Marie ma nouvelle voisine - 03 - Le lundi après midi
Récit érotique écrit par Cello [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-11-2012 dans la catégorie Dominants et dominés
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Marie ma nouvelle voisine - 03 - Le lundi après midi
Je dépose un baiser entre ta joue et tes lèvres et m'éclipse avec une idée en tête.
Dès que j'arrive chez moi, je vérifie les branchements des cameras placées
discrètement dans la chambre d'amis, la salle d'eau, le séjour et ma chambre - on ne
sait jamais - puis je prends une douche, revêt un pantalon et une chemise blanche et
me rends chez toi, voir si tu ai prête.
Dès votre départ, je vais prendre une douche, me maquille, me coiffe et au moment de
m'habiller j'hésite ... Je fouille mon armoire, je n'ai pas beaucoup de choix, avec le
déménagement j'ai une tonne de linge en retard et je prends une robe d'été que je ne
mets pas souvent .. Je me demande si ça va aller sans soutien gorge, elle est un peu
trop près du corps, mais au moins pas de décolleté. Je retourne à la salle de bain nue
la robe à la main, et au moment de l'enfiler je me rends compte qu'en décidant de ne
pas mettre de soutien gorge, j'ai oublié dans la chambre de prendre une culotte ... Me
revient à l'esprit votre demande :
« Sans rien sous ta robe ».
Je rougie me demandant ce qui m'arrive, je ne peux quand même pas aller me promener
nue sous ma robe ... J'irai en mettre une quand j'aurai enfilé la robe. Devant le
miroir, je l'enfile par le haut, l'ajuste ... Mon dieu ça ne tient pas du tout mes
seins qui apparaissent comme ils sont ... Gros, lourds, on devine même le contour des
mamelons ... Je me rassure en me disant que je vais mettre un gilet et au moment
d'aller chercher ma culotte ça sonne :
« Mince je ne peux pas aller ouvrir comme ça vite mon gilet (qui est dans l'entrée) »
J'y vais le ferme et ouvre, c'est vous ... Mais, je n'ai pas pris le temps de mettre
une culotte.
Cello : « Oh ! Parfait tu es prête et ravissante, dépêchons nous, car je ne penses pas
que tu veuilles que des voisins nous voit partir ensemble. Tu prends la clé de la
maison, sort et ferme la maison à clé et me suis jusqu'à la voiture. Je t'ouvre la
portière et t'aide à monter dans le 4X4 en espérant pouvoir constater, si tu as osé
sortir aussi sans culotte.
Marie : Pressée de partir immédiatement avec pour motif le fait que des voisins
peuvent nous voir partir ensemble, ce qui serait anodin, puisque nous allons acheter
de la peinture, je me laisse prendre au piège et dans la précipitation, non seulement
je ne prends pas le temps de mettre une culotte mais en plus, je n'y pense même pas !
Je prends mes clés qui sont sur la serrure intérieure, je sors et je ferme la porte
avant de monter dans votre voiture garée devant ma maison et dont vous m'avez ouvert
galamment la porte. En montant dans votre voiture qui est haute je dévoile mes cuisses
mais rien qui puisse vous permette de savoir si j'ai une culotte ou pas sauf que ...
en montant je me rends compte par un petit coup de vent que je suis nue sous ma robe
et vous devinez à la façon dont je tiens le bas de ma robe contre mes jambes que je
veux cacher mon secret ... Vous montez à votre tour et nous partons vers le magasin de
peinture.
Cello - Le trajet ce passe sans problème et nous arrivons une bonne dizaine de minutes
plus tard sur le parking d'un magasin de bricolage ou je ma gare a ne vingtaine de
mètres de l'entrée. Je descends de voiture et me dépêche d'aller t’ouvrir la portière
et t’aider à descendre du véhicule.
Marie - Au début du trajet, je suis un peu mal à l'aise d'avoir oublié de mettre ma
culotte et aussi car je sens mes seins bouger à chaque cahot, toutefois au fil des km
nous discutons sortes de peinture, décoration, couleurs ... et cela me fait penser à
autre chose. Une fois arrivée je suis moins tendue et suis flattée que vous veniez
m'ouvrir la porte. Je descends et marche doucement pour que mes gros seins ne
ballottent pas trop mais vous ne faites aucune référence à votre demande alors je
m'habitue et une fois dans le magasin je suis toute à me demander quelles couleurs je
vais prendre ...
Cello - Oui j'évite d'aborder le sujet concernant ton absence de sous vêtement, afin
de te mettre en confiance, te demandant si tu as des pinceaux, rouleaux, et quelle
genre de couleur tu veux pour les pièces à repeindre. Mais à lorsque je t’ai fait
passer devant moi pour rentrer dans le magasin, j'ai noté que ta robe te collait un
peu aux fesses et que tu ne semblais rien porter dessous, à mon grand ravissement,
comprenant par là que tu étais très obéissante et naïve.
Marie : Nous naviguons dans le magasin, vous me guidez et vous amusez à demander des
conseils à des vendeurs pour observer s'ils regardent mes seins qui bougent lorsqu'ils
nous guident d'un rayon à l'autre ... Et oui, ils regardent discrètement, mais je ne
remarque rien. Les vendeurs doivent se dire que nous sommes en couple. Mise en
confiance, je ne fais plus attention à ma robe qui est coincée dans la raie ce qui au
minimum signifie que j'ai un string ficelle ... A la sortie après que j'ai crue
deviner un regard du caissier sur ma poitrine, je vous demande :
« Heu… Excusez moi Monsieur Cello, vous êtes sur que ça ne se voit pas ... »
Cello : « Quoi donc ? »
Marie - Je me rends compte que nous n'avons pas évoqué ma tenue :
« Enfin je heu… Heu… J'ai fait comme vous m'aviez demandé et je n'ai pas mis de
soutien gorge et j'ai peur que ça se voit non ? »
Cello : « Non je n'ai pas remarqué, mais bon, je n'ai pas trop fait attention non plus
... Mais tu sais Marie même si on pouvait le deviner ça ne changerait rien, c'est
presque une ordonnance médicale ! Et puis tu es une femme libre non ? »
Marie : « Je heu… Oui vous avez raison, je m'excuse Monsieur Cello, mais comme je vous
ai dit, je suis un peu coincée ».
Cello – Alors que nous nous rendons vers la voiture, moi poussant le chariot remplis
de pot de peinture pinceaux et rouleaux, je te fais marcher légèrement devant moi et
regarde tes fesses qui semblent libre sous ta robe et celle-ci coincée dans ta raie
culière. J'ouvre ta portière et te fais entrer dans la voiture, puis charge le coffre
avant de repartir destination le traiteur.
Marie : Je suis contente de nos achats et joyeuse, je ne pense plus à la gêne d'être
nue sous ma robe et marche au soleil la jupe coincée dans ma raie du cul, un peu
relevée, ce qui dévoile l’arrière de mes cuisses. Je monte dans la voiture et roulons
vers le centre ville.
Cello - Sur la route, qui va vers le centre ville je te demande :
« Qu'est ce qui te ferais plaisir de dîner ce soir, et ne regarde surtout pas à la
dépense, fais comme si c'était pour un repas en tête à tête »
Marie : « Je ne sais pas quelque chose de pas trop lourds vous savez avec mes rondeurs
je dois faire attention à ce que je mange, j'aime tout, de toute façon et c'est bien
le problème ! Alors je vous laisse choisir ».
Cello : « Tu sais Marie, tu dois faire attention, tu arrives à un âge ou l'on commence
à prendre des kilos, qu'on ne peut plus perdre, Aussi c'est décidé régime pour tout le
monde ce soir, un poisson et des légumes verts cela te convient ? Nous ferons juste
une exception sur la boisson, car on se doit d'arroser nos projets ».
Marie : « Oui parfait, surtout qu'avant, quand je mangeais je prenais des seins mais
maintenant je dois faire attention, car je prendrais du ventre et des fesses, et si je
pouvais perdre un peu de la poitrine aussi, ça ne me ferait pas de mal. Oui vous avez
raison, on va fêter la rénovation de ma maison avec une bouteille et c'est moi qui
l'offre. En plus si on se débrouille bien, je pourrai faire la surprise à Hervé, quand
il rentrera vendredi.
Cello – « Oui cela doit être jouable, après tout on a que deux pièces à repeindre,
demain on peut lessiver les murs et plafonds et dès mercredi on pourra attaquer la
peinture des pièces" »
Puis j'enchéris sur ton régime.
« Tu sais Marie tu n'as que 4 5 kilos de trop et il serait dommage de perdre d'aussi
jolis atouts féminins que les tiens »
Marie : « Oui merci de m'aider, j'ai envie de montrer à Hervé qu'il n'y a pas que lui
qui travaille dur, il ne me reproche rien bien sur, mais ça lui ferait plaisir et ça
me rendrait fière. Pour mon poids oui vous avez raison, ça fera plaisir à Hervé aussi
que je retrouve la ligne et perde un peu des fesses ».
Cello – « Il te faut juste faire attention à ce que tu manges et faire un peu de gym,
tu sais, je fais un jogging tous les matins, tu pourrais m'accompagner et ensuite je
te ferais faire un peu d'abdominaux pour avoir un ventre plat »
Marie : « Ho oui pourquoi pas ?! Toute seule je n'oserais pas, en plus je ne connais
pas les environs du village et comme ça, vous me feriez découvrir une nouvelle maison,
et une nouvelle silhouette c'est le bon moment de prendre des bonnes résolutions ! »
Nous arrivons et vous ouvrez votre portail automatique, votre voiture entre dans votre
grand jardin et nous nous garons sur l'arrière de votre maison. Vous me dites que nous
passerons par la petite porte, entre nos jardins, pour décharger la peinture et le
matériel et qu'ensuite nous préparerons le repas après un bon apéro :
« Oui parfait ! »
Cello - Après avoir décharger la voiture de la peinture et l'avoir déposer chez toi,
nous apportons les victuailles chez moi, allons dans la cuisine préparer les légumes
verts et mettons le poisson à cuire à la vapeur. Puis, je débouche une bouteille de
vin et te fais asseoir dans le canapé et te tend un verre plein. Je m'assois près de
toi et te dis :
« Ah nous ! »
Nous buvons ainsi 2 verres de vin en discutant de la décoration.
Marie : Après avoir vidé la voiture nous nous retrouvons chez vous dans la cuisine, je
m'assieds sur le canapé un peu fatigué par les efforts et la chaleur de l'été "à nous"
vous me faites remarquer que je bois le vin presque d'un coup :
« Oui il faut dire ça donne chaud tout ça »
CELLO : « Oui mais je manque à tous mes devoir, donne moi ton gilet je vais te
débarrasser ... »
Marie : « Je heu… C'est que je n'ai rien mis sous… Enfin je n'ai pas mis de soutien
gorge sous ma robe ».
CELLO : « Tatata, mets toi à l'aise, il faut chaud en plus je les ai déjà vu tes gros
seins… ».
Marie : Gênée, je descends ma fermeture éclair et enlève mon gilet, vous dévoilant le
haut de ma robe, qui est vraiment moulant, comme une deuxième peau sur ma poitrine, en
me tortillant pour ôter les manches, je me penche en avant et vous voyez mes seins
lourds pendre librement. En plus, le tissu est tendu et laisse parfaitement deviner
mes mamelons et mes tétons. Une fois ôté mon gilet, je me rends compte de l'impudeur
de ma tenue et cherche une contenance, heureusement vous m'offrez un verre et je le
bois un bras devant ma poitrine. Vous faites comme si de rien n’était pour me mettre à
l'aise, ce qui progressivement devient le cas, au bout de 3 verres de porto, je me
détends et fais moins attention à ma tenue, de toute façon c'est vrai que vous m'avez
déjà vue seins nus et même m'avez massée...
Cello - je passe alors derrière le canapé et posant mes mains sur tes épaules, je
commence à masser celles-ci avec douceur, mais aussi une certaine fermeté pour que le
massage soit efficace et te fasse du bien, peu a peu mes mains descendre jusqu'en haut
de ta poitrine
Marie : Grisée par l'alcool, je me laisse aller sans appréhension à votre massage, au
début seulement sur mes épaules ... Quand vous descendez sur la poitrine, je proteste
mollement :
« Je heu… non monsieur Cello, il ne faut pas, j'étais trop gênée la dernière fois ».
Vous continuez doucement en me prenant les seins à pleines mains, les pressant
doucement.
« Je heu… monsieur je heu… Je heu… Je veux bien, mais seulement par dessus ma robe,
d'accord ? »
Cello – « Ok ma petite Marie, je te masse que par dessus ta robe pour cette fois,
mais la prochaine fois, je veux sentir ta peau douce sous mes doigts »
Je palpe tes outres, les pétris et les malaxe avec de plus en plus de fermeté, puis je
pince tes tétons, qui pointent au travers de ta robe, comme s'ils voulaient
transpercer le tissu léger de ta robe.
Marie : Je réponds comme hypnotisée par le plaisir que je ressens malgré moi :
« Humm ! Oui merci, je… Humm ça fait du bien quand même je vous avoue ... Je heu… La
prochaine fois d'accord ... ».
Vous me les massez longuement, les malaxant dans tous les sens, pressant mes mamelons,
me les pinçant en profitant que le tissus est extensible pour tirer dessus, mais pas
trop pour ne pas donner l'impression que vous prenez plaisir, et quand vous me voyez
au bord de jouir vous vous arrêtez et revenez face à moi pour trinquer à nouveau, je
ne me rends pas compte car je suis sous le choc presque, mais j'ai les jambes un peu
écartées et vous offre malgré moi une vue imprenable sur ma chatte
Cello – « Prenons encore un verre, cela te détendra » dis je m'asseyant sur un pouf
face à toi.
J'ai alors une vue impeccable sur ta chatte et prenant l'un de tes pieds, je retire ta
chaussure et commence à te masser le pied, te forçant par la même occasion à t'ouvrir
t'avantage sans que tu ne t'en aperçoivent sous l'effet du porto. Puis je retire
l'autre chaussure et fais de même alors que ta robe a largement remonté sur tes
cuisses ouvertes
Marie : Je me laisse masser un pied, puis l'autre sans me rendre compte que je vous
dévoile mon intimité. Avec ce nouveau massage, c'est assez intime aussi de se faire
masser les pieds, moins que les seins bien sur mais quand même, je me sens de plus en
plus à l'aise avec vous et quand vous avez fini vous me dites :
« Allez un dernier et on passe à table »
On boit ce 4 ou 5ème verre de porto et on passe à table. En me levant j'ai la tête qui
tourne un peu.
Cello - Profitant du fait que tu commences a être ivre, j'ose poser une main sur ta
taille pendant le repas et te dis :
« Hé ! Mais c'est vrai que tu as un peu de gras, lève toi pour voir ».
Marie : Un peu vexée j'obéis docilement, puis vous me palpez les fesses.
Cello : « Elles sont bien rondes, aussi mais musclées »
Puis les cuisses :
« Tu as les cuisses fermes, tu faisais du sport ou tu étais avant ? »
Marie : « Heu… je fais un peu de vélo d'appartement, je suis un peu froussarde pour
faire du sport toute seule dans la nature, puis vous remontez votre main sur mes
fesses, en remontant la jupe discrètement.
CELLO : « Mais dis donc, tu n'as pas mis de culotte, coquine ! »
Marie - Même désinhibée par l'alcool et naïve, je deviens toute rouge.
Cello : « Quand je t'ai dis de ne rien mettre sous ta robe je pensais uniquement à ton
soutien gorge, mais tu as raison de te promener nue sous ta robe, c'est bon pour la
confiance en soi »
MARIE : « Je heu… Oui en fait c'est que je heu… Ce matin j'ai été surprise quand vous
êtes venu et je n'ai pas eu le temps de finir de m'habiller, mais je n'ai pas vraiment
fait exprès je vous assure ».
CELLO : « Ne t'excuse pas, au contraire tu peux être fière de toi, tu vois que tu peux
être totalement nue sous ta robe et te sentir à l'aise, c'est vrai ou pas ? »
MARIE : « Je heu… Oui c'est vrai mais… »
CELLO : « Tatata, à partir de maintenant, tu restera nue sous tes habits, au moins
quand tu es seule ou avec moi »
MARIE : « Je heu… bien monsieur mais ... »
CELLO : « Stop c'est décidé, allez mangeons »
MARIE : « Bien monsieur, vous avez raison j'ai faim ».
Cello - Pendant le repas, je profite que tu sois saoule pour regarder tes seins pendre
et je te demande :
« Dis moi Marie si j'avais continué mon massage, est ce que tu aurais jouie ? Et
qu'est ce que tu aimes le plus ? Sois plus précise s'il te plait, je veux tout savoir
de tes goûts »
Marie : Oui non seulement l'apéro a été corsé, mais nous avons presque terminé la
bouteille de vin du repas ! Aussi je suis complètement saoule et vous en profiter,
non pour abuser de moi à la va vite, mais pour accentuer votre emprise sur moi.
« Hoo monsieur Cello vous me gênez, mais parce que je me sens en confiance avec vous
je veux bien vous répondre et vous avouer ce que je n'ai jamais dit à personne, même à
mon mari ... Je heu… Bon alors comment dire, je… Et bien oui je crois que j'aurais
jouie si vous aviez continué ne serais ce qu'une minute ! J'ai honte de le dire mais
je suis très sensible des seins et c'est pour ça que je suis si complexée de les avoir
si gros, même toute seule, je n'ose pas me les caresser ... Quand vous me massiez je
heu… J'ai particulièrement aimé quoi alors ? Et bien votre massage en général, j'ai
tout aimé je crois bien mais je crois que ce que j'ai préféré c'est quand vous m'avez
massée un peu plus fort, et que hoo… Ca me gêne, vous me promettez de ne jamais rien
dire à personne hein ? Bon alors je me lance, j'ai beaucoup aimé quand vous m'avez
pincé les mamelons en tirant dessus ça me faisait des décharges électriques dans tout
le corps, j'avais l'impression que mes seins avaient doublé de volume et qu'ils
étaient brûlant…Voila ... »
Vous voyez d'ailleurs que d'en parler, j'ai les mamelons gonflés, les tétons qui
pointent sous le tissu !
Cello - Te regardant me confier cela et voir tes tétons près à percés le tissus de ta
robe, je les saisis entre les doigts, les pinces, tires dessus et les tords.
« Tu veux dire comme ceci, que je malaxe bien fort, tu aimes que je te pinces tes
mamelons en tirant sur tes tétons? C'est bien cela ? C'est comme ça que tu aimes ? Et
même si ça fait un peu mal, tu aimes quand même ? »
Marie : « Je heu… Mais monsieur Cello je heu… Je ne sais pas si nous devrions »
Cello : « C'est comme pour le massage »
Marie: « Oui, mais ce n'est plus un massage, c'est juste pour le plaisir je… Humm… Je…
Oui c'est comme ça, oui exactement quand vous me pressez bien les seins en les
relevant oui… Comme ça… ! Hmm… ! Ohh ! Et aussi quand vous me pincez les tétons oui
j'aime humm ! Je…Oui ! C'est bon aussi quand vous me tirez dessus oui ! Humm… ! Hoo
monsieur Celle oui je… ! Heu je… ! Ca fait un peu mal oui mais j'aime, je humm ! Oui
continuez ne vous arrêtez pas je vais jouir oui… !Humm … ! Ouii !».
Cello : Je les fais s'entrechoquer l'un l'autre, puis relâchant tes pis, je te donne
une claque sur chaque mamelle et te demande :
« Et comme ça tu aimes aussi ? »
Marie : Oui vous me faites mettre les mains dans le dos, vous les agrippez chacun dans
une main les faisant claquer l'un contre l'autre, me demandez :
« Et ça tu aimes ? »
Et même si je préfère, quand vous me les malaxez, je réponds au bord de la jouissance
:
« Oui j'aime ! Continuez vous allez me faire jouir ne vous arrêtez pas »
Et vous me repincez les mamelons entre les pouces et les index repliés de part et
d'autre des tétines et les secouez sans ménagement et alors que vous me voyez
atteindre le point de non retour vous les lâchez d'un coup et me giflez les mamelles
en alternant très rapidement par en dessous des claques fortes tandis que je jouie me
mordant les lèvres pour ne pas crier, toujours les mains dans le dos, vous me demandez
si j'aime me les faire gifler, je ne peux que répondre :
« Hooo… Oui haa… Oui c'est bon… Je jouiee… Humm… Haaa… »
Et quand ma jouissance est trop forte, je vous prends dans mes bras pour que cela
cesse et je reste contre vous tremblante de convulsions contre vous, ma bouche à votre
portée, ne remarquant pas votre barre de chair contre mon ventre
Cello - Je profite que tu t'abandonnes totalement à moi, ivre de vin et de jouissance
pour poser mes lèvres contre les tiennes et voyant que tu acceptes ce baiser, je force
ta bouche avec ma langue, langue que tu acceptes pour un long baiser langoureux.
Lorsque nous reprenons notre souffle, je te propose d'aller dormir, et te conduis dans
la chambre d'amis, car tu as trop bu pour rentrer chez toi seule et que cela ferait
mauvais effet, si on me voyait te ramener chez toi. Tu acceptes et te conduis jusqu'à
la chambre, alors que tu as posée ta tête sur mon épaule et que lorsque je te pose sur
le lit, tu dors déjà. Je décide alors de te retirer ta robe, pour te voir enfin
totalement nue, puis j'écarte tes cuisses, et lèche ta chatte trempée de cyprine, je
te doigte sans te réveiller. Puis je me masturbe sur ton visage, éjaculant sur tes
lèvres, ton menton et tes joues
Marie : Oui je n'ai plus conscience de rien et je vous embrasse fougueusement et
lorsque ce baiser s'achève, je redescends vite et heureusement vous ne profitez pas de
la situation pour aller plus loin, peut être que je me serais laissée aller, mais avec
des regrets certains après, tandis que là je me rends compte que c'est moi, qui ai dit
que ce genre de traitement me faisait jouir et vous n'avez fait que me donner du
plaisir, presque à ma demande (ou du moins avec ma culpabilité je vais avoir cette
impression). Je vous laisse me guider à votre chambre d'amis, une chambre simple avec
une douche dans la chambre sans séparation. je m'endors dans vos bras confiante que
vous n'allez pas abuser de moi et vous m'allongez sur le lit déjà profondément
endormie. Je ne garderai aucun souvenir de la suite, mais vous me retirez ma robe,
m'écartez les cuisses pour vous rendre compte de l'état de ma chatte, elle est
dégoulinante, le haut des cuisses trempée, vous vous mettez à genou à cheval sur moi,
me branlez en regardant mon visage impassible mais mon corps secoué de spasmes comme
si avec le sommeil mon cerveau était déconnecté de mon corps puis d'une main vous me
malaxez un pis tandis que de l'autre vous vous branlez et me giclez de longues giclées
de foutre sur mon visage m'en foutant partout et vous essuyant le gland sur mes lèvres
entre ouverte ... Vous raclez d'un doigt le foutre pour l'essuyer sur mes lèvres que
par réflexe, j'essuie de la langue pour tout avaler ... Vous me couvrez et allez
regarder les vidéos de nos exploits pour faire un montage des meilleurs moments :
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Dès que j'arrive chez moi, je vérifie les branchements des cameras placées
discrètement dans la chambre d'amis, la salle d'eau, le séjour et ma chambre - on ne
sait jamais - puis je prends une douche, revêt un pantalon et une chemise blanche et
me rends chez toi, voir si tu ai prête.
Dès votre départ, je vais prendre une douche, me maquille, me coiffe et au moment de
m'habiller j'hésite ... Je fouille mon armoire, je n'ai pas beaucoup de choix, avec le
déménagement j'ai une tonne de linge en retard et je prends une robe d'été que je ne
mets pas souvent .. Je me demande si ça va aller sans soutien gorge, elle est un peu
trop près du corps, mais au moins pas de décolleté. Je retourne à la salle de bain nue
la robe à la main, et au moment de l'enfiler je me rends compte qu'en décidant de ne
pas mettre de soutien gorge, j'ai oublié dans la chambre de prendre une culotte ... Me
revient à l'esprit votre demande :
« Sans rien sous ta robe ».
Je rougie me demandant ce qui m'arrive, je ne peux quand même pas aller me promener
nue sous ma robe ... J'irai en mettre une quand j'aurai enfilé la robe. Devant le
miroir, je l'enfile par le haut, l'ajuste ... Mon dieu ça ne tient pas du tout mes
seins qui apparaissent comme ils sont ... Gros, lourds, on devine même le contour des
mamelons ... Je me rassure en me disant que je vais mettre un gilet et au moment
d'aller chercher ma culotte ça sonne :
« Mince je ne peux pas aller ouvrir comme ça vite mon gilet (qui est dans l'entrée) »
J'y vais le ferme et ouvre, c'est vous ... Mais, je n'ai pas pris le temps de mettre
une culotte.
Cello : « Oh ! Parfait tu es prête et ravissante, dépêchons nous, car je ne penses pas
que tu veuilles que des voisins nous voit partir ensemble. Tu prends la clé de la
maison, sort et ferme la maison à clé et me suis jusqu'à la voiture. Je t'ouvre la
portière et t'aide à monter dans le 4X4 en espérant pouvoir constater, si tu as osé
sortir aussi sans culotte.
Marie : Pressée de partir immédiatement avec pour motif le fait que des voisins
peuvent nous voir partir ensemble, ce qui serait anodin, puisque nous allons acheter
de la peinture, je me laisse prendre au piège et dans la précipitation, non seulement
je ne prends pas le temps de mettre une culotte mais en plus, je n'y pense même pas !
Je prends mes clés qui sont sur la serrure intérieure, je sors et je ferme la porte
avant de monter dans votre voiture garée devant ma maison et dont vous m'avez ouvert
galamment la porte. En montant dans votre voiture qui est haute je dévoile mes cuisses
mais rien qui puisse vous permette de savoir si j'ai une culotte ou pas sauf que ...
en montant je me rends compte par un petit coup de vent que je suis nue sous ma robe
et vous devinez à la façon dont je tiens le bas de ma robe contre mes jambes que je
veux cacher mon secret ... Vous montez à votre tour et nous partons vers le magasin de
peinture.
Cello - Le trajet ce passe sans problème et nous arrivons une bonne dizaine de minutes
plus tard sur le parking d'un magasin de bricolage ou je ma gare a ne vingtaine de
mètres de l'entrée. Je descends de voiture et me dépêche d'aller t’ouvrir la portière
et t’aider à descendre du véhicule.
Marie - Au début du trajet, je suis un peu mal à l'aise d'avoir oublié de mettre ma
culotte et aussi car je sens mes seins bouger à chaque cahot, toutefois au fil des km
nous discutons sortes de peinture, décoration, couleurs ... et cela me fait penser à
autre chose. Une fois arrivée je suis moins tendue et suis flattée que vous veniez
m'ouvrir la porte. Je descends et marche doucement pour que mes gros seins ne
ballottent pas trop mais vous ne faites aucune référence à votre demande alors je
m'habitue et une fois dans le magasin je suis toute à me demander quelles couleurs je
vais prendre ...
Cello - Oui j'évite d'aborder le sujet concernant ton absence de sous vêtement, afin
de te mettre en confiance, te demandant si tu as des pinceaux, rouleaux, et quelle
genre de couleur tu veux pour les pièces à repeindre. Mais à lorsque je t’ai fait
passer devant moi pour rentrer dans le magasin, j'ai noté que ta robe te collait un
peu aux fesses et que tu ne semblais rien porter dessous, à mon grand ravissement,
comprenant par là que tu étais très obéissante et naïve.
Marie : Nous naviguons dans le magasin, vous me guidez et vous amusez à demander des
conseils à des vendeurs pour observer s'ils regardent mes seins qui bougent lorsqu'ils
nous guident d'un rayon à l'autre ... Et oui, ils regardent discrètement, mais je ne
remarque rien. Les vendeurs doivent se dire que nous sommes en couple. Mise en
confiance, je ne fais plus attention à ma robe qui est coincée dans la raie ce qui au
minimum signifie que j'ai un string ficelle ... A la sortie après que j'ai crue
deviner un regard du caissier sur ma poitrine, je vous demande :
« Heu… Excusez moi Monsieur Cello, vous êtes sur que ça ne se voit pas ... »
Cello : « Quoi donc ? »
Marie - Je me rends compte que nous n'avons pas évoqué ma tenue :
« Enfin je heu… Heu… J'ai fait comme vous m'aviez demandé et je n'ai pas mis de
soutien gorge et j'ai peur que ça se voit non ? »
Cello : « Non je n'ai pas remarqué, mais bon, je n'ai pas trop fait attention non plus
... Mais tu sais Marie même si on pouvait le deviner ça ne changerait rien, c'est
presque une ordonnance médicale ! Et puis tu es une femme libre non ? »
Marie : « Je heu… Oui vous avez raison, je m'excuse Monsieur Cello, mais comme je vous
ai dit, je suis un peu coincée ».
Cello – Alors que nous nous rendons vers la voiture, moi poussant le chariot remplis
de pot de peinture pinceaux et rouleaux, je te fais marcher légèrement devant moi et
regarde tes fesses qui semblent libre sous ta robe et celle-ci coincée dans ta raie
culière. J'ouvre ta portière et te fais entrer dans la voiture, puis charge le coffre
avant de repartir destination le traiteur.
Marie : Je suis contente de nos achats et joyeuse, je ne pense plus à la gêne d'être
nue sous ma robe et marche au soleil la jupe coincée dans ma raie du cul, un peu
relevée, ce qui dévoile l’arrière de mes cuisses. Je monte dans la voiture et roulons
vers le centre ville.
Cello - Sur la route, qui va vers le centre ville je te demande :
« Qu'est ce qui te ferais plaisir de dîner ce soir, et ne regarde surtout pas à la
dépense, fais comme si c'était pour un repas en tête à tête »
Marie : « Je ne sais pas quelque chose de pas trop lourds vous savez avec mes rondeurs
je dois faire attention à ce que je mange, j'aime tout, de toute façon et c'est bien
le problème ! Alors je vous laisse choisir ».
Cello : « Tu sais Marie, tu dois faire attention, tu arrives à un âge ou l'on commence
à prendre des kilos, qu'on ne peut plus perdre, Aussi c'est décidé régime pour tout le
monde ce soir, un poisson et des légumes verts cela te convient ? Nous ferons juste
une exception sur la boisson, car on se doit d'arroser nos projets ».
Marie : « Oui parfait, surtout qu'avant, quand je mangeais je prenais des seins mais
maintenant je dois faire attention, car je prendrais du ventre et des fesses, et si je
pouvais perdre un peu de la poitrine aussi, ça ne me ferait pas de mal. Oui vous avez
raison, on va fêter la rénovation de ma maison avec une bouteille et c'est moi qui
l'offre. En plus si on se débrouille bien, je pourrai faire la surprise à Hervé, quand
il rentrera vendredi.
Cello – « Oui cela doit être jouable, après tout on a que deux pièces à repeindre,
demain on peut lessiver les murs et plafonds et dès mercredi on pourra attaquer la
peinture des pièces" »
Puis j'enchéris sur ton régime.
« Tu sais Marie tu n'as que 4 5 kilos de trop et il serait dommage de perdre d'aussi
jolis atouts féminins que les tiens »
Marie : « Oui merci de m'aider, j'ai envie de montrer à Hervé qu'il n'y a pas que lui
qui travaille dur, il ne me reproche rien bien sur, mais ça lui ferait plaisir et ça
me rendrait fière. Pour mon poids oui vous avez raison, ça fera plaisir à Hervé aussi
que je retrouve la ligne et perde un peu des fesses ».
Cello – « Il te faut juste faire attention à ce que tu manges et faire un peu de gym,
tu sais, je fais un jogging tous les matins, tu pourrais m'accompagner et ensuite je
te ferais faire un peu d'abdominaux pour avoir un ventre plat »
Marie : « Ho oui pourquoi pas ?! Toute seule je n'oserais pas, en plus je ne connais
pas les environs du village et comme ça, vous me feriez découvrir une nouvelle maison,
et une nouvelle silhouette c'est le bon moment de prendre des bonnes résolutions ! »
Nous arrivons et vous ouvrez votre portail automatique, votre voiture entre dans votre
grand jardin et nous nous garons sur l'arrière de votre maison. Vous me dites que nous
passerons par la petite porte, entre nos jardins, pour décharger la peinture et le
matériel et qu'ensuite nous préparerons le repas après un bon apéro :
« Oui parfait ! »
Cello - Après avoir décharger la voiture de la peinture et l'avoir déposer chez toi,
nous apportons les victuailles chez moi, allons dans la cuisine préparer les légumes
verts et mettons le poisson à cuire à la vapeur. Puis, je débouche une bouteille de
vin et te fais asseoir dans le canapé et te tend un verre plein. Je m'assois près de
toi et te dis :
« Ah nous ! »
Nous buvons ainsi 2 verres de vin en discutant de la décoration.
Marie : Après avoir vidé la voiture nous nous retrouvons chez vous dans la cuisine, je
m'assieds sur le canapé un peu fatigué par les efforts et la chaleur de l'été "à nous"
vous me faites remarquer que je bois le vin presque d'un coup :
« Oui il faut dire ça donne chaud tout ça »
CELLO : « Oui mais je manque à tous mes devoir, donne moi ton gilet je vais te
débarrasser ... »
Marie : « Je heu… C'est que je n'ai rien mis sous… Enfin je n'ai pas mis de soutien
gorge sous ma robe ».
CELLO : « Tatata, mets toi à l'aise, il faut chaud en plus je les ai déjà vu tes gros
seins… ».
Marie : Gênée, je descends ma fermeture éclair et enlève mon gilet, vous dévoilant le
haut de ma robe, qui est vraiment moulant, comme une deuxième peau sur ma poitrine, en
me tortillant pour ôter les manches, je me penche en avant et vous voyez mes seins
lourds pendre librement. En plus, le tissu est tendu et laisse parfaitement deviner
mes mamelons et mes tétons. Une fois ôté mon gilet, je me rends compte de l'impudeur
de ma tenue et cherche une contenance, heureusement vous m'offrez un verre et je le
bois un bras devant ma poitrine. Vous faites comme si de rien n’était pour me mettre à
l'aise, ce qui progressivement devient le cas, au bout de 3 verres de porto, je me
détends et fais moins attention à ma tenue, de toute façon c'est vrai que vous m'avez
déjà vue seins nus et même m'avez massée...
Cello - je passe alors derrière le canapé et posant mes mains sur tes épaules, je
commence à masser celles-ci avec douceur, mais aussi une certaine fermeté pour que le
massage soit efficace et te fasse du bien, peu a peu mes mains descendre jusqu'en haut
de ta poitrine
Marie : Grisée par l'alcool, je me laisse aller sans appréhension à votre massage, au
début seulement sur mes épaules ... Quand vous descendez sur la poitrine, je proteste
mollement :
« Je heu… non monsieur Cello, il ne faut pas, j'étais trop gênée la dernière fois ».
Vous continuez doucement en me prenant les seins à pleines mains, les pressant
doucement.
« Je heu… monsieur je heu… Je heu… Je veux bien, mais seulement par dessus ma robe,
d'accord ? »
Cello – « Ok ma petite Marie, je te masse que par dessus ta robe pour cette fois,
mais la prochaine fois, je veux sentir ta peau douce sous mes doigts »
Je palpe tes outres, les pétris et les malaxe avec de plus en plus de fermeté, puis je
pince tes tétons, qui pointent au travers de ta robe, comme s'ils voulaient
transpercer le tissu léger de ta robe.
Marie : Je réponds comme hypnotisée par le plaisir que je ressens malgré moi :
« Humm ! Oui merci, je… Humm ça fait du bien quand même je vous avoue ... Je heu… La
prochaine fois d'accord ... ».
Vous me les massez longuement, les malaxant dans tous les sens, pressant mes mamelons,
me les pinçant en profitant que le tissus est extensible pour tirer dessus, mais pas
trop pour ne pas donner l'impression que vous prenez plaisir, et quand vous me voyez
au bord de jouir vous vous arrêtez et revenez face à moi pour trinquer à nouveau, je
ne me rends pas compte car je suis sous le choc presque, mais j'ai les jambes un peu
écartées et vous offre malgré moi une vue imprenable sur ma chatte
Cello – « Prenons encore un verre, cela te détendra » dis je m'asseyant sur un pouf
face à toi.
J'ai alors une vue impeccable sur ta chatte et prenant l'un de tes pieds, je retire ta
chaussure et commence à te masser le pied, te forçant par la même occasion à t'ouvrir
t'avantage sans que tu ne t'en aperçoivent sous l'effet du porto. Puis je retire
l'autre chaussure et fais de même alors que ta robe a largement remonté sur tes
cuisses ouvertes
Marie : Je me laisse masser un pied, puis l'autre sans me rendre compte que je vous
dévoile mon intimité. Avec ce nouveau massage, c'est assez intime aussi de se faire
masser les pieds, moins que les seins bien sur mais quand même, je me sens de plus en
plus à l'aise avec vous et quand vous avez fini vous me dites :
« Allez un dernier et on passe à table »
On boit ce 4 ou 5ème verre de porto et on passe à table. En me levant j'ai la tête qui
tourne un peu.
Cello - Profitant du fait que tu commences a être ivre, j'ose poser une main sur ta
taille pendant le repas et te dis :
« Hé ! Mais c'est vrai que tu as un peu de gras, lève toi pour voir ».
Marie : Un peu vexée j'obéis docilement, puis vous me palpez les fesses.
Cello : « Elles sont bien rondes, aussi mais musclées »
Puis les cuisses :
« Tu as les cuisses fermes, tu faisais du sport ou tu étais avant ? »
Marie : « Heu… je fais un peu de vélo d'appartement, je suis un peu froussarde pour
faire du sport toute seule dans la nature, puis vous remontez votre main sur mes
fesses, en remontant la jupe discrètement.
CELLO : « Mais dis donc, tu n'as pas mis de culotte, coquine ! »
Marie - Même désinhibée par l'alcool et naïve, je deviens toute rouge.
Cello : « Quand je t'ai dis de ne rien mettre sous ta robe je pensais uniquement à ton
soutien gorge, mais tu as raison de te promener nue sous ta robe, c'est bon pour la
confiance en soi »
MARIE : « Je heu… Oui en fait c'est que je heu… Ce matin j'ai été surprise quand vous
êtes venu et je n'ai pas eu le temps de finir de m'habiller, mais je n'ai pas vraiment
fait exprès je vous assure ».
CELLO : « Ne t'excuse pas, au contraire tu peux être fière de toi, tu vois que tu peux
être totalement nue sous ta robe et te sentir à l'aise, c'est vrai ou pas ? »
MARIE : « Je heu… Oui c'est vrai mais… »
CELLO : « Tatata, à partir de maintenant, tu restera nue sous tes habits, au moins
quand tu es seule ou avec moi »
MARIE : « Je heu… bien monsieur mais ... »
CELLO : « Stop c'est décidé, allez mangeons »
MARIE : « Bien monsieur, vous avez raison j'ai faim ».
Cello - Pendant le repas, je profite que tu sois saoule pour regarder tes seins pendre
et je te demande :
« Dis moi Marie si j'avais continué mon massage, est ce que tu aurais jouie ? Et
qu'est ce que tu aimes le plus ? Sois plus précise s'il te plait, je veux tout savoir
de tes goûts »
Marie : Oui non seulement l'apéro a été corsé, mais nous avons presque terminé la
bouteille de vin du repas ! Aussi je suis complètement saoule et vous en profiter,
non pour abuser de moi à la va vite, mais pour accentuer votre emprise sur moi.
« Hoo monsieur Cello vous me gênez, mais parce que je me sens en confiance avec vous
je veux bien vous répondre et vous avouer ce que je n'ai jamais dit à personne, même à
mon mari ... Je heu… Bon alors comment dire, je… Et bien oui je crois que j'aurais
jouie si vous aviez continué ne serais ce qu'une minute ! J'ai honte de le dire mais
je suis très sensible des seins et c'est pour ça que je suis si complexée de les avoir
si gros, même toute seule, je n'ose pas me les caresser ... Quand vous me massiez je
heu… J'ai particulièrement aimé quoi alors ? Et bien votre massage en général, j'ai
tout aimé je crois bien mais je crois que ce que j'ai préféré c'est quand vous m'avez
massée un peu plus fort, et que hoo… Ca me gêne, vous me promettez de ne jamais rien
dire à personne hein ? Bon alors je me lance, j'ai beaucoup aimé quand vous m'avez
pincé les mamelons en tirant dessus ça me faisait des décharges électriques dans tout
le corps, j'avais l'impression que mes seins avaient doublé de volume et qu'ils
étaient brûlant…Voila ... »
Vous voyez d'ailleurs que d'en parler, j'ai les mamelons gonflés, les tétons qui
pointent sous le tissu !
Cello - Te regardant me confier cela et voir tes tétons près à percés le tissus de ta
robe, je les saisis entre les doigts, les pinces, tires dessus et les tords.
« Tu veux dire comme ceci, que je malaxe bien fort, tu aimes que je te pinces tes
mamelons en tirant sur tes tétons? C'est bien cela ? C'est comme ça que tu aimes ? Et
même si ça fait un peu mal, tu aimes quand même ? »
Marie : « Je heu… Mais monsieur Cello je heu… Je ne sais pas si nous devrions »
Cello : « C'est comme pour le massage »
Marie: « Oui, mais ce n'est plus un massage, c'est juste pour le plaisir je… Humm… Je…
Oui c'est comme ça, oui exactement quand vous me pressez bien les seins en les
relevant oui… Comme ça… ! Hmm… ! Ohh ! Et aussi quand vous me pincez les tétons oui
j'aime humm ! Je…Oui ! C'est bon aussi quand vous me tirez dessus oui ! Humm… ! Hoo
monsieur Celle oui je… ! Heu je… ! Ca fait un peu mal oui mais j'aime, je humm ! Oui
continuez ne vous arrêtez pas je vais jouir oui… !Humm … ! Ouii !».
Cello : Je les fais s'entrechoquer l'un l'autre, puis relâchant tes pis, je te donne
une claque sur chaque mamelle et te demande :
« Et comme ça tu aimes aussi ? »
Marie : Oui vous me faites mettre les mains dans le dos, vous les agrippez chacun dans
une main les faisant claquer l'un contre l'autre, me demandez :
« Et ça tu aimes ? »
Et même si je préfère, quand vous me les malaxez, je réponds au bord de la jouissance
:
« Oui j'aime ! Continuez vous allez me faire jouir ne vous arrêtez pas »
Et vous me repincez les mamelons entre les pouces et les index repliés de part et
d'autre des tétines et les secouez sans ménagement et alors que vous me voyez
atteindre le point de non retour vous les lâchez d'un coup et me giflez les mamelles
en alternant très rapidement par en dessous des claques fortes tandis que je jouie me
mordant les lèvres pour ne pas crier, toujours les mains dans le dos, vous me demandez
si j'aime me les faire gifler, je ne peux que répondre :
« Hooo… Oui haa… Oui c'est bon… Je jouiee… Humm… Haaa… »
Et quand ma jouissance est trop forte, je vous prends dans mes bras pour que cela
cesse et je reste contre vous tremblante de convulsions contre vous, ma bouche à votre
portée, ne remarquant pas votre barre de chair contre mon ventre
Cello - Je profite que tu t'abandonnes totalement à moi, ivre de vin et de jouissance
pour poser mes lèvres contre les tiennes et voyant que tu acceptes ce baiser, je force
ta bouche avec ma langue, langue que tu acceptes pour un long baiser langoureux.
Lorsque nous reprenons notre souffle, je te propose d'aller dormir, et te conduis dans
la chambre d'amis, car tu as trop bu pour rentrer chez toi seule et que cela ferait
mauvais effet, si on me voyait te ramener chez toi. Tu acceptes et te conduis jusqu'à
la chambre, alors que tu as posée ta tête sur mon épaule et que lorsque je te pose sur
le lit, tu dors déjà. Je décide alors de te retirer ta robe, pour te voir enfin
totalement nue, puis j'écarte tes cuisses, et lèche ta chatte trempée de cyprine, je
te doigte sans te réveiller. Puis je me masturbe sur ton visage, éjaculant sur tes
lèvres, ton menton et tes joues
Marie : Oui je n'ai plus conscience de rien et je vous embrasse fougueusement et
lorsque ce baiser s'achève, je redescends vite et heureusement vous ne profitez pas de
la situation pour aller plus loin, peut être que je me serais laissée aller, mais avec
des regrets certains après, tandis que là je me rends compte que c'est moi, qui ai dit
que ce genre de traitement me faisait jouir et vous n'avez fait que me donner du
plaisir, presque à ma demande (ou du moins avec ma culpabilité je vais avoir cette
impression). Je vous laisse me guider à votre chambre d'amis, une chambre simple avec
une douche dans la chambre sans séparation. je m'endors dans vos bras confiante que
vous n'allez pas abuser de moi et vous m'allongez sur le lit déjà profondément
endormie. Je ne garderai aucun souvenir de la suite, mais vous me retirez ma robe,
m'écartez les cuisses pour vous rendre compte de l'état de ma chatte, elle est
dégoulinante, le haut des cuisses trempée, vous vous mettez à genou à cheval sur moi,
me branlez en regardant mon visage impassible mais mon corps secoué de spasmes comme
si avec le sommeil mon cerveau était déconnecté de mon corps puis d'une main vous me
malaxez un pis tandis que de l'autre vous vous branlez et me giclez de longues giclées
de foutre sur mon visage m'en foutant partout et vous essuyant le gland sur mes lèvres
entre ouverte ... Vous raclez d'un doigt le foutre pour l'essuyer sur mes lèvres que
par réflexe, j'essuie de la langue pour tout avaler ... Vous me couvrez et allez
regarder les vidéos de nos exploits pour faire un montage des meilleurs moments :
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