Marie - Episode 14 - Repas et nuit chez Marie en presence de son mari.
Récit érotique écrit par Cello [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-08-2012 dans la catégorie Dominants et dominés
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Marie - Episode 14 - Repas et nuit chez Marie en presence de son mari.
Cello - Alors qu'Hervé est sur la route, il s'arrête pour te téléphoner.
Hervé : « Allo ma Chérie, je t'appelle car je viens d'avoir mon patron et suite à une grève des aiguilleurs du ciel, nos ne décollons d'Orly que demain midi, cela me donne le temps de revenir passer une nouvelle soirée avec toi, qu'en penses tu ? »
Marie - Il téléphone alors que je suis au bureau en train de travailler pour de vrai :
« Ho ! Oui super ! J’ai hâte, surtout que tu n'a pas profité de moi hier, tu t'es endormi si rapidement ... par contre je dois voir, car j'ai laissé ma voiture à la maison c'est mon patron, qui est venu me chercher et qui me redéposera à la fin de la semaine, j'ai fait ma valise et je l'ai déposée dans le studio de l'entreprise »
Hervé : « Oui ma chérie, demande lui si cela ne l'embête pas de te déposer ce soir, et puis tu pourrais en profiter pour l'inviter à dîner, je pense que je serais à la maison vers 20 heures »
Marie : « Tu crois ? Mais on ne sera pas seuls alors, tu as intérêt à ne pas t'endormir cette fois-ci ... Je te rappelle ».
Hervé : « Oui ma chérie, j'attends ta confirmation. Bise, à tout de suite ».
Marie : « Bisous ».
Marie - Je viens vous voir :
« Monsieur le directeur, Hervé vient de me téléphoner, son voyage est reporté à demain et ... il aimerait vous inviter à manger à la maison ... ».
Cello : « Oui Marie et quand cela ? »
Marie : « A 20 h ce soir. Je… Heu… Vous ne lui direz toujours rien sur moi monsieur ? ».
Cello : « Soit sans crainte Marie, je ne lui dirais rien, mais je veux que tu lui donne un petit somnifère ce soir, pour te baiser dans son lit, pendant qu’il dort ».
Marie : « Je… Heu… Bien monsieur, le pauvre il va se douter non ? Il faudrait que vous le fassiez boire ».
Cello : « Ne t'inquiète pas, tu devras juste écrasé le comprimé et le mettre dans le dessert le moment venue, bien entendu je souhaites que tu sois nue sous tes vêtements ».
Marie : « Mais… Je… Heu… Comment vais je justifier de ne rien porter sous mes vêtements alors que vous venez manger ? ».
Cello : « Tu lui diras que c'est pour lui que tu ne portes pas de soutien gorge. Comme je sais que tu aimes que je m'occupe de toi pendant que tu téléphones à ton mari, viens t'asseoir sur mes genoux, je vais te caresser pendant que tu lui confirmes que c’est d'accord ».
Marie : « Mais, Je… Heu… Vous savez que mes seins ballottent au moindre mouvement, que va penser mon mari ? ».
Cello : « Que tu es une femme aimante, qui a envie de lui faire plaisir »
Marie : « Mais, il va bien voir que vous aussi vous verrez mes gros seins bouger, leurs formes ... ».
Cello : « Ne t inquiètes pas, je pense qu’il est fier de ta poitrine et cela ne va pas le déranger. Allez assieds toi, que je te pelote et compose son numéro ».
Marie : « Bien monsieur le directeur ... »
Marie - Je m'assied sur vos genoux, en jupe et chemisier ouvert, sans rien dessous bien sur. Vous m'avez retroussé la jupe, je suis assise à cheval sur votre sexe que je sens durcir, vous écarter les pans de mon chemisier.
Cello - Tu as a peine commencé à composer le numéro que l'une de mes mains enferme l'un de tes seins, tandis que l'autre main plonge dans ton entrejambe.
« Mais tu es mouillée salope ! »
Marie : « Je… Heu… Oui monsieur cette idée de me retrouver seins nus sous un pull moulant entre vous et mon mari me rend folle de désir et de crainte en même temps. Chut… ! Ca sonne… »
Cello - Je déboutonne ma braguette et te demande de te pénétrer et de me chevaucher pendant ta conversation pendant que je malaxe durement tes nibards.
Marie : « Allo chéri, c'est moi, oui je viens de lui parler, il est d'accord, je devrai attendre qu'il finisse ce qu'il a à faire pour rentrer, nous devrions arriver un peu avant toi, je passerai chez le traiteur pour le repas et pendant que vous prendrez un apéro, je ferez un dessert ».
Marie - Oui pendant que j'explique à Hervé, je descends lentement sur votre sexe, qui s'enfonce en moi tandis que vous agrippez mes outres en les serrant fort, je ferme les yeux me concentrant pour parler normalement.
Herve : « Oui très bien, il est si sympa ton patron, je discuterai avec lui pendant que tu prépareras le dessert ».
Cello - Je te prends par les hanches et te fais aller et venir au dessus de moi.
Marie : « Je… Heu… Je ne sais pas, il aurait peut être préféré aller chez lui, je ne sais pas il ne m'a pas dit ».
Marie - Oui vous me baisez lentement, mais bien à fond.
Marie : « Dis moi mon chérie, j'ai une idée, pour que mon patron ne reste pas trop longtemps, et que nous soyons seuls tous les deux ... Je pourrais m'habiller assez sexy, enfin c'est à dire ne rien mettre sous mes habits, et s'il remarque que je n'ai pas de soutien-gorge, il comprendra que j'ai hâte de me retrouver avec toi ? Et puis je serai chez nous, qu'en penses tu ? Ça ne risque pas de le choquer ? Je t'avoue que j'ai un peu peur, mais que l'idée m'excite, surtout que je sais que cela te plait. Tu crois que c'est possible ? Tu ne seras pas jaloux ? »
Hervé : "Oui ma chérie, c'est une bonne idée, et puis après tout cela ne peut pas te desservir bien au contraire, peut être qu'il te donnera une augmentation à la fin de ton mois d'essai ».
Marie : « Ho… Arrête… On dirait que tu voudrais que je m'exhibe pour de l'argent, je ne suis pas une pute »
(D’un air faussement outré)
Cello - Je te lâche les hanches et te donne des claques sur les fesses
Marie - Et reprenant mon souffle, pendant que vous restez bien au fond de moi pour ne pas me faire gémir en malaxant mes seins.
Hervé : « Ce n'est pas cela ma chérie, mais tu sais qu'on a besoin d'argent, et si le fait de ne pas mettre de soutien gorge chez nous, peut te servir à avoir une augmentation, je ne vois pas ce qu'il y a de mal, ni d’immoral »
Marie - Je serre les dents pendant qu'Hervé parle.
Hervé : « Tiens c'est quoi ce bruit ma chérie ? ».
Marie : « Ho… Je… C'est la ventilation, qui claque parfois, je crois ».
Hervé : « Ha oui ! C’est marrant, je ne l'ai pas remarqué, lorsque je suis passé au bureau ».
Marie : « Oui c'est vrai, mais c'est surtout pour te faire plaisir que je le fait (clac clac) pas pour avoir une augmentation, mais si ça fait les deux je ne suis pas contre, je me changerai en rentrant ... Ha oui… Ca recommence je… Ho oui… C’est même fort, cela ne le fait pas tout le temps ».
Marie - Je suis toujours empalée sur vous, penchée en avant les mamelles pendantes et ce sont-elles que vous giflez maintenant.
Cello - Mes claques sont de plus en plus fortes sur tes outres, qui se balancent à chaque coup.
Hervé : « Et bah ! Dis donc, tu peux travailler avec ce claquement, ça ne doit pas être agréable ? ».
Marie : « Je… Heu… Oui tu as raison, mais je n'ai pas le choix, ce n'est pas moi, qui décide comment M. Cello choisi son mode de chauffage ».
Marie - Vous savez que je suis au bord des larmes et que vous devez me faire mal et dès que j'aurai raccrochez vous allez me labourer la chatte et me faire gémir ... D'ailleurs Kevin est venu attiré par les bruits et il nous regarde.
Cello - Puis tu ajoutes :
Marie : « Heureusement ce n'est pas comme cela toute la journée, parfois c'est plus calme ».
Marie - Hervé me dit naïvement de continuer à faire ce qu'il faut pour te satisfaire et ajoute :
« A ce soir, tu mettras quoi au fait, sur ta peau nue ? »
Et je lui dis :
« Je ne sais pas, je n'y ai pas pensé encore, mais pourquoi pas ma robe en laine, je ne la porte jamais, car on voit les marques du soutien gorge au travers ... ».
Hervé : « Oh ! Oui ma chérie, c'est une bonne idée, puisque tu n'en auras pas ce soir et puis son coté moulant n'est pas pour me déplaire bien au contraire ».
Marie : « Coquin je te laisse, au fait j'espère que tu es seul dans ta voiture et que ton patron n'est pas avec toi ? ».
Hervé : « Non ma chérie, rassure toi, autrement je ne t'aurais pas parler ainsi et toi ton patron et le stagiaire ne sont pas près de toi non plus j'espère ».
Marie : « Non bien sur, enfin j'espère que le stagiaire n'écoute pas aux portes ...Bon je vais te laisser mon amour ».
Hervé : « A ce soir chérie – bisous ».
Marie : « Oui je t'aime ... ».
Marie - Clac ! Je raccroche. A ce moment là, vous me pincez les tétons en les étirant vers l'avant, et en me pistonnant la chatte, qui est trempée ... Je commence à jouir après m'être si longtemps retenue.
Cello : « Tu as aimé te faire fesser pendant que tu parlais à Hervé. Tu es une bonne salope tu sais ! ».
Marie : "Hooo ! Humm ! Oui oui oui j'aime ça ! Je suis votre salope ! Houu ! Humm ! ouiiiii ! Ho mon dieu que c'est bon ! Oui baisez moi encore ».
Cello - Je te fais te lever et me lèves derrière toi, sans me retirer, pétrissant tes nibards de plus en plus durement, tandis que le pilonnage de ton sexe est lui aussi de plus en plus rude.
Marie : Oui je me retrouve debout penchée en avant, les mamelles pendantes sous moi en face de Kevin, qui nous regarde sans oser ni me toucher, ni se toucher.
Marie - Après m’avoir baiser, le reste de la journée de bureau se déroule tout à fait normalement.
Cello - Nous quittons le bureau, et je t’emmène chez le traiteur où tu achètes le repas de ce soir. Je te demande d’acheter du champagne pour l’apéritif et une fois à la caisse, je règle l’addition, en te disant devant le commerçant :
« Tu me rembourseras en nature, comme tu sais si bien le faire ».
Marie - Vous me déposez le soir chez moi, nous allons ensemble dans ma chambre à coucher pour que vous me mettiez ma robe. Je la sors de l'armoire, elle est beige, au dessus du genou, très fine, en laine et élasthanne, ce qui fait qu'elle est à la fois moulante, mais en même temps élastique, laissant bouger mes seins sans les maintenir :
« Ho ! Mon dieu, c'est si indécent, je ne l'avais jamais portée sans soutien gorge ».
Marie - On voit même le relief de mes aréoles, c'est sans dire que l'emplacement de mes tétons est parfaitement visible ! En plus, une des raisons, qui fait que je ne la porte jamais en plus de la visibilité des contours de mes sous vêtements sous la laine est qu'elle est assez échancrée sous les bras, et donc qu'on peut y passer les mains pour m'empoigner les seins et aussi voir la base de ma poitrine sur les cotes ...
« Hoo… ! Mon dieu… Monsieur je ne sais pas… ! Hervé va être très jaloux, que je me montre ainsi devant vous »
(Vous imaginez déjà les commentaires que vous lui ferez quand je serai à la cuisine ...)
Hervé : « J’espère bien qu'il va être jaloux, mais il sera aussi excité d'avoir une aussi belle femme ».
Marie : « Je… Heu… Hoo… Monsieur… Je… Heu… Prenez moi s’il vous plait, je suis si excitée, je suis à vous, vous pouvez décider tout ce que vous voulez pour moi ».
Bien évidemment, je ne porte pas de culotte non plus et lorsque je m'assiérai la robe remonte sur le haut de mes cuisses.
Cello - Je te retrousse la robe et te pousse sur le lit, à plat ventre, j'écarte tes cuisses et je m'allonge sur toi et te pénètre sans aucun autre préambule en te traitant de "traînée et de sac a foutre".
Marie - Oui le nez dans la couette, je gémie de plaisir de vous sentir me pistonner la chatte et vous entendre m'insulter et je jouie en hurlant mon plaisir dans la couette, avant même que vous ayez joui vous-même. Je suis toute pantelante, vous me relevez :
Cello : « Allez ma petite putain, viens on va à la cuisine, il faut que tu prépares le dessert ... ».
Cello - Nous allons ensemble jusqu'à la cuisine et te dis :
« Fais moi jouir avec ta bouche comme tu sais si bien le faire et je veux que tu recueilles ma semence dans un saladier. Tu l'ajouteras après à la crème chantilly que tu serviras avec la tarte ».
Marie : « Bien, monsieur le directeur avec vous c'est facile, vous bandez toujours et vous éjaculez de si grosses quantité de foutre ... Hervé va se régaler, espèce de vicieux ».
Cello : « Oui je suis vicieux et pervers et c'est ce que tu aimes en moi avoue ! »
Cello - Sans attendre que tu avoues quoi que ce soit, je te mets mon sexe raide et prêt à exploser dans ta bouche.
Marie - Je le suce avidement en massant vos grosses couilles
Cello : « Oui c'est bien, continue ma belle salope ».
Marie : « Humm ! Oui j'aime tellement vous sucer ».
Cello : « Oui, mais je crois surtout c'est que tu aimes, c’est te délecter de sperme, mais aujourd’hui, tu devras attendre pour te régaler, approche le saladier, je sens que je ne vais pas tarder à jouir ».
Marie : « Oui c’est vrai monsieur le directeur, je saurai attendre et prendre plaisir à regarder Hervé avaler votre jus de couilles ».
Cello : « Oui mais toi aussi tu mangeras de la chantilly ma belle, et cela me fera bander de te voir te régaler, pour l'instant tu auras juste le droit de me laver la bite avec la langue et de me lécher les couilles ».
Marie : « Hum ! Oui merci monsieur ... ».
Je vous lèche la bite, suce vos couilles vidées en regardant le saladier au fond duquel stagne 2 cm de sperme.
Cello : « Merci ma chérie, tu es une véritable experte en langue vivante ! Il ne te reste plus qu'à faire la chantilly et d'ajouter après ma semence avant que ton mari n'arrive. Mais auparavant j'ai un petit cadeau pour toi, attend il est dans la poche de ma veste ».
Marie : « Ha oui… Pour moi ? Hoo merci ».
Cello : « Attends ! Avant de me remercier de voir ce que c'est ! Lorsque je me suis absenter cet après midi, c'était pour acheter ceci » dis je en te tendant un petit paquet.
Marie - Je le prends, tire le ruban... « Hoo… Merci d'avance en tout cas, je suis flattée, j’ouvre le papier ... ».
Cello : « C’est des pinces à seins avec des poids de 100 gr chacun, j'espère que cela te plait ».
Marie : (Oui, des pinces reliées à des poids de 100 gr ça me semble déjà beaucoup).
Cello - Alors que tu déballes les achats fait chez le traiteur et que j'ai voulu payer en te disant : « Tu me rembourseras avec ton cul »
Je te dis
« J'ai donné ton adresse à Kévin, il va nous rejoindre vers 20 h 15 pour prendre l'apéritif avec nous ».
Marie : « Hum… oui j'adore ce genre de remarques faisant de moi, votre putain. Je… Heu… Kevin ? Mais il va me voir habillée comme cela aussi devant mon mari ? Ho… Pitié… Monsieur le directeur… Surtout qu'il soit aussi discret que vous, vous savez bien, dès qu'il me regarde, il est tout rouge et son pantalon tout déforme avec son énorme saucisse ».
Cello : « Je lui ai dis d'être discret, malheureusement je ne pourrais pas l'empêcher de bander ».
Marie : « Mais que va dire Hervé, s'il voit Kevin me regarder les seins avec les yeux qui lui sortent des orbites et le pantalon déformé ? »
Cello : « Et puis tu n es pas sensée être au courant, je te le dis par courtoisie, mais tu devras feindre d'être surprise, lorsque je le dirais à Herve devant toi ».
Marie : « Oui c’est vrai, vu comme ça ... Lorsque vous direz quoi ? »
Cello : « Que je me suis permis d'inviter Kevin à l apéro, afin qu'il connaisse toute l équipe. Et rassure toi, Kevin ne sera pas long, il a un entraînement de sport à 21 heures ».
Marie : « Ha… Ok, bon d'accord de toute façon, c’est vous qui décidez, mais je suis rassurée ».
Cello : « Rassurée ou pas de toute façon tu n’as pas le choix, tu m'as bien dit tout à l’heure lorsque je te baisais que je pouvais tout décider ».
Marie : « Oui monsieur, vous êtes mon patron et vous me payez pour être une putain soumise ».
(Qui sait si bientôt vous ne me louerez pas à vos clients et amis et si ce n'est pas moi qui vous rapporterai ...)
Cello : « Bien, je vois que nous nous comprenons et puis cela ne te déplait pas tant que cela d'être ma putain ».
Marie : « Je… Heu… Oui monsieur le directeur je… Heu… C'est vrai cela me fait honte, mais j'aime ça ».
Cello : « Je vais maintenant te laisser te préparer et mettre la table, je reviendrais vers 20 h - sois sans crainte, j'arriverais peu de temps après Hervé pour que tu ne sois pas trop longtemps seul avec lui. Mais avant je vais te mettre les pinces à seins et je veux que pour l'apéro, tu t'assois près d'Herve, mais en face de moi pour que je puisse voir ta chatte, pendant que je discute avec ton cocu ».
Marie - Vous relevez ma robe jusqu'au dessus de mes seins, vous me posez les pinces, elles me tirent les tétons vers le bas et les déforment.
Marie : « Bien monsieur, je ferai comme vous l'exigez ».
Cello : « Hum !!! Tu es très belle ainsi ! Cela ne te fait pas trop mal ? »
Marie : « Ouhh !… Je… Heu… Haaa !… Si un peu. Ça pince et ça tire, mais c’est vrai, vous me trouvez belle ainsi ? Mes seins ne sont pas trop tombants ? »
Cello : « Non ma chérie ! Mais pourquoi es tu complexée par tes pis ? »
Marie : « Je… Heu… Et bien vous voyez bien ils sont gros, mais ils sont lourds mous et tombants ».
Cello : « Tu es très belle et bientôt tes seins seront encore plus gros, et plus fermes grâce à l'allaitement. Bon ma chérie, tu as bien tout compris ? Tu sais comment je veux que ce déroule la soirée ? »
Marie : « Oui monsieur le directeur »
Marie - Je conserve les pinces sous ma robe jusqu'à l'arrivée de mon mari, quand je l'entends arriver, je les enlève et les mets sous un coussin du canapé pour que vous les récupériez. Vous me laissez préparer la chantilly ... J'ai honte, mais ai hâte de voir Hervé arriver et me découvrir ainsi.
Cello - Lorsqu’il entre, tu sors juste de la salle de bain, fraîche et maquillée. Je suis dans une rue adjacente de la tienne, lorsque je le vois arrivée, je décide de lui laisser 5 minutes, avant de sonner à ta porte.
Marie - Quand mon mari me découvre, il me prend dans ses bras et je lui dis :
« Mon chéri je l'ai mise pour toi, mais je ne peux pas la garder regarde on voit tout »
Hervé : « Oui tu as raison, Je… Heu… Je ne pensais pas que ce serait aussi heu… Enfin ça fait vraiment cochonne de recevoir un invité comme ça ».
Marie - Et là, ça sonne, on panique un peu et Hervé (ne sachant lui même pas pourquoi) me dit :
« Ça ne fait rien, allez va ouvrir ».
Marie – Je me précipite à la porte, avant qu’Hervé ne change d’avis et vous ouvre.
Cello : « Bonsoir Marie. Vous étés très en beauté ce soir, j'espère ne pas arrivée trop tôt ».
Marie - Je suis toute rouge (mais pas de honte vis à vis de vous, mais de gène vis à vis de mon mari), lui aussi est hyper gêné, surtout que vous ne me regardez pas comme un obsédé.
Cello - Apercevant Herve derrière toi, je dis :
« Bonsoir Herve vous allez bien, malgré la grève ? »
Hervé : « Je… Heu… Oui, monsieur je suis en bonne forme, mais entrez je vous en prie ».
Cello : « Merci » dis je en avançant vers le salon attendant que l'un de vous me fasse asseoir.
Marie - Herve passe devant et, vous me pincez un téton au passage ...
Marie : « Asseyez-vous sur le fauteuil monsieur nous allons nous mettre sur le canapé avec Hervé ».
Marie - Hervé est jaloux et excité par la situation malgré lui, que je me retrouve devant vous dans une robe sous laquelle on devine tout et qui laisse ballotter mes gros seins heureusement pour lui pour l'instant, vous faites semblant de rien.
Cello - Alors qu'Herve s'absente pour aller chercher la bouteille de champagne que tu as mis au réfrigérateur, tu me dis que les pinces sont sous mon cousin.
Marie - Et vous me dites tout bas, alors qu’on entend Hervé revenir :
« Tu es putain à souhait »
Cello - Herve débouche la bouteille et commence par te servir, lorsque l'on sonne à la porte, en entendant la sonnette je dis :
« Ha oui ! Je me suis permis d'inviter Kévin à boire l'apéritif, afin qu'Hervé connaisse toute l équipe, j'espère que cela ne vous dérange pas ».
Marie - Je fais l’étonnée
« Ha bon ! Je… Heu… Et bien oui… Bien sur ... ».
Marie - Hervé lui est encore plus gêné, que le jeune stagiaire me découvre dans cette tenue, mais il répond :
« Non bien sur vous avez eu raison, chérie, va lui ouvrir ».
Marie - J'y vais faisant ballotter mes seins sous vos yeux à tous les deux, vous laissant seul et allant ouvrir la porte à Kevin, qui me découvre ainsi.
Cello - Lorsque tu ouvres à Kevin, il bafouille :
« Bon...Bonsoir heu...Marie » les yeux écarquillé, bien qu'il t’aies déjà vues entièrement nue.
Marie : « Allez entre ! Tu comprends que ma tenue est une idée du patron, alors ne me regarde pas trop devant mon mari, s’il te plait ».
Cello : « Marie est très en beauté ce soir, cette petite robe lui va a ravir » dis-je à Hervé.
Kévin te fais un baiser et te dis : « Ne crains rien, je sais me tenir ».
Herve : « Heu… oui merci je… Nous avons hésité, nous avions peur que ce soit heu ... Trop léger, j'espère que vous ne porterez pas de jugement sur Marie c'est moi, qui lui ai proposé cette tenue » (il essaie de me sauver la mise, au cas où vous m'auriez trouvé vulgaire).
Marie - Oui Kevin m'embrasse tendrement sur la bouche me troublant plus que je ne l’aurais cru.
Cello : « Vous avez bien fait, Marie est une très belle femme, et lorsqu'on a une belle femme, il faut savoir la mettre en valeur ».
Hervé : « Je… Heu… Oui merci mais vous êtes sûr, ce n'est pas trop ? ».
Cello : « Trop sexy ? Personnellement cela ne ma choque pas, mon cher, soyez rassuré, et puis Marie est chez elle, elle a le droit de se vêtir comme elle le désir ».
Hervé : « Oui merci j'avoue que j'étais un peu anxieux de votre réaction, vous comprenez, elle a voulu me faire plaisir et comme elle est prude de nature, parfois elle ne se rends pas compte, et elle va un peu trop loin »
Cello - Je souris pour le rassurer et dis, en te voyant revenir avec Kevin :
« J’étais en train de dire à Herve que vous aviez une très belle robe, qui vous va parfaitement et que vous avez très bon goût ».
Cello - Tu fais asseoir Kevin face à Hervé et tu reviens sur le canapé près d'Herve et face à moi.
Marie - Je deviens toute rouge que vous fassiez ouvertement référence à ma tenue.
Cello - Nous sommes assis face à toi, dans des fauteuils sépares de 30 cm environ. Alors qu'Herve propose du champagne à Kevin, et va lui chercher une coupe, je te dis :
« Ecarte tes cuisses, lorsqu'il sera revenu, je veux voir ta chatte mouillée de désir et d'excitation ».
Marie : « Oui monsieur »
Marie - Kevin n'en reviens pas de votre audace et de mon aveuglement. Je vous obéis comme une esclave. Il voudrait me "sauver" mais en même temps la situation lui donne l'occasion d'avoir sa part de plaisir. Herve sert Kevin et remarque une grosse bosse sous son pantalon (non ça ne peut pas être sa bite c'est trop gros !).
Cello - Et se rassois près de toi, il pose sa main sur ta cuisse et tu en profites pour écarter l'autre cuisse légèrement.
Marie - Oui j'écarte la cuisse droite, Hervé à ma gauche la main sur mon genou.
Hervé : « Je suis ravi de connaître aussi Kevin, qui travaille dans le même bureau que toi, et c'est à lui que tu as donné un coup de main, hier midi lorsque j'étais là. C’est bien cela ? »
Marie : « Oui mon chéri, il n'a pas trop l'habitude de travailler dans une ambiance administrative comme chez M. Cello, alors parfois je dois le décharger un peu ».
Marie - Hervé voit bien que Kevin n'arrête pas de regarder mes siens et mes jambes (qu'il croit, mais il va bientôt comprendre, qu'il regarde ma chatte)
Cello : « Oui c'est exactement cela. Heureusement que Marie aide Kevin et le décharge, car il ne s'en sortirais pas seul »
Marie : « Oui, car tout seul il ne ferait pas les choses aussi bien, c'est sur ».
Marie - Herve est jaloux du regard de Kevin, mais il croit aussi remarquer parfois le votre, mais cela l'excite malgré lui.
Cello - Voyant Kevin regarder trop précisément tes seins, je lui dis :
« Kevin, je sais que Marie a une robe sexy et une grosse paire de seins, mais soyer discret mon ami, on dirait que vous allez sauter dessus et les manger ».
Marie - Il en est hyper gêné ainsi que moi, qui croise les bras devant moi et Hervé qui bande plus fort que jamais, sans comprendre pourquoi à la simple évocation par mon patron de "ma grosse paire de seins".
Kevin : « Excusez moi monsieur Cello, excusez moi Marie et Monsieur J ».
Cello - Prétextant d'aller surveiller le repas quelques secondes à la cuisine, tu te lèves et nous quittes quelques instants.
Marie - En arrivant à la cuisine, je passe ma main sous ma robe pour m'essuyer, ça me coule sur les cuisses. (Ho ! Mon dieu ça va trop loin, que va penser mon mari ?) Mais au fond de moi, j'espère que vous continuerez.
Cello - J'en profite pour dire :
« Ce petit cochon, il regarde les seins de Marie, comme s'il n'en avait jamais vu, à part ceux de salopes dans les films porno ou des putes »
Je sais que de la cuisine, tu entends ma réflexion faite à Hervé.
Marie - Kévin bande encore plus fort, un bras sur son entrejambe pour le cacher.
Herve : « Heu… Oui… Oui en effet, ha la jeunesse !"
Cello : « Je sais qu'il est difficile de rester de marbre devant une si jolie femme, mais tout de même, l'on peut admirer discrètement » dis je en souriant.
J’avoue ainsi à Herve que moi aussi, je reluque tes grosses mamelles.
Herve est à la fois flatté et gêné, jaloux, mais dans son esprit il se sent responsable de ma tenue et assume ...
Kevin : « Oui monsieur Cello, je vais être plus discret »
Marie - Et vous de renchérir :
Cello : « Allez ! Va l'aider à la cuisine pour te faire pardonner et observer du coin de l'œil, si ça ne vous gêne pas, Hervé ? ».
Hervé : « Heu… Non… Non… » Tout en se disant qu'il est vraiment con d'accepter, mais il ne sait pas quoi dire d'autre.
Cello - Pour se donner une contenance, et probablement pour retenir Kévin dans le salon, Hervé nous propose une seconde coupe de champagne.
Kevin « Non merci monsieur, je vais aller aider Marie à la cuisine, comme me le suggère Monsieur Cello ».
Kevin se lève et te rejoins à la cuisine.
Kévin : « besoin d'un coup de main Marie ? ».
Cello - Mais avant même que tu ne répondes, il a plonger ta main sous ta robe et l'a relever jusqu'aux fesses.
Kévin : « Espèce de putain, tu laisses le patron tout exiger de toi et me ridiculiser devant ton cocu de mari, mais tu vas me soulager, sinon je lui dis tout ».
Marie : « Non surtout pas, je ferai ce que tu me demandes Kevin ».
Et je le laisse me peloter et me doigter.
Cello - Alors qu’il te caresse les fesses, tu déboutonnes sa braguette, sort son sexe et tu commences à le branler au dessus du saladier où tu as mis la chantilly.
Marie - Oui il a vraiment une queue énorme, je la branle lentement, lèche le gland de temps en temps tandis qu'il malaxe mes mamelles puis commence à me les téter.
« Humm… oui Kevin tu es tendre et si viril à la fois, allez vas y gicle dans le saladier, comme ça pendant ton sport, tu sauras que je vais boire ton sperme pendant le dessert en compagnie de mon mari ».
Cello - Sachant ou plutôt me doutant de ce qui se passe à la cuisine, j'essai de distraire Herve en lui parlant de mon projet de m'agrandir et que j'envisage peut être d'embaucher un commercial.
Kévin : « Tu es vraiment une putain, le patron a raison de se servir de toi comme il le fait ».
Marie - Il est flatté que vous lui parler de vos projets professionnels et redeviens mal à l'aise, mélange de jalousie, de soumission et de complicité quand vous ajoutez :
« Surtout si vous devenez un de mes intimes en baisant la salope dont je vous ai parlé, si elle avait une robe comme celle de votre épouse, elle aurait vraiment l'air d'une putain ».
Et d'ajouter :
« Mais dites moi, Hervé avouez ! Ca vous excite pas un peu que Marie soit à moitié à poil au milieu de nous ? Vous avez vu mon stagiaire comme il a de la peine à se retenir ? Je suis sûr que si nous n'étions pas là, vous l'auriez déjà culbutée en la traitant de salope en chaleur hein ? ».
Hervé : « Oui ! Car j'aime Marie, et j aime faire l amour avec elle.
Cello : « Je ne m'imaginais pas qu'elle soit capable de s'habiller comme cela, quand je l'ai embauchée. Je vous comprends, vous avez raison de l'aimer, elle a l'air si pure, on a l'impression que si vous le vouliez vous pourriez lui faire faire tout ce qui vous passe par la tête, mais bon. Au fait j'ai dans ma poche un cadeau pour l'amie dont je vous ai parlé et que je dois voir cette semaine, peut être vous aimeriez que je vous donne l'adresse pour votre épouse ... »
Et vous sortez lez pinces à seins.
Hervé : « Et le fait de la savoir à moitié nue devant vous est assez excitant ».
Cello : « Si vous le souhaiter, je vous les donne, car je sais que vous n'aurez pas le temps d'en acheter avant votre départ »
Et je lui donne les pinces
« Vous pourrez les lui mettre ce soir comme cela ».
Herve : « Oui je… Heu… Cela me gène, mais c'est vrai que cela m'excite, qu'elle soit à moitié nue devant nous tous. Ho ! Merci pour les pinces, je ne sais pas si j'oserai, vous savez Marie est assez prude et enfin on verra ».
Marie : « On verra quoi ? » dis tu, en revenant avec Kevin dans le salon.
Et vous ajoutez (tout bas) :
« Imaginez que vous la preniez à 4 pattes les seins lestés sous elle, hein ? Allez j'arrête vous devez bander trop fort pour avoir envie de patienter notre départ ».
Kevin dit alors : « Je vous prie de m'excuser, mais je dois partir, j'ai entraînement ce soir ».
Herve remarque que Kevin ne bande plus, il s'est sûrement calmé en aidant Marie dans la cuisine, quoi que… Si ce doit être cela ... Marie apporte les plats, nous passons à table ...
Herve : « Ha oui et bien je crois que cela vous changera les idées haha. ».
L’apéro de 3 verres chacun commence à faire son effet.
Cello : « Oui excellente idée, il va être temps d'éponger car 3 verres cela commence a être sérieux ».
J’attends alors que tu me dises où je dois m'asseoir.
Cello - Hervé croyant bien faire et trouvant que vous me regardez trop, propose que je me mette face à lui et vous à mes cotés ...
Marie - Pendant que vous vous installez, je raccompagne Kevin, qui me dit en m’embrassant :
« Espèce de salope, tu vas en prendre plein la chatte hein, j'aurais du proposer au patron, qu'on vienne à toute l'équipe te remplir de foutre, après notre entraînement »
Et il s'en va.
Cello - Connaissant l idée qui traverse l’esprit d'Herve, je dis :
« Vous avez raison, ainsi je regarderais moins la poitrine de Marie ».
Cello - Il sourit gêné, mais c'est bien cela ...
Marie - Moi-même, je suis hyper gênée de voir qu’Herve montre sa jalousie et surtout se rende compte que vous me regardez comme autre chose qu'une salariée, même s'il ne sait rien de ma soumission à vous.
Hervé : « Oh chérie tu as oubliée le vin, ne bouge pas je vais chercher la bouteille ».
Cello - Immédiatement je te dis :
« Retrousse ta robe, je veux que tu te caresses pendant le repas ».
Herve en revenant dit : « Vous parlez du repas ? »
Cello : « Oui, je demandais à Marie ce qu'elle avait à nous offrir ».
Marie : « Je… heu… bien monsieur... et je m'assied à même la peau sur ma chaise à coté de vous, les joues rouges »
Je soulève la cloche du plateau du traiteur : « Et bien voilà de la poule ».
Cello : « Hum !!! Excellente idée, et elle est fourrée à quoi ? ».
Marie : « Elle est fourrée aux marrons, aux carottes et crème de champignon ».
Cello : « Curieux mélange dis Hervé, mais ce doit être excellent comme tout ce que tu fais ou achète ma chérie ».
Cello - Alors que nous avons dégusté la poule, tu te lèves en disant :
Marie : « En dessert, c'est une tarte, j'ai de la chantilly avec si vous voulez. J'en ai fait, car je sais qu'Herve adore cela. »
Cello : « Je n'ai plus faim, mais comme c'est vous qui avez fait la tarte je vais en prendre, mais sans chantilly ».
Cello - Tu vas dans la cuisine, préparer 3 assiettes de desserts et tu n’oublies pas de mélanger un petit somnifère, à la chantilly d’Hervé. Tu apportes les assiettes en disant :
« J'espère que tu trouveras cette chantilly bonne mon chéri, c'est une nouvelle recette que j'ai essayée »
Hervé : « Humm ! J’ai hâte ».
Marie - Son assiette en est recouverte et la mienne un peu moins
Cello - J’attends avec impatience de voir Hervé, goûter ta chantilly et de connaître ses impressions.
Cello : Alors qu’Hervé semble apprécier le dessert, tu as mangé ta chantilly très salement.
Marie : Oui je me suis léchée les lèvres pour ne pas en avoir partout et ai aussi essuyé avec mes doigts le sperme (Heu ! La chantilly), qui me coulait sur le menton ...
Cello - Je te demande de nous servir un digestif (histoire d'achever Herve).
Marie - Une fois sur le canapé à coté de lui et pendant que j'étais dans la cuisine.
Cello : « Merci pour la soirée Hervé, c'était très agréable et pour le moins inattendu ... Je ne veux pas parler du repas, dont je me doutait qu'il serait délicieux, mais de la tenue audacieuse de votre épouse que je ne soupçonnais pas capable de cela, lorsque je l'ai reçue dans mon bureau à son premier entretien d'embauche.
Hervé : « Heu... Oui elle a voulue se lâcher pour me faire plaisir, mais elle ne pensait pas que cette robe était si collante et moulante »
Cello : « Ca ne semble pas vous avoir déplu en tout cas ... Mais moi son employeur j'ai pris plaisir à la
regarder .. ».
Hervé : « Heu… Oui… Oui moi aussi mais je… Heu… Je suis un peu gêné de l'avoir exhibée ainsi à son patron, j'espère que cela n'influencera pas votre perception de son travail ... ».
Cello : « Je vous avais dit que la salope que je vais vous présenter la prochaine fois ressemblait à Marie, mais je peux vous le confirmer, maintenant que j'ai pu juger des formes de votre épouse ».
Hervé : « Je… Heu…
Marie - Il bouge un peu et pose son avant bras sur son sexe qui bande malgré lui en vous entendant me comparer à une salope.
Hervé : « Je… Heu… Oui heu… J'ai vu oui et Heu… C’est vrai qu'elle a une grosse paire et je ne vous en veux pas, je sais que vous la respectez, mais moi aussi, là j'ai un peu bu et je la trouve heu ... Enfin pareil que vous sauf que moi, c'est ma femme »
Cello : « Oui c'est vrai de dire de sa femme "que c'est une salope", mais enfin sa tenue était loin d être sage ».
Hervé : « En tout cas, j'ai vu qu'elle ne le laissait pas indifférent, il bandait même franchement et énormément de ce que j'ai vu, mais oui dire de Marie que c'est une salope, ce n'est pas trop mes habitudes de parler ainsi de mon épouse je… Heu… Mais, je comprends oui avec sa tenue je…
Cello : « Oui et puis mon petit stagiaire, il va falloir que je ne le laisse pas tout seul avec Marie, vous avez remarqué comme il regardait ses cuisses et ses grosses mam… Heu enfin ses gros seins, si je veux être respectueux, mais avec une paire pareille entre nous, on peut parler de mamelles n'est ce pas ? »
Marie : J'arrive avec le digestif.
Hervé : « - XXX... »
Marie - je m'assieds, nue sous ma robe, qui remonte mi-cuisses, les jambes serrées.
Marie - Vous voyez Hervé, qui cherche ses mots, commence à sentir la fatigue et à ce moment, j'arrive avec le digestif, me penchant en avant pour vous servir, ma robe laissant pendre mes mamelles qui se balancent sous vos yeux, le renflement des tétons apparents sous le tissus. Hervé et vous buvez le digestif, pendant que je m'assieds sur le canapé en face de vous dévoilant le haut des cuisses, mais les jambes serrées ... pour le moment... Hervé lui commence à piquer du nez et vous voyez qu'il va s'endormir sous peu dans un profond sommeil. Vous baillez.
Cello : « Moi aussi je suis fatigué, dites moi Hervé, Marie, je crois que j'ai trop bu. Ca ne vous gêne pas si votre canapé me sert de lit ce soir ? ».
Marie - Je me penche en avant un peu exprès face à vous deux, je remarque vos deux regards, et que vous bandez comme des ânes tous les deux (pour Hervé du moins pas aussi gros du tout !) en vous tendant les verres, mes seins se balancent sous moi, ce qui contribue à endormir mon mari comme un pendule d'hypnotiseur.
Hervé : « Non bien sur vous êtes ici chez vous, Marie va vous préparer des draps ».
Cello - Lorsque Hervé propose que tu arranges le canapé je dis :
« Non ! Je dormirais ainsi, et voyant qu’il a de plus en plus de mal à garder les yeux ouverts, je te fais signe de relever légèrement ta robe et d écarter tes cuisses
Marie - Oui honteuse de tromper mon mari sous ses yeux presque, j'obéis toutefois, et le voyant piquer du nez, j'écarte les cuisses vous offrant une vue imprenable sur ma chatte.
Cello - Je tente de réveiller Hervé en lui demandant à quelle heure, il part demain matin. Il entrouvre les yeux et me dit :
« Vers 6 h, il faut que je me réveille à 4 h 30 - 5 heures ».
Marie - Il entrouvre les yeux pour vous répondre qu'il part à 6h, et je referme à ce moment mes cuisses que j'avais ouverte en grand, il semble ne rien avoir remarqué.
Cello - Puis je te demande : « Vous n'auriez pas une friandise pour accompagnez le digestif ».
Marie : « Oh ! Si je dois encore avoir deux mandarines gorgées de lait et un abricot au miel ».
vous lui proposer d'y goûter, il répond à moitié endormi :
Hervé : « Non allez y, vous pouvez vous servir, prenez tout »
Marie - Le pauvre il ne se rend pas compte qu'il vient de vous dire que vous pouviez vous servir ... de moi.
Hervé : « Vous m'excuserez, mais je vais aller me coucher, je vous laisse déguster les friandises de Marie ».
Cello : « Vous avez tort, je suis sur que les friandises de Marie sont excellente, mais je comprends, avant d'ajouter j'aime les gâteries avec le digestif ».
Hervé : « Bien monsieur le directeur je vais vous en faire une, mais laissez moi accompagner mon mari au lit, j'ai peur qu'il ai trop bu et n'atteigne pas la chambre ».
Cello : « Oui allez y Marie, et ôter l'emballage des confiseries tant que vous y êtes ». Et j’ajoute à l’attention d’Hervé :
« Merci Hervé vous êtes un hôte parfait de me laisser profiter ainsi de votre hospitalité, et aussi de votre charmante épouse (ça y est il dort drogué), que je vais baiser comme une putain soumise et remplir de foutre comme une outre à sperme ...
Marie : « Allez vient mon chéri, tu dors aux ¾. Voila, comme ça, marche, ... Allez allonge toi. Tu veux que je te déshabille ? »
Il fait oui de la tête. Je le mets nu entièrement. Il s'endort définitivement, le sexe au garde à vous.
J'enlève ma robe en laine moulante et je reviens nue vers vous.
Cello : « Hum ! Viens ma chérie, monte sur le canapé et offre moi ton abricot au miel. Ton mari est d'accord dis je en souriant »
Marie - Je me mets debout devant vous un pieds de chaque coté de vos cuisses, les genoux un peu pliés appuyés contre le dossier du canapé mon sexe devant votre visage.
« Voila monsieur le directeur l'abricot au miel que mon mari ne veut pas goûter et qu'il vous invite à déguster seul »
Cello – Aussitôt, je plonge mon visage entre tes cuisses et ma langue effleure très doucement tes lèvres intimes parfumées.
Marie : « Hummm ! Hoo oui monsieur »
Cello : « Tu es bonne ma belle » dis-je en écartant tes lèvres de ma langue, celle-ci fouille maintenant ta vulve trempée. Je sens ton miel couler abondamment dans ma bouche
« Oh ! Ma chérie, que j'aime ton jus de moule ».
Marie : « Humm ! Oui monsieur le directeur vous le léchez bien, j'aime que vous me trouviez bonne. Oui appelez moi encore votre chérie pendant que mon mari dort à coté ».
Cello - Je continue à déguster ta chatte, tout en pinçant tes tétons durement et fermement. « Tu aimes cela ma chérie, que je te fasse du bien au sexe et mal aux nichons. Moi cela m'excite de te déguster et de te maltraiter les outres en même temps. Tu es maintenant ma chérie, et ma salope et sache que j'ai dorénavant priorité sur toi par rapport à ton mari ».
Marie : « Humm ! ».
Oui je suis debout contre vous, vos mains s'agrippent à mes seins que vous malaxez puis en pincez et tordez les tétons.
« Ho ! Oui monsieur j'aime ce mélange de plaisir et de douleur ! »
Cello : « Oui donne moi tout ton jus après je te baiserais comme une chienne ».
Marie : « oui je suis votre chérie, votre salope soumise, votre putain et mon mari passe après vous désormais ».
Cello - Bandant comme un cerf, je te demande de venir maintenant t'asseoir sur mon sexe près à exploser. tu t'accroupie sur mon membre, qui te pénètre sans difficulté. Tu me fais face et je vois tes seins bouger devant mes yeux. Alors que tu montes et descends sur mon sexe, je commence à te gifler les outres d'abord doucement, puis de plus en plus fort.
Marie : « Oh ! Humm… Oui je suis empalée sur vous. Je me baise moi même sur votre queue.
Cello - Oui tu te baisses sur mon sexe, alors que je frappe tes outres de plus en plus fort.
Marie - Vous me regardez, m'insultez et me giflez les seins en m'ordonnant de dire que je suis une putain, un sac à foutre, que j'ai des mamelles de vache, des pis à traire ? que mon mari est un cocu et bientôt sucera à mes cotés ...Moi je jouie sous ces insultes et sur votre grosse bite sur laquelle je me pistonne.
Cello : « Allez ! dis le plus fort, je veux que son subconscient t'entende. Je veux t'entendre crier sous mes gifles ».
Marie : « Oui je suis une putain et mon mari est un cocu qui bientôt lèchera les couilles de mon patron pendant qu'il me baisera. Haa ! Haaa ! Oui mes mamelles sont à vous. Je mérite votre punition, car je suis une femelle en chaleur infidèle ».
Cello ; « Oh ! Oui je vais jouir dans toi, et ce matin, tu te feras lécher par ton mari lorsqu'il se réveillera après avoir jouie en toi » Après avoir jouis, je te dis : « Allez descend et met toi à 4 pattes et va dans la cuisine ainsi ».
Marie - Oui vous me remplissez de votre semence, puis je me retire et je me mets à 4 pattes pour aller dans la cuisine. Je marche à 4 pattes oubliant presque que vous me transformez lentement en pute pour ne retenir que le plaisir que vous m'offrez en me faisant jouir sous le toit conjugal.
Cello - Je te suis dans la cuisine et te demande :
« Ou sont les spatules en bois ?».
Marie : « Dans le grand pot en grés monsieur… »
Cello : « Je vais commencer par te fesser avec une maryse en caoutchouc, après je prendrais une spatule en bois pour que ton cul soit bien rouge, voir grenat sous les coups.
Marie : « Je… Heu… (le plaisir et l'excitation de faire cocu mon mari à coté de lui presque m'avait fait oublier ma soumission physique ...). Bien monsieur ...
Cello - Je m'approche de toi et commence à te frapper avec la maryse. Les premiers coups sont faible mais très vite, je frappe plus fort.
Marie - Oui sur les fesses, mais aussi les mamelles par en dessous et sur les cotés.
Cello - Les coups pleuvent de plus en plus fort, puis je repose la "maryse" et prend une spatule en bois et continue le traitement de tes fesses, elles commencent a être bien rouge.
Marie - Moi je serre les dents les joues pleines de larmes
« Je… Heu… Pitié monsieur le directeur, je serai un bonne putain soumise je vous promets, je ne vous refuserai rien, mais arrêtez ça fait mal »
Cello : « Je sais que cela fait mal, mais je souhaites que tu restes marquer pour que ton mari voit les traces à son réveil et tu devras lui dire que c'est lui qui c'est réveiller dans la nuit et qu'après t’avoir fait l'amour, il a commencer à te donner une petite fessée pour avoir oser porter ta robe et là, tu lui aurais avouée aimer cela et il a continuer de plus en plus fort ».
Marie : « Oui monsieur le directeur, je ferai tout selon vos instructions, oui je lui dirais que je pense qu'il s'est senti jaloux et que de colère, mais aussi d'excitation, il a voulu me punir.
Cello : « Oui c'est très bien »
Puis je pose la spatule sur la table et te demande de t'asseoir sur une chaise, d'écarter tes cuisses et de mettre tes bras derrière le dossier.
Marie - oui j'obéis assise sur la chaise, les bras dans le dos.
Cello : Je prends des serviettes de tables et je t'attache les bras dans le dos et les pieds à l'extérieur des pied de chaise pour bien t'écarter, puis je te bâillonne, reprends la spatule et commence à te frapper les mamelles.
Marie - Oui je ne peux bouger ni mes poignets, ni mes chevilles. Oui vous me voyez souffrir en pleurant, tandis que mes mamelles rougissent de plus en plus. J'en ai même des bleus. Je dirai à mon mari, qu'il avait l'air possédé et me les malaxait et giflait en m'insultant, il aura honte et s'excusera, mais je lui dirai que je l'aime et que je l'ai encouragée au début.
Cello : Après avoir lécher tes larmes, je te dis :
« Ton mari va bientôt se réveiller, je vais te laisser ainsi et vais aller faire semblant de dormir sur le canapé - tu dois lui faire croire que c'est lui, qui t'a fait cela et que tu espères que je n'ai rien entendu. Puis, tu lui demanderas de te lécher et ensuite avec son café tu lui offrira un morceaux de tarte avec de la chantilly ».
Marie : « Oui je lui dirai que selon moi vous avez du entendre, quand il me traitait de salope, que le stagiaire n'arrêtait pas de me reluque,r que mon patron devait avoir envie de me baiser et j'ajouterai que j'ai honte car vous avez du tout entendre ».
Cello : « Oui parfait ! Reste debout jusqu'à ce qu il parte après tu reviendras près de moi ».
Marie : « Oui du genre -- Allez mon chéri pour te faire pardonner lèche moi, fais moi jouir avec la langue.—Il n'osera pas dire non et croyant lécher sa propre semence, il le fera sans protester, ce qui va l'habituer à ce que vous lui réservez ».
Cello : « Oui très bien, tu as tout compris ».
Marie : « Oui maître, il me lèchera, ensuite je mettrai une nuisette transparente pour aller avec lui pour son café et sa tarte et quand il sera parti je viendrai vous voir ».
Cello : « Oui et si tu es bien sage, nous irons dormir dans votre lit conjugal ».
Cello - Le réveil d’Hervé sonne à ce moment là, je replace ton baillon et file sur le canapé.
Marie : « Oui monsieur le directeur ».
Cello – Etonné de ne pas te trouver près de lui, il se lève et t'appelle :
« Marie ! Où es tu ».
Cello - Tu fais semblant de vouloir lui répondre. Il arrive dans la cuisine , se précipite sur toi, ôte ton baîllon et te demande qu'est ce qui es arrivée.
Marie : « Huoummm (mais pas trop fort pour ne pas vosu reveiller)
« Tu me demandes espèce de pervers, j'étais morte de honte à l'idée que mon patron se lève pour boire un verre et me découvre dans la situation dans laquelle tu m'as laissée ».
Marie - Il ne se souvient plus, pense qu'il a trop bu.
Hervé : « Je ne me souviens pas ma chérie juste avoir pris un digestif et puIs plus rien ».
Marie : « Ha ! Je t'interdis de m'appeler chérie après ce que tu m'as fais ».
Cello - Je prête une oreille attentive au récit que tu vas lui faire. Je sais qu'il est en train de défaire tes liens alors que tu es nue et j'ai presque envie de me lever, mais au dernier moment je me ravise, et reste sur le canapé.
Marie : Il s'excuse en me détachant.
Marie : « Tu ne te souviens pas ? Déjà avec mon patron avant d'aller te coucher, tu as fait des allusions à ma tenue que tu as choisi pour moi, j'étais vraiment honteuse. Ensuite je t'ai emmené au lit, tu t'es endormi de suite et je suis allée préparer une gâterie et un dessert pour M. Cello.
Hervé : « Quelle gâterie lui as tu préparée ? demande t il encore dans les nuages.
Marie : « Et quand je suis revenue dormir avec toi, alors que je m'endormais, tu t'es réveillé en te frottant à moi, tu a malaxé mes seins si fort que j'en avais mal, puis tu m'a prise en me traitant de salope en chaleur, tu m'as dit des choses si crues ! Que j'avais des grosses mamelles, que j'avais fait bander le stagiaire qui devait se branler en pensant à moi ...Ecoute moi au lieu de poser des questions ! »
Hervé : « Oui ! Oui ! Ma chérie, pardon !!! ».
Marie : « Tu m'a ensuite donné de grandes claques sur les fesses en alternant avec un pétrissage mammaire en règle et comme tu me baisais en même temps j'ai jouie et là tu m'a dit "espèce de putain tu jouis pendant que je te file des claques, vient avec moi à la cuisine et là tu m'a giflée les seins avec une maryse et ensuite une spatule et tu m'a laissée là. Tu te rends compte si mon patron s'était levé pour boire un verre et m'avait découverte nue attachée, les seins pleins de bleus ».
Marie - (il a super honte de lui ...).
Hervé : « Oh comment pourrais je me faire pardonner ? ».
Puis réalisant, il te demande :
« Ton...Ton patron est toujours la ? ».
Marie - Je jubile de t entendre lui raconter toutes ses balivernes
Marie : « Je… Heu… Oui il doit être sur le canapé, mais puisque tu me le demandes ... Tu pourrais me soulager de ce que tu m'as faite subir ... lèche moi, je n'ai pas aimé ton comportement, mais j'avoue que cela m'a excitée aussi ... ».
Cello - Je sais maintenant que tu m'appartiens corps et âme ».
Hervé : « Oui toute de suite mon amour ».
Marie : « Allez mon amour lèche mon sexe pour te faire pardonner ».
Et là pendant que mon mari est entre mes cuisses, je vois votre visage par la porte qui nous épie ...
Cello - Je te fais un clin d'oeil et te demande par geste, si tu veux que je vous surprenne.
Marie - Hervé le pauvre bande comme un cerf, il n'a pas joui depuis plus d'une semaine. Il se lève et veux me prendre. Je refuses lui disant :
« Tu ne trouves pas que tu as assez abusée de moi cette nuit ». Tu bandes encore après m'avoir baisée toute la nuit »
Hervé : « Oui ma chérie, c'est ce que tu viens de me raconter qui m excite ».
Marie - Je fais – non - préférant que vous croisiez Hervé dans le salon, pendant que je serai retournée au lit lui disant :
« Et bah dites donc hervé ! Vous cachiez votre jeu, je vous ai un peu entendu cette nuit, qu'est ce que vous lui avez mis ! »
Je retourne m'allonger sur le canapé sachant qu'Hervé va probablement filer sous la douche pour se calmer.
« Ha non je vais me coucher moi, bon voyage à dans un mois (15 jours en Pologne + mon stage de 15j »
Vous me voyez aller vers ma chambre en me faisant un clin d'œil.
Cello - Puis je vois Herve filer vers la salle de bain je t'entends lui dire alors :
Marie : « Si tu veux il reste de la tarte et de la chantilly avec ton café ».
Marie - Il en prend une part de tarte qu'il recouvre de chantilly et s'installe au salon la bite raide sous le caleçon, à ce moment quand il a presque tout fini vous vous relevez
Cello : « Bonjour Hervé ! Hé ben vous avez l'air en forme »
En regardant son caleçon ... il est super gêné. Puis j'ajoute :
« Et bien vous en avez fait du bruit cette nuit avec Marie. Vous avez du mérite, j'ai un peu entendu vos ébats cette nuit, je ne vous savais pas si pervers, ni votre épouse si salope, enfin si je peux me permettre, elle en avait l'air mais je la croyais coincée, j'ai découvert qu'elle aimait se faire malmener, je n'aurais pas pensé ... »
Cello - Juste avant de partir il se dirige vers la chambre, mais tu fais semblant de dormir.
Je lui propose de boire un autre café avec moi, mais il me dit qu’il est déjà en retard et qu’il doit y aller. Je lui demande s’il peut me donner ta clé pour que je ferme après mon départ, afin de te laisser tranquillement dormir et que je vienne te chercher lorsque tu seras levée. Il fouille dans ton sac et me donne ton trousseau de clé.
« Merci hervé » avant d’ajouter en l’accompagnant jusqu'à la porte :
« Vous savez, je vais voir Marie d’un autre œil, après cette soirée »
Géne, il ne me répond pas, se contentant de me sourire.
Aussitôt, après son départ, je vais dans la chambre, me déshabille et me glisse sous les draps près de toi. Tu te blottis contre moi, en m’embrassant et nous nous endormons comme deux amants nos corps lovés l’un contre l’autre.
Quelques heures plus tard, nous nous réveillons, toujours dans les bras l’un de l’autre. Je t’embrasse :
« Bonjour ma Chérie, alors tu es contente de ta soirée ? »
« Maintenant que ton mari est parti pour 15 jours, je vais m’occuper de toi, pour modifier ton corps, afin qu’il ne te reconnaisse pas le soir, où il te baisera en croyant que c’est une autre ».
« Ce matin, tu as un rdv chez l’esthéticienne, pour te faire épilée intégralement et définitivement, comme cela il ne reconnaîtra pas ton minou, ni ton cul, bien que tu ne sois pas très poilue et qu’il ne s’occupe pas de ton fion, d’après ce que tu m’as dit ».
Nous nous levons, buvons une tasse de café, et à ce moment là, le téléphone sonne.
Surprise, tu me regardes et sembles hésiter, avant d’aller répondre.
Hervé : « Allo ma Chérie, je t'appelle car je viens d'avoir mon patron et suite à une grève des aiguilleurs du ciel, nos ne décollons d'Orly que demain midi, cela me donne le temps de revenir passer une nouvelle soirée avec toi, qu'en penses tu ? »
Marie - Il téléphone alors que je suis au bureau en train de travailler pour de vrai :
« Ho ! Oui super ! J’ai hâte, surtout que tu n'a pas profité de moi hier, tu t'es endormi si rapidement ... par contre je dois voir, car j'ai laissé ma voiture à la maison c'est mon patron, qui est venu me chercher et qui me redéposera à la fin de la semaine, j'ai fait ma valise et je l'ai déposée dans le studio de l'entreprise »
Hervé : « Oui ma chérie, demande lui si cela ne l'embête pas de te déposer ce soir, et puis tu pourrais en profiter pour l'inviter à dîner, je pense que je serais à la maison vers 20 heures »
Marie : « Tu crois ? Mais on ne sera pas seuls alors, tu as intérêt à ne pas t'endormir cette fois-ci ... Je te rappelle ».
Hervé : « Oui ma chérie, j'attends ta confirmation. Bise, à tout de suite ».
Marie : « Bisous ».
Marie - Je viens vous voir :
« Monsieur le directeur, Hervé vient de me téléphoner, son voyage est reporté à demain et ... il aimerait vous inviter à manger à la maison ... ».
Cello : « Oui Marie et quand cela ? »
Marie : « A 20 h ce soir. Je… Heu… Vous ne lui direz toujours rien sur moi monsieur ? ».
Cello : « Soit sans crainte Marie, je ne lui dirais rien, mais je veux que tu lui donne un petit somnifère ce soir, pour te baiser dans son lit, pendant qu’il dort ».
Marie : « Je… Heu… Bien monsieur, le pauvre il va se douter non ? Il faudrait que vous le fassiez boire ».
Cello : « Ne t'inquiète pas, tu devras juste écrasé le comprimé et le mettre dans le dessert le moment venue, bien entendu je souhaites que tu sois nue sous tes vêtements ».
Marie : « Mais… Je… Heu… Comment vais je justifier de ne rien porter sous mes vêtements alors que vous venez manger ? ».
Cello : « Tu lui diras que c'est pour lui que tu ne portes pas de soutien gorge. Comme je sais que tu aimes que je m'occupe de toi pendant que tu téléphones à ton mari, viens t'asseoir sur mes genoux, je vais te caresser pendant que tu lui confirmes que c’est d'accord ».
Marie : « Mais, Je… Heu… Vous savez que mes seins ballottent au moindre mouvement, que va penser mon mari ? ».
Cello : « Que tu es une femme aimante, qui a envie de lui faire plaisir »
Marie : « Mais, il va bien voir que vous aussi vous verrez mes gros seins bouger, leurs formes ... ».
Cello : « Ne t inquiètes pas, je pense qu’il est fier de ta poitrine et cela ne va pas le déranger. Allez assieds toi, que je te pelote et compose son numéro ».
Marie : « Bien monsieur le directeur ... »
Marie - Je m'assied sur vos genoux, en jupe et chemisier ouvert, sans rien dessous bien sur. Vous m'avez retroussé la jupe, je suis assise à cheval sur votre sexe que je sens durcir, vous écarter les pans de mon chemisier.
Cello - Tu as a peine commencé à composer le numéro que l'une de mes mains enferme l'un de tes seins, tandis que l'autre main plonge dans ton entrejambe.
« Mais tu es mouillée salope ! »
Marie : « Je… Heu… Oui monsieur cette idée de me retrouver seins nus sous un pull moulant entre vous et mon mari me rend folle de désir et de crainte en même temps. Chut… ! Ca sonne… »
Cello - Je déboutonne ma braguette et te demande de te pénétrer et de me chevaucher pendant ta conversation pendant que je malaxe durement tes nibards.
Marie : « Allo chéri, c'est moi, oui je viens de lui parler, il est d'accord, je devrai attendre qu'il finisse ce qu'il a à faire pour rentrer, nous devrions arriver un peu avant toi, je passerai chez le traiteur pour le repas et pendant que vous prendrez un apéro, je ferez un dessert ».
Marie - Oui pendant que j'explique à Hervé, je descends lentement sur votre sexe, qui s'enfonce en moi tandis que vous agrippez mes outres en les serrant fort, je ferme les yeux me concentrant pour parler normalement.
Herve : « Oui très bien, il est si sympa ton patron, je discuterai avec lui pendant que tu prépareras le dessert ».
Cello - Je te prends par les hanches et te fais aller et venir au dessus de moi.
Marie : « Je… Heu… Je ne sais pas, il aurait peut être préféré aller chez lui, je ne sais pas il ne m'a pas dit ».
Marie - Oui vous me baisez lentement, mais bien à fond.
Marie : « Dis moi mon chérie, j'ai une idée, pour que mon patron ne reste pas trop longtemps, et que nous soyons seuls tous les deux ... Je pourrais m'habiller assez sexy, enfin c'est à dire ne rien mettre sous mes habits, et s'il remarque que je n'ai pas de soutien-gorge, il comprendra que j'ai hâte de me retrouver avec toi ? Et puis je serai chez nous, qu'en penses tu ? Ça ne risque pas de le choquer ? Je t'avoue que j'ai un peu peur, mais que l'idée m'excite, surtout que je sais que cela te plait. Tu crois que c'est possible ? Tu ne seras pas jaloux ? »
Hervé : "Oui ma chérie, c'est une bonne idée, et puis après tout cela ne peut pas te desservir bien au contraire, peut être qu'il te donnera une augmentation à la fin de ton mois d'essai ».
Marie : « Ho… Arrête… On dirait que tu voudrais que je m'exhibe pour de l'argent, je ne suis pas une pute »
(D’un air faussement outré)
Cello - Je te lâche les hanches et te donne des claques sur les fesses
Marie - Et reprenant mon souffle, pendant que vous restez bien au fond de moi pour ne pas me faire gémir en malaxant mes seins.
Hervé : « Ce n'est pas cela ma chérie, mais tu sais qu'on a besoin d'argent, et si le fait de ne pas mettre de soutien gorge chez nous, peut te servir à avoir une augmentation, je ne vois pas ce qu'il y a de mal, ni d’immoral »
Marie - Je serre les dents pendant qu'Hervé parle.
Hervé : « Tiens c'est quoi ce bruit ma chérie ? ».
Marie : « Ho… Je… C'est la ventilation, qui claque parfois, je crois ».
Hervé : « Ha oui ! C’est marrant, je ne l'ai pas remarqué, lorsque je suis passé au bureau ».
Marie : « Oui c'est vrai, mais c'est surtout pour te faire plaisir que je le fait (clac clac) pas pour avoir une augmentation, mais si ça fait les deux je ne suis pas contre, je me changerai en rentrant ... Ha oui… Ca recommence je… Ho oui… C’est même fort, cela ne le fait pas tout le temps ».
Marie - Je suis toujours empalée sur vous, penchée en avant les mamelles pendantes et ce sont-elles que vous giflez maintenant.
Cello - Mes claques sont de plus en plus fortes sur tes outres, qui se balancent à chaque coup.
Hervé : « Et bah ! Dis donc, tu peux travailler avec ce claquement, ça ne doit pas être agréable ? ».
Marie : « Je… Heu… Oui tu as raison, mais je n'ai pas le choix, ce n'est pas moi, qui décide comment M. Cello choisi son mode de chauffage ».
Marie - Vous savez que je suis au bord des larmes et que vous devez me faire mal et dès que j'aurai raccrochez vous allez me labourer la chatte et me faire gémir ... D'ailleurs Kevin est venu attiré par les bruits et il nous regarde.
Cello - Puis tu ajoutes :
Marie : « Heureusement ce n'est pas comme cela toute la journée, parfois c'est plus calme ».
Marie - Hervé me dit naïvement de continuer à faire ce qu'il faut pour te satisfaire et ajoute :
« A ce soir, tu mettras quoi au fait, sur ta peau nue ? »
Et je lui dis :
« Je ne sais pas, je n'y ai pas pensé encore, mais pourquoi pas ma robe en laine, je ne la porte jamais, car on voit les marques du soutien gorge au travers ... ».
Hervé : « Oh ! Oui ma chérie, c'est une bonne idée, puisque tu n'en auras pas ce soir et puis son coté moulant n'est pas pour me déplaire bien au contraire ».
Marie : « Coquin je te laisse, au fait j'espère que tu es seul dans ta voiture et que ton patron n'est pas avec toi ? ».
Hervé : « Non ma chérie, rassure toi, autrement je ne t'aurais pas parler ainsi et toi ton patron et le stagiaire ne sont pas près de toi non plus j'espère ».
Marie : « Non bien sur, enfin j'espère que le stagiaire n'écoute pas aux portes ...Bon je vais te laisser mon amour ».
Hervé : « A ce soir chérie – bisous ».
Marie : « Oui je t'aime ... ».
Marie - Clac ! Je raccroche. A ce moment là, vous me pincez les tétons en les étirant vers l'avant, et en me pistonnant la chatte, qui est trempée ... Je commence à jouir après m'être si longtemps retenue.
Cello : « Tu as aimé te faire fesser pendant que tu parlais à Hervé. Tu es une bonne salope tu sais ! ».
Marie : "Hooo ! Humm ! Oui oui oui j'aime ça ! Je suis votre salope ! Houu ! Humm ! ouiiiii ! Ho mon dieu que c'est bon ! Oui baisez moi encore ».
Cello - Je te fais te lever et me lèves derrière toi, sans me retirer, pétrissant tes nibards de plus en plus durement, tandis que le pilonnage de ton sexe est lui aussi de plus en plus rude.
Marie : Oui je me retrouve debout penchée en avant, les mamelles pendantes sous moi en face de Kevin, qui nous regarde sans oser ni me toucher, ni se toucher.
Marie - Après m’avoir baiser, le reste de la journée de bureau se déroule tout à fait normalement.
Cello - Nous quittons le bureau, et je t’emmène chez le traiteur où tu achètes le repas de ce soir. Je te demande d’acheter du champagne pour l’apéritif et une fois à la caisse, je règle l’addition, en te disant devant le commerçant :
« Tu me rembourseras en nature, comme tu sais si bien le faire ».
Marie - Vous me déposez le soir chez moi, nous allons ensemble dans ma chambre à coucher pour que vous me mettiez ma robe. Je la sors de l'armoire, elle est beige, au dessus du genou, très fine, en laine et élasthanne, ce qui fait qu'elle est à la fois moulante, mais en même temps élastique, laissant bouger mes seins sans les maintenir :
« Ho ! Mon dieu, c'est si indécent, je ne l'avais jamais portée sans soutien gorge ».
Marie - On voit même le relief de mes aréoles, c'est sans dire que l'emplacement de mes tétons est parfaitement visible ! En plus, une des raisons, qui fait que je ne la porte jamais en plus de la visibilité des contours de mes sous vêtements sous la laine est qu'elle est assez échancrée sous les bras, et donc qu'on peut y passer les mains pour m'empoigner les seins et aussi voir la base de ma poitrine sur les cotes ...
« Hoo… ! Mon dieu… Monsieur je ne sais pas… ! Hervé va être très jaloux, que je me montre ainsi devant vous »
(Vous imaginez déjà les commentaires que vous lui ferez quand je serai à la cuisine ...)
Hervé : « J’espère bien qu'il va être jaloux, mais il sera aussi excité d'avoir une aussi belle femme ».
Marie : « Je… Heu… Hoo… Monsieur… Je… Heu… Prenez moi s’il vous plait, je suis si excitée, je suis à vous, vous pouvez décider tout ce que vous voulez pour moi ».
Bien évidemment, je ne porte pas de culotte non plus et lorsque je m'assiérai la robe remonte sur le haut de mes cuisses.
Cello - Je te retrousse la robe et te pousse sur le lit, à plat ventre, j'écarte tes cuisses et je m'allonge sur toi et te pénètre sans aucun autre préambule en te traitant de "traînée et de sac a foutre".
Marie - Oui le nez dans la couette, je gémie de plaisir de vous sentir me pistonner la chatte et vous entendre m'insulter et je jouie en hurlant mon plaisir dans la couette, avant même que vous ayez joui vous-même. Je suis toute pantelante, vous me relevez :
Cello : « Allez ma petite putain, viens on va à la cuisine, il faut que tu prépares le dessert ... ».
Cello - Nous allons ensemble jusqu'à la cuisine et te dis :
« Fais moi jouir avec ta bouche comme tu sais si bien le faire et je veux que tu recueilles ma semence dans un saladier. Tu l'ajouteras après à la crème chantilly que tu serviras avec la tarte ».
Marie : « Bien, monsieur le directeur avec vous c'est facile, vous bandez toujours et vous éjaculez de si grosses quantité de foutre ... Hervé va se régaler, espèce de vicieux ».
Cello : « Oui je suis vicieux et pervers et c'est ce que tu aimes en moi avoue ! »
Cello - Sans attendre que tu avoues quoi que ce soit, je te mets mon sexe raide et prêt à exploser dans ta bouche.
Marie - Je le suce avidement en massant vos grosses couilles
Cello : « Oui c'est bien, continue ma belle salope ».
Marie : « Humm ! Oui j'aime tellement vous sucer ».
Cello : « Oui, mais je crois surtout c'est que tu aimes, c’est te délecter de sperme, mais aujourd’hui, tu devras attendre pour te régaler, approche le saladier, je sens que je ne vais pas tarder à jouir ».
Marie : « Oui c’est vrai monsieur le directeur, je saurai attendre et prendre plaisir à regarder Hervé avaler votre jus de couilles ».
Cello : « Oui mais toi aussi tu mangeras de la chantilly ma belle, et cela me fera bander de te voir te régaler, pour l'instant tu auras juste le droit de me laver la bite avec la langue et de me lécher les couilles ».
Marie : « Hum ! Oui merci monsieur ... ».
Je vous lèche la bite, suce vos couilles vidées en regardant le saladier au fond duquel stagne 2 cm de sperme.
Cello : « Merci ma chérie, tu es une véritable experte en langue vivante ! Il ne te reste plus qu'à faire la chantilly et d'ajouter après ma semence avant que ton mari n'arrive. Mais auparavant j'ai un petit cadeau pour toi, attend il est dans la poche de ma veste ».
Marie : « Ha oui… Pour moi ? Hoo merci ».
Cello : « Attends ! Avant de me remercier de voir ce que c'est ! Lorsque je me suis absenter cet après midi, c'était pour acheter ceci » dis je en te tendant un petit paquet.
Marie - Je le prends, tire le ruban... « Hoo… Merci d'avance en tout cas, je suis flattée, j’ouvre le papier ... ».
Cello : « C’est des pinces à seins avec des poids de 100 gr chacun, j'espère que cela te plait ».
Marie : (Oui, des pinces reliées à des poids de 100 gr ça me semble déjà beaucoup).
Cello - Alors que tu déballes les achats fait chez le traiteur et que j'ai voulu payer en te disant : « Tu me rembourseras avec ton cul »
Je te dis
« J'ai donné ton adresse à Kévin, il va nous rejoindre vers 20 h 15 pour prendre l'apéritif avec nous ».
Marie : « Hum… oui j'adore ce genre de remarques faisant de moi, votre putain. Je… Heu… Kevin ? Mais il va me voir habillée comme cela aussi devant mon mari ? Ho… Pitié… Monsieur le directeur… Surtout qu'il soit aussi discret que vous, vous savez bien, dès qu'il me regarde, il est tout rouge et son pantalon tout déforme avec son énorme saucisse ».
Cello : « Je lui ai dis d'être discret, malheureusement je ne pourrais pas l'empêcher de bander ».
Marie : « Mais que va dire Hervé, s'il voit Kevin me regarder les seins avec les yeux qui lui sortent des orbites et le pantalon déformé ? »
Cello : « Et puis tu n es pas sensée être au courant, je te le dis par courtoisie, mais tu devras feindre d'être surprise, lorsque je le dirais à Herve devant toi ».
Marie : « Oui c’est vrai, vu comme ça ... Lorsque vous direz quoi ? »
Cello : « Que je me suis permis d'inviter Kevin à l apéro, afin qu'il connaisse toute l équipe. Et rassure toi, Kevin ne sera pas long, il a un entraînement de sport à 21 heures ».
Marie : « Ha… Ok, bon d'accord de toute façon, c’est vous qui décidez, mais je suis rassurée ».
Cello : « Rassurée ou pas de toute façon tu n’as pas le choix, tu m'as bien dit tout à l’heure lorsque je te baisais que je pouvais tout décider ».
Marie : « Oui monsieur, vous êtes mon patron et vous me payez pour être une putain soumise ».
(Qui sait si bientôt vous ne me louerez pas à vos clients et amis et si ce n'est pas moi qui vous rapporterai ...)
Cello : « Bien, je vois que nous nous comprenons et puis cela ne te déplait pas tant que cela d'être ma putain ».
Marie : « Je… Heu… Oui monsieur le directeur je… Heu… C'est vrai cela me fait honte, mais j'aime ça ».
Cello : « Je vais maintenant te laisser te préparer et mettre la table, je reviendrais vers 20 h - sois sans crainte, j'arriverais peu de temps après Hervé pour que tu ne sois pas trop longtemps seul avec lui. Mais avant je vais te mettre les pinces à seins et je veux que pour l'apéro, tu t'assois près d'Herve, mais en face de moi pour que je puisse voir ta chatte, pendant que je discute avec ton cocu ».
Marie - Vous relevez ma robe jusqu'au dessus de mes seins, vous me posez les pinces, elles me tirent les tétons vers le bas et les déforment.
Marie : « Bien monsieur, je ferai comme vous l'exigez ».
Cello : « Hum !!! Tu es très belle ainsi ! Cela ne te fait pas trop mal ? »
Marie : « Ouhh !… Je… Heu… Haaa !… Si un peu. Ça pince et ça tire, mais c’est vrai, vous me trouvez belle ainsi ? Mes seins ne sont pas trop tombants ? »
Cello : « Non ma chérie ! Mais pourquoi es tu complexée par tes pis ? »
Marie : « Je… Heu… Et bien vous voyez bien ils sont gros, mais ils sont lourds mous et tombants ».
Cello : « Tu es très belle et bientôt tes seins seront encore plus gros, et plus fermes grâce à l'allaitement. Bon ma chérie, tu as bien tout compris ? Tu sais comment je veux que ce déroule la soirée ? »
Marie : « Oui monsieur le directeur »
Marie - Je conserve les pinces sous ma robe jusqu'à l'arrivée de mon mari, quand je l'entends arriver, je les enlève et les mets sous un coussin du canapé pour que vous les récupériez. Vous me laissez préparer la chantilly ... J'ai honte, mais ai hâte de voir Hervé arriver et me découvrir ainsi.
Cello - Lorsqu’il entre, tu sors juste de la salle de bain, fraîche et maquillée. Je suis dans une rue adjacente de la tienne, lorsque je le vois arrivée, je décide de lui laisser 5 minutes, avant de sonner à ta porte.
Marie - Quand mon mari me découvre, il me prend dans ses bras et je lui dis :
« Mon chéri je l'ai mise pour toi, mais je ne peux pas la garder regarde on voit tout »
Hervé : « Oui tu as raison, Je… Heu… Je ne pensais pas que ce serait aussi heu… Enfin ça fait vraiment cochonne de recevoir un invité comme ça ».
Marie - Et là, ça sonne, on panique un peu et Hervé (ne sachant lui même pas pourquoi) me dit :
« Ça ne fait rien, allez va ouvrir ».
Marie – Je me précipite à la porte, avant qu’Hervé ne change d’avis et vous ouvre.
Cello : « Bonsoir Marie. Vous étés très en beauté ce soir, j'espère ne pas arrivée trop tôt ».
Marie - Je suis toute rouge (mais pas de honte vis à vis de vous, mais de gène vis à vis de mon mari), lui aussi est hyper gêné, surtout que vous ne me regardez pas comme un obsédé.
Cello - Apercevant Herve derrière toi, je dis :
« Bonsoir Herve vous allez bien, malgré la grève ? »
Hervé : « Je… Heu… Oui, monsieur je suis en bonne forme, mais entrez je vous en prie ».
Cello : « Merci » dis je en avançant vers le salon attendant que l'un de vous me fasse asseoir.
Marie - Herve passe devant et, vous me pincez un téton au passage ...
Marie : « Asseyez-vous sur le fauteuil monsieur nous allons nous mettre sur le canapé avec Hervé ».
Marie - Hervé est jaloux et excité par la situation malgré lui, que je me retrouve devant vous dans une robe sous laquelle on devine tout et qui laisse ballotter mes gros seins heureusement pour lui pour l'instant, vous faites semblant de rien.
Cello - Alors qu'Herve s'absente pour aller chercher la bouteille de champagne que tu as mis au réfrigérateur, tu me dis que les pinces sont sous mon cousin.
Marie - Et vous me dites tout bas, alors qu’on entend Hervé revenir :
« Tu es putain à souhait »
Cello - Herve débouche la bouteille et commence par te servir, lorsque l'on sonne à la porte, en entendant la sonnette je dis :
« Ha oui ! Je me suis permis d'inviter Kévin à boire l'apéritif, afin qu'Hervé connaisse toute l équipe, j'espère que cela ne vous dérange pas ».
Marie - Je fais l’étonnée
« Ha bon ! Je… Heu… Et bien oui… Bien sur ... ».
Marie - Hervé lui est encore plus gêné, que le jeune stagiaire me découvre dans cette tenue, mais il répond :
« Non bien sur vous avez eu raison, chérie, va lui ouvrir ».
Marie - J'y vais faisant ballotter mes seins sous vos yeux à tous les deux, vous laissant seul et allant ouvrir la porte à Kevin, qui me découvre ainsi.
Cello - Lorsque tu ouvres à Kevin, il bafouille :
« Bon...Bonsoir heu...Marie » les yeux écarquillé, bien qu'il t’aies déjà vues entièrement nue.
Marie : « Allez entre ! Tu comprends que ma tenue est une idée du patron, alors ne me regarde pas trop devant mon mari, s’il te plait ».
Cello : « Marie est très en beauté ce soir, cette petite robe lui va a ravir » dis-je à Hervé.
Kévin te fais un baiser et te dis : « Ne crains rien, je sais me tenir ».
Herve : « Heu… oui merci je… Nous avons hésité, nous avions peur que ce soit heu ... Trop léger, j'espère que vous ne porterez pas de jugement sur Marie c'est moi, qui lui ai proposé cette tenue » (il essaie de me sauver la mise, au cas où vous m'auriez trouvé vulgaire).
Marie - Oui Kevin m'embrasse tendrement sur la bouche me troublant plus que je ne l’aurais cru.
Cello : « Vous avez bien fait, Marie est une très belle femme, et lorsqu'on a une belle femme, il faut savoir la mettre en valeur ».
Hervé : « Je… Heu… Oui merci mais vous êtes sûr, ce n'est pas trop ? ».
Cello : « Trop sexy ? Personnellement cela ne ma choque pas, mon cher, soyez rassuré, et puis Marie est chez elle, elle a le droit de se vêtir comme elle le désir ».
Hervé : « Oui merci j'avoue que j'étais un peu anxieux de votre réaction, vous comprenez, elle a voulu me faire plaisir et comme elle est prude de nature, parfois elle ne se rends pas compte, et elle va un peu trop loin »
Cello - Je souris pour le rassurer et dis, en te voyant revenir avec Kevin :
« J’étais en train de dire à Herve que vous aviez une très belle robe, qui vous va parfaitement et que vous avez très bon goût ».
Cello - Tu fais asseoir Kevin face à Hervé et tu reviens sur le canapé près d'Herve et face à moi.
Marie - Je deviens toute rouge que vous fassiez ouvertement référence à ma tenue.
Cello - Nous sommes assis face à toi, dans des fauteuils sépares de 30 cm environ. Alors qu'Herve propose du champagne à Kevin, et va lui chercher une coupe, je te dis :
« Ecarte tes cuisses, lorsqu'il sera revenu, je veux voir ta chatte mouillée de désir et d'excitation ».
Marie : « Oui monsieur »
Marie - Kevin n'en reviens pas de votre audace et de mon aveuglement. Je vous obéis comme une esclave. Il voudrait me "sauver" mais en même temps la situation lui donne l'occasion d'avoir sa part de plaisir. Herve sert Kevin et remarque une grosse bosse sous son pantalon (non ça ne peut pas être sa bite c'est trop gros !).
Cello - Et se rassois près de toi, il pose sa main sur ta cuisse et tu en profites pour écarter l'autre cuisse légèrement.
Marie - Oui j'écarte la cuisse droite, Hervé à ma gauche la main sur mon genou.
Hervé : « Je suis ravi de connaître aussi Kevin, qui travaille dans le même bureau que toi, et c'est à lui que tu as donné un coup de main, hier midi lorsque j'étais là. C’est bien cela ? »
Marie : « Oui mon chéri, il n'a pas trop l'habitude de travailler dans une ambiance administrative comme chez M. Cello, alors parfois je dois le décharger un peu ».
Marie - Hervé voit bien que Kevin n'arrête pas de regarder mes siens et mes jambes (qu'il croit, mais il va bientôt comprendre, qu'il regarde ma chatte)
Cello : « Oui c'est exactement cela. Heureusement que Marie aide Kevin et le décharge, car il ne s'en sortirais pas seul »
Marie : « Oui, car tout seul il ne ferait pas les choses aussi bien, c'est sur ».
Marie - Herve est jaloux du regard de Kevin, mais il croit aussi remarquer parfois le votre, mais cela l'excite malgré lui.
Cello - Voyant Kevin regarder trop précisément tes seins, je lui dis :
« Kevin, je sais que Marie a une robe sexy et une grosse paire de seins, mais soyer discret mon ami, on dirait que vous allez sauter dessus et les manger ».
Marie - Il en est hyper gêné ainsi que moi, qui croise les bras devant moi et Hervé qui bande plus fort que jamais, sans comprendre pourquoi à la simple évocation par mon patron de "ma grosse paire de seins".
Kevin : « Excusez moi monsieur Cello, excusez moi Marie et Monsieur J ».
Cello - Prétextant d'aller surveiller le repas quelques secondes à la cuisine, tu te lèves et nous quittes quelques instants.
Marie - En arrivant à la cuisine, je passe ma main sous ma robe pour m'essuyer, ça me coule sur les cuisses. (Ho ! Mon dieu ça va trop loin, que va penser mon mari ?) Mais au fond de moi, j'espère que vous continuerez.
Cello - J'en profite pour dire :
« Ce petit cochon, il regarde les seins de Marie, comme s'il n'en avait jamais vu, à part ceux de salopes dans les films porno ou des putes »
Je sais que de la cuisine, tu entends ma réflexion faite à Hervé.
Marie - Kévin bande encore plus fort, un bras sur son entrejambe pour le cacher.
Herve : « Heu… Oui… Oui en effet, ha la jeunesse !"
Cello : « Je sais qu'il est difficile de rester de marbre devant une si jolie femme, mais tout de même, l'on peut admirer discrètement » dis je en souriant.
J’avoue ainsi à Herve que moi aussi, je reluque tes grosses mamelles.
Herve est à la fois flatté et gêné, jaloux, mais dans son esprit il se sent responsable de ma tenue et assume ...
Kevin : « Oui monsieur Cello, je vais être plus discret »
Marie - Et vous de renchérir :
Cello : « Allez ! Va l'aider à la cuisine pour te faire pardonner et observer du coin de l'œil, si ça ne vous gêne pas, Hervé ? ».
Hervé : « Heu… Non… Non… » Tout en se disant qu'il est vraiment con d'accepter, mais il ne sait pas quoi dire d'autre.
Cello - Pour se donner une contenance, et probablement pour retenir Kévin dans le salon, Hervé nous propose une seconde coupe de champagne.
Kevin « Non merci monsieur, je vais aller aider Marie à la cuisine, comme me le suggère Monsieur Cello ».
Kevin se lève et te rejoins à la cuisine.
Kévin : « besoin d'un coup de main Marie ? ».
Cello - Mais avant même que tu ne répondes, il a plonger ta main sous ta robe et l'a relever jusqu'aux fesses.
Kévin : « Espèce de putain, tu laisses le patron tout exiger de toi et me ridiculiser devant ton cocu de mari, mais tu vas me soulager, sinon je lui dis tout ».
Marie : « Non surtout pas, je ferai ce que tu me demandes Kevin ».
Et je le laisse me peloter et me doigter.
Cello - Alors qu’il te caresse les fesses, tu déboutonnes sa braguette, sort son sexe et tu commences à le branler au dessus du saladier où tu as mis la chantilly.
Marie - Oui il a vraiment une queue énorme, je la branle lentement, lèche le gland de temps en temps tandis qu'il malaxe mes mamelles puis commence à me les téter.
« Humm… oui Kevin tu es tendre et si viril à la fois, allez vas y gicle dans le saladier, comme ça pendant ton sport, tu sauras que je vais boire ton sperme pendant le dessert en compagnie de mon mari ».
Cello - Sachant ou plutôt me doutant de ce qui se passe à la cuisine, j'essai de distraire Herve en lui parlant de mon projet de m'agrandir et que j'envisage peut être d'embaucher un commercial.
Kévin : « Tu es vraiment une putain, le patron a raison de se servir de toi comme il le fait ».
Marie - Il est flatté que vous lui parler de vos projets professionnels et redeviens mal à l'aise, mélange de jalousie, de soumission et de complicité quand vous ajoutez :
« Surtout si vous devenez un de mes intimes en baisant la salope dont je vous ai parlé, si elle avait une robe comme celle de votre épouse, elle aurait vraiment l'air d'une putain ».
Et d'ajouter :
« Mais dites moi, Hervé avouez ! Ca vous excite pas un peu que Marie soit à moitié à poil au milieu de nous ? Vous avez vu mon stagiaire comme il a de la peine à se retenir ? Je suis sûr que si nous n'étions pas là, vous l'auriez déjà culbutée en la traitant de salope en chaleur hein ? ».
Hervé : « Oui ! Car j'aime Marie, et j aime faire l amour avec elle.
Cello : « Je ne m'imaginais pas qu'elle soit capable de s'habiller comme cela, quand je l'ai embauchée. Je vous comprends, vous avez raison de l'aimer, elle a l'air si pure, on a l'impression que si vous le vouliez vous pourriez lui faire faire tout ce qui vous passe par la tête, mais bon. Au fait j'ai dans ma poche un cadeau pour l'amie dont je vous ai parlé et que je dois voir cette semaine, peut être vous aimeriez que je vous donne l'adresse pour votre épouse ... »
Et vous sortez lez pinces à seins.
Hervé : « Et le fait de la savoir à moitié nue devant vous est assez excitant ».
Cello : « Si vous le souhaiter, je vous les donne, car je sais que vous n'aurez pas le temps d'en acheter avant votre départ »
Et je lui donne les pinces
« Vous pourrez les lui mettre ce soir comme cela ».
Herve : « Oui je… Heu… Cela me gène, mais c'est vrai que cela m'excite, qu'elle soit à moitié nue devant nous tous. Ho ! Merci pour les pinces, je ne sais pas si j'oserai, vous savez Marie est assez prude et enfin on verra ».
Marie : « On verra quoi ? » dis tu, en revenant avec Kevin dans le salon.
Et vous ajoutez (tout bas) :
« Imaginez que vous la preniez à 4 pattes les seins lestés sous elle, hein ? Allez j'arrête vous devez bander trop fort pour avoir envie de patienter notre départ ».
Kevin dit alors : « Je vous prie de m'excuser, mais je dois partir, j'ai entraînement ce soir ».
Herve remarque que Kevin ne bande plus, il s'est sûrement calmé en aidant Marie dans la cuisine, quoi que… Si ce doit être cela ... Marie apporte les plats, nous passons à table ...
Herve : « Ha oui et bien je crois que cela vous changera les idées haha. ».
L’apéro de 3 verres chacun commence à faire son effet.
Cello : « Oui excellente idée, il va être temps d'éponger car 3 verres cela commence a être sérieux ».
J’attends alors que tu me dises où je dois m'asseoir.
Cello - Hervé croyant bien faire et trouvant que vous me regardez trop, propose que je me mette face à lui et vous à mes cotés ...
Marie - Pendant que vous vous installez, je raccompagne Kevin, qui me dit en m’embrassant :
« Espèce de salope, tu vas en prendre plein la chatte hein, j'aurais du proposer au patron, qu'on vienne à toute l'équipe te remplir de foutre, après notre entraînement »
Et il s'en va.
Cello - Connaissant l idée qui traverse l’esprit d'Herve, je dis :
« Vous avez raison, ainsi je regarderais moins la poitrine de Marie ».
Cello - Il sourit gêné, mais c'est bien cela ...
Marie - Moi-même, je suis hyper gênée de voir qu’Herve montre sa jalousie et surtout se rende compte que vous me regardez comme autre chose qu'une salariée, même s'il ne sait rien de ma soumission à vous.
Hervé : « Oh chérie tu as oubliée le vin, ne bouge pas je vais chercher la bouteille ».
Cello - Immédiatement je te dis :
« Retrousse ta robe, je veux que tu te caresses pendant le repas ».
Herve en revenant dit : « Vous parlez du repas ? »
Cello : « Oui, je demandais à Marie ce qu'elle avait à nous offrir ».
Marie : « Je… heu… bien monsieur... et je m'assied à même la peau sur ma chaise à coté de vous, les joues rouges »
Je soulève la cloche du plateau du traiteur : « Et bien voilà de la poule ».
Cello : « Hum !!! Excellente idée, et elle est fourrée à quoi ? ».
Marie : « Elle est fourrée aux marrons, aux carottes et crème de champignon ».
Cello : « Curieux mélange dis Hervé, mais ce doit être excellent comme tout ce que tu fais ou achète ma chérie ».
Cello - Alors que nous avons dégusté la poule, tu te lèves en disant :
Marie : « En dessert, c'est une tarte, j'ai de la chantilly avec si vous voulez. J'en ai fait, car je sais qu'Herve adore cela. »
Cello : « Je n'ai plus faim, mais comme c'est vous qui avez fait la tarte je vais en prendre, mais sans chantilly ».
Cello - Tu vas dans la cuisine, préparer 3 assiettes de desserts et tu n’oublies pas de mélanger un petit somnifère, à la chantilly d’Hervé. Tu apportes les assiettes en disant :
« J'espère que tu trouveras cette chantilly bonne mon chéri, c'est une nouvelle recette que j'ai essayée »
Hervé : « Humm ! J’ai hâte ».
Marie - Son assiette en est recouverte et la mienne un peu moins
Cello - J’attends avec impatience de voir Hervé, goûter ta chantilly et de connaître ses impressions.
Cello : Alors qu’Hervé semble apprécier le dessert, tu as mangé ta chantilly très salement.
Marie : Oui je me suis léchée les lèvres pour ne pas en avoir partout et ai aussi essuyé avec mes doigts le sperme (Heu ! La chantilly), qui me coulait sur le menton ...
Cello - Je te demande de nous servir un digestif (histoire d'achever Herve).
Marie - Une fois sur le canapé à coté de lui et pendant que j'étais dans la cuisine.
Cello : « Merci pour la soirée Hervé, c'était très agréable et pour le moins inattendu ... Je ne veux pas parler du repas, dont je me doutait qu'il serait délicieux, mais de la tenue audacieuse de votre épouse que je ne soupçonnais pas capable de cela, lorsque je l'ai reçue dans mon bureau à son premier entretien d'embauche.
Hervé : « Heu... Oui elle a voulue se lâcher pour me faire plaisir, mais elle ne pensait pas que cette robe était si collante et moulante »
Cello : « Ca ne semble pas vous avoir déplu en tout cas ... Mais moi son employeur j'ai pris plaisir à la
regarder .. ».
Hervé : « Heu… Oui… Oui moi aussi mais je… Heu… Je suis un peu gêné de l'avoir exhibée ainsi à son patron, j'espère que cela n'influencera pas votre perception de son travail ... ».
Cello : « Je vous avais dit que la salope que je vais vous présenter la prochaine fois ressemblait à Marie, mais je peux vous le confirmer, maintenant que j'ai pu juger des formes de votre épouse ».
Hervé : « Je… Heu…
Marie - Il bouge un peu et pose son avant bras sur son sexe qui bande malgré lui en vous entendant me comparer à une salope.
Hervé : « Je… Heu… Oui heu… J'ai vu oui et Heu… C’est vrai qu'elle a une grosse paire et je ne vous en veux pas, je sais que vous la respectez, mais moi aussi, là j'ai un peu bu et je la trouve heu ... Enfin pareil que vous sauf que moi, c'est ma femme »
Cello : « Oui c'est vrai de dire de sa femme "que c'est une salope", mais enfin sa tenue était loin d être sage ».
Hervé : « En tout cas, j'ai vu qu'elle ne le laissait pas indifférent, il bandait même franchement et énormément de ce que j'ai vu, mais oui dire de Marie que c'est une salope, ce n'est pas trop mes habitudes de parler ainsi de mon épouse je… Heu… Mais, je comprends oui avec sa tenue je…
Cello : « Oui et puis mon petit stagiaire, il va falloir que je ne le laisse pas tout seul avec Marie, vous avez remarqué comme il regardait ses cuisses et ses grosses mam… Heu enfin ses gros seins, si je veux être respectueux, mais avec une paire pareille entre nous, on peut parler de mamelles n'est ce pas ? »
Marie : J'arrive avec le digestif.
Hervé : « - XXX... »
Marie - je m'assieds, nue sous ma robe, qui remonte mi-cuisses, les jambes serrées.
Marie - Vous voyez Hervé, qui cherche ses mots, commence à sentir la fatigue et à ce moment, j'arrive avec le digestif, me penchant en avant pour vous servir, ma robe laissant pendre mes mamelles qui se balancent sous vos yeux, le renflement des tétons apparents sous le tissus. Hervé et vous buvez le digestif, pendant que je m'assieds sur le canapé en face de vous dévoilant le haut des cuisses, mais les jambes serrées ... pour le moment... Hervé lui commence à piquer du nez et vous voyez qu'il va s'endormir sous peu dans un profond sommeil. Vous baillez.
Cello : « Moi aussi je suis fatigué, dites moi Hervé, Marie, je crois que j'ai trop bu. Ca ne vous gêne pas si votre canapé me sert de lit ce soir ? ».
Marie - Je me penche en avant un peu exprès face à vous deux, je remarque vos deux regards, et que vous bandez comme des ânes tous les deux (pour Hervé du moins pas aussi gros du tout !) en vous tendant les verres, mes seins se balancent sous moi, ce qui contribue à endormir mon mari comme un pendule d'hypnotiseur.
Hervé : « Non bien sur vous êtes ici chez vous, Marie va vous préparer des draps ».
Cello - Lorsque Hervé propose que tu arranges le canapé je dis :
« Non ! Je dormirais ainsi, et voyant qu’il a de plus en plus de mal à garder les yeux ouverts, je te fais signe de relever légèrement ta robe et d écarter tes cuisses
Marie - Oui honteuse de tromper mon mari sous ses yeux presque, j'obéis toutefois, et le voyant piquer du nez, j'écarte les cuisses vous offrant une vue imprenable sur ma chatte.
Cello - Je tente de réveiller Hervé en lui demandant à quelle heure, il part demain matin. Il entrouvre les yeux et me dit :
« Vers 6 h, il faut que je me réveille à 4 h 30 - 5 heures ».
Marie - Il entrouvre les yeux pour vous répondre qu'il part à 6h, et je referme à ce moment mes cuisses que j'avais ouverte en grand, il semble ne rien avoir remarqué.
Cello - Puis je te demande : « Vous n'auriez pas une friandise pour accompagnez le digestif ».
Marie : « Oh ! Si je dois encore avoir deux mandarines gorgées de lait et un abricot au miel ».
vous lui proposer d'y goûter, il répond à moitié endormi :
Hervé : « Non allez y, vous pouvez vous servir, prenez tout »
Marie - Le pauvre il ne se rend pas compte qu'il vient de vous dire que vous pouviez vous servir ... de moi.
Hervé : « Vous m'excuserez, mais je vais aller me coucher, je vous laisse déguster les friandises de Marie ».
Cello : « Vous avez tort, je suis sur que les friandises de Marie sont excellente, mais je comprends, avant d'ajouter j'aime les gâteries avec le digestif ».
Hervé : « Bien monsieur le directeur je vais vous en faire une, mais laissez moi accompagner mon mari au lit, j'ai peur qu'il ai trop bu et n'atteigne pas la chambre ».
Cello : « Oui allez y Marie, et ôter l'emballage des confiseries tant que vous y êtes ». Et j’ajoute à l’attention d’Hervé :
« Merci Hervé vous êtes un hôte parfait de me laisser profiter ainsi de votre hospitalité, et aussi de votre charmante épouse (ça y est il dort drogué), que je vais baiser comme une putain soumise et remplir de foutre comme une outre à sperme ...
Marie : « Allez vient mon chéri, tu dors aux ¾. Voila, comme ça, marche, ... Allez allonge toi. Tu veux que je te déshabille ? »
Il fait oui de la tête. Je le mets nu entièrement. Il s'endort définitivement, le sexe au garde à vous.
J'enlève ma robe en laine moulante et je reviens nue vers vous.
Cello : « Hum ! Viens ma chérie, monte sur le canapé et offre moi ton abricot au miel. Ton mari est d'accord dis je en souriant »
Marie - Je me mets debout devant vous un pieds de chaque coté de vos cuisses, les genoux un peu pliés appuyés contre le dossier du canapé mon sexe devant votre visage.
« Voila monsieur le directeur l'abricot au miel que mon mari ne veut pas goûter et qu'il vous invite à déguster seul »
Cello – Aussitôt, je plonge mon visage entre tes cuisses et ma langue effleure très doucement tes lèvres intimes parfumées.
Marie : « Hummm ! Hoo oui monsieur »
Cello : « Tu es bonne ma belle » dis-je en écartant tes lèvres de ma langue, celle-ci fouille maintenant ta vulve trempée. Je sens ton miel couler abondamment dans ma bouche
« Oh ! Ma chérie, que j'aime ton jus de moule ».
Marie : « Humm ! Oui monsieur le directeur vous le léchez bien, j'aime que vous me trouviez bonne. Oui appelez moi encore votre chérie pendant que mon mari dort à coté ».
Cello - Je continue à déguster ta chatte, tout en pinçant tes tétons durement et fermement. « Tu aimes cela ma chérie, que je te fasse du bien au sexe et mal aux nichons. Moi cela m'excite de te déguster et de te maltraiter les outres en même temps. Tu es maintenant ma chérie, et ma salope et sache que j'ai dorénavant priorité sur toi par rapport à ton mari ».
Marie : « Humm ! ».
Oui je suis debout contre vous, vos mains s'agrippent à mes seins que vous malaxez puis en pincez et tordez les tétons.
« Ho ! Oui monsieur j'aime ce mélange de plaisir et de douleur ! »
Cello : « Oui donne moi tout ton jus après je te baiserais comme une chienne ».
Marie : « oui je suis votre chérie, votre salope soumise, votre putain et mon mari passe après vous désormais ».
Cello - Bandant comme un cerf, je te demande de venir maintenant t'asseoir sur mon sexe près à exploser. tu t'accroupie sur mon membre, qui te pénètre sans difficulté. Tu me fais face et je vois tes seins bouger devant mes yeux. Alors que tu montes et descends sur mon sexe, je commence à te gifler les outres d'abord doucement, puis de plus en plus fort.
Marie : « Oh ! Humm… Oui je suis empalée sur vous. Je me baise moi même sur votre queue.
Cello - Oui tu te baisses sur mon sexe, alors que je frappe tes outres de plus en plus fort.
Marie - Vous me regardez, m'insultez et me giflez les seins en m'ordonnant de dire que je suis une putain, un sac à foutre, que j'ai des mamelles de vache, des pis à traire ? que mon mari est un cocu et bientôt sucera à mes cotés ...Moi je jouie sous ces insultes et sur votre grosse bite sur laquelle je me pistonne.
Cello : « Allez ! dis le plus fort, je veux que son subconscient t'entende. Je veux t'entendre crier sous mes gifles ».
Marie : « Oui je suis une putain et mon mari est un cocu qui bientôt lèchera les couilles de mon patron pendant qu'il me baisera. Haa ! Haaa ! Oui mes mamelles sont à vous. Je mérite votre punition, car je suis une femelle en chaleur infidèle ».
Cello ; « Oh ! Oui je vais jouir dans toi, et ce matin, tu te feras lécher par ton mari lorsqu'il se réveillera après avoir jouie en toi » Après avoir jouis, je te dis : « Allez descend et met toi à 4 pattes et va dans la cuisine ainsi ».
Marie - Oui vous me remplissez de votre semence, puis je me retire et je me mets à 4 pattes pour aller dans la cuisine. Je marche à 4 pattes oubliant presque que vous me transformez lentement en pute pour ne retenir que le plaisir que vous m'offrez en me faisant jouir sous le toit conjugal.
Cello - Je te suis dans la cuisine et te demande :
« Ou sont les spatules en bois ?».
Marie : « Dans le grand pot en grés monsieur… »
Cello : « Je vais commencer par te fesser avec une maryse en caoutchouc, après je prendrais une spatule en bois pour que ton cul soit bien rouge, voir grenat sous les coups.
Marie : « Je… Heu… (le plaisir et l'excitation de faire cocu mon mari à coté de lui presque m'avait fait oublier ma soumission physique ...). Bien monsieur ...
Cello - Je m'approche de toi et commence à te frapper avec la maryse. Les premiers coups sont faible mais très vite, je frappe plus fort.
Marie - Oui sur les fesses, mais aussi les mamelles par en dessous et sur les cotés.
Cello - Les coups pleuvent de plus en plus fort, puis je repose la "maryse" et prend une spatule en bois et continue le traitement de tes fesses, elles commencent a être bien rouge.
Marie - Moi je serre les dents les joues pleines de larmes
« Je… Heu… Pitié monsieur le directeur, je serai un bonne putain soumise je vous promets, je ne vous refuserai rien, mais arrêtez ça fait mal »
Cello : « Je sais que cela fait mal, mais je souhaites que tu restes marquer pour que ton mari voit les traces à son réveil et tu devras lui dire que c'est lui qui c'est réveiller dans la nuit et qu'après t’avoir fait l'amour, il a commencer à te donner une petite fessée pour avoir oser porter ta robe et là, tu lui aurais avouée aimer cela et il a continuer de plus en plus fort ».
Marie : « Oui monsieur le directeur, je ferai tout selon vos instructions, oui je lui dirais que je pense qu'il s'est senti jaloux et que de colère, mais aussi d'excitation, il a voulu me punir.
Cello : « Oui c'est très bien »
Puis je pose la spatule sur la table et te demande de t'asseoir sur une chaise, d'écarter tes cuisses et de mettre tes bras derrière le dossier.
Marie - oui j'obéis assise sur la chaise, les bras dans le dos.
Cello : Je prends des serviettes de tables et je t'attache les bras dans le dos et les pieds à l'extérieur des pied de chaise pour bien t'écarter, puis je te bâillonne, reprends la spatule et commence à te frapper les mamelles.
Marie - Oui je ne peux bouger ni mes poignets, ni mes chevilles. Oui vous me voyez souffrir en pleurant, tandis que mes mamelles rougissent de plus en plus. J'en ai même des bleus. Je dirai à mon mari, qu'il avait l'air possédé et me les malaxait et giflait en m'insultant, il aura honte et s'excusera, mais je lui dirai que je l'aime et que je l'ai encouragée au début.
Cello : Après avoir lécher tes larmes, je te dis :
« Ton mari va bientôt se réveiller, je vais te laisser ainsi et vais aller faire semblant de dormir sur le canapé - tu dois lui faire croire que c'est lui, qui t'a fait cela et que tu espères que je n'ai rien entendu. Puis, tu lui demanderas de te lécher et ensuite avec son café tu lui offrira un morceaux de tarte avec de la chantilly ».
Marie : « Oui je lui dirai que selon moi vous avez du entendre, quand il me traitait de salope, que le stagiaire n'arrêtait pas de me reluque,r que mon patron devait avoir envie de me baiser et j'ajouterai que j'ai honte car vous avez du tout entendre ».
Cello : « Oui parfait ! Reste debout jusqu'à ce qu il parte après tu reviendras près de moi ».
Marie : « Oui du genre -- Allez mon chéri pour te faire pardonner lèche moi, fais moi jouir avec la langue.—Il n'osera pas dire non et croyant lécher sa propre semence, il le fera sans protester, ce qui va l'habituer à ce que vous lui réservez ».
Cello : « Oui très bien, tu as tout compris ».
Marie : « Oui maître, il me lèchera, ensuite je mettrai une nuisette transparente pour aller avec lui pour son café et sa tarte et quand il sera parti je viendrai vous voir ».
Cello : « Oui et si tu es bien sage, nous irons dormir dans votre lit conjugal ».
Cello - Le réveil d’Hervé sonne à ce moment là, je replace ton baillon et file sur le canapé.
Marie : « Oui monsieur le directeur ».
Cello – Etonné de ne pas te trouver près de lui, il se lève et t'appelle :
« Marie ! Où es tu ».
Cello - Tu fais semblant de vouloir lui répondre. Il arrive dans la cuisine , se précipite sur toi, ôte ton baîllon et te demande qu'est ce qui es arrivée.
Marie : « Huoummm (mais pas trop fort pour ne pas vosu reveiller)
« Tu me demandes espèce de pervers, j'étais morte de honte à l'idée que mon patron se lève pour boire un verre et me découvre dans la situation dans laquelle tu m'as laissée ».
Marie - Il ne se souvient plus, pense qu'il a trop bu.
Hervé : « Je ne me souviens pas ma chérie juste avoir pris un digestif et puIs plus rien ».
Marie : « Ha ! Je t'interdis de m'appeler chérie après ce que tu m'as fais ».
Cello - Je prête une oreille attentive au récit que tu vas lui faire. Je sais qu'il est en train de défaire tes liens alors que tu es nue et j'ai presque envie de me lever, mais au dernier moment je me ravise, et reste sur le canapé.
Marie : Il s'excuse en me détachant.
Marie : « Tu ne te souviens pas ? Déjà avec mon patron avant d'aller te coucher, tu as fait des allusions à ma tenue que tu as choisi pour moi, j'étais vraiment honteuse. Ensuite je t'ai emmené au lit, tu t'es endormi de suite et je suis allée préparer une gâterie et un dessert pour M. Cello.
Hervé : « Quelle gâterie lui as tu préparée ? demande t il encore dans les nuages.
Marie : « Et quand je suis revenue dormir avec toi, alors que je m'endormais, tu t'es réveillé en te frottant à moi, tu a malaxé mes seins si fort que j'en avais mal, puis tu m'a prise en me traitant de salope en chaleur, tu m'as dit des choses si crues ! Que j'avais des grosses mamelles, que j'avais fait bander le stagiaire qui devait se branler en pensant à moi ...Ecoute moi au lieu de poser des questions ! »
Hervé : « Oui ! Oui ! Ma chérie, pardon !!! ».
Marie : « Tu m'a ensuite donné de grandes claques sur les fesses en alternant avec un pétrissage mammaire en règle et comme tu me baisais en même temps j'ai jouie et là tu m'a dit "espèce de putain tu jouis pendant que je te file des claques, vient avec moi à la cuisine et là tu m'a giflée les seins avec une maryse et ensuite une spatule et tu m'a laissée là. Tu te rends compte si mon patron s'était levé pour boire un verre et m'avait découverte nue attachée, les seins pleins de bleus ».
Marie - (il a super honte de lui ...).
Hervé : « Oh comment pourrais je me faire pardonner ? ».
Puis réalisant, il te demande :
« Ton...Ton patron est toujours la ? ».
Marie - Je jubile de t entendre lui raconter toutes ses balivernes
Marie : « Je… Heu… Oui il doit être sur le canapé, mais puisque tu me le demandes ... Tu pourrais me soulager de ce que tu m'as faite subir ... lèche moi, je n'ai pas aimé ton comportement, mais j'avoue que cela m'a excitée aussi ... ».
Cello - Je sais maintenant que tu m'appartiens corps et âme ».
Hervé : « Oui toute de suite mon amour ».
Marie : « Allez mon amour lèche mon sexe pour te faire pardonner ».
Et là pendant que mon mari est entre mes cuisses, je vois votre visage par la porte qui nous épie ...
Cello - Je te fais un clin d'oeil et te demande par geste, si tu veux que je vous surprenne.
Marie - Hervé le pauvre bande comme un cerf, il n'a pas joui depuis plus d'une semaine. Il se lève et veux me prendre. Je refuses lui disant :
« Tu ne trouves pas que tu as assez abusée de moi cette nuit ». Tu bandes encore après m'avoir baisée toute la nuit »
Hervé : « Oui ma chérie, c'est ce que tu viens de me raconter qui m excite ».
Marie - Je fais – non - préférant que vous croisiez Hervé dans le salon, pendant que je serai retournée au lit lui disant :
« Et bah dites donc hervé ! Vous cachiez votre jeu, je vous ai un peu entendu cette nuit, qu'est ce que vous lui avez mis ! »
Je retourne m'allonger sur le canapé sachant qu'Hervé va probablement filer sous la douche pour se calmer.
« Ha non je vais me coucher moi, bon voyage à dans un mois (15 jours en Pologne + mon stage de 15j »
Vous me voyez aller vers ma chambre en me faisant un clin d'œil.
Cello - Puis je vois Herve filer vers la salle de bain je t'entends lui dire alors :
Marie : « Si tu veux il reste de la tarte et de la chantilly avec ton café ».
Marie - Il en prend une part de tarte qu'il recouvre de chantilly et s'installe au salon la bite raide sous le caleçon, à ce moment quand il a presque tout fini vous vous relevez
Cello : « Bonjour Hervé ! Hé ben vous avez l'air en forme »
En regardant son caleçon ... il est super gêné. Puis j'ajoute :
« Et bien vous en avez fait du bruit cette nuit avec Marie. Vous avez du mérite, j'ai un peu entendu vos ébats cette nuit, je ne vous savais pas si pervers, ni votre épouse si salope, enfin si je peux me permettre, elle en avait l'air mais je la croyais coincée, j'ai découvert qu'elle aimait se faire malmener, je n'aurais pas pensé ... »
Cello - Juste avant de partir il se dirige vers la chambre, mais tu fais semblant de dormir.
Je lui propose de boire un autre café avec moi, mais il me dit qu’il est déjà en retard et qu’il doit y aller. Je lui demande s’il peut me donner ta clé pour que je ferme après mon départ, afin de te laisser tranquillement dormir et que je vienne te chercher lorsque tu seras levée. Il fouille dans ton sac et me donne ton trousseau de clé.
« Merci hervé » avant d’ajouter en l’accompagnant jusqu'à la porte :
« Vous savez, je vais voir Marie d’un autre œil, après cette soirée »
Géne, il ne me répond pas, se contentant de me sourire.
Aussitôt, après son départ, je vais dans la chambre, me déshabille et me glisse sous les draps près de toi. Tu te blottis contre moi, en m’embrassant et nous nous endormons comme deux amants nos corps lovés l’un contre l’autre.
Quelques heures plus tard, nous nous réveillons, toujours dans les bras l’un de l’autre. Je t’embrasse :
« Bonjour ma Chérie, alors tu es contente de ta soirée ? »
« Maintenant que ton mari est parti pour 15 jours, je vais m’occuper de toi, pour modifier ton corps, afin qu’il ne te reconnaisse pas le soir, où il te baisera en croyant que c’est une autre ».
« Ce matin, tu as un rdv chez l’esthéticienne, pour te faire épilée intégralement et définitivement, comme cela il ne reconnaîtra pas ton minou, ni ton cul, bien que tu ne sois pas très poilue et qu’il ne s’occupe pas de ton fion, d’après ce que tu m’as dit ».
Nous nous levons, buvons une tasse de café, et à ce moment là, le téléphone sonne.
Surprise, tu me regardes et sembles hésiter, avant d’aller répondre.
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37 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Tres excitant. Je mouille sans discontinuer.
J'ai envie de me faire tripoter comme une grosse truie, du coup.
L'intervention d'une brouteuse de minou serait bienvenue...
Tâchez d'être encore plus salace pour plus d'excitation à la lecture.
J'ai envie de me faire tripoter comme une grosse truie, du coup.
L'intervention d'une brouteuse de minou serait bienvenue...
Tâchez d'être encore plus salace pour plus d'excitation à la lecture.
Tres excitant. Je mouille sans discontinuer.
J'ai envie de me faire tripoter comme une grosse truie, du coup.
L'intervention d'une brouteuse de minou serait bienvenue...
Tâchez d'être encore plus salace pour plus d'excitation à la lecture.
J'ai envie de me faire tripoter comme une grosse truie, du coup.
L'intervention d'une brouteuse de minou serait bienvenue...
Tâchez d'être encore plus salace pour plus d'excitation à la lecture.
Il aurait une suite à l'episode 14 merçi a vous
j'espère avoir la suite de cette série bientôt. Ma chatte attend avec impatience la suite de l'humiliation de Marie.
Je ne puis que me ranger au concert: quel dommage, nous attendons vraiment la suite; d'autant que vous avez publié par après. Alors faites nous plaisir écrivez-nous la suite
oui encore , continues cette histoire stp...
encore....encore...
bien mais une suite s'impose, nous restons sur notre faim; Marie J. pourait nous offrir
ses reins, un marqueage permanent, un stage de formation intensif...
merci
ses reins, un marqueage permanent, un stage de formation intensif...
merci
Je vois que vous avez entamé une nouvelle série en nous laissant sur notre fin avec
celle ci. A quand la suite?
celle ci. A quand la suite?
Fantastique, une suite est obligatoire, vous ne pouvez pas nouslaisser comme cela !
Que j'aimerai être Marie avec ses grosses mamelles. Moi je suis à 100D donc pas loin.
Bises
Cathy de Valence
Que j'aimerai être Marie avec ses grosses mamelles. Moi je suis à 100D donc pas loin.
Bises
Cathy de Valence
Tres bonne serie mais tout comme les bonnes series, on attend la suite avec impatience.
J'espere que vous nous laisserez pas cette histoire finir avec ce 14 eme episode.
J'espere que vous nous laisserez pas cette histoire finir avec ce 14 eme episode.
ENCOREEEEE svp!
Une suite s'il vous plait !
Rudy
Rudy
Encore ! ! ! ! !
Rudy
Rudy
nous attendons la suite
cordialement votre un couple de bretagne
cordialement votre un couple de bretagne
salut on attend la suite
En manque d'inspiration pour la suite? Je veux bien vous aider à la retrouver en étant
votre muse dévouée ;)
votre muse dévouée ;)
Qu'attendez vous cello pour nous proposer la suite
une suiiiiiiiite svp
jouissif
A quand la suite.Très bonne histoire et espère que sa ne va pas s’arrête la.Attend la
suite avec impatience depuis le 06/08/2012.
suite avec impatience depuis le 06/08/2012.
Tout simplement magique! Plus d'insulte serait parfait!
Très récemment embauchée Marie est déjà en vacances ?
Ou alors c'est son auteur qui est en vacances ?
J'ai hâte de lire la suite.
Rudy
Ou alors c'est son auteur qui est en vacances ?
J'ai hâte de lire la suite.
Rudy
Super vivement la suite.... Voir son mari humilier...
Ha quand le retour de Marie ? Elle me manque cette catin !!!!
Scénario très pervers et très bien ficelé.Excellent récit qui appelle une suite,tant il
y a de maëstria et d'imagination.Ceci dit,faites vous aider pour l'orthographe afin
d'atteindre la perfection.N'écrivez pas tout d'une traite,la qualité du style avait
beaucoup baissé à la fin.Sinon c'est redoutable comme scénario,continuez...
y a de maëstria et d'imagination.Ceci dit,faites vous aider pour l'orthographe afin
d'atteindre la perfection.N'écrivez pas tout d'une traite,la qualité du style avait
beaucoup baissé à la fin.Sinon c'est redoutable comme scénario,continuez...
il et grand temps que votre cocu soi informé de son statu
hmmmmmmmmmmmmmm terriblement bien écrit!!!!!!!!!!!!!
on s'y croirait...... quel beau récit, comme j'aurai aimer vivre ce moment là.......
vivement la suite
on s'y croirait...... quel beau récit, comme j'aurai aimer vivre ce moment là.......
vivement la suite
J'attend la suite avec impatience lorsque maitre cello aura fait du mari de marie un
mari candauliste. J'attend l'entree en scene de ce nouveau personnage, ce qui me
permettra de faire le lien avec mes propres fantasmes candaulistes
Tres bien ecrit en tout cas
mari candauliste. J'attend l'entree en scene de ce nouveau personnage, ce qui me
permettra de faire le lien avec mes propres fantasmes candaulistes
Tres bien ecrit en tout cas
ENCOREEEEEE ! ! ! ! !
Quelle belle et bonne salope cette Marie !
Epilation et mise en lactation, Hervé ne la reconnaitra plus lol
Mais c'est quoi ce coup de téléphone ?
Rudy
Quelle belle et bonne salope cette Marie !
Epilation et mise en lactation, Hervé ne la reconnaitra plus lol
Mais c'est quoi ce coup de téléphone ?
Rudy
Superbe histoire. J'attend avec impatience la suite lorsque Mr le directeur fera du
mari de Marie un cocu candauliste et la baisera devant son mari
mari de Marie un cocu candauliste et la baisera devant son mari
hmmmmmmmmmm,
j adooooooooooooore cette prise en main,surtout qu a nouveau mr cello maltraite et se
lache dans les expressions tres exitante
je sentais de la retenue dans les recits precedent
lais les deux derniers
continuer s il vous plait
MARIDLECE
j adooooooooooooore cette prise en main,surtout qu a nouveau mr cello maltraite et se
lache dans les expressions tres exitante
je sentais de la retenue dans les recits precedent
lais les deux derniers
continuer s il vous plait
MARIDLECE
Je kiffe cette salope de Marie. Je suis pressé de lire la suite. En tout cas, je prends
mon pied à lire ton récit. Merci,mec
mon pied à lire ton récit. Merci,mec
nous avons lu toutes les histoire de MARIE depuis le debus
et sela nous a donne bcp d'idées pour nos soirées privé
continuer à mal traiter cette garce
laurence de vannes
et sela nous a donne bcp d'idées pour nos soirées privé
continuer à mal traiter cette garce
laurence de vannes
Superbe, bien bandant, j'attends la suite avec impatience.
quand Marie vouvoiera Monsieur Kévin, ce qui l'a rendras encore plus soumise et
humilié. Sinon vivement la suite.
humilié. Sinon vivement la suite.
A nouveau un superbe épisode bandant à souhait , on croirait y être . Marie se révèle
être une insatiable baiseuse de premier ordre , un petit retour impromptu d'Hervé
suite à une prolongation de la grêve ou autre motif ou soupçon de sa part serait
croustillant , il pourrait surprendre sa belle sous la table de la cuisine en plein
fellation de son patron prenant son café après une fin de nuit agitée.Elle aurait
l'excuse qu'Hervé par ses pratiques brutales et bruyantes de la nuit avait réveillé
les désirs sexuels de son patron à son encontre et que ce dernier l'avait soumise à
tous ses caprices. Elle en serait ainsi dédouanée et Hervé culpabilisé , sans marche
arrière pour l'avenir , son patron étant trop satisfait d'elle dans tous les domaines
et notemment sexuels... une idée , non ??? vivement la suite... Je me suis déjà branlé
sur ton histoire tant elle monte en puissance et révêle une Marie insatiable et un
patron pervers prêt à en faire son jouet devant son mari soumis et excité ...
être une insatiable baiseuse de premier ordre , un petit retour impromptu d'Hervé
suite à une prolongation de la grêve ou autre motif ou soupçon de sa part serait
croustillant , il pourrait surprendre sa belle sous la table de la cuisine en plein
fellation de son patron prenant son café après une fin de nuit agitée.Elle aurait
l'excuse qu'Hervé par ses pratiques brutales et bruyantes de la nuit avait réveillé
les désirs sexuels de son patron à son encontre et que ce dernier l'avait soumise à
tous ses caprices. Elle en serait ainsi dédouanée et Hervé culpabilisé , sans marche
arrière pour l'avenir , son patron étant trop satisfait d'elle dans tous les domaines
et notemment sexuels... une idée , non ??? vivement la suite... Je me suis déjà branlé
sur ton histoire tant elle monte en puissance et révêle une Marie insatiable et un
patron pervers prêt à en faire son jouet devant son mari soumis et excité ...