Marc a enfin perdu un pari et me doit son premier gage

Récit érotique écrit par Provence [→ Accès à sa fiche auteur]
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Marc a enfin perdu un pari et me doit son premier gage
Depuis quelque temps, avec mon chéri, Marc, quand on n’est pas d’accord sur un sujet, on fait un pari pour savoir qui a raison et le perdant doit s’exécuter sur un gage. Mon chéri m’a déjà amené à le sucer dans un parking désert, à faire une partie de randonnée toute nue (on avait rencontré un autre couple et il l’avait raconté ici), il m’avait imposé des photos entièrement nue et transpirante en forêt (une jolie femme nous avait surpris et nous avait rejoint pour le plus grand plaisir de mon chéri et il l’avait aussi raconté)
Mais là, c’est lui qui a perdu et c’est moi qui décide du gage … et qui raconte le déroulement de ce gage. Il sait qu’il va prendre cher et que je sais être des plus coquines. Il redoutait sans doute ce moment … tout en l’attendant car il aime bien ce côté de moi quand même.
Le samedi suivant, tout est en place, son gage est prêt et bien entendu, il ne sait pas du tout à quelle sauce je vais le manger.
Le soir, je m’habille sexy. Mes gros seins qu’il adore sont dans un soutien en dentelle avec de chaque côté, un trou qui laisse sortir le téton plutôt que de l’écraser. Un string ouvert sur le devant ne cache pas vraiment ma toison (je ne me rase jamais pour son plus grand plaisir) et bien sûr, laisse mon popotin bien musclé à sa vue. Une paire de chaussures à lanières ne couvre pas vraiment mes pieds dont les ongles ont été vernis à neuf comme ceux de mes mains. Une nuisette complète ma tenue. Tout est en rouge sauf une petite chaîne en or sur ma cheville gauche. C’est mon seul bijou car ce soir ni collier, ni bague, ni bracelet.
Lui est en tenue légère, pantalon et chemise en lin. Dessous je ne sais pas encore, mais il est possible que sa grosse queue que j’aime tant et qui me donne tant de plaisir soit libre de tout mouvement.
Ayant passé du temps à organiser la surprise, à me préparer, à essayer différentes tenues, à prendre une bonne douche et m’être recouverte d’une crème hydratante, j’ai préféré faire appel à un traiteur pour le repas plutôt que de cuisiner.
A 20 h 00, on passe à table mais ni l’un ni l’autre n’a très faim de nourriture. On veut tous les deux passer à l’action, même s’il redoute autant qu’il a hâte que ça commence. Ma tenue l’exite. Le repas vite expédié (heureusement que je n’avais pas passé deux heures en cuisine!), on passe à la chambre. Je lui ordonne de s’allonger sur le lit, bras et jambes écartés. Il s’exécute sans mot dire. Je lui tourne le dos et sors d’un placard un sac et du sac des menottes avec de longues chaînes.
Il cède sans se battre et me laisse lui attacher les bras et les chevilles aux coins du lit. Ce ne sont pas réellement des menottes mais un kit de bondage pour attacher quelqu’un sur un lit. Les chaînes permettent de bien régler les distances pour laisser juste ce que l’on veut de liberté à la victime. Si en haut je serre, aux chevilles je laisse une certaine liberté pour qu’il puisse relever les jambes, se relever par le bas sur les pieds, ….
Quand il se croit enfin prisonnier, je sors du sac, une cagoule qui ne laisse à l’air libre que la bouche et le nez. Les yeux sont totalement occultés. Il ne va rien voir.
- Coralie, ma chérie, je sens que tu vas être horrible avec moi qui adore tant t’embrasser, te caresser, te chouchouter, te lécher quand on fait l’amour. Tu me prives de tout contact avec mes mains et pire que tout, je ne vais même pas profiter du spectacle. Si tu viens t’assoir sur moi, je ne verrais même pas tes seins monter et descendre.
- Sans déconner mon cœur, tu crois que c’est ça le pire qui va t’arriver ? Être privé de ma vue ? J’ai bien pire en réserve, mais tu ne vas le découvrir qu’au fur et à mesure.
Je mets de la musique dans la chambre et le laisse en l’état sans rien dire. Je descends vite au salon et prend mon téléphone. Quelques minutes plus tard j’ouvre à la porte alors que l’on toque doucement. L’étau se referme pour Marc. Il va se rappeler longtemps de son premier gage.
De retour dans la chambre, je monte encore un peu la musique. Je prends des ciseaux et découpe sa chemise, sans rien dire.
- Heu, tu sais que tu peux me détacher et me laisser me déshabiller ?
- Tais-toi, je fais ce que je veux. C’est moi qui dirige le gage !
Je commence à lui faire des bisous sur tout le haut du corps, à le lécher, l’embrasser alors qu’il est sanglé sans pouvoir intervenir.
- Je te savais machiavélique ma chérie mais m’attacher, me couvrir la tête et m’abandonner comme tu l’as fait puis me découper ma chemise pour me couvrir de baisers sans que je puisse te faire quoi que ce soit, c’est atroce. Je veux te toucher, te voir, …
- Non.
Je lui découpe maintenant le pantalon et recouvre son gros sexe de baisers avant de le prendre en bouche juste quelques courtes secondes. Il se redresse sur ses chevilles pour accompagner mon éloignement, pour que je continue encore un peu mais non, j’arrête de le sucer après juste un tout petit hors d’œuvre.
- Je retourne à la douche, ne bouge pas
- Comment je pourrais ?
Salle de bain, douche, séchage et tranquillement, je reviens dans la chambre où il est attaché sans rien voir. Je me penche sur lui et l’embrasse, lentement, longuement, insérant ma langue dans sa bouche en me couchant, nue sur lui. Il est aux anges et ronronne de plaisir, même s’il ne peut pas me voir ni me toucher ce qu’il regrette amèrement.
Je descends, suce ses tétons, lèche son nombril et j’arrive à nouveau à son sexe. Sans déconner, de tous les amants que j’ai eu c’est lui qui a le plus gros. Pas forcément le plus long, encore qu’il doit être dans le top 5, mais le plus gros assurément. Doucement, je le couvre de baisers puis de coups de langue, en montant vers le gland, en descendant vers les couilles. Je le prend en main et tourne avec la langue tout autour. Il se dresse comme il peut pour essayer de l’enfoncer dans ma bouche mais pour le moment, je m’y refuse encore.
Je me lève du lit et m’éloigne.
Une minutes plus tard, de l’autre côté du lit, il me sent revenir et le prendre directement en bouche pour une douce féllation. Il est heureux mais … rapidement …
- Coralie, ce n’est pas toi qui me suces, là ? Ce n’est pas ta bouche, ta façon de faire.
Effectivement, la musique était pour couvrir le bruit des respirations. L’appel téléphonique c’était pour la venue d’une autre personne qui avait juste toqué à la porte et la douche c’était plus pour l’autre que pour moi. Il est en train de se faire sucer et il ne sait pas du tout par qui. Moi, je fais ce que lui aime faire : je prends des photos.
- Qui c’est ? Je la connais ? C’est une femme au moins qui me suce ? Coralie, parle-moi, c’est attroce. Tu as gagnée ton gage est des plus coquins qui soit, plus que les miens. Parle.
Je ne dit rien. L’autre, abandonne un instant sa pipe pour lui relever la queue sur le ventre et jouer avec ses couilles qu’elle lèche, suce et enfourne bientôt, une à une dans sa bouche.
Il ne sait pas du tout qui est là avec nous dans la chambre, à s’occuper de lui et je me délecte de le savoir dans cette situation. Le corps de l’autre vient sur lui, ses jambes entre les jambes de mon chéri, elle fait le chemin inverse du mien en remontant lui sucer le nombril puis ses tétons d’homme avant de commencer à couvrir son visage de baisers. La langue rentre dans sa bouche et vaincu il se laisse faire, accueillant une langue inconnue pendant que je fais d’autres photos.
Les baisers reprennent sur son visage.
- Ce n’est pas toi, mais je sens qu’il n’y a pas de queue. C’est déjà ça. Je sens une toison sur mon sexe. C’est bien une femme. Je sens qu’elle est un peu plus lourde que toi. C’est qui ma chérie ?
Effectivement, elle resserre les jambes de notre petit soumis pose son sexe sur son ventre, l’enjambe mais ne le dirige pas vers son propre sexe. Elle se frotte contre lui, Montant, descendant lentement avec la queue de mon chérie sur sa fente mais à l’extérieur de sa foufoune.
Je lui passe du gel qu’elle met entre ses fesses pour faciliter la glissade et maintenant, c’est entre ses deux gros globes que le sexe de mon chéri est promené.
Elle s’arrête, monte vers lui et lui donne un sein à téter. Il adore et n’attend pas qu’on lui dise quoi que ce soit. C’est lui qui peut enfin sucer quelque chose sans savoir à qui. Encore une photo et elle change de sein. Encore une photo et pendant qu’il est occupé, je pose l’appareil et descends le sucer un peu.
Quand elle se relève, il n’en peut plus …
- Je sais qui c’est ! J’ai deviné. C’est Samia, la si jolie maghrébine qui nous avait surpris dans la clairière et nous avait rejoint. Des seins aussi gros que les tiens, un gros fessier et une touffe poilue mais aussi frisée, c’est elle, c’est Samia.
- Oui Marc, c’est bien moi … mais c’est pas fini. La nuit ne fait que commencer.
Samia se détache les cheveux pour les photos maintenant qu’il l’a reconnue. Elle se tourne, reste ses genoux près de son buste et lui suce encore le sexe mais le relâche. Le suce encore et le relâche. En prenant appuis sur ses pieds il essaie de pousser, de relever son cul pour accompagner la bouche qui se refuse plus. Entre ses jambes, j’attendais ce moment et hop, je lui glisse un coussin sous les fesses.
- C’est quoi ce coussin ? C’est quoi ?
- Chut, tu parles trop !
Pendant que Samia s’occupe un peu de son sexe, je joue avec ses couilles, les lèches puis lui suce le petit trou. Ma langue se promène, tourne sur son anus. Il adore une feuille de vigne mais c’est la première fois qu’une langue s’active sur son anus pendant qu’il est dans une autre bouche.
Je descends du lit pour prendre le sac qu’a amené Samia pendant qu’elle se met face à lui, s’assoit. Elle joue un peu et se rentre enfin son sexe dans son puits d’amour.
- Putain, c’est bon !!! Vous êtes des salopes. Samia monte et descends sur moi, mais je ne vois rien et je ne peux même pas prendre ses seins pour les caresser. C’est bon et atroce à la fois. Vous êtes des sorcières.
Je reviens sur le lit, écarte ses jambes. Je luis caresse l’anus avec le doigt. Il y a quelques instants, pendant qu’il nous traitait de sorcières, je finissais de m’équiper et de lubrifier le gode ceinture amené par Samia et maintenant ce n’est plus mon doigt mais le gode que je suis en train de lui glisser dans le fondement.
- Et c’est quoi, ça, c’est pas un doigt, ça ! C’est plus gros. Tu fais quoi ?
Samia se couvre pour l’embrasser le faire taire pendant que je rentre tout le truc dans son cul.
Mon chéri est attaché, le visage couvert, en train de se faire Samia qui l’embrasse en frottant ses gros seins sur lui et moi ? Je l’encule avec un gode ceinture. Il va s’en rappeler de son gage. Je reprends l’appareil photos.
- Tu es magnifique mon chéri avec ce truc dans le cul. Je t’assure, tu verras sur les photos.
- Quoi ? En plus tu continues les photos ? Sorcière !
Samia se redresse et reprends son va-et-vient sur lui. Il n’en peut plus, c’est trop et il lâche tout dans son puits d’amour. Elle est heureuse elle aussi des tournures de la soirée que nous avions préparée ensemble. Elle envoie ses mains en arrière, écarte ses fesses et me demande de l’enculer elle aussi.
Deux minutes après, c’est fait, elle prend aussi son pied. L’exitation de la soirée, le gros engin de mon Marc chéri encore dans sa foufounne et le truc dans les fesses. C’était assez pour elle.
On s’arrête. J’enlève le gode et je m’allonge en travers de Marc, mon ventre contre son ventre, mes jambes écartées, mes fesses en l’air. Samia vient derrière moi et commence à me sucer la foufoune puis l’anus qu’elle me fourre avec un doigt puis deux. Marc entend bien tous les bruits de succion et a compris ce qui se passe. Sa queue se redresse. J’arrête Samia, je suce mon Marc puis je me positionne sur lui, dos à lui. Mon petit trou est tout prêt et je m’enfonce son sexe dedans. Samia vient entre mes jambes pour me sucer les poils, lui sucer les couilles, … Elle s’amuse.
Elle sort alors la dernière surprise de la soirée. Du sac, elle déballe un joli plug anal. On a choisi un avec un gros rond bleu lumineux à l’extérieur. Elle lui flanque dans l’anus.
- Sorcière ! T’es une sorcière toi aussi de profiter du pauvre homme que je suis et de ma situation.
- Quelle situation ? Tu viens de te faire une autre nana, ta chérie est empalée sur toi et tu râles encore.
Elle joue à lui glisser puis le tirer doucement, tout doucement puis le rentrer à nouveau.
- Viens Samia, prends moi aussi je lui demande.
Elle se met le gode ceinture et viens sur moi me l’enfiler dans le sexe. C’est ma première double pénétration. Mon chéri dans le cul et Samia et son gode devant. C’est délicieux. De savoir qu’il a, en plus, un plug dans l’anus m’exite. C’est moi qui rythme les mouvements et je prends mon pied.
On le détache et pour le reste de la nuit, il peut à nouveau nous voir nous gouiner devant lui. Il peut nous toucher, nous prendre tour à tour, s'enfoncer sur nos trous mais il a interdiction de retirer le plus anal.
Finalement, mon Marc chéri a adoré son gage même si quelques surprises ont entachées un peu sa fierté.
Mais là, c’est lui qui a perdu et c’est moi qui décide du gage … et qui raconte le déroulement de ce gage. Il sait qu’il va prendre cher et que je sais être des plus coquines. Il redoutait sans doute ce moment … tout en l’attendant car il aime bien ce côté de moi quand même.
Le samedi suivant, tout est en place, son gage est prêt et bien entendu, il ne sait pas du tout à quelle sauce je vais le manger.
Le soir, je m’habille sexy. Mes gros seins qu’il adore sont dans un soutien en dentelle avec de chaque côté, un trou qui laisse sortir le téton plutôt que de l’écraser. Un string ouvert sur le devant ne cache pas vraiment ma toison (je ne me rase jamais pour son plus grand plaisir) et bien sûr, laisse mon popotin bien musclé à sa vue. Une paire de chaussures à lanières ne couvre pas vraiment mes pieds dont les ongles ont été vernis à neuf comme ceux de mes mains. Une nuisette complète ma tenue. Tout est en rouge sauf une petite chaîne en or sur ma cheville gauche. C’est mon seul bijou car ce soir ni collier, ni bague, ni bracelet.
Lui est en tenue légère, pantalon et chemise en lin. Dessous je ne sais pas encore, mais il est possible que sa grosse queue que j’aime tant et qui me donne tant de plaisir soit libre de tout mouvement.
Ayant passé du temps à organiser la surprise, à me préparer, à essayer différentes tenues, à prendre une bonne douche et m’être recouverte d’une crème hydratante, j’ai préféré faire appel à un traiteur pour le repas plutôt que de cuisiner.
A 20 h 00, on passe à table mais ni l’un ni l’autre n’a très faim de nourriture. On veut tous les deux passer à l’action, même s’il redoute autant qu’il a hâte que ça commence. Ma tenue l’exite. Le repas vite expédié (heureusement que je n’avais pas passé deux heures en cuisine!), on passe à la chambre. Je lui ordonne de s’allonger sur le lit, bras et jambes écartés. Il s’exécute sans mot dire. Je lui tourne le dos et sors d’un placard un sac et du sac des menottes avec de longues chaînes.
Il cède sans se battre et me laisse lui attacher les bras et les chevilles aux coins du lit. Ce ne sont pas réellement des menottes mais un kit de bondage pour attacher quelqu’un sur un lit. Les chaînes permettent de bien régler les distances pour laisser juste ce que l’on veut de liberté à la victime. Si en haut je serre, aux chevilles je laisse une certaine liberté pour qu’il puisse relever les jambes, se relever par le bas sur les pieds, ….
Quand il se croit enfin prisonnier, je sors du sac, une cagoule qui ne laisse à l’air libre que la bouche et le nez. Les yeux sont totalement occultés. Il ne va rien voir.
- Coralie, ma chérie, je sens que tu vas être horrible avec moi qui adore tant t’embrasser, te caresser, te chouchouter, te lécher quand on fait l’amour. Tu me prives de tout contact avec mes mains et pire que tout, je ne vais même pas profiter du spectacle. Si tu viens t’assoir sur moi, je ne verrais même pas tes seins monter et descendre.
- Sans déconner mon cœur, tu crois que c’est ça le pire qui va t’arriver ? Être privé de ma vue ? J’ai bien pire en réserve, mais tu ne vas le découvrir qu’au fur et à mesure.
Je mets de la musique dans la chambre et le laisse en l’état sans rien dire. Je descends vite au salon et prend mon téléphone. Quelques minutes plus tard j’ouvre à la porte alors que l’on toque doucement. L’étau se referme pour Marc. Il va se rappeler longtemps de son premier gage.
De retour dans la chambre, je monte encore un peu la musique. Je prends des ciseaux et découpe sa chemise, sans rien dire.
- Heu, tu sais que tu peux me détacher et me laisser me déshabiller ?
- Tais-toi, je fais ce que je veux. C’est moi qui dirige le gage !
Je commence à lui faire des bisous sur tout le haut du corps, à le lécher, l’embrasser alors qu’il est sanglé sans pouvoir intervenir.
- Je te savais machiavélique ma chérie mais m’attacher, me couvrir la tête et m’abandonner comme tu l’as fait puis me découper ma chemise pour me couvrir de baisers sans que je puisse te faire quoi que ce soit, c’est atroce. Je veux te toucher, te voir, …
- Non.
Je lui découpe maintenant le pantalon et recouvre son gros sexe de baisers avant de le prendre en bouche juste quelques courtes secondes. Il se redresse sur ses chevilles pour accompagner mon éloignement, pour que je continue encore un peu mais non, j’arrête de le sucer après juste un tout petit hors d’œuvre.
- Je retourne à la douche, ne bouge pas
- Comment je pourrais ?
Salle de bain, douche, séchage et tranquillement, je reviens dans la chambre où il est attaché sans rien voir. Je me penche sur lui et l’embrasse, lentement, longuement, insérant ma langue dans sa bouche en me couchant, nue sur lui. Il est aux anges et ronronne de plaisir, même s’il ne peut pas me voir ni me toucher ce qu’il regrette amèrement.
Je descends, suce ses tétons, lèche son nombril et j’arrive à nouveau à son sexe. Sans déconner, de tous les amants que j’ai eu c’est lui qui a le plus gros. Pas forcément le plus long, encore qu’il doit être dans le top 5, mais le plus gros assurément. Doucement, je le couvre de baisers puis de coups de langue, en montant vers le gland, en descendant vers les couilles. Je le prend en main et tourne avec la langue tout autour. Il se dresse comme il peut pour essayer de l’enfoncer dans ma bouche mais pour le moment, je m’y refuse encore.
Je me lève du lit et m’éloigne.
Une minutes plus tard, de l’autre côté du lit, il me sent revenir et le prendre directement en bouche pour une douce féllation. Il est heureux mais … rapidement …
- Coralie, ce n’est pas toi qui me suces, là ? Ce n’est pas ta bouche, ta façon de faire.
Effectivement, la musique était pour couvrir le bruit des respirations. L’appel téléphonique c’était pour la venue d’une autre personne qui avait juste toqué à la porte et la douche c’était plus pour l’autre que pour moi. Il est en train de se faire sucer et il ne sait pas du tout par qui. Moi, je fais ce que lui aime faire : je prends des photos.
- Qui c’est ? Je la connais ? C’est une femme au moins qui me suce ? Coralie, parle-moi, c’est attroce. Tu as gagnée ton gage est des plus coquins qui soit, plus que les miens. Parle.
Je ne dit rien. L’autre, abandonne un instant sa pipe pour lui relever la queue sur le ventre et jouer avec ses couilles qu’elle lèche, suce et enfourne bientôt, une à une dans sa bouche.
Il ne sait pas du tout qui est là avec nous dans la chambre, à s’occuper de lui et je me délecte de le savoir dans cette situation. Le corps de l’autre vient sur lui, ses jambes entre les jambes de mon chéri, elle fait le chemin inverse du mien en remontant lui sucer le nombril puis ses tétons d’homme avant de commencer à couvrir son visage de baisers. La langue rentre dans sa bouche et vaincu il se laisse faire, accueillant une langue inconnue pendant que je fais d’autres photos.
Les baisers reprennent sur son visage.
- Ce n’est pas toi, mais je sens qu’il n’y a pas de queue. C’est déjà ça. Je sens une toison sur mon sexe. C’est bien une femme. Je sens qu’elle est un peu plus lourde que toi. C’est qui ma chérie ?
Effectivement, elle resserre les jambes de notre petit soumis pose son sexe sur son ventre, l’enjambe mais ne le dirige pas vers son propre sexe. Elle se frotte contre lui, Montant, descendant lentement avec la queue de mon chérie sur sa fente mais à l’extérieur de sa foufoune.
Je lui passe du gel qu’elle met entre ses fesses pour faciliter la glissade et maintenant, c’est entre ses deux gros globes que le sexe de mon chéri est promené.
Elle s’arrête, monte vers lui et lui donne un sein à téter. Il adore et n’attend pas qu’on lui dise quoi que ce soit. C’est lui qui peut enfin sucer quelque chose sans savoir à qui. Encore une photo et elle change de sein. Encore une photo et pendant qu’il est occupé, je pose l’appareil et descends le sucer un peu.
Quand elle se relève, il n’en peut plus …
- Je sais qui c’est ! J’ai deviné. C’est Samia, la si jolie maghrébine qui nous avait surpris dans la clairière et nous avait rejoint. Des seins aussi gros que les tiens, un gros fessier et une touffe poilue mais aussi frisée, c’est elle, c’est Samia.
- Oui Marc, c’est bien moi … mais c’est pas fini. La nuit ne fait que commencer.
Samia se détache les cheveux pour les photos maintenant qu’il l’a reconnue. Elle se tourne, reste ses genoux près de son buste et lui suce encore le sexe mais le relâche. Le suce encore et le relâche. En prenant appuis sur ses pieds il essaie de pousser, de relever son cul pour accompagner la bouche qui se refuse plus. Entre ses jambes, j’attendais ce moment et hop, je lui glisse un coussin sous les fesses.
- C’est quoi ce coussin ? C’est quoi ?
- Chut, tu parles trop !
Pendant que Samia s’occupe un peu de son sexe, je joue avec ses couilles, les lèches puis lui suce le petit trou. Ma langue se promène, tourne sur son anus. Il adore une feuille de vigne mais c’est la première fois qu’une langue s’active sur son anus pendant qu’il est dans une autre bouche.
Je descends du lit pour prendre le sac qu’a amené Samia pendant qu’elle se met face à lui, s’assoit. Elle joue un peu et se rentre enfin son sexe dans son puits d’amour.
- Putain, c’est bon !!! Vous êtes des salopes. Samia monte et descends sur moi, mais je ne vois rien et je ne peux même pas prendre ses seins pour les caresser. C’est bon et atroce à la fois. Vous êtes des sorcières.
Je reviens sur le lit, écarte ses jambes. Je luis caresse l’anus avec le doigt. Il y a quelques instants, pendant qu’il nous traitait de sorcières, je finissais de m’équiper et de lubrifier le gode ceinture amené par Samia et maintenant ce n’est plus mon doigt mais le gode que je suis en train de lui glisser dans le fondement.
- Et c’est quoi, ça, c’est pas un doigt, ça ! C’est plus gros. Tu fais quoi ?
Samia se couvre pour l’embrasser le faire taire pendant que je rentre tout le truc dans son cul.
Mon chéri est attaché, le visage couvert, en train de se faire Samia qui l’embrasse en frottant ses gros seins sur lui et moi ? Je l’encule avec un gode ceinture. Il va s’en rappeler de son gage. Je reprends l’appareil photos.
- Tu es magnifique mon chéri avec ce truc dans le cul. Je t’assure, tu verras sur les photos.
- Quoi ? En plus tu continues les photos ? Sorcière !
Samia se redresse et reprends son va-et-vient sur lui. Il n’en peut plus, c’est trop et il lâche tout dans son puits d’amour. Elle est heureuse elle aussi des tournures de la soirée que nous avions préparée ensemble. Elle envoie ses mains en arrière, écarte ses fesses et me demande de l’enculer elle aussi.
Deux minutes après, c’est fait, elle prend aussi son pied. L’exitation de la soirée, le gros engin de mon Marc chéri encore dans sa foufounne et le truc dans les fesses. C’était assez pour elle.
On s’arrête. J’enlève le gode et je m’allonge en travers de Marc, mon ventre contre son ventre, mes jambes écartées, mes fesses en l’air. Samia vient derrière moi et commence à me sucer la foufoune puis l’anus qu’elle me fourre avec un doigt puis deux. Marc entend bien tous les bruits de succion et a compris ce qui se passe. Sa queue se redresse. J’arrête Samia, je suce mon Marc puis je me positionne sur lui, dos à lui. Mon petit trou est tout prêt et je m’enfonce son sexe dedans. Samia vient entre mes jambes pour me sucer les poils, lui sucer les couilles, … Elle s’amuse.
Elle sort alors la dernière surprise de la soirée. Du sac, elle déballe un joli plug anal. On a choisi un avec un gros rond bleu lumineux à l’extérieur. Elle lui flanque dans l’anus.
- Sorcière ! T’es une sorcière toi aussi de profiter du pauvre homme que je suis et de ma situation.
- Quelle situation ? Tu viens de te faire une autre nana, ta chérie est empalée sur toi et tu râles encore.
Elle joue à lui glisser puis le tirer doucement, tout doucement puis le rentrer à nouveau.
- Viens Samia, prends moi aussi je lui demande.
Elle se met le gode ceinture et viens sur moi me l’enfiler dans le sexe. C’est ma première double pénétration. Mon chéri dans le cul et Samia et son gode devant. C’est délicieux. De savoir qu’il a, en plus, un plug dans l’anus m’exite. C’est moi qui rythme les mouvements et je prends mon pied.
On le détache et pour le reste de la nuit, il peut à nouveau nous voir nous gouiner devant lui. Il peut nous toucher, nous prendre tour à tour, s'enfoncer sur nos trous mais il a interdiction de retirer le plus anal.
Finalement, mon Marc chéri a adoré son gage même si quelques surprises ont entachées un peu sa fierté.
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