je suis fière de toi Alice. Tu as su saisir ce moment pour gagner ton orgasme. Je te félicite. Tu es une bonne baiseuse. Ton mari est gâté.
- Alice, veux-tu que je te pénètre maintenant avec ma grosse queue pour te faire jouir comme une chienne, comme tu n'as encore jamais été défoncée ? Dis-le-moi…
- Ouiiiiiii. Marc baise moi maintenant à fond avec ta grosse queue !!!!!

Mais qui parlait là avec la bouche de ma femme ? Ce n'était pas mon Alice qui parlait ainsi. Non, mais je rêve !!!!

- Allez, retournes toi, mets-toi à quatre pattes et cambres toi.
- Voilà. Écarte bien tes cuisses que je puisse te prendre bien à fond.
J'étais fasciné par la soumission d'Alice face à Marc.
- Manu, viens là. Tu vas me guider pour pénétrer ta femme.
J'étais fasciné par ma soumission face à Marc.

Marc s'enfonça d'un coup. "Han !" "Ah…" répliqua Alice perforée par la queue puissante de Marc.
- Alors, ma belle salope. Tu la sens bien ma queue ?
Un petit "oui" sortit de sa bouche …
- Alice !!!! Qu'est-ce que je t'ai dit. Dis-moi clairement "Marc, je suis ta salope et j'aime ta grosse queue. Vas-y, bourres-moi !!!"
Pleinement satisfait, Marc me regarda avec un grand sourire avant d'entamer quelques va et vient. Le sexe détrempé de ma femme faisait des bruits de mouille à chaque aller-retour.
Moi, je restai coi, mon appareil photo à la main et ma queue toujours gonflée de désir à m'en faire mal.
Rapidement, Marc accéléra son rythme. J'étais hypnotisé par son énorme pieu qui rentrait et sortait de mon épouse à une cadence élevée. Je voyais ses petits seins tout gonflés balloter dans tous les sens et ma belle qui criait : "Ouiiii. Plus fort. Encore. Encore. Ne t'arrête pas. Bourres-moi."
Marc, encouragé par les cris d'Alice, commença à claquer ses fesses.
- Tu aimes, ma salope ?
- Ouiiiiiiiii J'adore. Je suis ta salope. Défonces-moi. C'est trop bon. Tu m'écartèles. Je vais jouiiiiirrrr…
Alice se crispa et se tétanisa d'un coup. Elle lâcha un grand cri, long et profond. Excité par les clameurs de sa partenaire, Marc se tendit à son tour. Il cria, se retira et vint jouir sur les fesses et le dos de mon épouse. Plusieurs longs jets de crème épaisse giclèrent.

Tous les deux, épuisés, se laissèrent tomber sur le lit.
A mon tour, j'arrêtais mon appareil photo, et je m'allongeais contre Alice.
Avec ses doigts, Marc recueillit un peu de sperme qu'il offrit à ma femme. Il me demanda de l'embrasser. Nos langues se nouèrent dans un parfum de sperme. Encore une nouveauté pour moi. Marc replaça un doigt chargé de sa crème entre nos bouches soudées.
- Régalez-vous mes mignons. Vous le méritez bien. Merci beaucoup pour votre accueil. J'ai pris beaucoup de plaisir avec vous et je pense que cela a été réciproque.
- J'espère que nous nous reverrons bientôt.
- Merci beaucoup Alice.
Marc se leva. Il prit une serviette dans la salle de bain pour s'essuyer. Il se rhabilla. Au moment de partir, il ajouta.
- Je vous laisse les amoureux.

Une fois la porte refermée, je me levai à mon tour pour ramasser les draps et pour recouvrir Alice que je rejoignis aussitôt.
- Je t'aime mon amour. Repose-toi.
Et, nous nous endormîmes….